Dossier partenariat Antoine Miquel

BVM sport

dossier de partenariat a n t o i n e

m i q u e l

auTO

sommaire

Objectifs & motivations Palmarès Les avantages du partenariat L’offre partenaire Presse Le challenge Caterham Essai Caterham R300

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Photothèque Budget & Calendrier

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Contact

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edito

Chers partenaires, J’ai commencé le karting à l’âge de 9 ans et l’auto à 17…

Rouler vite sur circuit au volant d’une voiture de sport, c’est ma passion.

Une passion coûteuse qui me conduit à rechercher des partenaires pour m’aider à financer tout ou partie de ma saison. Ce sont vos gestes de soutien, grands et petits qui me permettront de réaliser mes projets. En contrepartie, je porterai le nom de votre entreprise sur ma combinaison ou mon casque, j’afficherai votre logo sur ma voiture pour vous garantir la plus grande visibilité possible.

Ce dossier vous permettra de mieux me connaître, de découvrir mon sport tout en vous faisant partager ma passion et en vous invitant à passer de l’autre côté de la barrière avec les mécanos et les autres pilotes juste avant de partir en pré-grille. Vous m’accompagnerez dans les paddocks, vous m’encouragerez sur la ligne de départ et vous serez l’un des premiers à me serrer la main quand je rentrerai aux stands.

Si vous aimez le bruit des moteurs, les vibrations et les odeurs d’essence, je serai heureux de partager ces moments avec vous !

Lisez mon book et appelez-moi, je serai à l’écoute de vos propositions et mettrai un point d’honneur à satisfaire vos attentes.

Je compte sur vous et vous remercie par avance.

A très bientôt !

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portrait

Saison 2018 : CATERHAM R300 Superlight

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Objectifs et Motivations

Profil Combatif, persévérant, compétiteur et endurant, je ne lâche jamais les missions que j’entreprends. En sport auto, tant que je ne vois pas le drapeau à damier, la course n’est pas terminée. Vous l’avez compris, quand je m’engage dans une compétition sportive, c’est pour la gagner et si je ne suis pas vainqueur, c’est que j’apprends !

Mes motivations

Faire du sport auto et du pilotage mon activité professionnelle.

Pour cette raison, je me suis engagé dans un BTS que j’effectue en alternance chez BVM Motors, spécialiste du véhicule sport et prestige d’occasion à Mérignac.

J’ai signé mon contrat de travail avec un projet précis : faire découvrir le pilotage sur circuit aux clients de la concession dans le but d’associer le sport auto à la vente de véhicules sportifs, toutes marques.

Après l’obtention de mon BTS, je souhaite passer mon brevet de moniteur en sport auto.

Mes différents objectifs

A court, moyen et long termes, mes ambitions sont les suivantes : • A très court terme, je souhaite obtenir la confiance d’un ou de plusieurs partenaires, pour pouvoir faire mes preuves à plus haut niveau • A moyen terme, je rêve de décrocher un contrat avec une structure de compétition pour participer à des courses d’endurance en V de V

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• A plus long terme, j’ai pour ambition de mettre mon talent de pilote au service d’une écurie – ou d’une entreprise, pour transformer ma passion en un futur métier.

Je suis disponible pour toute proposition au volant d’un véhicule de sport. N’hésitez pas à m’appeler si vous êtes à la recherche un équipier motivé et passionné !

Palmares

Compétitions KARTING Champion d’Aquitaine en 2009 et 2011 Champion de Bretagne et Pays de Loire en ROTAX MAX en 2015

sport AUTO

portrait

Nom

MIQUEL

Prénom

Antoine

Âge 20 ans Nationalité française Profession étudiant BTS en Alternance BVM Motors - Mérignac

> TWINCUP

Participation à la dernière manche du Championnat de France sur le circuit de Haute-Saintonge

> CATERHAM Challenge Caterham 2017 : 6 courses, 4 victoires Classement général Challenge Caterham : 5ème de l’ACADEMY CATERHAM 6ème en ROADSPORT 2 courses dans la Catégorie R300 Superlight (8ème place à Nogaro)

discipline Sport automobile sur circuit

Pilote chez Caterham Compétition à Alès

Contact Antoine Miquel

Tél. 06 30 81 77 54

a.miquel

bvm-motors.fr

English Spoken

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partenariat

Les avantages du partenariat Le sponsoring désigne le soutien financier – ou matériel, qu’une entreprise apporte à un projet sportif ou culturel, en échange de diverses formes de visibilité.

Les engagements du sponsor peuvent prendre la forme d’une participation financière – ou la réalisation de prestations de services.

Il n’y a pas de différence entre le mécénat et le parrainage, d’un point de vue juridique.

En revanche, d’un point de vue fiscal, le sponsoring autorise la contrepartie financière.

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Sponsoring : un partenariat gagnant/gagnant Dans le cadre du sponsoring sportif, les entreprises sélectionnent les disciplines qu’elles veulent soutenir en fonction des valeurs qui y sont associées. La réduction d’impôt sera égale à 60% des dépenses réalisées au titre de l’article 238 bis du Code Général des Impôts. Les dépenses effectuées pourront être déductibles dans la proportion du plafond de 5‰ du chiffre d’affaires.

Les avantages fiscaux du sponsoring Les entreprises qui pratiquent le sponsoring bénéficient de réductions fiscales.

Les dépenses engagées dans le cadre de manifestations sportives constituent des charges déductibles lorsqu’elles sont exposées dans l’intérêt direct de l’exploitation commerciale de l’entreprise partenaire.

Ces dépenses de sponsoring sont déductibles du résultat imposable dans la limite de 60% du montant total engagé et de 5‰ du chiffre d’affaires hors taxes.

Aux yeux de l’administration fiscale, cette déductibilité impose : • Que le sponsor soit clairement identifié • Que les dépenses engagées soient proportionnelles à l’avantage attendu par l’entreprise.

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Bon à savoir : Les factures générées dans le cadre du sponsoring sont TTC (Toutes Taxes Comprises). Le sponsor peut donc déduire la TVA facturée ou bénéficiaire du parrainage dans les conditions de droit commun.

L’offre partenaiRE

partenariat

Kit média

• Mise en avant du logo du partenaire • Présence du partenaire sur les différents supports de communication

1- sur la voiture

2- sur le Casque

3- Sur la combinaison du pilote

Organisation d’Evénements Organisation d’événements par le biais du Club BVM Motors : événements d’entreprises, journées CE clients et collaborateurs, repas et sorties sur circuits.

Weekends de course : invitations VIP visites stands, paddoks restauration staff technique photos, etc.

Stages de pilotage : baptême de piste au volant d’une voiture de sport équipée d’une camera embarquée.

Journées karting, simulateurs, etc.

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Presse

Retour sur le parcours du pilote bordelais Antoine Miquel

Antoine a débuté le karting de compétition à l’âge de 9 ans dans la catégorie « jeunes ». Durant les 3 premières saisons, il a décroché deux titres de champion régional (Champion d’Aquitaine en X30). Au printemps 2012, il devient pilote FFSA en ROTAX sur châssis SODI puis TONY KART. Antoine rejoindra ensuite le team LMC Racing en Bretagne en 2015 avec lequel il terminera la saison en remportant le titre de Champion de Bretagne et Pays de Loire.

Après une première expérience en Twingo Cup, Antoine intègre la Caterham Academy de Vincent Beltoise à Alès. Depuis son entrée dans le team Caterham Compétition, Antoine Miquel laisse peu de place sur les podiums. Il sera d’ailleurs le seul pilote à rouler dans les 3 catégories du challenge Caterham France durant la même année ! >Il a débuté les premières courses en Academy puis il a poursuivi la saison en catégorie Roadsport pour terminer les deux dernières rencontres sur Caterham R300 Superlight. Un prix lui a d’ailleurs été décerné pour son parcours unique !

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>>

Alès : Prise de contact pour les arrivants de l’Academy…

Traditionnellement, les pilotes de la catégorie Academy découvrent la compétition sur circuit lors du premier meeting de course.

Pour cette nouvelle saison nous n’avons pas dérogé à cette règle et c’est au Pôle Mécanique que la plupart des pilotes ont découvert leur auto. Une fois que les premières consignes furent dispensées par Vincent Beltoise et les packs pilotes distribués, place à l’action !

Dès les premiers tours de roue, 3 pilotes se démarquent sur le

*Extraits articles de presse

Presse

Qui est Le Tone ?

Pilote en catégorie Roadsport du Challenge Caterham, mais pas que…

tracé Alésien. Malgré des premières qualifications sous la pluie, les pilotes donnent leur maximum et se détachent. Devant, il s’agit du jeune Antoine Miquel, derrière nous retrouvons Bruno Noregral et en 3ème position Maxence Pichon. De la première qualification à la dernière course, ces trois-là garderont leur position ne laissant aucune place vacante sur le podium.

Antoine reçoit la coupe du vainqueur avec 6,5s d’avance sur le deuxième (…).

En mode >>aquaplaning sur le

circuit de Charade !

C’est sous la pluie torrentielle de Charade que s’est déroulée la deuxième course du championnat. La sentence ne se fait pas attendre et Antoine Miquel est la première victime de la météo avec une sortie de piste au virage de la Ferme. D’ailleurs, les nombreux têtes à queues contraignent la direction de course à

sortir le drapeau rouge (…) En course 2, on prend les mêmes et on recommence. Mais cette fois-ci, il faudra compter sur Antoine Miquel qui a retrouvé la performance de son auto après son désagrément de la première qualification (…)

Les 3 Fantastiques >> du Circuit Paul Ricard !

S’ils ont dominé les 2 qualifications en s’inversant les rôles entre les 2 séries, Bruno Noregral et Antoine Miquel savent que les courses peuvent révéler des surprises. Même s’ils sont mélangés en course avec les pilotes de la catégorie Roadsport, ils se tiennent dans un mouchoir. Seule une Roadsport viendra s’intercaler entre la P1 et la P2, ce qui signifie que les départs s’annoncent sportifs.

Avec seulement quelques dixièmes entre les 2 hommes, impossible de faire la moindre prédiction… Finalement, Antoine, après avoir mené la course en tête, terminera sur la deuxième marche du podium. »

Le Tone est l’un des trois présentateurs de la version Française de Top Gear. Dans l’émission auto de la chaîne RMC Découverte, il est le journaliste auto de référence. Mais avant d’être journaliste, il a été rédacteur en chef du magazine Intersection, spécialisé lifestyle et moteurs et encore auparavant, illustrateur et musicien.

La structure Caterham Compétition a la chance de compter Le Tone parmi les pilotes de la catégorie Roadsport.

Une raison de plus pour vous intéresser au challenge Caterham !

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Le challenge

Caterham est un constructeur Britannique dont l’histoire est liée à celle de la marque Lotus et à son modèle emblématique la Super Seven conçue par Colin Chapman en 1957. Au fil du temps, elle a su se moderniser sans jamais renier son esprit d’origine. C’est assurément une icône automobile conçue pour la piste. La Caterham incarne cette philosophie de conception. Son faible poids (de 500 kg à environ 600 kg selon les modèles) la rend naturellement agile, lui confère des performances saisissantes et imprègne l’expérience du pilotage avec une sensation de pureté sans précédent.

Le challenge Caterham réunit 3 catégories :

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Academy : conçue pour des pilotes n’ayant jamais couru en compétition automobile

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Caterham Roadsport : (moteur : 136 ch, 1.6l). Cette catégorie a été pensée pour des pilotes qui disposent déjà de l’expérience de la compétition et qui souhaitent se confronter sur la piste à des concurrents aguerris.

Caterham R300 Superlight : (moteur : 200 ch, 2.0l).

Une catégorie taillée pour des pilotes expérimentés qui souhaitent en découdre avec des véhicules aux performances proches de celles d’une moto !

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SUPERLIGHT R300 Le parfait compromis entre puissance et performance d’une voiture faite pour la course. Le 2.0L Duratec de près de 200 cv, une boite 6 vitesses et un pont autobloquant sur le célèbre châssis S3 de 500 kg, sur base de Caterham Seven 355 constitue ce que nos pilotes désignent comme la meilleure Caterham de course de tous les temps.

La coupe Superlight R300 est la plus spectaculaire, la plus rapide et la plus relevée des compétitions Caterham. Réservée à des pilotes aguerris, elle met tous les sens en éveil et décuple les sensations à son volant. La bataille est souvent rude avec plus de 20 voitures sur la piste !

ESSAI

essai

CATERHAM R300 conduite Conduire une Caterham, c’est un grand plaisir. Mais c’est surtout du sport. Cela réclame une bonne condition psychique, car il faut déconnecter. Ne cherchez pas le bouton de l’ESP (il n’y en a pas), on parle du… cerveau. Car on ne se sent pas plus protégé qu’à moto et on est assis si bas que n’importe quel SUV passe pour un gros semi-remorque. Pour ne rien gâcher, les performances de cette anglaise sont dingues. Pourtant, avec un quatre-cylindres 2 litres 16 soupapes Ford Duratec entre les pattes avant, la Caterham ne fait pas vibrer à la lecture de sa fiche technique. Même constat au démarrage du moteur avec une sonorité qui rappelle plus une vieille Peugeot 106 Kid qu’une Aston Martin. N’empêche, avec 175 ch pour moins de 600 kg à déplace (conducteur compris) cela donne un rapport poids/puissance meilleur que celui d’une Porsche 911 Turbo. Alors forcément, ça marche ! Les accélérations sont fulgurantes, d’autant que les 6 rapports de boîte sont courts et que notre modèle d’essai disposait de roues de 13 pouces en option au lieu des 15 pouces de série.

Un « détail » qui, l’air de rien, n’est pas à négliger. Le 0 à 100 km/h est exécuté en 4,5 secondes et la vitesse maxi est donnée pour 233 km/h. Pour ralentir la bébête, il faut « taper » dans les freins. Ce n’est pas qu’une image car sans assistance, il faut appuyer vraiment fort, mais pas trop quand même sous peine de bloquer les roues ! Ah oui, on avait oublié de le préciser : il n’y a pas d’ABS. C’est précisément pour ce genre de détails que la Caterham offre des sensations de conduite incomparables.

On se régale aussi en observant, tout en conduisant, les mouvements de la suspension avant à double triangulation. Une Caterham, c’est insolite jusqu’au bout des

pneus. Mais il convient de rester humble au volant car, même après un gros freinage bien dosé, il faut garder la tête froide pour réaccélérer. Si le train avant de cette propulsion se place au millimètre grâce à un châssis tubulaire bien rigide et une direction exagérément directe, l’arrière ne se fait pas prier pour partir !

Sécurité Un conseil avant de conduire une Caterham : serrez bien les harnais. Ce sont les seuls équipements de sécurité ! Airbags, ESP et ABS sont aux abonnés absents. Et il n’y a même pas d’assistance au freinage.

En revanche le comportement demeure sain et prévisible, et les sensations (très) fortes qu’offre la conduite d’un tel engin n’invitent pas à rouler « au-dessus de ses pompes ».

confort Le quoi ? Après une heure de conduite, le visage est anesthésié et les tympans endoloris. La Caterham est faite pour offrir des sensations fortes, pas pour prendre soin de ses hôtes. La torture démarre avant même d’être au volant, car il faut se tordre un genou pour « tomber » à bord puis laisser glisser les jambes dans l’étroit « tube d’aluminium » au fond duquel on pose les pieds sur des pédales extrêmement rapprochées.

Caterpillar ou Timberland aux pieds, s’abstenir. Une fois les harnais de la Caterham

ajustés, on ne peut plus bouger. Le coude droit empiète largement sur le siège passager, le gauche est dehors.

Accessoire à ne pas oublier : le casque.

S’il n’est pas obligatoire, il est vivement conseillé sous peine d’avoir la peau du visage qui fait des vagues, comme celle d’un parachutiste en chute libre. Mais une fois bien installé, le conducteur n’a plus qu’un minuscule volant et un tout petit levier de vitesses dans son champ de vision.

Bref, le strict minimum. Aucun bouton, aucun écran ni aucune buse d’aération ne vient perturber l’ environnement .

Il faut dire que sans pare-brise , il n’y a pas besoin d’essuie-glaces, et que sans capote, le chauffage n’aurait servi à rien. Seuls luxes, des clignotants et des rétroviseurs ! Ah, il y a aussi des sièges chauffants… malgré eux, à cause des calories lâchées par le moteur devant les pieds des occupants et de l’échappement qui longe le cockpit.

ecologie Sa taille de guêpe (3,10 mètres de long) et son poids plume n’empêchent pas la Caterham R300Superlight d’engloutir 9,3 l/100 km en consommation mixte ! C’est énorme. Du coup les rejets de CO2 suivent la tendance, avec 216 g/km. Il faut donc ajouter 1 600 € de malus !

budget A 43 995 €, cette Caterham se négocie à plus de 85 € le kilo ! N’empêche que sur l’échelle du prix au kilo, une Caterham reste beaucoup plus accessible que des truffes, du caviar, des morilles… Et elle ne se contente pas de vous dorloter les papilles lors d’un repas. La Caterham, c’est tous les jours qu’elle vous fait frissonner de la tête aux pieds.

verdict Une R300 Superlight, c’est l’inverse d’une voiture sans saveur. Elle ne fait aucun compromis et se tourne résolument vers le sport. Mais ce n’est pas le genre d’engin à mettre entre toutes les mains.

les plus - Sensations extrêmes ! - Performances ahurissantes. - 100 % Sport.

les moins - Sécurité. - Consommation. - Confort (mais il faut savoir ce que l’on veut !).

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Saison 2017 Rouler sur circuit au volant d’une voiture de sport provoque une certaine dose d’adrénaline mais se retrouver en course sur la ligne de départ génère une véritable addiction !

1 podium à Charade en Academy

2 victoires à SPA-Francorchamps en Roadsport

2 victoires à Alès en Academy

1 podium au Castelet en Academy

2 victoires Ă Albi en Roadsport

BUDGET CHALLENGE CATERHAM FRANCE Une Caterham neuve coûte entre 39 000€ et 50 000€ selon le modèle et les options qui sont choisies (cylindrée, kit pluie, couvre tonneau, élargisseur de voie, pneumatiques, etc.).

Il est cependant possible de louer un véhicule pour une course ou toute une saison (comptez environ 5000€ pour un weekend de course).

Retour sur le calendrier 2017

A ce prix, il faut ajouter l’encadrement, le transport, les pièces détachées, les pneumatiques, les interventions mécaniques, etc.

Si l’on souhaite intégrer une structure de compétition, il faut prévoir le budget du coaching, du transport du véhicule, du carburant et de l’emplacement sous la structure.

Quelques exemples concrets : • Un train de pneus de course coûte environ 500€ • Le prix du transport du véhicule est de 1000€ (pour les trajets en France) • Le coaching peut être facturé jusqu’à 1800€ par weekend de course - lorsqu’il est individuel.

A ce tarif, il faut également ajouter les frais d’hébergement et de restauration du coach…

Ainsi, si vous souhaitez apporter une participation financière de 5000€ dans le cadre du sponsoring. Votre entreprise ne déboursera réellement que 2000€ grâce à la déduction fiscale de 60% à laquelle vous avez droit. Le pilote quant à lui, disposera bien de 5000€ pour participer au financement de sa saison.

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La saison s’est terminée le 17 novembre en Italie sur le circuit du Mugello, lors d’une course d’endurance de 3 heures, par équipe de 2 pilotes.

Formulaire d’intention À retourner par mail à a.miquel@bvm-motors.fr

NOM

PRÉNOM

SOCIÉTÉ

E-MAIL

TÉLÉPHONE

Je souhaite participer à ton projet pour la saison 2018 Je voudrai participer à hauteur de : 300 e

500 e

1000 e

3000 e

5000 e

Autre montant ........................ e

Après déduction fiscale, ma participation me reviendra à seulement 40% du total versé - conformément à l’article 238bis du code général des impôts.

L’article 238 bis du code général des impôts prévoit que les dépenses de mécénat réalisées par les entreprises individuelles donnent droit pour les versements effectués au cours des exercices ouverts à compter du 1er janvier 2003 à une réduction d’impôt égale à 60 % des versements pris dans la limite de 5 ‰ de leur chiffre d’affaires.

Contact Antoine Miquel

a.miquel

Tél. 06 30 81 77 54

bvm-motors.fr

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