DevMcGill Magazine - #3 - Été 2017 by DevMcGill

CONDOS POUR OCCUPATION IMMÉDIATE 24

4 Un nouveau mode de vie à Grifﬁntown Ouest

NOCA NORD + CANAL

Vol 3 2017

DÉMARRAGE DU BEAUMONT Bienvenue à NDG 30

ATELIERS CASTELNAU Retour vers le passé 40

MAGAZINE devmcgill.com

ROSEMONT Un quartier à savourer 54

Vol 3 2017

devmcgill.com

MAGAZINE PROJETS DevMcGILL

10 DÉCO, TENDANCES 18 20 28 45 46 48 56

Une beauté inspirante

NOCA Condominium Griffintown Ouest Castelnau III, IV 18,46 Condominium Parc Jarry Ateliers 20,28 Castelnau 40,57 Mile-Ex Beaumont 30 Condominium NDG Arthaus 34 Condominium Ottawa 4

Tendances Les choix de Sophie Hommages aux artisans L’art du design Le Studiopepe Le tour du proprio Céramiques et Basics Style Déco

OCCUPATION IMMÉDIATE 24

Avenue 32 Condominium Lachine M94 Condominium Vieux-Montréal

MA VIE DE QUARTIER

10 16

Griffintown O. En noir et blanc Le Richmond

Rosemont Dix coups de cœur

CULTURE POP 4

10 DevMcgill Magazine

34 42 52 57 58 59 40

Habitation Le degré zéro de l’architecture Le concept Arthaus Le marketing immobilier La beauté rend heureux Crier BINGO ! Habitat 67 Le condo intélligent Histoire Le passé des Ateliers

LES CHOIX DE MARIE-SOLEIL MICHON

MOT DU PRÉSIDENT

hers lecteurs, Je suis très heureux d’annoncer (ou de rappeler à ceux qui connaissaient déjà la grande nouvelle) que DevMcGill fait dorénavant partie du groupe Cogir Immobilier. Cette entente, prise après mûre réflexion, fera en sorte que DevMcGill abordera ses projets avec plus de confiance et de sérénité. Ce choix nous permettra d’avoir les coudées encore plus franches et de nous positionner à l’avant-plan d’un échiquier concurrentiel où l’union des forces peut jouer un rôle déterminant. Cela dit, DevMcGill entend maintenir sa réputation et offrir encore et toujours des habitations résidentielles de grande qualité avec un sceau architectural distinct. À l’orée de nos 20 ans, l’âge de tous les possibles, nous sommes ravis d’avoir osé ce grand pas afin de nous doter des moyens nécessaires pour nourrir nos très grandes ambitions.

Suivez-nous sur la toile... devmcgill.com /DevMcGill.condos/

ÉQUIPE DE RÉDACTION DEVMCGILL Tina Dostie – Directrice Marketing Madeleine LeBlanc – Rédactrice Sophany Sin – Direction artistique

DESIGN Eric Béland – Designer graphique (Direction artistique, mise en page et rédaction)

COLLABORATEURS Michel Bonomo – Photographe Isabelle Coutu – Rédactrice Jeff Lee – Dossier spécial Montréal Guide Condo –Dossier spécial Isabelle Moreau – Dossier spécial Caroline Roberge – Photographe Adrien Williams – Photographe Les Productions Graph-X inc. – Imprimeur

Un nouveau chapitre s’ouvre maintenant. Cette nouvelle entente me coiffe d’un double titre. Président de DevMcGill et premier dirigeant des activités de développement de condos résidentiels chez Cogir Immobilier, un joueur incontournable du marché dont les actifs de gestion sont évalués à 3 milliards de dollars. De nouveaux projets verront le jour à Montréal, à Ottawa et à Toronto et c’est avec un bonheur renouvelé, que je vous en ferai part. D’ici là, continuez de nous suivre sur Facebook et visitez notre site Web pour connaître l’évolution de nos plus récents projets en plus de les découvrir dans les pages de ce magazine. Bonne lecture,

DOSSIER À LA UNE

Barbara Sainte-Marie, Courtier immobilier, Re/Max du Cartier

barbarasaintemarie.com

LA VOLONTÉ ARRÊTÉE DE S’EN TENIR À L’ESSENTIEL

LE DEGRÉ GRÉ ZÉRO DE L’ARCHITECTURE ARCHITECTURE

Roch Cayouette, Architecte

provencherroy.ca

Par Madeleine LeBlanc

DevMcgill Magazine

L’

œil vif, la poignée de main franche, le sourire réservé mais t, Roch Cayouette me reçoit dans les magniﬁques bu avenant, bureaux binet d’architectes Provencher_Roy, rue St-Jac du cabinet St-Jacques dans Montréal, où il vient tout juste d’être promu prom associé. le Vieux-Montréal,

Espace Canopé, emplacement privilégié, hébergera une piscine sur le toit.

De la maçonnerie vernissée sera utilisée comme principal matériau extérieur.

L’objet de la rencontre? Mieux saisir sa démarche, ce qui l’anime, comprendre les choix qui l’ont guidé pour la conception du NOC NOCA, un projet novateur pour lequel cet architecte chevronné a réussi à remporter la mise après avoir co convaincu à l’arraché le président de DevMcGill de lui laisser voix au chapitre alors qu’il était minuit moins une. « Je connais bien Stéphane (Côté pour les autres). Quand j’ai su à peu près par hasard qu’il développait ce projet dans Grifﬁntown Ouest, je lui ai dit que j’aurais aimé pouvoir m’exprimer, moi aussi. Il était alors sur le

point de quitter pour des vacances. Il a été convenu que je disposais de quelques jours pour proposer une idée ». Coup de bol, cette contrainte de temps s’est avérée très favorable à la mise au point d’une proposition sobre, formellement impeccable et très bien adaptée au site et à l’environnement immédiat. « Mon équipe et moi avons fait le pari de nous ﬁer à notre intuition. On a osé présenter une proposition originale qui émanait beaucoup de notre visite sur le site. Ainsi, nous avons articulé une géométrie qui répondait aux éléments présents. On a, entre autres, tenu compte de la course du soleil et du lien avec la nature », explique celui qui a une conscience aiguë de la façon dont un bâtiment est appelé à transformer les lieux environnants environnant et à connaître un retentissement retentissem important sur les espaces publics publi dans lesquels il s’insère. Roch Cayouette a aussi planché sur le très actuel Ateliers Castelnau (autre projet que DevMcGill a lancé en concomitance avec le NOCA) et apprécie les coudées franches dont il a disposé. « L’équipe de DevMcGill donne beaucoup de latitude au niveau de la créativité. J’ai senti que j’avais carte blanche et que l’architecture de qualité était beaucoup valorisée ». Pour ce qui est du résultat recherché, il constate qu’avec le temps, sa démarche l’incite à simpliﬁer autant que faire se peut. « On essaie d’aller à l’essentiel. Il faut trouver

DOSSIER À LA UNE

sa propre personnalité, être honnête avec soi-même et trouver sa façon de faire. De plus en plus, je laisse tomber la couleur pour que les formes et les objets se déﬁnissent les uns par rapport aux autres sans qu’on ait à souligner ce rapport avec de la couleur, par exemple. Je trouve qu’on n’en a souvent pas besoin ». Fils d’architecte (son père a fondé Cayouette et Saïa) et frère de deux designers industriels (Francis déploie son talent au Danemark notamment pour Stelton et Ikea alors qu’Alain est conseiller chez Triede Design à Montréal), Roch Cayouette a été formé avec cette volonté poussée de trouver le meilleur dialogue possible entre l’objet architectural et son insertion dans la trame existante. « L’échelle de la ville et l’architecture urbaine sont des préoccupations très importantes pour moi. Elles m’ont été inculquées à l’école et je cherche toujours à saisir de quelle façon notre intervention transforme l’environnement. »

Abreuvé très tôt aux façons de faire novatrices « nous avions toujours des objets design à la maison. Mon père est allé très loin dans la manipulation des détails, du mobilier, des ﬁnis de plancher et autre céramique », il appartient à une lignée qui cherche la cohérence, le sens et la continuité. Il affectionne et connaît très bien Montréal et son histoire et s’en inspire comme matériau de base. « On travaille les couches, un peu comme un archéologue découvre différentes strates que l’on tente de faire revivre, de façon métaphorique, bien sûr ». Ravi de l’accueil très favorable réservé spontanément au NOCA, « on a reçu de très beaux commentaires lors du lancement du projet. On a senti une vraie boule d’énergie », il se tourne maintenant vers de nouvelles façons de formuler ses aspirations. « Je souhaitais en arrivant chez Provencher_Roy avoir la chance de travailler sur un projet de tours d’habitation résidentielles. Ce désir s’est vite réalisé. » Cinq tours verront donc le jour à l’Île des sœurs où Mies van der Rohe a lui-même déjà ofﬁcié. On ne pourrait rêver d’un terreau plus fertile. DevMcgill Magazine

Alain Desgagné, Designer

innédesign.ca

LE TOUT = PLUS QUE L’ENSEMBLE DES PARTIES Pour qu’un projet comme le NOCA voit le jour, en plus du travail de conception de l’équipe d’architectes, d’autres professionnels, dont le rôle est connexe, sont mis à contribution pour faire en sorte que toutes les facettes de la réalisation puissent faire écho avec pertinence à l’intention initiale. L’architecte-paysagiste Bao-Chau Nguyen (Provencher_Roy) et le designer d’intérieur Alain Desgagné (InnéDesign) ont ainsi pris le relais, une fois les plans bien arrêtés, pour faire en sorte que l’ensemble des parties du NOCA soient cohérentes et aussi réussies que l’enveloppe du projet et ses déclinaisons. Leur travail découle directement du concept architectural. Si brillantes que soient leurs idées, elles doivent impérativement s’arrimer à ce dernier. Leur touche, à la fois personnelle et consensuelle, est apposée en aval. Ce jeu de domino, Bao-Chau Nguyen s’en acquitte avec beaucoup de doigté. « L’architecte a au départ un mandat assez imposant. Il détermine les densités, schématise les volumes et m’expose ses intentions. De là, j’extrapole et prolonge, en quelque sorte, sa vision ». Dans le cas qui nous occupe, Bao explique que le paysage a aussi nourri le projet. Car, bien sûr, tout est imbriqué. Au départ, le NOCA présente une forme singulière et la nature y joue un rôle important. Le marais attenant, le canal de Lachine en face et un parc nouvellement aménagé en biais confèrent au site un ensemble d’éléments assez exceptionnels dont il a aussi fallu tenir compte. d’élém Cela di dit, l’inspiration initiale découlait d’abord du concept comme tel. « Quand j’ai vu la composition spatiale de l’architecture et les volumes qui s’en d dégageaient, cela a évoqué pour moi l’origami. La façon de déconstruir déconstruire tout ça, l’allégorie même vient du bâtiment. Il fallait créer quelque chos chose de dépouillé, de paisible, de contemporain et d’innovateur en tenant com compte des angles inusités et de l’aspect général ». Les caractéristiqu caractéristiques physiques du lieu ont aussi suggéré quelque chose de ludique que Bao Bao-Chau a voulu exploiter au-delà des attentes habituelles. « On a pr proposé pour les jardins intérieurs un élément Le NOCA veut permettre de faire l’expérience d’espaces communs éclatés, invitants et chaleureux.

DOSSIER À LA UNE

Suite de l’article Suit

Bao-Chau Nguyen, Architecte-paysagiste Provencher_Roy

structurel tructurel qui va aussi servir d’ombrière, une espèce de dentelle étallique transparente qui permettra un jeu d’ombre et de lumière et métallique qui fera, au besoin, office de banc. Pour nous, c’est une façon de ramener l’urbain ain vers la nature tout en traversant les quelque 16 000 p2 de la cour eure en diagonale ». La palette végétale a aussi été choisie en intérieure fonction on des textures et non des couleurs. Les teintes de floraison seront s, afin de rester sobre, discret et simple. Quelques grands arbres blanches, multi-troncs oncs et des arbustes compléteront le tout. Grande amateure d’art, Bao aime aussi pouvoir ajouter un petit surplus d’âme à ses projets. « En plus dee répondre aux besoins des clients et des résidents, j’essaie aussi d’insérer rer un angle inédit en bonus ».

Un designer er urbain Pour Alain Desgagné gagné de Innédesign, la conception des espaces communs devait faire écho o au work live, une tendance de fond qui gagne aussi Montréal. « On a voulu faire en sorte qu’une journée de travail puisse se prolonger à la maison ison si les gens le souhaitaient. Souvent, en rentrant, les gens veulent aller er faire de l’exercice. On a créé un espace collectif qui permet ce type de mode de vie ». Pour ce faire, l’escalier central devient un pôle d’attraction. Aménagé en bois, il est accueillant, et permet de s’y installer à son gré ou de poursuivre vers une zone lounge où on peut se détendre, prendre un café, afé, choisir d’aller au gym ou encore proﬁter de l’espace Mixte pour un happening donné, par exemple, ou bien de lire tout simplement dans un endroit aménagé à cette ﬁn. DevMcgill Magazine

La nature et l’architecture se côtoient s agréablement en agré bordure du projet. bordur

UN CONCEPT RÉSIDENTIEL AUDACIEUX POUR CEUX QUI OSENT S’OFFRIR L’ESSENTIEL !

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À TRAVERS LA LENTILLE

LA FACE CACHÉE DE

GRIFFINTOWN OUEST adrienwilliams.com

Le passé industriel de Grifﬁntown Ouest reste présent en toile de fond.

DevMcgill Magazine

ové le long du canal de Lachine, p près du marché Atwater, à deux pas du centre-ville, à proximité de tou tous les services, cafés branchés, restaurants gourmets et boutique boutiques exclusives, Grifﬁntown Ouest est aussi truffé de parcs et d’espaces verts. Cette proximité avec la nature lui confère un je-ne-sais-quoi qui fait qu’on craque volontiers pour ses charmes. Le photographe d’architecture d’a Adrien Williams s’est prêté au jeu de capter l’autre versant d de Grifﬁntown Ouest. Son travail traduit un élan pour les activités et le dé dépaysement. Un nouvel art de vivre qui permet de se connecter au mond monde à sa façon émerge de ces clichés. Bonne évasion !

Beauté sauvage Faire des balades s’avère une activité très prisée par les résidents du quartier.

Ã&#x20AC; TRAVERS LA LENTILLE

DevMcgill Magazine

Eau vive Les berges accueillent moult cyclistes et baladeurs. Le canal lui-mĂŞme fait les beaux jours des kayakistes.

À TRAVERS LA LENTILLE

Plaisir de vivre Rien ne semble trop ardu pour les ambitions de cette ﬁllette qui gravit les échelons avec le centre-ville en arrière plan.

DevMcgill Magazine

BÂTISSEUR D’ICI

UN HHOMME ET SON PROJET !

Barbara Sainte-Marie, Courtier immobilier, Re/Max du Cartier

barbarasaintemarie.com

Luc Laroche, Entrepreneur

lerichmond.com Par Madeleine LeBlanc

DevMcgill Magazine

Luc Laroch Laroche ne fait pas de quart quartier en matière de compromis. Cet homme en entier, déterminé et visio visionnaire sait ce qu’il veut et ce qu’il ne veut surtou surtout pas. Connaître sa ma marque et savoir la mettre de l’avant fait partie de sses forces et de son approche. ap En ouvrant le restaurant Le Richmo Richmond il y a quelques années anné au cœur de Griffintown Ouest, il a fait preuve de flair, voire d’optimi d’optimisme. Depuis, beaucoup d’eau a coulé dans le canal de Lachine et de no nombreuses grues se sont mises à l’œuvre. Le quartier s’est métam métamorphosé et la clientèle de son populaire restaurant, composée d de fidèles qui habitent notamment CôteCôte Westmount, Hampstead et Côte-St-Luc, provient aussi dorénavant l ronde. Car les gens migrent et de quelques pâtés de maison à la lance lancem Griffintown se densifie. Le lancement du projet NOCA de DevMcGill, s qui se trouve à un jet de pierre, s’est d’ailleurs déroulé au Richmond. Formé en haute couture à Ottawa, Luc Laroche a fait sienne la minutie des détails. Les hasards de la vie lui ont permis de transposer le savoirfaire acquis dans le milieu de la distribution notamment de marques comme Mango et Tommy Hilfiger. Cette expertise lui a servi quand un ami de longue date lui demande de s’impliquer dans l’administration de son

restaurant. Il n’en faut pas plus pour que Luc comprenne qu’il pourrait mettre à proﬁt ses connaissances et décide, après analyse des chiffres, de se porter acquéreur de l’estaminet en question. Peu après, il souhaite ouvrir un nouvel établissement. Les choses commencent alors à bouger dans la Petite-Bourgogne. Le restaurant Le Grinder vient d’ouvrir et

Luc Laroche constate l’immense potentiel qui se trouve à proximité. « J’ai tellement fait de prospection pour trouver les bons emplacements dans ma carrière que, pour moi, c’est une seconde nature. Nous avons été des pionniers mais les signes étaient là. Griffintown allait se développer. Nous avons vu juste. » Il trouve alors le local dans une petite rue latérale, se lance dans des travaux majeurs pendant plusieurs mois, supervise de très près le travail de l’architecte Marie-Ève Pasquin chargée de rendre fidèlement sa vision. Total des courses : Le Richmond voit le jour en novembre 2013. Sa terrasse recevra le Grand Prix du Design 2014 (Prix Terrasse Commerciale) et le Marché Italien, lancé par la suite dans le local attenant, remportera aussi les honneurs en 2015 (Prix comptoir alimentaire). Offrir la cuisine du Nord de l’Italie semble aussi pour Luc Laroche une façon de satisfaire un besoin qu’il a pressenti. Encore là, son intuition porte fruit. Depuis son ouverture, Le Richmond, avec ses 240 places, serait parmi les cinq plus grands restaurants distributeurs d’alcool au Québec. Cette capacité d’en faire un véritable pôle d’attraction est redevable notamment aux efforts consentis par l’équipe en place. Son service des communications a mis de l’avant un plan bien ficelé et fait notamment appel aux médias sociaux pour se faire connaître. « Mon approche est corporative. Je bâtis une compagnie qui fait de la restauration. On reste fidèle à notre marque, on offre des produits de qualité, des emballages raffinés et toutes nos actions sont concertées. » Fier de l’importante présence qu’il a conquise dans Griffintown Ouest, Luc Laroche se tourne maintenant vers de nouveaux défis tout en gardant en tête l’importance de fournir les ressources nécessaires pour s’assurer de maintenir son succès à flot. Parions, qu’il voit encore plus grand !

Le Richmond, 377, rue Richmond

Marché Italien Le Richmond, 333 av. Richmond

L’épicerie ﬁne et ses produits recherchés connaissent aussi un grand succès.

ÉQUIPE DEVMCGILL

Barbara Sainte-Marie, Courtier immobilier, Re/Max du Cartier

barbarasaintemarie.com

Sophie Chignac, Designer DevMcgill

castelnaucondos.com atelierscastelnau.com

18 Par Madeleine LeBlanc

LES CHOIX DE SOPHIE ! esponsable finis et personnalisation chez DevMcGill depuis 2013, Sophie Chignac sait déployer, en plus de son talent de designer, une grande écoute et beaucoup de diplomatie. Appelée à accompagner des gens qui se portent acquéreurs d’une unité d’un de nos projets, Sophie peut intervenir à plusieurs étapes du processus selon la nature des besoins, les goûts des clients et les particularités propres à chaque cas. Pour le projet Castelnau, qui sera complété cet automne, elle a participé à l’élaboration de chacune des quatre phases. Et, ultime étape, Castelnau IV (pour lequel elle a procédé aux choix de tous les matériaux) lui a réservé une large part de beaux défis à peaufiner puisque l’acquisition des Penthouses par des clients éclairés exige une attention soutenue que Sophie a consentie avec plaisir. « J’ai beaucoup aimé pouvoir offrir un service d’accompagnement, entre autres, aux acheteurs de très grandes unités. Comme Castelnau IV s’avère particulièrement haut-de-gamme, on a vite compris qu’il était plus que souhaitable d’épauler étroitement nos clients durant les diverses étapes qui conduisent à la prise de possession ».

DevMcgill Magazine

Ainsi, plusieurs avaient des demandes parfois atypiques et il incombait à l’équipe de s’assurer d’y donner suite avec beaucoup de diligence. Par exemple, des matériaux ont dû être livrés au sixième étage de l’immeuble à l’aide d’une grue; le fournisseur lui-même a rendu plusieurs visites de reconnaissance pour s’assurer que tout serait parfaitement rodé. Le nécessaire a aussi été fait pour qu’une cuisine sur-mesure fabriquée par un ébéniste aguerri puisse s’imbriquer parfaitement à l’espace qui lui était imparti. Quelques-uns ont choisi de retenir les services de leur propre designer. Sophie a su faire le lien et à l’occasion conﬁrmer ou ajuster des plans aﬁn que tout soit d’équerre et conforme aux normes en vigueur ou pour

simplement valider, entre autres, qu’en plus d’être esthétiques, les espaces étaient aussi ergonomiques et convenaient vraiment aux habitudes quotidiennes des gens. Certaines demandes, bien sûr, sont plus compliquées que d’autres. Les gens n’ont pas toujours conscience du degré de difﬁculté qu’une requête qui paraît simple peut impliquer. « C’est mon rôle d’accéder aux souhaits de chacun mais aussi de rappeler les limites de ce qui peut être fait. » Même si, pour certains, le budget semblait quasi illimité, il y a toujours des contraintes techniques ou temporelles qui peuvent se présenter. « De plus, dans quelques cas, il s’agit d’un changement important de mode de vie. Des gens passent d’une grande résidence cossue à un Penthouse, très spacieux, mais tout de même plus compact que l’espace auquel ils sont habitués. Parfois, cela requiert un ajustement de leur part et j’essaie de me faire rassurante pour qu’ils ne perdent pas de vue les avantages que ce choix représente », indique-t-elle. Alors que le rideau tombe, Sophie consacrera maintenant le plus clair de ses énergies à d’autres réalisations dont les Ateliers Castelnau, un projet attenant, qui fait écho au quartier industriel d’où il émerge et qui comportera aussi sa part de découvertes et de rencontres enrichissantes.

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Nous sommes ﬁers d’annoncer la ﬁn du chapitre pour le projet CASTELNAU IV. Merci !

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Par Madeleine LeBlanc

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HOMMAGE AUX ARTISANS 20

ﬁn d’animer la salle de montre d’Ateliers Castelnau - qui vient de remporter un prix de design et qui vaut franchement le déplacement - nous faisons honneur au talent d’artisans de plusieurs horizons en présentant leur production dans le cadre d’un événement Pop up in situ une journée par mois depuis le 6 mai dernier ! Les gens sont invités à venir découvrir le travail de ces créateurs, à rencontrer l’animatrice Marie-Soleil Michon et à acheter local. Ainsi, une dizaine de fabricants font la joie des nombreux visiteurs qui prennent part à l’événement mensuel.

1 2

65, de Castelnau Ouest Prochains rendez-vous pour le marché créatif aux Ateliers Castelnau :

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DevMcgill Magazine

7 septembre - jeudi 18h à 21h 12 octobre - jeudi 18h à 21h 4 novembre - samedi de 13h à 16h 2 décembre - samedi de 13h à 16h

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COLLABORATION GAGNANTE

Ysabel Gauvreau Présidente, Gauvreau Design

gauvreaudesign.com

Par Madeleine LeBlanc

L’ART D’INVENTER DES ESPACES VIVANTS !

es aspirations professionnelles semblaient d’abord dévolues au théâtre. Ysabel Gauvreau, présidente de Gauvreau Design, a finalement opté pour une formation en design d’intérieur sans toutefois renoncer vraiment au jeu et à l’interprétation. Aujourd’hui, ses propositions s’apparentent beaucoup à la scénographie et traduisent un art de l’organisation de l’espace qui emprunte des moyens très structurés. De fil en aiguille, sa boîte a raffiné un créneau particulier, celui des salles de montre et autres aménagements communs d’immeubles résidentiels. « J’aime travailler avec des professionnels qui savent ce qu’ils veulent. Les gens d’affaires sont organisés, connaissent leur clientèle potentielle et sont habitués à trouver rapidement des solutions » constate-t-elle.

Cette façon de procéder permet certainement à son équipe, constituée exclusivement d’une dizaine de femmes designers - (le genre n’est évidemment pas un critère d’embauche mais une simple question d’atomes crochus et de hasard) d’aller droit au but dans l’élaboration d’univers séduisants et souvent inattendus. Composer avec les volumes, les objets, la lumière, l’espace et les textures pour conférer une valeur métaphorique et transposer les usagers dans une atmosphère susceptible de

DevMcgill Magazine

provoquer une gamme d’émotions résument en quelque sorte l’approche pour chaque mandat. S’imprégner des lieux, de leur histoire et des caractéristiques propres à chacun déﬁnit l’angle à adopter pour un projet donné. C’est de cette façon qu’Ysabel Gauvreau et son équipe ont procédé pour dégager la trame narrative d’un de nos plus récents chouchous. « Le Beaumont s’adresse à une clientèle habituée à un art de vivre rafﬁné. Certaines références au cachet du quartier

atelierscastelnau.com 65 rue de Castelnau Ouest, Montréal, QC H2R 2W3

BUREAU DES VENTES, ATELIERS CASTELNEAU

Notre-Dame-de-Grâce nous semblaient essentielles à évoquer. Nous avons, entre autres, utilisé le bois pour réchauffer l’atmosphère et avons réinterprété le concept du moulurage de façon plus contemporaine » précise-t-elle. Pour Ateliers Castelnau, l’équipe de Gauvreau design s’est tournée vers un concept résolument astucieux et original pour la conception de l’espace vente : quatorze conteneurs ont été assemblés en signe de reconnaissance au passé industriel des lieux. L’unité témoin s’avère très rafﬁnée et empreinte de touches esthétiques savamment dosées, à l’image de sa conceptrice. Ce projet a d’ailleurs remporté en juin dernier, le Prix Habitat Design, dans la catégorie Design d’intérieur avec mention spéciale pour le design industriel. Celle que le design scandinave et les matériaux nobles inspirent aura certainement des idées heureuses et intrigantes à échafauder pour notre prochain grand projet dans le quartier Rosemont. Vivement que le spectacle commence!

Le bureau des ventes d’Ateliers Castelnau a remporté en juin dernier, le Prix Habitat Design, dans la catégorie Design d’intérieur avec mention spéciale pour le design industriel.

DE GAUCHE À DROITE SUR LA PHOTO : JEAN-CLAUDE POITRAS, MARIO GAGNON, YSABEL GAUVREAU, MAXENCE BARATIER, TINA DOSTIE, STÉPHANE CÔTÉ, VALÉRIE GAUVREAU ET VÉRONIQUE GINGRAS.

PRIX HABITAT DESIGN

DOSSIER BEAUMONT

Par Madeleine LeBlanc

C’EST PARTI !

e chantier bat son plein, les ventes s’emballent. Le Beaumont se profile. Ses 139 unités, réparties sur deux tours, s’érigeront sous peu alors qu’une épicerie IGA occupera l’entièreté du rez-de-chaussée. Situé Chemin de la Côte-Saint-Luc au coin de l’avenue Clanranald, le Beaumont possède un emplacement rêvé. Vues imprenables, entre autres, sur le fleuve Saint-Laurent, le Mont-Royal et les Laurentides, proximité avec tous les services et les transports en commun, situé au cœur d’un quartier historique recherché et bordé d’arbres matures, tout lui sourit. « Cette conjoncture est assez exceptionnelle » convient Alexandra Serafini, Directrice des ventes et développement de produits chez DevMcGill. « Tout se fait à pied. Le quartier Notre-Dame-de-Grâce est vraiment bien ancré dans le tissu urbain et nous ne sommes qu’à deux pas du Village Monkland, très connu pour ses cafés branchés, ses restos courus et ses épiceries fines ».

Tous les condos d’une chambre et les Penthouses se sont envolés. Par contre, des unités allant de 800 pc à 1750 pc sont encore disponibles. Les prix varient de 325 000 $ à 632 000 $. Cela dit, les acheteurs ont encore l’option de jumeler des espaces et de faire réviser les plans en conséquence. Une terrasse sur le toit et une piscine seront accessibles à tous les résidents et un gymnase sera aussi aménagé. Un stationnement sous-terrain, de nombreux espaces de rangements et de l’espace pour les vélos seront disponibles. Évidemment, une panoplie de finis s’avère disponible et certains clients peuvent, entre autres, choisir de laisser le plafond à l’état brut afin de bénéficier de plus de hauteur et de permettre à la lumière naturelle d’entrée à profusion. DevMcgill Magazine

DÉBUT DE LA CONSTRUCTION Pendant toute la période que se déroulera la construction du projet Le Beaumont, l’information relative à l’avancement des travaux sera diffusée sur le site Web. Des mises à jour seront effectuées régulièrement aﬁn de vous tenir informés de la progression du chantier et des étapes à venir. beaumontcondos.com

60% VENDU Beaumont 4599 Av. Clanranald Montréal

BUREAU DES VENTES : 5511, av. Monkland Montréal 514.800.6841

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DevMcgill Magazine

par

CONTEMPORAIN

PAUL

CHIC

DOWNSIZING

CITOYEN

DU MONDE DÉCOUVREZ SON ÉLÉGANCE MONSTYLEMONCONDO.COM

DISTINGUÉ

RETRAITÉ

CULTIVÉ

DOSSIER ARTHAUS

MÉNAGE À TROIS !

a pertinence des immeubles à vocation mixte a fait ses preuves depuis un bail. Il est fréquent de voir, surtout le long d’artères commerciales, des rez-de-chaussés occupés par des commerces alors que les étages sont consacrés à des espaces résidentiels. Si on extrapole cette façon de faire aux réalités actuelles – moins de pieds carrés, plus grande densité, partage des risques, on saisit mieux l’émergence de modèles d’affaires et de propositions architecturales où plusieurs fonctions sont déployées sous un même toit. Au fait de cette tendance de fond, la Ville d’Ottawa souhaitait que plusieurs usages puissent être conférés au projet qui permettrait l’agrandissement spectaculaire de sa galerie d’art municipale.

Par Madeleine LeBlanc

arthauscondos.com

DevMcgill Magazine

Aux aguets, DevMcGill et ses partenaires ont vite saisi le potentiel qu’une telle avenue offrait. « Si la chimie se présente, ce type de combinaison permet non seulement de rentabiliser les projets plus facilement mais ils favorisent une diversité de services susceptibles de satisfaire les habitudes des usagers. Les interactions entre les sphères résidentielles, commerciales et l’offre culturelle ajoutent une dimension jusqu’ici très peu

explorée » illustre Jérôme Côté, président de Régis Côté, architecte principal du projet. Toujours à l’affût des façons de faire actuelles et à la recherche d’idées pour réinventer son créneau et renouveler ses pratiques, Christiane Germain, cofondatrice et coprésidente de Groupe Germain Hôtels, s’est montrée très ouverte lorsqu’elle a été approchée pour ce partenariat novateur.

« Cette formule convient très bien à plusieurs de nos projets. Non seulement, pouvons-nous partager ainsi le risque mais le concept de partenariats nous permet de proposer une offre plus dynamique et davantage polyvalente. Cette façon de faire sera certainement de plus en plus courante » prévoit-elle. Christiane Germain souligne également que, dans le cas du projet, la composante culturelle boniﬁe le produit, notamment grâce à sa proximité immédiate avec l’hôtel et ce, sans changer pour autant la nature des services que sa très populaire chaîne d’hôtellerie offre. Madame Germain, dont la loyauté l’incite à s’approvisionner toujours chez le même fournisseur de meuble québécois depuis les tout débuts de l’entreprise familiale, aime les économies de temps et d’argent que permet une telle pratique. Commentant, par ailleurs, son incursion dans l’antre de l’émission Dans l’œil du dragon, diffusée sur les ondes de Radio-Canada, elle assure avoir trouvé l’expérience très enrichissante. « C’était la première fois que j’étais emmenée à investir dans des entreprises qui ne m’appartiennent pas. Cette perspective est nouvelle et très intéressante pour moi. Et puis, j’ai eu la chance de faire de belles rencontres et j’ai apprécié la bonne entente qui régnait sur le plateau ».

De son côté, la directrice de la Galerie d’art d’Ottawa, Alexandra Badzak, ne tarit pas d’éloges devant la tournure des événements, d’autant que le projet est, à toutes ﬁns utiles, terminé. L’espace de présentation de sa galerie sera cinq fois plus grand qu’il ne l’était et l’approche complètement revue grâce à un plan à long terme qui a permis de revisiter en profondeur le positionnement de cette institution culturelle phare et les ressources qui lui seront attribuées. Parmi les importantes façons de faire qui ont été revues : l’admission sera libre, les heures d’ouverture prolongées, l’accès universel offert et un tournant technologique négocié avec brio.

Christiane Germain, cofondatrice et coprésidente de Groupe Germain Hôtels

legermainhotels.com

Alexandra Badzak, directrice de la Galerie d’Art d’Ottawa

ottawaartgallery.ca

DOSSIER ARTHAUS

« Nous croyons que ce type de projet est audacieux, contemporain et nouveau pour Ottawa ». Parmi les expositions à grande échelle que leurs nouvelles installations leur permettront de déployer, ﬁgure la première exposition qui mettra à l’honneur le très réputé designer Karim Rashid, enfant-chéri qui a fait sa formation dans la capitale. Un coup de maître pour une institution qui aspire à jouer dans la cour des grands. Cette volonté de rendre l’art accessible au plus grand dénominateur commun fait partie des enjeux cruciaux, soutient Madame Badzak, auxquels les diffuseurs artistiques sont confrontés de nos jours. « Si nous faisons les choses correctement, je crois que notre institution sera très fréquentée. Nous voulons en faire un lieu accueillant où les gens seraient en présence de manifestations artistiques de façon régulière ».

LE ARTHAUS, C’EST : • Quatre-vingt-sept condos contemporains situés entre le 15e et le 23e étage à partir de 290 000 $

Arthaus 20 Avenue Daly, Ottawa

BUREAU DES VENTES : 264, rue Rideau, Ottawa 613.909.3223

arthauscondos.com

DevMcgill Magazine

Appelée à commenter les avantages qu’elle voit dans le fait de partager l’immeuble avec un hôtel et un développeur de condos, Madame Badzak cite le président de DevMcGill, Stéphane Côté, qui a déjà porté à son attention le fait que le temps était devenu l’élément le plus précieux dans nos vies actives. « Je suis d’accord avec ce constat. Et je crois que le voisinage entre le Arthaus, l’hôtel Germain et la Galerie d’Art d’Ottawa permet de réunir tellement d’aspects intéressants à l’intérieur d’une empreinte urbaine concentrée et de faire ainsi d’importants gains de temps ». Elle afﬁrme que le concept architectural met de l’avant des notions de connections et d’intersections qui illustrent d’ailleurs le désir de la Galerie d’Art d’Ottawa de bâtir sa programmation pour et avec la communauté.

• Quatre Penthouses au 23e de 1500 à 2000 pieds carrés • Une salle d’exercice au 15e étage • Stationnement intérieur • Terrasse sur le toit • Espace lounge • Entrée privée sécurisée • Approche éco-responsable pour la construction • Proximité avec les transports publics et de la nouvelle ligne de la Confédération • À deux pas du marché Byward et du centre commercial Centre Rideau

DOSSIER ARTHAUS

VIVRE AU SOMMET Par Madeleine LeBlanc

voir la chance de côtoyer l’art au quotidien. D’emprunter le hall d’entrée du Arthaus où des oeuvres sont exposées en alternance. Mieux, emprunter les œuvres elles-mêmes grâce à un récent programme qui permet de louer des œuvres de grande qualité. Habiter la Maison des arts i.e. le Arthaus, c’est bénéficier de tels privilèges. C’est aussi vivre au cœur d’un immeuble vibrant, dont l’architecture reflète en tout point ce parti pris. Situé en plein centre d’Ottawa, à deux pas du Marché ByWard, de l’Université, du Centre Rideau et des transports en commun, on y élit domicile pour l’amour de l’art mais aussi parce qu’on a un sens pratique, du flair, de l’audace, du goût et l’envie de faire un bon investissement. Le Arthaus recèle d’intérieurs cossus, envoûtants et au goût du jour, conçus par les talentueux designers du cabinet U31 de Toronto. Les 87 condos, situés entre le 15e et le 23e étage, sont tous plus somptueux les uns que les autres et quatre Penthouses couronnent l’ensemble. De tous côtés, des vues époustouflantes donnent

tour à tour sur les immeubles historiques, le Parlement, la végétation, l’Université d’Ottawa, etc. À l’intérieur, des aires ouvertes, des matériaux de grande qualité, des plafonds élevés, du rafﬁnement et beaucoup de cachet.

Des espaces exclusifs pour des résidents comblés Un gymnase, situé au 15e étage et doté des plus récents équipements, permet de garder la forme avec panache. On peut donc s’y entrainer avec style ou y pratiquer le yoga, pourquoi pas? De plus, un immense lounge, muni d’une cuisine tout équipée, d’une grande salle à manger et d’un espace salon des plus enveloppants, offre la possibilité d’accueillir des invités pour toutes sortes d’événements, formels ou amicaux. Pour les plus intrépides, une ravissante terrasse sur le toit doté d’un foyer offre des panoramas spectaculaires.

Des colocataires hors normes Alors que le Arthaus occupe le haut de l’immeuble, le groupe Germain y exploitera un chic hôtel boutique éponyme aux étages inférieurs. De plus, la Galerie d’Art d’Ottawa prendra place dans des espaces attenants et sa superﬁcie d’exposition sera remarquablement grande. Aussi, un café agrémentera le tout. Comment résister à cette offre d’être aux premières loges d’un concept avant-gardiste qui place l’art à l’avant-scène. DevMcgill Magazine

ART DE VIVRE

UN, DEUX, TROIS, ADJUGÉ ! MISEZ VOUS AUSSI, DÈS MAINTENANT ! Ils sont jeunes, urbains et investisseurs à leurs heures. Avec ses lignes épurées et son allure futuriste, le Arthaus les a charmés. L’emplacement idéal – situé au cœur du centre-ville et à deux pas du célèbre marché Byward - et le concept novateur y sont sans doute aussi pour beaucoup. Car en plus d’abriter neuf étages de condos, le Arthaus sera composé de l’hôtel-boutique Le Germain, de la Galerie d’Art d’Ottawa et de la salle de théâtre de l’Université d’Ottawa. Ce concept de mixité des usages est précurseur et DevMcGill est très ﬁer d’en être partie prenante.

65%

Le projet est déjà vendu à plus de 65 % et nous avons eu envie de partager ce qui a motivé leurs choix.

VENDU

Hilaire Tucker

Danny Tam

Jonathan Kourie

« Un des principaux facteurs qui m’a attiré s’avère l’emplacement extraordinaire du projet. Pour l’instant, nous avons l’intention de louer notre condo et cela permettra aux gens qui l’occuperont de ne pas posséder de voiture. Tout se fait à pied en moins de 10 minutes. J’ai même recommandé le projet à quelques amis. Le processus d’achat était très simple et rapide. J’ai choisi quelques options supplémentaires. C’est de loin la formule la plus intéressante que j’ai vue dans la Ville ».

« C’était mon premier choix d’emblée parce que le Arthaus est situé juste à côté du centre commercial Rideau, de l’Université d’Ottawa et du marché Byward. Quand je vais y emménager, je vendrai peut-être ma voiture et me servirai de mon vélo pour aller au travail. Cela représente le scénario parfait. Le Arthaus me procure tout ça en plus d’être un endroit absolument magniﬁque qui offre une expérience hors pair. J’ai aimé le processus d’acquisition, je suis ravi d’obtenir un comptoir en quartz et n’ai pas senti le besoin de faire des choix supplémentaires. »

« Le simple fait que le projet était situé dans le centre-ville, à proximité de tout, représente une occasion à saisir, que ce soit pour y vivre ou qu’il s’agisse d’un simple investissement. J’apprécie beaucoup la proximité avec le marché Byward, un des plus vieux au pays. J’ai approché un ami pour qu’il investisse avec moi mais il s’est porté acquéreur lui aussi. Tout s’est très bien déroulé. J’ai déjà eu une mauvaise expérience par le passé. Mais cette fois, tout était franchement fantastique. »

RACONTE-MOI L’HISTOIRE

ATELIERS CASTELNAU Salle de récréation. Institut catholique des Sourds-Muets, Montréal.

Montreal Guide Condo

montrealguidecondo.ca

RETOUR VERS LE PASSÉ

uand Stéphane Côté, président de DevMcGill a débuté sa carrière de promoteur immobilier, c’était avant tout parce qu’il était habité par le désir de sauvegarder le patrimoine architectural montréalais, et la volonté de voir s’inscrire une continuité dans le temps. La pierre calcaire, les volutes géométriques, les mansardes encastrées, ces bâtiments lui rappelaient un passé pas si lointain qui le charmaient et l’envoûtaient. Le projet Ateliers Castelnau n’était pas pour échapper à ce refrain. Au ﬁl du temps, après avoir réalisé plusieurs projets à caractère historique DevMcGill est passé maître dans l’art de créer des espaces de vie urbains, contemporains et adaptés au style de vie de la population montréalaise. Les projets Couvent Outremont sur les ﬂancs du Mont-Royal et le Caverhill, le 777 et l’Orléans dans le Vieux-Montréal ou encore les condos éco-énergétiques Square Benny dans Notre-Dame-de-Grâce sont des réalisations qui témoignent de ce savoir-faire. Ces projets d’envergure ont tous reçu divers prix de distinction. C’est donc sans surprise que lors de la reconversion de l’Institution des sourds-muets

DevMcgill Magazine

de Montréal devenue, en 2012, les condos Castelnau, l’équipe de DevMcGill et TGTA ait décidé de conserver le dernier bâtiment du lot, soit l’atelier des sourds…

Bref retour sur une longue histoire Au début du XXe siècle, les Clercs de Saint-Viateur font l’acquisition d’un terrain à l’ouest du boulevard Saint-Laurent. Entre 1916 et 1921 est construit le bâtiment principal de l’Institution des sourds-muets et en 1926, celui des ateliers situé sur la rue De Castelnau. L’école ouvre ses portes à l’été 1921 pour donner une éducation catholique variée aux jeunes aﬁn « qu’ils deviennent d’utiles citoyens dans la société ». Des ateliers de cordonnerie,

De la marqueterie un peu abimée et des vestiges qui nous parlent d’un édiﬁce où l’action était au rendez-vous!

menuiserie, imprimerie, couture, forge, peinture sont offerts dans les bâtiments adjacents au bâtiment principal. S’en suivent plusieurs modifications et agrandissements aux bâtiments à partir du milieu des années 40. La vente de plusieurs parcelles de terrain par les Clercs de Saint-Viateur après 1971 a permis au secteur de changer de vocation et de se renouveler. La transformation des deux premières phases de l’Institution, le bâtiment principal d’origine et les phases subséquentes (IV) sont maintenant terminées et habitées. Quant à l’ancien bâtiment des ateliers de l’Institution des sourds-muets, il fera partie du nouveau projet immobilier récemment mis en vente, soit les Ateliers Castelnau. L’édifice a vu passer des centaines d’enfants et jeunes adultes en formation pour acquérir un métier puis, plusieurs organismes voués à la société pour, à la toute fin, accueillir l’imprimerie Litho Acme qui fût le dernier et digne habitant des lieux, digne parce que les travaux graphiques réalisés là étaient de qualité supérieure.

Transformation sans prétention Ainsi, au fil des prochaines années, l’édifice historique au caractère signifiant retrouvera ses lettres de noblesse. Le traitement architectural symétrique ainsi que sa composition architecturale ordonnée et régulière combinées à l’emploi de la pierre calcaire montréalaise lui conférant une sorte de digne noblesse retrouveront leur air de jeunesse. C’est donc un bâtiment qui revêt une valeur patrimoniale

Un escalier en Terrazzo, nos mémoires nous font entendre les jeunes chaussures se culbuter au son de la cloche.

incontestable, sa transformation n’en sera que plus crédible et pleine de sens… Le bâtiment étant laissé à lui-même depuis plusieurs années, l’équipe de Montreal Guide Condo sentait, au-delà des relents du passé, la nécessité de partager l’état des lieux tel qu’il est avant que les plans et devis tous neufs remplacent cette structure abandonnée en instance d’une renaissance.

Tour guidé d’un lieu vidé En ce jour d’avril québécois, l’endroit était humide et sombre, il fallait beaucoup de volonté pour franchir ces barrières mais l’effort en valait la peine… À travers le méandre de l’abandon, se laisse deviner une structure droite et ﬁère, qui garde les traces d’un passé riche. C’est facile de deviner que les futurs occupants, malgré la mise à jour totale de l’édiﬁce, sentiront le privilège d’habiter un lieu témoin de l’histoire de Montréal.

Ressusciter le passé La phase 5 d’Ateliers Castelnau sera indéniablement un petit bijou dans le projet… Dernière phase de ce complexe d’ampleur, elle dotera l’endroit d’un héritage historique signiﬁcatif. Pour réserver une unité dans cette phase dédiée à l’authenticité et à l’histoire, veuillez vous inscrire sur le site Web.

atelierscastelnau.com

L’INTELLIGENCE DU MARKETING

LA PETITE HISTOIRE DU MARKETING IMMOBILIER, OU...

Isabel Coutu Silo Communication

silocommunication.ca

POURQUOI EMBALLER UN PRODUIT EMBALLANT

n 2017, nul ne vend sans un effort marketing significatif. Du caleçon Calvin Klein à la voiture de luxe Ferrari, tous les objets de notre consommation sont assujettis aux mêmes préceptes de la mise en marché. Ces règles, selon leur application, sont soit un gage de succès ou celui d’un échec retentissant (non, nous n’oublierons jamais le flagrant insuccès du ketchup vert), car au-delà du produit en soi, nous achetons une image. Dans la mesure où l’humain a aujourd’hui la durée d’attention d’un poisson rouge, les enjeux du marketing sont plutôt corsés; comment interpeller, captiver, et éventuellement convaincre notre humain client potentiel? Regardons comment une agence, avec la complicité d’un promoteur immobilier, peut réussir à faire d’une unité qui n’existe pas encore dans un édifice dont la construction n’est pas encore amorcée, l’objet d’une extrême convoitise.

Autres temps, autres mœurs Autrefois, à Montréal, il y a de cela guère plus de 20 ans, les promoteurs immobiliers ne s’affublaient pas vraiment d’une équipe marketing pour vendre des habitations neuves. La stratégie était plutôt réduite à sa plus simple expression : on trouvait un nom au projet; on esquissait une sorte de logo; on plantait une afﬁche sur le terrain; et on complétait avec un représentant commercial

installé dans un genre de roulotte. C’était souvent au représentant, à l’aide de plans vaguement photocopiés et parfois d’une maquette, que revenait le rôle de porteur de rêve. Celui-ci devait posséder un bagou hors de l’ordinaire et une gestuelle descriptive aﬁn de réussir à convaincre ses clients potentiels que le champ devant eux serait bientôt l’objet de leur désir, la maison de leurs rêves.

Coup dur pour l’économie Avec la récession de 1980-82 qui a amené une inflation galopante et des taux d’intérêt touchant les 17-20 % dans l’univers des hypothèques, puis celle de 1990-92 avec son taux de chômage atteignant une pointe à 14,2 %, l’univers du marché immobilier montréalais s’est significativement modifié. Le prix moyen d’une maison unifamiliale est passé de 48 519 $ en 1980 à 100 406 $ en 1990 (pour finalement se situer à 382 500 $ en 2016). En réponse à la léthargie du marché engendrée par ces récessions, les promoteurs

Nous sommes spécialisés en propulsion immobilière. Nous aimons jouer dans le marketing et sommes très habiles dans les Internet. Ce qui nous différencie vraiment est sans aucun doute nos cinq répertoires immobiliers et leurs blogues. silocommunication.ca

« SiLO ajo

de folie ute son grain

et vous obtenez une idée de génie... »

L’INTELLIGENCE DU MARKETING

ont rapidement dû passer en mode séduction auprès de leur mince clientèle potentielle. Outre le programme lancé par le gouvernement fédéral annonçant la création d’un régime spécial d’accession à la propriété (RAP) permettant aux acquéreurs de retirer, sans impôt, jusqu’à 20 000 $ de leur Régime enregistré d’épargne-retraite (REER) comme mise de fonds pour acheter ou construire une propriété, le coût d’accès à une maison neuve est devenu exorbitant, surtout quand il fallait compter sur un taux d’intérêt sur hypothèque de plus de 10 %.

Stratégie et révolution Dès les années 90, plusieurs promoteurs immobiliers ont pris un virage drastique en s’équipant des outils nécessaires pour parfaire la mise en marché de leurs projets emballants. Des spécialistes étaient désormais mis à contribution afin d’établir un plan marketing exhaustif pour s’assurer du juste positionnement du projet à venir. Le marketing immobilier est né, composé de l’ensemble des méthodes et stratégies utilisées afin de prévoir et anticiper les besoins de la clientèle du marché et s’y adapter. Dorénavant, on s’attardera à définir la marque du projet, son positionnement, ses valeurs, rien ne sera laissé au hasard. Plusieurs mois seront nécessaires afin de réaliser études et recherches pour établir précisément que sera ce projet, à qui il s’adressera, et finalement son ADN spécifique. Par exemple, nous sommes en ce moment à préparer la naissance d’un nouveau projet de DevMcGill. Pour ce faire, une équipe de sondeurs a foulé le sol du quartier ciblé afin de recueillir les commentaires des gens l’habitant, ce qu’ils aiment et ce qu’ils voudraient améliorer. Cette étude permet de mettre en lumière les cordes sensibles des clients potentiels. Plus tard, ces données seront transmises aux créatifs, pour être la racine d’un long processus de création. Au fil des jours, tous les aspects de la mise en marché seront perfectionnés afin d’arriver à une définition du nouveau projet la plus précise possible. DevMcgill Magazine

LES ÉTAPES SUIVANTES SERONT NÉCESSAIRES À LA NAISSANCE DE L’IMAGE DE MARQUE : • Une étude de marché sur les résidents actuels et futurs du quartier • Des groupes de discussion pour tâter le pouls des résidents • Une évaluation démographique qui aidera à ﬁxer prix et dimensions des unités pour les clients cibles • Une analyse de la concurrence • Une charte des points forts et des points faibles du projet aﬁn d’être réaliste dans les présentations • Un nom • Une signature graphique (logotype, couleurs, site web, signalisation, publicité)

• Un programme de visibilité /publicité.

Ainsi, en arrivant avec une image claire et précise, il sera facile d’utiliser différents leviers publicitaires tels que des panneaux d’afﬁchage, des publicités web ou papier, les réseaux sociaux, des événements, et plusieurs autres aﬁn d’établir la marque du nouveau projet et lui donner une crédibilité. En 2017, vendre briques et mortier au consommateur n’est plus de mise. Le déploiement d’une mise en marché bien établie permet au promoteur immobilier de porter un rêve précis et détaillé au consommateur. Ainsi, le futur résident est conquis par le mode de vie que l’on y propose et est capable de se transposer dans cet univers imaginé, où tout est en place pour exprimer le devenir de ce projet, qui ne sera réalité que dans plusieurs mois.

INSPIRATION ITALIENNE

Par Madeleine LeBlanc

Ariana Lelli Mami, Chiara Di Pinto

studiopepe.info

STUDIOPEPE :

DE LA GRANDE VISITE

Elles sont d deux belles Italiennes à repenser nos repères, à revis revisiter un certain art de vivre, à proposer une ffaçon inusitée de mettre la table, de redéployer l’espace, de revoir les couleurs et de redéﬁnir les objets. Studiopepe se joue des codes et se plait à réinventer les usages. Avec soin, de façon réﬂéchie, humour en prime et précision obligée. L’univers qui se dégage de leur travail est feutré, théâtral et invitant.

Des représentantes de DevMcGill ont eu la chance d’assister récemment à la Master Class organisée par Index-Design et tenue à l’hôtel W. Le duo de designers à la tête de ce fameux Studio, Ariana Lelli Mami et Chiara Di Pinto, ont séduit les nombreux aﬁcionados réunis par leur vision affûtée et leur design pertinent. Ces chevronnées créatives consultantes s’adonnent à une recherche poussée de l’intimité comme en fait foi leur plus récente proposition The visit exposée au dernier Salon annuel du meuble de Milan qui, accessoirement, s’avère leur alma mater. Ferventes de ce qu’elles appellent l’archéologie du futur, les deux designers croient fermement à l’importance de se tourner vers le passé pour produire du neuf. Elles s’emballent pour les contrastes vieux/nouveau, fragilité/dureté. La maturité qu’elles ont acquise à force de frayer avec ce que la planète compte parmi les plus grandes pointures en design, les autorise à croire qu’elles entrent dans une nouvelle ère qui pourrait même donner naissance à un manifeste. Longue vie à la vision Studiopepe !

SILVIA RIVOLTELLA

LE TOUR DU PROPRIÉTAIRE

PLACE DES ARTS 46

Par Madeleine LeBlanc

Cette vue me rappelle le fameux tableau de Seurat “Un dimanche après-midi à l’île de la Grande Jatte”», évoque cette résidente, consultante en art, critique et commissaire, lorsqu’elle s’approche de sa fenêtre plain-pied pour contempler la fontaine du Parc Jarry. « J’aime aussi le va-et-vient des gens. C’est rare une perspective semblable à Montréal », remarque la globe-trotter dont les éclats de rire fendent l’air à un rythme régulier. Disposée à présenter son spectaculaire espace lumineux situé au rez-de chaussée du Castelnau III, dont elle apprécie la grande qualité, elle m’explique les motivations de ses choix en prenant place sur un magniﬁque canapé couleur émeraude signé par la designer française Inga Sempé pour la ligne Roset. Ce petit bijou a été rapporté de Paris où sa proprio a résidé à quelques reprises au cours des 10 dernières années. Autre reliquat ? Une jolie table basse italienne (Roberto Lazzeroni

DevMcgill Magazine

de la série Flowers) aussi contemporaine que l’ensemble du mobilier choisi avec soin pour meubler cet espace ouvert, tout blanc, très aéré. Les plafonds ont une hauteur de 11 pieds ce qui confère à l’ensemble beaucoup d’amplitude et contribue au sentiment de bien-être qui se dégage des lieux. Des rangements modulaires abritent les nombreux ouvrages dont disposent les maîtres de céans. Une série de bustes du célébrissime compositeur allemand Beethoven les ornent.

Le parc Jarry se déploie sur plus de 36 hectares de verdure.

Créée par le mari de mon hôtesse, un artiste spécialisé en art conceptuel, l’œuvre Roto-Beethoven domine avec superbe cette pièce. Tout près, prennent place un petit secrétaire et la chaise ‘végétale’ des talentueux frères bretons Ronan & Erwan Bourellec. Autres sièges, des chaises Eiffel, du couple Eames, réédités par Herman Miller, encerclent la belle et sobre table à manger constituée de bois. Attenante, la cuisine étincelante respecte le camaïeu avec ses armoires lustrées et son comptoir de quartz neige. Petite incartade, les planchers de lattes de chêne sont teints noir « caviar ». Très franc, ce contraste frappe par son audace et donne de l’aplomb à la savante combinaison. De nombreuses œuvres d’artistes contemporains égayent l’ensemble de la résidence. « Je ne suis pas une collectionneuse » précise toutefois mon interlocutrice. « La plupart de ces œuvres m’ont été offertes par les artistes eux-mêmes. J’ai travaillé avec plusieurs d’entre eux et pour certains, c’était là une façon de me remercier. » Elle ne saurait mieux leur faire honneur qu’en les exposant dans ce foyer où elles se trouvent si bien mises en valeur.

DOSSIER REVÊTEMENTS

PIERRE QUI ROULE N’AMASSE PAS MOUSSE

RÉINVENTER LES BASICS. Louise D’Amours, Directrice des communications Céragrès

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es revêtements de surface permettent de conférer beaucoup de caractère à une pièce. Ils donnent le ton et assoient l’ambiance. Il y a beaucoup de temps de consacrer à la recherche aﬁn de mettre au point des matières dans divers formats et couleurs. De nouveaux produits font continuellement leur entrée sur le marché. Voici un aperçu de certaines de nos plus récentes acquisitions. La pierre a la cote INNE R

Des mouvements marbrés et des couleurs riches et naturelles, voilà des qualités presque essentielles à retrouver dans les espaces contemporains-modernes. Ses trois teintes de gris sont inspirées de la pierre naturelle qui est au premier plan dans un loft urbain. PO RT RAITS

Une collection qui met en valeur le look de différentes pierres ayant en commun une chose : la beauté de la nature. Des couleurs riches de nuances et des formats modulables XXL pour créer un look uniforme avec moins de joints.

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Texture unique L AYE RS

Une collection originale inspirée des textiles. En vedette: les teintes chaudes et froides incluant « Trend », le bleu le plus en vogue de l’année. Ses tons neutres légèrement texturés ne passeront pas inaperçus dans des pièces comme votre salon et votre chambre.

Motifs, motifs et motifs G O NE

Les motifs audacieux rétro et graphiques reviennent en force dans les décors de cuisines, salle de bain et vestibules. La Gone vous donne la possibilité de choisir parmi ses 12 motifs et ses trois couleurs que vous pouvez mixer ou non selon votre style !

DevMcgill Magazine

LES CHOIX DE MARIE-SOLEIL

ÉCLECTIQUES,

Mordue de design, l’animatrice Marie-Soleil Michon (Ça vaut le coup, Télé-Québec, Le show du retour, Rythme FM) apprécie les belles choses.

ÉCLAIRÉS, ÉPURÉS ET CRAQUANTS

Ses coups de cœur font la belle part à la délicatesse et au rafﬁnement. « J’aime découvrir la production de nouveaux artisans. Je suis une dénicheuse dans l’âme et je me fais un point d’honneur d’offrir la perle rare aux gens que j’aime. » Parmi ses préférés, on dénote quelques artisans ayant participé à notre marché mensuel. Comme quoi, de la suite dans les idées et un coup de pouce aux gens de talent restent au cœur de ce qui anime Marie-Soleil.

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Présente à chacun des très courus Marchés créatifs Ateliers Castelnau, Marie-Soleil a à cœur la diffusion du travail bien fait et croit mordicus à l’importance d’acheter local.

1 AUBEPINE COLLECTION Verres en céramique : 17,38 $ +

atelierscastelnau.com

5 LES TOUILLEURS Torchon : 16 $

2 DECADISME Sac à plats : 49 $ 3 AJMETISSAGE Carafe à eau : 80,62 $ 4 KIOUKIOUT Guirlande en cœur : 30 $ +

6 MES DIX DOIGTS BOUTIQUE Murale en macrame : 45 $

Encouragez les créateurs d’ici ! ÉTÉ

URBANISME ET SOCIÉTÉ

« UNE VILLE N’EST JAMAIS PLUS “VERTE” QUE SES CITOYENS ». – Gehl Architects

ET SI... LA BEAUTÉ Carlota Pederson-Madero architecte, Gehl Architects

gehlpeople.com

Par Madeleine LeBlanc

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RENDAIT HEUREUX

et essai, paru récemment et regroupant des entretiens entre l’architecte Pierre Thibault et l’éditorialiste François Cardinal, a fait l’objet d’une conférence éponyme dans le cadre du récent Sidim (Salon International de design d’intérieur de Montréal). La ravissante architecte argentino-danoise Carlota Pedersen-Madero de la légendaire firme Gehl Architects, sise à Copenhague, a pris part à la présentation notamment pour statuer de la nécessité de surmonter les contraintes nordiques afin de profiter pleinement de toutes les saisons.

Sans trop de surprise, nous avons constaté que le trio a unanimement fait l’apologie de l’importance de mettre de l’avant une vision d’ensemble pour guider les décideurs vers de nouvelles solutions. S’appuyant abondamment sur les nombreuses initiatives adoptées par la capitale danoise, Madame Pedersen-Madero a illustré, à l’aide de moult exemples, les stratégies déployées tous azimuts par la Ville pour « inviter » les citoyens à rouler à vélo ou à emprunter les transports en commun pour se déplacer. Concevoir des villes à échelle humaine, mettre de l’avant un plan qui respecte quatre qualiﬁcatifs commençant par la lettre C – cohérent, connecté, continu, confortable – et promouvoir la mobilité verte seraient l’essence d’un projet de vivre-ensemble réussi.

À cet égard, Copenhague remporte la palme haut la main tant les nombreux efforts, mis de l’avant depuis les années 30, ont porté fruit. Un réseau hyper développé de pistes cyclables y est en constant développement. Du coup, 60 % des résidents se rendent au travail à vélo (faut-il préciser que l’achat d’une voiture se voit taxer à 200 % et que le coût du stationnement dans le centre-ville est tout simplement prohibitif). L’aménagement des berges, la création de rues piétonnes, l’éducation civique (les enfants peuvent obtenir un permis de conduire leur vélo à l’âge de 7 ans) font partie des éléments intrinsèques de ce plan d’ensemble qui semble avoir à cœur d’élever autant que possible l’indice du bonheur des citoyens. Pari relevé puisque les Danois, de par une multitude de facteurs, constituent le peuple le plus comblé de la planète. Comme si la beauté rendait heureux !

C R É AT I O N S QUÉBÉCOISES LUMINAIREAUTHENTIK.COM INFO@LUMINAIREAUTHENTIK.COM 514.662.0352

PORTRAIT DE QUARTIER

DIX ADRESSES INCONTOURNABLES POUR SAVOURER CE QUARTIER RECHERCHÉ.

Barbara Sainte-Marie, Courtier immobilier, Re/Max du Cartier

barbarasaintemarie.com

ROSEMONT, «JE T’AIME !»

arbara bara S Sainte-Marie habite Rosemont depuis plus de dix ans. x-résid L’ex-résidente du Plateau a été parmi les premiers a essaimé vers quart un quartier de plus en plus prisé. À consulter la liste de ses endroits préféré préférés, on a envie de faire de même !

Par Éric Béland

« Rosemont est un quartier très verdoyant, familial, moderne, vivant et même précurseur de tendances » soutient-elle.

des habitations est en constante progression et le quartier est très en demande. Il fait vraiment bon y vivre ».

Sa profession de courtier immobilier l’amène, bien sûr, à sillonner les rues de l’agglomération chaque jour. Ainsi, elle parcourt Rosemont avec ses clients depuis 1990.

Parmi les nombreuses adresses qu’elle affectionne particulièrement, plusieurs se trouvent à proximité les unes des autres.

« Rosemont est au cœur de l’Île. Son emplacement est enviable. Avec le parc Maisonneuve et le Jardin botanique à proximité, les fervents de la nature sont comblés. L’arrondissement a le vent dans les voiles. La valeur

Crédits photos: Caroline Roberge

LABARAKE

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« La rue Masson n’a rien à envier à l’avenue Mont-Royal. La mixité des commerces et de la population est très agréable à côtoyer, et ici, les bonnes adresses se multiplient ». Barbara nous dévoile ses adresses fétiches. Bonne découverte !

HOOGAN & BEAUFORT

BOULANGERIE-CAFÉ BO

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Mamie Clafoutis Angus – 4093, rue Molson M L La célèbre boulangerie artisanale y a aussi pris ra racine. Déjà une institution dans Rosemont.

mamieclafoutis.com m LES EMBALLÉS

REST RESTAURANTS OÙ VOIR ET ÊTRE VUS !

Pots Masson – 3141, rue Masson Po Un menu varié à moins de 5 $, matin, midi mid et soir (la terrasse est sympathique !)

potmasson.com potm La boulette – 2223, rue Beaubien Est

À quelques pas du Cinéma Beaubien, l’endroit l’en idéal pour savourer un burger gourmet gou ou un excellent tartare.

laboulette.ca labo

7 8 9 10 SAVEURS SAVE

Le marché Angus – Rue William Tremblay près du Parc Jean-Duceppe

Une U trentaine d’exposants qui proposent une variété de produits frais attirent plus de 1000 visiteurs chaque vendredi. Tous les vendredis jusqu’au 27 octobre de 15 h à 19 h

lautremarche.weebly.com

Hoogan et Beaufort – 4095, rue Molson Le restaurant du chef vedette Marc-André Jetté et son so complice le sommelier William Saulnier propose prop une cuisine qui met en valeur les produits p régionaux. Légumes, viandes ett fruits fr de mer du Québec. Un espace et des plats incroyables.

hooganetbeaufort.com oog

Odessa Poissonniers – 4900 rue Molson Ode Une p poissonnerie grande surface qui offre une la large variété de produits de la mer.

LA MANSARDE BLEUE

SAVIEZVOUS ? Rosemont compte plus de 60 parcs (parcs récréatifs, de détente, aires de jeux, parc-école, places publiques, etc.) Totalisant plus de 2 225 000 m2 d’espaces verts. Jardin botanique : 713 126 m2 Parc Maisonneuve, avec le golf : 802 588 m2

ville.montreal.qc.ca

odessapoissonnier.com odessa BOUTIQUES

Les Emballés – 2381, rue Beaubien Est

Labarake – 3165 Rachel Est

Une ancienne caserne de pompier convertie en resto branché. Une cuisine inspirée des brasseries bras françaises. Terrasse magniﬁque et stationnement st à profusion.

labarake.com laba

Un pe peu plus au nord, pour dénicher un cadea cadeau qui saura plaire autant à la carriériste chic qu’au carnivore urbain, cette boutique de type café a une sélection de produits pour ttous les goûts. Et le personnel est vraiment enthousiaste.

Une petite ca caverne d’Ali Baba aux trésors uniques. Cett Cette boutique promeut les talents québécois et propose ses dernières trouvailles d’un peu par partout à travers le monde.

DevMcGill lancera un nouveau projet sous peu dans Rosemont. Inscrivez-vous sur notre site et soyez les premiers informés :

mansardebleue.com mansardeble

DevMcGill.com

lesemballees.com

BRAS BRASSERIE 5-7 o

Quai n 4 – 2800, rue Masson Qua

Resto esto de quartier aux airs de brasserie. Plats rustiques, ambiance festive et jeune.

/ quaino4.ca

PROJET À VENIR !

La Mansa Mansarde bleue – 2563 Beaubien Est

STYLE DÉCO

KARTELL

Par Madeleine LeBlanc

Gérant : Tat Chao, designer industriel, diplômé de l’Université de Montréal et incollable exégèse des trésors de l’enseigne installée à Montréal depuis l’année dernière.

« Le souci du détail, de la ﬁnition et de l’exploration formelle ne cessent de m’éblouir. Les meubles, lampes et accessoires de Kartell font tous preuve d’une élégance incontestable peu importe qu’ils soient pour la plupart, constitués en plastique. L’image de marque est très éclectique. On passe d’objets simples et minimalistes à des statements colorés, bling-bling et ludiques ».

UN JOUEUR ÉTOILE PRÈS DE CHEZ VOUS. Kartell y a élu domicile récemment et contribue ainsi à conférer à Grifﬁntown l’étoffe des ligues majeures en matière de déco !

Sa simple bannière fait saliver tout bon mordu de design. Créé en Italie peu de temps après la deuxième mondiale, Kartell est devenu au ﬁl du temps synonyme de qualité, d’originalité et d’un zeste d’irrévérence bien dosée. La star Philippe Starck compte au nombre des happy few qui voit son carnet de commandes millésimé systématiquement. Il produit ainsi pour la légendaire bannière, deux ou trois créations annuelles parfois cocasses, souvent astucieuses toujours trop bien pensées. L’Espagnole Patricia Urquiola et le Japonais Tokujin Yoshioka font aussi partie de cet aréopage de designers élus au sélect cénacle.

Celui qui ﬂanche pour le révolutionnaire banc Uncle Jim (Starck) raffole de la philosophie derrière tous ces bons coups : créativité, ouverture d’esprit, recherche formelle et nouvelles technologies en perpétuelle évolution.

Kartell – 120 rue Wellington

Chez DevMcGill, nos designers Sophie Chignac et Nadia Palumbo se réjouissent aussi de cette arrivée prestigieuse.

montreal@kartellﬂag.com

D’ailleurs, Nadia croit que :

« Plus l’offre est riche et variée plus le design haut de gamme pourra gagner le cœur des gens ».

1 De gauche à droite : COLONNA : tabouret-table d’appoint, design Ettore Sottsass, KABUKI : lampe sur pied, design Ferruccio Laviani, LARGO : Sofa, design Piero Lissoni, INVISIBLE : table basse, design Tokujin Yoshioka, JOE COLOMBO : fauteuil, design Joe Colombo 2 KABUKI : design Ferruccio Laviani 3 COMPONIBILI : design Anna Castelli Ferrieri 4 PIUMA : design Piero Lissoni

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DOSSIER PORTRAIT

JEU DE HASARD

Par Éric Béland

QUAND LE BINGO MÈNE À ATELIERS CASTELNAU ! ui aurait prédit qu’un après-midi au bingo allait permettre à Caroline Roberge d’accéder, quelques années après, à la copropriété. L’anecdote Printemps 2007 : deux amis complices, une sortie folle impromptue et voilà qu’au 50e et dernier tour, avec le numéro G-59, a retenti dans la salle, au grand dam de l’auditoire, le très expressif «BINGOOOO ! ». Caroline et Mathieu venaient de remporter la cagnotte. Dix ans plus tard, elle a transformé sa part du gâteau en investissement.

« J’ai toujours voulu devenir propriétaire ». Caroline, toute ﬁère, lors du lancement du nouveau projet immobilier Ateliers Castelnau.

« Cela a été un coup de foudre! Lorsque j’ai vu l’emplacement du projet immobilier Ateliers Castelnau, j’étais sous le charme. ».

atelierscastelnau.com

« Le projet satisfait entièrement mes besoins ».

Vous pouvez suivre cette passionnée de la photo qui croque sous l’œil vif de sa lentille tous les recoins de la ville. De Rosemont au Vieux-Port en passant par son futur quartier, le Mile-Ex. Caroline alias

/ @ﬁlledesregions

Tout a déboulé très vite, en moins de deux semaines elle est devenue copropriétaire.

Tous ses centres d’intérêts sont à proximité. Le marché Jean-Talon et ses saveurs, la Petite Italie et sa bonne cuisine et le Parc Jarry, avec ses espaces verts, deviendra assurément la plus belle des terrasses.

« J’ai préféré troquer les pieds carrés pour la situation géographique. En immobilier on dit toujours qu’il faut mettre l’accent sur : location, location, location ! » Caroline sait qu’elle a fait le bon choix. Les espaces sont bien pensés, il n’y a pas de pertes en couloirs. La qualité des matériaux, et la réputation des constructions DevMcGill l’ont rassurée. Un condo bien ancré dans son ère, avec le Wiﬁ dans le lobby, la domotique intégrée, un atelier de vélo et des espaces multifonctionnels, il n’en fallait pas plus pour la convaincre.

«Devenir propriétaire, c’est faire de l’économie intelligente. J’habiterai un espace qui prendra de la valeur et je cesserai d’enrichir les autres ». Caroline a certes une bonne étoile, mais entre le bingo et Castelnau, il y a surtout beaucoup de ﬂair et l’audace de transformer sa chance en occasion dorée.

« Ça me prend le métro dans ma cour ». Sa vie se passe sur la ligne bleue. Elle est archiviste médicale à l’hôpital Sainte-Justine. En choisissant les Ateliers Castelnau, elle se rapproche de son travail et par le fait même d’une belle qualité de vie. Le métro est à deux pas.

Bonne première ! Caroline est une gagnante. Elle est la première à avoir signé pour l’achat d’une petite unité de 425 pieds carrés aux Ateliers Castelnau.

Avril 2007, Caroline et Mathieu, deux amis de longue date, savourent leur moment magique dans le salon des gagnants de Loto-Québec.

Crédits : photo extérieure: Caroline Roberge / photos intérieures : Michel Bonomo

DOSSIER PANORAMA

HABITAT 67: Collaboration spéciale Jeff Lee

Towertrip.com

LE PROJET QUI BRILLE PAR SON MYSTÈRE

rigé sur la jetée de terre de la Cité du Havre servant autrefois à protéger le port des embâcles et des colères du fleuve Saint-Laurent, Habitat 67 nous fascine depuis plus de 50 ans, perché sur son rocher. Tous rêvent évidemment d’y mettre les pieds, mais peu ont généralement accès aux propriétés exclusives. C’est pourquoi lorsque le courtier immobilier Martin Rouleau de la bannière Engel & Völkers a récemment mis en marché cette unité époustouflante, tous étaient ravis ! Immortalisée ici par le photographe Michel Bonomo, on peut y apprécier la finesse et le goût des intérieurs. D’une beauté et d’une simplicité calmante, avec un décor qui nous donne envie de flotter dans cet endroit qui est en quelque sorte à l’abri du temps.

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DÉTOUR TECHNO

LE CONDO INTELLIGENT LE CONTRÔLE DU CHAUFFAGE ET DE L’ÉCLAIRAGE EN TOUT TEMPS, OÙ QUE VOUS SOYEZ. Collaboration voir le parfait contrôle sur le chauffage et l’éclairage, peu spéciale importe où l’on se trouve, est maintenant à la portée de tous. Isabelle Moreau Les thermostats et produits d’éclairage de Sinopé Technologies vous permettent de mieux contrôler les coûts d’énergie et de gérer sinopetech.com le chauffage et l’éclairage de votre condo, tout en s’intégrant parfaitement à votre décor et à votre style de vie.

Vous simpliﬁer la vie Grâce à sa plateforme neviweb®, vous pouvez contrôler à distance vos thermostats, une lumière ou des groupes de lumières à partir de n’importe quel appareil mobile ou ordinateur. Par neviweb®, il ne vous faut que quelques secondes pour régler différentes périodes de programmation et les copier à d’autres appareils. De plus, neviweb® est l’outil essentiel pour les utilisateurs qui désirent analyser leurs coûts d’électricité. Grâce aux historiques de consommation d’énergie, l’utilisateur peut générer des graphiques pour une période de 24 heures ou 30 jours.

L’affaire d’un seul clic Pour les grands voyageurs ou propriétaires de chalet, il est possible, à l’aide d’une seule touche, de conﬁgurer à distance les thermostats en mode ABSENT pour abaisser la température du condo et réaliser d’importantes économies d’énergie, ou de les mettre en mode PRÉSENT

pour retrouver une demeure chaude et confortable au retour. Lors de vos déplacements, activez le mode SIMULATION DE PRÉSENCE. Ce mode allume et éteint les lumières de façon aléatoire entre le coucher du soleil et minuit pour simuler une présence. Idéal comme mode de dissuasion contre des personnes mal intentionnées. Neviweb® comporte également un générateur de SCÈNES. Cet outil simple et puissant permet d’associer les actions de plusieurs interrupteurs : très pratique, par exemple, pour éteindre toutes les lumières en une seule opération. Il est maintenant possible de créer une ambiance pour chaque moment de la journée. Sinopé travaille présentement au développement de plusieurs autres produits de contrôle compatibles neviweb® pour la maison qui sauront répondre à la demande du marché pour des produits intelligents simples d’utilisation et performants.

VENEZ VOIR SUR PLACE !

Ces deux produits intelligents sont en démonstration dans le condo modèle des Ateliers Castelnau.

atelierscastelnau.com

Bientôt à

Rosemont Angus une

maison

à votre