Agenda SAMU 72

SAMU 72 Monsieur Avner AMOUYAL contact@saconsultmedia.fr

Agenda Bureau 195 x 265 mm format : 195 x 265 mm matière : RHAPSODY 3868 marine millésime : M 27 + marquage OR (centré + 20 mm / haut) logo : + marquage OR (centré + 15 mm / bas)

Date de création : 16/09/14 Date de réalisation : 25/09/2014

220 exemplaires + ENCART 16 pages quadri

AGENDAS KRONOS

Tél. : 01 40 20 02 50 - Site : www.agendas-kronos.fr Mail : ak@agendas-kronos.fr

Š Service communication - CHM

ORGANIGRAMME

Dr F. DECIRON-DEBIEUVRE Chef de service Responsable UF Centre 15

Dr L. STEEN Responsable UF médecine de catastrophe

Dr E. CHAIGNEAU Responsable UF CESU

Mr Mathieu GROUSSIN Cadre de santé Service d'Accueil des Urgences

Dr G.BARRE Responsable UF SMUR

Le CH du Mans en chiffres CHM – année 2013 Nombre de lits Nombre de places (lits qui accueillent des patients pour moins de 24h)

1 561 lits 111 places

Nombre d’hospitalisations

90 914

Nombre de consultations externes

297 263

Passages aux urgences adultes

52 107

Passages aux urgences pédiatriques

27 722

Interventions chirurgicales

24 268

Naissances

3 979

Salles de radiologie

7

Médecins

454

Personnels Soignants (Personnes Physiques)

2 684

Il ne sait pas qu’il est victime d’une intoxication au monoxyde de carbone.

Vous, vous ne pouvez pas l’ignorer.

Pourquoi risquer de renvoyer des pompiers dans un environnement toxique lorsque vous pouvez détecter rapidement et facilement l’intoxication au monoxyde de carbone sur place ? Bien trop souvent, les pompiers victimes d’une intoxication au monoxyde de carbone sont renvoyés sur le terrain trop tôt parce que jusqu’à présent, il n’existait pas de moyen rapide, précis et non invasif de détecter des niveaux élevés de CO dans le sang. Le Rad-57 de Masimo vous permet de détecter facilement et en quelques secondes une intoxication au monoxyde de carbone en appuyant simplement sur un bouton, ce qui permet d’initier rapidement un traitement qui peut sauver des vies et limiter la probabilité de problèmes cardiaques et neurologiques durables.

Pour en savoir plus, appelez le 04 72 17 93 73, ou connectez vous sur www.masimo.fr. © 2009 Masimo Corporation. Rad-57 is a registered trademark of Masimo Corporation.

Contacts

Pour prendre un rendez-vous de consultation : Gériatrie Consultation mémoire / chute - Site du Mans

02 43 47 99 21

Evaluation gériatrique - Site du Mans

02 43 47 99 21

Consultations escarres - Site d’Allonnes (Charles Drouet)

02 43 43 26 37

Protection juridique - Site d’Allonnes (Charles Drouet)

02 43 43 26 37

Femme/Mère/Enfant Anesthésie gynécologie

02 43 43 43 50

Allergologie pédiatrique respiratoire

02 43 43 43 54

Chirurgie pédiatrique

02 43 43 28 54

Diagnostic prénatal

02 44 71 03 09

Gynécologie-Obstétrique/maternité

02 43 43 43 50

Orthogénie - IVG

02 43 43 24 48

Pédiatrie

02 43 43 43 54

Sein - centre de sénologie

02 43 43 29 04

Soins de support Addictologie

02 43 43 27 18

Centre de vaccination internationale

02 43 43 43 70

Consultation MST-IST

02 43 43 43 70

Centre de vaccination polyvalente et anti-rabique

02 43 43 43 70

Diététique - Nutrition

02 43 43 26 02

Douleur

02 43 43 25 28

Laboratoire - Prélèvements

02 43 43 43 32

PASS - Permanence d’Accès aux Soins de Santé

02 43 43 27 43

Service social

02 43 43 25 46

Service de Sécurité Transfusionnelle et Hémovigilance

02 43 43 24 26

SIDA - MST - dépistage anonyme et gratuit

02 43 43 43 70

Soins palliatifs - Psy-oncologie

02 43 43 25 29

Anesthésie/Chirurgie Anesthésie - chirurgie ambulatoire

02 43 43 25 03

Anesthésie - chirurgie

02 43 43 24 52

Chirurgie bariatrique/obésité

02 43 47 99 45

Chirurgie orthopédique adulte - Chirurgie de la main

02 43 43 43 23

Chirurgie plastique et reconstructive

02 43 43 43 22

Chirurgie des varices - vaisseaux

02 43 43 29 62

Chirurgie viscérale et digestive

02 43 43 43 22

Ophtalmologie - chirurgie de l’œil

02 43 43 43 21

ORL et chirurgie cervico-faciale

02 43 43 43 25

Surdité de l’enfant

02 43 43 43 25

Urologie - Andrologie

02 43 43 25 20

Chirurgie maxillo-faciale - Stomatologie - Implantologie

02 43 43 43 25

Médecine Alcoologie

02 43 43 27 18

Allergologie Dermatologique

02 44 71 07 50

Allergologie Respiratoire

02 43 43 43 45

Cancérologie : oncologie – hématologie

02 43 43 43 60

Cardiologie, épreuves d’effort, échocardiographie

02 43 43 43 24

Douleur (évaluation et traitement)

02 43 43 25 28

Dermatologie – Vénérologie

04 44 71 07 50

Diabétologie – Endocrinologie

02 44 71 07 50

Hépato-gastro-entérologie

02 43 43 27 85

Infectiologie – Maladies infectieuses et tropicales - VIH

02 44 71 07 30

Médecine Physique et de Réadaptation

02 43 43 43 47

Médecine Polyvalente

02 44 71 07 30

Néphrologie

02 44 71 07 50

Neurologie

02 43 43 29 92

Pneumologie - maladies respiratoires

02 43 43 43 45

Mucoviscidose Adulte

02 43 43 43 45

Rhumatologie

02 44 71 07 30

Soins palliatifs / Soins de support

02 43 43 25 29

Stomathérapie

02 43 43 43 22

Pour prendre un rendez-vous d’examen : Cardiologie, échocardiographies, épreuves d’effort, ECG, MAPA, Holter

02 43 43 43 24

Consultation génétique médicale

02 44 71 01 84

Consultation d’hémostase

02 43 43 43 32

Echographie - Doppler

02 43 43 44 83

Endoscopie hépato-gastro-entérologie

02 43 43 27 86

Explorations des maladies respiratoires

02 43 43 27 88

Explorations fonctionnelles du système nerveux (EEG, EMG)

02 43 43 24 47

IRM

02 43 43 44 72

Laboratoire – Prélèvements Ouverture au public du lundi au vendredi de 7h30 à 17h30

02 43 43 43 32

SANS INTERRUPTION et le samedi de 8h à 12h Mammographie

02 43 43 44 83

Radiologie

02 43 43 44 82

Rhumatologie - ostéodensitométrie

02 44 71 07 30

Scanner

02 43 43 44 84

Scintigraphie / Radio-isotope / Médecine Nucléaire

02 43 43 43 35

TEP-scan

02 43 43 43 35

Service d’aide et d’accompagnement à domicile

Pignon sur rue

Site web: http://www.scic-pignon-sur-rue.fr

Missions du centre 15 du SAMU 72 1- Répondre par des moyens exclusivement médicaux aux situations d’urgence La loi n° 86-11 énonce en son article 2 que l’Aide Médicale Urgente a pour mission « de faire assurer aux malades, blessés et parturientes, en quelque endroit qu'ils se trouvent, les soins d'urgence appropriés à leur état » ce qui a été traduit par le décret n° 87-1005 en son article 2 par : « répondre par des moyens exclusivement médicaux aux situations d’urgence », et en son article 3 par les missions suivantes : 1. Assurer une écoute médicale permanente.

2. Déterminer et déclencher, dans le délai le plus rapide, la réponse la mieux adaptée à la nature des appels.

3. S'assurer de la disponibilité des moyens d'hospitalisation publics ou privés adaptés à l'état du patient, compte tenu du respect du libre choix, et faire préparer son accueil.

4. Organiser, le cas échéant, le transport dans un établissement public ou privé en faisant appel à un service public ou à une entreprise privée de transports sanitaires.

5. Veiller à l'admission du patient.

Ces missions sont réalisées autour du concept de la REGULATION MEDICALE des appels qui permet au SAMU d’assurer une écoute médicale permanente, de déclencher dans le délai le plus rapide la réponse la mieux adaptée à la nature de l’appel, de prendre en charge et d’orienter le patient vers un établissement de soins public ou privé adapté à sa pathologie et dans le respect du choix du patient.

Il peut s’agir d’une admission primaire directe (urgences, cardiologie, réanimation, pédiatrie, maternité, …) ou d’un transfert inter-hospitalier dit secondaire vers un Centre Hospitalier Universitaire (polytraumatisés, neurochirurgie, grands brûlés…) ou un autre Centre Hospitalier en raison d’une absence de lits d’hospitalisation dans la spécialité requise. Enfin, le SAMU, par l’information systématique des services, participe à l’accueil des patients.

© Ph CHAGNON

Jusqu’à présent, la mission première était assurée en complémentarité, bien qu’il n’y ait pas d’organisation formalisée, par les médecins à exercice libéral. Ces derniers assuraient la continuité des soins pour leur clientèle en s’organisant le plus souvent en système de garde. Le désengagement acté lors de la grève de 2002 a nécessité la mise en place d’une concertation ayant abouti au concept « de permanence des soins en ville, mission d’intérêt général ».

Cette organisation fondée sur le volontariat n’a pu aboutir qu’avec le projet de mise en place d’une régulation unique assurée par le Centre 15 en partenariat avec les médecins libéraux dans le but d’optimiser les soins en ville tout en évitant la dérive du « tout à l’hôpital ». 

mise en œuvre, au sein du centre 15, d’une régulation libérale, organisée dans le cadre du dispositif de permanence des soins en ville par un financement du FAQSV et CNAM obtenu en 2003.



la réorganisation de la régulation hospitalière : la nécessité d’une présence physique et active du médecin régulateur hospitalier en salle de régulation est actée par tous les référentiels (en particulier SAMU de France) et renforcée par les procédures contentieuses de plus en plus fréquentes. Le renforcement de la présence en régulation en période nocturne est nécessaire et doit s’articuler sur : 

la réorganisation interne (utilisation du temps « mort » du SMUR depuis le 1er mars 2003).



la polyvalence SMUR – régulation.

La régulation médicale se doit de trouver une juste adéquation entre les besoins exprimés et les moyens immédiatement disponibles.

A cet effet, le Centre 15 dispose de différents effecteurs potentiels selon des critères médicaux mais aussi organisationnels (disponibilité, géographie…) : 

le dispositif ambulanciers (mise en place d’une sectorisation et de permanence).



interconnexion avec le Centre de Traitement de l’Alerte (C.T.A.) des SapeursPompiers (18 ou 112) permettant le prompt-secours et le recours au Médecins Sapeurs-Pompiers.



le dispositif de la permanence des soins en ville (médecin d’astreinte de secteur).



le conseil médical : 20 % de l’activité du Centre 15 en 2001, plus de 50 % en 2010. Ce dernier permet d’optimiser la réponse en évitant des déplacements de médecins mais il est consommateur de temps et conforte le besoin de renforcement de la régulation médicale.

Le concept de régulation médicale permet ainsi d’optimiser les moyens sanitaires et d’utiliser au mieux les Unités Mobiles Hospitalières (UMH). Depuis plusieurs années, l’activité progresse sur un rythme annuel de 3 à 5 %. En 2013 environ 2 100 interventions ont été effectuées.

© Ph. CHAGNON

La régulation médicale de la demande de soins avec l’objectif de l’optimisation des moyens disponibles permet d’apporter une réponse à la gestion des flux de patients vers les services d’urgences. En effet grâce au principe de territorialité appliqué à l’orientation des patients, une répartition harmonieuse peut se faire entre les différents sites d’accueil d’urgence pour les patients nécessitant effectivement un accès au plateau technique, dans les autres cas un conseil médical pourra permettre une consultation différée vers un effecteur adapté (notion de projet de territoire).

La mission des SAMU se poursuit par le suivi de l'appel qui permet d’ajuster les moyens d’intervention, et d’assurer l’accueil dans les meilleures conditions possibles de la victime dans l'établissement de soins de destination.

Ce suivi est assuré par le contact permanent radiophonique ou téléphonique avec les moyens d'intervention mais aussi, lorsque cela est nécessaire, par la liaison téléphonique avec l'établissement de soins, public ou privé. Le retour d’information de l’intervenant sur le terrain est primordial pour assurer cette mission.

2 – Mise en œuvre des Plans de Secours Le SAMU doit participer à l’élaboration des plans de secours (article 4 du décret n° 87-1005). Son rôle de référent technique a été confirmé par les textes définissant l’organisation des soins médicaux (circulaire DHOS/HFD/DGSNR n° 2002-277 du 2 mai 2002 relative à l’organisation des soins médicaux en cas d’accident nucléaire ou biologique et circulaire DHOS/HFD n° 202-384 du 3 mai 2002 relative à l’organisation du système hospitalier en cas d’afflux de victimes).

Le SAMU départemental est inclus dans un schéma zonal débordant du concept régional.

Pour la Sarthe, le SAMU 35 de RENNES est référent zonal.

La participation à l’élaboration des plans de secours et notamment ceux départementaux (Plan Particulier d’Intervention et Plan Rouge Départemental) nécessite du temps médical :   

réunion d’élaboration participation aux exercices de terrain formation spécifique (catastrophe et NRBC).

3 – Couverture médicale des grands rassemblements Le SAMU doit faire assurer la couverture médicale des grands rassemblements et activités à risques (article 5 du décret n° 87-1005). Il peut s’agir d’action d’intérêt public comme le renforcement des moyens opérationnels (régulation et SMUR) lors des 24 heures du MANS AUTO ou MOTO et du Grand Prix de France, mais aussi d’activité contractualisée (Euroleague – MSB, Les 24 heures du Roller, les foulées du Bugatti, Cross Ouest France par exemple).

De par la démographie médicale, le SAMU est fréquemment sollicité pour satisfaire au respect des réglementations qui s’applique au domaine public (règlement de fédération sportive) a fortiori lorsque cela provoque des rassemblements de personnes.

Ces manifestations entraînent une majoration d’activité croissante chaque année.

4 – Formation à l’urgence : enseignement et formation continue Le SAMU a pour mission « d’apporter son concours à la formation à l’urgence des professions médicales et paramédicales, des ambulanciers, des secouristes et de tout personnel dont la profession requiert une telle formation » (Article 6 du Décret n° 87-1005).

L’organisation s’articule autour d’un centre d’enseignement de soins d’urgence (C.E.S.U.) dont les objectifs principaux sont les suivants :   

former les formateurs. organiser et planifier l’enseignement. harmoniser le contenu de l’enseignement et les méthodes pédagogiques

La création du CESU répond au mieux à ces critères avec les missions suivantes : 

Assurer la formation initiale et continue aux secours et soins d’urgence des personnels participant de façon permanente ou temporaire aux secours médicaux d’urgence et aux transports sanitaires : profession de santé, étudiants des professions de santé, ambulanciers, personnes extérieures (personnels de l’éducation nationale, moniteurs de colonies de vacances, ….), formateurs en secourisme.



Permettre l’acquisition des connaissances nécessaires à la pratique des secours et soins d’urgence.

Contribuer à la recherche pédagogique relative à la pratique des secours et soins d’urgence.

© Service communication – CH Le Mans

Missions du SMUR 1 – Intervention Primaire Assurer tous les jours de l’année, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, hors de l’établissement l’intervention d’une équipe hospitalière médicalisée en vue de la prise en charge de tous les patients dont l’état requiert de façon urgente des soins médicaux et de réanimation dans un secteur géographique d’intervention défini par le Service Médical d’Aide Urgente (S.A.M.U.) du département (Loi n° 87-565 dans son article R 712-71-1).

Il s’agit de la mission première de tout SMUR. Le SMUR du MANS assure ainsi plus de 2 079 interventions primaires par an (chiffres 2012). Le SMUR du MANS a longtemps été le seul SMUR du département en raison de la géographie particulière de la Sarthe avec le site urbain central du MANS et 6 hôpitaux périphériques.

Une antenne SMUR à MAMERS a été mise en place (juin 2001) et réalise environ 60 % de son activité sur le territoire de la Sarthe avec 250 interventions par an.

L’ouverture d’un second SMUR (site du BAILLEUL) permet de mieux défendre le Sud-Ouest du Département.

En raison de la pauvreté en « SMUR » du département, © Service communication – CH Le Mans certaines zones géographiques sont qualifiées de Zone Blanche (Sillé-le-Guillaume par ex.), ne disposant d’aucune structure hospitalière (à l’excep-tion d’un hôpital local) et étant distante de plus de 30 km de tout SMUR. Une organisation particulière de Médecin Correspondant du SAMU a été mise en place en 2002-2003 et devrait être réactivée fin 2014 afin de répondre à deux objectifs principaux :  

prise en charge des 15 premières minutes des détresses transmission d’un bilan « professionnel »

Cette organisation pourrait se développer dans plusieurs autres zones blanches mais nécessite un investissement en matériel et en temps médical (formation initiale et complémentaire).

La réponse à l’urgence doit également s’articuler autour du maillage des médecins sapeurs-pompiers.

2 – Intervention Secondaire (inter-hospitalière) Assurer le transfert, accompagné par une équipe hospitalière médicalisée, entre deux établissements de santé, des patients nécessitant une surveillance médicale pendant le trajet (Loi n° 87-565 dans son article R 712-71-1).

Le SMUR du MANS assure l’ensemble des transferts demandés par les établissements de soins du département ainsi que ceux du CHLM le plus souvent vers des structures universitaires (Nantes, Angers, Tours, Paris). Le SMUR du MANS bénéficie des prestations de l’hélicoptère régional basé à NANTES, pour assurer une partie de cette mission. En 2012, environ 766 transferts ont été réalisés dont 61 au titre du SMUR Pédiatrique.

© Ph. CHAGNON

Bilan d’activité 2013 L’activité du service se répartie en quatre domaines de compétence :    

La régulation médicale des appels (Centre 15).

La prise en charge des urgences pré-hospitalières (SMUR).

L’enseignement des soins d’urgences (CESU).

La gestion des situations d’exception (Médecine de Catastrophe).

Centre 15 du SAMU 72

91170 dossiers patients créés

24603

27 945

transports en ambulances privées

conseils téléphoniques

301 763 appels

11 340 consultations médicales

27908 évacuations par les sapeurs pompiers

L’organisation de la prise en charge des patients repose sur le réseau de l’Aide Médicale Urgente. La Convention Quadripartite a été mise en œuvre depuis le mois d’octobre 2010 sous l’autorité du Préfet de la Sarthe. Les équipements du Centre 15 du SAMU ont été modernisés au cours de l’année 2009 (changement Autocom – Système de téléphonie avancée EXOS).

SMUR du Mans Les interventions du SMUR sont majoritairement routières (Unité Mobile Hospitalière).

Le SMUR a également assuré la sécurité médicale d’activités sportives à risque ou recevant un public important (24 heures du Mans, matchs internationaux MSB, Cross Ouest-France…).

70,4% à domicile 2 079 interventions primaires

9.6 % sur la voie publique

766 transports inter-hospitaliers

20 % sur les lieux publics

35 mouvements sur la DZ

Le Centre d’Enseignement des Soins Urgents

Près de 2 500 heures d'enseignement

Etudiants des IFSI

Autres écoles paramédicales

Partenaires extérieurs

(AFGSU, cours magistraux, gestes pratiques d’urgence)

(entreprises, organismes médico-sociaux)

Près de 1 000 personnes ont ainsi été formées aux gestes et soins d’urgence. Le CESU a organisé la formation continue de ses enseignants, procédé au recrutement de 2 nouveaux formateurs, et enregistré le départ de 2 anciens formateurs.

NOTES

Agenda réalisé par

40, rue de Bruxelles - 69100 Villeurbanne Tél: 04 78 85 21 71 - Fax: 04 37 44 06 53 E-mail: contact@saconsultmedia.fr 24