

Main dans la main avec le monde agricole
Pour quel collègue allez-vous voter ?
Visite en Thaïlande et à Hong Kong
5 questions sur notre collaboration avec les agriculteurs belges
En bref
Partenariat hôpital universitaire de Gand Interview avec Jan Van Holsbeke : Bio-Planet retrouve son rythme de croisière
Dossier de (S)Match à Comarché
En image : les party-box chez Fine Food Wine Nouvelles de P&O
Team spirit : le Service Center Qualité Élections sociales
Les coulisses de Newpharma
En visite chez Colimpo en Asie
Tête-à-tête nos assistantes de direction 40 ans de fitomètres
À deux roues au travail
Le lieu de travail d’un réparateur de vélos chez Bike Republic
Bâtisseurs : Dominique aide les collègues de l’équipe de soutien Événements traumatisants
Voilà le printemps ! Une période durant laquelle nombreux sont ceux qui sortent de leur hibernation pour faire du sport et bouger. Et c’est ce que nous aimons voir chez Jims, naturellement. Car c’est également notre objectif encourager les gens à bouger plus et mieux, mais aussi être une source d’inspiration pour adopter un mode de vie sain. C’est précisément ce que Jims entreprend depuis trois ans sous l’égide de Colruyt Group. Une collaboration qui a donné un coup de boost aux deux parties. Nous sommes non seulement passés de 26 à 37 clubs de fitness en Belgique et au Luxembourg, mais Jims a aussi développé sa propre identité grâce à une nouvelle approche du coaching et un concept de club original. Dans le même temps, les trois quarts de nos membres ont moins de 35 ans et constituent un nouveau groupe cible prêt à découvrir les enseignes du groupe par notre intermédiaire.
Par ailleurs, nous sommes l’une des forces motrices du pilier santé de Colruyt Group. Avec Jims, nous essayons de construire bien plus qu’une simple chaîne de fitness durable. Nous mettons également notre savoir-faire au service des collaborateurs de Colruyt Group, par exemple en proposant des exercices d’échauffement et des conseils ergonomiques aux collègues des sites logistiques. Ou encore en contribuant à d’autres initiatives du groupe en matière de diabète, de nutrition ou de sommeil.
Je suis fier du chemin parcouru avec Jims. Nous offrons à nos membres un accompagnement abordable, professionnel et personnalisé. Et nous en avons pour tous les goûts : débutants, confirmés, jeunes mamans, en sessions collectives ou individuelles. L’atmosphère propre à Jims est également unique ! Nos entraîneurs sont proches des membres. Saviez-vous que 90 % de nos collaborateurs étaient membres de Jims à la base ? Ils connaissent donc bien leur environnement. Un atout de taille.
Un grand merci à nos collaborateurs internes, aux animateurs de cours collectifs indépendants et aux coachs personnels. Nous entendons continuer sur cette voie avec eux.
Pieterjan Nuitten Business unit manager Jims
Tirage en néerlandais 21 500 ex. • en français 15 000 ex.
Rédaction en chef Benoit Van Trimpont
Panagiotis de Grèce
Andy : champion du monde de fléchettes
Hilde interprète Marie Curie
Johan est un collectionneur de whiskys
Carnet mondain
Le passé en images
Wall of Fame
Photo-finish
Secrétariat de rédaction Laura Vanneste et Benoit Van Trimpont
Graphisme Virginia Rahoens
Photographie : Katleen Van Den Eede
Traitement d’images Joyce Vanhoutte
Responsable de publication : Stefanie Geeroms
É.R. Lisa Colruyt • Colruyt Group NV
Edingensesteenweg 196, B-1500 Halle
Tél. +32 (0)2 363 55 45
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Pour contacter La Gazette, envoyez un e-mail à gazet@colruytgroup.com ou un direct à GAZET.
En couverture : Mélanie Mol travaillait pour Match et a maintenant rejoint le groupe en tant que magasinière-vendeuse au Comarché de Braine-le-Comte.
Collaboration avec 6 000 entreprises agricoles belges
La protestation des agriculteurs est sans aucun doute l’image que l’on retiendra de l’hiver dernier. Visant à l’origine la politique agricole européenne, elle a fini par culminer avec le blocage, notamment, de nos centres de distribution. À ce sujet, voici comment nous, en tant que distributeur, envisageons la collaboration avec les agriculteurs belges.
Les agriculteurs traversent une période compliquée. Ils exercent un métier à la fois beau et difficile. L’incertitude autour du dossier azote et les règles plus strictes que l’Europe veut imposer ont pour conséquence de faire douter les jeunes agriculteurs de leur avenir. En outre, ils nous pointent aussi du doigt. Nous ferions monter les prix des terres agricoles en en achetant, nous choisirions trop souvent des producteurs étrangers et nous paierions un prix trop bas aux agriculteurs locaux pour leurs produits. Pour Colruyt Group, les agriculteurs sont des partenaires cruciaux. Nous comprenons donc leurs inquiétudes, mais nous estimons que leurs griefs à notre égard sont injustifiés.
Les terres agricoles sont prisées, non seulement par les agriculteurs, mais aussi par les organisations de défense de la nature, les industries, les entrepreneurs, les particuliers et bien d’autres encore. Nous voulons nous assurer que les terres restent effectivement des terres agricoles afin de pouvoir garantir notre gamme de produits belges en collaboration avec des cultivateurs locaux. Nous voulons aussi investir dans l’agriculture durable avec des cultures innovantes et des initiatives visant à stimuler la qualité des sols. Pour ce faire, nous avons besoin de disposer de nos propres terres. Mais notre part reste très faible à ce jour, nous possédons à peine 570 ha de terres agricoles en Belgique, dont environ 400 en Wallonie. Ceci ne représente que 0,05 % des terres disponibles au sud du pays. Ce n’est même pas suffisant pour approvisionner un seul magasin Colruyt. Lors de l’achat de nouvelles terres, nous nous tenons aux prix du marché sans surenchérir. La preuve les prix augmentent autant dans les provinces de Liège, Namur et Luxembourg, où nous ne possédons pas de terres, qu’ailleurs.
Ce qu’il est possible d’acheter en Belgique, nous l’achetons en Belgique. Nos rayons sont garnis de produits issus d’environ 6 000 entreprises agricoles belges. La viande fraîche, le lait et les œufs sont presque à 100 % belges et ce taux s’élève à environ 75 % pour les légumes. Nous proposons certains légumes toute l’année à la demande de nos clients. Ce n’est qu’à la fin de la saison belge que nous importons d’autres pays européens. 87 % des pommes et des poires viennent de chez nous. En ce qui concerne les fruits tropicaux, nous essayons de développer leur culture chez nous, en collaboration avec des cultivateurs locaux, comme nos melons belges. En outre, nous collaborons sans cesse avec les producteurs locaux afin d’introduire de nouvelles variétés et cultures.
Bien sûr ! Nous recevons de nombreux messages de soutien de la part d’agriculteurs avec qui nous collaborons. Les frères Gunther et Koen Odeurs ont déclaré dans la presse « Tout se déroule en concertation et en toute confiance. Colruyt Group croit en notre expertise. Nous sommes rémunérés correctement et honnêtement pour notre travail. » Un agriculteur qui a souhaité rester anonyme a ajouté « En comparaison avec ce que reçoivent mes collègues, Colruyt Group paie de très bons prix. Si on a la possibilité de collaborer avec eux, pourquoi ne pas le faire ? Nous devrions nous réjouir qu’ils soient si bien ancrés localement. »
Comment procédons-nous pour améliorer les relations avec les agriculteurs ?
Nous croyons en une collaboration durable et transparente et privilégions toujours le dialogue avec les agriculteurs. Voilà pourquoi nous contribuons activement aux discussions entre les secteurs de la distribution et de l’agriculture. Nous nous engageons également à prendre des mesures supplémentaires pour soutenir le secteur agricole belge. Nous avons déjà augmenté le prix d’achat des carcasses de bœuf et veillons à ce que cette augmentation revienne intégralement à l’éleveur. En outre, nous mettons à l’honneur les produits belges auprès de nos clients.
3 questions à Koen Baetens, directeur Colruyt Group Real Estate
En plus des piliers Food, Non-food, Health et Energy, Colruyt Group se concentre sur un cinquième pilier : Real Estate. Pourquoi ? Koen • « L’immobilier revêt une importance stratégique pour notre groupe nous investissons dans des emplacements clés afin de garantir leur continuité à long terme. En faisant de l’immobilier un pilier à part entière, nous pouvons encore mieux nous positionner dans le monde extérieur. Nous voulons davantage miser sur la notoriété de Real Estate afin de montrer que Colruyt Group est un partenaire professionnel capable de mener à bien de grands projets. Pensez au magasin Colruyt de Schaerbeek, qui a été intégré dans un complexe résidentiel. »
Comment fonctionne Real Estate ?
« Real Estate est désormais une unité opérationnelle distincte. Nous convenons d’un plan prioritaire avec d’autres unités opérationnelles où installer de nouvelles succursales ? Ensuite, nous cherchons un emplacement approprié sur ces sites et nous occupons de la demande de permis de construire, des autorisations, de la construction proprement dite et de l’entretien par la suite. En résumé, Real Estate décharge les partenaires internes dans le domaine de l’infrastructure. Nous facilitons également les nouveaux projets de construction ou l’acquisition de biens immobiliers existants, comme dans le cas de l’acquisition des magasins Match et Smatch. »
Quelles sont les ambitions du groupe avec ce nouveau pilier ?
« Nous continuons à nous concentrer sur le secteur de la distribution, même si, à l’avenir, nous entendons nous engager encore davantage avec des partenaires extérieurs au groupe. Nous allons donc travailler de plus en plus en fonction du marché. En raison des changements au sein du groupe – pensez à DATS 24 et à Dreamland –, nous agissons déjà en tant que partie externe, et ce, plus rapidement que prévu. En augmentant notre notoriété, nous pouvons également collaborer directement avec les propriétaires, sans intermédiaires. »
Vous l’avez peut-être déjà remarqué dans le webshop, à la TV et sur les autres canaux en ligne et hors ligne : Collect&Go a retravaillé l’image de sa marque !
Katrien Schockaert, brand marketeer : « Le nouveau style de communication unique rend notre marque encore plus reconnaissable. Nous avons délibérément choisi l’évolution, pas la révolution. En effet, nous sommes fans de notre base bleue, mais nous y ajoutons maintenant une touche de fraîcheur. En plus d’un nouveau style graphique, nous lançons une toute nouvelle campagne d’image ainsi qu’un nouveau slogan : “Vivez à fond la caisse”. L’objectif ? Donner un coup de boost supplémentaire à notre notoriété. »
Nous avions déjà parlé dans La Gazette de notre projet pilote visant à tester un « smart cart » mis au point par nos soins. Entre-temps, la phase de test a été clôturée et a suscité un certain intérêt. Ce caddie innovant est une première en Belgique : le client enregistre ses produits en scannant les codes-barres dans le caddie. Grâce à des capteurs intelligents et à l’intelligence artificielle, le système vérifie l’enregistrement et le poids des produits. La tablette située sur la barre de poussée du caddie permet de contrôler le montant de ses achats et de consulter ses listes de courses Xtra. Les produits sans code-barres, comme les fruits et légumes, sont pour l’instant placés à part pour être pesés à la caisse. Une autre solution sera prévue par la suite. À l’avenir, il sera possible de payer automatiquement avant de quitter le magasin. Nous franchissons ainsi une étape supplémentaire vers le magasin de demain.
Notre site logistique d’Ollignies est une combinaison unique d’un centre de distribution classique et d’un entrepôt de stockage et de déstockage automatisé. Grâce à l’entretien annuel approfondi réalisé par les collègues de Technics, ces automatisations sont prêtes pour affronter l’année à venir. Une fois de plus, l’entretien a demandé des dispositions particulières, non sans conséquence. Par exemple, lorsque les machines qui préparent les palettes sont mises à l’arrêt, cette tâche doit être effectuée manuellement. En outre, d’autres travaux ont été réalisés par la même occasion. Ainsi, la turbine qui aspire les colis pour les placer sur une autre palette a été remplacée. Et les opérateurs se sont chargés des travaux d’entretien nécessaires : nettoyer les bandes transporteuses, enlever les petites particules de saleté, dégager les articles coincés… L’entretien est normalement prévu durant une période plus calme. Malheureusement, les manifestations des agriculteurs et le lancement des magasins Comarché sont venus perturber ces plans cette année. Mais grâce à une excellente collaboration, tout s’est une fois de plus déroulé sans problème et de manière efficace. Bravo à tous ceux qui apporté leur contribution !
Le paysage informatique évolue à toute vitesse. Malheureusement, les hackers surfent aussi sur cette vague. Il est donc crucial de sécuriser nos systèmes informatiques et d’investir dans la cybersécurité. C’est pourquoi nous déployons progressivement une nouvelle politique en matière de mots de passe – avec un mot de passe de minimum 14 caractères valable durant 1 an – ainsi qu’un nouvel outil permettant de choisir soi-même son mot de passe, sans devoir faire appel au Helpdesk. Nous vous remercions pour votre collaboration, car vous êtes aussi un maillon indispensable dans la lutte contre la cybercriminalité.
Afin de rendre le label alimentaire Nutri-Score plus fiable, la méthode de calcul a été revue. Elle prend davantage en compte la teneur en édulcorants, en sucre, en sel, en fibres et en graisses (in)saturées. Exemple : le lait écrémé affiche un meilleur score que le lait entier. De quoi faire des choix nutritionnels encore plus sains. Les producteurs ont jusqu’à fin 2025 pour adapter le Nutri-Score sur les emballages. Les nouveaux scores figurent sur le site web de Bio-Planet, de Colruyt et de Collect&Go, dans l’app Xtra et l’app Collect&Go, et sur les étiquettes de prix de Bio-Planet.
• Après le succès de l’atelier « A Dinner to Die for », Colruyt Group Academy lance un deuxième atelier culinaire, idéal pour renforcer l’esprit d’équipe entre collègues. Le thème ? Fortuna Mexicana !
• Après Anvers, Bruxelles, Gand et Malines, Solucious, notre fournisseur alimentaire, effectue désormais aussi des livraisons à vélo à Louvain
• En 2025, Louvain accueillera également le cinquième marché Cru dans les locaux d’un ancien Match.
• Spar For You se lance dans un partenariat avec Panos, qui propose désormais des sandwichs frais du jour à la Police de Gand grâce à notre concept alimentaire.
• Notre système de caisse « easy check-out » a remporté le RETA Award récompensant les technologies innovantes dans la distribution. Une reconnaissance internationale pour les nouveautés technologiques développées en interne par Smart Technics.
• Solucious a obtenu la certification internationale Halal. Un atout de taille pour ce groupe cible en pleine expansion.
• Le contrat de location du bureau régional de Denderhoutem n’a pas été prolongé La raison ? Un coût trop élevé pour un faible taux d’occupation.
• Afin d’encore mieux servir leurs clients, nos magasins de proximité Okay ouvriront désormais leurs portes à 8 h soit une demi-heure plus tôt.
Dans l’intervalle, la plupart des magasins Match et Smatch que nous avons repris ont rouvert leurs portes sous le nom de Comarché. Ils seront progressivement transformés en magasins de leur formule définitive. Six magasins indépendants ont déjà immédiatement rejoint Spar.
5/3/24
Spar Bertogne
7/3/24
Spar Vaux-sur-Sûre
11/3/24
Comarché Braine-le-Comte
Comarché Châtelet
Comarché Marcinelle
Comarché Schaerbeek
Comarché Woluwé-SaintLambert
12/3/24
Spar Ruddervoorde
14/3/24
Spar Wanfercée-Baulet
18/3/24
Comarché Ath
Comarkt Le Coq
Comarkt La Clinge
Comarché Florennes
Comarché Grez-Doiceau
Comarkt Ostende (Gelijkheidsstraat)
19/3/24
Spar Momignies
Spar Wépion
25/3/24
Comarkt Bruges
Comarkt Gand (Sud)
Comarkt Grand-Bigard
Comarkt Machelen
Comarché Namur
Comarkt Audenarde
2/4/24
Comarché Braine-l’Alleud
Comarché Fontaine
Comarkt Mariakerke
Comarché Mons
Comarkt Ostende (Frère-Orbanstraat)
Comarché Vaux-sousChèvremont 8/4/24
Comarché Auvelais
Comarché Couvin
Comarkt Puurs
Comarkt Sleidinge
Comarché Forest
15/4/24
Comarkt Gullegem
Comarché Huy
Comarkt Lendelede
Comarkt Stokkel Comarché Waremme (Sud)
Ouvertures
14/2/24 Okay Compact Berchem
21/2/24 Bio-Planet Gasperich (Luxembourg)
27/3/24 Okay Compact Ixelles (avenue Louise)
15/3/24 Bike Republic Beveren
5/4/24 Jims.............................................. Mersch (Luxembourg))
Réouvertures
26/2/24 Jims Gand (Rooigemlaan)
29/2/24 Bike Republic Anvers
28/2/24 Colruyt Frasnes-lez-Anvaing
1/3/24 Okay Kortemark
7/3/24 Spar Ypres
13/3/24 Colruyt (+ Collect&Go) Blankenberge
13/3/24 Okay Direct Gand (Kortrijksepoortstraat)
27/3/24 Colruyt(+ Collect&Go) Nieuport
3/4/24 Colruyt (+ Collect&Go) Tertre
10/4/24 Okay Stekene
11/4/24 Spar Anvers (Linkeroever)
Après 42 ans de service, la machine de découpe de tôle de l’atelier de Technics à Hellebroek DC a été remplacée. Edwin Minne (à droite sur la photo) du service Construction « La nouvelle machine est une véritable amélioration. Elle est commandée par ordinateur, dispose d’un support de plaque et est beaucoup plus ergonomique. Nous utilisons cette machine pour découper des plaques en fer, en acier inoxydable et en aluminium. Ces plaques servent non seulement à la fabrication d’escaliers et de tôles larmées pour le sol, mais aussi de finitions d’escalators, de plaques coulissantes pour Fine Food Meat, de pièces de réparation pour les remorques dans le garage, de pièce de rechange pour les machines… »
La cantine de notre siège à Wilgenveld s’est transformée en studio pour la radio MNM. Le présentateur Brahim – qui s’est lancé durant une semaine en quête des meilleurs bureaux, chantiers et entreprises de Flandre – s’est entretenu en direct avec cinq collègues de différents départements sur l’ambiance de travail chez Colruyt Group. Une belle initiative qui a intéressé les jeunes auditeurs de MNM.
Ballons à l’entrée, Ferrero Rochers portant la mention « 75 » et affiches festives : le jeudi 7 mars, Retail Partners Colruyt Group a célébré de façon ludique l’ouverture du magasin Spar d’Ypres, la 75e succursale dans le style de la nouvelle formule de Spar Colruyt Group. « Cette “formule” est l’ADN de chaque magasin Spar rénové », dit-on chez Spar. « C’est l’ensemble des éléments qui permettent aux clients de bénéficier d’une expérience forte et typique. Avec la reconnaissance de la marque Spar comme point de départ et en exploitant pleinement la spécificité de l’entrepreneur à l’échelle locale. La “nouvelle formule” a été lancée en 2015, lorsque le Spar de Kessel a été le premier à ouvrir ses portes sous cette bannière. L’expansion n’aurait jamais été possible sans l’engagement des entrepreneurs indépendants, de leurs équipes et des collaborateurs de RPCG. Chaque collègue est un maillon crucial de la chaîne. Nous voulons continuer à nous renouveler à l’avenir : l’engagement total en faveur de l’innovation et de la croissance durable en sont les fils conducteurs. »
Lors d’une visite de notre centre de distribution de Dassenveld, la ministre flamande de l’Intégration Gwendolyn Rutten s’est montrée enthousiaste quant à la manière dont Colruyt Group parvient à aider les personnes qui arrivent en Belgique à trouver rapidement et durablement un travail. Par l’intermédiaire de cours de langues, de formations, de coachings sur le terrain… nous nous engageons à réduire les obstacles à l’emploi et prenons des mesures pour renforcer l’intégration et les chances de réussite. « Colruyt offre un exemple inspirant d’intégration et d’accompagnement des arrivants pour que ceux-ci soient opérationnels dès le premier jour et se voient offrir des opportunités de carrière par la suite », expliquait la ministre. En tant que pionniers dans le recrutement de personnes coupées du marché du travail, nous sommes fiers de servir de source d’inspiration pour la politique d’intégration du Gouvernement flamand.
Les amateurs de cyclisme sont aux anges en ce moment. Non seulement en raison des classiques de la discipline qui se succèdent à une vitesse fulgurante, mais aussi parce que le retour des beaux jours les incite à enfourcher eux aussi leur vélo. Le Jims de Gand (Rooigem) en a d’ailleurs rajouté
une couche avec « We Ride With You », une journée remplie d’ateliers inspirants sur la passion du vélo. Le point d’orgue ? La session d’entraînement avec l’ancien coureur Iljo Keisse. Un moment inoubliable qui a inspiré plus d’un cycliste amateur ou expérimenté.
L’exercice physique nous maintient en bonne santé, non seulement physiquement, mais aussi mentalement. Fort de cette conviction, Jims a fait don de deux appareils de fitness au service de psychiatrie d’urgence de l’hôpital universitaire de Gand.
« Cela faisait un certain temps que je cherchais de bons appareils de fitness pour que nos patients fassent de l’exercice », explique Tamara Visser, infirmière en chef du service de psychiatrie d’urgence. « J’ai essayé tout et n’importe quoi : une demande auprès de la ville, d’une association de Rotary... En vain. Jusqu’à ce que j’apprenne que Jims remplaçait ses appareils et disposait donc de machines d’occasion. Nous avons eu de la chance de faire la demande au bon moment ! »
« Nous accueillons et traitons des personnes en situation de crise psychiatrique. Cette crise peut avoir des causes
très diverses : des pensées suicidaires aux addictions, en passant par la maniaco-dépression ou le trouble de l’adaptation après un décès. Il s’agit d’un service fermé : nos patients ne peuvent donc pas partir d’ici. S’ils s’ennuient ou se sentent agités, nous les encourageons à se promener dans notre jardin, mais le nouveau vélo elliptique et le vélo d’appartement offrent de la variété et sont une bonne solution de remplacement à la télévision ou lorsqu’il pleut. Les appareils sont très accessibles : ils se trouvent dans notre espace de vie, toujours prêts à être utilisés.
« Nous avons déjà reçu des réactions positives de la part des patients. Pour eux, l’exercice est un exutoire bienvenu et un pas en avant dans leur processus de guérison. La distraction physique peut vraiment aider à se sentir mieux. Je suis convaincue que d’autres services – où les patients restent plus longtemps – peuvent également mettre davantage l’accent sur le sport pour se remettre en mouvement, au sens propre comme au sens figuré. »
Avec l’arrivée du printemps, les beaux jours sont de retour, et chez Bio-Planet aussi, le ciel se dégage. Jan Van Holsbeke, business unit manager de Bio-Planet : « L’année dernière, nous avons beaucoup souffert de la crise énergétique et de l’inflation. Mais nous sommes parvenus à traverser la tempête et aujourd’hui, nous entrevoyons enfin les premiers signes d’une reprise. »
Pour commencer, revenons sur la période de pandémie, durant laquelle Bio-Planet a vu ses activités s’accélérer. Comment l’expliquez-vous ? Jan • « C’était une période particulière. À l’époque, les gens dépensaient beaucoup moins dans les voyages, restaurants et autres divertissements. Ils cuisinaient beaucoup plus souvent à la maison et consacraient une plus grande partie de leur budget à la nourriture, et en général à des aliments sains. Ce qui nous a bien profité. En outre, beaucoup font leurs courses à la fois chez Colruyt et chez Bio-Planet. Dès que les magasins Colruyt sont devenus trop fréquentés, leur choix s’est porté sur un environnement plus sûr. Ainsi, des clients qui, à l’origine, venaient chez Bio-Planet pour acheter des produits spécifiques ont découvert qu’il était possible de faire chez nous la totalité de leurs courses sous un même toit. Cette période ne nous a donc pas porté préjudice. Nous battions un nouveau record de ventes presque toutes les semaines. Une incroyable source de motivation ! »
Cependant, le vent a ensuite tourné. « Nous savions que cela ne pouvait pas durer. Mais au moment où la situation revenait à la normale, la Russie a envahi l’Ukraine. Conséquences : pénurie de biens, hausse des prix de l’énergie et inflation. Ce sont surtout les prix de l’énergie qui ont effrayé les gens. Nos clients fidèles ont continué à venir, mais ils limitaient leurs dépenses. Et il s’est avéré difficile d’attirer de nouveaux clients. Nous misons sur la durabilité et proposons des produits respectueux de l’être humain et de la planète, mais… nos prix sont plus élevés. Ce qui n’intéressait plus grand monde à l’époque. Et nous l’avons ressenti. »
Baisse du chiffre d’affaires d’une part, et hausse des prix d’autre part : les deux ne font pas bon ménage.
belle réussite. Nous avons également opéré des choix dans notre approche du commerce en ligne : préparer des commandes dans nos magasins et les apporter dans un magasin Colruyt à proximité était extrêmement coûteux. Nous avons donc décidé de ne plus offrir ce service qu’aux clients qui viennent chercher leurs courses dans un magasin Bio-Planet. Notre chiffre d’affaires a légèrement baissé, mais le service est resté rentable. Nous préparons entre deux et cinq commandes par jour, le service doit donc encore se développer davantage. Mais le montant du panier client peut s’élever jusqu’à 200 euros. »
Avez-vous également réduit l’assortiment ?
« Le nombre de tickets de caisse dans nos magasins et notre chiffre d’affaires augmentent de nouveau, les magasins répondent aux perspectives en termes d’activité, nos clients fidèles continuent de venir et nous voyons également le nombre de nouveaux clients réaugmenter » - Jan
« De plus en plus de gens veulent contribuer de manière durable à une vie et une planète plus saines. Le point de départ ?
Leur comportement d’achat et de consommation. Notre objectif est de leur faciliter la tâche dans cette démarche » - Jan
« En effet. Heureusement, notre enseigne fixe les prix et ne s’aligne pas sur la concurrence. Il a été plus facile pour nous de répercuter la hausse des prix d’achat et des autres coûts sur la vente. Nous n’avons bien entendu pas non plus exagéré. Si le coût des produits classiques augmente déjà de 5 à 10 % et que nous voulons nous aussi augmenter nos prix de 10 %, l’écart ne fait que se creuser. Nous avons donc dû faire d’autres choix structurels. »
Comment avez-vous procédé pour sortir de cette situation ?
« Nous avons réalisé un exercice d’efficacité approfondi pour diminuer nos coûts. Eh oui, nous avons nous aussi fait appel aux “fourmis et éléphants”. (rires) En matière de marketing, par exemple, nous avons fait une croix sur notre dépliant papier et l’avons remplacé par des versions numériques. Nous n’en ressentons d’ailleurs aucun inconvénient commercial. Sur le plan logistique, nous avons décidé de passer de cinq à quatre livraisons par semaine aux magasins. Là aussi, une
« Chaque article vendu a également un coût : négociation, commande, stockage, transport, mise en rayon… Quand les chiffres ne sont pas bons, il faut examiner quels sont les produits qui rapportent le plus. À partir de cette analyse, nous avons décidé de supprimer un peu plus de 500 articles. Notre assortiment se compose toujours d’environ 4 500 références durables. Nous devons également donner aux produits l’espace et le temps nécessaires pour faire leurs preuves. C’est pourquoi nous restons ouverts aux initiatives du service Développement de produits ou des fournisseurs. Nous sommes toutefois devenus plus stricts nous donnons désormais six mois à un produit, au lieu d’une année complète, avant de procéder à une évaluation finale. »
Entre-temps, les pics des prix de l’énergie et de l’inflation appartiennent au passé. Constatez-vous une différence ?
« Le nombre de tickets de caisse dans nos magasins et notre chiffre d’affaires augmentent de nouveau, les magasins
répondent aux perspectives en termes d’activité, nos clients fidèles continuent de venir et sont prêts à dépenser le même montant qu’auparavant – notre ticket de caisse est légèrement inférieur à 60 euros – et nous voyons également le nombre de nouveaux clients réaugmenter. Même s’il est encore tôt, il semblerait que le pire soit derrière nous. À condition qu’il ne se passe plus rien de trop fou… »
Peut-on en déduire que le bio et la consommation responsable ont de nouveau la cote ?
« Sur le long terme, oui. De plus en plus de gens veulent contribuer de manière durable à une vie et une planète plus saines. Le point de départ ? Leur comportement d’achat et de consommation. En tant que supermarché bio, notre objectif est de leur faciliter la tâche dans cette démarche. De bonnes infos produit et les conseils de nos vendeurs enthousiastes sont essentiels à cet égard. Par ailleurs, la santé est de plus en plus au centre des préoccupations les personnes souffrant de diabète de type 2 ou d’une intolérance au lactose trouvent déjà leur bonheur dans de nombreuses catégories de notre magasin. Mais je suis convaincu que nous pouvons encore mieux servir ces groupes cibles. »
Ces dernières années, Bio-Planet a ouvert quelques nouveaux magasins au concept inspirant et innovant. Le point d’orgue ? Le premier magasin au Grand-Duché de Luxembourg (voir photo). Jan Van Holsbeke : « Ces magasins ne rencontrent évidemment pas un succès immédiat. Mais les campagnes de marketing visant à attirer des clients fonctionnent. Hannut et Tournai, par exemple, ont vu leurs ventes augmenter de 20 à 30 % ces six derniers mois. Les attentes sont aussi élevées pour le nouveau magasin au Luxembourg, où le marché du bio est plus avancé qu’en Belgique. S’il est encore possible de poursuivre notre expansion ? Oui, nous avons toujours dit que nous pourrions atteindre une cinquantaine de magasins en Belgique. Dans les grandes villes, par exemple, nous devrions pouvoir faire beaucoup mieux. Avec quel concept ? Cela reste à voir. Mais il y a encore certainement une grande marge de croissance.
L’acquisition des magasins Match et Smatch représente aussi une opportunité pour Bio-Planet. »
La santé de l’être humain et celle de la planète sont souvent liées.
« Elles le sont. Nos clients choisissent notre assortiment pour ses produits purs, non transformés ou écologiques. Mais aussi pour la façon dont ils sont cultivés ou produits, la façon dont les animaux sont traités, ce que les agriculteurs en retirent ou l’emballage durable… Quoi qu’il en soit, notre public est convaincu et nous fait savoir quand nous devons placer la barre plus haut. Mais quand tout se passe bien, nos clients sont également des ambassadeurs très enthousiastes. »
Ils vous encouragent donc à effectuer un travail de pionnier.
« C’est certainement un rôle que nous entendons jouer, sans nécessairement vouloir être à l’origine de toutes les nouveautés. Mais nous gardons l’esprit ouvert. À la lumière de la transition protéique, par exemple, nous avons mis au point des produits adaptés aux consommateurs qui souhaitent manger davantage de légumes, mais ne se montrent pas encore prêts à renoncer à la viande hamburgers hybrides aux pois et aux algues, avec de meilleures valeurs nutritionnelles et un goût délicieux. »
Dernière question : dans une récente enquête de satisfaction de Testachats, Bio-Planet a obtenu un bon score. Vous vous en sortez donc bien, n’est-ce pas ?
« Cela confirme une fois de plus que nos clients fidèles sont vraiment satisfaits de nous, de la qualité de nos produits et de la serviabilité de notre personnel. C’est vraiment formidable ! Nous pouvons encore progresser en matière de notoriété auprès d’un public plus large, mais un tel résultat nous motive évidemment à continuer sur la voie que nous avons choisie. »
« La santé est de plus en plus au centre des préoccupations : les personnes souffrant de diabète de type 2 ou d’une intolérance au lactose trouvent déjà leur bonheur chez nous. Mais nous pouvons encore faire mieux » - Jan
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Notre plus grande acquisition à ce jour
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Le regard des (nouveaux) collègues
Au rythme de 7 magasins par semaine, presque tous les magasins Match et Smatch que nous avons acquis ont été transformés en Comarché. Un travail intense. « Mais avant tout, nous voulons créer un lieu chaleureux pour quelque 1 000 nouveaux collègues et beaucoup plus de nouveaux clients », explique Annicq Balcaen, responsable business opérationnel de Comarché.
POURQUOI l’acquisition de Match et Smatch est-elle une bonne chose ?
Annicq • « Avec 57 magasins, il s’agit de la plus grande acquisition que nous ayons réalisée à ce jour. Ce projet d’envergure soutient les plans de croissance de notre groupe et renforce notre position de leader sur le marché de la distribution alimentaire. Sur les 84 magasins à vendre, nous en avons choisi 57 dans des endroits qui nous intéressent, principalement dans les villes et en Wallonie. Pratique, car cela nous permet de nous implanter dans des endroits où il était jusqu’à présent difficile d’obtenir une autorisation, comme à Chimay. De plus, cette acquisition nous donne l’opportunité d’attirer de nouveaux segments de clientèle. Par exemple à Louvain, où nous avons déjà trois magasins Colruyt et un Bio-Planet, nous pouvons attirer un nouveau groupe cible avec un nouveau marché Cru en plein centre-ville. »
QUAND les magasins Match et Smatch ont-ils été transformés ?
« Le 4 mars, l’Autorité belge de la Concurrence a donné son accord pour la conversion de 49 des 57 magasins. Sur ces 49 magasins, sept ont été immédiatement fermés pour une période plus longue : ils feront directement partie de l’une de nos enseignes. Par exemple, le Match de Louvain avait des infiltrations d’eau et le Smatch de Malines un chiffre d’affaires très faible à cause d’un chantier de construction situé à proximité qui empêchait l’accès au magasin. Il est donc logique que nous ayons choisi de les fermer en premier. Pour sept autres magasins, nos collègues de Retail Partners Colruyt Group sont en pourparlers avec les propriétaires pour les accueillir dans le réseau Spar ou en tant que clients grossistes. »
« Nous transformons les magasins restants – répartis sur sept semaines – en Comarché ou Comarkt, en attendant leur destination finale. Pour ce faire, chaque magasin ferme ses portes pendant une semaine, après la liquidation de son assortiment. Cette semaine nous permet d’installer notre logiciel de caisse, de mettre en rayon les nouveaux articles de nos marques propres et de former le personnel des magasins. Les premières succursales Comarché ont ouvert leurs portes le 11 mars. Les dernières ouvriront fin avril. Au cours des trois prochaines années, chaque magasin Comarché sera à nouveau converti en l’une des formules de magasins de Colruyt Group. »
COMMENT reconnaît-on un magasin Comarché ?
« Au logo sur la façade. (rires) Étant donné que l’agencement d’origine des magasins est préservé autant que possible au départ, chaque Comarché a un aspect différent. Ne vous étonnez donc pas si vous devez y déposer vos courses sur un tapis de caisse. C’est d’ailleurs cette grande diversité qui rend ce projet si difficile. Plusieurs grands magasins Match proposent des produits frais dans leurs rayons poisson, viande, fromage et boulangerie. Par souci de rentabilité, nous avons décidé de simplifier immédiatement ces assortiments. »
« Malgré la diversité, chaque Comarché offre un large assortiment de produits de qualité à prix bas. Les produits Cora ont cédé la place à Boni et Everyday. Les clients sont encouragés à utiliser Xtra pour une expérience d’achat optimale. C’est ainsi que nous apprenons à les (re)connaître afin de pouvoir ensuite les contacter de manière efficace. Et saviez-vous que Match et sa formule Smatch plus petite proposaient des prix assez élevés ? Lorsque nous avons ouvert nos locaux sous le nom de Comarché, nous avons souligné le fait que nos prix étaient en moyenne 9 % moins élevés qu’auparavant ! Nous espérons ainsi attirer davantage de clients qui achèteront plus. Lors de l’ouverture ultérieure des magasins sous leur enseigne définitive, nous mettrons à nouveau l’accent sur une diminution des prix. Nous pensons ainsi pouvoir augmenter de moitié le chiffre d’affaires de ces magasins. »
QUI travaille dans les succursales Comarché ?
« Avec cette acquisition, nous accueillons environ 1 000 nouveaux collaborateurs dans les magasins, dont beaucoup ont une longue ancienneté chez Match ou Smatch. À Louvain, par exemple, plus de la moitié du personnel y travaille depuis plus de 30 ans ! Une équipe soudée qui connaît bien ses clients. Le personnel de Match et Smatch n’a pas eu la vie facile ces dernières années. Les collaborateurs ont “survécu” et intègrent maintenant une entreprise saine. Nous pensons qu’il est important de les accueillir à bras ouverts et de les plonger dans le bain de Colruyt Group, avec nos valeurs et nos habitudes typiques. Comment ? En discutant avec nos nouveaux collègues et en examinant la formation dont chacun a besoin pour devenir l’un des nôtres. Dans chaque magasin, nous plaçons des collaborateurs expérimentés de Colruyt Group pour soutenir la transition sur le terrain. Et vice versa, si nos nouveaux collègues ont envie de passer chez Colruyt, Bio-Planet ou Okay dès maintenant, nous sommes tout à fait disposés à le faire. »
QUEL est l’impact de 57 magasins supplémentaires sur notre entreprise ?
« Le chiffre d’affaires des magasins Match et Smatch pourrait augmenter de moitié grâce à… une baisse des prix » -
Annicq
« Ce projet a nécessité une préparation très minutieuse, comprenant 22 tracks et un total de 150 lots de travail. En effet, nous reprenions le personnel des magasins Match et Smatch, mais pas la gestion, la logistique ou le personnel technique. Cela signifie que plusieurs départements de Colruyt Group – Vente, service du personnel, Supply Chain, IT, Technics, Fine Food, Marketing Communication Services… – ont dû s’atteler à la tâche pour rendre ces 57 magasins opérationnels en quelques mois.
Notre logistique a également dû passer à la vitesse supérieure pour approvisionner les magasins. Pour ce faire, notre service de sélection a abattu un travail considérable en recrutant environ 120 collaborateurs en logistique supplémentaires ! La prochaine étape consistera à évaluer notre capacité à accueillir ces collaborateurs supplémentaires et à déterminer dans quelle mesure nous devons ou non agrandir nos centres de distribution. »
Pascal Latouche, nouveau gérant du Comarché de Braine-leComte « Comme nous faisions partie de la première vague de magasins Match et Smatch à rouvrir sous l’enseigne Comarché, nous faisions office de magasin test en matière d’organisation de la transition. Le défi était de taille : il fallait réapprovisionner tout le magasin, nous familiariser avec les systèmes de Colruyt Group, nous former quant à la nouvelle manière de travailler et aux nouveaux programmes, faire quelques aménagements dans le magasin, comme supprimer les caisses libre-service de Match... Le tout, en une semaine ! Au début, nous avions du mal à croire que nous allions y parvenir. Mais pour finir, tout s’est très bien passé et nous étions prêts dans les temps grâce à une bonne collaboration entre l’équipe de l’ancien Match et les équipes de Colruyt. Avec cette transition, mon rôle de gérant change énormément. Grâce aux avancées technologiques du groupe, le travail de gestion du magasin est simplifié, ce qui permet de passer plus de temps sur le terrain : travail en caisse, réapprovisionnement de rayons, contacts avec les clients, etc. Une nouvelle étape très stimulante ! Nous avons encore beaucoup à apprendre, mais nous sommes très contents d’avoir rejoint un groupe solide comme Colruyt. »
Julien Masson, ancien collaborateur en magasin chez Match, aujourd’hui magasinier-vendeur au Comarché de Braine-le- Comte : « La semaine de fermeture du magasin a été éprouvante. Apprendre une nouvelle méthode de travail tout en assurant le montage et le remplissage des rayons n’a pas été évident. Mais l’objectif a été atteint et nous sommes contents du nouveau souffle qu’apporte Colruyt Group à notre magasin. Auparavant, nous étions chacun responsables d’un rayon spécifique. Désormais, nous faisons une tournante. Ce qui apporte davantage d’équité. En effet, ce n’est plus toujours la même personne qui se charge d’un rayon qui requiert de soulever des charges lourdes ou de supporter le froid des réfrigérateurs. L’assortiment a également été modifié le nombre de références a été réduit – un changement nécessaire – et les marques propres Boni et Everyday ont fait leur apparition dans les rayons. Et nous remarquons bien entendu aussi une nette différence en matière de prix. Les premiers clients qui sont revenus ne s’en sont clairement pas plaint ! (rires) Nous espérons ainsi séduire une nouvelle clientèle. La transition s’est donc de manière générale bien passée, l’équipe est contente et l’ambiance est au rendez-vous. »
Sébastien Thérain, premier vendeur au Colruyt Meilleurs Prix d’Ellezelles « Afin de soutenir l’équipe sur place durant la transition, deux magasiniers-vendeurs de CMP et moi-même avons été détachés à Braine-le-Comte pour une durée de 6 mois, pour le moment. Notre rôle ? Guider l’équipe de l’ancien Match, la former, lui apprendre les valeurs du groupe, lui faire découvrir toutes les possibilités qu’il offre, etc. En tant que premier vendeur, je me charge principalement de soutenir le gérant ainsi que l’adjointe devenue première vendeuse. En arrivant sur place, j’ai avant tout mis l’accent sur la sécurité, un aspect crucial. J’étais choqué de constater que personne ne portait de chaussures de sécurité, par exemple, alors qu’il s’agit selon moi d’un accessoire indispensable. Un autre changement majeur à apporter concerne les mentalités. Chez Colruyt, nous prônons l’autonomie et la polyvalence, ce qui n’était pas le cas chez Match. Mais malgré tous les changements apportés, les collaborateurs sont très motivés. Ils ont rapidement pris le train en marche afin de pouvoir rouvrir le lundi 11 mars comme prévu. La transition du premier magasin Match est une réussite, chapeau à toute l’équipe de Braine-le-Comte ! »
People & Organisation
« Nous optons pour une transition étape par étape »
An Wijnant, HR Business Partner Colruyt Group chez P&O « L’acquisition d’autant de magasins et de nouveaux collaborateurs représente également un défi pour nous, chez People & Organisation. Nous nous sommes efforcés de limiter au maximum les changements pour les collaborateurs et les responsables. Un nouvel environnement de travail et un nouvel employeur constituent déjà un changement conséquent. Pour le versement des salaires, par exemple, nous continuons de travailler avec SD Worx, le secrétariat social auquel Match et Smatch faisaient appel. Après tout, c’est SD Worx qui connaît le mieux les conditions de salaire et de travail, que les nouveaux collègues de Comarché ont conservées de leur ancien employeur. »
« Concernant l’intérim et les jobs étudiants, nous poursuivons la collaboration existante avec Start People. Ainsi, la procédure de candidature reste inchangée pour les responsables. Quant au volet Health & Safety, Attentia continuera à prendre en charge, entre autres, les examens médicaux. Cependant, nous avons déployé nos conseillers en prévention dans les nouveaux magasins : d’ici juin, ils prévoient de visiter toutes les succursales afin d’améliorer progressivement les conditions de travail en matière de bien-être, de sécurité, d’ergonomie, d’équipement de travail, etc. Dans le même temps, le Conseil d’entreprise et le Comité pour la prévention et la protection au travail se sont réunis pour la première fois. Et notre département Sélection a fourni le personnel logistique supplémentaire nécessaire. Chez P&O, nous souhaitons la bienvenue à nos 1 000 nouveaux collègues ! »
Les collègues de Fine Food Wine sont récemment passés à la vitesse supérieure. Car à l’approche des beaux jours, les premiers barbecues, les fêtes dans le jardin et donc... les party-box font leur apparition. Chaque année, nous vendons quelque 4,6 millions de party-box dans nos magasins. Principalement du vin blanc, mais aussi du rosé et du rouge. « Nos party-box sont réellement des produits pour la belle saison », explique Luc Brissez, responsable de la production. « Les ventes peuvent exploser lors d’un week-end estival. C’est pourquoi nous commençons à constituer notre stock d’été dès le mois d’avril. Chaque minute, 30 box sortent de nos lignes de production. »
D’ailleurs, saviez-vous que c’est Colruyt qui a introduit les party-box en Belgique à la fin des années 1980 ? À l’époque, ils étaient encore remplis et fermés manuellement dans notre propre département d’embouteillage. Une tâche ardue qui est aujourd’hui en grande partie automatisée.
Chez Colruyt Group, nous sommes constamment en quête de solutions pour rendre le travail le plus ergonomique et agréable possible. Nous avons donc testé chez nos techniciens un exosquelette qui soutient le corps dans certains mouvements ou postures. Examinons-le de plus près avec le conseiller en prévention Steven Amandels
Steven, qu’est-ce qu’un exosquelette ?
Steven • « Un exosquelette est une sorte de harnais que l’on enfile par-dessus ses vêtements de travail et qui soulage le corps lors de mouvements ou de postures spécifiques. Pour le moment, nous avons principalement testé un modèle pour le dos. Il se compose d’un matériau élastique qui se tend et emmagasine de l’énergie lorsque vous vous penchez vers l’avant, pour se détendre ensuite et libérer de l’énergie lorsque vous vous redressez. Cela permet de soutenir le corps et de réduire les contraintes physiques exercées sur les muscles du dos. »
Quels collègues ont effectué ce test ?
« En 2018, nous avions déjà entrepris un premier test avec des préparateurs de commandes dans nos centres de distribution. À l’époque, un tel exosquelette s’était avéré utile, mais il n’était pas suffisamment confortable trop chaud, tissus et matériaux trop durs, trop peu
de liberté de mouvement... Grâce à des matériaux souples, le confort des modèles s’est considérablement amélioré. Le moment était donc venu de procéder à un nouveau test, avec les ingénieurs de Technics cette fois. Ils travaillent régulièrement dans des conditions difficiles dans des endroits difficilement accessibles, ils doivent souvent s’agenouiller et porter des charges au-dessus des épaules ou en dessous des genoux... Un tel exosquelette est alors une aide bienvenue. »
L’exosquelette sera-t-il déployé ?
« Le test vient à peine de se terminer. Nous sommes en train de recueillir les conclusions des collègues de Technics et d’évaluer les avantages et les inconvénients. Ce n’est qu’après cela que nous déciderons si nous poursuivons ce système d’assistance ergonomique et pour quelles tâches nous mettrons ces harnais à disposition. »
C’est ainsi qu’ensemble, nous avançons vers une vie plus saine, pas à pas.
Votre guide pour une vie sans tabac
Depuis près de 25 ans, Colruyt Group propose des cours de langues internes aux collaborateurs qui en ont besoin, tant individuellement qu’en groupe. Nous aidons ainsi les nouveaux à s’intégrer rapidement et de manière durable. L’année dernière, plus de 880 collaborateurs ont suivi des cours de néerlandais ou de français, soit un investissement de 1,2 million d’euros. Le marché du travail constitue donc un excellent lieu d’intégration. En investissant massivement dans des cours de langues et des parcours d’apprentissage sur le terrain, les nouvelles recrues peuvent commencer à travailler tout en ayant la possibilité de développer leurs talents.
C’est ainsi qu’ensemble, nous contribuons à une société meilleure, pas à pas.
« Nos salons de l’emploi internes sont une réussite », nous dit An Vannerom, responsable de sélection. « De nombreux collaborateurs qui sont à la recherche d’un nouveau défi au sein de Colruyt Group y découvrent un large éventail de possibilités d’emploi sous un même toit. Différentes enseignes et divers départements s’y présentent : idéal pour nouer des contacts, poser des questions et même postuler en un rien de temps. Ainsi, pour certains visiteurs, les dernières sessions ont été une fois de plus le début d’une nouvelle aventure ! »
Les non-fumeurs vivent en moyenne quatre ans de plus que les fumeurs et restent en bonne santé sept ans de plus. Arrêter de fumer est donc toujours un pur bénéfice pour la santé et le portefeuille. C’est pourquoi de nombreux fumeurs souhaitent franchir le pas vers une vie sans tabac. Vous aussi, vous voulez arrêter de fumer ? Retrouvez de précieux conseils dans notre brochure « Votre guide pour une vie sans tabac » (doc598.005). Vous y découvrirez les meilleures astuces et méthodes pour dire adieu au tabac. Vous pouvez également contacter tabacstop.be pour obtenir un accompagnement gratuit.
C’est ainsi qu’ensemble, nous avançons vers une vie plus saine pas à pas.
Une nouvelle structure organisationnelle a été mise en place au sein du Service Center Qualité - le département de Colruyt Group qui veille à la qualité de nos produits, infos produit et services. Ce changement s’accompagne de nouveaux rôles : quality officer, quality controller, quality manager… gloups ! Cela mérite un mot d’explication. Et qui mieux que l’équipe elle-même pour en parler ?
An Roelants
Cheffe de service
« En tant que cheffe de service, j’ai contribué à la préparation de la transition vers le nouveau système au cours de l’année écoulée. Nous avons renseigné les collaborateurs qui avaient des questions et nous avons consciemment travaillé par étapes réalisables. Après un projet pilote, nous avons entamé la transition le 1er janvier et nous faisons des adaptations en cours de route. Par exemple, les collaborateurs déterminent eux-mêmes le contenu exact et la répartition des tâches et nous les laissons aussi choisir entre les différents groupes de produits. L’équipe éprouve encore parfois des difficultés : suivre une formation en plein changement d’organisation n’est pas une mince affaire. Mais si je peux me permettre : mon équipe fait preuve d’une formidable volonté et d’une résilience dont on peut s’inspirer ! »
Inne Vierendeel Quality manager
« Ma fonction précédente est en fait divisée en deux fonctions quality controller et quality manager. Je suis aujourd’hui manager, ce qui me permet de conserver certaines de mes tâches, mais il y a aussi de nouvelles attentes. En tant que responsable finale de tous les aliments secs, j’ai un agenda assez chargé. Dans le même temps, je me familiarise avec le nouveau système. J’en vois les avantages : il s’agit d’une structure logique et efficace où tout est plus facile à suivre. Les collaborations sont meilleures et plus rapides et nous nous concertons aussi plus souvent. Dans les mois à venir, nous essaierons de mieux définir ma fonction. Je vois cela d’un bon œil ! »
« Auparavant, j’étais responsable des contrôles de qualité pour une enseigne. À présent, je travaille comme quality controller pour l’ensemble du groupe. Mon département de produits est celui de la viande viande fraîche et préparations à base de viande. Dans mon nouveau rôle, je constate que les tâches sont mieux définies et que je peux me spécialiser davantage dans mon groupe de produits. Il est donc plus facile d’approfondir ses connaissances des produits et des cadres juridiques qui s’y rapportent. C’est à la fois chouette et stimulant de pouvoir marquer le service de son empreinte et de construire son réseau pendant cette transition de différents systèmes à un seul. Je m’attelle désormais aux produits et à l’approfondissement des connaissances, de l’introduction à la mise en rayon. C’est encore plus mon truc ! »
« Je suis responsable des contrôles de qualité de mes groupes de produits non food et near food. Je rassemble toutes les connaissances nécessaires sur, par exemple, les produits pour bébés, les cosmétiques ou les produits de jardinage pour toutes les parties prenantes. La grande différence par rapport à avant, c’est que je me sens beaucoup plus impliqué dans l’ensemble du processus. J’ai également plus de responsabilités, car nous participons aux prises de décisions, et nous nous concertons avec les quality managers. Les tâches sont également traitées de manière uniforme, ce qui présente des avantages lorsqu’un collègue tombe malade, nous pouvons nous organiser plus facilement. Dans les mois à venir, nous vérifierons si la charge de travail entre les trois quality controllers est bien répartie. Il faudra encore faire quelques adaptations. »
« Vous avez des questions concernant les données sur les produits et les directives pour les collaborateurs, les partenaires et les clients ? Je suis votre personne de contact. J’étais présente dès la phase pilote, j’ai donc déjà été un peu intégrée. C’était une période assez intense comme un premier jour d’école où vous devez chercher certaines choses par vous-même, mais aussi apprendre beaucoup en peu de temps. Une partie de notre ancien travail reste inchangée, mais nous sommes désormais impliqués dans l’ensemble du processus. Par exemple, actuellement, nous testons et goûtons un nouvel assortiment d’en-cas équilibrés, et nous concertons avec des marketeers, des diététiciens et des quality controllers. Le travail est un peu plus complexe, mais à la fin de la journée, je suis encore plus fière de ce que j’ai accompli. »
« Je dois encore terminer ma formation pour être totalement intégrée dans le nouveau système, mais je remarque déjà les changements. Le grand avantage est que nous pouvons vraiment travailler de manière très pratique. Nous examinons chaque article avec l’ensemble de l’équipe, nous le testons et nous recueillons des commentaires, ce qui rend les choses moins abstraites. Bien sûr, l’aspect visuel est également très important : pensez à la déception que vous ressentez lorsque vous voyez une décoloration sur un délicieux steak le dimanche. Cela vous coupe l’appétit. Lorsque nous recevons des plaintes de ce type, nous nous efforçons de comprendre comment cela a pu se produire. C’est alors que les petits radars se mettent en marche. La qualité est la norme que nous visons depuis toujours avec l’ensemble de l’équipe. »
Les élections sociales se dérouleront du 13 au 26 mai inclus en Belgique. Et la plupart des départements de Colruyt Group sont concernés. Vous aussi, vous pourrez passer dans l’isoloir afin de choisir qui vous représentera au sein du Conseil d’entreprise et du Comité pour la prévention et la protection au travail (CPPT).
QUI peut voter ?
« Les élections sociales ont lieu tous les quatre ans », explique Sarah De Vos, juriste aux Affaires du personnel. « Chaque collaborateur employé depuis au moins trois mois le jour du scrutin peut voter. À cet effet, les personnes concernées recevront une lettre de convocation à leur domicile. Le vote n’est pas obligatoire, mais il est fortement recommandé. En effet, plus il y a de collaborateurs qui votent, plus la délégation au sein des organes de consultation sociale est représentative. »
?
« Vous avez le choix entre trois syndicats la CGSLB, la CSC et la FGTB. Selon l’entreprise, chaque syndicat établit jusqu’à trois listes pour le Comité pour la prévention et la protection au travail une pour les ouvriers, une pour les employés et une pour les jeunes (collaborateurs de moins de 25 ans). Il en va de même pour le Conseil d’entreprise, mais il existe une quatrième liste pour les cadres. Chaque collaborateur élit naturellement les candidats au sein de sa catégorie : les ouvriers pour les ouvriers, les employés pour les employés, etc. En fonction des résultats des élections, les sièges sont répartis entre les trois syndicats. Les candidats ayant obtenu le plus de voix par syndicat occuperont ces sièges et représenteront les collaborateurs lors des concertations sociales avec la direction pour les quatre années à venir. »
« Pour la première fois, nous organisons un vote électronique à grande échelle. Nous avons déjà fait un test en 2012, mais le moment ne semblait pas propice à un déploiement de cette envergure. Aujourd’hui, nous optons pour cette solution. En tant qu’entreprise moderne, nous pensons qu’il faut aller de l’avant et nous voulons adopter pleinement l’informatisation. Ainsi, dans les bureaux de vote avec isoloirs, un ordinateur portable remplacera le formulaire de vote. Seuls les employés, les cadres et les jeunes de Colruyt Meilleurs Prix voteront encore sur papier, à la demande des syndicats. Comme pour les élections politiques, vous pouvez voter pour une liste ou pour des candidats spécifiques d’une liste. Les votes par voie électronique ne peuvent pas être invalidés, un bel avantage. »
POUR QUELS organes pouvez-vous voter ?
• Conseil d’entreprise :
« Le Conseil d’entreprise traite de la situation économique et financière de l’entreprise. La direction y informe en premier lieu les représentants des travailleurs des questions commerciales et sociales importantes : une restructuration, une acquisition importante, l’impact d’événements actuels tels que les manifestations d’agriculteurs... Le Conseil d’entreprise approuve également le règlement du travail, les modalités de congé et les horaires. »
• Comité pour la prévention et la protection au travail « Dans ce comité, l’employeur discute de nombreuses initiatives en matière de sécurité sur le lieu de travail. Les représentants des travailleurs peuvent alors donner des conseils ou des suggestions ou faire des commentaires. Étant donné l’attention croissante accordée au bien-être au travail, au burn-out, à l’ergonomie, à l’hygiène... ce comité gagne en importance. »
Notre groupe compte huit unités techniques d’exploitation (UTE), chacune rassemblant un groupe de travailleurs. Pour chaque UTE, les travailleurs concernés élisent un Conseil d’entreprise et un Comité de prévention et de protection au travail. Ces huit unités sont :
• Colruyt Group
• Colruyt Meilleurs Prix
• Okay/Bio-Planet/Cru
• Retail Partners Colruyt Group
• Dreambaby
• Bike Republic
• E-logistics
• Solucious
Kathleen Fontaine
CSC – Ouvriers
« Je défends les ouvriers au sein du Conseil d’entreprise de l’unité technique d’exploitation Colruyt Group pour mon syndicat. C’est pourquoi je tiens à rester informée de la situation économique et financière de l’entreprise. Je suis les chiffres de près et je veille à ce que les ouvriers profitent également des périodes fructueuses. En tant que représentante principale, je me concerte régulièrement avec les autres membres du syndicat. »
Peter Splingaer
FGTB – Ouvriers
« Je pense qu’il est important d’être impliqué dans les tenants et les aboutissants de l’entreprise et d’avoir son mot à dire lorsqu’il s’agit de réglementation du travail ou d’horaires. Au sein du Conseil d’entreprise et du CPPT, nous avons parfois des discussions difficiles, mais constructives afin de faire la différence pour tous les collaborateurs. Notre entreprise est de plus en plus diversifiée. Cela engendre des défis, et je veux y contribuer. »
Albert Donkerwolcke
CSC – Ouvriers
« Le Conseil d’entreprise me passionne : j’aime savoir comment l’entreprise se porte et garder un œil sur les chiffres. Dans le même temps, au sein du CPPT, je m’engage pour la sécurité des collègues : dans nos centres de distribution et de retour, mais aussi dans l’ensemble de l’entreprise. Le bien-être sur le lieu de travail est un sujet de plus en plus important. J’aime aider les gens, et c’est pourquoi je me mets à leur service. »
André Damoiseau
FGTB – Employés
« Depuis plusieurs années, je siège au Conseil d’entreprise et au CPPT de Colruyt Meilleurs Prix. En matière de concertation, j’estime qu’il est important d’obtenir des avancées collectives. Je tiens mes collègues informés des sujets financiers et sociaux. Et je conseille la direction sur des sujets relatifs au bien-être au travail, qui ont un impact sur les collaborateurs des magasins. C’est bien de donner la parole à ces collègues de cette manière. »
Michel Verbiest
CGSLB – Cadres
« En tant que membre du Conseil d’entreprise et du CPPT, je donne la possibilité aux cadres de l’UTE Colruyt Group de s’exprimer auprès de la direction et dans l’entreprise. Nous soulevons des questions d’intérêt général et nous nous efforçons de prendre des décisions qui profitent à la fois à l’entreprise et aux collaborateurs. Cela fait maintenant 12 ans que je fais cela et j’en tire toujours une grande satisfaction. »
Stéphanie Gautier
CGSLB – Cadres
« Pour moi, la relation entre les travailleurs et la direction est basée sur la confiance, dans un esprit positif et constructif. C’est ainsi que l’on peut faire avancer les choses ensemble. Je souhaite représenter mes collègues au sein de l’UTE Colruyt Meilleurs Prix, mais aussi connaître le travail sur le terrain. Car je veux donner le bon exemple, tant comme déléguée que dans mon travail. »
Fondée en 2008 et entièrement rachetée par notre groupe en 2021, Newpharma est née de la volonté de révolutionner l’industrie pharmaceutique en proposant une alternative numérique aux pharmacies traditionnelles.
L’équipe de La Gazette vous emmène découvrir ses coulisses à Wandre avec
Gilles Jourquin, directeur général, et Pierre De Lit, COO.
Une référence en matière de vente en ligne
« Newpharma est la plus grande pharmacie en ligne de Belgique. Nous proposons un assortiment de plus de 1 700 marques et 50 000 produits de pharmacie et parapharmacie délivrés sans ordonnance obligatoire à des prix avantageux. Notre objectif clé ? Faciliter l’accès à la santé préventive. Tous les produits de notre pharmacie certifiée proviennent de réseaux de distribution officiels, ce qui garantit une qualité optimale. Basés à Liège, nous disposons d’un réseau de quelque 2 000 points d’enlèvement en Belgique et effectuons des livraisons à domicile dans de nombreux pays : Belgique, France, Luxembourg, Pays-Bas, Allemagne, Autriche, Suisse, Espagne, Italie, etc. »
Un système de commande sans faille
« Nous expédions environ 10 000 commandes par jour. Chacune d’entre elles est analysée par notre équipe de pharmaciens. Ils veillent au bon usage des produits, fournissent des conseils et posent éventuellement des questions aux clients en cas de commande inhabituelle. Après validation, nos préparateurs de commandes prennent le relais, aidés d’assistants numériques personnels (PDA), qui leur indiquent où aller chercher et déposer les produits nécessaires. Nous disposons d’un stock de près de 25 000 références commandées régulièrement. Les produits achetés moins souvent nous sont livrés au quotidien par un grossiste en fonction des commandes reçues. »
L’innovation au service de la croissance
« En collaboration avec Smart Technics, nous avons déployé des robots du spécialiste de l’automatisation Scallog. Grâce à cette technologie, les opérateurs ne doivent plus se déplacer pour la mise en stock ou la préparation des commandes, ce sont les étagères de produits qui viennent à eux. Le logiciel fait se déplacer de manière automatisée les étagères contenant les produits nécessaires et indique aux opérateurs les produits dont ils ont besoin, la quantité et le bac dans lequel les placer. Alliant ergonomie et productivité, ce système traite actuellement 2 500 références environ. »
Newpharma en chiffres
• 325 collaborateurs
• 50 000 références
• 1 centre de distribution de 50 000 m2
• 168 millions d’€ de chiffre d’affaires*
* en 2022
Bien plus qu’un simple webshop
« Afin de nous distinguer de nos concurrents, nous proposons également certains services supplémentaires. Pharma Connect permet, par exemple, de prendre rendez-vous pour un entretien en ligne avec l’un de nos experts pharmaciens ou vétérinaires. Ils répondent aux questions et fournissent des conseils personnalisés en matière de médicaments, de nutrition, de sport, de sommeil, etc. Grâce à un autre service, le Nutri-Test, les clients peuvent évaluer leurs habitudes alimentaires, leur humeur et leur équilibre émotionnel, identifier d’éventuels déséquilibres ainsi que se voir recommander des compléments alimentaires adaptés à leurs besoins. »
Une semaine, trois fuseaux horaires et six vols... Annick Mievis et Geert Roels du département Achat ont rendu visite aux collègues de notre département d’importation Colimpo à Hong Kong et à Bangkok, ainsi qu’à certains fournisseurs. Un voyage intense, mais très instructif ! Voici le récit de leur voyage en Asie.
Hong Kong
En 2012, Colimpo a ouvert pour la première fois son propre bureau. Le point de chute ? Hong Kong, le centre financier asiatique. L’objectif ? L’approvisionnement direct en produits alimentaires. « Grâce à Colimpo, plus besoin de passer par des intermédiaires tels que les importateurs », explique Annick, cheffe de la division Achat. « Nous pouvons collaborer plus directement avec les fournisseurs, garder davantage de contrôle sur le processus logistique et accroître le savoir-faire de nos acheteurs en Belgique. Cela s’applique non seulement à Colruyt Meilleurs Prix, mais aussi à l’ensemble de Colruyt Group, ainsi qu’aux achats indirects, comme nos étiquettes de prix électroniques. »
« Les merchandisers de Colimpo ne se limitent pas au marché asiatique : ils recherchent des producteurs dans le monde entier. Ils sont attentifs au prix et à la qualité du produit, ainsi qu’aux conditions de travail des ouvriers. Ils effectuent donc également des tests de produits et se rendent chez les fournisseurs pour vérifier la qualité de la production. Des contrôleurs de qualité à Hong Kong
sont également employés par notre service Qualité pour inspecter le contexte social. »
« C’était formidable de voir l’équipe de Hong Kong en personne – après tout, les 15 membres de l’équipe sont aussi des collègues du département Achat ! Ces discussions informelles sont tout aussi précieuses que les réunions officielles. »
« Le contact direct est également très important pour les collègues à l’étranger », poursuit Geert, directeur Achat. « Dans leur culture, la hiérarchie est très respectée : rencontrer leur chef de division et leur directeur a une grande signification pour eux. C’est particulièrement vrai pour l’équipe de Bangkok, car c’était la première fois que nous lui rendions visite. En 2022, Colimpo a ouvert un deuxième bureau dans cette ville – où travaillent actuellement trois collaborateurs – à la suite des restrictions imposées par la pandémie et de nouvelles réglementations en vigueur à Hong Kong. Bangkok nous a semblé être le lieu de prédilection en raison de sa proximité géographique avec les productions et les talents locaux. Nous ne mettons désormais plus tous nos œufs dans le même panier. »
Bangkok
Lors de notre visite – comme à Hong Kong – nous avons donné une explication stratégique des choses qui changent au sein du groupe. Les équipes sur le terrain ont présenté un aperçu de leurs activités : recherche de fournisseurs et de produits, facilitation pour les acheteurs et accompagnement de leurs déplacements, appels d’offres... J’aime les écouter raconter ce qu’ils vivent et ce à quoi ils sont confrontés. »
Fournisseur
« La Thaïlande a une économie relativement moderne et les conditions de travail y sont généralement meilleures que dans d’autres pays asiatiques », explique Annick. « Nous l’avons constaté de nos propres yeux lors de notre visite chez un fournisseur de riz thaï avec lequel nous travaillons. Nous avons visité l’usine et les champs. Cela nous a permis de comprendre et d’expérimenter son fonctionnement. On nous a expliqué la culture du riz, l’impact du changement climatique et les différences avec certains pays. »
« J’ai été surpris de voir à quel point le pays est sensibilisé à l’écologie », ajoute Geert. « En Thaïlande, il y a déjà beaucoup d’entrepreneurs soucieux de l’environnement et d’entreprises où l’écologie et la durabilité sont en plein développement. Avec le Green Deal européen, l’approvisionnement durable devient de plus en plus important – à la fois en matière d’environnement que d’aspects sociaux – et nous avons obtenu des informations intéressantes à ce sujet au cours de notre visite. En tant que responsables de la politique d’achat, il est indispensable de voir comment cela fonctionne dans la réalité et d’avoir une vue d’ensemble de la situation. »
Fournisseur indien de fruits et légumes
« Des contrastes frappants en Inde »
« Pour Geert et moi, c’était la première fois que nous allions en Inde », nous dit Annick. « À Nashik, nous avons visité Sahyadri Farms, une entreprise agricole et agroalimentaire dans laquelle le holding Korys de la famille Colruyt détient une participation. Il s’agit de l’un de nos fournisseurs de fruits et légumes. Il aide les petits agriculteurs à vendre leurs produits, assure la formation des cultivateurs, vend des machines... »
« La production propre de l’entreprise est principalement axée sur la recherche et le développement », ajoute Geert.
« Elle teste la manière de rendre les variétés plus résistantes aux maladies et transforme les fruits et légumes en biogaz. En matière de technologie agricole, elle est donc à la pointe du progrès. En revanche, nous avons vu de grands halls remplis de femmes épluchant des fruits secs à la main. En ce qui concerne les conditions de travail, le fournisseur de riz thaï a obtenu de meilleurs résultats. »
« Nous optons naturellement pour un maximum de produits belges. Mais nous importons, par exemple, des poivrons qui ne sont pas cultivés localement en quantité suffisante pour en proposer toute l’année. C’est là que Sahyadri Farms s’organise : nous avons tout de suite remarqué la diversité des cultures lors de la visite de l’entreprise. D’autres dynamiques du commerce mondial sont également apparues. Des informations nécessaires pour anticiper et planifier à long terme. Un précieux voyage donc ! »
Avec un sens du détail aussi aiguisé que leurs compétences organisationnelles, elles représentent les forces tranquilles qui maintiennent l’ordre dans la vie trépidante de notre direction. Un regard en coulisse avec Dorien De Nie et
À quoi ressemble une journée type pour vous ?
Dorien • « Oh, nous faisons 1 001 choses ! (rires) Rédiger les rapports de réunions, faire le suivi des tâches, envoyer des notes au nom des directeurs… »
Nancy
« En tant qu’assistante de direction, il faut être un caméléon et s’adapter rapidement à la situation » - Dorien
Votre travail a-t-il changé au fil des années ?
• « En fait, notre objectif principal est de veiller à ce que la journée de travail de notre direction soit structurée. Et si un imprévu survient, nous sommes là pour éteindre les incendies. »
Dorien • « Nous veillons aussi à ce qu’il y ait de la nourriture pour une réunion si le catering n’est pas prêt à temps. (rires) Il faut être un caméléon et s’adapter rapidement à la situation. »
Nancy • « Heureusement, nous disposons d’un bon réseau et de collègues toujours prêts à rendre service. Cela nous aide à faire avancer les choses rapidement. »
Dorien • « Une grande partie de notre travail consiste également à gérer l’agenda, et donc à déplacer souvent les réunions. Il faut aimer les casse-têtes… Et être capable de bien évaluer ce qui est urgent. »
Vous surveillez donc également les priorités.
Dorien • « Bien entendu ! Quels e-mails ou documents doivent-ils lire immédiatement, qu’est-ce qui peut attendre ? J’essaie vraiment de limiter le nombre de questions urgentes pour leur faciliter la tâche. Pour mon ancien directeur, j’indiquais même les informations les plus importantes en fluo et le reste, il le lisait à peine. » (rires)
Nancy • « Il est donc préférable d’être au courant du contenu. »
S’agit-il souvent de projets confidentiels ?
Dorien • « Oui, tout de même. La discrétion est très importante, et ce n’est pas toujours évident, car on ne sait pas nécessairement qui est au courant et qui ne l’est pas. Le silence est donc le mot d’ordre. Même entre nous ! » Nancy • « D’autant plus que nous sommes une entreprise cotée en bourse. Le fait que nous soyons fiables et dévouées à 100 % renforce le lien de confiance avec la direction. »
« Le fait que nous soyons fiables et dévouées à 100 % renforce le lien de confiance avec la direction » - Nancy
Nancy • « Oui ! Auparavant, en tant qu’assistante, il fallait en quelque sorte s’assurer que le directeur ait bien son café. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. En outre, tout se faisait sur papier. Les contrats, par exemple, sont désormais en format numérique. Nous redoublons de vigilance quant aux courriers indésirables : nous faisons vérifier beaucoup d’e-mails ! » Dorien • « Nous étions également toujours présentes au bureau. Les collègues venaient donc souvent nous voir pour planifier une réunion, par exemple. Aujourd’hui, nous sommes plus souvent en télétravail et ils utilisent principalement le chat sur Teams. »
Devez-vous être joignables à tout moment ?
Nancy • « Non ! Il m’arrive de recevoir un message le soir, mais c’est plutôt en guise d’aide-mémoire pour nous deux. »
Dorien • « Lorsque je reçois un message de Stefan tardivement, je sais que c’est réellement important » (rires)
Les directeurs sont-ils très différents ?
Nancy • « J’ai déjà travaillé pour un certain nombre de directeurs comme Frans Colruyt, Marc Hofman et maintenant Jo. Ils ont chacun leur style et c’est ce que je trouve chouette justement. »
Dorien • « Stefan est le deuxième directeur pour lequel je travaille. Alors que le premier préférait le papier, Stefan préfère le numérique. Cela fait dix ans que je travaille avec lui. Et chaque fois qu’il a changé de fonction, il m’a demandé de l’accompagner. Nous connaissons nos points communs et nous nous comprenons rapidement. »
Quel a été votre projet le plus mémorable ?
Dorien • « Ma première mission en tant qu’assistante de direction consistait à faire imprimer et relier un document top secret à la dernière minute. “Veillez sur ce document comme si c’était la prunelle de vos yeux”, m’a dit le directeur de l’époque. Je me suis donc dépêchée de me rendre dans notre imprimerie et je me suis installée sur une chaise à côté de l’imprimante. » (rires)
Nancy • « Encore tout frais dans nos mémoires : l’événement d’adieu pour Jef Colruyt. C’était unique d’assister aux coulisses de cet événement. »
Enfin, le 18 avril c’est la Journée des assistantes de direction, anciennement appelée Journée des secrétaires. Recevez-vous des fleurs à cette occasion ?
Nancy • « Parfois ! Certaines années, ils y pensent, d’autres pas ! » (rires)
Stefan et Jo, vous savez ce qu’il vous reste à faire !
C’est probablement en 1984 que Colruyt a organisé ses tout premiers fitomètres : une formation en informatique ainsi qu’une visite de l’usine de torréfaction et de la fabrique de fromage à Passendaele. Entre-temps, les visites de fournisseurs sont devenues une pratique régulière pour inspirer les collaborateurs sur les produits de nos magasins.
Bien dans sa tête
« Dans les années 1980, “fitomètre” était un terme courant pour désigner les parcours de fitness qui encourageaient les gens à bouger », explique Piëdro Vander Steene, coordinateur pour les fitomètres chez Colruyt Meilleurs Prix. « À l’époque, chez Colruyt, on voulait aussi exercer notre esprit. Par exemple, en organisant des formations de développement personnel ou des visites chez les fournisseurs pour inspirer les collaborateurs de manière authentique. En effet, sur un tel site de production, on voit, on entend, on sent, on ressent et on goûte toutes sortes de choses. En jouant sur les sens et en rendant les collaborateurs enthousiastes, ils transmettent eux-mêmes cette expérience en magasin à leurs collègues et à leurs clients. De cette manière, ils se développent également sur le plan commercial. »
« Nos fitomètres sont principalement destinés aux collaborateurs des magasins Colruyt. Les collègues d’Okay effectuent eux-mêmes quelques fitomètres, et Bio-Planet a ses journées d’expérience. Les collègues de notre logistique et de notre production sont également les bienvenus. Par exemple, si nous rendons visite à un éleveur de bovins cet automne, cela pourrait certainement intéresser les bouchers de Fine Food Meat. Les fitomètres sont payés par l’entreprise, mais ils se déroulent en temps propre en tant que participant, vous investissez donc sept heures de vos heures à récupérer. Nous partons en effet du principe que vous suivez le fitomètre en raison de votre intérêt personnel pour un produit ou un fournisseur. Pour assurer le fonctionnement normal du magasin, nous ne les organisons pas à des moments de grande affluence tels que les vendredis, les périodes de vacances ou les semaines comportant un jour férié. Il est également important que le fitomètre fasse partie de votre semaine de travail et ne soit donc pas programmé un jour de repos hebdomadaire. Ce jour de repos sert à autre chose. En utilisant un jour de récupération, vous gardez un équilibre entre votre vie professionnelle et votre vie privée. »
« Chaque année, le programme de quelque 80 fitomètres est renouvelé et optimisé. En collaboration avec les départements Marketing et Achat, nous examinons les catégories de produits intéressantes, puis nous recherchons des fournisseurs – de préférence belges – dont l’histoire est inspirante. Nous voulons que l’offre corresponde le mieux possible à l’évolution de l’assortiment et des ventes. Les produits frais représentent une part importante du chiffre d’affaires des magasins il est donc logique de visiter une fromagerie, un producteur de fruits, un marché aux poissons ou aux légumes. Mais les fournisseurs évoluent avec les tendances, donc notre offre aussi. Par exemple, lors de notre visite à la brasserie Het Anker à Malines, nous avons mis l’accent sur la gamme de produits sans alcool. À l’automne, nous le mettrons sur le bien-être des animaux lors d’une visite chez un éleveur de poulets Bien-être et chez un éleveur de bovins. Et bien sûr, les agriculteurs belges et leurs produits font partie de notre programme. »
Less is more
« Ce ne sont pas seulement le programme et le contenu des fitomètres qui ont évolué au cours de ces quarante années. Il nous arrivait de rendre visite à plusieurs fournisseurs sur une journée. Aujourd’hui, nous essayons de limiter cela nous donnons aux fournisseurs tout le temps et l’espace nécessaires pour raconter leur histoire. Il ne s’agit pas d’un discours commercial, mais d’une source d’inspiration. Chez le fabricant de chips Croky, par exemple, vous découvrez le processus qui mène de la pomme de terre à la chips dans le sachet. Nous avons aussi supprimé le trajet en bus : nous avons constaté que de nombreux participants se rendaient sur le site en voiture. Désormais, nous nous donnons rendez-vous sur un site de Colruyt Group à proximité et nous nous rendons ensemble chez le fournisseur. Et oui, les menus trois services que l’on nous servait parfois auparavant sont devenus l’exception aujourd’hui. » (rires)
« Chez les fournisseurs, on voit, on entend, on sent, on ressent et on goûte toutes sortes de choses. On transmet ensuite cette expérience en magasin aux collègues et aux clients » - Piëdro
En avant pour 40 nouvelles années
« L’objectif est bien sûr d’encore organiser des fitomètres pendant les 40 prochaines années. (rires) Certains sont intemporels. Par exemple, je me souviens avoir rendu visite à un producteur de fruits dans le Limbourg au début des années 2000. J’ai été particulièrement impressionné par l’amour avec lequel ces personnes traitaient leurs pommes et leurs poires. Lorsque je me suis rendu récemment chez un producteur de fraises, ce même sentiment m’est revenu : la passion de ces producteurs est fantastique ! Les fitomètres de ce type restent utiles.
D’autres activités sont continuellement adaptées aux besoins des participants. Par exemple, je m’attends à ce que nous nous dirigions de plus en plus vers de petits fournisseurs artisanaux. De même, les fitomètres concernant, par exemple, la transition protéique, le vin local et l’agriculture belge apparaîtront certainement de plus en plus dans notre offre à l’avenir. »
• Découvrez le programme des fitomètres dans le doc229.464
• Inscrivez-vous via l’Academy.Store sur notre portail.
Quel bonheur de se rendre au travail à vélo lorsque le beau temps est de retour ! Un choix responsable, bon pour l’environnement, mais aussi pour votre santé physique et mentale. Et chez Colruyt Group, nous vous donnons volontiers un coup de pouce.
Plus d’un tiers de nos collaborateurs se rendent au travail par un moyen de transport durable : en scooter électrique, en transports en commun, à pied ou... à vélo. « De plus en plus de collègues – ils sont aujourd’hui plus de 6 000, soit 22 % – se rendent chaque jour au travail en pédalant », explique Antoon Vander Putten, coordinateur pour la mobilité des collaborateurs. « Pendant les mois d’été, ils sont encore plus nombreux. En moyenne, ils
parcourent 7 km de leur domicile à leur lieu de travail. Cela représente plus de 80 000 km par jour, soit deux fois le tour du monde ! Un choix judicieux, car les déplacements à vélo sont bons pour la santé, l’environnement et le trafic routier. Nous souhaitons donc les encourager à poursuivre dans cette voie et espérons qu’ils inspireront ensuite d’autres collègues, afin que le nombre de cyclistes augmente encore. »
Se rendre au travail à vélo est également bon pour votre portefeuille. Que vous effectuiez tout le trajet à vélo ou une partie en transports en commun, vous avez droit à une indemnité vélo. « Depuis le 1er janvier 2024, l’indemnité vélo pour tous les collaborateurs de Colruyt Group Belgique est passée de 24 à 27 centimes par kilomètre, pour chaque jour de présence sur le lieu de travail et sans limitation de kilométrage », explique Antoon. « D’ailleurs, vous pouvez également demander cette indemnité pour une période inférieure à un an, par exemple si vous n’utilisez votre vélo qu’en été. En outre, le gouvernement a décidé d’introduire un plafond d’exonération fiscale à partir de cette année. Si votre indemnité vélo annuelle est inférieure à 3 500 euros, elle ne sera pas taxée. Si elle est supérieure, vous ne paierez des impôts que sur cette partie. Mais pour dépasser ce montant, il faut déjà parcourir plus de 64 km aller et retour. »
Bien entendu, vous pouvez vous rendre au travail avec votre propre vélo. Mais ceux qui s’engagent à effectuer au moins quatre cinquièmes de leurs trajets domicile-travail à vélo peuvent emprunter un vélo d’entreprise. Antoon « Vous avez le choix entre un vélo classique ou un vélo électrique, que vous pouvez aussi utiliser à titre privé. Nous avons également des solutions pour les personnes qui viennent travailler en train ou en bus et qui souhaitent se rendre à la gare et/ou en revenir à vélo. Dans les gares de Hal, Louvain, Gand, Malines, Londerzeel et Bornem, des vélos sont mis à votre disposition pour vous rendre sur votre lieu de travail. Vous avez en outre la possibilité d’opter pour un vélo pliant personnel et pratique pour effectuer les trajets entre votre domicile et votre lieu de travail d’une part, et la gare d’autre part. Dans tous les cas, vous avez droit à un équipement, tel qu’un casque et un vêtement de pluie. »
Pneu crevé, selle trop basse ou câbles de frein desserrés ? C’est ennuyeux, mais sur les sites de Wilgenveld à Hal, de Retail Partners Colruyt Group à Malines-Sud et de Zwijnaarde, les bricoleurs (du dimanche) peuvent se rendre aux bornes de réparation de vélos situées dans les hangars. D’ailleurs, ces bornes seront bientôt installées sur davantage de sites de bâtiments centraux. Antoon « Vous y trouverez une pompe à vélo, des clés, des tournevis et des démonte-pneus. Bref, tous les outils utiles pour effectuer des réparations simples sur les vélos. Et bien sûr, tous les collaborateurs des sites environnants peuvent également s’en servir. »
Découvrez notre brochure sur la mobilité dans le doc868.015
C’est ainsi qu’ensemble, nous avançons vers une vie plus saine, pas à pas.
Je change un pneu de vélo en 1’07” chrono !
1 minute, 6 secondes et 97 centièmes. Voilà le temps record avec lequel Dries De Caigny a remporté pour la troisième fois le titre de champion de Belgique de changement de pneu lors du salon Velofollies. Un geste qu’il effectue au quotidien chez Bike Republic à Roulers.
« Changer un pneu de vélo et le gonfler à 5 bars… J’ai fait cela des milliers de fois dans ma vie. Et pourtant, je m’entraîne encore chez moi pour trouver de petites astuces qui peuvent me faire gagner du temps. Je pense pouvoir descendre sous la minute. Si tout se passe bien... » (rires)
« Remplacer un pneu crevé est en fait la base du métier, mais je le fais toujours avec autant de plaisir. C’est d’ailleurs souvent par cela que j’entame ma semaine de travail. Pour m’échauffer… (rires) Nous sommes également très occupés avec l’entretien des vélos. Ce que j’aime par-dessus tout, c’est bricoler sur les vélos de course en effectuant des réglages minutieux, voilà ce qui me plaît. Mais on nous en confie de moins en moins. C’est incroyable de voir à quelle vitesse les vélos électriques ont pris la tête du peloton. »
« Parfois, pour effectuer un entretien, nous démontons entièrement le vélo pour ensuite le remonter de A à Z : nouveaux câbles, freins, rayons, roues… C’est très satisfaisant de pouvoir rendre un vélo comme neuf au client. Dans notre atelier, nous avons tous les outils nécessaires sous la main.
Clés – avec une couleur différente pour chaque taille – pour serrer les rayons, nettoyants aérosols, lubrifiant et huile pénétrante pour desserrer les boulons, pinces et poinçons pour réparer les chaînes, coupe-tubes pour raccourcir un guidon ou des tubes … »
« Maintenant que la saison cycliste a repris, nous avons suffisamment de travail pour cinq réparateurs et trois vendeurs. Et cela devrait être le cas jusqu’à la mi-septembre. Nous ne chômerons donc pas d’ici là… » (rires)
Rue des Pitas
« En 1985, à l’âge de 24 ans, je décidais de quitter ma Grèce natale pour venir m’installer en Belgique. À l’époque, trouver un emploi là-bas n’était pas évident en raison de la situation économique. Je suis donc venu travailler pour mon ex-belle-sœur, qui tenait le Snack Athènes, un restaurant grec situé dans la « rue des Pitas » – ainsi surnommée par les Bruxellois en rapport à tous les restaurants grecs qui s’y trouvent maintenant. (rires) Je suis arrivé avec l’équivalent de 50 euros en poche. Pour m’en sortir, j’enchaînais les boulots et travaillais jusqu’à 65 h par semaine. Ah, et je ne parlais pas un mot de français ou de néerlandais non plus. Je présente mes excuses à tous les clients à qui j’ai servi une pita avec oignons alors qu’ils n’aiment pas ça ! » (rires)
La Grèce en crise
« Par la suite, j’ai travaillé durant une dizaine d’années au sein de l’ambassade de Grèce, à Bruxelles. Cependant, en raison de la crise économique qui a frappé mon pays, j’ai été licencié en 2013, comme la moitié du personnel. Se retrouver sans emploi à 52 ans n’était vraiment pas évident ! Après quelques missions dans une chocolaterie ou encore une boulangerie industrielle, je suis arrivé chez Colruyt Group il y a 5 ans maintenant. D’abord en tant que préparateur de commandes et ensuite en tant
Avec plus de 90 nationalités en son sein, Colruyt Group fait la part belle à la diversité. Panagiotis Kilitijdis, responsable de bâtiment chez Solucious, a quitté la Grèce pour la Belgique il y a 39 ans avec l’équivalent de 50 euros en poche. « Tout ce que j’ai aujourd’hui, je ne le dois qu’à moi-même et j’en suis très fier. »
que responsable de bâtiment sur le site de Laekebeek de Solucious. Je m’y plais beaucoup et mes collègues sont très sympas. Heureusement d’ailleurs, parce que je les vois plus souvent que mon épouse ! (rires) Je suis content d’avoir trouvé un emploi stable, qui m’offre une bonne sécurité jusqu’à ma pension. »
Success-story
« J’ai beaucoup travaillé dans ma vie, mais je suis fier de mon parcours. Si je meurs demain, je suis serein, car j’ai fait plein de choses, et tout ce que j’ai, je ne le dois qu’à moi-même. Maintenant que j’approche de la pension, je profite davantage. Je retourne régulièrement en Grèce, par exemple, pour rendre visite à mon frère et mes neveux et nièces. D’ailleurs, j’y suis allé le mois dernier pour profiter des festivités à l’occasion de la fête nationale, qui se tient le 25 mars. Ça fait longtemps que je
ne l’ai plus célébrée en Grèce, les défilés, les costumes traditionnels et l’ambiance me manquent ! »
Joyau de la Méditerranée « La Grèce est un pays magnifique. Là-bas, il y en a pour tous les goûts : des montagnes dans le nord, où l’on peut skier en hiver, le soleil et la chaleur en été, la mer, des îles, de la bonne nourriture, etc. Et les gens y sont joyeux et très accueillants. Mais la crise économique de 2010 a eu un impact énorme. De nombreux commerces ont dû fermer leurs portes, les gens ne sortaient plus et ne profitaient plus comme avant. La vie y était très difficile à cette époque-là, surtout dans les grandes villes. Heureusement, le pays a récupéré et c’est toujours un plaisir d’y retourner ! »
Entre
Fléchettes en main, Andy Baetens se transforme en « The Beast ». Un surnom que lui ont donné d’autres joueurs de fléchettes.
« Parce que je suis une bête aux fléchettes probablement ? », dit-il en riant. Le collaborateur du magasin Spar de Hofstade est devenu le premier champion du monde de fléchettes de l’élite belge. Il se mesure aux plus grands dans les tournois du monde entier.
Dès le plus jeune âge
« Je joue depuis l’âge de huit ans. J’ai commencé à la maison avec mon père, sur une cible posée sur une chaise. Après m’être entraîné dans un café, j’ai intégré la compétition comme lui. Mais j’ai vite senti que je pouvais passer à un niveau supérieur et j’ai participé à des tournois à l’étranger. Cela m’a plu et voilà où j’en suis aujourd’hui… »
C’est du sérieux
« Je joue maintenant dans la PDC la Professional Darts Corporation ! L’ambiance y est différente de celle en semi-pros. Là, on pouvait rire et s’amuser, maintenant c’est du sérieux. Les 32 meilleurs joueurs vivent pour et de leur sport. Ils s’entraînent huit heures par jour, moi deux ou trois.
Je vais travailler à mi-temps pour m’entraîner plus souvent, mieux et avec plus de régularité atteindre rapidement un compteur à 0, lancer beaucoup de doubles et de triples 20… Lorsque je joue moins pendant quelques jours, je le remarque. J’ai besoin de plus de temps pour détendre mon bras, me concentrer et retrouver mon rythme. Pour me maintenir en bonne condition physique, je fais maintenant plus de vélo et de marche. Nous avons également un jeu de fléchettes dans notre magasin Spar, mais je ne m’y entraîne pas beaucoup. Je pense le moins possible aux fléchettes, sinon, je deviens fou. » (rires)
50 000 livres
« J’ai participé à quatre tournois majeurs et j’ai déjà affronté de grands noms comme Gary Anderson, Michael van Gerwen et Michael Smith. Les meilleurs du monde !
»
- Andy« Un joueur de fléchettes doit aussi faire preuve d’une certaine force mentale. Il faut parfois rester concentré pendant deux heures, sans se relâcher. Et réfléchir à ce que l’on dit et à ce que l’on fait. Au jeu de fléchettes, chacun est l’ennemi de l’autre. Mais je n’ai jamais eu peur ! (rires) À la PDC, ils sont plus stricts. Il faut rester calme. Un pas de travers peut engendrer de lourdes amendes. Si un joueur boit trop et n’est pas à la hauteur des attentes de l’association, par exemple. Nous sommes considérés comme des modèles. Le fait qu’il y ait beaucoup de concurrence est d’ailleurs logique, car il y a énormément d’argent en jeu. Pour vous donner une idée : lorsque j’ai remporté le Championnat du monde en semi-pros l’année dernière, cela m’a rapporté 50 000 livres sterling (± 58 000 euros, NDLR) Chez les pros, c’est dix fois plus ! Et un tournoi régulier passe de 1 500 livres à environ 35 000 livres ! »
Les sportifs belges
« J’ai déjà remporté plusieurs titres, dont la Coupe de Belgique à plusieurs reprises. Mais je suis surtout fier de ma victoire en Championnat du monde et de ma carte de tournée pour jouer avec les pros. J’ai travaillé dur pour les obtenir, ce qui me procure une belle sensation. Et c’est aussi une bonne chose pour le jeu de fléchettes en Belgique, ce sport est vraiment en plein essor ici. Les Belges sont d’ailleurs parmi les spectateurs les plus sympathiques. Lorsqu’une salle pleine scande votre nom, cela donne la chair de poule. Il n’y a pas de huées ici. C’est parfois différent à l’étranger. »
Dans le top mondial
« Je joue chez les professionnels depuis environ un mois et je suis classé 97e au niveau mondial. Je n’ai participé qu’à quatre tournois majeurs et j’ai déjà affronté de grands noms comme Gary Anderson, Michael van Gerwen et Michael Smith. Les meilleurs du monde ! Après neuf minutes de jeu contre Gary, je pouvais déjà aller me rasseoir. (rires) Il faut avoir de la chance avec le tirage au sort, mais aussi bien lancer tout de suite. Mon objectif est de me classer parmi les 64 premiers et de conserver ma carte de tournée. J’ai encore suffisamment de temps pour y arriver. De toute façon, je veux aussi jouer le Championnat du monde chez les pros à la fin de l’année. Et gagner encore un peu d’argent grâce aux fléchettes ! » (rires)
Entre nous • Sacrés collègues !
« Curieus » est une comédie musicale sur la vie de Marie Curie, la célèbre scientifique.
Dans le rôle principal, notre collègue Hilde Carens de Colruyt Group Technics.
Une passion depuis toujours
« Depuis mon plus jeune âge, j’avais envie de faire quelque chose dans le domaine musical. Adulte, j’ai finalement entrepris de m’inscrire au cours de comédie musicale de l’académie
Podium de Lier. Combiner le chant, la danse et la comédie relève du défi créatif, mais on reçoit tellement en retour. Se mettre dans la peau d’un personnage, être capable de transmettre n’importe quelle émotion, entrer en contact avec les gens dans le public, voir leurs réactions après coup... Voilà ce qui me plaît. »
Une production de l’académie
« En mai, je jouerai le rôle principal dans “Curieus”, le travail de fin d’études de deux étudiants au cours de Scénario et d’Arrangement Jazz/Pop/Rock. L’académie Podium de Lier a vu le potentiel de développer le scénario en une véritable production et a tout d’abord procédé à des auditions au sein de nos groupes de classe afin de répartir les rôles. Pour commencer ma formation musicale, j’ai également dû passer des auditions, mais là, c’était autre chose ! Un metteur en scène professionnel extérieur a apporté une perspective différente et m’a rapidement fait sortir de ma zone de confort. C’est vraiment génial de pouvoir interpréter un personnage comme Marie Curie, que j’admire beaucoup. »
Sauter vers l’inconnu
« C’est une production impressionnante. Par exemple, nous faisons des expériences sur scène, comme créer de la vapeur et faire changer les liquides de couleur. Outre le texte et la
chorégraphie, nous devons donc nous souvenir des tubes à essai dont nous avons besoin. Le spectacle demande beaucoup de préparation. Non seulement des mois de répétitions, mais aussi étudier par nous-mêmes pour apprendre les chansons, des leçons supplémentaires de technique vocale et l’enregistrement de scènes pour le reste de la troupe afin que nous puissions répéter nos répliques à la maison. Et tout cela avec un travail à plein temps et une famille Je suis des cours de comédie musicale depuis cinq ans, mais tout me paraît pourtant nouveau. Heureusement, je peux compter sur l’avis de personnes très expérimentées et qui ont de grandes connaissances. Cela me donne la confiance nécessaire pour me lancer dans l’inconnu. »
2 heures devant 500 personnes
« L’Association européenne de médecine nucléaire enregistrera et sous-titrera notre spectacle pour le distribuer dans les écoles européennes et initier les enfants à la science d’une manière accessible. L’enregistrement en lui-même ne m’angoisse pas il me laissera au contraire un souvenir impérissable. Ce qui m’angoisse par contre, c’est de me retrouver pour la première fois devant un public de 500 personnes pendant deux heures (rires) De nombreux amis et ma famille, ainsi que des collègues, viendront me voir jouer pour la première fois.... C’est excitant, un rêve d’enfant qui se réalise !
Envie de savoir s’il reste des places ? Rendez-vous sur musicalcurieus.be
Plus de trois cents ! Voilà le nombre de bouteilles qui composent la collection de Johan Pissoort, technicien chez Field Services et passionné de whisky.
Il organise également des dégustations pour son association
« Lietbeca Whisky Club ». « Récemment, des Irlandais sont venus spécialement en Belgique pour nous présenter leurs whiskys en avant-première. »
Une sélection rigoureuse « Fruité, acidulé, fumé... Je ne me cantonne pas à un seul goût, à une seule marque ou à un seul type de whisky. L’un de mes préférés est ma bouteille de “The English” de 2012. Il n’en existe que 258 dans le monde. L’arrière-goût change au fur et à mesure de la dégustation, une chouette expérience ! Je l’ai ouverte lorsque je suis devenu grand-père. Le fait que mon gendre ait été impressionné par son goût a flatté mon ego. Pour moi, il est important que tout soit parfait : l’aspect, l’odeur, le goût et la fin de bouche. Je n’achèterais pas un whisky avec une odeur d’alcool trop prononcée, même si tout le reste est parfait. Et puis, bien sûr, le prix est le facteur décisif. »
Mieux qu’un compte épargne « Les goûts varient. Certains whiskys restent en fût jusqu’à 50 ans. Pendant cette période, une partie du whisky s’imprègne dans le bois ou s’évapore. Cela augmente le coût, mais ne rend pas nécessairement le whisky meilleur. Tout comme le marketing l’étiquette, la bouteille, l’étui... Une bouteille emballée dans du papier peut ne pas payer de mine, mais c’est le contenu qui compte. C’est comme pour les gens ! (rires) Il existe des bouteilles à 10 000 euros, mais ma limite est de
250 euros pour une bouteille unique. Dans ce cas, je la conserve. C’est une chasse au trésor : si je découvre un excellent whisky, j’ose mettre le prix. S’il est plus demandé par la suite, les collectionneurs en donnent des sommes folles. Surtout pour les premières éditions. Cela rapporte plus qu’un compte épargne ! Comme je le dis à mes enfants : “C’est votre héritage” » (rires)
Une passion pour la dégustation
« Chaque dégustation se concentre sur un thème, une marque ou une distillerie. Nous y dégustons environ sept whiskys et en discutons ensuite. Le whisky contient au moins 40 % d’alcool. On ne reçoit qu’un seul verre de chaque sorte : deux centilitres. Au restaurant, c’est le double. Entre deux, je mange et je bois de l’eau. Mais je n’ajoute jamais d’eau ou de glace à mon whisky. Le rythme joue également un rôle important. Goûter un dram de whisky me prend parfois une heure ! Et lors des dégustations, il m’arrive rarement de tout boire. Ce n’est pas le but recherché. Ceux qui le font ne goûtent plus rien à la fin ! J’y vais pour les découvertes et pour échanger des expériences. Les restes sont mis dans des bouteilles pour la maison. Comme mes papilles gustatives ne sont pas affectées par d’autres boissons, je peux juger plus objectivement. Et acheter ! » (rires)
Colex
12/01/2024 Aaron Gabriel de Gaël Utshinga
Collect&Go
06/08/2023 Nathanael de Leon Kamachira Nzau
30/12/2023 Amber de Donath De Smet
10/01/2024 Oscar de Stefanie Heyvaert
Colruyt Group Academy
23/02/2024 Jasmijn de Paulien Ravelingeen
Colruyt Meilleurs Prix
04/10/2023 June de Svenia Streulens
13/11/2023 Rayli de Kim Smeets
06/12/2023 Axel de Séverine Bulcaen et Alexis Adriaenssens
22/12/2023 Mullqi d’Olimpia Kanalas
26/12/2023 Mageno de Maecy Hosteaux
28/12/2023 Lucy de Koos De Kleine
30/12/2023 Ellie de Zenobie Vandermeulen
30/12/2023 Killian de Tatiana Verdyck
07/01/2024 Siënna de Dana Bouts
08/01/2024 Salimatou de Mouhamed Sylla
09/01/2024 Al Jalila de Mory Keita
10/01/2024 Achille de Benjamin Franck
10/01/2024 Nelia de Massimo D’Agnano
10/01/2024 Olivia d’Olivier Hardiquest
11/01/2024 Nele de Seidi Decime
12/01/2024 Lizzy de Larissa Dirkx
12/01/2024 Loélia de Celia Gratton
13/01/2024 Kabiheir de Mussie Alemokbai
15/01/2024 Elena de Quentin Cacciatore
17/01/2024 Andréa de Jessica Ferraro
18/01/2024 Nolan de Cindy Fontaine
19/01/2024 Lyam de Conny Vandervoort
19/01/2024 Marielou d’Ann Coppens et de Glen Noët
22/01/2024 Ella-June de Jonathan Vlassenroot
24/01/2024 Lena d’Ilona Vandenberghe et de Stephanie Hautekeete
25/01/2024 Owen de Morgane Severyns et Svenn Salvesen
26/01/2024 Loewis d’Elias Clarysse
29/01/2024 Eden de Jocelyne Mopondele Kasa
30/01/2024 Cézar d’Indy Verschelden
30/01/2024 Rémi de Bryan Piens
31/01/2024 Kenji de Jennifer Daneels
02/02/2024 Finn de Bruno De Schuyter
03/02/2024 Anas de Bouchaïb El Badr
03/02/2024 Myrthe de Lieselot De Vleminck
05/02/2024 Léa de Christophe Rennoir
05/02/2024 Thibaut de Wouter Vanhollebeke
06/02/2024 Lyo de Kevin Van Laethem
06/02/2024 Medard de Steven Testaert
09/02/2024 Axel de Kimberly van Doorn
09/02/2024 Margaux de Jonathan Bourgeois
14/02/2024 Evan de Fanny Draguet
15/02/2024 Nina de Frederic Borremans
15/02/2024 Nisa Sofie Maria de Davidson Ary Dos Santos Brito
15/02/2024 Yari de Jordy Maes
16/02/2024 Mila et Nora de Melissa Vanderstichelen
16/02/2024 Moira de Layos Vandenbroucke
19/02/2024 Gabriela de Jessica Silva Valdebenito et Thomas Bailly
19/02/2024 Lohÿs d’Anais Sacré et de Quentin Schuind
22/02/2024 Olivia de Stephanie Bervoets
27/02/2024 Lyam de Jordan Herlin
02/03/2024 Noémie de Jolien Delanghe
Corporate Services
09/01/2024 Eden de Jessica De Landtsheer
Customer Services
01/02/2024 Chloé de Lien Engels
Dreambaby
20/02/2024 Gisèle Monique de Shana Gruyaert
Fine Food
11/12/2023 Aaron d’Amewuga Komivi
07/01/2024 Angela de Misca Toeka Kiese
07/01/2024 Inaya de David Scarteddu
12/01/2024 Kelya Kekely de Laté Blewu Lawson
15/01/2024 Matteo de Daisy De Visscher
27/01/2024 Amadou Tidiane de Bissiriou Diallo
08/02/2024 Hailey d’Andy Kiekens
IT
04/01/2024 Dre de Siska Troost
18/01/2024 Vince de Robin Van den Borre
01/02/2024 Chloé de Dylan Arnoes
14/02/2024 Lucas de Jeroen De Man
16/02/2024 Marie de Jitse Vanreepinghen
24/02/2024 Daan de Sander Nechelput
Marketing Communication Services
02/02/2024 Aster de Dieter Van Rossem
Okay
21/12/2023 Noé de Shana De Herdt
21/12/2023 Seppe de Michiel Van Bladel
03/01/2024 Tille de Benjamin Van de Velde
09/01/2024 Léon d’Elise Vancamelbeke
12/01/2024 Amos d’Elise Vanhuysse
15/01/2024 Mattheo de Virginie Leus
19/01/2024 Ellie de Ruben Vergouwen
23/01/2024 River de Kathy Mergits
29/01/2024 Pablo de Thomas Alliet
31/01/2024 Oden de Sarah Pless
02/02/2024 Zehra d’Hayrunnisa Eryilmaz
06/02/2024 Lyo de Lincy Arents
06/02/2024 Nour de Gary Henao Carmona
15/02/2024 Finn de Jens Peeters
21/02/2024 Flin d’Hannes Sterckx
People & Organisation
08/01/2024 Wout de Tine Vermeyen
29/01/2024 Lenn d’Ilke Michiels
Retail Partners Colruyt Group
24/01/2024 Naéllio Chris d’Athina M’Polo
01/02/2024 Nouïs de Jordi Verstraeten
Solucious
23/12/2023 Ambla de Domeniko Kurti
08/02/2024 Olivia Domingas de Piter Barroso Tando
Supply Chain
27/12/2023 Adelin de Stéphane Roque Garcia
01/01/2024 Gloria d’Arnaud Tamto
03/01/2024 Améliano de Sebastien De Becker
03/01/2024 Amina de Saadellah Merehoum
09/01/2024 Maryline-Christivie de Patrick Diyoka Kongolo
10/01/2024 Aya d’El Bekkay Dkhissi
12/01/2024 Eva de Nicolas Van Der Loo
12/01/2024 Thierno Ibrahima d’Abdoulaye Sow
14/01/2024 Bonheur de Benoit Kokolo
14/01/2024 Lizzia d’Alessia Giuliani
14/01/2024 Mohamed Lamine de Mamadou Bah
23/01/2024 Fatima d’Omar Siraj
23/01/2024 Helena de Diederick Breysem
23/01/2024 Leylim d’Ibrahim Ince
26/01/2024 Rachel d’Osakanu Mukumadi
01/02/2024 Kamil de Frederic Deneubourg
08/02/2024 Louca de Laura Tilmant
10/02/2024 Élie et Léonie de Geoffrey Barez
14/02/2024 Evan de Kevin Dupont
20/02/2024 Alma de Frederic Tilmant
23/02/2024 Camille de Nicolas Leneuf
26/02/2024 Jelani de Jonathan Boyamba
27/02/2024 Adam de Rouchdi El Messaoudi
Symeta Hybrid
15/02/2024 Xander d’Alexandra Lukacs et de Julien Lauwereys
Technics
19/12/2023 Kobe de Glenn De Vrieze
02/01/2024 Alex d’Amelien Laenen
03/01/2024 Anna de Karel Fleurbaey
15/01/2024 Saja de Salem Abaamrane
25/01/2024 Leah de Margo Parmentier
27/01/2024 Elli de Femke De Lignie
29/01/2024 Lior de Thomas Broquet
30/01/2024 Marie de Kenny Cap
30/01/2024 Rémi de Yoline Van Daele
05/02/2024 Natéo de Gregory Boeve
23/02/2024 Mia de Kévin Riga
Bio-Planet
06/01/2024 Remi Naudo et Yadam Davaa
Colruyt Meilleurs Prix
20/01/2024 Christophe Petit et Céline Villa
03/02/2024 Femke Verhelst et Wouter Roose
Corporate Services
25/01/2024 Rob Heylen et Jozefien Goossens
IT
10/02/2024 Thomas Cokelaere et Ena Lambert
Vous avez une chouette idée d’article pour La Gazette ? Transmettez-la à l’un de nos correspondants. Et qui sait, votre proposition sera peut-être retenue pour la prochaine édition.
Corporate
Stefanie Geeroms
Customer Services
Elke Smulders
Finance
Annelies Deknopper
Avril
Patrick Craninx
Juin
Wilfried Cattaert
Novembre
Eric Vekeman
Janvier
Pierre Dardenne
Février
Patricia Celerier
Sandrino Danzo
Patrick De Groodt
Luc Deville
Marie-Hélène Devos
Luc Durinck
Rene Evens
Paula Feyen
Luc Ghyselinck
Luc Goossens
Eddy Hemels
Carine Marcelis
Marc Meuleman
Myriam Reverse
Anita Robijn
Marc Roelands
Myriam Steens
Rita Van Den Nest
Willy Van Der Smissen
Odette Van Impe
Marie-Christine Verstraete
Arielle Wacheul
Mie Wastiels
Thierry Zinque Mars
Rudy Bellemans
Bruno Bertels
Danny Bogemans
Denis Bruyndonck
Beatrice Courtois
Danny Deseure
Gisele Desmedt
Greet Dewachter
Marc Fostier
Constantino Ghikas
Yves Hanssens
Noella Meeremans
Annemie Mommaerts
Eric Noppen
Rudi Tytgat
Philip Van den Broeck
Jean-Pierre Vandeghinste
Fine Food
Laura De Rycke et Sven Wayenberg
IT Henk Ruttens
Marcom Services
Benoit Van Trimpont
People & Organisation
Kelly Vanhecke
Retail Partners
Colruyt Group
Astrid Desmet
Supply Chain & Transport
Toon Vandesande
Symeta Hybrid
Wendy De Greef
Technics & Real Estate
Maya Stevens
Bike Republic
Bart Vandermaelen
Bio-Planet
Kristel Adriaens
Collect&Go
Helle Detavernier
Colex
Iris Missiaen
Colruyt France
Anthony Poulachon
Colruyt Group
Academy
Riemer
Vanden Berghe
12/01/2024 Frank Van Hecke
24/01/2024 Franck Chopin
21/02/2024 Steven Coppens
Colruyt
Meilleurs Prix
Stéphanie Fagot et Anja Vonck
Cru Melanie Simons
Dreambaby
Glynis O
Jims
Soetkin Verkest
Newpharma
Ludivine Smets
Okay
Tim Junius
Solucious
Isabelle Goossens
Vous avez de chouettes clichés de vos collègues et vous ? Ou vous êtes l’heureux détenteur d’une photo d’antan ? Envoyeznous un e-mail (gazet@colruytgroup.com) ou un direct (GAZET).
En tant que membre de notre équipe de soutien Événements traumatisants, Dominique Wollaert apporte son aide aux équipes qui doivent faire face à des situations inattendues ayant un impact majeur sur elles.
Les collègues de l’équipe de soutien Événements traumatisants offrent leur aide aux personnes qui sont confrontées à des situations brutales telles qu’une attaque en magasin, un accident de travail grave ou le décès d’un·e collègue.
« Il y a quelque temps, lorsque j’étais cheffe du département Customer Services, j’ai moi-même vécu le décès d’un collaborateur. Toute notre équipe était très affectée. Et malgré tout, je devais veiller au bon fonctionnement du service. C’était vraiment réconfortant de pouvoir compter sur les collègues qui nous ont aidés. Lorsqu’un appel à rejoindre l’équipe de soutien a été lancé, je n’ai pas hésité un seul instant. Je voulais moi aussi aider les autres ! »
« Nous avons d’abord suivi une formation de trois jours. Avant de me lancer dans une intervention en duo, j’ai observé des collègues expérimentés pendant quelques mois. Avec notre équipe, nous assurons toujours la première prise en charge : offrir une oreille attentive, apporter notre aide pour les choses pratiques, donner des conseils… Le plus important est d’être présent, tout simplement, d’apaiser les personnes dans le chaos et de créer un espace pour évacuer les émotions. »
« La première fois que j’ai apporté mon aide, c’était lors du décès de l’enfant d’un collègue, un événement qui touche tout le monde naturellement. Mais j’ai tout de suite tiré beaucoup de satisfaction des réactions positives et de la gratitude des gens. Il faut parfois se libérer le week-end pour des interventions, mais c’est un petit effort comparé à la reconnaissance que l’on reçoit. »
Envie de faire partie de l’équipe Événements traumatisants ? Adressez-vous à votre chef.
Les membres de l’équipe de soutien aident leurs collègues sur le plan psychologique lors d’une cinquantaine d’interventions par an. C’est ainsi qu’ensemble, nous avançons vers une vie plus saine pas à pas.
Eric Vanbiervliet: « À travers cette expo, nous souhaitons regrouper des histoires du passé et les faire revivre. Les premières photos sont à découvrir au rez-de-chaussée de Wilgenveld. »
Vous aussi, vous soutenez une initiative durable au travail ? Envoyez-nous un e-mail à l’adresse gazet@colruytgroup.com ou envoyez un direct à GAZET.
De nombreuses histoires circulent au sein de Colruyt Group, accompagnées d’autant d’objets et de photos d’un lointain passé. Le centre d’expertise Identité & Culture souhaite se pencher sur la question. « Notre objectif est d’organiser régulièrement une petite exposition autour de thèmes chers à Colruyt Group : l’esprit d’entreprise, le leadership, nos collaborateurs… », explique Eric Vanbiervliet. « Ce genre d’expo regroupe un certain nombre d’histoires du passé et les fait revivre. Après tout, les images et les objets en disent long sur les raisons pour lesquelles nous avons fait certains choix en tant qu’organisation. Pour comprendre où on va, il faut savoir d’où on vient. Voilà pourquoi il est important d’établir un lien avec le groupe d’aujourd’hui et de demain. »
« Le rêve de notre centre d’expertise est de disposer d’un espace d’exposition interactif, comme un vrai musée. Mais nous débutons modestement, avec des ressources limitées, pour pouvoir acquérir de l’expérience. Nous avons donc réalisé un petit test vous pouvez dès maintenant admirer les premières photos sorties des cartons au rez-de-chaussée des phases 1, 4, 5 et 6 de Wilgenveld. Pour découvrir en détail l’histoire qui se cache derrière la photo, il suffit de scanner le code QR qui se trouve à proximité. »
« Le lien vous amène sur notre site web où nous avons rassemblé toutes les photos. Nous invitons aussi chaque collaborateur à partager leur propre histoire d’entrepreneuriat car, comme le principe du groupe l’énonce si bien, “tout le monde est entrepreneur”. Chaque histoire reçue alimentera notre page web qui deviendra alors une abondante source d’inspiration. »
Ne manquez pas l’occasion de jeter un coup d’œil aux posters du rez-de-chaussée de Wilgenveld ! Ils partiront peut-être prochainement vers d’autres emplacements comme Dassenveld et Hellebroek.
Découvrez les premières photos et/ou partagez votre propre histoire !
Vous souhaiteriez partager une photo d’archives avec nous ? Envoyez un e-mail à gazet@colruytgroup.com ou un direct à GAZET.
Je trouve super que chez Bio-Planet la viande soit fraîchement découpée sur place dans la boucherie. C’est un véritable soulagement en ces temps où tous les aliments sont préemballés. Je suis prêt à faire le trajet rien que pour cela. Continuez comme ça !
Bonjour, Nous avons à nouveau bénéficié d’une aide fantastique pour nos achats. Nous avons également apprécié notre café dans le Cuit. C’est un plaisir de vous rendre visite ! À bientôt !
Greta
Notre enseigne préférée dans notre journal préféré tous ensemble pour nos agriculteurs belges – voilà de quoi bien commencer la journée ! Il ne nous reste plus qu’à espérer que le message sera compris (également par nos agriculteurs) et que tout le monde, y compris l’Europe, se rangera de leur côté... Bonne journée à tous :-)
Myria
Le menu de fête d’OKay était vraiment top ! Nous avons pris quatre menus poisson. Tout était délicieux, de l’apéro au dessert. Il y avait bien plus qu’assez, tout était bien emballé et savoureux. Et cela pour un prix plus que démocratique. À refaire ! Félicitations au chef et à toute l’équipe Okay.
Bien à vous,
Jef
Billie est magnifique ! Je déposerai certainement à nouveau notre liste de naissance chez vous !
Je souhaiterais recevoir le formulaire d’inscription de « À table pour 1-2-3 euros ». Je travaille pour l’organisation Familiehulp et c’est une super initiative qui va certainement faire des heureux !
Après ces derniers jours difficiles, je souhaite adresser un compliment au personnel du magasin Okay de Boutersem ! Mardi après-midi, tous les rayons étaient déjà bien remplis et tout le monde s’activait, car un camion arrivait pour une nouvelle livraison. La dame que je pense être la gérante donnait un coup de main lorsque je l’ai entendue dire « Oh, je suis contente » :)
On voit que le magasin de Boutersem est bien géré et le personnel est toujours aimable et serviable. Cela mérite des félicitations :)
Ceci étant dit, je comprends également les préoccupations des agriculteurs. Il est évident que leur contribution dans la société est essentielle.
Ilse
Aujourd’hui, nous sommes allés faire nos courses dans notre magasin Colruyt habituel à Wondelgem où nous avons été aidés à la caisse par un étudiant jobiste. Nous avons retrouvé son nom sur notre ticket de caisse : Ivaylo. Un super gars ! Rapide et serviable.
Planter des arbres ensemble
Une cinquantaine de collègues de Solucious, accompagnés de membres de leur famille et de l’organisation De Bosgroepen, ont mis la main à la pâte lors d’une campagne de plantation d’arbres à Bornem. « Ensemble, nous avons planté 410 arbres », déclare Inne Impens de Solucious. « Parmi ceux-ci, 200 ont été financés par Solucious afin de compenser une partie des émissions de CO2 d’un événement organisé pour nos clients. Un grand merci à tous les participants ! »
Les gérants et chefs bouchers du Colruyt de Campine ont également dévoilé leur côté durable. « Depuis l’année dernière, la rivière Amelvonnesbeek serpente à nouveau à travers le Jardin botanique de Meise », raconte Frederik Budts. « Nous avons aidé le collectif Bûûmplanters à reboiser la réserve naturelle du Valleibos. Une action que nous avons pu entreprendre grâce notamment aux points épargnés par nos clients via l’app Xtra. »
Le Grand Saint est rentré au paradis depuis un moment déjà, mais au judo club de Kortemark, on se souvient encore de son passage. « Notre magasin était ravi de donner un coup de pouce à leur événement de Saint-Nicolas », raconte Liselot Van Acker, alors vendeuse au Colruyt de Rumbeke. « Nos chaussettes de camps restantes et une boîte à tartines bien remplie ont fait de nombreux heureux parmi les jeunes ! »
« Fin janvier, avec quelques collègues, j’ai organisé une surprise pour notre collègue Goedele Mertens », explique Lien Van Thillo, vendeuse au Colruyt de Heist-op-den-Berg. « C’est une collègue en or et elle part à la retraite. Lors de son avant-dernier jour de travail, lorsqu’elle s’est rendue au réfectoire après la fermeture, toute l’équipe était prête pour un tonnerre d’applaudissements. Elle n’en savait rien et a bien sûr été agréablement surprise. Bien joué !
Un départ en douceur
L’ouverture des magasins Comarché a aussi été un vrai défi pour les collègues de la logistique. « Pour fêter cette réussite, Pauline Cocquyt, coordinatrice du transport, a offert à ses collègues des biscuits faits maison dans un emballage fait main lors du lancement des livraisons aux anciens magasins Match et Smatch », raconte Pauwel Dedijn, chef du service Transport. « Un délice et… un joli clin d’œil à ce projet Lucifer ! Merci Pauline ! »
Newpharma a 15 ans
Notre pharmacie en ligne
Newpharma n’a rejoint Colruyt Group qu’en 2021. Pourtant, l’heure était déjà à la fête. « Pour notre 15e anniversaire, nous avons organisé fin janvier une magnifique soirée de gala près de Liège », raconte Ludivine Smets, assistante de direction. « Tous les collègues s’étaient élégamment vêtus sur le thème vintage de Gatsby. C’était une soirée étincelante ! »
Où trouver un beau panier cadeau ? Chez Okay bien sûr Et l’administration communale de Beaumont le sait également. Voulant mettre à l’honneur Yvonne Dussart, 103 ans et doyenne des habitants, les employés ont fait appel à notre supermarché de proximité. « Nous avons également eu le grand honneur de lui remettre ce panier en mains propres », raconte Valérie Botin, membre de l’équipe.
Un client fidèle a également été mis à l’honneur au Okay de Houthulst. « Daniël a fêté ses 94 ans », explique Johan Smet, store manager. « Il vient chaque jour faire ses courses : trois salades, des journaux et un en-cas pour accompagner sa lecture. Pour son anniversaire, nous lui avons offert un gâteau avec des bougies et un panier cadeau rempli de bonnes choses. Il était tellement fier ! »
100 km contre le cancer
Que les Colruyt Groupies aient le cœur sur la main, ça ne surprend plus personne. La course de 100 km pour l’association Kom op tegen Kanker qui s’est déroulée à Hal en est une nouvelle preuve. Les équipes de coureurs issues de divers départements du groupe ont tout donné pour récolter des fonds pour la recherche contre le cancer. « Grâce aux bénéfices de notre fête de Noël et de notre vente de hamburgers aux bureaux de Hellebroek, nous avons pu récolter la somme nécessaire » déclare Jan Barbé, copywriter au service de communication Marcom Services et l’un des coureurs (voir photo ci-dessus). « J’ai participé pour le défi sportif, mais aussi pour des raisons personnelles. J’ai perdu coup sur coup deux amies d’enfance, emportées par un cancer du sein, et plus récemment le gardien de but de notre équipe de football. J’ai eu cela à l’esprit pendant les 40 km que j’ai parcourus. Ces personnes, ainsi que mes compagnons de course et les formidables supporters qui m’ont accompagné tout au long du parcours, m’ont propulsé jusqu’à l’arrivée. Une expérience unique ! »
Un livre sur le travail de votre vie
« Que fait une assistante de direction au juste ? Personne ne le sait. C’est ce qui m’a poussée à prendre mon stylo », raconte Isabel De Wit, assistante de direction Store Development chez Retail Partners Colruyt Group.
« Mon livre “Management assistant? Superheld van het bedrijf!”
(“Assistante de direction ? La super-héroïne de l’entreprise !”, NDT) est une ode au plus beau métier du monde. ” Chaque chapitre est le sujet d’un e-mail. Lorsque vous aurez terminé le livre, vous aurez assisté à une journée de travail aux premières loges. »
Aux éditions Gompel & Svacina.
Pâques est une grande fête, et pas seulement pour de nombreuses familles. Chaque année, nos marchés Cru mettent aussi les petits plats dans les grands. « Après les fêtes de fin d’année, Pâques est pour nous la période la plus importante », nous dit Marina Bockstal, manager expérience au Cru de Dilbeek. « Bien sûr, vous y trouverez nos pains cuits de manière artisanale pour votre brunch pascal, ainsi que les délicieux œufs et lapins en chocolat avec un supplément de beurre de cacao. Mais à cette période, les produits typiques de la saison font également leur première apparition : de la viande d’agneau tendre, les premières asperges et les premières pousses de houblon… De nombreux produits authentiques et irrésistibles que nous étions également ravis de servir à nos clients chez Cuit pour le menu de Pâques ! »
Photo : Katleen Van Den Eede