Programme Tréteaux Lyriques "La vie Parisienne" 2015

FOURNIER PRODUCTIONS ET LES TRÉTEAUX LYRIQUES PRÉSENTENT

La Vie Parisienne OPÉRA-COMIQUE EN QUATRE ACTES DE JACQUES OFFENBACH

Conception graphique : Camille Talon

LIVRET DE HENRI MEILHAC ET LUDOVIC HALÉVY

PROGRAMME

2015 - 2016

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Les futurs membres de la troupe?

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os heureux événements de l’année 2015 ont bien rythmés nos répétitions ! nous vous présentons donc, Lucie Zimmerli, Léocadie Hua, Théophile Monnier, Léonard Stern, Appoline Monnier, Paola de Nervaux.

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Qui sont les tréteaux lyriques ?

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es Tréteaux Lyriques ont été créés par Yves Aubin et ses amis le 28 février 1968. Ils se sont donnés comme mission de promouvoir l’art lyrique, de permettre à des amateurs de pratiquer cet art, de développer des liens d’amitié dans un esprit de troupe solidaire et enfin de récolter des fonds pour venir en aide à des associations humanitaires ou caritatives.

Après quarante-huit ans d’existence, le cap n’a pas changé, mais les exigences artistiques ont évolué. La troupe des Tréteaux Lyriques comprend aujourd’hui une quarantaine de chanteuses et chanteurs tous bénévoles, motivés, qui s’engagent pour un spectacle. Celui-ci nécessite près d’une année de préparation.

C’est pourquoi le rythme s’est imposé de donner un spectacle tous les deux ans. Ce rythme bisannuel permet aux membres de la troupe pris par leurs tâches professionnelles et familiales, de reprendre souffle pour donner le meilleur d’eux-mêmes au spectacle.

C’est ainsi que nombre d’entre vous ont applaudi, il y a deux ans, notre notre belle et colorée Créole.

Afin que nos spectacles soient à la hauteur d’un public de plus en plus en plus exigeant, la troupe fait appel à des professionnels pour la mise en scène, le travail des choeurs, la direction musicale et l’orchestre. De plus, de jeunes professionnels choisissent souvent également de donner de leur temps et de leur talent à l’association élevant ainsi par leur présence le niveau général de la troupe.

Nos spectacles précédents :

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1991 : La Fille du Tambour Major 1993 : L’Ile de Jacques 1995 : Geneviève de Brabant 1997 : Le Docteur Ox 1999 : La Périchole 2001 : Barbe-Bleue 2003 : Les Brigands 2005 : Orphée aux Enfers 2007 : La Belle Hélène 2009 : La Princesse de Trébizonde 2011 : Le Pont des Soupirs 2013 : La Créole

Chronique de la Vie Parisienne - Octobre 1866

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out ce qui compte à Paris ne parle que d’un certain Baron de Gondremarck, qui vient de débarquer des terres boréales pour gouter aux plaisirs de la capitale.

Sa prodigalité est sans pareil et son épouse de même. Pressé d’être introduit dans le grand monde et de vivre des aventures comme seul Paris peut en offrir, il n’est pas sans nous rappeler son compatriote le fameux baron de Frascata qui défraya la chronique en son temps.

Son père était un bien curieux individu. D’origine corse, tour à tour bateleur de fête foraine, grand gourou d’une secte d’adorateurs de Jupiter, coureur de jupons capable de se travestir en cygne ou en mouche pour parvenir à ses fins, il fut condamné pour escroquerie à la cour du Duc de Mantoue, et ne dut son salut qu’aux charmes de sa fille. Il monta par la suite une escroquerie à grande échelle à partir de produits de contrefaçon sur lesquels il apposait sa contremarque.

Le scandale éclata, le Charivari le surnomma « le Baron de la Contremarque », il dut s’exiler précipitamment, non sans emporter sa confortable fortune.

Le roi de Suède Charles XIV, le traitre Bernadotte, lui offrit immédiatement l’asile politique. Notre homme ne fut pas ingrat, et rendit au souverain d’éminents et discrets services dont on sait peu de choses, sinon qu’ils furent très appréciés.

C’est ainsi que « le Baron de la Contremarque » devint « Baron de Gondremarck », Chancelier de l’Echiquier, et mit à profit ses talents pour relever les finances du royaume et les siennes par la même occasion. Soucieux de montrer sa parfaite intégration dans ces contrées puritaines, il affichait une austère moralité qui confinait, du moins en apparence, à l’ascèse la plus extrême, à côté de laquelle Savonarole passerait pour un incorrigible noceur. Il confia l‘éducation de son fils à une institution très rigoriste qui lui enseigna l’horreur des plaisirs les plus innocents, sans compter les plaisirs plus consistants que sont le jeu, le vin et les femmes.

Cet individu eut la riche idée de décéder il y a trois mois à peine, laissant à son fils une colossale fortune et une furieuse envie de rattraper le temps perdu. Et où s’amuser vraiment si ce n’est à Paris ? Il voyage en la charmante compagnie de la Baronne Juliet de Gondremarck, pétillante personne qui a le bon gout de sortir en laissant le Baron aller à ses affaires, ce qui intéresse fort les jeunes gens à la mode.

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A propos de ces derniers, nous conseillons au Baron de se méfier des compères Gardefeu et Bobinet, qui pourraient bien, en guise de fêtes dans le grand monde, lui servir des parties dans de faux hôtels avec de fausses marquises et de faux officiers. Mais après tout, est-ce si grave pourvu qu’on s’amuse, que le vin soit bon, les femmes charmantes, les maris complaisants et les convives drôles ?

Il est venu pour cela ce me semble.

Un autre singulier personnage vient lui aussi de débarquer, mais du Brésil.

Connu des plus anciens d’entre nous, il nous avait quittés ruiné, mais il semble encore plus riche que naguère après un séjour dans ses terres lointaines. Le Brésil est un pays merveilleux, où il suffit de se baisser pour ramasser de l’or, des diamants, et autres richesses. Mieux, nul n’est besoin de se baisser, d’autres le font pour vous, et pour presque rien. Notre Brésilien s’est lancé avec frénésie dans la vie parisienne, et il aurait dit-on trouvé chaussure à son pied en la personne d’une sémillante gantière, femme de petite condition mais dotée d’un fort tempérament et d’un charme qui mérite le détour. Aventure passagère ou grand amour ?

A propos de grand amour, on murmure dans les salons du faubourg Saint-Germain que Métella, la coqueluche de tous ces messieurs, aurait des états d’âme.

Elle serait amoureuse, non de ces amours éphémères qui font le bonheur des soirées à la mode, mais amoureuse « pour de vrai » comme disent les enfants.

Est-ce vraiment raisonnable à son âge et dans sa condition ?

En tout cas tout cela ne nous empêchera pas de nous amuser, c’est encore ce que l’on peut faire de mieux à Paris.

Chronique mondaine parue dans « Le Cancan Impérial » du 2 Décembre 1856.

Bon pour publication délivré par Monsieur Jean Philippe Isola Directeur de la moralité et des bonnes mœurs au cabinet impérial.

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Le personnage principal de La Vie Parisienne

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u cœur de La Vie Parisienne se trouve un personnage essentiel, dont tout le monde parle, mais qui reste muet : Paris, le « Grand Paris » de l’époque, voulu par Napoléon III et réalisé par Haussmann.

Napoléon 1er voulait faire de Paris « la capitale de l’Univers » ; Napoléon III se présente comme celui qui accomplit ce rêve. Il met en place un système politique, technique et financier d’une rare efficacité.

Paris, capitale ouverte à la France, à l’Europe, et au monde.

Aux quatre points cardinaux, les gares parisiennessont les portes d’entrée de la ville, à l’instar de nos aéroports. Depuis ces gares, un réseau d’avenues et de boulevards irrigue le nouveau Paris.

Chœur d’ouverture (acte I) : « nous sommes employés de la ligne de l’Ouest qui dessert St Malo, Batignolles et Brest. Final de l’acte I : « Nous venons, arrivons, de tous les pays du monde, nous venons, arrivons pas la terre ou bien par l’onde » Dans cette foule, un Brésilien, un baron suédois et sa femme. Tous viennent pour découvrir le nouveau Paris, sa beauté et ses plaisirs. Le trio du 1er acte nous donne une idée de leur programme Paris, vitrine de la première révolution industrielle.

C’est la révolution de la machine à vapeur, symbole du progrès en marche.

«Nous devons suivre l’essor de la civilisation. Nous allons à la vapeur, tant pis pour ceux qui restent en route».

Acte I, le chœur : « la vapeur nous amène, nous allons envahir la cité souveraine.. » Le lieu privilégié de cette célébration du progrès est l’exposition universelle qui investit les Champs Elysées en 1867. « La Vie Parisienne », créée en 1866, fut conçue pour tirer parti de cet évènement international, et ce fut un succès.

Paris, la plus belle ville du monde On aménage les bois de Boulogne et de Vincennes, les Buttes Chaumont, et bien d ‘autres parcs, on trace de larges boulevards et avenues, tant pour la circulation que pour la parade. L’avenue de l’Impératrice (avenue Foch) est le théâtre de la parade des calèches qui se rendent au bois de Boulogne.

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On construit les fameux immeubles haussmanniens. C’est l‘occasion pour les propriétaires de montrer leur richesse et leur position sociale. Ces habitations sont soit des hôtels particuliers soit des immeubles de 1ére, 2ème ou 3ème classe selon les moyens du propriétaire Le 2 ème acte se passe dans l’appartement de Gardefeu, que celui-ci fait passer pour « le petit hôtel du grand hôtel », à la déception du baron « il est tout petit cet hôtel» Héritiers de la grande tradition parisienne des XVIIème et XVIIIème siècles, les hôtels particuliers du Second Empire, de style éclectique, assez empesés, expriment plus la richesse et le confort que l’élégance. Le 3ème acte se passe dans « l’hôtel de Quimper-Caradec », situé rue de Varenne, dont on peut penser qu’il date de l’ancien régime.

Paris, capitale des arts C’est à Paris qu’il faut se produire pour percer sur la scène internationale. On assiste à une frénésie de construction de théâtres, qui ne prendra fin que vers les années 30. Le palais Garnier, commencé en 1862, ne sera achevé qu’en 1875, mais à l‘époque de « la Vie Parisienne » on a déjà construit le Théâtre du Châtelet, le Théâtre Lyrique (théâtre Sara Bernard), le Cirque Napoléon (cirque d’hiver), le Théâtre du Prince Impérial (Gaité Lyrique). On agrandit le Théâtre Français, dont la façade porte les « N » de l’empereur. Ceci sans compter de nombreux théâtres privés. La tournée des théâtres fait partie des attractions incontournables de Paris.

Paris capitale des plaisirs On vient aussi (surtout) à Paris pour s’encanailler. Plaisirs des banquets, des fêtes, des fausses amours et des femmes de Paris, plus ou moins légères, mais si élégantes. Les allusions sont permanentes. Acte I: »nous allons envahir la cité souveraine, le séjour des plaisirs.

Acte II le baron : « je veux m‘en fourrer jusque-là ».

Le quatrième acte se déroule dans un de ces restaurants de luxe dotés de cabinets privés pour des rencontres discrètes. « fermons les yeux » Signalons deux allusions intéressantes: Acte I , chœur : « entrons entrons dans la fournaise ».

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On voit bien de quelle fournaise il s’agit, mais on peut y voir une référence à la bataille de Waterloo décrite en ces termes par Victor Hugo : « à pas lents, musique en tête et sans fureur, tranquille, souriant à la mitraille anglaise, la garde impériale entra dans la fournaise ». le Second Empire livre plutôt bataille dans les alcôves des cocottes.

Acte I, Gardefeu appelle Paris « la moderne Babylone ». Allusion à la « nouvelle Babylone » de l’Apocalypse « immense cité, parée d’or… de pierres précieuses et de perles ». « Babylone la grande, la mère des prostituées et des abominations » La conclusion appartient au chœur final : « Célébrons Paris, célébrons Paris, célébrons Paris ! »

HERVÉ DUPONT

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La salle Gaveau

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es grands facteurs de piano du XIX° siècle eurent l’ingénieuse idée d’ouvrir des salles de concert afin que des artistes renommés puissent démontrer l’excellence de leurs instruments. C’est ainsi que Sébastien Érard produisit le jeune Franz Liszt au 13 rue du Mail dans une belle salle qui existe encore, que les frères Pleyel offrirent leur salon de la rue Cadet à Chopin, avant de passer rue de Rochechouart à partir de 1839.

La prospérité de la maison Gaveau, créée en 1847, l’incita à suivre cet exemple en lançant, au 45 rue La Boétie, la construction d’un immeuble entièrement voué à la musique. La salle Gaveau, inaugurée le 3 octobre 1907, était pourvue d’un grand orgue Cavaillé-Coll dont on ne voit plus aujourd’hui que la façade.

Vendu en 1957, il vit pourtant la création de grandes œuvres dont la troisième symphonie pour orgue de Louis Vierne.

Dès la fin de la Première Guerre mondiale, Gaveau devint un acteur majeur de la vie musicale parisienne avant l’ouverture de la nouvelle salle Pleyel, au faubourg Saint Honoré, en 1927. Les instrumentistes étaient moins exigeants à l’époque sur l’espace disponible de sorte que les concerts symphoniques étaient fréquents à Gaveau. Les associations Lamoureux, puis Pasdeloup, s’y installèrent à demeure avant de migrer souvent vers de plus grandes salles (Pleyel et Palais de Chaillot notamment).

Gaveau poursuivit son activité pendant la Seconde Guerre mondiale avec les associations symphoniques et les plus grands solistes de l’époque.

Après guerre, les Jeunesses musicales de France (JMF) s’y installèrent ainsi que les Amis de la musique de chambre (AMC). Les Concerts Fernand Oubradous y rassemblèrent tous les dimanches matin la fine fleur des solistes français, les vents en particulier (Rampal, Pierlot...). S’y déroula également le concours Marguerite Long-Jacques Thibaut, devenu Long-Thibaud-Crespin, dont certaines épreuves se passent aujourd’hui encore dans cette salle.

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La liquidation de la maison Gaveau en 1963 fut une épreuve dont la salle Gaveau faillit ne pas se remettre. Elle fut sauvée par Jean-Marie Fournier, pianiste, et son épouse Chantal, fervents mélomanes, qui, avec l’aide des Monuments historiques, la restaurèrent dans le souci de retrouver le sobre décor d’origine. Elle a rouvert ses portes le 8 janvier 2001.

C’est le 18 décembre 2007 que Gaveau fêta avec éclat son centenaire. Beaucoup d’artistes avaient répondu présent dont Martha Argerich, Nelson Freire, Jean-Marc Luisada, le trio Wanderer, Philippe Jaroussky. Depuis lors, elle résiste vaillamment à la concurrence des grandes salles parisiennes, tirant son épingle du jeu avec une programmation originale, indépendante des subventions étatiques, et permettant à des artistes rares de rencontrer leur public.

Les Tréteaux lyriques se sentent particulièrement honorés de jouer en si belle compagnie, dans ce cadre historique, témoin de tant de grandes heures musicales. Ils ont en outre relevé le défi de monter un opéra-bouffe dans une salle qui n’est pas conçue pour un tel projet, utilisant au mieux le plateau et ses accès pour offrir quand même au public une mise en scène vivante et efficace, au service la musique irrésistible de Jacques Offenbach.

GILBERT DUNOYER DE SEGONZAC

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Les artistes LE CHŒUR DES TRÉTEAUX LYRIQUES Adeline Letamendia, Amélie Marion-Audibert, Amélie Dumetz, Brunehilde Stern, Caroline Bayle, Caroline de Rougé, Charlotte de Poix, Christelle Bonnafoux, Christian Boeringer, Coline Martinot-Lagarde, Edouard Monnier, Elvire de Nicolaÿ, Emilie Bozio-Made, Etienne Brain , Etienne Denis, François de Laboulaye, Frédéric Ernst, Ghislain Rouesse, Hervé Dupont, Jean-Pierre Flutre, Katell Martin, Laurence de Nervaux, Marie-Alexia O’Neill, Marina Lavenière, Michel Signeyrole, Nathalie Knezaurek, Noémie Goulin, Patricia Denis, Perrine Guisolphe, Renaud Feld, Sébastien Ferri, Ségolène Martin, Valéry Monnier.

AVEC DANS LES ROLES PRINCIPAUX Estelle GOMBAUD : Gabrielle Juliette HUA : La Baronne de Gondremarck Elodie ROMAND : Métella Géraldine MONNIER : Pauline Frédéric LENOIR : Bobinet Jean-Philippe ALOSI : Raoul de Gardefeu Jean-Philippe MONNATTE : Le Baron de Gondremarck Marc CHAPEL : Le Brésilien Rémy BUCLIN : Frick Antoine de TILLY : Prosper Jérôme COMBEAUD : Urbain Marc LESIEUR : Alfred

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Les professionnels Direction musicale : Laurent Goossaert Orchestre AD LIB (Direction artistique Vincent Bernardon) Mise en scène : Mirabelle Ordinaire Chorégraphe : Elodie Lobjois Assistante metteur en scène : Maud Morillon Décors : Philippine Ordinaire Costumes : Francoise Raybaud et Sylvie Blondeau Lumières : Kevin Briard Chef de choeur : Marie Favier Assistant chef de choeur : Jean Bridier Orchestre : AD LIB Violons : Vincent Bernardon Violon Solo Florence Benoist Chef d’attaque Hubert Charpentier Béatrice Fauré André Pons Alison Taylor Altos : Jean-Christophe Raffy Richard Fournier Violoncelles Isabelle Ruault Pierre-Emmanuel Chartron Contrebasse : Mathieu Martin Flûte : Sandrine Ladjouzi-Boscariol Hautbois : Yan Haïm Clarinette : Martial Hugon Basson : Cécile Jolin Cor : Joël Jody Trompette : Arnaud Laporte Trombone : Serge Bolland Percussions : David Outtier Marcel Hamon pour les 11 déc et 9 janv

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LES SOLISTES: Estelle Combaud : Gabrielle Actuellement Chef de projets Marketing-Communication, Estelle a toujours considéré le chant comme une passion. Dès 15 ans, elle découvre le répertoire lyrique grâce à Patricia Dupont puis Hélène Denis, avec qui elle se perfectionne aujourd’hui. En 2007, elle endosse le premier rôle dans La Bonne Aubaine, medley autour d’Offenbach, puis Bouche à Bouche dans le rôle de Jenny Dax (2012), deux opérettes montées par la Compagnie des Palétuviens. En 2013, elle obtient son CFEM de Chant Lyrique.

La même année, elle incarne le rôle de Musette dans La Bohème de Puccini. Puis en 2014, elle interprète «Elle» dans l’Amour Masqué d’André Messager.

Juliette Hua : La Baronne de Gondremark Juliette Hua a découvert l’opérette auprès des Tréteaux Lyriques, dans La Belle Hélène en 2007. Elle a été Béatrix dans Les Bavards d’Offenbach en 2008 (avec la troupe du même nom), Paola dans La Princesse de Trébizonde, Amoroso dans le Pont des Soupirs, Elisa dans La Fiancée du Scaphandrier de Claude Terrasse au Théâtre de La Bruyère, Antoinette dans la Créole, d’Offenbach en 2013...

En tant que comédienne on a pu la voir dans les séries Brother and Brother, 8hCono, Sévices Publics sur Canal Plus, Grossesse Nerveuse … et en 2014 dans le court métrage NOX, auprès de Michael Lonsdale.

Elodie Romand : Métella Artiste lyrique pétillante, Elodie Romand est amoureuse de la scène et du spectacle. « Carmen » de Bizet, « La Chauve-souris » de Strauss, la Création « Rekviem 3 » d’après le roman de Josef Bor « le requiem de Térezin » « Elias » de Mendelssohn, « Oresteia » de Xenakis, sont autant d’œuvres majeures qui ont jalonné sa carrière.

Elle est une artiste à la voix pleine de couleurs et de sensibilité qui n’hésite pas à croiser tous les répertoires du Jazz à la Comédie Musicale, du Gospel à la Chanson et de l’Oratorio à l’Opéra. www.elodieromand.com

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Fréderic Lenoir : Bobinet Frédéric Lenoir a tourné dans plusieurs courts-métrages pour la New York University en 1995. Il a été membre de la troupe de théâtre «Les sales artistes» auprès du producteur Alexandre Baud entre 1998 et 2000. Il a dansé auprès de la professeur et chorégraphe Dora de Paula dans un spectacle de claquettes sur la scène de théâtres comme le Trianon ou le Ranelagh. Il a également travaillé au service marketing d’un célèbre label pour faire découvrir la musique classique et le jazz au plus grand nombre. Il est un immense admirateur de la soprano Joan Sutherland et du producteur Francis Dreyfus.

Jean-Philippe Monnatte : Le Baron de Gondremark JPM pratique le chant lyrique depuis 20 ans ; dès 1998 il est soliste dans de nombreuses productions à Chaville, à Méréville (91), à Suresnes (92) puis 4 participations au sein des Tréteaux Lyriques : Falsacappa (Les Brigands), Jupiter (Orphée aux enfers), Calchas (La belle Hélène), Cabriolo (La prince de Trébizonde) Ses rôles sont beaux riches et permettent de mettre en lumière son goût pour le chant lyrique mais aussi comédie, rire, amitié, dérision et grandiloquent !

Il est aussi soliste auprès du chœur « Accords Majeurs » de Chaville : Messe de Puccini, Messe de Rossini, Requiem de Fauré…..

Marc Chapel : Le Brésilien Entré aux Tréteaux en 2003, Marc ne les a quasiment plus quittés depuis. Il a notamment chanté Pietro (Les Brigands), Pluton (Orphée aux Enfers), Cornarino (Le Pont des Soupirs). Son métier le fait voyager entre la France et la Belgique, ce qu’il met à profit pour chanter dans les théâtres bruxellois les rôles de Ménélas (La Belle Hélène), Oncle Max (La Mélodie du Bonheur), Brissac (Les Mousquetaires au Couvent), Alfred (La Chauve-Souris), à côté de concerts plus sérieux de mélodies, d’oratorios (Le messie de Haendel, les Passions de JS Bach) et de cantates baroques françaises ou allemandes, qu’il affectionne particulièrement.

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Nos professionnels Laurent Goossaert - Chef d’orchestre Formé dans la classe de Nicolas Brochot, le chef d’orchestre français, Laurent Goossaert est sollicité par de nombreuses formations, comme l’Orchestre National de Chambre du Luxembourg, l’Orchestre National de l’Opéra de Iochkar-Ola (Russie), L’Orchestre d’Harmonie des Gardiens de la Paix (Paris), l’Orchestre Symphonique de Séville, l’Orchestre Symphonique de Kinshasa (RDC), l’Opéra de Marseille…

L’éclectisme des projets qu’il conduit se lit dans la diversité et la notoriété des artistes avec lesquels il collabore régulièrement ; retenons Frank Braley, Henri Demarquette, Jean-Frédéric Neuburger, Dhafer Youssef, Brigitte Engerer, Jean-François Zygel, David Krakauer, Valeriy Sokolov, Michaël Lévinas, Marie-Christine Barrault, Francis Perrin…

Enseignant la direction d’orchestre au CRD d’Évry ainsi qu’au Pôle Supérieur de Paris-Boulogne et demi-finaliste du concours international de Pescara (Italie), il est depuis 2009 chef invité de l’Orchestre Lamoureux (Paris) qu’il dirigera à Gaveau en février après cette huitième production avec les Tréteaux lyriques. Il est depuis septembre 2015 chef associé et conseiller artistique de l’Orchestre de la Région Réunion.

L’orchestre AD LIB L’orchestre AD LIB est né de la volonté de son violon solo Vincent Bernardon qui a su réunir autour de lui une équipe de musiciens professionnels motivés par le même désir d’allier qualité et plaisir musical. L’orchestre est à géométrie variable et s’adapte à un répertoire très large allant de l’orchestre de chambre (10 musiciens) jusqu’à l’opéra (45 musiciens) L’association le Kiosque à Musique gère l’orchestre depuis 2005.

AD LIB sur une partition de musique est l’abréviation du latin AD LIBITUM pour indiquer :

1. La liberté laissée à l’exécutant quant au mouvement d’un passage, (d’une cadence ou d’un point d’orgue ...), la reprise du mouvement initial étant indiquée par la locution « a tempo » ;

2. Le caractère facultatif d’une partie vocale ou instrumentale.

Jouer ensemble, c’est ADmettre que sa LIBerté de créer puisse rencontrer celle des autres, c’est Adhérer LIBrement à un projet de fusion de l’individu dans le collectif, sans que l’individu y perde son âme.

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Mirabelle Ordinaire - metteur en scène Mirabelle Ordinaire travaille au théâtre et à l’opéra entre New York et Paris. Elle est la metteur en scène en résidence de la nouvelle Académie de l’Opéra de Paris en 2015-2016, et a écrit et mis en scène Les Temps Aventureux dans le cadre du programme Dix Mois d’École et d’Opéra (2015). À New York, elle a mis en scène A Theory of Perpetual Motion (The Tank, 2013), Lorca in New York (La Nacional, 2012), et Le Monte Plat d’Harold Pinter (Arthur Seelen Theatre, 2007).

De 2010 à 2014 elle a été l’assistante à la mise en scène de Christophe Perton, notamment sur Don Giovanni (Atelier lyrique de l’Opéra de Paris, 2014). Elle a été été l’assistante interprète de Robert Wilson sur les Fables de La Fontaine (Comédie française, 2003-2004), et d’Andrei Serban sur Otello de Verdi (Opéra Bastille, 2004).

Elodie Lobjois – Chorégraphe De formation classique, Elodie débute sa carrière à l’âge de 18 ans dans la compagnie « Aenaon » à Athènes sous la direction de Daniel Lommel, ancien co-directeur des ballets de Maurice Béjart. De retour en France, elle danse dans divers cabarets, notamment le Paradis Latin et le Crazy Horse Paris et Las Vegas. En parallèle elle enseigne la danse classique en conservatoire.

Elle participe également en tant que danseuse à une création à l’Opéra Bastille : La Gioconda.

Elle chorégraphie un french cancan endiablé pour le musée Rodin lors d’une soirée de mécénat, pour des spectacles jeune public ou encore pour des congrès. Passionnée par des registres artistiques différents, elle se forme au chant et aux disciplines du cirque (tissu aérien, trapèze), numéros qu’elle joue actuellement à travers la France.

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Philippine Ordinaire – Scénographe Formée à St Martins College of Art à Londres, Philippine Ordinaire a collaboré à de nombreux projets de théâtre et d’opéra en France et à l’étranger, notamment avec Christian Fenouillat et Charles Berling, Chantal Thomas, Tim Hatley ou encore Radu Boruzescu. Elle travaille également depuis 2009 avec Robert Carsen sur ses scénographies d’exposition (dernièrement «Splendeurs et Misères» au Musée d’Orsay).

Elle a entre autres créé les décors de La Dame de chez Maxim’s mise en scène par Salomé Lelouch au Ciné 13 Théâtre, du Brâme des Biches mis en scène par Pierre Guillois au Théâtre du Peuple de Bussang, des Temps Aventureux mis en scène par Mirabelle Ordinaire dans le cadre de Dix mois d’Ecole et d’Opéra à l’Amphithéâtre de l’Opéra Bastille et de Don Giovanni mis en scène par Allex Aguilera à l’Opéra de Trieste.

Maud Morillon – Assistante Mise en scène Maud Morillon débute sa carrière dans la production théâtrale à l’International Visual Theatre dirigé par Emmanuelle Laborit.

Ses différentes missions, en tant que directrice de projet ou assistante à la mise en scène, lui ont permis de découvrir des univers très variés dont la création théâtrale, la création d’opéras (notamment Les mamelles de Tirésias et Carmen mis en scène par Philippe Arlaud), la création de projets culturels transverses, la vie d’orchestre, la création visuelle, la réalisation vidéo et la régie.

Pouvoir échanger autour de la dramaturgie, coordonner, trouver des solutions, organiser, remettre en question, se demander pourquoi et comment, mais aussi faire travailler et écouter les artistes… c’est ce qu’elle a le plaisir de faire aux côtés des metteurs en scène qu’elle accompagne, et notamment Mirabelle Ordinaire.

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Francoise Raybaud – costumière Diplomée

de l’Ecole Esmod, elle débute comme styliste à Paris avant de se transférer à Rome et de commencer sa carrière de costumière. De retour à Paris en 1994, elle y fonde la marque Bandicoot-Lapin et continue parallèlement son travail de costumière en Italie.

Pour le théâtre elle dessine les costumes pour Pick Pocket et pour Joyselle, Joyeux Anniversaire Samuel Beckett, La notte della Vigilia , Il Ratto di Proserpina (1997), La Maison de Bernarda Alba Alba, Le Conseil d’Egypte, Les Mensonges de la Nuit Nuit, La Tempête, Sicilian Tragedi, Jacques et son Maître et pour la cérémonie d’ouverture des Championnats du Monde d’Escrime à Catane.

Pour l’opéra, elle dessine les costumes de Carmen, Madama Butterfly, La Clemenza di Tito, Lucia di Lammermoor, « Dreyfus », Guillaume Tell et des Pêcheurs de Perles…

Sylvie Blondeau – Costumière costumière Franco-Québécoise, tisse sa toile entre théâtre et cinéma, avec des créations aussi variées qu’originales : du costume de cabaret burlesque au défilé de mode pour séries policières, contemporain ou historique, le costume est sa seconde peau. En projets une nouvelle création dans le cadre d’un projet pédagogique à l’Opéra Bastille, ainsi que de nouvelles réalisations XVIIe siècle pour une nouvelle saison de la série Versailles. À ses heures perdues, Sylvie enseigne la couture et crée des modèles textiles pour une maison d’édition.

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Kévin Briard -Eclairagiste Formé à l’ENSATT (2003-2006) au sein du département de réalisation lumière, Kevin Briard travaille ensuite au sein de la troupe de La Comédie de Valence à l’invitation de Christophe Perton et crée les lumières de spectacles d’artistes invités tels que Olivier Maurin ou Yann-Joel Collin.

Au théâtre, il travaille notamment avec les metteurs en scène Volodia Serre, Olivier Werner, Clement Poirée, Nelly Morgenstern, Marc Lainé, Richard Brunel et Mélanie Mary.

A l’Opéra c’est aux côtés de Julien Fisera au festival d’Aix en Provence (Be With Me Now) et de Volodia Serre à Bolzano en Italie (Forèst, de Matteo Franceschini) qu’il débute son parcours.

En 2013, il est finaliste de la sélection pour le Rolex Mentor & Protégé Arts Initiative et fait la rencontre de Jennifer Tipton à New York. Il intervient depuis au sein de la Jerome Robbins Dance Company au suivi des créations lumière de Jennifer Tipton. Caroline Lhuil-

Marie Favier - Chef de chœur Maître en musicologie, à étudié à la Maîtrise de la Loire puis au CRR de Lyon et au CMBV à Versailles. Elle travaille avec divers ensembles : Les Cris de Paris, La Chapelle Rhénane, Correspondances, Arsys Bourgogne... On a pu la voir sur scène dans Hermia ((Barbe-bleue d’Offenbach), Isménide (La Vénitienne de De La barre), Clorinde (Tancrède de Campra) et Polymnie et Caliste ((les Fêtes de l’Amour et de Bacchus de Lully). Elle apprend la direction de choeur avec Leslie Peeters et dirige depuis 2004 des formations variées dont le choeur Papageno et les Tréteaux Lyriques. Elle crée également les ensembles Orphéa et Comet Musicke. Elle co-écrit et interprète le spectacle musical «Un Noël à New-York» (décembre 2015 à la Comédie Nation à Paris).

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PETITE ANNONCE

CAMILLE TALON GRAPHISTE - ILLUSTRATRICE

Conception graphique - IdentitĂŠ visuelle - Mise en page - Illustration Roughs - Story-boards - conseil en communication

CONTACT : camille.talon.pro@gmail.com 06 - 50 - 95 -14 - 85 camilletalongraphiste.carbonmade.com camilletalonbd.tumblr.com

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Les associations que nous aidons AMBITION CITÉ : L’association Ambition-Cité forme des enfants à être des hommes debout et à changer le monde dès aujourd’hui. Son école élémentaire pilote, le Cours Frédéric-Ozanam, a ouvert dans les quartiers Nord de Marseille en septembre 2014, et accueille déjà une vingtaine d’enfants. Au programme : priorité au «lire-écrire-compter» avec des méthodes classiques et personnalisées, petits effectifs, lever des couleurs, uniformes, récréations animées, services en maison de retraite, randonnées, et «ateliers éducation» avec les parents. L’école continue de grandir et ouvrira une nouvelle classe en 2016, avec le soutien des Tréteaux Lyriques. Le Cours Frédéric-Ozanam fait partie du réseau Espérance banlieues qui compte désormais quatre écoles en France.

TERRES KARENS : Terres Karens est une association soutenant des projets de solidarité auprès du peuple Karens de Thaïlande. Elle participe au développement de leurs villages dans le respect de leur culture et mode de vie afin d’apporter aux familles des revenus supplémentaires pour éviter de ne dépendre que de la récolte du riz. Une coopérative de fils et une école de couture ont vu le jour il y a 5 ans, permettant aux Karens de mettre à profit leurs savoir-faire reposant sur le tissage, une technique transmise de mère en fille depuis toujours. Les produits cousus sont vendus en France. Aujourd’hui l’association cherche à équiper son atelier de machines à coudre électriques qui fonctionneront avec l’arrivée imminente de l’électricité dans les villages.

Le soutien des Tréteaux Lyriques sera affecté à l’achat d’une moto pour faciliter les trajets d’un village à l’autre, sur des routes peu praticables.

L’ILOT : L’association l’Îlot accueille, héberge et accompagne des femmes et des hommes en grande difficulté, en particulier lorsqu’elles sortent de prison ou bénéficient d’un aménagement de peine.

Elle met tout en œuvre pour leur permettre de reprendre pied dans la société afin d’éviter les situations de précarité sociale qui mènent à la récidive. L’association aide et accompagne ainsi plus de 1 200 personnes chaque année.

L’accompagnement proposé inclut des actions d’insertion par l’activité économique. Les Tréteaux Lyriques soutiennent un « Atelier Qualification-Insertion », formation qualifiante innovante permettant à de jeunes sortants de prison de se former au métier d’agent de restauration tout en bénéficiant d’un accompagnement socio-éducatif.

Remerciements La naissance de ce spectacle est le résultat de la passion et de

l’enthousiasme de Professionnels, de Talents et d’amis fidèles de la Troupe sans lesquels il n’aurait pas vu le jour. Nous tenons à vous les présenter et les remercier avec chaleur : Notre Lieu de représentation : La salle Gaveau et M et Mme Fournier et leurs assistants Les lieux de répétitions : M de Chalandar, Directeur de L’Institut de la Tour, Mr Letouzey, Mme Brain et M de Maisonneuve qui nous accueillent toutes les semaines depuis une décennie.

Mme Marie, Directrice de l’école maternelle St François d’Eylau qui nous a ouvert ses portes durant le mois de septembre.

La paroisse de Sainte Jeanne de Chantal.

Pour la musique et pour nos chants : Jean Bridier, notre irremplaçable chef de chœur adjoint Bruno Charvet patient chef de chœur d’une journée Au piano, les talentueuses : Jin Joo Lee, Kasuko Iwashima, Daria Ulantseva, Aurélie Courtot.

Thibaud Mercier qui nous accueilli dans la chaleur de l’été.

Pour nos habits de lumières : M Hoste, Directeur du Lycée pasteur Mont Roland de Dôle, Isabelle Gautier, chef des travaux ainsi que tous les professeurs et les élèves de DMA et de DTMS qui travaillent avec nous pour la 3ème fois.

Dorine Dunand et Chantal Sabatié Garat qui ont supervisé le travail de l’école et des talentueuses petites mains qui ont données de leur temps : Mme Ferri, Mme Meilhan, Mme Leclerc, Mme Serre, Mme Mamorstan, Mme Mathoret, Mme de Drouas, Mme Julia Vidile (http://titesmains.com) L’association aux captifs la libération pour ses ateliers coutures.

Prêt de costumes : M Bouron et Mme Planchez (Midnight Première), M Préchac, Mme Loriault (Adhésive Production), M et Mme Martinot-Lagarde, Mme Huchet et M Jourdain.

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Pour la réalisation de notre gare et de nos salons Parisiens : M Van Cassel, Proviseur du Lycée Professionnel Léonard de Vinci à Paris, M Bouré et M Schneider ancien et actuel chef des travaux, ainsi tous les professeurs et élèves de DTMS qui ont réalisés nos décors et accessoires et plus particulièrement M Decroix qui revient dans l’aventure des tréteaux Lyriques pour sa 2ème collaboration.

Merci à Mme de Rougé qui prête des locaux pour stocker nos costumes et accessoires et à Bruno Mercier notre chauffeur de choc.

Pour la mise en beauté des chanteurs comédiens : L’institut Guinot ses professeurs et ses élèves Laurence Boeringer et son équipe de maquilleuses qui rehaussent notre teint et allument nos regards Les grands plus : Inès Beckhiman notre assistante décors.

Camille Talon qui a conçu l’affiche et l’a déclinée avec talent.

Christine Raynaud et son aide précieuse pour la billetterie.

Camille Boneu, qui continue de nous accompagner avec son efficacité d’attaché de presse.

Mamilo et M Jean-Pierre Brain qui nous accueillent pour les fêtes et les auditions de la Troupe M Plagnol pour ses splendides photos.

Yves Aubin notre président fondateur.

Jacques Bourdon Comte Offenbach, Martine Blayn pour leur fidélité.

Mirabelle Ordinaire souhaiterait remercier particulièrement : Florence Marques Christian Schirm et Myriam Mazouzi, Aurore Tomé François et Anne-Catherine Ordinaire Fanny Léger Marie-Stéfane de Sercey et Jean Léger, Patrick Zimmerli Et enfin, tous ceux et celles que nous ne pouvons pas nommer ici, amis fidèles ou anonymes qui ont apporté de leur aide et de leur temps pour que ce spectacle voie le jour.

À tous les candidats pour rejoindre les Tréteaux Lyriques lors de notre prochaine aventure nous donnons rendez-vous aux auditions choeur et solistes en septembre/octobre 2016.

Toutes les informations seront sur notre site www.treteaux-lyriques.fr

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