Portflio Clémence Foltran

ARCHITECTURE CLÉMENCE FOLTRAN PORTFOLIO

Photographie : source personnelle // Leรงa swimming pool - Alvaro Siza

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CURRICULUM VITAE PROJETS ENTRE TEMPS

CURRICULUM VITAE

CLÉMENCE FOLTRAN ARCHITECTE DIPLÔMÉE D’ÉTAT 25/09/1994 - 24 ans - Permis B Email : clemence.foltran@gmail.com Tel : 06 10 09 45 06 Adresse : 5 Rue des romarins

31150 Lespinasse

FORMATION BACCALAURÉAT LITTÉRAIRE - MENTION ASSEZ BIEN

2012 - Lycée Raymond Naves à Toulouse Option lourde Arts plastiques

LICENCE D’ARCHITECTURE

2015 - ENSA Montpellier

MASTER D’ARCHITECTURE

2018 - ENSA Montpellier Mémoire : «Une Éducation libertine» - Promenades architecturale dnas le Paris du XVIIIe PFE : Les foyers de l’enfance - Réflexion sur un lieu de vie à Toulouse

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EXPÉRIENCES 2013 2014 2017

STAGE sur chantier chez URBAT à Toulouse STAGE en agence chez Christian Péral à Toulouse STAGE en association à la Maison de l’architecture de Montpellier

2014 2015

CHANTIERS PARTICIPATIFS à la Mérigue en Ardèche : pause toit en lauze, construction mur en pierre sèche, confection de poutre en bois.

2017

CHANTIER PARTICIPATIF au Togo : construction d’un centre d’accueil pour les enfants des rues avec l’association JVSI

COMPÉTENCES

LOISIR

Archicad Sketchup Photoshop Indesign Illustrator Blender Suite Microsoft

Littérature Dessin Voyages Cinéma Cuisine Bricolage

Anglais : Niveau B1 - Titulaire du BULATS Espagnol : Niveau intermédiaire

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PROJETS

«Usage de la fenêtre : inviter la beauté à entrer et laisser l’inspiration sortir» - Sylvain Tesson

STUDIO DE DANSE S5 - Equipement public En binôme avec Chloé Chazalon

Le projet demandé était une salle de danse qui devait accueillir le chorégraphe domicilié à l’école.

Les règles du jeu imposées par nos enseignants étaient simples : construire en béton tout en prêtant une attention particulière aux ambiances acoustiques, thermiques et lumineuses.

Au cœur de ce projet : la danse, le mouvement et la sensation d’un corps dans un espace.

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PLAN : SENTIR LE DÉPLACEMENT

Le projet est composé de trois «blocs» construits en béton qui ont chacun une fonction : la salle de danse, les vestiaires et l’accueil. Ils sont reliés par une circulation centrale en ossature bois largement vitrée. Cette circulation est un seuil entre les différents espaces du projet.

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PHOTO : MAQUETTE BÉTON DE LA TOITURE RÉALISÉE AU 1/25e

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Les décalages en toiture permettent de créer des jeux d’ombres sur le mur. En descendant ces décalage à la verticale pour faire les murs nous avons créé un mur trombe à l’ouest et des ouvertures qui ne laissent pas passer le soleil directement à l’est.

0,7

La forme du projet dépend de son système de toiture qui permet de laisser passer la lumière de manière indirecte.

Le long des murs, on trouve des panneaux de béton perforés qui permettent de gérer l’accoustique de la salle de danse.

1,2

COUPE DE DÉTAIL DE LA TOITURE

COUPE [13]

DESSIN : ENTRÉE DE LA SALLE DE DANSE

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HABITER ENSEMBLE S6 - Logement collectif

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Le programme pour ce terrain au nord de Montpellier ĂŠtait de faire des logements collectifs aux normes PMR.

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PLAN RDC [18]

PLAN R+2

PLAN R+3

Deux corps de bâtiment accueillent les logements du projet. Entre les deux, au centre du projet, l’espace a été pensé comme une rue, un espace public de rencontre et d’échange.

Sur les toits, des terrasses sont accessibles et peuvent être utilisées à diverses fins comme étendre son linge ou profiter de l’air frais.

Dans les logements : de l’espace, des terrasses, des seuils qui ccompagnent l’habitant de l’extérieur à son espace intime.

PLAN DE LA TYPOLOGIE T4 [19]

COUPE [20]

RUE INTÉRIEURE

PHOTO : MAQUETTE RÉALISÉE AU 1/200e

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PERMACULTURE URBAINE S8 - Agriculture et architecture

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Au Nord de Montpellier, entre le zoo et le Lez se trouve une parcelle appartenant à l’école de Sup’agro qui a pour volonté d’en faire une zone d’expérimentation de permaculture.

Dans le même temps, le directeur du zoo souhaite réouvrir la ferme pédagogique.

Quel lien peut-il y avoir entre ces deux entités ? Quels avantage pour les habitants de Montpellier ?

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Dans ce projet, le maraîcher qui travaille sur cette parcelle laissera une zone à une association de sensibilisation à la permaculture et aux nouveaux mode de productions et consommations. Ce lieu sera en lien avec la ferme pédagogique et les étudiants du campus agropolis.

Au nord de la parcelle, bordant la zone d’expériementation, un bâtiment abandonné attend d’être à nouveau utilisé

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Le projet s’ouvre entièrement sur la parcelle, point d’intêret et d’activité principal du bâtiment.

Il n’y a que très peu d’intervention sur les façades. Seules les fenêtres de la façade sud sont agrandies pour permettre le passage.

La terrasse surélevée et la tour qui se trouvent à l’est offrent un point de vue sur l’ensemble de la parcelle.

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En rez-de-chaussée, une salle de reception destinée à accueillir le public et une salle d’expostion.

A l’étage, des «boîtes» se glissent dans la charpente pour accueillir une salle de projection, une bibliothèque et une salle de travail.

PLAN RDC [26]

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PLAN R+1 [28]

COUPES

SALLE DE TRAVAIL

BIBLIOTHÈQUE

SALLE DE PROJECTION [29]

PHOTOS : MAQUETTE EN CARTON PLUME ET BALZA RÉALISÉE AU 1/200e [30]

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LA GARE

S8 - AmĂŠnagement urbain

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Les annonces de la SNCF, les sièges bleus des trains, les escaliers et le poids de la valise quand il faut la porter. Prendre le train c’est aussi tout ça, plus une infinité de gestes que l’on ne fait qu’à la gare.

Prendre le train c’est quitter une ville, l’oublier et ne penser qu’à celle qu’on rejoint. Ou au contraire, quitter physiquement une ville alors que notre esprit y reste. C’est être entre les deux, ne plus être vraiment quelque part.

Comment perçoit-on les villes lorsque nous sommes dans cet entredeux ? Que voit-on de ce qu’on laisse, de ce qu’on trouve ?

La gare est la première paire de lunettes que nous mettons pour découvrir la ville qui nous accueille désormais. Elle est aussi la dernière que nous mettons, pour dire au revoir.

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Le projet a débuté par une analyse de la gare de Montpellier et des vues qu’elle offrait de la ville. La salle pricipale étant à l’étage, la gare nous donne à voir le ciel, les toits, les étages supérieurs des bâtiements. On ne voit que très peu les habtiants qui circulent dans les rues. On voit les fils électrique du tramways sans apercevoir les hirondelles, fleurs et autres dessins qui l’habillent. On voit ce qui reste avent de voir ce qui vit.

La gare met en scène la ville et nulle part ailleurs nous ne la voyons comme ça. J’ai effectué un travail en coupe et en photographie qui m’a permis de comprendre le rapport entre l’architecture de la gare et les vues qu’elle nous offrait.

Le projet devra continuer de mettre en scène la ville, en la montrant, la cachant, la prolongeant ou l’interrompant.

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PLAN MASSE [36]

COUPES

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PLAN [38]

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FOYERS DE L’ENFANCE PFE

Ce projet a pour objet les foyers de l’enfance qui accueillent les jeunes de 0 à 21 ans lorsque leurs parents ne peuvent tenir leurs obligations.

Les actions de la protection de l’enfance sont essentiellement axées sur le travail éducatif, psychologique et pédopsychiatrique.

La question de l’architecture et de l’espace est peu traitée et passe au second plan.

L’aménagement des espaces ne peut pas résoudre tous les problèmes que rencontrent les éducateurs au quotidien mais un espace cohérent et bien pensé peut soulager la vie commune et apaiser des tensions. Les questions d’intimité et de vivre ensemble que soulève la vie en collectivité peuvent être résolues en partie par une réflexion sur l’architecture des lieux d’accueil.

Les foyers d’accueil sont des lieux de passage, mais ce sont des lieux marquants dans la vie d’un enfant. Ils doivent être un lieu qui leur permet de se construire et de se retrouver quand leur environnement familial ne le leur a pas permis.

Le projet porte sur une villa d’accueil annexe au Centre départemental de l’enfance et de la famille de la Haute-Garonne. Ce travail a été l’occasion de porter une réflexion sur le fonctionnement global d’un foyer d’accueil et de mettre en lien les objectifs pédagogiques et éducatifs avec l’aménagement des espaces et le rapport qu’entretient le foyer avec ce qui l’entoure.

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Au commencement du projet J’ai débuté ce projet par des rencontres avec des professionels (éducateur.trice.s, infirmière, étudiants) afin de mieux connaître le sujet et d’avoir des connaissances qui relevaient du partage d’expérience et non de la seule théorie.

Grâce à ses entretiens j’ai trouvé mon site de travail : un foyer dans la banlieue toulousaine accueillant 6 adolescents de 14 à 18 ans. J’ai pu avoir plusieurs échanges avec les jeunes et les éducateurs de ce foyer tout au long du semestre.

Le site Une parcelle de 2300m², une maison peu adaptée à l’acceuil, et un grand jardin inexploité.

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Le projet - Réaménager l’espace de la villa et son jardin pour l’accueil de 6 enfants de 8 à 16 ans (partie en gris sur le plan) - Créer des appartements de semie-autonomie destinés aux 16-21 ans (partie en bleu sur le plan) - Créer un troisième lieu qui permettrait de se réunir, de recevoir des amis ou de la famille (lorsque les relations sont bénéfiques pour les enfants) ou d’organiser des ateliers (partie en rouge sur le plan).

SE RETROUVER : VILLA DES 8-16 ANS

PLAN RDC : VIVRE ENSEMBLE

PLAN R+1: DE LA VIE COLLECTIVE À L’ESPACE INTIME [44]

ENTRE TERRASSE ET POTAGER

Entrer sur la parcelle PIÈCES DE VIE QUI SE MÊLENT

UN COULOIR HABITÉ [45]

PLAN RDC : DE LA CELLULE DU FOYER À LA SOCIÉTÉ [46]

S’OUVRIR : APPARTEMENT DE SEMIE-AUTONOMIE ET LIEU DE RENCONTRE(S)

APPREHENDRE

ASSOUPLIR LES LIMITES

RENCONTRER

RETROUVER

INVESTIR L’ESAPCE COMMUN [47]

ENTRE TEMPS «Le temps de lire est toujours du temps volé. Volé à quoi?

Disons, au devoir de vivre» - Daniel Pennac

DESSINER

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VOYAGER

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FRANCE - AYGUES MORTES [53]

EN EUROPE

PARC MUNICIPAL DE QUINTA DA CONCEIÇAO [54]

PARIS -FONDATION LOUIS VITTON

IRLANDE - LA CHAUSSÉE DES GÉANTS [55]

UN PEU PLUS LOIN...

JAPON [56]

TOKYO

ILE DE LA RÉUION

CHICAGO [57]