Comédie de J.-F. Champion
Mise en scène
Alain Herzig Décors
Georges Stähli et Dario Mastronardi

Georges Stähli et Dario Mastronardi
présente
Pour bien commencer 2013, nous vous présentons une comédie qui n’a encore jamais été jouée. En effet, l’auteur nous l’a proposée en primeur! Nous sommes donc très heureux de vous faire découvrir une «Miss» pas tout à fait conforme à la tradition mais qui saura, sans aucun doute, vous faire rire!
Textes
Chantal Girard & Jean Mermoud
Photos comédiens
Gabriel Asper
Publicité et montage
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Dominique Poupaert
Benoît Stolz
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A propos de rire, que l’an neuf vous apporte de la bonne humeur et de nombreuses occasions de vous laisser gagner, justement, par ce rire libérateur! C’est le souhait de notre nouveau président Christian Wille, et de toute la troupe du Théâtre de l’Espérance. Et, soyez-en sûrs, nous vous aiderons à réaliser ce souhait par le choix de nos comédies, placées sous le signe de la joie de vivre!
A tous, bonne et heureuse année 2013!
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Nous voici au cœur de l’hiver, moment où notre théâtre présente la deuxième pièce de sa saison.
Ce qu’il peut faire froid en janvier! Neige, bise noire, verglas… Au temps de la Révolution française, on a baptisé les mois d’hiver
«nivôse, pluviôse et ventôse», mois correspondant à décembre, janvier, février et mars (respectivement: 21 décembre - 19 janvier; 20 janvier - 18 février; 19 février - 20 mars).
La comédie présentée ce soir n’a rien de révolutionnaire, mais c’est bel et bien l’hiver: des personnages bloqués, coincés, embourbés, enneigés, se croisent, s’affrontent, se débattent sans trop savoir où ils sont ni quel sera leur sort…
Il paraît que Jean-François Champion s’est inspiré d’un fait divers réel pour écrire sa pièce : mais qu’est-ce que c’est que cette miss perdue dans un coin de montagne?... Vous souvient-il de la chanson «Etoile des neiges»?... c’est peut-être là qu’il faut chercher. Mais nous n’allons pas tarder à percer le mystère, qu’il pleuve, vente ou neige. Installez-vous, cher public, bien au chaud, et profitez d’un moment de détente et de bonne humeur au Théâtre de l’Espérance, votre théâtre, à juste titre si apprécié.
Bonne soirée!
De gauche à droite et de haut en bas: Alain Herzig, Furio Longhi, Stéphane Ventura Dos Santos, Alain Tedeschi, Laurence Juvy, Maryline Bornet et Marianne Huber
Ils sont six pour participer à cette aventure.
Six personnages, hauts en couleur, pour interpréter cette fameuse «Miss»… euh! la comédie, bien sûr, car il va sans dire que tous ne prétendent pas accéder à la consécration en rêvant d’obtenir le titre tant convoité de Miss. Mais tous sont concernés par l’histoire, avec un petit «h», tout de même!
Il y a la famille Clapier
Bernard: le père. La cinquantaine, chauffeur routier et père de Sabrina. Un poil vulgaire, même en voulant être chic. Bref, aucune confusion possible avec Jean d’Ormesson, ni par l’âge, ni par la distinction.
Chantal: sa femme. Caissière, 50 ans à peine, jolie femme, mais elle aussi plutôt habillée «tout-venant» que Saint-Laurent. Aucune confusion possible non plus avec Nadine de Rothschild.
Sabrina: leur fille. 18 ans, très jolie. Elle porte les espoirs de ses parents et le tapis rouge ne devrait pas tarder à se dérouler sous ses pieds car elle vient d’être élue «Miss Savoie».
Les autres
Guy Vache: La quarantaine, garagiste. Ami et voisin des Clapier. Viril, limite lourdaud, il sent un mélange de cambouis et de parfum de supermarché.
Laurent: dit Lolo, la vingtaine. Looké skin. C’est le petit ami de Sabrina.
Et puis Madame de… Enfin nous dirons Gisèle de Montfivet puisque c’est son nom. Présidente des Miss. Quarante ans… depuis quelques décennies. Très maquillée, sophistiquée, habillée de noir et blanc avec, évidemment, un chapeau assorti à sa tenue; chapeau qu’elle n’enlève jamais, au grand jamais!
Vous voyez le tableau?
Parfait, nous pouvons alors ouvrir le rideau sur le… premier tableau!
Nous vous souhaitons à toutes et à tous une excellente soirée!
Comme le temps passe vite! Nous avons à peine fini que nous repartons pour une nouvelle aventure. «Que du bonheur»...
Pour cette nouvelle pièce de JeanFrançois Champion, nous partons dans le monde merveilleux de la Miss de France, avec ses dessous, ses travers, ses cris et chuchotements.
Pour ma part, je me suis beaucoup amusé à mettre en scène cette pièce car les personnages sont amusants et déroutants.
Lors des répétitions, nous avons eu des moments de fou rire, surtout lorsque l’on
cherche une intonation de voix et que le comédien, pour y parvenir, gonfle les joues et essaie de parler en même temps; je vous laisse imaginer!...
Il y a aussi les moments d’incertitude où vous vous retrouvez dans une impasse, vous retournez la scène dans toutes les sens mais rien n’y fait; alors vous vous dites: «Je verrai demain, on arrête», en espérant que vous trouverez la solution le lendemain et comme dit le proverbe: «La nuit porte conseil».Eh bien je peux confirmer… merci à la nuit qui m’a souvent amené la solution.
Tous ces petits moments de plaisir que nous partageons font partie de la magie du spectacle et en font la réussite pour le plus grand bonheur du public. Par ces quelques lignes, je tenais à vous faire partager une expérience unique et différente à chaque mise en scène. Je vous souhaite, cher public, un très bon spectacle.
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Il n’en est pas à son coup d’essai, loin s’en faut! En effet
Jean-François Champion a déjà bon nombre de pièces à son actif, dont trois d’entre elles ont été jouées au Théâtre de l’Espérance: «Ainsi soit-il!», «Faut-il tuer le clown?» et «Fais-moi un bébé!».
Si vous avez vu l’une ou l’autre de ces comédies, vous en conviendrez, l’auteur traite volontiers de sujets d’actualité et, partout où se pose son regard, il trouve matière à alimenter son inspiration. De là à la réalisation d’une pièce, il n’y a qu’un pas - ainsi que beaucoup d’imagination et de travail, bien sûr! - pour qu’une comédie se construise,
sur le papier de prime abord puis prenne vie, comme ici, devant vous. Oui, vous avez bien lu: «Miss» prend vie pour la première fois sur scène dans notre théâtre puisque l’auteur nous a fait l’honneur de nous confier la dernière-née de ses comédies afin que nous la montions en avant-première!
Mais laissons-lui la parole...
Le mot de l’auteur
Son feutre à larges bords irrémédiablement vissé sur la tête, Gisèle de Montfivet (toute ressemblance avec un personnage existant ne serait que pure…mauvaise foi de ma part!) vient, comme à son habitude, rendre visite à une prétendante au trône suprême: celui de «Miss de France».
Elle se doit de rencontrer les parents et la jeune élue «Miss de Savoie» afin de faire une enquête de personnalité et de moralité, car le règlement, c’est le règlement, et Gisèle est très à cheval là-dessus.
Seulement voilà: au grand dam de la grande dame, la jeune fille ne va pas du tout entrer dans le moule…
De plus, des circonstances extérieures, vont l’obliger à dormir chez ces gentils «beaufs», et, du coup, la présidente du comité va voguer de surprise en surprise.
Mais au niveau des scoops, la famille aura aussi son lot, car Gisèle en a sous le chapeau. Comme quoi, il ne faut pas toujours se fier aux apparences…
1920 Maurice de Waleffe (fondateur en 1911 du journal «Paris-Midi») institue un référendum de «la plus belle femme de France».
Cette année-là, 1700 jeunes filles s’inscrivent et un jury en sélectionne 49. Pourquoi 49 et non pas 50? Parce qu’ainsi, chaque semaine pendant 7 semaines, ces jeunes femmes apparaissent, 7 par 7, sur les écrans des cinémas où les spectateurs se voient remettre un bulletin de vote pour participer à cette élection.
La première «Miss France» de l’histoire est Agnès Souret, 17 ans
L’année d’après, Maurice de Waleffe fait élire une reine dans 49 villes de France.
En 1946, le fondateur de cette élection meurt et c’est Guy Rinaldo et Louis de Fontenay qui reprennent le flambeau.
Pour la petite histoire, le nom «de Fontenay» est un pseudonyme qui aurait été adopté par Louis Poirot lorsqu’il était résistant durant l’Occupation. Par la suite, ce nom est resté attaché à l’homme et à ceux qui ont partagé sa vie.
Mais venons-en à Geneviève Mulmann. Aînée d’une fratrie de 10 enfants, elle travaille comme mannequin chez Balenciaga et, en 1957, elle est élue «Miss Elégance». La jeune femme ne tarde pas alors à rencontrer le président du comité Miss France et devient sa compagne dans la vie et son assistante au sein du comité cité.
Geneviève de Fontenay - il s’agit bien sûr d’elle - reprendra, à la mort de son compagnon en 1981, le comité avec son fils Xavier.
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Mise en scène
Alain Herzig
Décors
Georges Stähli et Dario
Mastronardi
Eclairages
Denis Guex
Régie
Didier Lacroix
Les comédiens, par ordre d’entrée en scène
Bernard
Furio Longhi
Chantal
Laurence Juvy
Gisèle de Montfivet
Marianne Huber
Guy Vache
Alain Tedeschi
Sabrina
Maryline Bornet
Laurent
Stéphane Ventura Dos Santos
Plusieurs marques identitaires sont liées à «la Dame au Chapeau», comme elle est surnommée depuis des décennies. Premièrement, sa tenue vestimentaire qui n’est assujettie à aucune mode et qui reste, toujours en noir et blanc, sobre, classique et élégante! Mais, bien plus encore, l’attribut indissociable de son identité est son sempiternel chapeau! C’est l’image qu’elle s’est elle-même créée et qui a traversé le temps malgré les orages et les intempéries!
Après 53 éditions de Miss France, madame de Fontenay a tiré sa révérence devant le «piétinement des valeurs et le non respect des engagements pris par certaine(s) candidate(s)».
Mais elle n’avait pas l’intention de prendre sa retraite pour autant! Quelques
déboires et plusieurs coups de gueule plus tard (la Dame au Chapeau ne mâche pas ses mots!) elle a lancé à l’automne 2010 un nouveau concours: Miss Prestige national.
Côté Confédération Helvétique, le concours de «Miss Suisse» existe, lui, depuis la fin des années vingt. Cependant l’élection des miss n’avait, à l’époque, pas lieu toutes les années. C’est seulement après guerre que le concours devint annuel jusqu’en 2011… Eh oui! Car, comme vous le savez certainement, il n’y a pas eu d’édition 2012, pour des raisons financières…! Mais certains bruits de couloir laissent entendre que l’édition 2013 devrait avoir lieu. A voir…
Pour l’heure, c’est une «Miss de Savoie» que nous allons rencontrer. Il semblerait qu’elle prétende à la consécration de «Miss de France». A voir… là aussi!
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Gambas maison
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Miss… Une reine de beauté?... Une jeune fille anglaise bien sous tous rapports?... Mistinguette, peutêtre?... Ou alors la miss Ouri, ou la miss Tigri, ou la miss Toufle?... Il y a du mystère là-dessous. Mais cette miss, qu’elle soit reine ou anglaise – mais pas reine d’Angleterre! –nous finirons bien par la découvrir, et là où on s’y attend le moins.
Une niaiserie en – ice, Bien troussée mais factice…
C’est l’histoire d’une miss
Qui s’appelait Bérénice.
Son amant, c’était Fabrice
Et son amoureux Patrice.
«J’aime selon mon caprice
Mais aussi pour mes délices»
Pensait gente Bérénice
En suçotant de l’anis.
«Mais pour l’instant, quel supplice!
L’un et l’autre sont novices,
Et pour remplir leur office
Ils ont grand besoin d’épices»…
Elle alla trouver Alice
La sorcière aux maléfices:
«Donne-leur de la réglisse, Un peu de sang de génisse, Quelques grains de cannabis
Mêlés à de la saucisse»…
Après deux mois de sévices, Fab attrapa des varices, Pat succomba de jaunisse.
Qu’advint-il de Bérénice?
On dit qu’elle vit à Nice
Pleurant son passé de miss…
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Pays du Rhône, du Mont-Blanc, du Salève, des Aravis, du Léman, des Alpes, de la Maurienne…
Passé l’âge des villages sur pilotis, les Celtes s’installèrent vers 500 av J.-C. déjà: en Savoie, ce sont les Allobroges. Vers 120 av J.-C. les Romains conquièrent la région (Jules César est à Genève en 58 av J.-C.). Ensuite la Savoie passera sous domination burgonde (en 440 av J.-C.), puis franque (en 535), puis bourguignonne (en 890) avant d’être intégrée au Saint-Empire (Genève sera ville d’Empire, d’où l’aigle sur ses armoiries). La Savoie est érigée en comté vers 1030, puis duché en 1416. Plusieurs fois occupée par la France (1536, 1630, 1690, 1703), elle sera rattachée au royaume de Sardaigne en 1718. Elle est annexée par la France en 1860, sous Napoléon III.
Partie de la rive sud du Léman, la famille comtale de Savoie va étendre peu à peu
sa domination sur un très vaste territoire, des deux côtés des Alpes. Genève a été savoyarde, mais aussi le pays de Gex, le pays de Vaud, le Bas-Valais; et encore le val d’Aoste et le Piémont italien; et la Maurienne, la Tarentaise… En 1232, Chambéry est la capitale de la Savoie; en 1562, c’est Turin… Pas moins de dix-huit comtes ont régné sur la Savoie, de 1030 à 1416; puis ce furent quinze ducs, de 1416 à 1718. Ensuite la famille de Savoie va régner sur la Sardaigne jusqu’en 1860, et enfin sur l’Italie jusqu’en 1946.
Quelques personnages
• Pierre II, 12e comte de Savoie (+ 1268), surnommé le «petit Charlemagne»; son règne marque peut-être l’apogée de la période «comtale». C’est lui qui fait bâtir le château de Chillon; le Léman est un lac savoyard, le Valais et ses cols sont sous bonne garde.
• Charlotte de Savoie, reine de France (+ 1483), épouse de Louis XI et mère de Charles VIII.
• Louise de Savoie (+ 1531), mère de François Ier, régente de France.
• François de Sales, évêque (1567-1622). Ordonné prêtre en 1593, il est envoyé en
mission dans le Chablais pour ramener cette région au catholicisme. Il est nommé évêque de Genève en 1602, mais ne pouvant pas y résider, il s’installe à Annecy. Il fut un prédicateur et un écrivain célèbre en son temps. Il a été canonisé en 1665 et proclamé docteur de l’Eglise en 1877.
• Charles-Emmanuel Ier, 11e duc de Savoie (+ 1630), surnommé «le Grand». C’est le duc de notre fameuse «Escalade».
• Marie-Adélaïde de Savoie, dauphine de France (+ 1712). C’est la mère de Louis XV.
• Louise de Savoie (+ 1714), reine d’Espagne, épouse du roi Philippe V (petitfils de Louis XIV).
Et il y a encore Guy Vache et la famille Clapier, pas encore entrés dans l’Histoire; mais ne les oubliez pas: ils pourraient faire parler d’eux!...
Mais encore
• En 1536, les Bernois envahissent la Savoie sous prétexte de soutenir Genève en train d’adopter la Réforme; ils annexent le pays de Vaud; puis détruisant Gex au passage et tout en contournant Genève, avancent jusqu’à Bonneville et Thonon.
• L’Escalade ne fut pas seulement une affaire de marmite et de pétardier; elle fut de dimension internationale, l’Espagne, le pape étant au courant et soutenant le projet: faire tomber un bastion du protestantisme… L’assaut contre Genève a échoué et le duc de Savoie a battu en retraite sans insister, l’effet de surprise, surtout face à la France, étant manqué. Par la suite, le roi de
Scène de l’escalade, tirée du récit «Escalade» d’Albert-E. Roussy, illustré par Edouard Elzingre, 1952, (AEG, 86/in-folio C/8 )
France Henri IV a conclu un traité avec Genève, s’engageant à protéger la ville si nécessaire (traité de St-Julien, 1603). «Savoyards, gare!... gare!...»
• François de Sales a été quelques temps curé de Corsier.
• Jean-Jacques Rousseau a séjourné en Savoie, près de Chambéry.
• Sous Napoléon Ier, Genève est le chef-lieu d’un département français (dit du Léman) comprenant le pays de Gex, le Chablais et le Faucigny.
• Certaines communes genevoises, sur la rive gauche du Rhône, sont dénommées «Communes Réunies». C’était des territoires savoyards (sardes) qui sont devenus suisses en 1815, au moment où Genève est entré dans la Confédération. Avant cette date, le territoire genevois était constitué de quelques confettis (Chancy, Jussy, Vandoeurvres…), éparpillés ça et là, auxquels on a ajouté d’autres confettis (Carouge, Chêne-Bourg, Choulex, Corsier…) pour constituer un ensemble d’un seul tenant: le canton de Genève.
Les départements de Savoie et Haute-Savoie et leurs territoires, aujourd’hui
• Napoléon III, passant par la Savoie après le rattachement du pays à la France et un
plébiscite approuvant cette action à une écrasante majorité (mais certains ont dit, et disent encore que les résultats du vote ont été falsifiés…? ...), a lancé, peut-être sans le vouloir, une mode qui est devenue l’une des ressources essentielles de la région: le tourisme, dont le point de départ a été Chamonix.