Jean-Christophe Genin Directeur général Agri & Horti Sud
Chers Experts in the Field, L’été est déjà arrivé! Comme le temps passe vite quand on travaille in the field avec passion ! Cet Antenne est consacré à vous tous, nos Experts in the field de tous les coins du monde. Vous qui donnez chaque jour le meilleur de vous-même pour faire de la croissance d'Arvesta une réalité. Ensemble, nous veillons à produire des aliments sains, de qualité et locaux ! Et nous pouvons en être très fiers. La durabilité et l'international sont donc au cœur de cette édition. Merci pour votre engagement! Nous restons #strongertogether pour développer l'agriculture et l'horticulture de demain.
Dans ce numéro, vous découvrirez toute une série d'initiatives Arvesta dans le cadre desquelles nous laissons la parole au plus grand nombre depuis l'atelier. Beliz et Luc nous expliquent comment ils travaillent chez Aveve, plusieurs fois élue meilleure chaîne de magasins en Belgique (p. 7). Nous apprenons (p. 19) qu'ils produisent également le meilleur aliment pour chevaux à Courtrai. Curieux de savoir comment nos experts allemands sur le terrain à Ichenhausen ont construit une nouvelle usine Mifuma ? N'hésitez pas à consulter la page 14.
La durabilité est dans notre ADN, vous le savez. À la page 16, vous découvrirez non seulement des exemples très concrets tels que les investissements réalisés chez SABE en France, mais aussi la manière
dont nous gérons beaucoup mieux l'énergie. Dans notre troisième rapport d'activité, vous pouvez utiliser votre smartphone pour découvrir numériquement tous les détails. Un autre point fort est que nous accordons la priorité à la sécurité. Rudy et Robbe expliquent très concrètement comment ils abordent cette question à la page 18.
La collaboration reste la base du succès, quelle que soit la fonction, l'entreprise ou le pays dans lequel nous travaillons. Les histoires de Better Future Farms (p.12), des aliments bio à Hombourg (p.13), de notre stagiaire Victor à Andenne (p.15) et de l'esprit d'équipe à Aalter (p.21) nous l'enseignent une fois de plus.
Félicitations à tous ! Quels beaux projets ! Mais ... cela ne s'arrête pas là. Aux pages 9, 22 et 23, vous découvrirez même les cigognes d'Arvesta, le mélange Niamh Focaccia (jouez !) et le Tour de France Arvesta.
Avant de poursuivre, permettez-moi tout d'abord de vous souhaiter de très bonnes vacances d'été, bien méritées ! Merci pour tous les efforts que vous avez déployés jusqu'à présent en 2023, bravo ! Et prenez bien soin de vous et de vos proches !
Bonne lecture,
Jean-Christophe Genin Directeur général Agri & Horti Sud
INTERVIEW Dirk et Gerry sur les plans avec ForFarmers Belgique
12 10
16 Arvesta sans frontières
La durabilité est là pour rester
7 Beliz et Luc au travail dans la meilleure chaîne de magasins belges.
9 Découvrez les aventures de nos cigognes Smarty & Teamy
10 Dirk et Gerry sur les projets de ForFarmers Belgique
12 Stronger Together International @ Agriculture & Horticulture des « Plats-Pays »
13 La production d'Arie Blok Biofeeds est transférée en Belgique
14 Une nouvelle usine Mifuma ultramoderne à Ichenhausen !
15 Stronger Together: Victor, étudiant et l’équipe d'Andenne démontrent l’esprit Arvesta
16 La durabilité est là pour rester
18 « Signaler les incidents mineurs, c’est prévenir des accidents majeurs »
19 Le site de Courtrai accueille les aliments pour chevaux avec une nouvelle ligne de production
20 Aveve flambant neuf à Gembloux
21 Stronger Together @ Usine d’aliments pour animaux d’Aalter
22 Gagnez votre mix Niamh Focaccia et épatez tout le monde avec vos talents de boulanger !
23 Fit@Arvesta : préparez votre équipe pour le Tour de France Arvesta
Ont collaboré à ce numéro
Dries Verhaegen
Ben Celis
Kris Moerman
Jean-Christophe Genin
Tobias Schipper
David Michaux
Karin Janssen
Rudy Van De Perre
Luc Neirinck
Beliz Cramm
Gerry Huygens
Dirk Van Thielen
Peter Welvaert
Frank Denys
Sabrina Damsin
Rédaction finale
Stéphanie Deleul
www.arvesta.eu
Cover
Jonathan Vahsen
Woop woop ! Chez Aveve, on se réjouit de cette réussite historique. Pour la troisième fois consécutive, elle a été élue meilleure chaîne de magasins en Belgique en novembre, toutes catégories confondues. En outre, pour la 15e fois, elle a eu l'honneur d'être élue meilleure chaîne de magasins dans la catégorie Jardin et animaux. Quelle est la recette secrète ? Nous avons écouté deux générations d'experts en la matière, Beliz Cramm et Luc Neirinck.
Bonjour Beliz et Luc ! Pouvez-vous vous présenter brièvement ?
Beliz: « Bien sûr. Je m’appelle Beliz Cramm, j’ai 26 ans et je travaille depuis 2 ans et demi en tant que collaboratrice de vente dans le magasin Aveve à Anderlues dans le Hainaut. Avant cela, j’ai déjà travaillé pendant 5 ans comme étudiante dans différents magasins Aveve. Mon diplôme d’assistante en soin animalier est fort lié à notre mission d’Aveve. En sortant de mes études, j’ai envoyé mon CV à Frédéric Talbot, District Manager Aveve. Paulo, le gérant de Châtelet a également soutenu ma candidature. »
Luc: « Je m’appelle Luc Neirinck et j’ai commencé chez Aveve en 1991 comme conseiller clientèle dans le magasin d’Audenarde. J’ai ensuite été responsable de magasin pendant 12 ans à Alost, puis pendant 16 ans à Wetteren. Je suis district manager depuis 2019, avec quelques missions ponctuelles pour aider le magasin de Deinze à démarrer et en tant que field coach pour aider les responsables de magasins débutants. Au départ, j’étais responsable du Brabant flamand et cela fait presque 2 ans à présent que je m’occupe de la Flandre orientale. Ma mission consiste à stimuler les ventes de plusieurs points de vente situés dans cette province. Lorsque j’étais encore à l’école d’horticulture, je rêvais de devenir producteur de tomates indépendant, mais j’ai vite compris que ce serait peu lucratif. Mes grands-parents étaient agriculteurs. C’est ainsi que j’ai connu Aveve et que j’y ai débuté
ma carrière. J’étais attiré par l’aspect commercial, cela m’a plu et j’y suis resté. La place réservée au respect et à la collaboration entre collègues et par rapport à l’employeur, au-delà du lien hiérarchique, me plaît particulièrement. Stronger Together en fait. »
Comment vos collègues et vous-mêmes vivez cette élection annuelle ?
Beliz: « Franchement en tant que personnel, ça nous rend très fier et heureux. C’est vraiment valorisant, on se sent féliciter par nos clients. Ça prouve aussi que nos clients sont contents de recevoir nos petits conseils en plus. Ça nous apporte aussi un certain sérieux. Nos clients ne nous en parlent pas souvent, mais parfois ils nous confirment d’avoir voté pour nous. Ils ont déjà l’habitude parce qu’on les informe aussi par nos mails et les affiches dans le magasin. »
Luc: « Nous la considérons comme la récompense d’un travail acharné et nous en sommes fiers. C’est incontestablement un plus. Les premières fois où nous avons été élus dans la catégorie Jardin et Animaux (réunis à l’époque), c’était vraiment l’événement de l’année. Aujourd’hui, cette récompense nous incite plutôt à servir encore mieux nos clients. »
Ne risquez-vous pas de vous habituer à être mis à l’honneur pour la énième fois ?
Beliz: « Non, au contraire on se sent poussé à faire plus. Ça nous incite toujours à faire mieux. C’est important de rester en constante évolution. »
Luc: « C’est presque une obligation de gagner, la barre est haute. Mais comme le dit si bien Beliz... Si nous faisons notre travail consciencieusement, nous n’avons rien à nous reprocher. Notre taux de satisfaction client (NPS) est mesuré en permanence et il est en hausse. »
Imaginons : Quelqu’un vous aborde dans la rue et vous demande ce que signifie travailler pour la meilleure chaîne de magasins Aveve. Que lui répondriez-vous ?
Beliz: « Le focus sur le bien-être au travail, on est suivi par les RH, le gérant, nos collègues. Nous sommes tout le temps formés par Aveve, par exemple au niveau des animaux, des plantes. Au début, je n’étais pas forte en plantes, avec la Retail Academy ça m’a véritablement aidé. Le but est toujours de mieux satisfaire le client. On grandit de jour en jour. L’esprit d’équipe et la qualité des produits sont aussi importants. Il s’agit souvent de conseils personnels (p.e. leur chien) qu’on donne aux clients. Ça crée un lien personnel avec eux. »
Luc : « Sans vouloir paraître ringard, c’est tout simplement le meilleur employeur. N’oublions pas que d’autres établissements de vente au détail comme Makro n’existent plus. Être récompensé vous donne également le sentiment de faire partie d’une équipe gagnante et d’une marque forte. Et, pour reprendre les propos de Beliz, les clients vous appellent effectivement par votre prénom. Quelle sensation extraordinaire, pour ainsi dire, d’être connu sous le nom « Beliz » et « Luc » au lieu de « cet employé Aveve ». Cette reconnaissance vaut de l’or. »
Comment voyez-vous évoluer le personnel et la clientèle ?
Beliz: « Les clients sont de plus en plus exigeants. Ça ne nous empêche pas de leur proposer un produit alternatif. Il faut toujours donner un conseil. Au fil des années, ils savent de plus en plus ce qu’ils veulent. La vie en géneral est devenue plus stressante donc parfois ils passent très vite. Les spots radio, le concept ARIA (Aveve Retail in Action) aident d’élargir notre public, on les inspire. »
Luc : « Cette évolution est énorme, c’est certain. Je me souviens de l’époque où nous vendions des congélateurs et des meubles de jardin. Nous avons évolué ensemble, heureusement. Les clients sont de plus en plus exigeants et nous demandent souvent de confirmer les résultats de recherches qu’ils ont effectuées sur Google. Cela nous permet justement de faire la différence en nous appuyant sur une solide expérience et des conseils professionnels. Alors que les clients cultivaient, à l’époque, de nombreux légumes
pour leur famille et achetaient des kilos de semences et d’engrais, ils font aujourd’hui leurs courses de manière très ciblée. Ajuster constamment notre gamme relève donc du défi. Pour nos clients, nous sommes donc devenus des experts in the field beaucoup plus actifs sur le terrain. »
Si vous deviez ne donner qu’un seul et précieux conseil aux nouveaux entrants chez Aveve ...
Beliz: « Mettez toujours le client avant tout. Soyez à l’écoute et offrez un accueil chaleureux. Saluer le client à l'entrée et à la sortie. »
Luc : « Tout à fait d’accord, je dirais qu’ils doivent oser évoluer et prendre du plaisir en travaillant, sur le lieu de travail et en dehors. »
Comment se déroule la collaboration entre les différentes générations ?
Beliz: « Très bien, comme ici (rires). C’est un plaisir de travailler avec toutes les générations. Ça donne une bonne ambiance dans le groupe. »
Luc : « Nous apprenons surtout les uns des autres. Lorsque j’ai commencé, j’étais vraiment le petit bleu. Aujourd’hui, bien des années plus tard, je vois les équipes fortement rajeunir et se féminiser. L’écologie et la numérisation, par exemple, sont des domaines à la mode dans lesquels nous pouvons apprendre beaucoup de nos jeunes. »
Quel produit Aveve appréciez-vous personnellement ?
Beliz: « Les bonbons dans le marché gourmand mais surtout les plantes, je craque souvent (rires). Elles me tapent à l’oeil. »
Luc : « Les produits de boulangerie ! Je prépare des crêpes, des tartes ou des cakes chaque semaine. J’ai commencé lorsque j’organisais encore des dégustations dans le magasin. J’emmenais ma fille avec moi et c’est ainsi que j’ai pris goût à la pâtisserie. Fit@Arvesta est donc le bienvenu pour venir surveiller mon poids. »
Aidez Beliz, Luc et tous les autres experts d'Aveve à participer à la 16e élection consécutive de la meilleure chaîne de magasins de Belgique dans les catégories "Jardin" et "Animalerie"! Ils ont également une chance dans la catégorie globale "Meilleure chaîne de magasins de Belgique". La nouveauté est la nomination pour les "Webshop Awards". Vous pouvez voter 3 fois pour Aveve jusqu'au 17 août.
Comment faire ?
Prenez votre smartphone et scannez ce code QR avec votre application photo. Le verdict suivra le 28 septembre. Merci pour votre vote !
Au cas où vous ne les auriez pas encore aperçues, nous vous présentons Smarty et Teamy, nos cigognes Arvesta. Elles se trouvent sur la Tour des Cigognes du Parc Naturel du Zwin à Knokke. Les œufs ont éclos au mois d’avril. Entre-temps, elles ont déjà bien grandi. Normalement, les jeunes restent au nid pendant 9 à 10 semaines. Pendant cette période, ils passent de l’état de poussin à celui de cigogneau et apprennent à s’envoler. Une diffusion en direct vous permet de suivre leurs activités de près. En parrainant ces petits, Arvesta apporte sa contribution à la recherche scientifique. Pour ce faire, le Zwin Parc Nature collabore avec BeBirds, le service de baguage des oiseaux de l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique. Chaque cigogne est donc d’abord baguée. Cette bague porte un numéro unique, qui peut être lu à distance à l’aide d’une
notamment au soutien d’Arvesta, cette année, pas moins de 6 cigognes recevront un émetteur permettant de collecter une multitude de données vis-à-vis de la bague. Cela permettra de suivre les cigognes en direct pendant leur migration vers le sud au début du mois d’août.
Bonne migration, Smarty et Teamy !
De grandes et bonnes nouvelles sur le front des investissements d’Arvesta. Arvesta acquiert les activités d’aliments composés de ForFarmers Belgique. Cette acquisition s’inscrit dans la stratégie d’Arvesta visant à renforcer notre position sur le marché intérieur au profit de nos clients et à continuer de développer l’agriculture du futur. Les quelque 80 collaborateurs ainsi que le site de production seront transférés à Izegem. Cela signifie une production supplémentaire de 420 000 tonnes d’aliments composés et un chiffre d’affaires brut d’environ 200 millions d’euros. En
outre, Arvesta transférera à ForFarmers la production d’aliments pour poulets de chair destinés au marché néerlandais. Arvesta continuera à servir les clients belges et français sous la marque Spoormans. Cette transaction doit être approuvée par l’autorité belge de la concurrence. Nous avons demandé à Dirk Van Thielen, Business Unit Director Animal Nutrition, et à Gerry Huygens, Integration Director, de nous expliquer ce beau projet d’investissement.
Félicitations messieurs ! Pourquoi avez-vous conclu cette transaction ?
Dirk : « Merci, de notre côté, de sincères remerciements aux collègues qui ont travaillé avant et (dans ce cas précis) dans les coulisses pour concrétiser ce deal. Nous ne voulions pas faire une acquisition simplement pour nous développer. Non, l’entreprise devait avant tout correspondre à nos activités principales, et elle devait ensuite se situer dans notre activité clé. De plus, nous voulions acheter un acteur mature et important sur notre marché national, dans l’intérêt de nos clients. ForFarmers répondait donc parfaitement à ces critères. Dans le paysage fragmenté de l’alimentation du bétail en Belgique, notre part de marché en tant que leader serait désormais de 22 % au lieu de 16 %. Le fait qu’en tant que leader du marché nous reprenions le numéro 4 (ForFarmers) est d’une importance stratégique pour contribuer à la consolidation du marché belge de l’alimentation du bétail. Lorsque l’on sait qu’aux PaysBas, 60 % du marché est détenu par les 3 plus grandes entreprises, alors que les 3 plus grandes entreprises belges ne détiennent « que » 30 % du marché, on se rend compte qu’Arvesta devait assumer son rôle de leader et sa responsabilité dans ce domaine. »
Pourquoi croyez-vous si fortement en ce projet ?
Dirk : « La structure et la culture sont très similaires à celles d’Arvesta. Ainsi, en tant que leader du marché européen, ForFarmers opère avec une dynamique similaire entre le niveau du groupe et le niveau local. L’entreprise a la même approche du marché, ciblant les mêmes agriculteurs du futur pour créer de la valeur ajoutée pour eux. Bien entendu, des priorités telles que la durabilité et l’EHS figurent en bonne place dans l’agenda d’Arvesta et de ForFarmers. L’avantage de tant de similitudes est que nous pouvons créer des synergies. Le proverbial 1+1 égal 3. Après tout, nous ne devons pas changer les grandes structures parce qu’elles travaillent avec les mêmes grands blocs : opérations, finances, ventes par groupe animal, achats et nutrition. »
Quel sera exactement votre rôle, Gerry ?
Dirk Van Thielen Business Unit Director Animal NutritionGerry : « En tant qu’Integration Director, mon rôle consiste à bien gérer l’intégration. Notre mission est d’intégrer ForFarmers au sein d’Arvesta de manière qualitative, dans le respect du calendrier et du budget établis au préalable. La qualité signifie garantir les relations avec les clients existants et l’intégration en douceur de nos nouveaux collègues dans la culture
d’Arvesta. La notion de temps renvoie à trois moments clés vers lesquels nous tendons : (1) nous espérons obtenir la décision des autorités de la concurrence début juillet (2) le lancement opérationnel aura lieu fin décembre 2023 (3), les deux premiers trimestres de 2024, nous envisageons des optimisations. »
Comment allez-vous aborder cette intégration ?
Gerry : « Eh bien, pas de travail approximatif pour ainsi dire (rires). Nous allons travailler selon une méthode de projet qui a déjà porté ses fruits par le passé. Les connaissances acquises dans le cadre de projets de changement similaires au sein de ForFarmers et d’Arvesta contribueront sans aucun doute à la réussite du projet. L’approche se résume essentiellement au fait que divers moments de coordination avec les 9 flux ou disciplines concernés (IT, ventes, opérations, RH, finances, marketing, achats & nutrition/formulation, back-office & administration et communication) nous permettent d’être rapides et réactifs lorsque les choses doivent être ajustées. L’équipe de projet est consciente de la nécessité de mettre tout le monde dans le bain par le biais de tous les vecteurs de communication afin que les gens sachent où nous en sommes et quelles sont les actions nécessaires. »
Existe-t-il un lien avec d’autres activités au sein d’Arvesta et de ForFarmers, en dehors des aliments pour animaux ?
Dirk : « Environ 95 % de leurs activités sont effectivement liées à la Business Unit Animal Nutrition. Il y a également une activité limitée de semences de maïs, de semis et d’engrais. Ces activités resteront à court terme au sein de la division Animal Nutrition, comme nous l’avons fait pour les aliments pour animaux de Vaesken. En outre, en Belgique, ForFarmers travaille avec des négociants opérant dans le même domaine que nos franchisés Aveve. »
Quel est le plus grand défi à relever pour en faire un succès ?
Dirk : « J’en vois plusieurs. Intégrer correctement les nouveaux collègues, maintenir nos volumes avec les clients, en fait garder tout le monde à bord autant que possible. Car il ne faut pas se leurrer, les concurrents y voient une opportunité d’approcher massivement les clients de ForFarmers. Nous voulons également intégrer les négociants avec lesquels ForFarmers travaille afin qu’ils trouvent leur place au sein d’Arvesta. ForFarmers restera de toute façon une entité juridique distincte. Nous souhaitons dévoiler la nouvelle marque commerciale dans les meilleurs délais. Je peux déjà vous dire qu’il ne s’agira pas d’Aveve, ni de Dumoulin, ni d’une marque existante. »
Gerry : « La maîtrise de la complexité est la clé du succès. En plus de ce que Dirk a souligné à juste titre,
j’aimerais souligner l’importance des systèmes et de l’IT. Nous devons veiller à ce que tout continue de tourner : l’usine, la facturation, la livraison des clients, etc. Aussi et surtout lorsque nous basculerons et que ForFarmers commencera à fonctionner sur les systèmes et l’IT d’Arvesta, ce qui est prévu pour la fin de l’année 2023. »
Pourquoi est-ce une bonne nouvelle pour nos collaborateurs ?
Dirk : « En tant qu’Arvesta, nous faisons une déclaration à ce sujet. Nous croyons et investissons dans l’élevage. Avec nos collègues, nous allons exploiter à fond l’expertise et les connaissances de ForFarmers. Nous pouvons apprendre les uns des autres et nous renforcer mutuellement. La façon dont ils abordent le capital de roulement, par exemple, permettra à Arvesta d’apprendre beaucoup de choses. »
Gerry : « Tout à fait d’accord, le transfert de connaissances est définitivement en tête de liste. En outre, l’intégration de leur usine dans le réseau d’Arvesta nous permet de fournir nos clients de manière encore plus optimale et rentable. »
»En tant qu'Arvesta, nous faisons une déclaration à ce sujet. Nous croyons et investissons dans l'élevage.Gerry Huygens Integration Director
Collaborer au-delà des frontières et des marques est la force d’Arvesta. Un exemple éloquent est la coalition entre les marques fortes Van der Hoeven (Pays-Bas) et Hortiplan (Belgique) pour leur client américain Better Future Farms.
Better Future Farms va construire une nouvelle usine de haute technologie pour la culture, l’emballage et la distribution de légumes à feuilles dans l’État de Virginie (Louisa County). Van der Hoeven a remporté le contrat d’une valeur de plusieurs dizaines de millions de dollars américains pour la construction complète de la serre à salades de 3,4 hectares, y compris le climat, l’irrigation, l’énergie et le système de gouttières mobiles. Ce dernier sera fourni par les Experts in the field d’Hortiplan.
Nous avons eu l’occasion de nous entretenir avec notre collègue, Chef de projet Tobias Schipper chez Van der Hoeven.
Tobias : « Nous sommes naturellement très fiers de collaborer avec quelque 25 ingénieurs d’Arvesta dans le cadre de ce projet. La réception est prévue pour avril 2024 et les premiers travaux viennent de commencer. Au final, près de 6 camions de laitue lavée et emballée, prête à la consommation, seront produits chaque jour. Celles-ci seront ensuite vendues dans des supermarchés locaux américains. Better Future Farms nous a donné beaucoup de liberté pour concevoir le projet de base. Ainsi, nous avons pu décider nousmêmes de bout en bout de la structure et de l’agencement. Ce sera un fantastique projet. »
La photo montre les Experts in the Field de Van der Hoeven et Hortiplan. Ces ingénieurs visitent un projet existant d’Hortiplan pour lancer la collaboration dans le cadre du projet BFF.
Adri Schoenmakers Operations Manager Arie Blok sur le site de Woerden et sur le site biologique de Balgoij sait mieux que quiconque que les aliments biologiques sont l’avenir.
Adri : « Arvesta veut servir ses clients le plus rapidement possible. À un moment donné, nous étions surchargés à Balgoij. Nous tournons ici à 1250 tonnes par semaine. C’est pourquoi, depuis fin avril, Hombourg est également devenue une usine entièrement bio. Une situation gagnante pour tous, car nos clients sont ainsi servis plus rapidement et plus efficacement. Chapeau à tous les collègues, tant en Belgique qu’aux Pays-Bas, pour avoir fait en sorte que tout se passe bien en termes de facturation, d’achats, de vente, de production et de nutrition. »
La marque forte Mifuma (Mischfutter Werke Mannheim GmbH) fait partie d’Arvesta depuis août 2011. Le site d’Ichenhausen (Bavière) produit à la fois des aliments conventionnels et des aliments biologiques de la marque Hafner-Futter. L’accent est mis sur la production et la fourniture d’aliments pour bétail laitier aux clients du sud de la Bavière, du BadeWurtemberg à l’Autriche.
Jusqu’à récemment, l’entreprise Mifuma de Ichenhausen disposait d’une petite ligne de production d’aliments biologiques de 6 000 tonnes en plus de sa ligne de production conventionnelle d’une capacité de 60 000 tonnes. Le nouveau bâtiment est exclusivement destiné à la production conventionnelle. La ligne conventionnelle d’origine est à présent convertie en ligne biologique dans le bâtiment existant. Cela augmente considérablement la capacité de production biologique et permet enfin d’assurer la production biologique (bâtiment existant) et conventionnelle (nouveau bâtiment) dans deux usines distinctes.
Mifuma cherchait depuis longtemps à établir un partenariat avec Bioland, la plus importante
association allemande d’agriculture biologique. Grâce aux investissements réalisés sur le nouveau site, Mifuma est désormais autorisée à vendre des aliments biologiques portant les labels Naturland et Bio Austria, qui sont conformes au règlement BIO de l’UE. En outre, nous sommes autorisés à fournir des aliments à d’autres entreprises Bioland. Concrètement, cela a permis de doubler le potentiel de clientèle dans le sud de l’Allemagne. Sur le plan commercial, la nouvelle installation de criblage permettant d’obtenir différentes granulométries est un atout supplémentaire pour le marché de l’alimentation des volailles et des porcs.
La durabilité a servi de fil conducteur durant tout le processus de construction. Ainsi, les technologies les plus récentes des entreprises de construction locales ont été utilisées. Par exemple, tous les moteurs d’entraînement sont des moteurs électriques IE4, les plus économes en énergie du marché. De cette manière, il n’y a pratiquement pas d’émissions pendant le processus de production.
Jetons un coup d’œil à quelques moments clés du processus de construction :
David Michaux, Plant Manager à Andenne, est ravi du travail de Victor Glibert qui est à droite sur la photo à côté de son collègue Nicolas Gillissen.
David: Victor est étudiant à la haute école de Hénallux. Il fait son mémoire et son stage depuis quelques mois sur notre site d’Andenne dans le cadre de son bachelier en électromomécanique. Tout d’abord, Victor a revu complètement le réseau de conduite (le piping) et le système de pompage qui permet d’amener la vinasse aux presses. La vinasse est un sous-produit de l’industrie du sucre. Cet ingrédient, qui est utilisé dans l’alimentation animale, est riche en protéines et très bon marché par rapport à d’autres substituts. Le défi avec la vinasse se situe à différents niveaux.
Victor affirme: « En effet, la vinasse est un liquide qui attaque les tuyauteries en acier et a tendance à créer pas mal de dépôts dans celles-ci dès qu’elle stagne. »
Deuxièmement Victor a modifié l’injection de la vinasse dans la production, à savoir au mélasseur où les matières premières et les liquides se retrouvent afin de produire de la « farine ».
Victor: « Concrètement, j’ai supprimé la cuve tampon dans le syteme de pompage car elle se mettait régulièrement en défaut à cause des sondes de niveau qui s’encrassaient dû au dépôt formé par la vinasse. »
Selon David, cette installation de piping qui est fiable dans le temps et également facile à entretenir est un très beau résultat du travail de Victor.
David: « Il faut être capable de faire un démontage style “pitstop Formule1 ” afin de réduire le stop time.
Cela fait partie du hardware d’un site de production. Le responsable de maintenance, son équipe et Victor ont réalisé un magnifique travail commun pour standardiser l’installation et diminuer le temps de maintenance sur ces installations. »
Tous ensemble
Victor s’est rapidement intégré dans l’équipe opérationnelle.
Victor: « Les opérateurs, les techniciens et tous les autres collègues sont très acceuillants et coopératifs. Je me suis très vite senti intégré à l’équipe. J’ai même visité notre collègue Marnix De Schrijver du laboratoire à Merksem afin de faire différents tests sur le produit dans le but de connaître et comprendre les propriétés physiques et chimiques de la vinasse. »
Best Practice
En parallèle avec le travail de Victor qui avançait bien, David a saisi l’opportunité de démarrer un best practice, un groupe de travail pluridisciplinaire au sein d’Arvesta. La question clé étant comment faut-il utiliser la vinasse idéalement ?
David: « Tous ensemble avec les collègues de production, de qualité, de formulation et d’achat nous y travaillons dur. Nous avons même eu contact avec le producteur de la vinasse qui nous a donné des recommandations uniques. »
David est en train de rassembler le tout dans un best practice qui sera partagé avec toutes nos usines Arvesta. Bravo!
rvesta sera durable sans aucun doute. Assurer l'agriculture et l'horticulture du futur pour nos agriculteurs et jardiniers est notre mission. C'est pourquoi les innovations telles que, par exemple, l'aliment Euroclim qui réduit le méthane, les maisons vertes, les alternatives écologiques aux engrais sont cruciales pour réconcilier l'écologie et la rentabilité de l'agriculteur. Pour la troisième année, nous avons publié un rapport d'activité avec Arvesta. Il raconte notre histoire, une histoire dont nous sommes tous très fiers.
Vous êtes également curieux de connaître nos initiatives en matière de développement durable et nos résultats financiers?
Lisez le rapport d'activité 2022 ici.
SABE investit massivement dans le transport par voie d'eau
SABE, une de nos marque forte d’Arvesta, produit des aliments pour bétail dans son usine d'Arques (dans le nord de la France). Avec plus de 100.000 tonnes par an, SABE est un producteur important dans son secteur, notamment pour l'alimentation du bétail. L'utilisation de la voie d'eau fait partie intégrante des valeurs de durabilité d'Arvesta. Rien que pour SABE, 40.000 tonnes de marchandises (soja, colza et tournesol par péniche de 500 tonnes) sont transportées chaque année par cette méthode écologique. Cela signifie 1.500 camions de moins sur les routes et un gain d'empreinte CO2 de pas moins de 350 tonnes.
d'ici 2023. Rappelons brièvement ce que nous avons déjà réalisé ensemble:
La moitié de nos magasins Aveve disposent d'un éclairage LED dans le parking, l'espace extérieur couvert et les espaces sociaux. Cette approche sera déployée dans les autres magasins dans le courant de l'année. Les thermostats de chauffage ont été abaissés de 2°C dans tous les magasins.
Le 14 février était le jour de la Saint-Valentin pour certains, le jour des travailleurs de l'entrepôt pour d'autres. Walagri a expliqué à 85 magasiniers la consommation d'énergie et la bonne gestion de la ventilation des céréales. Chaque branche sera également informée de sa consommation. Une bonne gestion de l'énergie commence par une bonne circulation de l'information !
Dominique Vandaele, responsable du site, explique :
« Notre site d'Arques est situé dans le bras mort du canal de Neuffossé (voir photo). L'ensablement a fortement entravé le transport fluvial sur cet embranchement. C'est pourquoi nous co-investissons avec SABE dans les travaux de dragage d'un montant de 250 000 euros sur un coût total de plus de 1,1 million d'euros, avec le soutien de plusieurs institutions publiques. Cela permettra à SABE, en tant que principal utilisateur de la voie d'eau, d'utiliser le transport par voie d'eau de manière encore plus fluide et plus importante avec des péniches de 1000 tonnes de matières premières. Les travaux de nettoyage commenceront vers septembre 2023 pour se terminer début novembre 2023. »
L'équipe de projet des Energy Ambassadors d'Arvesta est composée de huit personnes issues des différentes business units qui s'engagent cette année à réduire la consommation d'énergie
Le site d'Aveve Animal Nutrition à Merksem participe également à la compétition. Nous sommes fiers d'annoncer que leurs efforts portent leurs fruits ! Il suffit de regarder la consommation d'électricité et de gaz par tonne en 2022 par rapport à 2021. Avec une diminution de 2 % pour l'électricité et de 5 % pour le gaz, ils ont entamé une tendance à la baisse. Les prix élevés de l'énergie ont rendu le défi de cette année encore plus grand. L'objectif ? Une réduction de la consommation d'énergie de 7,5 % par rapport à 2022. Merksem a surpris avec une baisse phénoménale. La consommation de gaz par tonne a baissé de 8 % par rapport à l'année dernière et la consommation d'électricité de 10 %. Ce faisant, l'entreprise fait 5 000 euros de mieux que son budget. L'effet d'un solide travail d'équipe.
Rudy Van De Perre travaille chez Arvesta depuis le mois de mars et a plusieurs années d’expérience dans diverses fonctions liées à la sécurité. Outre EHS Safety Manager à Merksem et Aalter, il est Safety Coordinator pour la Business Unit Animal Nutrition.
Rudy: « Nous remarquons souvent que des problèmes apparemment insignifiants, comme se cogner la tête dans l’usine, ne sont pas pris en compte. Nous voulons vraiment évoluer vers une culture où nous recueillons autant d’ouverture et de données que possible sur les incidents et les désagréments afin de permettre à nos Experts in the field, dans nos usines, de travailler en toute sécurité. »
Rudy: « Nous avons actuellement collecté toutes les données relatives aux incidents survenus au cours des trois dernières années sur les sites de Merksem, Courtrai, Andenne et Woerden. D’un point de vue visuel les mains, la tête et le dos ressortent. Nous pouvons immédiatement y associer un certain nombre d’actions concrètes. »
Rudy: « La protection de la tête est super importante. Nous voulons offrir à tout le monde une casquette anti-heurt, car nous constatons que sur les sites où elle est portée par défaut, il y a pour ainsi dire moins d’incidents. Nous allons nous occuper activement des problèmes de dos en proposant une formation en ergonomie avec des exercices pratiques. La protection des yeux et du corps (manches courtes) sont autant de points d’attention. L’utilisation d’un produit
potentiellement dangereux pendant 5 secondes peut suffire à provoquer une blessure. Dès que nous aurons recueilli toutes les informations auprès de tous les conseillers en prévention, nous élaborerons une campagne visant à aider activement et préventivement tous les Experts in the field à travailler de manière encore plus sûre. »
Robbe Segers, stagiaire et étudiant en sécurité intégrale, a dressé avec l’équipe de Merksem la liste des substances dangereuses utilisées aujourd’hui.
Robbe: « En fait, vous voulez des réponses concrètes à des questions telles que « Quel est l’impact sur l’environnement, quelle est la nocivité d’un produit pour l’homme, quel masque buccal devez-vous porter ? »
La nouveauté réside dans le fait qu’il y a un lien vers les équipements de protection individuelle et un lien vers les premiers secours. Cela peut ensuite être utilisé pour d’autres sites par exemple en adaptant notre infrastructure. Autre illustration vous ne pouvez utiliser certains produits que dans une zone spécifique du site en mettant à disposition les équipements de protection adéquats.
Robbe: « Nous voulons en effet sensibiliser les gens aux dangers potentiels de certains produits et à la manière d’y faire face. Il est essentiel par exemple de savoir quels sont les premiers soins à apporter. Parfois, il faut rincer les yeux en continu, mais surtout pas dans le cas d’un autre produit. En répertoriant, en affichant et en communiquant tout cela, nous voulons que la sécurité soit au cœur des préoccupations de notre personnel. »
Le Plant Manager Frank Denys et son équipe font souffler un vent nouveau à Courtrai avec le projet Mustang.
Frank:«Lesalimentspourchevaux sont en effet un marché en croissance intéressant.C’estlaraisonpourlaquelle nous avons construit une nouvelle lignedeproductiond’alimentspour chevauxàCourtrai.Ilestprévude transférerintégralementtoutesles activités de l’ancien site de Lannoo à Erpe-MereversceluideCourtraiavant finseptembre2023.Courtraideviendraainsilesitepar excellenced’Arvestapourlesalimentspourchevaux,en plusdesalimentspourbétailquiysontdéjàproduits.»
«Laproductiond’alimentspour chevauxestunpeucommelacuisson dupain», explique avec enthousiasme Lieven Lannoo, directeur de Lannoo et Head Of Horse au sein d’Arvesta. «Lesalimentspourchevauxdoivent êtreexemptsdepoussière,savoureux etvisuellementattrayants.Enoutre, ilsdoiventégalementavoirunebonne odeur. Le bon choix des matières premièresnedoitpasêtresous-estimé,carleschevaux restentdesanimauxsensibles.Ainsi,lapulpedebetterave peutêtremortellepouruncheval,alorsqu’elleestsouvent utiliséedanslesalimentspourbétail.Voilàpourquoiun contrôlestrictdelaproductiondansuneusinemixte commecelledeCourtraiestuneprioritéabsolue.Enoutre, unelongueduréedeconservationestnécessairepourle marchédedétailetdel’exportation.Lesalimentspour chevauxsontnotammentdéjàvendusdanslemonde entier.
Auparavant, nos Experts in the field courtraisiens se concentraient sur l’alimentation des porcs et des bovins. Le basculement vers l’alimentation du bétail et des chevaux est en cours.
Dans une
première phase, l’accent est mis ici sur la qualité afin de préserver l’autonomie du processus de production. En nous concentrant maintenant sur la qualité de nos propres flocons de maïs, de notre propre extrusion, etc., nous pourrons ensuite nous fixer comme objectif une augmentation du rendement.
Lieven:«Lesalimentspourchevauxsontpluscomplexes àproduire.Ainsi,lamélasseetlapailledeluzernesontdes ingrédientsnécessairesquinepeuventpasêtretraitéssur unelignestandard.Unecollaborationplusforteavectoutes lesparties,ycomprislesservicesdenutrition,d’achatet d’ingénierie,nousaideàprogresserconsidérablement », explique Frank. « Et nos collaborateurs maîtrisent égalementcetétatd’espritpositif.Poureux,ilestessentiel d’apprendresurletas,parlapratique.Ainsi,nousmontrons lesbonsetlesmauvaisexemplesduproduitfini.»
Nous sommes curieux de savoir comment les travailleurs en usine font face à ce changement. Qui de mieux que Filip Carlu pour éclairer notre lanterne ? Cet ouvrier de production de 61 ans, originaire de Courtrai et fort de 30 ans d’expérience opérationnelle, s’exprime avec passion.
Filip:«C’estincroyablement passionnantdepouvoirproduiredes alimentspourchevaux,quidoivent êtredelameilleurequalité.C’est formidable selon moi de vivre une nouvelle fois une telle modernisation dusitedeproduction.L’objectifétait deproduireungranuléparfaitde 8mm.D’accord,danscecas,nous relevonsledéfideproduired’aborddesfloconsparfaits,en collaborationavecdescollèguesdequalité.Aucoursdece processus,ilesttoutsimplementagréabledeconstaterque lesdirigeantsaccordentdel’importanceàvotreopinion.»
Une grande fête s’est déroulée le mercredi 24 mai entre Namur et Wavre. Un tout nouveau magasin Aveve dans le style ARIA a été ouvert dans la petite ville de Gembloux. Ce nouveau concept de magasin est entièrement axé sur l’expérience, l’inspiration et la durabilité. La zone inoccupée au sud-est de Bruxelles a ainsi été comblée tactiquement. Avec une surface commerciale de 1 600 m² et 350 m² d’espace extérieur, le plaisir
en magasin sera au rendez-vous. Depuis 2019, plus de 100 magasins ont déjà été relookés à la mode ARIA. Une solide performance de tous les collègues qui y ont contribué.
Les machines durables et fonctionnelles sont vraiment importantes pour fournir des produits de qualité dans un environnement de production. Nous sommes les invités de Peter Welvaert, Plant Manager de l’usine d’aliments pour animaux d’Aalter.
Peter : « Le cœur de notre usine est constitué de deux mélangeurs. L’un d’entre eux était tellement usé que nous avons présenté un projet d’investissement de 650 000 euros pour le remplacer par un nouveau mélangeur. Grâce à toute l’équipe, nous avons convaincu tout le monde de la nécessité de ce projet et nous avons gagné la confiance de la direction. »
La deuxième semaine de février, le moment était venu. C’est alors que le mélangeur existant de la ligne de dosage a été démoli et remplacé par le nouveau.
Peter : « Le remplacement d’un tel mélangeur est loin d’être une mince affaire. Pendant une semaine entière, la moitié de votre production s’arrête. Des mois de travail de préparation intense de tous les collègues ont donc précédé cette opération. Les Experts in the field des départements technique, production, vente, achat et nutrition ont de quoi être fiers. C’est tout simplement une performance remarquable qui n’a affecté en rien nos clients. Un collègue très expérimenté, dont je tairai le nom (rires), s’est exprimé en ces termes : « Je n’ai jamais vu un déroulement aussi parfait d’un si grand projet au cours de ma carrière. Chapeau bas ! »»
Niamh, la confection du pain avec une touche de créativité ! Aujourd’hui, nous préparons ensemble une délicieuse Focaccia de la gamme des pains du monde. Nous optons pour… des Mini focaccias avec 6 garnitures différentes. Nous voyons que vous salivez déjà. Vous trouverez notre gamme Niamh dans divers supermarchés en Belgique, aux Pays-Bas et en France tels que Delhaize, Colruyt, Spar, Jumbo, Makro, Carrefour, Smatch, Okay, Louis Delhaize, amazon.fr, Alvo et Cora.
De quoi avons-nous besoin ?
500 g de mix pour focaccia
400 ml d’eau à température ambiante
20 ml d’huile d’olive
6 garnitures : pesto et tomates / olives, câpres et artichauts / bacon et oignon rouge / ail et romarin / poivron (après cuisson : balsamique et parmesan) / raisins et ricotta (après cuisson : thym et pignons de pin)
Scannez le QR Code avec l’appareil photo de votre gsm et 15 secondes suffiront pour être paré ou respectez simplement la recette suivante :
Étape 1 : Mélanger 500 g de mix pour focaccia, 20 ml d’huile et 400 ml d’eau. Laissez lever 30 minutes.
Étape 2 : Divisez la pâte en 6 pâtons. Laissez à nouveau lever pendant 30 minutes.
Étape 3 : Décorez avec les 6 garnitures différentes ou avec votre propre création.
Étape 4 : Laissez cuire pendant 15 à 20 minutes à 215 °C.
Vous avez envie de découvrir d’autres recettes délicieuses et surprenantes avec le mix pour focaccia ? Scannez ce QR Code. Nous avons gardé le meilleur pour la fin !
Vous voulez mettre la main sur l’un des 5 mix gratuits pour focaccia Niamh ?
Envoyez un e-mail avec votre motivation la plus originale à internal.communications@ arvesta.eu avant le 4 septembre ! Nous vous informerons si vous faites partie des heureux élus. Bonne chance !
Scannez ce QR Code avec l'appareil photo de votre téléphone portable et rejoignez le Tour de France Arvesta.
Le 1er juillet, c’est reparti pour la plus grande course cycliste au monde, le Tour de France, qui partira de Bilbao pour arriver à Paris 30 jours plus tard, au terme de magnifiques étapes. Encore plus agréable, le Tour de France Femmes se déroule à la même période, du 23 au 30 juillet.
Vous pouvez donc tous vous affronter avec des équipes de 8 à 16 collègues dans le cadre de l’Arvesta Tour Challenge. Quel est le défi ? Vous devez parcourir ensemble (comme chaque coureur professionnel individuellement) 4 360 kilomètres. Chaque trajet compte ! Outre le maillot jaune, qui remportera cette année le maillot blanc, le maillot à pois et le maillot gris (!) ? Donnez le meilleur de vous-même en équipe et tentez de gagner de superbes prix !
Rendez-vous sur www.fitatarvesta.eu et créez votre compte en vous enregistrant.
Vous pourrez ensuite vous connecter à la plateforme avec votre compte et inscrire les membres de votre équipe à des super challenges sportifs !
Connectez vos trackers à la plateforme pour enregistrer vos performances sportives ou saisissez-les manuellement. C’est parti !
