Portfolio

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« Nous devons créer des espaces architecturaux dans lesquels il est possible de susciter autant qu’il l’est à travers la poésie et la musique : la surprise, la découverte, la stimulation intellectuelle, la paix et la joie de vivre. » Tadao Ando


SOMMAIRE


Curriculum Vitae

Projets

Pratiques plastiques

Mobilier

Voyages


ANAĂ?S

LHERBET 22 ans

6 rue guillaume pellicier 34070 Montpellier lherbet.anais@hotmail.fr 06 72 68 51 80 Permis B


FORMATIONS Baccalauréat scientifique mention bien I Juin 2014 Lycée Georges Clemenceau à Montpellier Licence en architecture I 2014 2017 École nationale supérieure d’architecture de Montpellier 1ère année de master en architecture I Décembre 2017 Université de Tohoku à Sendaï à Japon

EXPéRIENCES Intervention pour l’association ULab I 2016 Concertation avec les habitants et construction d’espaces communs durant des ateliers participatifs, définissant une approche de l’architecture comme processus. Workshop FABLAB I 2016 Modélisation d’une forme architecturale complexe à l’aide d’outils de conception assistée par ordinateur suivie d’une impression tridimensionnelle. Médiateur au Festival des Architectures Vives I 2016 Accueil et initiation de l’architecture temporaire et du patrimoine existant au grand public dans des cours d’hôtel particulier à Montpellier. Stage ouvrier Méditerranée Constructions I 2016 Suivi de chantier en phase EXE avec participation aux réunions de chantier. Modification de plans d’installation de chantier et de détails constructifs. Élaboration de panneaux de chantier pour l’entreprise. Stage en agence Thomas Landemaine Architectes I 2017 Première pratique en agence d’architecture, participation à différentes phases du projet. Proposition de réhabilitation du logement dans l’ancien centre.

COMPéTENCES Mac OSX Windows AutoCAD SketchUp Artlantis Anglais : Niveau B1 Espagnol : Niveau A2

VectorWork Rhinoceros 5 Grass Hopper Photoshop InDesign


pROJETS



LA MAISON INDIVIDUELLE RENCONTRE AVEC LE SALAGOU ENTRE CONFORT ET MESURE ANNÉE 2015

SEMESTRE 3

ENSEIGNANT M.ROUAUD

Dans une vaste étendue d’eau au milieu de collines de roches rouges arides, le lac du Salagou offre une extraodinaire palette de couleurs. Le rouge brique des «ruffes» concurrence le noir du basalte venant se marier avec le bleu des flots. Le projet se situe sur les abors du lac en limite du hameau de Vailhès. Le terrain prend l’allure d’un rocher en pente imposant et démesuré surplombant le paysage. La maison propose un espace de vie d’environ 140m2 pour accueillir une famille de quatre personnes. La démarche est d’allier à la fois confort et mesure tout en se souciant de la mise en oeuvre constructive. La volumétrie est simple avec un plan rectangulaire et un toit à deux pentes pour assurer l’intégration du projet dans le hameau. Le projet se developpe en longueur avec un réelle volonté de s’adapter au terrain, en se focalisant principalement sur la vue et la pente. L’entrée est créée par un enfoncement du volume créant ainsi un espace abrité. L’espace de vie principal dispose d’une importante hauteur sous plafond s’ouvrant directement sur la vue du lac et permettant ainsi au lieu d’être d’être spacieux et agréable à vivre. Le projet ne se distingue pas par sa forme mais par l’emploi de ses matériaux. La partie inférieure est en maçonnerie, recouverte de briques noires. La volonté est d’utiliser un matériau minéral sombre pour conserver une cohérance visuelle dans le hameau. La partie supérieure est composée de portiques en acier recouverts de zinc noir. Ces deux matériaux se diférencie par un subtil décalage qui permet d’atténuer le caractère imposant de la forme.






Le projet se déploie sur trois niveaux pour reprendre cette notion de pente. Chaque niveau est relié par un axe principal de circulation venant renforcer ce concept. L’idée est d’orienter le regard en direction du lac afin d’obtenir une vue panoramique depuis la terrasse.


L’HABITAT PARTICIPATIF UNE FIGURE RÉ-ÉMERGEANTE POUR FABRIQUER DU COMMUN ANNÉE 2016 SEMESTRE 4 ENSEIGNANT Y. HOFFERT COLLABORATEURS : CHLOE BAUCHAT + LEO COSTE

La démarche au cours de ce semestre a été de collaborer avec un groupe d’habitants porteur d’un projet d’habitat en commun. Par ce travail il était nécessaire d’envisager la création de commun à travers de l’habitat participatif. Dans le cadre d’un processus partagé le projet a évolué au cours de séances de co-conception. La volumétrie du projet est donc imaginée et élaborée à partir de ces différentes rencontres. La volonté est de s’implanter radicalement sur le site en créant un monolithe surélevé. Le rez-de-chaussé est ainsi réservé aux espaces communs et offre un véritable espace libre aux habitants. La mise en architecture de cet espace par les différentes terrasses, le jardin, le plan d’eau ou encore les salles communes proposent une interactivité et une facilité de rencontre entre les habitants. La matérralité des espaces vient également définir les usages. Ce grand espace d’entre deux est un espace de transition reliant une partie du quartier Clemenceau à une autre. Etant poreux il permet une continuité visuelle entre la rue et les espaces communs extérieurs. Le projet propose également une porosité verticale qui se met en place par l’intermédiaire d’un patio central. Une entrée de lumière suffisante dans ce monolithe était un enjeu important dans le projet. Par le biais de la composition géométrique en façade, de grandes percées se dessinent afin de créer des ouvertures. Celles-ci sont générées en retrait de la peau en béton pour permettre une intimité à chacun. Ces failles laissent également les habitants s’approprier un espace extérieur individuel à chaque logement.




Le second espace fondamental du projet se trouve sur la toiture, qui est un lieu également commun aux habitants. La toiture se deploie et vient créer une surface entièrement utilisable et permet d’avoir une continuité du parcours. Les pentes et le mouvement apportent une modification constante de l’espace et donne une lecture changeante du lieu et ses alentours. La reflexion sur la question de la limite a permis de ne créer aucune barrière visuelle, permettant ainsi une vue panoramique en tout point. Le sol devient une excroissance en se soulevant, se redressant, se creusant ou en se modelant venant briser la monotomie horizontale et créer une véritable promenade sur les toits. Les espaces sont ainsi déterminés et limités par le déroulement des planchers. Le travail de la pente et sa matérialité permet de suggérer différents usages sans pour autant les imposer.




LE STUDIO DE DANSE

UNE EXPLORATION DES AMBIANCES ET DE LA MATIÈRE ANNÉE 2016 SEMESTRE 5 ENSEIGNANT J.L LAURIOL COLLABORATEURS : LEO COSTE + GARANCE JEANMET

L’enjeu de ce projet, imaginer un studio de danse relié à l’ENSAM et son quartier, sur un site rocheux surplombant la ville de Montpellier et ses alentours, où la nature a repris ses droits .La compréhension du site et du paysage dans lequel le projet s’inscrit fût d’ailleurs essentiel dans notre démarche. L’idée est d’exprimer une intention architecturale forte et simple, telle qu’une masse tranchée par un long passage. Ce bloc fendu est comme un bloc de roche faisant partie intégrante au terrain. Le passage qui traverse le volume permet d’amener et guider les étudiants de l’école vers un point précis du projet., autrement dit de découvrir une vue totalement dégagée et lointaine sur la ville. Une véritable tension se créer entre le volume massif et la finesse du chemin. Tension qui se ressent également dans le rapport entre la vue lointaine et la fente étroite. Le projet s’articule en fonction de cette ligne directive rythmée par des poteaux, avec d’un côté l’espace de danse et de l’autre le patio. Le studio de danse s’oriente vers le plateau central, mis en valeur par sa matérialité et la lumière. Les espaces secondaires sont placés au nord et accueille ainsi à l’étage une mezzanine proposant un espace de détente. Le patio quant à lui offre un espace d’entre deux où la nature émerge du sol de manière ponctuelle. Le parti pris du projet est de ne percevoir aucune ouverture depuis l’extérieur du projet. Le patio a donc également pour fonction d’apporter de la luminosité de manière judicieuse. Le studio étant introspectif, il était important de travailler un ambiance spécifique et des détails significatifs donnant de la richesse à l’espace.




Le rythme des poutres en bois élancées jouent un rôle essentiel dans l’ambiance intérieure du projet. Elles permettent d’une part une entrée de lumière indirecte sur des espaces spécifiques. D’autre part les poutres étant micro perforées elle améliorent les conditions acoustiques et servent de caisses de résonances. Elles assurent également un éclairage artificiel en accueillant des perches d’éclairage.




LE LOGEMENT COLLECTIF ENTRE DENSITÉ, BIEN-ÊTRE ET VIVRE ENSEMBLE ANNÉE 2017

SEMESTRE 6

ENSEIGNANT A. ISZATT

La mise en place du projet au cœur du quartier Saint-Martin à Montpellier affiche une certaine intériorité. En effet depuis son contexte urbain la perception d’une façade très urbaine laisse à peine entrevoir l’intérieur du cœur d’îlot. La neutralité du blanc permet de distinguer les volumes dans son environnement. Ce cœur d’îlot reste finalement complètement dégagé proposant ainsi une ambiance différente, très épurée entre minéral et végétal. L’accès au projet se fait par une entrée unique que l’on devine par un recul de la façade. La façade visible depuis la rue propose en RDC une boulangerie et une crèche. L’accès aux logements se fait ensuite par l’intérieur du projet, il se base sur un principe de cage d’escalier sur-dimensionnés desservant 2 ou 3 logements par palier maximum. Cet espace offre à chaque habitant un espace de plus à partager avec son voisin de palier. Il se distingue du reste du projet par sa matérialité en béton brut offrant un rapport différent à la matière. Ce système distributif permet de ce fait de disposer pour chaque appartement d’une double orientation. L’idée forte du projet se concentre sur un travail de profondeur, de plein et de vide où chaque logement parvient à en tirer parti. Toutes les habitations ont une terrasse abritée qui donnant sur ce cœur d’îlot ce qui permet d’avoir un certain recul de l’espace habité. Elles sont chacune en quinconce les unes par rapport aux autres afin d’affirmer ce travail de plein et de vide. Toutes les ouvertures fonctionnent sur ce même principe de creux. De cette manière le dispositif constructif en découle naturellement avec des planchers ayant une certaine épaisseur. Cette épaisseur n’est pas visible depuis l’extérieur, étant dissimulée par la volumétrie des ouvertures.




Chaque logement profite de l’épaisseur permettant ainsi d’obtenir des espaces de rangements intégrés tout le long des façades. Tous les espaces jour donnent directement sur les loggias. L’ouverture de ces dernières sont complètement repliables permettant ainsi d’offrir un espace de vie de qualité où les limites entre intérieur et extérieur se mélangent selon les saisons et les envies. Les espaces nuits sont situés à l’arrière des logements séparé par un bloc comportant tous les points d’eau.




PRATIQUES

PLASTIQUES



D’UN TRAIT. Épurées à l’extrême, ce sont quelques lignes noires, qui expriment précisément l’attitude même du corps, en révélant simplement la formes et le mouvement des mains.



MOTIFS.

Simple répétition de la ligne pour mettre en évidence la spontanéité et l’irrégularité de la main.



MOBILIER




Rangement mural graphique qui à la possibilité de s’adapter à toutes les envies et qui permet surtout de ranger joliment nos objets.

La matière du rideau apporte à la fois de la simplicité par sa couleur et du détail par sa forme. Il se compose de petits éléments de formes identiques, reliés entre eux par un assemblage particulier, créant ainsi une autre dimension à l’espace. La forme finale varie selon la façon dont les éléments sont assemblés, lui permettant de s’adapter à tous les supports.

Lampe à l’allure minimaliste où différentes formes géométriques se mêlent entre elles. Elle allie de façon surprenante le béton et la tôle en aluminium anodisé créant une fois allumée des jeux d’ombre et de lumière.


VOYAGES



Hambourg

Barcelone


Copenhague

Porto


Tarragone

Venise


Berlin

Andalousie





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