



présente


Avant toute chose la troupe du Théâtre de l’Espérance au grand complet vous souhaite une très belle et heureuse année 2012 ! Que vos vœux - les plus sages - se réalisent et que vos rêves - les plus fous - à défaut de se réaliser, vous stimulent et vous mettent des étoiles dans les yeux autant que dans le cœur ! Et puis, si vous tenez vraiment à voir vos rêves prendre forme et
Textes
Chantal Girard
Photos comédiens
Gabriel Asper
Publicité et montage
AA Actual Pub SA
Dominique Poupaert
Benoît Stolz
Case postale 68
1213 Onex
T 022 343 03 43
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sportmag@vtx.ch
Du 6 janvier au 4 février 2012
bien jouez au loto, par exemple, parfois la chance peut vous sourire, qui sait ? D’ailleurs un peu plus loin nous vous donnerons quelques tuyaux pour faire fortune !
En attendant nous vous souhaitons, en notre compagnie, une excellente soirée sous le signe du rire, évidemment !
www.theatre-esperance.ch
Le sujet de la pièce
Bernard, le père, et sa femme Bernadette sont des Français moyens, très simples, très gentils et… très moyens !
Le couple vit heureux avec leur fille unique Laetitia. Chacun travaille, l’un est contremaître dans le bâtiment, l’autre caissière dans un supermarché et la troisième vendeuse dans un vidéoclub.
Après le travail il arrive, pour les grandes occasions, que le père invite ses femmes dans un restaurant de grande surface ou
pour le buffet chez «Flunch» ! Ces sorties sont, pour eux, le summum.
La famille ne demande pas la lune mais Bernard, dit Nanard, joue régulièrement au loto dans l’espoir de gagner quelques centaines d’Euros qui lui permettraient de faire «péter la carte bleue» un peu plus souvent.
Bernadette, dit Nadette, n’a qu’un souhait: faire plaisir aux siens en leur concoctant bons petits plats et pâtisseries.
Laetitia, quant à elle, voue une admiration sans borne aux têtes couronnées et à celui qui les connaît le mieux: Jean-Edouard Bernel. Elle rêve, secrètement, de devenir un jour une grande dame à qui l’on ferait le baisemain et que l’on inviterait à la table des princes. Bref, elle rêve de faire partie de la Jet Set.
Mais du rêve à la réalité il y a… un monde, comme vous n’allez pas tarder à vous en rendre compte !
Bonne soirée !
Pour votre information
Cette comédie a été écrite par Jean-Marie Chevret en 2005, pour Stéphane Bern. Le spécialiste des têtes couronnées, avec Francis Perrin et trois autres comédiennes et comédiens, ont fait un triomphe avec cette pièce à Paris.
Quel bonheur de travailler avec cette équipe ! Ils ne sont pas nombreux: cinq seulement, ce qui n’est pas habituel pour Marianne et moi; en effet, lorsque nous lisons des pièces, nous écartons celles qui présentent des petites distributions, mais une fois n’est pas coutume et, pour interpréter cette comédie, comme nous avons choisi les bons numéros, nous ne pouvons que jouer gagnant !
Cependant il est vrai que j’appréhendais un peu de travailler en petit comité car, ce que j’aime
dans une pièce, c’est faire bouger du monde sur scène, et plus il y a de comédiens plus il y a de déplacements possibles, de chassés-croisés, etc. Bref: vous l’aurez compris, j’aime qu’il y ait du mouvement ! Avec cinq personnages il me semblait que la performance était plus compliquée… Baliverne ! Ce n’est ni plus ni moins du «pareil au même» comme on dit et, côté discipline les choses sont plus aisées ! Oui, car c’est un peu comme à l’école, plus ils sont dans la classe et plus ça chahute !
A part ce qui se voit, il y a ce qui s’entend : le texte et la façon de le dire. Comme d’habitude, c’est Marianne qui a assuré toute cette partie traitant de l’interprétation.
Et maintenant, juste pour vous donner une petite idée de la façon dont se déroule la préparation d’une pièce voici, en trois temps (ou presque !), la même scène, 4 mois avant la première, 2 mois plus tard et le jour «J».
Début septembre 2011
Ambiance «vue d’avion»
Dernière scène.
Mise en place sur une scène miniature, pour une meilleure visualisation.
Sur le canapé de Bernadette Leblanc nous avons: Rose = Laetitia - Jaune = Bernard - Rouge = Jean-Edouard - Bleu = Bernadette - Vert = Aurélien
Dès le 6 janvier 2012
Ambiance de représentation !
Même scène toujours avec le décor, signé Georges Stähli, et les comédiens en costumes.
Fin octobre 2011
Ambiance de répétition
La même scène avec, cette fois, les personnages en chair et en os !
Sur le canapé de Bernadette
Leblanc nous avons:
Laetitia (Héloïse)
Bernard (Richard)
Jean-Edouard (Alain)
Bernadette (Graziella)
Aurélien (Mathieu)
Du 6 janvier au 4 février 2012
En coulisses
Mise en scène
Chantal Girard et Marianne Huber
Accessoiriste
Katia Girard
Décors
Georges Stähli
Création lumière
Denis Guex
Régie technique
Didier Lacroix
Sur scène, par ordre d’entrée
Bernard
Richard Lion
Laetitia
Héloïse Janin
Bernadette
Graziella Della Luce
Jean-Edouard Bernel
Alain Tedeschi
Aurélien
Mathieu Berclaz
Si vous voulez lui faire plaisir, pensez à Guido Fleurs 2 Carrefour de Rive • 1207 Genève
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13, rue de la Terrassière • 1207 Genève
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Les rues visitées, lors de cette première promenade, se trouvaient en aval du théâtre; aujourd’hui nous allons regarder en amont et nous diriger du côté de la Terrassière.
Lorsque Genève n’était encore qu’une ville fortifiée, sise sur les hauteurs - l’actuelle
Vieille Ville - il existait alors bon nombre de hameaux positionnés à l’extérieur de la cité. Un de ces hameaux, justement, bordait le Pré l’Evêque et tirait son nom des anciennes tuileries et poteries qui s’y trouvaient. A l’époque les ouvriers qui besognaient dans ces manufactures étaient appelés «terraillons» ou «terrassiers», d’où le nom de cette rue qui, lorsque la cité de Calvin s’est agrandie, est devenue partie intégrante de la ville.
Ruelle de la Vinaigrerie
Pas de grand mystère quant à l’origine de son nom, cette ruelle abritait tout simplement une vinaigrerie qui n’existe plus depuis bien longtemps.
Une maison ainsi qu’une chapelle de l’ordre des Templiers
se trouvaient à cet endroit jusque dans la dernière partie du Moyen Age. En 1312, lors de l’abolition de cet ordre par le pape Clément V, elles passèrent toutes deuxmaison et chapelle - aux mains de l’ordre des Hospitaliers de Saint-Jean.
Autant vous rassurer tout de suite : cette rue ne doit pas son nom à quelque affaire sanglante, complot assassin ou autre acte barbare qui aurait été mis à exécution entre ses murs. Non ! Elle le doit tout simplement aux décorations de terre cuite qui ornent les façades et qui seraient l’œuvre du marbrier Joseph Fabrizi, habitant du n° 6 de cette rue vers le milieu du XIXe siècle, date de la construction de cette maison rouge. Ces trois petites rues ont plusieurs points communs : elles sont toutes piétonnes, parallèles entre elles et, partant de la rue de la Terrassière, elles arrivent ensemble, à la rue Saint-Laurent. Cette rue Saint-Laurent doit son appellation, elle aussi, à une chapelle située sur les crêts du même nom. Les traces de cette chapelle apparaissent dans plusieurs actes de 1268, 1448 et 1509; quant à la destruction de cet édifice elle remonte à 1532.
Voici en quelques exemples comment, chacun à sa façon, peut faire un «CARTON» :
Globe-trotter
En voyage et en chansons, à la manière de Linda de Souza, avec une valise en «CARTON» !
Optimisme
«Tu ne crois quand même pas qu’au loto avec un quine tu pourrais gagner le gros lot ? Mais non ! Pour le jambon il faut avoir un CARTON !»
Prétentieux
«Monsieur j’ai écrit quelques vers, qui soit dit en passant ont l’avantage de plaire. Devant 17 personnes, béates d’admiration et
qui restèrent sans voix, j’ai fait un véritable CARTON !»
Pratique
«Tu déménages ? Veux-tu que je t’aide à remplir tes CARTONS ?»
Snob
«Mais bien sûr, très chère ! Pour cette partie de campagne que vous soyez des nôtres me paraît être une évidence ! Je veillerai personnellement à ce que l’on vous fasse parvenir un CARTON.»
Sportif
«Leblanc ! Le pied : c’est au ballon que tu dois le mettre pas dans les dents de l’adversaire ! Tu le vois celui-là ? En effet il est rouge… le CARTON !»
Les Amazones novembre 2008
Le Squat novembre 2009
Faux départ janvier 2011
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