Portfolio2022 Antoine Mink
Juin 2022
Atelier « Éco-école Jean Mermoz»
antoine.mink@gmail.com22
+33 6 43 01 30
Formation organisée par Architecture Régénérative. Rencontre avec Denis Coquard et Nydia Solis. Fabrication de briques d’adobe, (93) Rosny-sous-Bois. Chantier-école « Domaine du Costil » Juin 2022 Formation conjointement organisée par Anatomies d’Archi tecture et l’atelier Incipit. Réalisation d’une calade de briques de réemploi pour la confection d’une terrasse extérieure, (61) Sap-en-Auge. Chantier participatif du Hangar Zéro Mars 2022
Rencontre avec Frédéric Denise et les autres sociétaires de la SCIC dans le cadre de la quatrième édition des « Chantiers communs ». Fabrication et application d’enduit de terre crue, (76) Le Havre. Chantier-école « TERRE-TERRE bis » Juill. 2021 Formation conjointement organisée par Bellastock, Gasnie rEco et Récoltes & Semailles. Réalisation d’un hangar de stoc kage maraîcher en terre allégée sur ossature bois, (95) Piscop. Stagiaire - Laurent Deroo Architecte Janv. - mars 2020 Phases ESQ, PRO, EXE et DCE pour des projets d’aména gement d’espaces de vente et de résidences privées, (93) Le Pré-Saint-Gervais.
Concours « Construire comme Perriand » Nov. 2019 Compétition organisée par la fondaton Louis Vuitton en collaboration avec Bellastock. Projet de module d’habitation en hommage au travail de Charlotte Perriand.
EXPÉRIENCES
Antoine Mink
Diplôme d’État d’architecte 2022 École nationale supérieure d’architecture de Paris-Belleville, (75) Paris. Diplôme d’études en architecture 2018 École nationale supérieure d’architecture de Paris-Belleville, (75) Paris. DUT génie civil et construction durable 2015 IUT de Champs-sur-Marne, Université Paris-est, (77) Marne-la-Vallée. Baccalauréat scientifique 2013 Spécialité sciences de l’ingénieur, option informatique et sciences du numérique, mention assez bien, Lycée E. Bézout, (77) Nemours FORMATION
Biennale d’architecture d’Orléans Oct. 2019
Stagiaire - ALM Architecture Mai - juin 2015 Missions de relevé et constitution de PC pour des projets d’extension de logements individuels, (45) Pithiviers. Manœuvre - GLM Construction Juin - juill. 2014 Affecté à une opération visant à la réalisation de 55 logements collectifs, (95) Eaubonne.
Compétition conjointement organisée par le FRAC Centre-Val de Loire et l’ENSA Paris-Belleville. Projet d’installation en lien avec l’œuvre de Lina Bo Bardi.
Concours FRAC Centre-Val de Loire (Lauréat) Févr. 2019
COMPÉTENCES
Festival « Cime City » du Bellastock Juill. 2018 Stagiaire - Jacques Gourvénec Juin - juill. 2017 Phases ESQ et PRO pour des projets de voirie urbaine souter raine, (75) Paris.
Suivi de chantier - Bouygues Bâtiment Janv. - mai 2014 Opération d’extension du campus «Evergreen» du Crédit Agricole, (92) Montrouge. Suivi de chantier - Léon Grosse Sept. - déc. 2013 Opération de construction du nouveau théâtre de Sénart, (77) Lieusaint. Logiciels Usage courant Adobe Creative (suite), AutoCAD, Office (suite), QGIS, Revit et SketchUP. Prise en main ArchiWIZARD, Covadis, DIALux, Gimp, Grasshopper, InkS cape, RDM6, Rhinoceros 3D, Robot, Scribus et SolidWorks. Langues EA Anglais (825 TOEIC ) et espagnol (B1). Permis B 2014 Véhiculé.
Conception et réalisation d’un pavillon éphémère situé en face de la médiathèque Maurice Genevoix, (45) Orléans.
Désert jordanien du Wadi Rum Maquette de site, polystyrène extrudé & plâtre, (1000 x 700 x 325 mm).
Sommaire 23 09 sur un site historique lexical d’une ruralité 15 27 à Aubervilliers Recomposer avec le champIntervention contemporaine Logements sociaux Conception expérimentale
53 31 à Paris 35 à Marseille 39 Une résidence privée Une école maternelle Prototypes et réalisations Études plastiques
09 Saint-Bertrand-de-Comminges contextualisé Vue axonométrique, encre & colorisation informatique, (840 x 594 mm).
MÉMOIRE, CONTEXTE ET CRÉATION
Projets d’architecture
Intervention contemporaine sur un site historique Lorsqu’au pied des Pyrénées, les habitants de Saint-Bertrand-de-Comminges imaginent le devenir de leur commune, c’est la multiplicité des points de vue qu’il s’agit d’appréhender. Le récit des acteurs locaux recueilli au fil des rencontres orga nisées par Philippe Prost, a permis de rapprocher certaines pratiques singulières du territoire aspirant à valoriser le patrimoine archéologique, agricole et paysager de la plaine de Valcabrère. De concert avec Florent Rassendren et Marion Picq, plusieurs éléments de réponses ont été formu lés à l’échelle de la micro-intervention.
À l’égard du vis-à-vis qu’elle offre avec le site an tique et ses ruines, le projet investit la maison Bor dères, bâtisse élevée au XVe siècle, afin d’y aména ger un espace de médiation exposant les travaux archéologiques actuellement menés. Par analogie, un bâtiment neuf est également construit pour ac cueillir des événements estivaux. Le stationnement des véhicules est rendu possible aux abords de la commune, à quelques pas de ce nouvel ensemble. Les touristes accueillis peuvent se rendre à pied sur les sites en question pour prendre connaissance du travail des équipes archéologiques abritées par des structures légères à ossature bois. En hiver, lorsque les fouilles ne sont plus menées, ces abris sont desti nés au bétail ovin. Leur dimensionnement offre une bergerie provisoire aux agriculteurs propriétaires des terrains sollicités.
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Fragment du plan d’aménagement des sols, (haut-gauche).
Dimensionnement d’une bergerie à ossature légère Plan de principe et coupe transversale type, (droite).
Projection sur le nouveau seuil d’entrée de Saint-Bertrand Vue perspective, encre & colorisation informatique, (bas-gauche). Étude de matérialité pour la place du Plan
Extrait du relevé de la maison Bordères Élévation nord, (haut). Afin de répondre plus spécifiquement aux attentes des habitants de Saint-Bertrand-de-Com minges, la place du Plan est remaniée. La création d’une halle couverte et le dessin d’une nouvelle ma térialité de sol permet une meilleure appropriation de la place – propice à une multiplicité d’usages tels que des marchés, des vide-greniers, des tournois de pétanques, des bals, etc. – ainsi qu’une optimisation de l’écoulement des eaux. En parallèle des commerces de la ville haute, une nouvelle centralité basse est proposée aux habitants. Cette intervention s’appuie à la fois sur l’attractivité de l’école primaire et sur le potentiel de la salle des fêtes voisine. En plus d’un remaniement de ses fa çades principales, cette dernière bénéficie désormais d’un espace de réunion indépendamment isolé per mettant un usage plus fréquent que lors des seules fêtes estivales. En réponse à ces deux bâtiments pré-existants, une guinguette et une épicerie proposant la production des agriculteurs de la région sont construites. Ces structures reprennent le principe structurel des abris de fouilles décrit précédemment et offrent une cohérence architecturale à l’ensemble du projet.
Projets d’architecture
Silo VERSIONAUTODESKPRODUITD'UNL'AIDEAREALISE 12
Aire
(NourissageRatelierpailléebottecylindriquemanuel)
ETUDIANTVERSIONAUTODESKPRODUITD'UNL'AIDEAREALISE
Détails structurels de la guinguette Coupe transversale type, (gauche).
ETUDIANTVERSIONAUTODESKPRODUITD'UNL'AIDEAREALISE
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Mise en œuvre du clayonnage en façade, (droite).
REALISE A L'AIDE D'UN PRODUIT AUTODESK VERSION
ETUDIANTVERSIONAUTODESKPRODUITD'UNL'AIDEAREALISE 14
CULTURES CROISÉES
Recomposer avec le champ lexical d’une ruralité
Dans le but de révéler le potentiel des pra tiques liées aux territoires ruraux, il est ici question de dépasser la dichotomie actuelle entre milieu agri cole et milieu habité. La présente réflexion s’attache à générer de nouveaux usages issus de l’hybridation entre ces deux entités. Liées à des paramètres orga niques, géologiques, météorologiques, commerciaux et techniques, ces activités sont autant de pistes à explorer afin d’esquisser une architecture sensible au milieu dans lequel elle s’implante.
Situé en Seine-et-Marne, à quelques kilomètres de Paris, le Gâtinais est impacté par les fluctuations immobilières de la capitale. Malgré les 97 % de sa superficie occupée par l’agriculture, le modèle pavil lonnaire – convoitant un faible prix du foncier et un cadre de vie idéalisé – tend à se généraliser.
Avec le soutien de Paul Gresham, Noël Dominguez et Luís Burriel, ce projet de fin d’études se propose de faire émerger un nouvel imaginaire n’appartenant ni à la ville ni à la campagne ; une combinaison des habitudes de vie favorisant l’intégration du vivant et la convergence sociale.
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Le territoire comme palimpseste Artefact conceptuel, plâtre, (360 x 360 x 40 mm).
17 Projets d’architecture
À l’image du hameau de Mézinville, la for mation des bourgs agricoles du Gâtinais débute généralement par un regroupement technique de plusieurs corps de ferme. Au fil des décennies, ces constructions ont été peu à peu supplantées par des maisons ouvrières et des résidences pavillonnaires. L’urbanisation c’est ainsi faite le long des axes rou tiers en arborant des typologies architecturales éloi gnées du bâti préexistant. Quelles soient construites ou non, l’étude des for mations rurales constitue le point de départ de ce travail. Le processus de ponction territoriale illustré ci-après s’appuie sur l’étonnement suscité par des variations dans le maillage, des contraintes d’im plantation, la rémanence d’un motif, des usages contrastant avec l’immédiateté d’un contexte, des luttes ou au contraire des compromis entre diffé rents usages du sol. De l’étude d’un site à dominante agricole sont ap parues des hypothèses sur certains usages qu’il conviendrait d’inclure dans l’aménagement urbain afin de ne plus concevoir la campagne comme un simple horizon dont les activités régulatrices seraient étrangères. Rapprocher les lieux d’éducation de la lisière des champs, offrir des ressources vivrières et les équipements nécessaires à leur exploitation directement au cœur des habitations ou mutualiser les espaces de stockages pour les agriculteurs. Des contraintes techniques induites par de tels rappro chements programmatiques découlent peut-être les clés d’une cultures de l’habité moins dépendantes et plus conscientes de son contexte.
Parcellaire non agricole de Mézinville Artefact conceptuel, béton, (500 x 100 x 60 mm).
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Typologies remarquables aux abords de Château-Landon À l’orée des champs, (haut). Parcelle triangulaire, (milieu). Négociation topographique, (bas).
21 Projets d’architecture
Mise en corrélation des pratiques Maquette de site, plastiline & paraffine, (3000 x 500 x 405 mm). 22
23 Projets d’architecture MAKING
Conception expérimentale
Il s’agit ici d’une réflexion qui s’attache à concevoir l’architecture en plaçant le son au centre des attentions. Ce travail exploratoire initié par Paul Gresham prend place à Pantin, le long du canal de l’Ourcq. Le caractère industriel de cet environ nement peut, à certains égards, être rapproché du morceau Fire Engine Dream, du groupe Sonic Youth. Avec ses itérations rythmiques excluant la moindre interruption, la moindre aération, cette référence musicale figure le sentiment d’une rencontre extrê mement frontale . Un récit conceptuel qui débute par une succession d’espaces, tous attachés à une atmosphère sonore spécifique. On passe de l’un à l’autre avec gravité. On admire, on écoute, puis cette sensation s’es tompe à mesure qu’on s’approche de la salle sui vante. Chaque espace de production sonore possède sa propre temporalité. Un écrasement du temps qui s’accompagne d’un travail sur la transparence, au sens phénoménal du terme. Ce jeu de profondeur et de superposition guide le spectateur qui, privé de ses repères, s’élève lentement à travers la structure. Le système possède cependant une double lecture. En effet, si les hétérotopies sont définies comme des « lieux autres », ces derniers ne sont pas pour autant fermés sur eux-mêmes. C’est bien la com plexité urbaine qui donne la mesure à la transversa lité du projet. La mise en place d’une trame struc turelle hiérarchisée interroge les vides interstitiels et oriente en douceur vers une contextualisation spa tiale. On interagit désormais à l’échelle de la ville. SOMETHING ABOUT TIME, IN TIME
Emanessence - Rémanence Maquette d’étude, carton kraft, (350 x 115 x 20 mm).
25 Projets d’architecture
26 Dispositif de percée publique Maquette d’étude, plâtre, (370 x 125 x 130 mm). Maquette de matérialité, béton, (950 x 402 x 250 mm).
Logements sociaux à Aubervilliers
Le projet se veut comme une entité qui tend vers l’appropriation et la société. C’est en prenant comme référence The Darjeeling Limited de Wes Anderson qu’une telle ambition s’est formalisée. Ce film, dont l’intrigue se déroule à bord d’un train, offre à voir un «monde habité» définit par un ensemble de pe tites entités indépendantes s’articulant autour d’un parcours public. Privacité et seuils s’expriment par l’agencement des logements entre eux. Ces derniers adoptent la typo logie du plot afin de conserver une indépendance géométrique et de générer des espaces collectifs. Chaque niveau comprend entre trois et quatre lo gements ouverts en façade et sur le patio. Les inté rieurs sont également dotés d’un jardin d’hiver. Ce dispositif intervient pour la ventilation, l’éclairage et pour inviter les scènes de vie à prendre pleine ment possession de leur foyer.
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HABITER LA MÉTROPOLE
Longeant les quais du canal Saint-Denis, sur la commune d’Aubervilliers, cet ancien site industriel est victime de pollution surfacique. Le constat guidé par Frédéric Bertrand a fait émerger la volonté pluri-scalaire de revaloriser ce lieu.
Appropriation de la coursive Vue perspective, photomontage informatique, (bas). Étude d’aménagement Plan d’un logement type, (droite).
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Imbrication des espaces Plan du rez-de-chaussée, (haut-doite). Plan d’organisation par niveau, (bas-doite). Habitat partagé Coupe générale d’un plot type, (gauche).
T2T3 T2 T3 duplex
Atelier Espace de réunion Buanderie
31 Projets d’architecture DESSINER POUR VOIR
Une résidence privée à Paris Orchestré par Sébastien Ramseyer, se studio jongle avec les références de l’architecture moderne. Un premier temps s’est ainsi articulé au tour de l’œuvre d’Alvar Aalto. Le relevé in situ et la décomposition géométrique de certaines de ces œuvres ont abouti à la conception d’un projet plus personnel mettant le rapport au corps humain, la lumière et la proportion au centre des attentions. Dans un souci d’économie des moyens, le site de projection accueille un double projet de résidences privées à destination de deux familles d’artistes. Cet ensemble s’encre dans un terrain en pente situé quelque part entre le quartier de Belleville et de Mé nilmontant. L’enjeu est de donner les mêmes qua lités de vue et de privacité aux deux logements. La posture consiste donc à aligner la première maison par rapport à la rue haute, parallèlement au second projet qui lui est aligné en rue basse. Les deux ha bitats s’ouvrent alors sur un jardin commun et des terrasses extérieures qui apportent de l’intimité et empêchent tout vis-à-vis. La composition par le rectangle d’or et l’usage a abouti à un plan radicalement simple. Ce rectangle est doté d’une partie principale abritant les pièces à vivre et d’une extrémité articulant atelier et lieu d’exposition. Pour entrer dans l’un ou l’autre de ces espaces, on emprunte un intervalle de distribution qui forme une faille dans la composition de façade. Les vues sont dégagées sur le jardin pour apporter la lumière naturelle sans pour autant s’exposer au regard des passants. Appréhender la maison Aalto Maquette d’analyse, carton kraft & papier, (1000 x 820 x 174 mm).
Photographie © Camille Binder
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De l’analyse à la pratique Maquette d’étude, carton kraft & papier, (660 x 640 x 255 mm).
Photographie © Camille Binder Composition géométrique Élévation sud-ouest de la maison Aalto, mine de plomb (650 x 500 mm).
33 Projets d’architecture
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Initié par Bita Azimi, cet exercice s’est at taché à considérer la topographie comme matière à projet. La réflexion s’implante en bordure du Parc national des Calanques, sur le versant nord du Mont Rose surplombant le petit port de la Madrague de ParMontredon.soucide théâtralisation du contexte naturel, une série de portiques métalliques suspend six niveaux de planchers entre lesquels sont réparties les salles La transversalité de la structure offre, quant à elle, une sensation d’immersion dans le paysage et sé quence le panorama. Imaginé comme un organisme tentant d’établir des connexions, le projet dispose d’un accès par le haut pour les enseignants et le personnel ainsi qu’une entrée en partie basse permettant aux parents de déposer leurs enfants à l’abri, sous l’édifice. Les limites entre intérieur et extérieur sont volontaire ment estompées. Aussi, l’espace d’accueil mutualisé pour accueillir des manifestations artistiques en fin de semaine est accessible en franchissant un parvis simplement ombragé par les portiques. Sur le che min de l’école, les enfants sont invités à emprunter un parcours sans cesse renouvelé de la rue jusqu’à la salle de classe.
ÉQUIPER Une école maternelle à Marseille Posture méditerranéenne Maquette d’étude, carton kraft, (450 x 300 x 120 mm).
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LA CONTRAINTE
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Structurer le sentiment d’apensanteur Coupe longitudinale, (bas-gauche). Coupe transversale type, (bas-doite). Mise en situation Plan contextuel d’implantation, (droite).
37 Projets d’architecture
Quand la lumière révèle de luminaire, papier & carton kraft, (870 x 280 x 235 mm).
Prototypes et réalisations
Prototype
41 Prototypes et réalisations
Calade de briques à Sap-en-Auge. © Sabatier
de réemploi Chantier-école
Olivier
Photographie
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43 Prototypes et réalisations Murs en terre allégée Chantier-école à Piscop. Photographie © Quentin Chansavang
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45 Prototypes et réalisations
Photographie
UNE SOLITUDE PARTAGÉE
Pavillon pour la biennale d’architecture d’Orléans Pour la seconde édition de la Biennale d’architecture d’Orléans présentée fin 2019, un concours interne a été proposé aux étudiants de l’École nationale supérieure d’architecture de Pa ris-Belleville. Le projet lauréat est venu compléter l’exposition Lina Bo Bardi - Enseignements par tagés, réalisée un an plus tôt et réexposée à cette occasion sous le commissariat d’Élisabeth Essaïan. Cette réflexion a ainsi pu aboutir au montage éphé mère d’un pavillon en bois à Orléans-la-Source, face à la Médiathèque Maurice Genevoix. Cette proposition cherche à lier le thème de la soli tude à l’œuvre de Lina Bo Bardi. Comme dans son projet Coatí – un restaurant à patio édifié à Salvador da Bahia – la circularité du plan incite le public à longer, à s’immiscer au cœur du pavillon, à s’isoler physiquement et mentalement de l’agitation de la ville en faisant l’expérience intime de l’espace.
Transparence diffractée Installation éphémère, assemblage bois, (8000 x 6000 x 3400 mm). © Camille Binder 46
47 Prototypes et réalisations
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49 Prototypes et réalisations
Soutenir Élément porteur, assemblage bois, (3430 x 2760 x 2400 mm).
Photographie © Camille Binder
Éléments architectoniques 1:1 Ce travail d’expérimentation à grande échelle s’inscrit à la suite du studio Dessiner pour voir. L’analyse du détail et du mobilier chez Alvar Aalto est ainsi passée par la fabrication manuelle d’éléments architectoniques à taille réelle. Cette microstructure comprend tous les éléments de toiture nécessaires à l’écoulement des eaux de pluie. La partie horizontale s’appuie, à son extrémi té, sur une palissade japonaise alors qu’un poteau central assure l’intégrité structurelle de l’ensemble.
La silhouette de cet élément porteur s’inspire du design des poteaux extérieurs de la maison Louis Carré. Les quatre éléments allongés qui en couvrent l’âme se rapportent directement au langage de l’ar chitecture navale et à certaines lignes récurrentes dans l’œuvre de l’architecte.
LE DÉTAIL PORTÉ AUX NUES
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51 Prototypes et réalisations Guéridon When D’après le modèle de Rodolfo Dordoni, assemblage bois, (620 x 400 x 400 mm). Photographie © Camille Binder
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plastiquesÉtudes
Plis et structure Étude de drapé, encre sur papier kraft, (650 x 500 mm).
Une série de dioramas
Ce projet découle directement d’une ana lyse du Parc du Sausset, dans les environs d’Aulnaysous-Bois. En m’intéressant à certaines séquences paysagères du travail de Claire et Michel Corajoud, je me suis demandé quelle était la meilleure manière de rendre compte de mes observations.
Perceptions multiples
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RÊVER DE PAYSAGES
Artefact conceptuel, papier, (215 x 215 x 90 mm).
Si le diorama est apparu comme une solution à cette problématique c’est d’abord pour sa capacité à illustrer certaines qualités sensibles relevées lors de mes visites sur site. Des qualités propres à la lu minosité, à la spatialité, à la profondeur ou encore à la transparence qu’un dessin ou un texte n’aurait peut-être pas suffi à illustrer. Ici, toutes les caracté ristiques ressenties par le mouvement du corps dans ce contexte particulier sont rassemblées et présen tées en un même objet. Ce dispositif a également été pensé en tant qu’outil et cela m’a permis de re prendre et d’ajuster certains points, une fois l’objet réalisé, pour me rapprocher au mieux de l’ambiance mise en scène.
57 Études plastiques
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