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LE POTENTIEL DE L’HYDROGÈNE VERT RÉALISÉ AVEC L’ACIER INOXYDABLE AU NICKEL

L’hydrogène est 14 fois plus léger que l’air. Incolore, inodore et non toxique, il brûle sans résidu en produisant une flamme tout aussi incolore. Il reste gazeux jusqu’à -253 °C, en deçà de quoi il se liquéfie. C’est un élément très réactif qui se rencontre seulement sous forme liée, par exemple à lui-même dans une molécule d’hydrogène, à un atome d’oxygène dans une molécule d’eau ou à un atome de carbone dans une molécule de méthane.

Dans le remplacement des combustibles fossiles, l’hydrogène vert offre un potentiel presque illimité et il contribuera de manière essentielle à atteindre la neutralité carbone. Et l’acier inoxydable au nickel l’accompagne durablement sur la voie de la neutralité climatique.

La production d’hydrogène pur nécessite elle-même beaucoup d’énergie. On produit chaque année dans le monde 30 millions de tonnes d’hydrogène gris à partir de combustibles fossiles tels que le gaz naturel ou le pétrole, principalement par vaporeformage.

Il s’agit d’un procédé convertissant de l’eau et du méthane en hydrogène et en dioxyde de carbone (CO2), et chaque tonne d’hydrogène ainsi produite s’accompagne aussi de la production de dix tonnes de CO2

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