LIMITES DE L’ETUDE Bien que le sous-bassin versant étudié a été déterminé sur base des lignes de crêtes et des aléas d’inondations (flux d’eau), il aurait été utile de le déterminer et/ou de le valider avec un hydrologue afin d’avoir une précision accrue. Selon la même logique, une étude hydrologique poussée s’avère nécessaire afin de pouvoir déterminer avec plus de précision les volumes d’eau à gérer. L’absence de consultation de la population. Un atelier de cartographie participative aurait permis de mettre en évidence des endroits forts/marquants avec les riverains et d’affiner ainsi le travail d’analyse pour prendre ensuite ces espaces en considération dans la phase de projet. Absence de données précises pour les coeurs d’ilots/parcelles privées menant à une difficulté d’élaborer des aménagements dans ces espaces
CONTRIBUTION INDIVIDUELLE Le travail de réflexion a été réalisé à l’échelle du bassin versant permettant ainsi de prendre en compte le cheminement de l’eau dans sa totalité afin de proposer des réponses à plusieurs enjeux. L’approche multiscalaire permet de se rendre compte de l’efficacité des interventions et de la complémentarité des différentes typologies d’espaces. Mise en évidence de l’obsolescence du réseau d’égouttage et de la nécessité de perméabiliser l’espace urbain pour prévenir des inondations pluviales. Mise en évidence de la complexité d’aménager l’espace public avec des ouvrages de gestion intégrée des eaux pluviales (jardin de pluie, arbre de pluie, ...) à cause des contraintes liées à la position des impétrants ainsi que par les contraintes intrinsèques aux propositions d’aménagements. Aménagements plurifonctionnels : certains ouvrages gèrent stricto senso les eaux pluviales tandis que d’autres sont également appropriables et utilisables par les populations. Réalisation d’une boîte à outils analysant les différents types d’aménagements exploitables en gestion intégrées des eaux pluviales. 22.
