Portfolio

Diplomée d’Etat d’architecture à l’école d’architecture de Nantes
CDI - Agence DV Conception - Nantes - 44100 Conception sur des projets de logements collectifs, mais aussi sur du tertiaires et individuels de la phase ESQ à PRO
- Suivis architectural en phase chantier.
- Collaboration en autonomie avec les différents acteurs du projet de la phase ESQ jusqu’au DCE : BET, municipalité et maitrise d’ouvrage.
- Etude de programmation pour une école.
Juin 2021
Diplômée d’Etat d’architecte à Ecole d’architecture de Nantes, 44000 Projet de fin d’étude en Protolab reçu avec les félicitations du jury. Domaine d’étude 3 - Architecture : Nature - RésilienceSanté
Juin à Novembre 2020
Stage de fin d’étude, Plast Architectes, 44000 - Stage en agence sur de la maison individuelle et de l’équipements publics : phase de l’ESQ jusqu’au PRO -Travail graphique sur la communication de l’agence
Septembre - Janvier 2020
Expérience à l’étranger, Erasmus Irlande Univeristé d’architecture de Limerick
- Projet de rénovation au coeur du centre-ville de Limerick
Stage de suivi de chantier
MKHarchitecture, Nantes 44000
- Suivi de 14 réunions de chantier pour l’extension d’une école primaire
Septembre 2016
Entrée à l’Ecole national supérieur d’architecture, Nantes,44000.
17 rue de D’alger 44000 NANTES 06.21.66.06.45
cloe.guilbaud@outlook.com
Ayant des convictions sociales, environnementales et humaines, je suis une personne investie et très soucieuse de ce qui m’entoure. Après ma première expérience professionnelle de 2 ans au sein d’une petite structure, où j’ai pu suivre en quasi-autonomie divers projets de logements collectifs, je souhaite aujourd’hui poursuivre mon parcours professionnel et découvrir de nouvelles compétences à l’échelle de projets variés.
REVIT ARCHICAD
AUTOCAD
TWINMOTION
PHOTOSHOP
IN DESIGN
VRAY
ANGLAIS : Niveau B1
TOEIC : score de 710
CRÉATIVITÉ
TRAVAIL COLLECTIF DÉTERMINATION
RELATION HUMAINE
DESSIN ET GRAPHISMEPHOTOGRAPHIE - VOYAGE
Projet d’un immeuble de 31 logements collectifs Phase esquisse jusqu’au dépot du PC
Réhabiliation d’une école en plein centre de Nantes Etude de programmation et Esquisse
Projet d’un immeuble de logements collectifs Phase esquisse jusqu’au dépot PRO
6 La Ronde
Projet d’habitat d’hospitalité Projet de Pfe reçu
du
4 L ilot 05
Projet d’un immeuble de logements collectifs dans une ZAC Concours
Projet d’un immeuble de 90 logements collectifs Suivis architectural en phase chantier
d’habitat reversible et d’hospitalité avec les félicitations
Habitat collectif en zone rural
Projet de 2eme année
Rénovation d’une ancienne usine Projet erasmus en Irlande
Ce projet traite de la place du logement collectif et de la figure de la maison dans les zones pavillonaires. Il s’inscrit avec bienveillance dans son paysage existant.
Le projet intègre la création de 31 logements. La volonté première de celui-ci a été de s’implanter en respectant les espaces boisés existants, le paysage présent, et les arbres implantés sur le terrain. Le projet aura une visée paysagère importante. Il participera au renouvellement de la pinède existante et permettra de reboiser le site afin que l’identité paysagère du lieu perdure dans les futures années.
Par ailleurs, il s’intègre dans un paysage de zone paysagère questionnant la forme de la maison et de la propriété. Ainsi,
la forme du bâti est fractionnée horizontalement en 2 parties comprenant un « socle » (Rdc) matérialisé par un béton matricé, et d’un «corps» reprenant le dessin de la typologie des maisons à deux pans symbolisant son intégration dans son environnement. Cette deuxième partie est en structure bois avec un bardage bois prévieillis.
Les coursives et les balcons sont détachés de la structure principale du bâtiment, ils se présentent comme des lieux de vie nichés au milieu de la végétation dense existante et de la végétation plantée.
Grâce à la conception du bâtiment, aucun logement n’est monoorienté. Chacun d’eux dispose d’un espace extérieur et d’une vue sur un espace paysager. Des celliers sont intégrés aux coursives, ils seront utilisés comme des rangements supplémentaires.
Afin de répondre à une demande concernant la remise aux normes d’accessibilité PMR du bâtiment, notre première démarche a été de comprendre en profondeur les usages, le fonctionnement et les acteurs de ce lieu.
L’étude programmatique s’est donc attachée à émettre un diagnostique viable et cohérent, afin de traduire l’ensemble des dysfonctionnements des lieux. Nous avons profité de la remise aux normes afin de faire un diagnostique global sur les lieux.
Pour cela, nous avons développé une méthodologie visant à comprendre le contexte physique, urbain et réglementaire et en recensant les objectifs qualitatifs et quantitatifs.
Nous avons donc fait une série
d’entretiens avec les maîtresses et le personnels administratifs pour comprendre les usages (classes, réfectoire, salle polyvalente, bibliothèque, salle de réunion etc…). Après cette première étape, nous avons débuté l’esquisse à
partir de l’ensemble du cahier des charges et des points de blocage misent en avant pendant les entretiens.
Ce projet s’implante à l’angle d’un boulevard passant à Nantes. Afin de faire la liaison avec le paysage existant, le bâtiment se recule de la voirie afin de laisser place à un espace arboré qui se prolonge la promenade sur la rue du port la blanche.
L’aménagement du terrain consiste en la construction d’un immeuble de 18 logements collectifs en R+1+Couronnement. Celui-ci se constitue de deux bâtiments liés par des coursives extérieures. L’intention du projet a pour but l’insertion des deux bâtiments, à travers le tissu pavillonnaire existant, afin de respecter un patrimoine déjà présent. Pour cela, le bâtiment B laisse une percée visuelle sur le pignon de la maison voisine, en conservant un recul parallèle à la limite parcellaire existante. Cette forme emblématique du pignon à deux pans sera reprise sur les deux bâtiments afin de créer un écho avec l’existant.
Le corps, propose une esthétique plus légère par le choix de son aspect extérieur mise en œuvre en enduit blanc. L’attique propose un volume monochrome avec un enduit à la chaux, d’une teinte beige. Cette teinte se retourne sur la toiture grace à la mise en oeuvre de tuiles en terre cuite d’une teinte beige. L’ésthetique des pignons
permet de se détacher du reste en proposant un bardage en bois. Les espaces libres permettent un travail paysagé en pleine terre, intégrant les arbres existants et plantés de végétaux d’espèces et tailles variées. En limite Sud-Ouest de la parcelle, une végétation vient border la parcelle pour créer une traversée plantée, permettant de
faire le lien avec des espaces boisés au Nord-Ouest de la rue du port la blanche. Le travail paysagé permet la traversé de l’ilot, et accompagne les aménagements piétonniers pour conduire jusqu’aux entrées, et jusqu’au jardin se trouvant au Nord de la parcelle.
CONCOURSSAINT NAZAIRE45 LOTS
La ZAC Grenapin se situe à l’entrée de ville de Saint Nazaire. Afin de s’inserer dans le paysage existant, le projet prévoit une conception des facades en MOB. L’ensemble des appartements prévoient une double orientation afin de penser au confort d’usage des habitants du lieu. Un système de coursives permet de desservir les logements. Celles-ci pourront être appropriées par les habitants.
J’ai eu l’occasion sur plusieurs projets de l’agence de travailler sur la phase du suivis architectural pendant le chantier. En collaboration avec un maître d’oeuvre d’execution, nous travaillons très étroitement afin de suivre les travaux des projets. Nous étions en étroite collaboration avec les entreprises ainsi que les bureaux d’étude, ainsi que la maîtrise d’ouvrage pour chaque prise de décisions. Durant cette phase, la réactivité et le travail d’équipe sont très importants. Il est également important de savoir communiquer au mieux avec l’ensemble des entités du projet et d’être réactif afin de solutionner rapidement les problèmes.
Ce projet a été éveillé par une conscience écologique et des aspirations propres aux enjeux socio-politiques actuels, notamment sur le concept d’habitat réversible.
Aussi, cette thématique nous invite à redéfinir nos besoins, et déconstruire nos idées sur l’espace minimal pour nous ouvrir à de nouveaux modes d’habiter. Chacun-e à notre manière, nous avons été stimulés-e • s par les enjeux liés au facteur humain.
En effet, les hamaeaux légers sont une association qui accompagne des groupes d’individus à s’installer en collectif et vivre et construire leur hameau léger. Nous rencontrons 7 foyers voulant s’installer à SaintAndré des eaux, afin de dessiner avec eux, leur habitat.
Pour réaliser leur rêve, Clémentine et Thomas ne proposent pas de budget compris entre 10 000 € et 15 000 €. Leur priorité est de construire un habitat qui réponde aux enseignements de base, facile à démonter et pérenne. Nous choisissons de réaliser un habitat rond dans une forme carré. Pourquoi cette idée nous fait tant vibreur ? D’un point de vue symbolique, le cercle représentant
les cieux, le divin, la spiritualité au carré figure la terre, l’ancrage au sol, les racines. C’est une métaphore de notre famille, haut perché, et de son adaptation à la réalité du site. Ce schéma devient support d’une volonté constructive : nous séparerons l’isolation et l’étanchéité de notre habitat. Cette opération peut également créer de nouveaux usages : une coursive est créée. Elle devient une extension
de l’habitation aux appropriations multiples. Elle est pensée comme une continuité de l’intérieur vers l’extérieur, en lien avec la nature avoisinante.
Enfin, nous jouons ici avec l’imaginaire collectif des constructions usuelles : de l’extérieur, les façades donnent à voir un habitat cube, toit doublepente, à le volume conventionnelle. En réalité, notre famille commune d’un espace intérieur circulaire !
Une toiture en bac acier, une charpente rayonnante, un pare pluie et pare vapeur, des caissons structurels pour murs , un plancher rayonnant, et des pneus de fondation.
Créée par le mouvement des gilets jaunes en octobre 2019, la Maison du Peuple (MdP) se définit comme un centre social autogéré, qui accueille sans condition, des hommes, femmes et enfants sans-abris de tout horizon. C’est un espace de liberté en plein cœur du centre-ville nantais.
Plus qu’un centre d’hébergement d’urgence, la MdP est devenus au fil du temps un lieu d’expérimentation sociale. Depuis quelques mois, la MdP accueille également la BASE : Base d’Action Sociale et Écologiste. Assis autour d’une table, nous réfléchissons aux nouvelles appropriations possibles de nos modules, en cohérence avec les besoins identifiés du site. Les habitants expriment notamment un besoin de repos et de tranquillité, denrée rare voire inexistante dans ce lieu de vie collective. Ensemble, nous choisissons de construire une boite à siilence, un volume circulaire de 14 m² prenant place dans l’ancienne cour de récréation. Un lieu calme, ressourçant,
« La Maison du Peuple, c’est la maison de tous et toutes. Elle accueille des personnes dont beaucoup ne se préoccupent pas, elle se démène pour les aider, pour nous aider. Pour apporter du confort à des individus qui ont des chemins de vie que nous ne pouvons même pas imaginer. »
Après notre diplôme de fin d’étude, nous avons entamé un chantier participatif au sein de la maison du peuple, afin de remonter le projet que nous avions initialement construit à l’école. Pendant deux semaines, nous avons tissé des liens, transmis des savoirs, et beaucoup appris des parcours de chacun et des savoirs qu’eux aussi on pu nous transmettre. Au-delà de réussir à construire le projet, c’est l’énergie et la confiance qui s’est fédérée au fil des semaines qui est devenu le plus important, et surtout l’essentiel de ce semestre.
Habitants, étudiants, et bénévoles se sont joints à une même force pour construire et mener à bien ce chantier participatif
Comment redonner du mouvement et développer une ville sous les enjeux du 21ème siècle à savoir : créer une ÉcoVille dans le tissu déjà présent.
Qualifiée de commune rurale au fil des siècles, aujourd’hui Craon vit de la présence de l’agriculture et des industries. Ces éléments marquent la trame parcellaire et le tissu urbain qui s’est construite au fil des siècles. Elle s’inscrits dans le tissu urbain de la ville, marquent une rupture avec le centre-ville.
Aujourd’hui, Craon se développe avec un tissu associatif très dense, où les personnes se regroupent en fonction de leurs
centres d’intérêt. Cette pratique d’aujourd’hui questionne le rapport à habiter ensemble, à cohabiter au sein d’un même écosystème, d’un même tissu
1820-1866
Source : Carte de l’Etat Major, géoportail
Un centre bourg autour de monuments qui sont aujourd’hui inscrits au patrimoine comme les halles.
1820-1866
Source : Carte de l’Etat Major, géoportail
Un centre bourg autour de monuments qui sont aujourd’hui inscrits au patrimoine comme les halles.
1949
Source : Photographie aérienne , géoportail
Développement des faubourgs.
de la ville. Cette partie de la ville qui semble fonctionner en parfaite autonomie pourrait être mise en relation avec l’activité du centre-ville afin de le redynamiser et de développer une filière plus locale.
AUJOURD’HUI
Source : PLU de la ville de CRAON
Apparition des lotissements avec les maisons individuelles ainsi que les industries. La ville devient un axe routier important, le département décide en 1960 de créer la rocade pour désengorger le centre.
Par ses fortes polarités, la ville de Craon possède la vitalité de faire revivre l’énergie de son centre-ville. La place du 8 Mai est délaissée, elle se situe à l’entrée de ville, direction Laval, mais reste dans l’imaginaire des habitants, trop éloignée des activités du centre bourg. Cela
entraîne peu de qualification de la place, puisqu’elle est utilisée en un parking informel. L’enjeu du projet sera de créer une nouvelle entrée par le jardin des Roseraies. Cette entrée sera la couture végétale, qui unira le domaine du château et le centre bourg de Craon.
Le cœur de ville s’est construit autour du château , laissant apparaître endroits de la ville les restes de la forteresse. observe certains monuments dans le centre-ville, tels que les halles fondées au XIIème siècle greniers à sel de la période du XIVème siècle font l’objet d’une inscription au patrimoine.
dans la seconde marque une nouvelle forme d’habiter et un nouveau rapport à la
Qualifiée de commune rurale au fil des siècles, aujourd’hui elle vit de la présence de l’agriculture . Ces éléments, inscrits dans marquent une rupture
1949 : Développement des faubourgs. Aujourd hui : Apparition des lotissements avec les maisons individuelles ainsi que les industries. La ville devient un axe routier important.
La nouvelle esplanade du jardin des Roseraies deviendra une figure de proue, de la déambulation vers le domaine du château. Les nouveaux usages et activités qui s’y dérouleront, créeront de la vie et du partage à l’échelle du centre bourg de Craon.
Autour de ce jardin, la question d’habiter le végétal se posera. Notre pratique d’aujourd’hui questionne le rapport à cohabiter ensemble, au sein d’un même écosystème. Le développement des maisons individuelles questionne le chez soi et la place du partage communautaire. C’est à travers cette figure de la maison, très présente à Craon, que j’ai choisis de convoquer une forme contemporaine questionnant le rapport à habiter les toits. La matérialité bois englobe le bâtiment dans son entièreté. Celle-ci évoque la ruralité duterritoire de Craon, à travers la forme des fermes agricoles en bois. Nous avons aujourd’hui la nécessité de créer un mode de vie diffèrent de celui déjà pratiqué.
Celui-ci s’appuie sur les principes de solidarité et d’entraide.
L’opération située sur la place du 8 Mai, se déploie à travers la question de la mixité des âges et des usages.
L’écolothèque se déploie à travers la pratique du jardinage, permettant aux habitants de partager un savoir-faire intergénérationnel.
Au premier étage, à travers des seuils formés par des cours, les habitants pénètrent dans leur
logement par une graduation du public à l’intime. Cette architecture devient alors la conclusion de ce boulevard. Elle vient par son allée d’arbres fruitiers, donner une fin à la déambulation de ce mail, qui devient l’entrée du château.
Cette place publique devient la représentation à la fois du boulevard, de la figure de la maison, et devient une nouvelle façon de cohabiter ensemble
avec le végétal.
Ainsi, les usages de la place du 8 Mai sont alors accompagnés par le végétal et par les différentes figures du jardin convoqué, à travers la Roseraie, l’allée des arbres fruitiers, l’écolothèque et son jardin d’hiver et enfin les jardins et cours intérieurs des logements.
Ce projet est un projet de réhabilitation d’une ancienne usine au cœur du centre-ville de Limerick, en Irlande.
L’anciene usine laisse place à des L’ancienne usine laisse place à des bâtisses vides chargées d’histoire. Ancienne usine de laitage, les bâtiments sont des trâces du passé. Vide depuis plus de 10 ans et pourtant cette usine est au cœur d’un centre-ville. La matérialité du site nous laisse deviner son vécu. On perçoit l’abandon à travers l’état actuel du lieu. En effet, le site est recouvert d’une végétation invasive qui a grandi peu à peu sur le site depuis quelques années.
Le projet vient en continuité de cette remarque puisqu’il projette sur le sol et dans les bâtiments de l’usine, des jardins qui créaient un nouvel usage dans ce site. Pour cela, il semble essentiel d’étudier la végétation présente. Faut-il travailler avec ou contre celle-ci ? Une esquisse de travail de paysagiste commence ainsi que l’étude du lieu et de son environnement.
Le travail se poursuit à l’intérieur d’un des bâtiments qui se comportera comme le pavillon du Jardin. Ce bâtiment est central et est au cœur du site. Il est l’entrée du lieu. Ce bâtiment est complexe et se compose en trois parties. Le lieu accueillera un espace café librairie avec une salle de classe afin que le jardin puisse collaborer
pédagogiquement avec les écoles environnantes, notamment celle juste au dessus de la clairière.
Un bâtiment en structure acier et en taule sera réhabilité afin d’accueillir la serre qui sera entretenu chaque semaine par une classe différente.
Du polycarbonate récupéré
pourra être utilisé pour apporter de la lumière dans la serre. Il semble nécessaire de prendre des ressources déjà présente sur le site pour la réutiliser et mener à bien le projet.
Comme cela, l’ancienne usine s’intégrera comme lieu culturel dans la ville de Limerick.
Le semestre en Irlande m’a obligé à appréhender le dessin à la main afin de comprendre l’environnement et l’essence des bâtisses qui nous faisaient faces. Pour cela, le carnet de dessin devenait l’extension de notre pensée et un moyen d’étudier le site et de prendre des détails, des dimensions, ou des usages en notes. C’est comme cela que j’ai compris que le dessin permettait d’appréhender l’architecture, la nature et notre environnement avec notre propre sensibilité.
Dessin au format A0 réalisé au stylo à encre noire et à l’encre de Chine. Le reste des dessins sont réalisés au crayon à papier, après des relevés sur site.