Littérature et polars
Grand format

TOUS LES VISUELS PRESENTÉS DANS CE DOCUMENT SONT PROVISOIRES & PEUVENT NE
PAS REFLÉTER LA FINALITÉ DES PROJETS ÉDITORIAUX
Les visuels qui n’apparaissent pas sont toujours en cours de développement

AKI SHIMAZAKI Ajisaï
Roman
Avec Ajisaï, Aki Shimazaki entame un nouveau cycle romanesque tout en sensualité et en mélancolie.
Lorsque Shôta, étudiant en littérature qui aspire à une vie d’écriture, apprend que sa famille se heurte à des difficultés financières, il doit se résoudre à trouver un emploi. Face à l’incertitude d’une carrière universitaire, il tient bon et commence à enseigner dans une institution privée. Se présente alors à lui la chance inespérée d’occuper une dépendance de la maison de campagne d’un couple marié, contre de menus services. C’est là qu’il rencontre Madame Oda, la propriétaire, une professeure de piano d’une beauté qui le bouleverse au premier regard – une rencontre digne des plus beaux romans d’amour.
C’est quand on la compare à nos contemporains qu’on se rend compte de son talent : on ne croise pas tous les jours un écrivain aussi délicat. Il est temps de découvrir ce cas unique de la littérature francophone.
Louis-Henri de la Rochefoucauld, L’Express
Chaque année, Aki Shimazaki nous aimante à ses livres si fins, par leur petit nombre de pages comme leur extrême acuité. […] Son art d’inscrire la brusquerie des émotions dans le feutré des phrases. Il serait étonnant qu’elle ne concocte pas de cinquième cycle romanesque… Alors patience… espoir.
Marine Landrot, Télérama
LE PHÉNOMÈNE SHIMAZAKI
NOUS REVIENT AVEC UN TOUT NOUVEAU CYCLE ROMANESQUE
POINTS FORTS
u Une histoire d’amour bouleversante, nimbée d’une grande sensualité où un jeune homme découvre la passion, jusqu’alors inexistante dans sa vie.
u Un texte empreint de tristesse et de mélancolie, bercé par de grands morceaux de musique, dans une atmosphère hors du temps peuplée de fantômes.
u Devenue incontournable en vingt romans, Aki Shimazaki est cet écrivain d’une discrétion médiatique rare qui a pourtant su conquérir le cœur de millions de lecteurs à travers le monde.
ACTUALITÉS
u Parution simultanée de No-no-yuri en Babel.
u Cette nouvelle parution sera accompagnée d’un important dispositif marketing.
QUELQUES CHIFFRES
u Cycle Le Poids des secrets : 650 000 ex. (AS + Babel)
u Cycle Au cœur du Yamato : 280 000 ex.(AS + Babel)
u Cycle L’Ombre du chardon : 230 000 ex. (AS + Babel)
u Cycle Une clochette sans battant : 130 000 ex. en édition courante
L’AUTRICE
Née au Japon, Aki Shimazaki vit à Montréal depuis 1991. Dès sa première pentalogie, Le Poids des secrets, comprenant les romans Tsubaki (prix Hervé Foulon-Un livre à relire 2021), Hamaguri (prix Ringuet), Tsubame, Wasurenagusa (prix Canada-Japon) et Hotaru (prix littéraire du Gouverneur général du Canada), elle compose une œuvre importante et singulière, publiée par Actes Sud. On y retrouve également Au cœur du Yamato, L’Ombre du chardon et Une clochette sans battant – qui comporte Suzuran (2020, prix Canada-Japon), Sémi (2021), No-no-yuri (2022), Niré (2023) et Urushi (2024). Ajisaï entame un nouveau cycle romanesque.

mai 2025 - AKI SHIMAZAKI
Aki Shimazaki demeure discrète mais nous pouvons compter sur la fidélité des journalistes, de plus en plus nombreux, qui la suivent + premier volet d’une nouvelle pentalogie qui attisera certainement leur curiosité.
COMMUNICATION NUMÉRIQUE
• Posts sur les réseaux sociaux - inclus dans une opération sur le thème du Japon.
• Mise en avant dans la newsletter grand public.
• Campagne de sponsoring sur Méta.
• Opération Japon avec Babelio.
COMMUNICATION PRESSE, TV & RADIO
INSERTION PUBLICITAIRE




Quotidiens : Le Monde des livres – Le Figaro littéraire – Libération – La Croix…
Hebdos : Le Nouvel Obs – L’Express – Télérama – Télé Z – Le Parisien week-end…
Presse féminine : Elle – Madame Figaro – Marie Claire – Psychologies – Biba – Notre temps – Femme actuelle –
Version Femina – Avantages – Fémitude – Modes & Travaux – Marie France – Mieux pour moi – Simple Things…
Mensuels culture : Lire Magazine – LH Le Magazine – Transfuge – Le Français dans le monde
PQR : Ouest France – DNA – Le Dauphiné libéré – La Charente libre – La Voix du Nord – Centre Presse – La Marseillaise…
Presse belge et suisse : Le Soir – La Libre Belgique – Le Temps – Focus vif – Flair – Le Quotidien…
Radios : France Bleu (des chroniques) – RCF (chroniques) – France Info TV – Europe 1…
Presse communautaire Asie : AsieExpo – Le Journal du Japon – Koï – Zoom Japon

Trade marketing
Un blad de 6 pages offert, une invitation à explorer les différents cycles romanesques d’Aki Shimazaki.
Brochure des cycles Shimazaki - 2025




Office : 07/05/2025
9782330207984

Cette brochure recto verso présente les quatre cycles déjà existants :
- Le Poids des secrets
- Au cœur du Yamato
- L’Ombre du chardon
- Une clochette sans battant
Et celui à venir, inauguré par Ajisaï
>Tous les livres écrits par Aki Shimazaki.
Au recto : une présentation par page de chaque cycle.
Au verso : la couverture utilisée pour chaque coffret.
Elle pourra s’utiliser comme telle, pour donner à vos clients, mais également pour affichage ou à poser en vitrine.

MYRIAM WATTHEE-DELMOTTE
Indemne
Où va Moby-Dick ?
Récit
Suivre, de mains en mains, le trajet imprévisible d’un roman légendaire.
Un livre circule de 1851 à nos jours, de New York à la Belgique en passant par la France et Saint-Pétersbourg. Comme Aladin dans sa lampe merveilleuse, le narrateur du roman suit l’odyssée de son ouvrage qui passe de mains en mains (parmi lesquelles celles de Melville, Giono, Christophe Chabouté, Michel Wittock, Yannick Haenel, etc.). Il est vendu, offert, perdu, trouvé, volé, caché, prêté, enseigné, traduit, illustré, oublié ou mis au rebut ; parfois aussi, il sert de talisman ou de reliquaire. Il traverse les époques et les vicissitudes du monde en observateur. Il côtoie aussi d’autres livres sur les rayonnages avec lesquels il entre en dialogue.
Ainsi donc, où va Moby-Dick ?
Dans un geste de fantaisie, mais non sans s’appuyer sur des faits réels, Myriam Watthee-Delmotte invente à l’exemplaire original de Moby-Dick des pérégrinations géographiques, temporelles – et mentales, en donnant voix à Ishmaël, le seul rescapé du naufrage du baleinier. Il sait qu’il n’est pas innocent, ni intact, mais indemne : il a échappé à la damnation. Témoin de la cruauté du destin, de la gangrène de la violence, de l’étouffement des consciences par la peur, il entrevoit ce qui permet de les surmonter, et qui l’a sauvé. Un récit captivant sur la place des livres dans nos vies et sur celle de Moby-Dick dans les chefs d’œuvre de la littérature mondiale.
À PROPOS DE DÉPASSER LA MORT
13,5 × 22,3 CM
320 PAGES
22 € ENV.
978-2-330-20680-2
L’essai (sur la mort) de Myriam Watthee-Delmotte nous propose d’en explorer les ombres et les lumières à travers la littérature, convaincue que celle-ci agit. Elle creuse les sens multiples d’une œuvre romanesque ou poétique, d’un témoignage allié à une fiction, pour nous permettre d’aborder la mort les yeux ouverts, ainsi que nous y invite Marguerite Yourcenar. Au départ de cette réflexion de longue haleine, très structurée et documentée, le suicide brutal d’un ami et la quête d’un langage pour supporter l’intolérable, de mots qui permettraient de surmonter l’absurde, sans accuser rien, ni personne.
Revue Études
POINTS FORTS
u 17 étapes du road movie imprévisible d’un livrenarrateur de sa propre épopée.
u 15 illustrations dont des dessins de Chabouté.
u Audace, passion, sensibilité et joyeuse érudition.
ACTUALITÉS
u Dépasser la mort. L’agir de la littérature : Prix triennal de la Communauté française de Belgique, 2023.
L’AUTEURE

Myriam Watthee-Delmotte est directrice de recherches du Fonds national de la Recherche Scientifique belge, professeure à l’Université catholique de Louvain où elle a fondé le Centre de Recherche sur l’Imaginaire, et Membre de l’Académie royale de Belgique. Elle a consacré de nombreux ouvrages et colloques à l’œuvre de Henry Bauchau, dont elle a créé le Fonds d’archives de Louvain-la-Neuve. Chez Actes Sud ont paru Henry Bauchau, sous l’éclat de la Sybille et Dépasser la mort. L’agir de la littérature.

VALÉRIAN GUILLAUME La Destination
Roman
Quand vient la haute saison, la vie hors champs des habitants d’une station balnéaire.
Une station balnéaire, le temps d’un été. La narratrice, adolescente, ne vit plus avec sa mère (qui ne sort plus de chez elle – obsédée par la chasse aux poussières), mais avec Gigi, qu’elle aide dans sa boutique de souvenirs. “Ici, dès le plus jeune âge, on nous fait répéter la musique des commerçants qui vous souhaitent dans un sourire la belle journée en vous remerciant. Alors quand Gigi me laisse aller derrière la caisse, je sais très bien mon rôle. Il suffit de faire le grand sourire et la voix aiguë qui chante. Plus c’est niais, plus ça plaît. Et hop la petite pièce dans la tirelire-bateau ! Mais ça quand même ce n’est pas souvent car plus ils en ont, moins ils en donnent.”
Les touristes, Cindy Paréo, Fonfon et sa bande… font partie du quotidien de l’adolescente.
Un jour, alors qu’elle accompagne Gigi dans la maison de vacances de Madame (dont elle s’occupe quand celle-ci est absente), la narratrice va appuyer sur les touches d’un piano. Révélation : “Tous les mots de ma tête se sont mis à sortir de ma bouche. Je suis devenue hors mesure.” Un état que la jeune fille, comme libérée, va chercher à retrouver en s’introduisant à nouveau, seule, chez Madame.
À travers ce deuxième roman, Valérian Guillaume poursuit son exploration de nos sociétés de consommation, dans une langue particulièrement vivante, mouvante, enthousiasmante. Sur les talons de ses personnages, toujours un peu en décalage, il sonde notre rapport au monde – avec une poésie très personnelle et percutante.
POINTS FORTS
u Un jeune auteur reconnu (et récompensé) pour son travail au théâtre.
u Une voix poétique et singulière.
u Des thématiques actuelles.
ACTUALITÉS
u En résidence au Théâtre National de la Colline jusqu’en juillet 2025, où il présentera en mai-juin la forme itinérante de QUI C’EST CELUI-LÀ – monologue sur les rails.
u Valérian Guillaume est artiste associé au Théâtre de la Cité Internationale à Paris.
TTT - On ne connaissait pas Valérian Guillaume. Ce jeune auteur qui a fondé sa compagnie de théâtre en 2019, qui écrit des spectacles de marionnettes, tout en étant scénariste de bande dessinée, a du talent. Il faut le suivre.
Emmanuelle Bouchez, Télérama (sur l’adaptation scénique de Nul si découvert)
L’AUTEUR
Auteur, metteur en scène et comédien, Valérian Guillaume dirige depuis 2019 la compagnie Désirades, avec laquelle il a notamment créé Capharnaüm – poème théâtral et Richard dans les étoiles, pièce lauréate Artcena et prix Célest’1.
Il a également signé des pièces comme Peplum médiéval pour Olivier Martin-Salvan, écrit pour l’opéra et la bande dessinée (L’Ombre des pins, avec Cécile Dupuis, Rivages – Virages graphiques, 2023). En 2020, il publie son premier roman, Nul si découvert (L’Olivier) qu’il a adapté pour la scène. Il vit à Paris.
“J’ai rencontré L. dans le cadre d’un atelier d’écriture. Dès la première séance, L. m’a dit qu’elle ne voudrait pas écrire. Pourtant, elle n’a pas manqué une seule séance. Chaque semaine, elle venait assister à l’émergence des écrits et des dessins des autres participants. Elle n’a jamais tracé le moindre signe sur sa feuille. Un jour, je lui ai donc demandé ce qui la poussait à venir. Elle m’a répondu qu’elle voulait que quelqu’un écrive son histoire. D’abord amusé, j’ai cru à une plaisanterie que l’on dit comme ça. Mais L. insistait, si bien qu’un jour, je l’ai écoutée. J’ai été saisi. L. a environ mon âge. Elle a beaucoup bougé de sorte que son visage est marqué par tous les chemins qu’elle a arpentés. Elle dit qu’elle ne trouve pas sa place, qu’elle est inadaptée et qu’elle ne rentrera jamais dans les cases d’un formulaire. L. m’a retracé ses voyages, ses détours et ses bifurcations. Il s’est trouvé que nous venions du même endroit. Comme moi, elle avait grandi dans cette ville de bord de mer dont la population est multipliée par dix de juin à septembre. Au fur et à mesure de nos rencontres, L. m’a raconté son adolescence tumultueuse avec une famille absente et les excès qui furent les siens. Peu à peu, elle m’a replongé dans ces souvenirs de jeunesse et cet imaginaire estival. L. m’a raconté ses incursions répétées à l’intérieur des
VALÉRIAN GUILLAUME La Destination
maisons secondaires nichées dans ce paysage maritime. Elle m’a parlé de cette passion pour ces intrusions qui développait son goût du risque et de l’adrénaline. Ce fut l’étincelle qui m’a alors offert le socle pour rêver la trame de ce récit. Ces conversations m’ont aussi et surtout donné le désir de travailler la voix de l’adolescence. Cette période de l’existence est un moment où les adultes savent, choisissent et décident pour nous. Le chemin vers l’identité est semé de doutes et de révoltes. Je voulais aussi aborder la question de l’accès à l’expression artistique chez les plus jeunes dans les milieux sociaux défavorisés. Je suis toujours très impressionné par les parcours de vie traversés tout à coup par une vocation. Je me suis inspiré de personnes rencontrées qui se sont émancipées de leur situation ou contexte familial par un appel puissant, une passion qui les tendent vers un destin qu’ils ou elles n’auraient pas eu sans cette impérieuse nécessité de suivre cette voix du dedans. Soudain, quelqu’un se lève et se dit : « C’est ça que je veux faire. » J’avais envie d’écrire ce moment de vertiges et d’évidence où une passion éclot et transforme pour toujours notre existence, notre être au monde et notre regard.”
Valérian Guillaume
note de l’auteur

JOËL JOUANNEAU
Couper cabèche
Dans une forme narrative proche de celle du roman, Joël Jouanneau écrit sur un auteur en train d’écrire. Plus exactement, Ambroise cherche à écrire et se lance dans de multiples tentatives, qui ont bien du mal à aboutir et, surtout, à convaincre son éditeur, Antoine Saumur. Ce récit dévié met en lumière les paradoxes de la relation auteur-éditeur.
D’une part, Antoine se révèle moteur de l’écriture d’Ambroise. Il l’encourage dans la voie de la création, et le pousse, par exemple, à développer son hypothèse sur l’entremêlement du a et du e.
Ainsi, apparaît la beauté d’une relation fondée sur la confiance. D’autre part, l’éditeur d’Ambroise représente le principal traître de son œuvre : souvent Saumur ne le comprend pas, travestit ses écrits en lui soumettant des corrections erronées et contradictoires. Il devient alors, insidieusement, l’ennemi de l’auteur, rejetant sa création et lui refusant le droit de s’exprimer.
En creux, Joël Jouanneau esquisse les failles du système éditorial français : l’asservissement des auteurs induit par le système capitaliste actuel, la marchandisation des œuvres de l’esprit, la surproduction qui nivelle par le bas les publications et empêche de porter une attention suffisante à chaque titre publié.

EXTRAIT
“J’ai ma part de responsabilité oui j’en conviens dans ce qui m’arrive, livrant régulièrement dès l’hiver le manuscrit nourri et gonflé aux hormones devant aboutir au bon gros roman de 226 pages de la sacro-sainte rentrée dont l’argument doit et c’est impératif tenir en trois lignes, après quoi il vous faut multiplier les embardées romanesques et les échauffourées nocturnes sans lesquelles le lecteur s’assoupit avant l’heure, oui vous le savez j’ai fait cela, sans conteste six livres en attestent, et je l’ai fait le plus souvent avec une joie canaille.”
POINTS FORTS
› Un récit sur la relation entre un auteur et son éditeur.
› Une occasion de (re)découvrir la plume poétique et onirique de l’auteur.
ACTUALITÉ
› Lecture de Couper cabèche le 5 juin à la librairie À la ligne (Lorient) et le 7 juin 2025, au CDN de Lorient, dans le cadre d’une carte blanche attribuée à Joël Jouanneau, intitulée “Derniers rails”.
QUELQUES CHIFFRES
› Couper cabèche est le vingt-quatrième texte de Joël Jouanneau publié par Actes Sud.
› Mamie Ouate en Papoâsie (“Heyoka jeunesse”) s’est vendu à 30 000 exemplaires.
› Couper cabèche est le quatorzième titre de la collection “Au singulier”.
L’AUTEUR
Auteur et metteur en scène prolifique dans les années 1985-2010, Joël Jouanneau a fondé sa compagnie L’Eldorado en 1984. Il s’est très tôt tourné vers l’enseignement et la transmission aux côtés des amateurs et des plus jeunes. Artiste associé, puis codirecteur du théâtre de Sartrouville de 1990 à 2003, il participe au collectif pédagogique de l’école du Théâtre national de Strasbourg, de 1992 à 2000. Toute son œuvre est publiée par Actes Sud-Papiers.


Alice Ferney La conversation amoureuse
(Collector)
À travers le bruissement d’une conversation amoureuse qui les résume toutes, Alice Ferney livre un homme et une femme à la magie des mots, à leur adultère séduction et au dangereux bonheur du secret qu’ils s’inventent.
LA PLV


VERSION COLLECTOR (EDITION RELIÉE, JASPAGE QUADRI, GARDE QUADRI, PAPIER MUNKEN PRINT WHITE) A L’OCCASION DE L’OPÉRATION “ LIRE ET
RELIRE ALICE FERNEY“.
Stefania ROUSSELLE

AMOUR
REMISE EN VENTE
La journaliste et réalisatrice Stefania Rousselle ne croyait plus en l’amour. Elle avait couvert une série d’événements tragiques, des attaques terroristes de novembre 2015 à la montée de l’extrême droite. Sa relation personnelle s’était effondrée. Sa foi en l’humanité était ébranlée. Elle décida alors de partir seule sur les routes de France pour dormir chez des inconnus et leur poser la question à laquelle tout le monde cherche une réponse : c’est quoi l’amour ?
D’un boulanger en Normandie à un berger dans les Pyrénées, d’un élagueur en Martinique à une factrice dans les Alpes, “Amour” est un recueil de témoignages poignants et profonds, accompagnés de belles photographies (une centaine).
L’AUTEUR
Formée à l’École de journalisme de Berkeley, Stefania Rousselle est une journaliste et réalisatrice indépendante installée à Paris. Franco-Américaine, elle a collaboré pendant huit ans avec le New York Times. Elle a réalisé en Europe et aux États-Unis plus d’une centaine de sujets et y a couvert, entre autres, le terrorisme, la crise de la dette européenne, la montée des extrémismes, le trafic humain et l’immigration. Son travail lui a valu une nomination au Pulitzer pour l’enquête effectuée avec ses confrères sur l’État islamique et un Webby Award pour son documentaire sur l’esclavage sexuel des femmes en Espagne.
Sylvain PattieuSIRÈNE RHAPSODIE

Couverture provisoire
100 p / 140 x 205 mm
10 euros ttc
ISBN 978-2-38669-024-2
À partir d’une statuette représentant Sedna, la déesse inuit de la mer à l’origine de la création des animaux marins, Sylvain Pattieu revient sur la trajectoire d’un certain nombre d’Inuits, les contraintes qui leur ont été imposées, la domination subie au fil des siècles, la manière dont les objets qu’ils ont produit ont circulé et se sont trouvés réappropriés en Occident, mais aussi comment une nouvelle génération d’artistes a émergé, parvenant à se faire connaître dans le monde entier. En parallèle, filant le motif de la sirène, il imagine un conflit entre groupes rivaux d’une banlieue, les favorisés et les défavorisés, le tout sous la surveillance d’un drone symbolisant un pouvoir de contrôle omniscient. Les résistants sont avant tout des résistantes, notamment une mystérieuse jeune fille particulièrement à l’aise dans l’eau, grâce à qui ils vont trouver leur salut. Entre ces deux récits alternés, Sylvain Pattieu glisse des

souvenirs de sa relation à sa mère, qui avait perdu l’usage de ses jambes à la fin de sa vie suite à une infection, la comparant d’une certaine manière à une sirène, limitée dans sa mobilité mais ayant développé nombre d’autres sensibilités. Il est ainsi question de rendre justice à des trajectoires effacées, à différents niveaux. Les trois récits sont mêlés avec une grande fluidité, la mythologie traversant le tout, interrogeant notre rapport à l’histoire, à la culture, à la transmission, avec une langue extrêmement vive, précise et inventive, beaucoup d’empathie mais aussi énormément d’humour, Sylvain Pattieu maniant parfaitement le second degré et s’emparant par moments d’une oralité très contemporaine pour donner vie à une mythologie du présent.
L’AUTEUR
Sylvain Pattieu est maître de conférences en histoire à l’université Paris 8. Il a écrit des récits littéraires et un essai (Panthères et pirates, La Découverte, 2022), une trilogie à l’École des loisirs dont le premier tome, Amour chrome, a reçu le prix Vendredi, ainsi que quatre romans aux éditions du Rouergue, parmi lesquels Et que celui qui a soif vienne (2016) et Forêt furieuse (2019). Son dernier roman, Une vie qui se cabre, est paru en 2024 aux éditions Flammarion.

• Un nouveau texte de la collection « récits d’objets », par l’auteur de Forêt furieuse et Une vie qui se cabre, inspiré par la statuette d’une déesse inuit.
• Un texte documenté, sensible et drôle, qui met en lumière des trajectoires quelque peu invisibillisées pour les réhabiliter et réenchanter un monde dominé par la technologie et le contrôle permanent.
• À travers la trajectoire des Inuits mais aussi de femmes fortes, ce texte revisite les mythologies dominantes pour en proposer une nouvelle, emprunte de sensibilité et d’inventivité.

Visuel provisoire
PHILIPPE GERIN
Jamais le ciel ni les rivages (titre provisoire)
roman
Quatre personnages aux prises avec leurs drames intimes dans un monde bousculé par le changement climatique et les tensions politiques.
Alors qu’une vague de froid sévit en Europe et que la guerre fait rage à ses frontières, Lazarus, un homme hanté par la mort de son fils, prend la fuite avec un enfant migrant. Lui qui a cru autrefois à l’avènement d’un monde meilleur, après la chute du Mur, se confronte aujourd’hui à ses désillusions, interroge ce que sa génération a légué à la suivante. Au terme d’une vie de renoncements, il se dirige vers une destination connue de lui seul, déterminé à conduire le jeune garçon auprès des siens.
DANS LA LIGNÉE DE LA MÉLANCOLIE DES BALEINES, UNE EXPLORATION INTIME DES ÉMOTIONS HUMAINES
POINTS FORTS
u Le retour attendu de l’auteur de La Mélancolie des baleines, coup de cœur de nombreux libraires en 2021.
u Des personnages profondément humains et touchants, en quête de rédemption et de résilience.
u Un roman poignant et universel sur le deuil, les blessures de l’exil et les liens fragiles entre les êtres.
u Une écofiction poétique et contemplative pétrie d’humanité.
14 × 22 CM
236 PAGES
21,50 € ENV.
978-2-330-20645-1
À PROPOS DE LA MÉLANCOLIE DES BALEINES
Il y a fort longtemps que je n’avais lu un roman d’une telle ampleur […] Philippe Gerin vient, avec le talent d’un authentique écrivain, de réussir un tour de force. On voit à l’œuvre, dans une lointaine et magnifique contrée, la culture du cœur.
Jean Bothorel, Le Télégramme
Philippe Gerin nous conte une fable lumineuse aux cœurs de paysages majestueux. Ses personnages émouvants délivrent, avec poésie, un message d’espoir et nous invitent à apprécier la beauté du monde.
Page des Libraires, Lydie Baillie, Librairie aux Lettres de Mon Moulin, Nîmes
QUELQUES CHIFFRES
u La Mélancolie des baleines : 13 000 ex. (Gaïa, 2021 + Babel, 2023)
L’AUTEUR
Né en 1970 à Saint-Étienne, Philippe Gerin a vécu et voyagé autour du monde, au Canada, en Sibérie, au bord de la Baltique, en Scandinavie, en Malaisie… Chez Gaïa, il est l’auteur de deux précédents romans : Les Voyages de Cosme K (2019) et La Mélancolie des baleines (2021).

Une vague de froid sans précédent frappe l’Europe en avril, forçant les habitants à se cloîtrer chez eux, et les exilés, chassés par la guerre aux frontières orientales, à trouver des abris de fortune.
Malgré les aléas climatiques, Lazarus, un homme d’une cinquantaine d’années, s’engage sur des routes inconnues, accompagné d’un enfant mutique qui lui a été confié. Hanté par le souvenir de Saul, son fils disparu, il semble fuir quelque chose, avoir une destination en tête. Mais avant, il doit se rendre à Berlin, retrouver Annette, un amour de jeunesse, avec qui il a rêvé autrefois d’un monde meilleur après la chute du Mur.
Au même moment en France, dans la ville de M., Anthony, commissaire de police, enquête dans la cité de son enfance sur le meurtre d’une migrante et la disparition de son petit frère. Sur les enregistrements des caméras de surveillance, il voit ressurgir un homme qu’il a connu dans sa jeunesse : Lazarus. Ce dernier semble prendre la fuite, portant un enfant dans ses bras.
PHILIPPE GERIN
Jamais le ciel ni les rivages
Aux confins de l’Europe, Nour, une jeune femme, travaille comme volontaire dans un centre d’accueil et de protection des mineures exilées. Cela fait deux ans qu’elle a quitté les siens, depuis la mort violente de son frère, Saul. Quand elle reçoit un appel de la police française, elle est sidérée : son père, avec qui elle n’a plus de contact, est recherché comme témoin dans une affaire criminelle.
Dans un futur proche, Philippe Gerin entrelace les destins de quatre personnages aux prises avec leurs drames intimes au sein d’un monde bousculé par le dérèglement climatique et les tensions politiques. Dans un style onirique, il signe un roman touchant sur le deuil, les liens du sang et du cœur, et ausculte les illusions perdues d’une génération.

En librairie le 7 mai 2025
14 x 20,5 - 224 pages - 20 €
ISBN : 978-2-8126-2717-0
rayon / Littérature francophone mots clés / premier amour - plage - été - GHB boulot d’été - jeunesse - amour - romantisme
La fabrique des timidités
Christophe Perruchas
L’apprentissage de la vie par un jeune homme que dévore le secret d’un amour platonique.
Christophe Perruchas
Christophe Perruchas est né en 1972 à Nantes. Directeur de création, il travaille dans le domaine de la publicité. Chez le même éditeur, il a publié Sept gingembres (2020) et Revenir fils (2021).
Entre les branches, parfois, se dessinent quelques centimètres de vide, un espace irréductible. On appelle cela la timidité des arbres : ils ne se touchent pas, jamais.
Christophe aime Anne, Anne aime Christophe. Mais eux aussi semblent séparés par une frontière invisible.
Ce roman retrace les étés de Christophe sur les plages de la côte atlantique entre 1990 et 1994. Il y bosse dur, vendeur de chouchous sous les ordres d’un patron roublard. Il y grandit aussi, loin de ses parents, avec d’autres jeunes qui comme lui entrent dans l’âge adulte.
Loin d’Anne, surtout.
Portrait d’un jeune homme romantique, le troisième roman de Christophe Perruchas explore avec délicatesse les marges obscures des sentiments et des désirs. En cinq étés, un garçon amorce sa vie d’homme dans l’ardente solitude d’un amour impossible. C’est l’histoire d’une métamorphose et d’une disparition. Des mots d’amour échangés à dix-sept ans, et l’empreinte qu’ils laissent, pour toujours.
• Un roman pour prolonger l’été et la plage : l’histoire d’un premier amour, le décor de la station balnéaire de Saint-Jeande-Monts, l’odeur des chouchous, des souvenirs de vacances…
• L’amour courtois transposé dans les années 1990 sur cinq étés.
• Après deux romans remarqués par la critique, Christophe Perruchas se tourne vers l’autofiction avec ce texte où l’on retrouve son écriture singulière, au phrasé syncopé.
Mère indifférente, fils perdu

Pays : FR
Date : 29 octobre 2021
Périodicité : Hebdomadaire
Page de l'article : p.5
Journaliste : VIRGINIE FRANÇOIS
perdu
roman désespéré d’amour maternel
années, comme dans une version psychotique et sale des Choses, de Georges Perec (Julliard, 1965): cahiers, des chaussures
d’homme comme de femme, dé pareillées et vieillies, cuites et

«
Revenir fils », de Christophe Perruchas, est le roman désespéré d'un enfant négligé et de son immense besoin d’amour maternel
Date : 29 octobre
Page de l'article
VIRGINIE FRANÇOIS
Drait déjà de manière clinique une folie pourtant ardente et fu
rieuse. Celle d'un publicitaire pa risien en pleine crise d’hubris. Si, pour le deuxième, il change de cadre - la petite classe moyenne
de province -, la folie est toujours là. Revenir fils est le roman de deux vides impossibles à com
bler, de deux décompositions. Dans un quartier pavillonnaire de Nantes, un adolescent, dont le père vient de mourir, vit seul avec sa mère, atteinte du syn drome de Diogène - qui consiste à conserver et à accumuler objets et ordures - depuis la perte d'un
premier fils, mort bébé. Un trau matisme que le décès de son époux réactive, explosant dans un épisode décompensatoire au terme duquel la mère ne recon naît plus son second fils.

recueilli chez un oncle. Croisant la voix du fils - « je » vacillant qui essaye malgré tout de se main tenir - et celle de la mère - « on » indifférencié et désespéré -, l’auteur trace, dans un style vo lontairement plat et sans psycho logisation, le double portrait d’un adolescent paumé qui s’étourdit dans les flirts, l'alcool ou le has chisch, et d'une femme soumise, résignée, qui n'a jamais été le su jetde sa propre vie.

Un homme de papier
psychotique et sale des Choses, de Georges Perec (Julliard, 1965):
d’homme comme de femme, dé pareillées et vieillies, cuites et déformées, le cuir comme déshy draté, momies de chaussures, des sacs de supermarché, cumulonim puis 2007, restituées au plus près de leur contexte, de leur quoti
Journaliste : VIRGINIE

j’avais à présentcontre moi. » Saisi et insalubre.

une souffrance aussi profonde que muette face à l’obsession de la mère pour l’enfant défunt, sombre un peu plus avant d’être

Mère indifférente, fils perdu
Cure, Taxi Girl, les mobylettes 103, les magnétoscopes, l’Antésite, pour la première ; les Citroën Pi casso, le porno chic, la crise finan ce roman intense et noir explore, de l’aube, de Romain Gary (Galli mard, 1960), la demande im mense, jamais satisfaite, de re toxiques. Ici, cependant, nul es poir d'une acceptation ou d’une tendresse tardives, mais un mal dire et une inéluctable destruc tion réciproque.
« Revenir fils », de Christophe Perruchas, est le roman désespéré d'un enfant négligé et de son immense besoin d’amour maternel
livrer à de longues et foisonnan tes descriptions de la multitude d’objets accumulés au fil des



: REVENIR FILS, i de Christophe Perruchas, : Rouergue, 288 p., 20 €, : numérique 15 c.

NOUVELLE ÉDITION
En librairie le 7 mai 2025
13,5 x 21,5 - 336 pages - 15 €
ISBN : 978-2-8126-2716-3
rayon / Littérature francophone mots clés / aveyron - ferme - agricultrice ruralité - émancipation - mère célibataire
La fille de La Ramière
Daniel Crozes
Le récit d’un combat, celui d’une femme libre, moderne et dynamique qui, pendant trente années, va lutter pour s’imposer dans un monde rural exclusivement masculin.
En juin 1968, Pascale Cazes – 19 ans, étudiante en espagnol à Toulouse – décide d’arrêter ses études et de reprendre la ferme de ses parents après la mort accidentelle de son père. Elle doit vaincre les réticences de sa famille parce qu’elle est femme et que la ferme est petite, située aux confins de l’Aveyron et du Tarn. Pascale est une battante : elle arrive à s’imposer même si les débuts sont difficiles, sans homme à la maison. Moderne et dynamique, elle milite au CNJA pour la cause des femmes de la terre et se lance dans le camping à la ferme. Elle tombe amoureuse d’un prof parisien, Nicolas, qui vient s’installer à La Ramière, chez elle, mais ne parvient à s’adapter à la vie rurale. C’est la rupture.
Peu après, Pascale se découvre enceinte. Elle décide de ne rien dire à Nicolas et d’élever seule leur fils, Xavier. Commencent des années de lutte, pour son fils, pour la survie de sa ferme, pour imposer son droit au bonheur…
Crozes
Historien et romancier, Daniel Crozes est l’auteur de près de soixante ouvrages publiés aux Éditions du Rouergue. Profondément attaché à son Aveyron natal, il s’en est fait le chroniqueur et le conteur. En 2024 a paru La femme du diable.
• Réédition à prix modéré de l’un des grands succès de Daniel Crozes, dont la dernière édition remonte à 2010.
• Un format plus compact et une nouvelle couverture davantage orientée sur le lien à la nature.
• Un sujet précurseur et plus actuel que jamais : la place des femmes dans l’agriculture, qui fait également penser au roman de Delphine Laurent, Naisseur (Albin Michel, 2023). points forts littérature l’estive


Murielle Magellan ÉLOGE DU TENNIS
La raquette et la plume.
LE LIVRE
Réservé jadis à l’aristocratie, le tennis est aujourd’hui l’un des sports les plus populaires, mais connaît-on tous ses secrets ? Réalisatrice, écrivaine et sportive de haut niveau, Murielle Magellan nous emmène sur le court pour explorer les différents styles de jeux, mais aussi, en coulisses, tout ce qui fait la saveur unique d’un match, du goût de la compétition au pur plaisir du jeu. En rendant hommage aux grands champions de la raquette, de Federer à Mauresmo, cet éloge illustre avec
L’AUTRICE
14 mai 2025
12 × 19,5 cm
140 pages 16,00 €
ISBN :

brio l’impact que le tennis a eu sur nos sociétés, contribuant à la visibilité des femmes et des minorités, façonnant les normes corporelles, les styles et les modes, définissant les critères de l’élégance et du succès. Par sa place singulière dans l’histoire, le cinéma et l’art, ce sport a intégré les narrations qui façonnent nos visions du monde. Tel un véritable répertoire de mythologies contemporaines, le tennis dévoile alors son essence : plus qu’un sport, une manière d’être.
POINTS FORTS
• Un récit littéraire sur le tennis qui explore l’histoire et mythologies de ce sport, son impact au cinéma et dans l’art.
• Un hommage vibrant aux grandes légendes du tennis, de toutes nationalités.
• Une analyse des enjeux sociaux se jouant sur le court de tennis : l’attrait de la compétition, le rôle des coachs, l’identité féminine et lesbienne…
• Le regard d’une sportive passionnée, joueuse de parties classées en tournoi, qui écrit autant qu’elle frappe des balles de match.
• Une autrice romancière, dramaturge, réalisatrice et metteuse en scène.
• Dans la lignée de Haruki Murakami et de son Autoportrait de l’auteur en coureur de fond, un éloge construit comme un tournoi, explorant l’analogie entre écriture et pratique du tennis.
ACTUALITÉ
Murielle Magellan, réalisatrice, scénariste, dramaturge, romancière, est aussi une grande joueuse de tennis. Elle a réalisé les films Moi, grosse (2019) et La Page blanche (2022). Parmi ses romans, Le Lendemain, Gabrielle (2007), Un refrain sur les murs (2011, Prix Gaël Magazine, Prix Horizon du deuxième roman), N’oublie pas les oiseaux (2014), Les Indociles (2016), Changer le sens des rivières (2019) ou encore La fantaisie (2024).
• Parution pour Roland Garros.
Littérature française

REV sur stock
Grégory Le Floch
ÉLOGE DE LA PLAGE
Porté par une plume alerte, un éloge original et profond, inspiré de lectures choisies, sur ce lieu unique qu’est la plage.
LE LIVRE
Voici une lecture inspirée, nourrie de références littéraires, picturales et cinématographiques (Eugène Boudin, Rohmer, Nanni Moretti, etc.), de ce lieu unique entre tous qu’est la plage. Attaché à lui par sa propre pratique d’écriture (il n’écrit que sur la plage), baigné comme Proust dans la réminiscence de ses berges et de ses embruns, Grégory Le Floch interroge l’imaginaire collectif qui a peu à peu transformé en
L’AUTEUR
Occident l’image de cet espace de confins au départ inhospitalier, lié à l’errance marine et aux naufrages, en simulacre moderne de paradis offert à tous. Mais loin de se contenter d’un simple tableau historique, l’auteur dessine au gré de sa fantaisie les contours d’un paysage mouvant, menacé aujourd’hui de disparition par les aléas climatiques.
POINTS FORTS
• Un auteur dont le dernier roman De parcourir le monde et d’y rôder a obtenu les Prix Décembre, Wepler, de la Découverte Transfuge, ainsi que du Récit de l’Ailleurs de Saint-Pierre-et-Miquelon.
• La singularité de la démarche est séduisante : l’auteur avoue ne pouvoir trouver l’inspiration pour écrire ses romans que sur une plage. À partir de là, il déploie de manière intime son rapport original à ce lieu unique, en marge des convenances sociales.
• Un texte riche en questionnements, nourri de nombreuses références culturelles, empruntées aussi bien à la littérature, à la peinture, au cinéma.
• Une réflexion forte sur l’imaginaire collectif de la plage, sur l’évolution de sa perception au fil des siècles.
• Un livre engagé qui évoque les menaces écologiques qui pèsent sur cet espace aujourd’hui menacé par les changements climatiques.
14 mai 2025
12 × 19,5 cm 240 pages 19,00 €
ISBN :

Grégory Le Floch est né en 1986. Il est l’auteur de trois romans (Dans la forêt du hameau de Hardt, éditions de l’Ogre, 2019, De parcourir le monde et d’y rôder, Christian Bourgois, 2020 et Gloria, gloria, Christian Bourgois, 2023) et de nouvelles.
• Le livre est parsemé d’évocations fines et subtiles des paysages de plage.
Littérature française

É lodie Llorca
RUE DAGUERRE
Un album de famille… dysfonctionnelle.
LE LIVRE
Sarah habite avec sa famille rue Daguerre, adresse pittoresque du XIVe arrondissement de Paris. Rien ne la satisfait plus : ni son travail de casteuse pour des jeux télévisés, ni sa relation avec Marin. Doutant même de ses sentiments maternels pour son fils Germain, elle rêve de tout plaquer. Le caractère maussade de Marin, loin de la bienveillance qu’il affichait quand il était son psychologue, n’arrange rien.
Et quand Justine, le premier amour de son
L’AUTRICE
mari, revient secrètement dans le quartier, la situation se précipite...
Avec un talent de conteuse, Élodie Llorca épingle les petits et grands mensonges qui se cachent derrière les idéaux et croque avec malice des personnages en pleine dérive. Entre comédie sentimentale et drame psychologique, ce roman addictif explore avec jubilation les failles au cœur du quotidien.
POINTS FORTS
• Entre comédie sentimentale, histoire familiale et drame psychologique, un roman qui entraîne le lecteur par sa construction et son suspense.
• Amour et adultère, famille et maternité : Élodie Llorca aborde des sujets universels avec un sens très fin de la psychologie, doublé d’une ironie communicative.
• Une analyse lucide sur les mille manières d’inventer des familles dysfonctionnelles, de rater son couple et de poursuivre les pires illusions, mais aussi de s’émanciper et de tout changer.
• Une réflexion subtile sur les arts du spectacle et la télévision. Une narration enjouée qui explore les frontières entre fiction et réalité, vérité et mensonge, faisant référence à Daguerre, l’inventeur de la photographie, et au cinéma (Agnès Varda).
• Un roman situé en grande partie rue Daguerre, une rue typique et charmante de la capitale, véritable tableau parisien, à l’image du Montmartre d’Amélie Poulain.
7 mai 2025
14 × 20,5 cm
216 pages 20 €
ISBN :


Élodie Llorca est scénariste et travaille pour des jeux télévisés. Elle a publié chez Rivages La correction (prix Stanislas, 2016), Grand bassin (2018) et Invasions domestiques (2022).
ACTUALITÉ
• Parution simultanée de La correction en poche.

SHION MIURA Chez Tada, travaux en tout genre
Roman traduit du japonais par Liza Thetiot
Les aventures comiques et touchantes d’un homme à tout faire et de son acolyte dans les rues de Tokyo. Un roman irrésistible.
Tada est homme à tout faire à deux pas de la gare de Mahoro, une grande ville de la banlieue sud de Tokyo. Lorsque Gyôten, un ancien camarade de classe du lycée, déboule dans sa vie, les deux hommes font équipe pour répondre avec diligence aux demandes qu’on leur adresse : garder un animal de compagnie, amener puis récupérer un enfant après ses cours, ranger un appentis… Autant de commandes tout à fait ordinaires qui, pourtant, conduisent immanquablement notre duo vers des situations plus douteuses les unes que les autres.
Grand-mère Soneda et ses prédictions, Lulu et Haishi, des femmes de la nuit qui travaillent derrière la gare, Yura, un écolier, ou encore le vieux Oka, qui guette les allées et venues du bus… Des personnages hauts en couleur font leur apparition à mesure que se déploie un récit à la fois drôlissime et attendrissant. Pas à pas, l’histoire de Tada et Gyôten se révèle, laissant le lecteur bouleversé par leur passé et leur attitude face à la vie. Un roman lauréat du prix Naoki, et le coup d’envoi d’une trilogie entre rire et larmes.
POINTS FORTS
u Entre Perfect Days et Les Mémoires d’un chat.
QUELQUES CHIFFRES
u La Grande Traversée : 10 000 ex. (Actes Sud, 2019 + Babel, 2023)
L’AUTEURE
Née à Tokyo en 1976, Shion Miura est l’auteure d’une vingtaine de romans et de recueils d’essais. Récompensé par le prix Naoki, Chez Tada est le roman qui l’a révélée au Japon.

mai 2025 - SHION MIURA - Chez Tada - Travaux en tout genre
COMMUNICATION NUMÉRIQUE
• Posts sur les réseaux sociaux - inclus dans une opération sur le thème du Japon.
• Opération Japon avec Babelio.
COMMUNICATION PRESSE, TV & RADIO
Hebdos : Le Nouvel Obs – Le Figaro littéraire
Mensuels culture : Lire Magazine – LH Le Magazine
Presse féminine : Madame Figaro – Fémitude – Femme actuelle
PQR : Sud Ouest – Ouest France – DNA
Radio : Ici
Presse belge et suisse : Le Soir – La Libre Belgique – Focus vif – Flair
Presse communautaire Asie : Koï – AsieExpo – Zoom Japon – Planète Japon – Tempura


PATRICK DEWITT
L’homme qui aimait les livres
Roman traduit de l’anglais (États-Unis) par Emmanuelle et Philippe Aronson
Dans ce nouvel opus, la verve et l’humour caractéristiques de Patrick deWitt sont à l’honneur.
Son exploration de la vie de Bob Comet, bibliothécaire retraité de l’Oregon, mêle magistralement mélancolie et comédie.
Bob Comet est un bibliothécaire à la retraite qui coule des jours solitaires entouré de livres dans une maison couleur menthe à Portland, dans l’Oregon. Un matin, lors de sa promenade quotidienne, il tombe sur une vieille dame perdue dans une supérette et la ramène au centre pour personnes âgées où elle vit. Dans l’espoir de combler le vide qu’il ressent depuis qu’il ne travaille plus à la bibliothèque, il commence à faire du bénévolat au centre.
13,5 × 22,3 CM
352 PAGES
22,80 € ENV.
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Tandis qu’une drôle de communauté de personnes âgées se rassemble autour de Bob, et qu’à la suite de cette rencontre fortuite une complication douloureuse de son passé refait surface, les événements de sa vie et les particularités de son caractère sont révélés. Derrière la façade d’homme sans vagues de Bob Comet se cache l’histoire de la fugue d’un enfant malheureux pendant les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale ; de l’amour véritable qui illumine sa vie avant qu’il ne lui soit volé ; de la fierté, du sentiment d’accomplissement trouvés dans sa vocation de bibliothécaire, et des plaisirs d’une vie vécue à l’écart de la foule. Les expériences de Bob sont empreintes de mélancolie, mais aussi d’un comique brillant ; il a le chic pour inviter sur la scène de sa vie les personnalités les plus extravagantes.
Avec sa verve inimitable, son humour décalé et sa compassion pour les exclus, Patrick deWitt a composé un texte ambitieux sur la condition de l’introverti. L' homme qui aimait les livres célèbre l’extraordi-naire dans la vie dite “ordinaire” des gens, et dépeint magnifiquement les turbulences qui se cachent parfois sous une apparente sérénité.
OU LA CÉLÉBRATION
DU TYPE INTROVERTI PAR EXCELLENCE
POINTS FORTS
u Patrick deWitt est unique en son genre : capable de cette poésie dans la loufoquerie, il ne se prend pas au sérieux, s’autorise l’extravagance, il sonne la récré !
u DeWitt a un don pour faire rire, pour la fantaisie.
u Une grande liberté irrigue ses inventions littéraires.
u Une attention aux détails, à l’infime, une méticulosité dans l’observation des personnages.
u Quelques morceaux d’anthologie comme cet épisode désopilant un peu à la Monty Python à l’Hôtel Elba, d’autres épisode de la fugue de Bob à l’âge de 10 ans qui évoquent l’univers de Wes Anderson.
QUELQUES CHIFFRES
u French Exit : 7 500 ex. (AS, 2020 + Babel, 2022)
u Heurs et malheurs du sous-majordome Minor : 8 600 ex. (AS, 2017 + Babel, 2020)
u Les Frères Sisters : + 36 000 ex. (AS, 2012 + Babel, 2014 et 2018)
L’AUTEUR
Né en 1975 à Sidney (ColombieBritannique, Canada), Patrick deWitt vit à Portland, Oregon. Actes Sud a déjà publié Ablutions (2010 ; Babel nº 1450), Les Frères Sisters (2012 ; Babel nº 1250) – qui a figuré dans la dernière sélection du Man

Booker Prize et a été porté à l’écran par le cinéaste Jacques Audiard –, ainsi que Heurs et Malheurs du sous-majordome Minor (2017 ; Babel nº 1714).
Chaque fois que sort un nouveau roman de Patrick deWitt, je me dis que ce sera celui qui fera tomber tout le monde amoureux de son écriture, mais Le Bibliothécologue pourrait enfin y parvenir… Les dialogues de DeWitt ont la vitesse et la précision d’une conversation extraordinaire… Brillant et divertissant du début à la fin.
Minneapolis Star Tribune
Patrick deWitt est un Mark Twain du XXIe siècle. La chaleur dont il fait preuve ici confère à ce livre une force émotionnelle durable. Est-il possible de changer les contours de sa personnalité tard dans sa vie, quand on sait qu’un “long crépuscule s’annonce” ? La scène finale propose une réponse aussi modeste que révolutionnaire… mais deWitt a passé les pages précédentes à rendre l’oxymore d’une révolution modeste tout à fait crédible.
Laura Miller, Slate
DeWitt – shortlisté pour le Booker Prize (Les Frères Sisters, 2012) –, a créé un personnage attachant en la personne de Bob Comet qui, à l’âge de 72 ans et après une vie de faibles attentes, trouve les réponses de la vie et les amis dont il a profondément besoin. Ce roman ne demande qu’à être lu.
Booklist
PATRICK DEWITT
L’homme qui aimait les livres extraits de presse
Bob Comet, bibliothécaire à la retraite, rappelle le Stoner de John Williams et les “vies de désespoir tranquille” chères à Thoreau. Une étude de caractère efficace et émouvante.
Kirkus Reviews (étoilée)
Un texte qui réchauffe le cœur. [Le Bibliothécologue] partage les attributs de son héros, Bob : sympathique, discret… foncièrement réconfortant.
Wall Street Journal
Un écrivain à l’imagination débridée.
Washington Post
Les lecteurs viennent à deWitt pour sa marque de fabrique : narration décalée, personnages exubérants, dialogues jubilatoires et ce mélange inédit de noirceur et de charme, le tout mis en lumière dans ce nouvel opus. Captivant, dingue et totalement vivant ? Oui, oui, et encore oui.
Booklist
Une étude de caractère poignante. L’écriture de deWitt et ses personnages attachants créent un monde qui marquent nos esprits.
Los Angeles Times
Le portrait affectueux d’un solitaire introverti qui noue des liens surprenants sur le tard. La compassion amusée de deWitt pour ses personnages évoque Anne Tyler, avec qui il partage un faible pour les marginaux, ainsi que la conviction que même les gens supposés ordinaires mènent des vies extraordinaires.
Christian Science Monitor

JAMAL MAHJOUB
Les Kamanga Kings
Roman traduit de l’anglais (Soudan) par Marie Chabin
Voici l’histoire des légendaires Kamanga Kings, un groupe de jazz qui, à son apogée, a unifié le Soudan avec sa musique. Des années après leur dissolution, ils reçoivent une lettre les invitant à se produire en Amérique. Le fils de l’un des membres fondateurs entreprend alors de reformer les Kamanga Kings. S’ensuit une aventure extraordinaire, de Khartoum à Washington DC puis aux quatre coins des États-Unis. À travers ce road-trip exaltant, Jamal Mahjoub tisse un récit humoristique et universel sur la musique, l’appartenance et l’amour.
L’ÉPOPÉE D’UN GROUPE DE JAZZ SOUDANAIS QUI RENAÎT DE SES CENDRES
POINTS FORTS
u Feelgood book : une lecture véritablement réjouissante.
u Un petit air des Grands de Sylvain Prudhomme.
u La musique, à travers le rôle qu’elle joue dans la vie des personnages et la place essentielle qui lui est faite dans le roman, résonne ici splendidement.
u Sur une trame politique (critique du régime soudanais, état des lieux d’un pays et d’une population en souffrance, trumpisme), l’auteur construit une intrigue endiablée.
ACTUALITÉS
13,5 × 22,3 CM
Une œuvre de fiction absolument géniale. Mahjoub fait évoluer ses personnages les uns autour des autres et des événements qu’ils ont eux-mêmes provoqués avec la maîtrise et la finesse d’un maître conteur qui sait que son public est captivé… Une histoire d’amour, d’espoir et de foi foncièrement humaine.
Une aventure musicale exaltante et profondément émouvante. J’ai adoré !
Mirza Waheed, auteur de Dr K (Actes Sud, 2022)
Un roman sur la régénération par la musique et la faim secrète des vies tranquilles. C’est un texte immersif, plein d’humour et puissant, écrit par un grand écrivain qui mérite d’être lu par un large public.
Chigozie Obioma, auteur de Les Pêcheurs (L’Olivier)
L’histoire passionnante d’un vieux groupe de jazz de Khartoum qui se reforme pour donner un concert en Amérique […]. Mahjoub tisse des thèmes politiques et ethniques intéressants, autour d’un roman absolument charmant sur l’amitié et la musique.
The Observer
u Playlist du livre dispo sur Spotify ici : https://open.spotify.com/playlist/5VyGwJy6qyZC8x0z OwtcTb?si=FAUk-UIiQ_-q1OpbpV7T_A
QUELQUES CHIFFRES
u Le Télescope de Rachid : 18 000 ex. (Actes Sud, 1999 + Babel, 2001)
L’AUTEUR

Jamal Mahjoub est un écrivain britannico-soudanais. Né à Londres, il a grandi à Khartoum où sa famille est restée jusqu’en 1990. Actes Sud a publié six de ses romans entre 1998 et 2007. Sous le pseudonyme de Parker Bilal, il est l’auteur de la série policière Inspector Makana et, plus récemment, de la série Crane and Drake. Son dernier ouvrage non fictionnel, A Line in the River, a été sélectionné pour le prix Ondaatje.

MORGANA KRETZMANN
Le Dernier Jaguar
Roman traduit du brésilien par Maïra Muchnik
Machette en main et éclairs de balles plein les yeux, trois femmes puissantes luttent contre la construction d’un barrage à la frontière entre Brésil et Argentine. Le combat sans fin entre nature et progrès, sacralisation de la vie contre prédation en tout genre.
À la frontière entre Brésil et Argentine, une réserve naturelle est menacée par un projet de barrage hydroélectrique sur les plus larges chutes du monde, celles du Yucumã. Deux communautés s’y s’affrontent : des autochtones en marge de la société qui vivent de la chasse aux animaux sauvages et de la contrebande ; des gardes forestiers qui luttent pour préserver le fragile équilibre des écosystèmes. Au cœur de ce combat, trois femmes puissantes s’allient pour empêcher cette tragédie environnementale.
Un western écolo au charme envoutant, inscrit dans une terre où souffle le réalisme magique du Macondo de “Cent ans de solitude”.
Morgana Kretzmann écrit avec des images. Elle écrit avec un couteau, défiant les limites, et nous entraîne dans ses scènes comme un tourbillon qui ravage tout sur son passage. On n’en sort pas indemne. Le Dernier Jaguar est un livre-séisme, qui à la fin révèle l’abîme, la terre humide et un paysage totalement reconfiguré.
Carola Saavedra
CHASSE AUX JAGUARS ET SACRALISATION DE TOUTE FORME DE VIE. LE PRÉDATEUR ICI
N’EST PAS CELUI QU’ON CROIT POINTS FORTS
u Sanctuarisation de la faune et de la flore sauvage.
u Lutte des peuples autochtones pour la survie de leurs terres.
u Combat féministe contre toutes les formes de prédation : morale, physique, économique…
u Photographie du Brésil contemporain dans toutes ses contradictions.
ACTUALITÉS
u Année France-Brésil.
u Roman en cours de traduction dans cinq pays. Déjà paru en Allemagne, chez Insel.
13,5 × 22,3 CM
192 PAGES
22,50 € ENV.
978-2-330-20776-2
Un récit plein de vigueur qui entremêle monde politique, famille et lutte communautaire. Les intérêts personnels s’entrechoquent avec les intérêts collectifs et font ressortir les ressentiments, l’affliction de personnages profondément humains, plongés dans des secrets et des tragédies personnelles, qui cherchent tous une forme de rédemption.
Jeferson Tenório
L’AUTEURE
Morgana Kretzmann est écrivain et scénariste. Elle est l’auteure d’un premier roman Ao Pó, qui a remporté en 2021 le prix São Paulo de littérature. Elle est aussi diplômée en gestion de l’environnement et vit à São Paulo.

Au nord-ouest du Rio Grande do Sul, à la frontière entre le Brésil et l’Argentine, se trouve une réserve naturelle protégée par l’État, menacée par un projet de barrage hydroélectrique sur les chutes Yucumã, les plus larges du monde avec leurs 300 mètres. Un fleuve marque la séparation entre deux pays et deux communautés aux intérêts opposés. Du côté argentin, le parc national sert de réserve de chasse et de trafics divers, permettant à des autochtones de mener une vie autosuffisante, en marge de la société. Du côté brésilien, des gardes forestiers s’engagent dans une lutte incessante contre les contrebandiers qui exploitent les ressources de la forêt, ainsi que contre les cols blancs qui les financent.
À la tête des deux camps, des femmes fortes (dont une assez puissante pour être terriblement mauvaise), issues de la même lignée mais que des rivalités intestines ont séparées depuis
MORGANA KRETZMANN
Le Dernier Jaguar
l’enfance et qui se livraient jusqu’alors une lutte sans merci, doivent surmonter les blessures du passé et trouver le chemin de la réconciliation dans l’espoir de freiner la tragédie environnementale qui se profile. Chaya, la garde forestière, et sa cousine
Preta, qui règne sur la meute des chasseurs, trouveront en Olga, la journaliste, assistante parlementaire d’un député véreux, l’alliée qui leur manquait pour changer le cours de l’histoire. La figure tutélaire d’un vieux garde forestier qui incarne l’esprit protecteur de la forêt est là pour leur enseigner que leur héritage commun, c’est la terre.
Divisé en cinq parties : terre, eau, feu, sang, foi, ce roman mêle magistralement fiction, réalité et fantastique pour interroger l’histoire politique contemporaine du Brésil et pointer la fragilité du fleuron de son patrimoine : la nature sauvage.

Couverture VO - visuel provisoire
AGNES RAVATN
Les Invités
Roman traduit du néo-norvégien par Terje Sinding
Un roman qui nous regarde, autant qu’il scrute ses personnages, et le reflet qu’il nous renvoie est d’une vérité dérangeante.
Un couple passablement désabusé est invité à passer une semaine dans une maison de vacances somptueuse dans l’archipel d’Oslo. Rongée par une jalousie dévorante envers la propriétaire des lieux, Karin est incapable de profiter de ce répit loin d’un quotidien dont elle méprise secrètement la médiocrité. Lorsqu’elle rencontre les voisins, un couple d’écrivains célèbres, elle se laisser aller à un petit mensonge anodin. Rapidement elle s’empêtre dans une spirale de dissimulation qui réveille en elle un gouffre psychologique. L’envie et le désir de reconnaissance se transforment en obsession.
LE MENSONGE EST UN ALLIÉ IMPRÉVISIBLE
POINTS FORTS
u Ravatn prouve une fois de plus qu’elle est une orfèvre de l’observation psychologique et une virtuose du jeu des apparences.
u Excelle dans l’art du détail symbolique.
u L’écriture, concise et incisive, se distingue par une maîtrise parfaite de la tension narrative.
u Ravatn fusionne le malaise du thriller psychologique avec un humour noir grinçant, produisant un effet de distanciation qui nous invite à réfléchir sur nos propres masques sociaux.
u Une méditation sur la tyrannie des apparences dans une société obsédée par la réussite.
u Une héritière spirituelle de Patricia Highsmith et de l’acuité ironique de Virginia Woolf.
ACTUALITÉS
u Les Invités : Prix des libraires, 2022
L’AUTEURE
Née en 1983, Agnes Ravatn est une auteure et chroniqueuse norvégienne. Son deuxième roman, Le Tribunal des oiseaux (Actes Sud, 2023) – récompensé par un English PEN Award, sélectionné pour le Dublin Literary Award ainsi que le Fresh Talent par WHSmith –, lui a valu une reconnaissance internationale. Son œuvre est traduite dans une vingtaine de langues.

u L’œuvre d’Agnes Ravatn : Sélectionné pour le Dublin Literary Award et le Petrona Award du meilleur polar scandinave Un BBC Book at Bedtime Lauréat du English PEN Translation Award
Karin et Kai, un couple usé par les compromis du quotidien, sont invités à passer une semaine dans une maison de vacances somptueuse dans l’archipel d’Oslo. Un tel décor, promesse de sérénité et de repos, semble offrir la parenthèse rêvée. Mais sous les reflets scintillants de l’eau et derrière les parois lisses de l’architecture ultra-moderne, une tension sourde s’installe. Karin, envahie par le sentiment lancinant de ses propres insuffisances, se compare à l’insaisissable propriétaire des lieux, une figure de succès éclatant qui la hante depuis l’enfance.
Lorsque le hasard les met en présence d’un couple de voisins – écrivains célèbres dont elle envie secrètement le succès –, la conversation dérape. Dans un instant de faiblesse teinté de vanité, Karin se prétend propriétaire de la maison, un petit mensonge qui semble d’abord sans conséquence. Mais bientôt, l’engrenage des fausses identités se resserre. Ce qui n’était qu’une mise en
AGNES RAVATN Les Invités
scène devient une toile de tromperies enchevêtrées, chaque mot prononcé alourdissant un piège qui se referme inexorablement.
Entraînés dans une spirale de dissimulation, Karin et Kai glissent vers un gouffre psychologique où l’envie et le désir de reconnaissance se transforment en obsession. Ce jeu dangereux, dominé par le vertige des illusions, révèle peu à peu des vérités bien plus inquiétantes qu’une simple imposture. Jusqu’où sont-ils prêts à aller pour maintenir leur fragile façade ? Et, surtout, qu’arrive-t-il lorsque les masques tombent ?
Dans Les Invités, chaque affirmation nourrit un fantasme, chaque sourire poli cache une menace silencieuse. Ravatn, avec une écriture sur le fil du rasoir, tisse une intrigue implacable, où le moindre détail fait vibrer une tension intenable. Un huis clos magistral, où le vrai et le faux s’entrelacent dans une danse macabre, jusqu’à l’ultime vérité.
VU PAR LA PRESSE ANGLO-SAXONNE
Un [roman] intelligent et original, plein de rebondissements.
The Times
Une atmosphère implacable de fatalité ne prépare en rien les lecteurs à une résolution des plus surprenantes.
Publishers Weekly
Se déploie dans un style austère, capturant parfaitement la beauté désolée du paysage du Grand Nord norvégien.
Irish Times
Ravatn, l’une des meilleures auteures norvégiennes, parvient à créer une atmosphère glaciale qui vous donnera envie d’allumer le chauffage.
The Sun
VU PAR LA PRESSE NORVÉGIENNE
AGNES RAVATN Les Invités
Extraits de presse
Les Invités est un drame psychologique intense, où un mensonge en entraîne un autre. Ravatn nous plonge directement dans le cœur de l’action. Le style est fluide et élégant, le ton plein d’esprit et touchant. L’intrigue est suffisamment inventive et audacieuse pour qu’on ne veuille pas lâcher le livre. Aftenposten
Une tranche de Nordic Noir électrique, intense et terriblement addictive – une performance impressionnante.
Big Issue
Évoque Patricia Highsmith
– et je ne peux faire plus grand compliment. Agnes Ravatn est une auteure à suivre.
Philip Ardagh
Une lecture délicieusement perspicace et délicieusement malicieuse […] c’est à la fois minimaliste et dépouillé, tout en étant irrésistiblement captivant.
Elizabeth Haynes
Honnêtement, je pense que ce livre est un chef-d’œuvre. Vraiment drôle et vraiment excellent. Un petit livre avec une intrigue dense.
Elle
Ravatn élève la comédie de situation à un tout autre niveau. […] Et même si je crois que la vérité finira par triompher, le mensonge est bien plus amusant.
Les Invités m’a fait éclater de rire. Tout est habilement maîtrisé. Rien n’est laissé au hasard. […] Ravatn est tout simplement une écrivaine d’exception.
Bok 365
Extrêmement brillant, à la fois réfléchi et impeccablement exécuté. L’histoire, les personnages, les ellipses temporelles, tout s’emboîte parfaitement.
Adresseavisen
Hilarant et palpitant, un récit sur les faiblesses humaines.
Dagbladet

SHADY LEWIS
Brève histoire de la création et de l’Est du Caire
Roman traduit de l’arabe (Égypte) par Sophie Pommier et May Rostom
Dans la nuit et la violence d’un quartier du Caire à feu et à sang, l’errance d’un enfant et de sa mère, en quête d’un refuge.
Le jeune garçon entraîné par sa mère dans une fuite éperdue à travers leur quartier du Caire ne se fie pas aux mots. Lui, il préfère les chiffres – il compte le nombre de coups que son père assène à sa mère, le nombre de pas qui séparent leur maison de l’église la plus proche, où ils espèrent trouver refuge, le nombre d’explosions qui déchirent cette nuit d’émeutes… Sous ses yeux déjà dessillés défile, comme un film incontrôlable, la violence conjugale, sociale, interconfessionnelle, étatique. Jusqu’à une embellie, inespérée et incertaine.
L’auteur du savoureux Sur le méridien de Greenwich confirme ici, dans une veine noire, son grand talent, restituant avec finesse le regard d’un enfant sur son monde absurde et hostile.
À PROPOS DE SUR LE MÉRIDIEN DE GREENWICH
POINTS FORTS
u Une écriture au plus près des sensations et des incompréhensions d’un enfant confronté au pire. u Une immersion dans la communauté copte (les chrétiens d’Égypte).
u Une course effrénée à travers un quartier dévasté du Caire.
13,5 × 21,5 CM 224 PAGES
Shady Lewis se moque de tout et de tout le monde avec une grande humanité : on s’attache à ces personnages plus perdus que fous, qui font comme ils peuvent pour rester debout. L’auteur, avec un humour décapant et une légèreté salutaire, passe tout au crible : du dieu Khnoum à Margaret Thatcher en passant par Karl Marx, la liberté d’expression, Facebook, la rupture amoureuse, la colonisation ou les crispations identitaires et confessionnelles, rien n’échappe à son regard acerbe et lucide. Un savoureux roman tragicomique sur nos sociétés contemporaines.
Nina Chastel, Orient XXI
Le roman de Shady Lewis est l’équivalent d’une tonique injection de vitamines intellectuelles. À prendre sans modération !
Damien Aubel, Transfuge
L’AUTEUR

Né au Caire en 1978, Shady Lewis suit des études d’ingénieur en Égypte avant de s’installer à Londres, où il obtient un master en psychologie puis intègre les services administratifs. Il écrit dans de nombreuses revues arabes et européennes. Outre sa contribution à divers ouvrages collectifs, Shady Lewis a publié plusieurs livres. Sur le méridien de Greenwich, son deuxième roman, a paru chez Actes Sud en 2023.
Littérature
étrangère

Traduit de l’anglais (Australie) par Mathilde Bach.
Sarah Schmidt
LE BLEU EST LA COULEUR LA PLUS RARE
Le temps d’un voyage vers la magie crépusculaire des Blue Mountains australiennes, une plongée bouleversante dans les mystères du lien maternel.
LE LIVRE
1973, en Australie, aux heures bleues de l’aube, Eleanor fuit son mari Leon, dont la violence ne fait que croître. Avec sa petite fille Amy, elle prend la route des Blue Mountains, pour un pèlerinage consolateur sur ce lieu témoin des rares beaux souvenirs d’enfance. Au cours de ce roadtrip d’un jour, Eleanor revisite son passé et ses relations avec sa propre mère, Kitty, qui n’a jamais su l’aimer. Dans un contexte familial fragile, Eleanor a grandi comme une fleur entre les pavés, assiégée par les dérapages émotionnels maternels et les silences paternels, se construisant un rapport dangereusement défaillant à l’attachement.
L’AUTRICE
7 mai 2025
14 × 20,5 cm
286 pages 21,00 €
ISBN :

Alternant les époques, le récit de la vie de Kitty et de George Turner, revenu défiguré de la Seconde Guerre mondiale, et celui d’Eleanor, fruit de cette union brisée par des drames indicibles, Sarah Schmidt fait preuve une fois de plus de son immense talent de conteuse. Depuis son best-seller Les Sœurs de Fall River, on la sait experte dans l’art de glacer le sang du lecteur, en mêlant la noirceur la plus saisissante et l’émotion la plus profonde. Le bleu… vient confirmer sa formidable acuité psychologique et son empathie infinie pour les âmes blessées.
POINTS FORTS
• Le bleu… allie l’efficacité du page turner et la densité dramatique d’un roman noir, avec un twist final qui reste longtemps en tête.
• Sur le poids des secrets et les drames familiaux qui se transmettent d’une génération à l’autre, influent sur nos trajectoires intimes et lient une famille, pour le meilleur et pour le pire.
• Un roman sur ce que signifie être mère de, fille de, femme de, et se rêver libre, à une époque pas si lointaine qui fait écho à la nôtre.
• Sur le stress post-traumatique à travers deux guerres et deux générations : la Seconde Guerre mondiale et la guerre du Vietnam.
• Une narration ambitieuse et maîtrisée. La précision psychologique à laquelle parvient Sarah Schmidt donne une épaisseur et un réalisme captivants à ses personnages inoubliables.
• Un roadtrip d’une tension émotionnelle rare.
ACTUALITÉ
• Parution en poche Rivages en janvier 2025 de son premier roman, Les Sœurs de Fall River.
Sarah Schmidt est née en Australie et vit à Melbourne, où elle travaille dans une bibliothèque. C’est en découvrant par hasard un livre sur l’affaire Borden chez un bouquiniste qu’elle a eu l’idée d’écrire un roman sur ce célèbre meurtre « familial » dans Les Sœurs de Fall River, best-seller en Australie et en Angleterre, traduit en Allemagne, en Hollande et en Italie et publié chez Rivages en 2018. Le bleu est la couleur la plus rare est son deuxième roman.
ACTES SUD

VÍCTOR DEL ÁRBOL
Personne sur cette terre
Roman traduit de l’espagnol par Alexandra Carrasco
“Personne sur cette terre n’est innocent, personne n’oublie, personne ne pardonne.”
Galice, 1975 : un enfant assiste à l’incendie criminel de sa maison et au meurtre de son père. Barcelone, 2005 : l’homme qu’il est devenu semble avoir enfreint toutes les règles éthiques et morales qu’il s’était fixées en entrant dans la police. Au fil de ces trois décennies, des villageois chassent en meute pour protéger leurs secrets, des serments d’amitié éternelle se fracassent contre l’intérêt supérieur de la Famille, la cocaïne mexicaine remplace le vieux bourbon irlandais de contrebande, des hommes puissants avec des masques de loup abusent d’enfants rêveurs et un tueur à gage aux yeux noirs exécute les ordres avec une humanité déconcertante.
Del Árbol possède un style très singulier, efficace et innovant qui dépasse les limites du genre noir.
Diario de Cadiz, Pedro M. Espinosa
Dans ce roman, passé et présent conspirent pour placer Julián Leal entre le marteau et l’enclume, ou plutôt sur la terre de personne (en hommage au titre), quand il n’a plus rien à perdre. C’est dans ces situations extrêmes que l’on se révèle véritablement.
ABC, Mariano Cebrián
Víctor del Árbol aime jeter de l’huile sur le feu de la narration. L’un des traits qui définissent sa carrière littéraire est une audace qui ne lésine pas sur les moyens pour introduire des éléments dramatiques dans ses intrigues. Chacune compte alors une fenêtre par laquelle ses protagonistes peuvent s’échapper lorsqu’ils semblent totalement cernés. Dans le cas présent, cette fenêtre est Virginia, la coéquipière de Julián Leal.
La Rioja, Iñaki Ezkerra
“LE ROMAN LE PLUS ADDICTIF DE L’ANNÉE” CASA DEL LIBRO
ACTUALITÉS
u Option sur les droits audiovisuels en cours de négociation.
QUELQUES CHIFFRES
u Depuis la parution de La Tristesse du samouraï en 2012, l’œuvre de Víctor del Árbol s’est vendue en France à près de 400 000 exemplaires, tous volumes confondus.
L’AUTEUR
Víctor del Árbol est né à Barcelone en 1968. Après des études d’histoire, il a travaillé dans les services de police de la communauté autonome de Catalogne. Il est l’un des auteurs espagnols les plus traduits et les plus primés.

ACTES SUD
Trente ans après son départ, l’inspecteur Julián Leal retourne pour quelques jours sur les côtes galiciennes, dans le petit village qui l’a vu naître. Que vient-il y chercher ? Déterrer le passé pour venger sa triste enfance ou seulement affronter ses vieux démons pour trouver le repos de l’âme, puisque ses jours sont désormais comptés ?
L’homme est atteint d’un cancer à un stade très avancé et vient d’être mis à pied dans l’attente du jugement, après qu’il a battu (presque) à mort un respectable entrepreneur barcelonais. Après vingt ans de bons et loyaux services, personne ne s’explique cette violence et il reste obstinément muet sur les raisons de son geste.
La situation s’aggrave encore pour lui quand quelques jours après son retour à Barcelone commencent à apparaître les cadavres de ses vieilles connaissances galiciennes.
C’est d’abord seul, puis avec l’aide de sa coéquipière Virginia, qu’il ira affronter les hommes puissants et les vieilles rancunes,
VÍCTOR DEL ÁRBOL
Personne sur cette terre
et que justice se fera en complicité avec un tueur à gages un peu trop magnanime pour être honnête.
L’épicentre du roman n’est pas dans la résolution de l’enquête mais dans l’exploration de personnages aux multiples facettes, pris dans les mailles de leur complexité et de leur part d’ombre, car del Árbol interroge toujours la condition du héros, cet homme apparemment ordinaire qui choisit de faire ce qui est juste et est prêt à en payer le prix.
Une histoire ingénieuse, rythmée, très habilement tissée, un indéniable talent à créer une impressionnante galerie de personnages riches de leur complexité et de leurs contradictions qui suscitent une empathie profonde, même (et surtout !) le tueur à gage amoureux.
mai 2025 - VÍCTOR DEL ÁRBOL - Personne
La parution d’un nouveau roman de Víctor del Árbol est toujours attendue par les médias et le milieu du polar.
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Podcast : “C’est à lire”

ACTES SUD

KATIE WILLIAMS Mon assassinat
Roman traduit de l’anglais (États-Unis) par Alexandre Civico et Barbara Tajan
La technologie ressuscite la chair, mais peine à ranimer l’âme.
Cinq femmes assassinées, ressuscitées sous forme de clones, tentent de renouer avec leurs vies perdues.
Lou, dernière victime d’un tueur en série, revient auprès de sa famille, mais l’amour maternel se heurte à l’étrangeté du retour : sa fille de neuf mois la rejette, ses souvenirs vacillent. Tandis qu’elle cherche à comprendre le mystère vertigineux de sa propre mort, elle découvre que son “soi d’origine” envisageait de tout quitter. Que s’est-il réellement passé ?
Katie Williams signe un thriller existentiel inclassable, déroutant, qui interroge notre fascination morbide pour les crimes spectaculaires. La banalisation de la violence trouve une résonance glaçante dans cette dystopie si proche de la nôtre. À l’ère des réseaux sociaux et de la course à la mise en scène de soi, jusqu’où l’expérience humaine est-elle reproductible sans en perdre l’essence ?
Katie Williams semble inaugurer une nouvelle voie prometteuse dans le domaine de la fiction spéculative. Appelons-la “SF domestique” – quelque part entre la satire sociale mordante de George Saunders et l’attention tendre d’Anne Tyler pour les personnages et leurs conséquences. [Les] retournements de situation [sont tellement] magistraux qu’ils feraient rougir Ira Levin. Vous pouvez choisir de lire la fin comme un dénouement heureux – ou comme un pur cauchemar existentiel, comme moi – mais dans tous les cas, c’est un livre qui gardera les lecteurs éveillés jusqu’au bout de la nuit.
The New York Times
UNE ENQUÊTE HORS NORME : LA VICTIME DOIT RÉSOUDRE SON PROPRE ASSASSINAT
ACTUALITÉS
u La science-fiction comme vecteur poétique, un miroir déformant pour mieux sonder l’âme humaine.
u Un regard acéré sur la vacuité d’une société captivée par le spectacle de la souffrance.
u Où le vertige éthique du clonage devient métaphore de la condition humaine elle-même : éphémère, multiple, et inlassablement en quête de signification.
ACTUALITÉS
u Adaptation par Netflix en cours – date à confirmer.
L’AUTEURE

Née en 1984 à Boston, Katie Williams est auteure et professeure adjointe d’écriture de fiction à Emerson College. Ses nouvelles ont été publiées dans les revues les plus prestigieuses telles que The Atlantic, Best American Fantasy, American Short Fiction, Prairie Schooner ou encore Subtropics. Son premier roman, Tell the Machine Goodnight (inédit en français), finaliste du prix Kirkus, a été sélectionné par le New York Times Editors’ Choice et figurait parmi les meilleurs livres de 2018 selon NPR.
ACTES SUD
Cinq femmes, toutes victimes du même tueur en série, sont ramenées d’entre les morts – ou plutôt clonées par une agence gouvernementale aux intentions troubles. Restituées à leurs familles en deuil, elles retrouvent les vies qui leur ont été arrachées, portant en elles les souvenirs, émotions et traits de personnalité de leurs versions originales… du moins en apparence. Pour Lou, la narratrice – jeune épouse, mère, et dernière victime du meurtrier
Edward Early –, le retour à la maison ne se fait pas sans heurts : sa fille de neuf mois, incapable de se lier à cette “nouvelle” mère, hurle dès que Lou la prend dans ses bras. Quelque chose ne va pas. Cette peau qui ne porte plus la cicatrice de sa césarienne lui semble étrangère. Plus inquiétant encore, Lou se souvient d’un
KATIE WILLIAMS Mon assassinat
profond mal-être avant sa mort. Troublée par la découverte d’un sac prêt pour le départ dissimulé dans son placard, elle comprend que son ancien moi songeait à tout abandonner : son mari, son enfant, et cette vie familiale qui l’enfermait. Lou se plonge dans une quête dangereuse pour découvrir la vérité sur sa propre fin, un mystère où la mort demeure plus présente que la vie.
Avec une maîtrise stylistique remarquable, Katie Williams fait vibrer un récit où le grotesque côtoie l’émotion la plus sincère. Mon assassinat est un thriller psychologique inclassable, une réflexion troublante sur notre fascination morbide pour la violence et une méditation bouleversante sur la maternité.
ACTES SUD
Avec ce deuxième roman captivant et intelligent – une histoire menée tambour battant avec des personnages attachants –, Williams imagine à nouveau une réalité proche du futur, altérée par la science, qui offre une perspective fascinante sur les tensions entre famille et liberté […] Un polar intelligent et perspicace qui éclaire autant le monde imaginé que le nôtre.
Kirkus Reviews
Étonnant et original, Mon assassinat est une réinvention captivante et spéculative du roman policier.
Paula Hawkins (auteure de La Fille du train)
KATIE WILLIAMS Mon assassinat
extraits de presse
À la fois captivant et provocant, Mon assassinat est un polar palpitant et un regard incisif sur les réalités de la maternité. Comme Jessamine Chan dans L’École des bonnes mères, Katie Williams explore les conséquences terrifiantes de l’obsession sociétale pour le corps et l’esprit des femmes. Ce thriller audacieux et sinistre mène à une fin absolument stupéfiante que je n’ai jamais vue venir.
Flynn Berry (auteure de Ma sœur est une espionne) Un roman captivant et malicieusement tordu. À la fois sombrement drôle, profondément effrayant et résolument original, il vous tiendra en haleine jusqu’aux dernières pages obsédantes.
Megan Abbott (auteure de Première)
Je n’ai jamais dévoré un roman avec autant de voracité. Magnifiquement écrit, étrange et teinté d’un humour noir subtil, avec un point de départ irrésistible, exécuté à la perfection… Mon assassinat est une révélation.
Katie Gutierrez (auteure de Tout ce qui n’a pas été dit)
[…] hypnotique et original… Katie Williams signe une brillante réinvention du suspense domestique avec une touche de roman d’anticipation intelligente, offrant une lecture absolument immersive.
Ashley Audrain (auteure d’Entre toutes les mères)
Quand ai-je lu pour la dernière fois un thriller aussi cool, aussi audacieux ? Aussi ingénieux ? Un roman à la fois percutant et d’une magnifique légèreté ? Mais surtout, ce livre est terriblement D-I-V-E-R-T-I-S-S-A-N-T. Une fois la dernière page tournée, après avoir lu cette ultime phrase poignante, vous admirerez l’inventivité et la virtuosité de Mon assassinat ; mais sur le moment, vous serez bien trop occupé à savourer chaque instant.
A. J. Finn (auteur de La Femme à la fenêtre)
mai 2025 - KATIE WILLIAMS -
Premier roman d’une nouvelle autrice américaine à faire découvrir.
Un mélange des genres intriguant et un sujet original.
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La Presse de la Manche…
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Radios : France Bleu (des chroniques et partenariats jeux) – France Info (chronique)…


En librairie le 7 mai 2025
14 x 20,5 - 352 pages - 23 €
ISBN : 978-2-8126-2712-5
rayon / Littérature policière, roman noir mots clés / hébrides - écosse - meurtre - élevage intensif - saumons - biodiversité - baleines - fermes piscicoles - écologie - protection des espèces
Loch noir
Peter May
traduit de l’anglais par Ariane Bataille
Peter May au sommet de son art.
Daily Mail
Seize ans après le succès mondial de L’Île des chasseurs d’oiseaux, le retour de Fin MacLeod sur l’île de Lewis, dans les Hébrides extérieures.
Peter May
Peter May est l’auteur de la célèbre trilogie écossaise (L’Île des chasseurs d’oiseaux, L’Homme de Lewis, Le Braconnier du lac perdu). Traduite dans le monde entier, son œuvre est disponible dans son intégralité aux Éditions du Rouergue.
Le corps de Caitlin Black est retrouvé à l’embouchure d’An Loch Dubh, le loch noir, sur la côte ouest de l’île de Lewis. La jeune femme, habituée des sujets sur l’environnement et nageuse émérite, a été violée et battue avant d’être assassinée. Lorsque Fionnlagh, le fils qu’il a eu de Marsaili, est accusé du crime, Fin Macleod plaque son boulot pour la police de Glasgow et s’envole aussitôt pour sa terre d’enfance. Il l’a quittée dix ans plus tôt pour vivre librement son amour pour Marsaili. Comment disculper son fils alors que les preuves l’accablent ? Comment renouer avec les Hébrides alors que les baleines s’échouent sur les plages ? Comment faire face aux ombres qui remontent du passé ?
Dans ce jeu de faux-semblants, Fin Macleod va devoir traverser les mensonges et les secrets des hommes, les cruautés de l’océan qui ne pardonne ni aux imprudents ni aux téméraires. Et s’il faut, affronter la mort.
Avec ce roman poignant, Peter May redonne vie au plus emblématique de ses héros, qui nous a bouleversés dans la trilogie écossaise et nous prend au cœur dans l’abîme du loch noir.
points forts
• Seize ans après la publication de L’Île des chasseurs d’oiseaux, Peter May redonne vie au héros emblématique qui a bouleversé des millions de lecteurs à travers le monde.
• 725 000 exemplaires des romans de la trilogie écossaise ont été vendus en France.
• Un passionnant roman dans lequel on retrouve les préoccupations écologiques de l’auteur qui étaient déjà à l’œuvre dans de grands succès tels que Les Disparus du phare ou Tempête sur Kinlochleven.
• Peter May sera présent au festival Étonnants Voyageurs.


REMISE EN VENTE
le 7 mai 2025
15 x 24 - 1024 pages - 28,40 €
ISBN : 978-2-8126-0706-6
La trilogie écossaise
Peter May
Traduction de Jean-René Dastugue
rayon / littérature policière mots clés / amour - Europe - Histoire moderne et contemporaine - justice littoral mort - peur - danger - secrets de famille
L’île de Lewis est, à l’extrême nord-ouest de l’Écosse, la région la plus secrète des îles britanniques. C’est dans cet archipel modelé par la mer, la glace, le vent et la pluie, que Peter May a situé ses trois romans : L’Île des chasseurs d’oiseaux, L’Homme de Lewis et Le Braconnier du lac perdu, publiés ici en un seul volume.
Peter May
Écrivain écossais, Peter May habite depuis une dizaine d’années dans le Lot. Il a d’abord été journaliste avant de devenir l’un des plus brillants et prolifiques scénaristes de la télévision écossaise. Il y a quelques années, Peter May a décidé de quitter le monde de la télévision pour se consacrer à l’écriture de ses romans. Le Rouergue a publié sa série chinoise avant d’éditer la trilogie écossaise (parue d’abord dans sa traduction française avant d’être publiée, avec un immense succès, en anglais).
Dans L’Île des chasseurs d’oiseaux, l’inspecteur Fin McLeod, en rupture de ban avec son passé et meurtri par la disparition tragique de son fils unique, est de retour sur son île natale où, chaque année, une douzaine d’hommes partent en expédition à plusieurs heures de navigation pour tuer des oiseaux nicheurs. Sur fond de traditions ancestrales d’une cruauté absolue, Peter May nous plonge au cœur d’une enquête déchirante, qui va obliger McLeod à affronter sa propre histoire.
Dans L’Homme de Lewis, le passé ressurgit, et avec lui l’histoire des homers, ces orphelins exilés aux Hébrides et corvéables à merci.
Dans Le Braconnier du lac perdu, Fin doit prendre en chasse les braconniers qui pillent les eaux sauvages de Lewis. Et le plus brillant des amis de Fin, Whistler, est le plus redoutable des braconniers...
points forts
• L’intégrale de la trilogie en un volume.
• Ventes cumulées de la trilogie écossaise en grand volume et poche : près de 725 000 exemplaires.
• Une préface inédite de Peter May racontant l’histoire de ces trois romans.

REMISE EN VENTE
le 7 mai 2025
22,5 x 22,5 - 242 pages - 32 €
ISBN : 978-2-8126-0573-4
L’Écosse de Peter May
Peter May
Photographies de David Wilson
Traduction de Jean-René Dastugue
genre / beaux-livres, roman policier
rayon / voyages, littérature policière mots clés / nature et environnement
histoire - polar - littérature - voyages
littoral - milieux marins
Aux amoureux de l’Écosse, ce livre propose une odyssée en images à travers les sites qui ont inspiré ses romans à Peter May.
Les Hébrides, à l’extrême nord-ouest de l’Écosse, forment un singulier archipel, la région la plus secrète des îles britanniques. S’y rendre, c’est faire un bond non seulement dans l’espace, mais aussi dans le temps. Modelées par la mer, la glace, le vent et la pluie, ces îles sauvages abritent en effet une communauté attachée à ses traditions.
Avec leurs paysages d’une beauté saisissante, elles sont devenues le cadre d’une trilogie romanesque de Peter May qui a connu un succès international et fait la renommée de ces terres farouches.



Peter May
Écrivain écossais, Peter May habite depuis une dizaine d’années dans le Lot. Il a d’abord été journaliste avant de devenir l’un des plus brillants et prolifiques scénaristes de la télévision écossaise. Il y a quelques années, Peter May a décidé de quitter le monde de la télévision pour se consacrer à l’écriture de ses romans. Le Rouergue a publié sa série chinoise avant d’éditer la trilogie écossaise (parue d’abord dans sa traduction française avant d’être publiée, avec un immense succès, en anglais).
points forts
• Les paysages qui ont inspiré à Peter May les trois romans de la trilogie de Lewis : ventes cumulées 725 000 exemplaires.

• Seul livre illustré sur les Hébrides extérieures, îles sauvages et majestueuses à l’extrême-ouest de l’Europe.
• Déjà 12 700 exemplaires vendus.

page de gauche Moulin scandinave à Shawbost Situé à Shawbost, sur la partie ouest de Lewis, ce moulin illustre l’influence de l’occupation viking sur l’architecture des îles. La construction est très proche de celle des blackhouses qui devinrent le type d’habitat le plus répandu. Chaque village possédait un moulin et un four pour transformer les récoltes de céréales.
SUNE HISTOIRE DE LA POPULATION DES HÉBRIDES EXTÉRIEURES
droite Habitat restauré de l’âge du Fer, Bosta Cette habitation à Bosta, sur Great Bernera, littoral ouest de Lewis, a été mise au jour en 1993. Datant de l’âge du Fer, elle a été restaurée dans son état supposé des vii ou viii siècles avant J.-C.
ur les îles, la plus ancienne trace d’habitat humain remonte à environ 8 000 ans. Il semble que la majeure partie de la forêt qui couvrait alors les îles ait été brûlée pour créer des prairies pour les cerfs. Les plus anciens vestiges datent d’environ 5 000 ans, une époque où les hommes commencèrent à s’installer dans des maisons bâties en pierre et se mirent à cultiver la terre au lieu de suivre leurs troupeaux. Jusqu’à environ 1 500 avant J.-C., le climat était plus chaud et plus sec mais, lorsqu’il évolua et devint plus humide et froid, les habitants se déplacèrent vers les franges littorales où le machair offrait les seules terres fertiles. Pendant l’âge du Fer, vers 500 avant J.-C., les insulaires marquèrent le paysage de façon plus permanente


en érigeant des brochs et des habitations en pierre, fortifiés, pour se protéger des attaques d’autres insulaires. Quand les Scots arrivèrent d’Irlande dans les années qui suivirent la naissance du Christ, ils apportèrent la langue gaélique qui allait façonner l’essentiel de la future Écosse. À partir du vie siècle, grâce au travail des moines de Saint-Columba, la chrétienté s’implanta fortement. Au ixe siècle, les Vikings
26
débarquèrent, envahirent et conquirent les îles.
L’occupation, qui dura deux cents ans, prit fin en 1263 lorsque le roi Haakon IV de Norvège fut défait par le roi Alexandre III d’Écosse. Suite à la signature du traité de Perth, les Hébrides extérieures revinrent dans le giron de l’Écosse.
Les siècles qui suivirent furent marqués par des luttes de pouvoir entre les divers clans. Les clans les plus
Sur Golden Road
Chassés de leurs maisons de la côte ouest de Harris, lors des expulsions du xviii siècle, les insulaires bataillèrent pour s’installer sur la côte est, hostile. Cette maison délabrée est entourée de lazy beds, sur lesquels les fermiers cultivaient des pommes de terre.
La neige arrive
La neige s’apprête à engloutir cette ferme solitaire sur la côte est de Harris.





VISUELS
PROVI SOIRES
• Fond de vitrine Série écossaise
95 x 65 - 3 rabats
ISBN : 978-2-8126-2729-3
• Signet Loch Noir
Recto-verso (recto Rouergue / verso Babel Noir)
6 x 20 cm - Conditionnement par lot de 20 signets
ISBN : 978-2-8126-2728-6



En librairie le 7 mai 2025




VISUELS
PROVI SOIRES
• Fond de vitrine Série écossaise
95 x 65 - 3 rabats
ISBN : 978-2-8126-2729-3
• Signet Loch Noir
Recto-verso (recto Rouergue / verso Babel Noir)
6 x 20 cm - Conditionnement par lot de 20 signets
ISBN : 978-2-8126-2728-6



En librairie le 7 mai 2025

VISUELS
PROVI SOIRES ✶

Catalogue général
Recto-verso tête-bêche
(une partie Littérature et livres illustrés et une partie romans jeunesse et albums)
16 x 24 - 148 pages [à confirmer]
ISBN : 978-2-8126-2726-2
En librairie le 4 juin 2025


Série New York Made in France
DANIELLE THIÉRY BEBACK
Série New York Made in France
D’un village bourguignon à la mégapole de New York ensevelie sous le blizzard, la quête d’une romancière et ex flic pour résoudre le mystère d’une petite fille quasi muette qui vient bouleverser sa vie.
LE LIVRE
Venue enterrer son père dans un village bourguignon, Diane Devers, ex flic et romancière à succès, retrouve à l’issue de l’inhumation une petite fille quasi muette dans sa voiture. Partie à la recherche d’éventuels parents de l’enfant, elle tombe, dans une allée du cimetière, sur le cadavre empalé de Gaston, le cantonnier responsable de l’entretien des lieux.
Ses réflexes de policière lui commandent de prévenir la gendarmerie la plus proche, mais
L’AUTRICE
7 mai 2025
14 × 20,5 cm
300 pages 21,00 €
ISBN :

alors qu’elle est en route, elle a le sentiment d’être suivie. Hors de toute rationalité, elle ramène l’enfant chez elle à Paris. Elle ne sait pas encore que cette décision prise sur un coup de tête va l’emmener jusqu’à New York et lui faire remonter le cours de sa propre histoire familiale.
POINTS FORTS
• Retour de Danielle Thiéry dans la collection Rivages/noir à l’occasion de sa participation à la série New York Made in France.
• Un roman situé pour moitié en France et pour moitié à New York dans le quartier du Madison Square Garden, haut lieu des spectacles sportifs new-yorkais.
• Une enquête en forme de quête familiale et historique, menée par une héroïne risque-tout.
• Le talent de Danielle Thiéry pour inventer des histoires captivantes aux rebondissements inattendus.
• Comme toujours chez D. Thiéry, les enjeux humains prédominent. Elle traite de la question de la filiation, de ce que l’on transmet, de ce que l’on veut cacher et oublier.
• Un roman qui pose un très beau regard sur l’enfance à travers le personnage de la petite Hannah et de Diane, sa « mère de substitution ».
• New York vue sous la neige et le froid, par une femme portée par une obsession, qui éprouve l’hostilité d’une ville où tout lui semble étrange et étranger.
• Pour tous les fidèles de Danielle Thiéry, avec la touche new-yorkaise en plus.
Danielle Thiéry est la première femme à avoir accédé au grade de commissaire divisionnaire dans la police française. Après une carrière au sein de cette institution (cheffe des Stups à Lyon, cheffe de la brigade de sécurité des chemins de fer) puis avoir dirigé la sécurité de grandes entreprises comme Air France, elle entame une carrière de romancière dans les années 1990. Elle remporte un gros succès avec sa série Edwige Marion et signe aussi de nombreux romans pour la jeunesse (entre autres chez Syros). Elle a remporté le prix du Quai des Orfèvres en 2013. Elle est considérée comme l’une des voix importantes de la littérature policière française.
ACTUALITÉ
• L’autrice est invitée au Goéland masqué à Penmarc’h, à Toulouse Polars du Sud et à Lamballe (à confirmer).


Maurizio de Giovanni RIDEAU POUR
LE COMMISSAIRE RICCIARDI
Une enquête policière dans l’Italie fasciste des années 1930, par l’auteur phare du polar napolitain.
LE LIVRE
Noël vient de passer et la ville se prépare au réveillon du Nouvel An, lorsque, sur la scène d’un théâtre de variétés, le grand acteur Michelangelo Gelmi tire avec un pistolet sur sa femme, Fedora Marra. Rien d’étrange, cela se produit tous les soirs, à chaque fois qu’ils jouent tous les deux dans la pièce : seulement, à l’intérieur du chargeur, ce 28 décembre, parmi les balles à blanc, il y en a une vraie.
Gelmi jure qu’il n’a jamais eu l’intention de tuer Fedora, mais peu le croient. L’affaire
L’AUTEUR
semble déjà résolue, mais Ricciardi n’est pas convaincu. Alors, tandis que le fidèle Maione aide le docteur Modo dans une affaire privée, le commissaire – dont la vie amoureuse semble avoir pris un tournant décisif – se consacre patiemment à la reconstitution de l’affaire. Un mystère rendu encore plus obscur par un étrange brouillard qui s’est soudain abattu et qui réservera un ultime coup de théâtre.
POINTS FORTS
• Retour du célèbre commissaire napolitain avec ce dixième opus d’une série à succès.
• Un auteur star : lauréat du prix Scerbanenco, plusieurs fois adapté à la télévision, traduit dans de nombreux pays.
• Donato Carrisi : « Le commissaire Ricciardi, avec ses yeux verts d’ange ou de démon, contraint à voir ce que les autres — les vivants — peuvent éviter, se meut sur les marges d’une frontière. Nous avons le privilège, ou la malchance, de partager ses visions. »
ACTUALITÉ
• Sortie simultanée en poche de Nocturne pour le commissaire Ricciardi.
QUELQUES CHIFFRES
• Succès du cycle des Saisons : 25 000 ex. en inédits poche.
14 mai 2025
15,5 × 22,5 cm
385 pages 22 €
ISBN :


Maurizio De Giovanni est né en 1958 à Naples, cadre de tous ses romans. Auteur star, lauréat du prestigieux prix Scerbanenco, son œuvre a été traduite dans de nombreux pays et plusieurs fois adaptée à la télévision. Nocturne pour le commissaire Ricciardi est le neuvième opus mettant en scène le célèbre limier napolitain.

Visuel provisoire
JAMES S. A. COREY LA CLÉMENCE DES DIEUX
La Guerre des captifs 1
Roman traduit de l’anglais (États-Unis) par Yannis Urano
L’auteur de l’incontournable saga The Expanse revient avec un nouveau space opera spectaculaire qui voit l’humanité lutter pour sa survie dans une guerre aussi ancienne que l’univers lui-même.
Les Carryx mènent des guerres de conquête depuis des siècles, détruisant ou réduisant en esclavage des espèces dans toute la galaxie, au sein d’un plus vaste conflit avec un ennemi ancien et immortel.
Lorsqu’ils arrivent sur le monde isolé d’Anjiin, la population humaine est humiliée, massacrée et asservie. Les meilleurs et les plus brillants éléments sont enlevés et emmenés dans le palais-monde des Carryx pour y rejoindre les prisonniers d’un millier d’autres espèces.
Dafyd Alkhor, assistant d’un scientifique prestigieux, est capturé avec son équipe. Même lui ne se doute pas que sa perspicacité et ses compétences particulières seront la clé qui lui permettra de déjouer les terrifiants desseins de ses ravisseurs.
Emporté dans un conflit qui échappe à son contrôle et dépasse son imagination, Dafyd est sur le point de devenir le champion de l’humanité – et son traître.
C’est ici que son histoire commence.
QUELQUES CHIFFRES
u 280 000 ex. toutes éditions confondues pour la saga The Expanse
L’AUTEUR
James S. A. Corey est le pseudonyme derrière lequel se cachent l’auteur de fantasy et de sciencefiction Daniel Abraham et Ty Franck, qui n’est autre que l’assistant de George R. R. Martin, auteur de Game of Thrones. Ils sont les auteurs de la série The Expanse.

mai 2025 - JAMES S. A. COREY -
Très proche de George R. R. Martin, auteur de Game of Thrones.
COMMUNICATION NUMÉRIQUE
• Posts sur les réseaux sociaux.
• Publicité digitale.
COMMUNICATION PRESSE, TV & RADIO
Presse spécialisée : Bifrost – L’Écran fantastique – Planète Robots
PQR : Midi Libre – Centre Presse – Ouest France – Sud Ouest – La Montagne
Hebdos : Télérama – Paris Match

Trade marketing
Opération SF/Exofiction
BDC
Fond de vitrine
Illustation offerte
/ IMAGINAIRE

Brian Evenson MEMBRE FANTÔME
Membre fantôme renoue avec la logique absurde et cruelle de La Confrérie des mutilés et la pousse encore plus loin : cette fois-ci, Kline est confronté à une secte féminine qui tronçonne les hommes par le milieu et croit en la résurrection de la chair.
LE LIVRE
Kline, un ancien détective amputé du bras droit, est hanté par des visions cauchemardesques résultant de son enquête au sein de la Confrérie des mutilés, une secte qui prône l’automutilation comme forme de purification mystique. Ramassé par la police dans un état de clochardisation, il est jeté en prison et change d’identité pour échapper à son passé. Mais un détenu aux doigts et à loreille coupés ne tarde pas à le reconnaître, et lui fait passer ce message : « Rentre au bercail. » A sa sortie de prison, Kline sera
L’AUTEUR
7 mai 2025
14 × 20,5 cm
180 pages 20,00 €
ISBN :

chargé par les Paul – une branche hérétique de la Confrérie – d’investiguer le meurtre de certains de leurs adeptes, retrouvés coupés en deux dans un frigo. Son enquête le conduira à la découverte d’un nouveau schisme au sein de la Confrérie : une secte dominée par les femmes, qui croient que la congélation des corps amputés fait apparaître un membre fantôme, lumineux et substantiel, à la place du membre manquant.
POINTS FORTS
• Sequel de La Confrérie des mutilés, paru en France en 2008 (Chercher Midi, puis 10/18) et vendu à 7 000 exemplaires.
• Un héros à la Philip Marlowe plongé dans un monde fanatisé, une intrigue horrifique aux accents bibliques, des dialogues absurdes et plein d’humour évoquant Samuel Beckett.
• Immobilité et Comptine pour la dissolution du monde ont reçu une presse dithyrambique – selon l’Observatoire de l’imaginaire, ils comptent parmi les livres les plus recensés dans leur catégorie.
• Sortie mondiale.
ACTUALITÉ
• Brian Evenson est invité au festival « Les Imaginales » (Epinal, 22-25 mai 2025) et une nouvelle inédite sera incluse dans l’anthologie dédiée (Diable Vauvert).
• La semaine de la sortie, pour fêter les « 30 ans d’écriture de Brian Evenson », des universitaires français organisent trois jours de conférences à l’université de Chicago à Paris, ainsi qu’une soirée de lancement à la librairie The Red Wheelbarrow.
• Sortie simultanée en poche de La confrérie des mutilés.
Brian Evenson (né en 1966) est romancier, essayiste, traducteur et enseigne lécriture créative à la California Institute of the Arts. On lui doit notamment La Confrérie des mutilés, Inversion et Père des mensonges, parus dans la collection « Lot 49 » du Cherche Midi, ainsi que Immobilité et Comptine pour la dissolution du monde (Rivages/ imaginaire).
LES DIDASCALIES EN QUESTION
Pierre Letessier


Tout le monde sait, a priori, ce qu’est une didascalie : ces petits mots descriptifs et insignifiants qui entourent les dialogues de théâtre. Fort de cette définition, les lecteurs croient également que les didascalies ont toujours existé, à côté des dialogues. Qu’elles sont destinées au metteur en scène potentiel qui saura ainsi comment représenter le texte sur scène. Qu’elles inscrivent nécessairement le texte dans une époque révolue, rendant la pièce dépassée, vieillotte. Toutes ces préconceptions sont déconstruites par Pierre Letessier, qui explique combien les pratiques d’éditions du Moyen Âge travestissent le paradigme d’écriture théâtrale de l’Antiquité, en lui ajoutant artificiellement des didascalies afin de rendre plus lisible aux lecteurs un texte dont il ne connaît plus les codes. À l’époque carolingienne seulement, le système binaire, conçu comme une répartition plus ou moins inégale entre des dialogues et des didascalies, apparaît. C’est alors que les didascalies deviennent une pratique d’écriture à part entière. Les auteurs modernes peuvent donc décider de leur usage : suppléer les dialogues, glisser vers la narration romanesque, rendre le dialogue impuissant, rompre avec les codes classiques. Enfin, le xxie siècle crée une véritable rupture avec le système binaire car les auteurs contemporains rendent la didascalie hypothétique, en rejetant son injonction énonciative. Elles appellent ainsi l’extension de l’imaginaire du lecteur et mettent à l’épreuve son esprit critique. Grâce à ce regard panoramique posé sur les didascalies, le lecteur peut en saisir les enjeux littéraires, politiques et éthiques.
Repères
Points forts
• Le premier essai grand public consacré au rôle fondamental des didascalies dans le texte de théâtre.
• Un moyen efficace de découvrir l’évolution de l’écriture théâtrale à travers de grands auteurs tels que Corneille, Diderot, Edmond Rostand, Ionesco, Wajdi Mouawad ou encore Pauline Peyrade.
• Une sélection bibliographique qui ouvre un vaste champ de recherche pour les curieux.
Actualité
• Le 12 mai 2025, dans le cadre de l’anniversaire d’Actes Sud-Papiers, une soirée consacrée aux didascalies aura lieu à La Colline-théâtre national, à Paris.
Agrégé de lettres classiques, Pierre Letessier est maître de conférences en études théâtrales (Sorbonne-Nouvelle). Ses travaux portent, entre autres, sur les liens entre théâtre et musique, les enjeux herméneutiques des éditions de textes de théâtre, ainsi que sur les écritures contemporaines.

Quelques chiffres
• 54e titre de la collection “Apprendre”, qui contient des volumes synthétiques, conçus comme des boîtes à outils pour découvrir des pratiques de mise en scène et comprendre les ressorts du théâtre contemporain.
arts de la scène
Extraits
“Les didascalies […] ne sont pas des petits mots posés à côté du dialogue qui figent le texte dans une mise en scène imaginaire plus ou moins développée, mais des mots et des signes graphiques qui ont la capacité de réinventer le texte de théâtre, de donner au dialogue toute sa (dé)mesure et d’entraîner le lecteur – et après lui, le spectateur – dans des aventures extraordinaires sans cesse renouvelées.”
“ TARTUFFE. Le ciel défend, de vrai, certains contentements, (C’est un scélérat qui parle.)
Mais on trouve avec lui des accommodements.”
Tartuffe ou l’Imposteur, Molière, 1644
“[…] Un long moment de silence anglais. La pendule anglaise sonne dix-sept coups anglais.
MME SMITH. Tiens, il est neuf heures.”
Rhinocéros, Ionesco, 1959
“Journée grise au château. Entre chien et loup. Une journée sans lumière, sans ombre, uniformément grise, grise uniformément. On pourrait entendre tomber la pluie mais on pourrait aussi bien ne pas l’entendre, c’est-à-dire qu’on pourrait bien (et mieux peut-être) n’entendre rien. On pourrait aussi tout imaginer parce que tout, absolument tout, est imaginable.”
Les Félins m’aiment bien, Olivia Rosenthal, 2004
Olivia Elias CE MONT QUI REGARDE LA MER

Couverture provisoire
128 pages / 140 x 205 mm 16 euros
ISBN 978-2-38669-025-9
Préface de Khalid Lyamlahy
Poème après poème, la Palestinienne
Olivia Elias redessine les contours d’un territoire martyrisé par les guerres successives et raconte, avec une délicatesse à fleur de peau, l’histoire de ses corps suppliciés. Par ses mots, leur présence ou parfois leur remarquable absence sur la page, Olivia cherche à matérialiser cet effacement pour mieux le contrer. Et si ce nouveau recueil affronte sans ambages la violence subie par le peuple palestinien, il laisse entrevoir l’émergence d’un collectif puissant et infiniment solidaire.
À la fin de son recueil, la poétesse donne à chacun et chacune quelques clés –géographiques, historiques, politiques, écologiques même – pour mieux saisir la réalité des Palestiniens et Palestiniennes, à Gaza, ailleurs en Palestine, ou en exil.
L’AUTRICE
Née à Haïfa en 1944, Olivia Elias a vécu sur trois continents. Après une enfance à Beyrouth où sa famille avait trouvé refuge, elle poursuit des études d’économie à Montréal. Elle y vit et y enseigne de nombreuses années avant de s’établir en France au début des années 1980. Elle a toujours écrit mais n’a décidé de publier qu’en 2015, année de parution de L’Espoir pour seule protection (Alfabarre). Ont suivi Ton nom de Palestine (2017, Al Manar), puis Chaos, Traversée (2019, La Feuille de thé). Ses livres sont traduits en plusieurs langues, notamment en anglais, par la prestigieuse maison de poésie World Poetry Books.
LE PRÉFACIER
Né à Rabat en 1986, Khalid Lyamlahy est maître de conférences en littératures francophones à l’université de Chicago, mais également critique littéraire pour En attendant Nadeau et écrivain. Il a publié deux romans chez Présence Africaine : Un roman étranger (2017) et Évocation d’un mémorial à Venise en 2023, prix des Cinq Continents de la francophonie (mention spéciale du jury).

• Une écriture incisive et puissante, dans laquelle se rejoignent avec beaucoup de sensibilité intime et politique.
• Le nouveau recueil d’une poétesse palestinienne dont la voix est de plus en plus remarquée à l’international.
• Une publication qui viendra s’inscrire dans la programmation du prochain Marché de la poésie à Paris.
Littérature
étrangère

Traduit de l’espagnol par Alexandra Carrasco.
Édition bilingue
María Sánchez
FEU LA SOIF
Une poésie militante, politique, lyrique, qui dénonce le poids des décisions humaines sur le cours d’un ruisseau ou le vol d’un oiseau.
LE LIVRE
Dans Feu la soif, María Sánchez évoque un fragment du monde qu’elle connaît bien, situé non loin de Séville : la campagne où sa famille exploite une ferme, devenue méconnaissable en raison de la sécheresse et de l’incurie humaine. La crise climatique et la destruction des paysages de son enfance la ramènent à l’urgence de cette question : quel avenir avons-nous encore et comment l’écrire ?
Surgi de la douleur de voir disparaître des animaux, des rivières, des forêts, ce recueil est teinté de tristesse et de fureur. Il invite
L’AUTRICE
14 mai 2025
14 × 20,5 cm
128 pages 16,00 €
ISBN :

le lecteur à ralentir le pas pour observer ce qui l’entoure ici et maintenant, mais aussi à commémorer les êtres ou les choses qui autrefois peuplaient son environnement dans l’espoir de dessiner un horizon plus vivable, plus désirable.
En donnant la parole à ceux – animaux, plantes − que nous avons décidé de réduire au silence, ces poèmes suscitent l’émerveillement et la compassion, réveillent l’amour du monde qui seul pourra nous sauver de la catastrophe.
POINTS FORTS
• Un hymne à la nature, sur un mode poétiquement offensif, qui défie l’inertie dans laquelle nous nous laissons prendre.
• Une volonté de se faire archiviste des choses qui disparaissent.
• Comme chez Irene Solà dans Je chante et la montagne danse (Seuil, 2022), l’environnement est une entité vivante et agissante. María Sánchez donne la parole aux animaux, aux arbres, aux ruisseaux.
• À l’heure où la poésie retrouve des lecteurs, celle de María Sánchez est particulièrement facile à proposer, loin de tout hermétisme, concrète, sensible et d’une grande maîtrise. Elle s’inscrit dans un courant d’écopoésie qui tente d’inventer de nouvelles manières de voir l’écosystème.
• Une presse dithyrambique en Espagne, où le recueil est resté en tête des ventes de poésie pendant plusieurs semaines.
QUELQUES CHIFFRES
• La Terre des femmes, ventes Mistral (GF + poche) : 5200 ex.
ON EN PARLE
Née à Cordoue en 1989, María Sánchez est vétérinaire de campagne et écrivaine. Elle défend de nouvelles formes de production et de relations à la terre et poursuit depuis plusieurs années un combat politique et poétique pour rendre leur place aux femmes dans le monde rural.
Son texte La Terre des femmes a été un phénomène en Espagne et un grand succès en librairie. Depuis, elle a été traduite dans de nombreux pays et parcourt l’Europe pour défendre une approche sensible et poétique du vivant.
• « Retenons le nom de cette jeune femme vive et curieuse, qui peut pendant des heures vous parler du comportement social et des réflexes maternels des chèvres, de l’écorçage des chênes-lièges, ou de la trilogie rurale de John Berger. Le tout, à deux pas du méandreux Guadalquivir, ou dans les recoins pentus de la sierra Morena », Thierry Clermont, Le Figaro littéraire
• « Envoûtante, lumineuse, et toujours politique », El cultural
ART FABER ET LITTÉRATURE
Quand les écrivains racontent et façonnent les mondes économiques
Jérôme Duval-Hamel, Lourdes Arizpe et le Collectif de l’Art faber
Regroupées sous l’étendard de l’Art faber, les œuvres ayant pour thèmes le travail, l’entreprise et plus généralement les mondes économiques sont présentes dans toutes les disciplines artistiques. La littérature, notamment, en offre depuis toujours de nombreuses et belles pages.
Les mondes agricoles, comme ceux de l’industrie, des services, ou encore des crises sociales, financières et environnementales, deviennent sujets de narration, nourrissant une littérature de l’Art faber qui influence en retour les mondes économiques, contribuant même à les façonner.
Ce sont ces deux versants de la littérature faberienne – raconter les mondes économiques et les façonner – que ce bref spicilège invite à découvrir. Des œuvres célèbres, d’autres moins connues, voire oubliées, issues des scènes francophone, anglophone et germanophone, jalonnent cette promenade parmi les écrivains de l’Art faber : Charlotte Brontë, Charles Dickens, Elizabeth Gaskell, Victor Hugo, Jules Verne, Gerhart Hauptmann, Honoré de Balzac, George Sand, Thomas Mann, Elfriede Jelinek, Émile Zola, Upton Sinclair, George Orwell, Louis-Ferdinand Céline, John Dos Passos, Jack London, John Steinbeck, Bertolt Brecht, John le Carré, Michel Vinaver, Don DeLillo, Béatrix Potter, Theodore Dreiser, Heinrich Böll, Michel Houellebecq, Maylis de Kerangal, Annie Ernaux…
Pour plus d’information : www.artfaber.org.
Repères
Points forts
• Cet ouvrage s’inscrit dans la collection “Actes Sud / Art faber”. Déjà publiés : Petit Traité de l’Art faber (Actes Sud, 2022), Spicilège beaux-arts de l’Art faber (Actes Sud, 2023) et Poésie de l’Art faber (Actes Sud, 2024).

JODI PICOULT JENNIFER F. BOYLAN
Le Goût des secrets
Roman traduit de l’anglais (États-Unis) par Marie Chabin
Un nouveau roman bouleversant sur ce que nous choisissons de garder de notre passé et ce que nous choisissons de laisser derrière nous.
Olivia McAfee sait ce que c’est que de repartir à zéro. Sa vie parfaite – installée à Boston, mariée à un brillant chirurgien cardio-thoracique et mère d’un adorable fils, Asher – a été bouleversée lorsque son mari a révélé son côté obscur. Jamais elle n’aurait imaginé qu’elle reviendrait dans sa ville natale du New Hampshire, dans la maison où elle a grandi, et qu’elle reprendrait les ruches de son père apiculteur.
Lily Campanello a elle aussi l’habitude des recommencements. Lorsqu’elle déménage avec sa mère à Adams, dans le New Hampshire, pour sa dernière année de lycée, elles espèrent toutes deux que ce sera un nouveau départ.
Et pour un instant, ces nouveaux départs sont exactement ce dont Olivia et Lily ont besoin. Leurs chemins se croisent lorsque Asher tombe amoureux de la nouvelle fille de l’école, et que Lily ne peut s’empêcher de tomber amoureuse de lui aussi. Avec Ash, elle se sent heureuse pour la première fois. Pourtant, elle se demande si elle peut lui faire entièrement confiance…
Un jour, Olivia reçoit un coup de téléphone : Lily est morte et Asher est interrogé par la police. Olivia est persuadée que son fils est innocent. Mais elle mentirait si elle ne reconnaissait pas chez lui les éclats de colère de son père et, au fur et à mesure que le procès contre lui se déroule, elle se rend compte qu’il lui a caché plus de choses qu’il n’en a partagé avec elle.
Le Goût des secrets est un roman à suspense captivant, une histoire d’amour inoubliable et une exploration émouvante et puissante des secrets que nous gardons et des risques que nous prenons pour devenir nous-mêmes.
QUAND LE CORPS D’UNE JEUNE FILLE DE 18 ANS EST RETROUVÉ CHEZ ELLE, SEULES 2 PERSONNES CONNAISSENT LA VÉRITÉ : L’UNE EST MORTE, L’AUTRE EST VOTRE FILS
POINTS FORTS
u Ce roman a tout pour plaire : deux voix féminines alternées, du suspense, un drame judiciaire, et une histoire d’amour en son cœur. Il parle d’authenticité et d’identité, il explore les secrets que l’on garde et les risques que l’on prend à devenir la personne véritable que l’on est au fond de soi.
u Avec lucidité, subtilité et une réelle connaissance de leurs sujets, les deux autrices abordent ces thématiques sociétales : violences conjugales et intrafamiliales, acceptation de la différence, mères célibataires luttant seules pour s’en sortir. Une lecture saisissante.
u Un livre de procès passionnant où le lecteur est placé exactement dans la position d’un juré populaire au tribunal et qui illustre avec force la facilité (et le drame) qu’il y a à dépeindre un même individu – avec ses forces, ses faiblesses, sa lumière et ses zones d’ombre – comme deux personnes fondamentalement différentes, selon qui s’y emploie.
u C’est dans l’intimité des rapports mère-fils que nous sommes enveloppés, et depuis cette intimité que nous vivons la mise en examen d’Asher, comme si on touchait du doigt cette expérience, qu’elle était à quelques centimètres de nous.
ACTUALITÉS
u En cours d’adaptation audiovisuelle.
JODI PICOULT & JENNIFER F. BOYLAN
Le Goût des secrets

LES AUTRICES
Jennifer Finney Boylan est l’autrice à succès de plus d’une douzaine de livres, dont un récit autobiographique best-seller, She’s Not There.
A Life in Two Genders. Défenseuse des droits des êtres humains de renommée nationale, elle est membre du conseil d’administration de PEN America. Pendant de nombreuses années, elle a été la coprésidente nationale de GLAAD et a contribué à la rédaction d’articles d’opinion pour le New York Times. Elle vit entre New York et Belgrade Lakes, dans le Maine, avec sa femme et leurs deux enfants.
Elle s’est réveillée un matin après avoir rêvé de la trame précise d’un roman qu’elle écrivait avec Jodi Picoult. Un message sur X plus tard et les deux autrices décidaient de le faire.
Jodi Picoult est née en 1966 à Long Island, dans l’État de New York. Après avoir étudié la littérature à Princeton et les sciences de l’éducation à Harvard, elle se consacre à l’écriture à partir des années 1990. Son œuvre, traduite en trente-sept langues, compte vingt-cinq romans, vendus à plus de vingt-trois millions d’exemplaires à travers le monde.
QUELQUES CHIFFRES
u J’aimerais tant que tu sois là : 21 000 ex. (AS, 2023 + Babel, 2024)
u Le Livre des deux chemins : 21 000 ex. (AS, 2021 + Babel, 2023)
u Une étincelle de vie : 29 000 ex. (AS, 2019 + Babel, 2021)
u Mille petits riens : 106 000 ex. dont 80 000 en Babel (AS, 2018 + Babel, 2019)
u La Tristesse des éléphants : 66 000 ex. dont 50 000 en Babel (AS, 2017 + Babel, 2018)
Tour à tour palpitant et déchirant. Cette collaboration entre deux autrices de best-sellers tisse harmonieusement les parcours d’Olivia et de Lily, créant une exploration hardie de la force que requièrent l’amour et l’acceptation.
The Washington Post
Passionnant… Une histoire bien rythmée qui met en lumière des questions actuelles, avec un procès stimulant qui en vaut la lecture.
Kirkus Review
Un récit envoûtant et fascinant.
Publishers Weekly
juin 2025 - JODI PICOULT & JENNIFER F.
Le Goût des secrets
Premier livre à quatre mains pour les deux autrices, deux personnalités publiques engagées.
Jennifer Boylan est une autrice transgenre, présidente de PEN America depuis 2023.
COMMUNICATION NUMÉRIQUE
• Posts sur les réseaux sociaux.
• Mise en avant dans la newsletter grand public Actes Sud.
• Spot vidéo.
• Campagne de sponsoring sur Méta.
• Campagne de sponsoring YouTube.
• Sponsoring de NL Voxe.
COMMUNICATION PRESSE, TV & RADIO
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Presse féminine : Avantages – Maxi – Cosmo – Femme actuelle – Elle – Version Femina
PQR : Charente Libre – Ouest France – Mayenne info – Metz Femmes – Bordeaux Madame – Le Journal des Yvelines
Radio : Ici – France 3
Presse belge et suisse : Le Soir – L’Avenir – L’Écho

STEPHAN SCHÄFER

Encore 25 étés
Roman traduit de l’allemand par Stéphanie Lux
La vie commence quand nous comprenons que nous n’en avons qu’une.
À la table de la cuisine d’une vieille ferme, deux personnes qui ne pourraient pas être plus différentes se rencontrent. Le narrateur de ce roman mène une vie pressée qu’il perçoit comme une interminable liste de choses à faire ; Karl, quant à lui, trie des pommes de terre jour après jour – et réfléchit.
Lorsque Karl confronte son invité au fait qu’il lui reste environ vingt-cinq étés à vivre, ils entament tous deux une conversation sur les grandes questions de la vie : pourquoi passons-nous autant de temps à travailler plutôt qu’à nous occuper des personnes et des choses qui comptent vraiment pour nous ? Où trouvons-nous le courage de réaliser nos propres rêves ? Et pourquoi la vraie vie ne commence-t-elle souvent que lorsque nous comprenons que nous n’en avons qu’une ?
POINTS FORTS
u Une méditation sur le sens de la vie qui parlera à tous.
10 × 19 CM
128 PAGES
15 € ENV.
978-2-330-20643-7 -:HSMDNA=WU[YX\:
Un livre enchanteur.
Die Zeit
Dans le premier roman de Stephan Schäfer, il n’est question de rien de moins que du sens de la vie.
Sächsische Zeitung
Ce roman est comme Karl, le cultivateur de pommes de terre. Il encourage à laisser la vie entrer dans la vie.
NDR Kulturjournal
L’AUTEUR
Né en 1974, Stephan Schäfer a travaillé pendant de nombreuses années comme journaliste et rédacteur en chef. Encore 25 étés est son premier livre. Il vit avec sa famille à Hambourg.

juin 2025 - STEFAN SCHÄFER
Il est toujours temps de revenir à l’essentiel
COMMUNICATION NUMÉRIQUE
• Création de vidéos et large diffusion : coups de cœur, parole de libraire, parole de traductrice, animation du visuel de couverture…
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• Appel à influenceurs, relais à la communauté Bookstagram.
• Masse critique et emailing Babelio.
• Envoi dans la newsletter Vox.
• Mise en avant dans la newsletter Actes Sud.
COMMUNICATION
PRESSE, TV & RADIO
Presse spécialisée : Lire Magazine (audience 34 000) – Psychologie Magazine (audience 140 000)
Presse féminine : Version Femina (audience 1 800 000) – Elle (audience 1 200 000) – Cosmo (audience 170 000) –
Avantages (audience 1 100 000) – Fémi-9
Radio : Ici (audience 7 300 000)
Presse belge et suisse : Le Temps – Le Soir – La Libre


LIEVE JORIS De chrysanthèmes en chrysanthèmes
Roman traduit du néerlandais par Marie Hooghe
Après Fonny (Actes Sud, 2019), Lieve Joris poursuit son autobiographie familiale en s’attachant à la vie de Hildeke, sa sœur atteinte du syndrome de Down, et aux tristes dernières années de son père. Handicapée mentale légère, la “Petite Hilde”, comme l’appellent tendrement les siens, est protégée des périls du monde par une sorte de rempart d’affection, mais maintenue dans une enfance perpétuelle : le domaine des amours lui restera fermé. Pourtant, elle connaît des moments de bonheur au cours de vacances en Espagne ou en Estonie, où sa gaîté naturelle insuffle à ses frères et sœurs une joie de vivre particulière.
Lieve Joris applique ici les méthodes d’observation et de composition qui ont fait le succès de tous ses récits : une description très précise et parfois très crue des êtres et des situations, patiemment construite à la manière d’un collage à partir de courtes scènes et de dialogues d’une trompeuse quotidienneté. Un récit mélancolique et touchant, où l’écrivaine dit adieu à sa famille et tout à la fois fait la paix avec elle.
L’AUTEURE

Née en Belgique, Lieve Joris est l’auteure d’une œuvre internationalement reconnue. Maintes fois couronnée, elle a reçu en 2014 aux Pays-Bas le prix Bob den Uyl pour Sur les ailes du Dragon (Actes Sud, 2014) et en Belgique le prix Spiegel pour sa contribution à la connaissance de l’Afrique à travers l’ensemble de son œuvre. Ses ouvrages sont disponibles en France aux éditions Actes Sud.
ACTES SUD

CAMILLA LÄCKBERG & HENRIK FEXEUS Mirage
Roman traduit du suédois par Susanne Juul et Andreas Saint Bonnet
Attention : dénouement explosif de la trilogie…
Décembre, à Stockholm. Une menace plane sur le ministre de la Justice. Au même moment, une macabre découverte secoue la ville : un tas d’ossements humains est retrouvé dans le métro, et le squelette pourrait bien appartenir à un financier de renom.
L’équipe de la détective Mina Dabiri est encore sous le choc des événements traumatisants de l’été précédent qui ont coûté la vie à l’un de leurs collègues. Pour l’aider à élucider cette sordide affaire, notre héroïne, connue pour sa phobie des microbes, fait de nouveau appel au célèbre mentaliste
Vincent Walder. Mais pour ce dernier, l’étau se resserre dangereusement, et l’air commence à manquer. Lorsque d’autres restes humains sont retrouvés dans les profondeurs des tunnels de la ville et que le ministre de la Justice disparaît soudainement, l’enquête bascule dans une course contre la montre. Un décompte de quatorze jours est amorcé. Quel sombre secret se cache sous la ville ? Et qui manipule les fils de la terreur pour viser les plus hautes sphères du pouvoir ?
Avec ce dernier volet électrisant, Camilla Läckberg et Henrik Fexeus orchestrent un finale explosif entraînant le lecteur vers une conclusion aussi inoubliable qu’implacable.
NE CROYEZ RIEN DE CE QUE VOUS LIREZ !
14,5 × 24 CM
544 PAGES
“Le troisième et dernier tome, Mirage, est enfin là, et il s’agit une fois de plus d’une construction policière impressionnante. […] Camilla Läckberg et Henrik Fexeus ne cessent de se surpasser dans leur collaboration. […] Dans leur mot de fin aux lecteurs, ils confient qu’ils vont regretter Mina Dabiri et Vincent Walder. Et moi aussi.”
Bohusläningen
“J’adore la façon dont le livre se termine, c’est totalement inattendu. […] Pour les deux premiers tomes, le choix du titre était évident, mais ce n’est qu’en terminant cette lecture que j’ai compris pourquoi celui-ci s’appelait Mirage. C’est vraiment un excellent livre que je recommande vivement. Même si c’est le dernier de la série, je ne peux m’empêcher d’espérer une suite, tant je suis accro à l’histoire de Mina et Vincent – je n’en ai jamais assez et j’en voudrais encore plus.”
Drustrups Bogblog
POINTS FORTS
u Un thriller psychologique haletant entre Fight Club et Seven
u Page-turner implacable
u Le dernier et le meilleur volet de la trilogie !
ACTUALITÉS
u Les premiers épisodes de l’adaptation française des romans de Camilla Läckberg, Erica, viennent tout juste d’être diffusés sur TF1.
QUELQUES CHIFFRES
u Mirage : + de 130 000 ex. vendus en Suède
u Trilogie vendue à + de 2,1 millions d’ex. dans le monde
u Camilla Läckberg, c’est + de 6 millions d’ex. vendus en France
LES AUTEURS
Camilla Läckberg est la reine incontestée du polar scandinave. Grâce à son héroïne Erica Falck et à la série Fjällbacka, elle s’est imposée sur la scène littéraire internationale.
En France, tous ses livres sont publiés chez Actes Sud.

Henrik Fexeus est un mentaliste, auteur et présentateur suédois. Plusieurs prix lui ont été décernés, aussi bien pour ses livres que pour ses interventions publiques. Il est reconnu dans le monde entier pour ses recherches sur la communication non verbale.
juin 2025 - CAMILLA LÄCKBERG &
Dernier volet de la trilogie écrite avec Henrik Fexeus, qui suscitera certainement de la curiosité de la part de ceux qui l’ont suivie et qui attendent d’en connaître le dénouement.
COMMUNICATION NUMÉRIQUE
• Posts sur les réseaux sociaux.
• Mise en avant dans la newsletter grand public polar.
• Campagne de sponsoring sur Méta.
• Spot vidéo.
• Campagne de sponsoring YouTube.
• Emailing dédié Babelio.
COMMUNICATION PRESSE, TV & RADIO
INSERTION PUBLICITAIRE


• Campagne Mediatransports Grandes lignes les 7 et 8 juin 2025 (confirmée)
• Pre-roll TF1+
Quotidiens : Le Figaro littéraire – Le Parisien – Aujourd’hui en France
Hebdos : Le Point – Les Échos week-end – Télé 2 semaines – Télé Z – Télé Star Jeux – Paris Match – Télé 7 jours…
Presse féminine : Elle – Madame Figaro – Biba – Ici Paris – Avantages – Modes & Travaux – Marie France – Fémitude –
Cosmopolitan – France Dimanche – Version Femina – Maxi…
Mensuels culture : Carrefour Savoirs…
PQR : Ouest France – DNA – L’Est républicain – L’Alsace – La Provence – La Voix du Nord – Le Progrès – La Semaine Metz/
Nancy – La Presse de la Manche…
Presse belge et suisse : Le Soir – Femina – 24 heures – La Tribune de Genève – Femmes d’aujourd’hui – Le Quotidien – Flair
Radios : France Bleu (des chroniques et partenariats jeux) – France Info (chronique)…
HENRIK

Présentoir de sol Achat espaces Enseignes
Colonne Läckberg - juin 2025 (PLV)

Visuel provisoire
Office : 04/06/2025
9782330206482
Contenance :
- 24 exemplaires du grand format Mirage
- 7 exemplaires du tome 1 Babel La Boite à magie
- 7exemplaires du tome 2 Babel Le Culte


VO - visuel provisoire
JO NESBØ L’Homme chauve-souris
Roman traduit du norvégien par Elisabeth Tangen et Alex Fouille
Naissance d’un mythe : réédition du premier roman de Jo Nesbø.
Ce tome inaugural de la série mettant en scène l’inspecteur Harry Hole entraîne le lecteur dans une enquête sombre et envoûtante sur les terres australiennes. Envoyé à Sydney pour enquêter sur le meurtre d’une jeune Norvégienne, Hole se retrouve plongé dans une intrigue complexe et tragique.
Il va devoir se frotter à la face cachée du continent – des luttes indigènes à la violence inhérente aux existences brisées par la dépendance et le racisme – tout en affrontant ses propres démons intérieurs. Le dénouement, d’une brutalité saisissante, scellera le destin torturé d’un héros devenu culte.
S’IL Y A UNE QUELCONQUE JUSTICE EN CE MONDE, HARRY HOLE SERA UN JOUR AUSSI CONNU QUE HARRY POTTER
POINTS FORTS
u Retour aux sources : Jo Nesbø – une découverte Gaïa.
u Lauréat du prix Riverton “Meilleur polar de l’année” 1997.
u Lauréat du prix Clé de verre “Meilleur polar Nordique de l’année” 1998.
u Harry Hole : un anti-héros emblématique – alcoolique, solitaire, hanté par la culpabilité et animé d’un sens paradoxal de la justice qui confine à l’autodestruction.
Je suis le meilleur auteur de polar au monde. [Jo Nesbø] est un homme qui me talonne comme un pitbull enragé prêt à prendre ma place si je venais à mourir tragiquement.
James Ellroy
Jo Nesbø est mon nouvel auteur de thriller préféré et Harry Hole est mon nouveau héros.
Michael Connelly
Nesbø s’en prend aux clichés, les envoie impitoyablement valdinguer et invente de nouveaux modèles.
The Independent
u Ce premier roman, dense et bruissant de résonances tragiques, explore des thèmes fondateurs de l’œuvre de Jo Nesbø : le poids écrasant de la culpabilité, l’ambiguïté morale, et l’irrésistible force de destruction qui nous habite tous.
u Le choix d’un cadre exotique permet de déconstruire l’espace habituel du polar nordique en confrontant le héros à un monde étranger, symbolisant son propre déracinement.
Un livre fascinant […] C’est vraiment une ouverture époustouflante de la série.
Jo Nesbø pourrait être le prochain Munch ou le prochain Ibsen…
Sunday Times
CNN
u L’œuvre de Nesbø transcende les frontières du polar traditionnel pour interroger des problématiques universelles : la nature du mal, les ambiguïtés morales de la justice, et la vulnérabilité humaine face à ses propres contradictions.
QUELQUES CHIFFRES
u Droits cédés dans plus de 50 langues.
u 50 millions d’exemplaires vendus dans le monde.
JO NESBØ L’Homme chauve-souris
L’AUTEUR

Né en 1960 à Oslo, Jo Nesbø est musicien, auteur-compositeur et économiste. Il est également l’une des figures de proue du polar scandinave, reconnu autant par le public que par la critique pour la qualité littéraire et la profondeur psychologique rares de ses romans. Il est l’auteur de plusieurs standalones, mais s’est surtout fait connaître pour son inspecteur culte Harry Hole qui a fait l’objet de plusieurs adaptations audiovisuelles. Traduit dans plus de cinquante langues, ses livres se sont vendus à cinquante millions d’exemplaires et ont été récompensés par d’innombrables prix littéraires prestigieux dans le monde entier.
Dans une Australie moite et éclatée par les tensions raciales, l’inspecteur Harry Hole traque l’ombre d’un tueur insaisissable. Chargé d’enquêter sur le meurtre sordide d’une jeune Norvégienne à Sydney, il découvre un labyrinthe de violence, de secrets enfouis et de vies brisées. Mais au fil de nuits hantées par les souvenirs, l’enquête devient un miroir cruel où chaque vérité trouvée révèle un abîme plus profond.
Entre la lumière crue des grands espaces et la pénombre des âmes perdues, L’Homme chauve-souris déploie une intrigue d’une noirceur implacable, où l’homme se confronte à ses propres monstres. Premier acte de la série des enquêtes d’Harry Hole, ce roman inaugure la plongée vertigineuse de Jo Nesbø dans les recoins les plus sombres de la condition humaine.
Avec une écriture au cordeau, Nesbø ne résout pas le mystère : il l’éclaire d’une lumière tragique, révélant ce qu’il coûte de regarder la vérité en face.

JAMES LEE BURKE CLETE
Dans le dernier épisode de sa célèbre série Dave Robicheaux, James Lee Burke, auteur de best-sellers du New York Times, met pour la première fois en avant
Clete Purcel, le partenaire et ami de Dave, qui tente d’arrêter les trafiquants d’une nouvelle drogue dangereuse.
LE LIVRE
Clete Purcel, détective privé, ancien membre de la police de la Nouvelle-Orléans et vétéran de guerre à la carapace dure et aux quelques points faibles, est l’ami de longue date de Dave Robicheaux et son partenaire de travail. Mais il a un passé trouble. Lorsque Clete laisse sa voiture à la station de lavage locale pour la retrouver saccagée par un groupe de voyous liés au trafic de drogue, des cartels mexicains implantés à la Louisiane, il se sent concerné sa petite-nièce est morte d’une overdose de fentanyl, et ses poings se serrent lorsqu’il pense aux dealers qui l’ont vendue. Alors quil commence à remonter la piste des coupables, Clara Bow, une femme à lhistoire sombre,
engage Clete comme détective pour enquêter sur son ex-mari magouilleur et retors. Et une série de morts brutales semblent toutes liées à un homme lourdement tatoué qui rôde à chaque coin de rue. Clete est victime d’hallucinations étonnamment réalistes et s’interroge sur les arrière-pensées de Clara, lorsque Dave et lui commencent à entendre des rumeurs sur une substance dangereuse aux effets potentiellement catastrophiques. Les voyous qui ont détruit sa voiture pourraient bien avoir été les pions d’un plan bien plus sombre qu’ils n’auraient pu l’imaginer.
POINTS FORTS
• Après deux ans, les lecteurs français retrouvent Dave Robicheaux, mais dans un roman qui met en lumière son fidèle compagnon Clete Purcel, lequel tente d’arrêter les trafiquants d’une nouvelle drogue dangereuse.
• Violent, drôle et généreux, Clete apporte une perspective nouvelle à une série emblématique.
• James Lee Burke prouve une fois de plus qu’il est un « grand romancier américain dont l’œuvre, prise individuellement ou dans son ensemble, est inégalée » (Michæl Connelly).
• « Ne manquez absolument pas cette occasion de voir Dave à travers les yeux de son meilleur ami, sous un angle nouveau et plutôt intime. » Booklist
ACTUALITÉ
• Sortie simultanée en poche de Un autre Eden.
4 juin 2025
15,5 × 22,5 cm
350 pages 22,00 €
ISBN :
L’AUTEUR

James Lee Burke est l’un des auteurs les plus prolifiques du roman noir américain contemporain. Deux fois lauréat du prestigieux Edgar Award, il poursuit les sagas qui l’ont rendu célèbre, celle de l’enquêteur Dave Robicheaux (héros de Dans la brume électrique que Bertrand Tavernier a porté à l’écran) et de la famille Holland. Unanimement loué pour le lyrisme avec lequel il évoque la nature dans ses livres, engagé dans la défense de l’environnement, Burke continue à explorer de livre en livre, les ambiguïtés du bien et du mal, une quête puissante qui l’a fait comparer à Faulkner. Il partage son temps entre la Louisiane et le Montana où il vit aujourd’hui.
LÉONORE CONFINO ET GÉRALDINE MARTINEAU
L’Enfant
de verre
L’ENFANT DE VERRE
Léonore

Visuel provisoire
Dans une maison façonnée entièrement de verre, où chaque reflet semble une promesse de transparence, une famille dissimule ses secrets les plus sombres. Au cœur de ce royaume fragile, Liv, quinze ans, reçoit une mésange en verre, fragile héritage symbolique transmis de mère en fille. Mais lorsque l’oiseau se brise entre ses mains, le lendemain du mariage de sa sœur, c’est tout l’équilibre familial qui vacille.
Fable lumineuse et poignante, L’Enfant de verre interroge le poids des héritages invisibles et l’incapacité de chaque membre de la famille à affronter la vérité. Dans une écriture poétique et incisive, Léonore Confino et Géraldine Martineau dévoilent les failles et les silences qui hantent les âmes, tout en célébrant la résilience, la quête de vérité et l’espoir de réconciliation.

POINTS FORTS
› Une écriture poétique et onirique pour aborder le sujet des abus sexuels au sein de la cellule familiale.
› Léonore Confino a été nommée à trois reprises aux Molières dans la catégorie du meilleur auteur francophone.
› Un texte tout public (à partir de 15 ans).
ACTUALITÉ
› La pièce, créée le 7 décembre 2023 au théâtre de l’Épée de bois à Paris dans une mise en scène d’Alain Batis, sera à l’affiche du Festival Off Avignon à l’Espace Pasteur, puis en tournée la saison prochaine.
QUELQUES CHIFFRES
› Le Village des sourds (“Les Ateliers d’Actes Sud”, 2024) : 4 200 exemplaires vendus.



LES AUTRICES
Comédienne et autrice, Léonore Confino a écrit une dizaine de pièces, parmi lesquelles Building (L’Œil du prince, 2012) pour laquelle elle reçoit le Grand prix du théâtre, Le Poisson belge (Actes Sud-Papiers, 2015) et Le Village des sourds (Actes Sud-Papiers, 2023), toutes deux récompensées par le prix Sony-Labou-Tansi des lycéens en 2015 et 2024.
Comédienne de formation, Géraldine Martineau tient l’affiche du Poisson belge de Léonore Confino, en 2016, mis en scène par Catherine Schaub, aux côtés de Marc Lavoine (Molière de la révélation féminine). Depuis quelques années, elle écrit et met en scène pour le théâtre.
Léonore Confino et Géraldine Martineau résident à Paris.


› Le Village des sourds suivi de L’Effet miroir (Actes Sud-Papiers, 2023) : 1 800 exemplaires vendus.
› Le Poisson belge (Actes Sud-Papiers, 2015) : 2 300 exemplaires vendus.
PRESSE
Une partition théâtrale d’une beauté saisissante et aiguë autour de violences et silences infinis au sein d’une famille.
Agnès Santi, La Terrasse
À la lisière du fantastique, L’Enfant de verre, fable virtuose, nous plonge avec force dans les violences familiales.
Nedjma Van Egmond, Théâtral magazine

SERGE KRIBUS La Faille
Comment trouver sa place dans un monde hostile ? Dans cette pièce aux élans futuristes et dystopiques, Serge Kribus invite le lecteur à s’interroger sur notre capacité à préserver l’espoir face à l’effondrement.
La terre pourrit, elle craque. Des villes, des forêts entières s’effondrent. Une faille est apparue. Solee, une adolescente, rejette la peur qui isole, enferme, interdit l’empathie. Refusant de se résoudre, elle part. Sa mère tente de la faire renoncer, mais la jeune fille sait ce qu’elle veut. Elle veut dormir à la belle étoile, rêver, rire, goûter à la liberté, à la joie, à l’amour.

Aujourd’hui, les récits eschatologiques ne sont plus le produit des fantasmes mais une perspective réelle, concrète, celle de la fin de l’humanité. Serge Kribus nous rapproche un peu plus de la sombre issue, avec ce qu’elle engage de sauvagerie et de violences mais aussi d’éclats lumineux. Accompagnée par des personnages bouleversants, dans une langue électrique, La Faille creuse l’espace réduit et vertigineux de notre condition d’animaux humains et sensibles.
EXTRAIT
“Que va-t-il rester de tout ça ?
Peut-être rien.
Petit à petit, ce n’est pas exclu,
Peut-être bientôt, un jour, tout aura disparu.
Peut-être la vie s’efface.
Il y a tant de traces.
Qui pourra lire celles que nous avons lues ?
Qui pourra voir celles que nous aurons laissées ?
Peut-être personne.
Qui sait ?
Peut-être le glas sonne.”
POINTS FORTS
› Un texte tout public mettant en scène une héroïne adolescente hypersensible en quête d’identité dans un monde en déclin.
› Grande renommée de l’auteur auprès des professionnels (ses pièces sont régulièrement montées par le théâtre amateur) et de la critique (prix de la Critique, prix Théâtre de la SACD, prix de la Fondation Barrière, plusieurs nominations aux Molières).
ACTUALITÉ
› La pièce, dans une mise en scène de Paul Pascot, sera à l’affiche du Festival Off Avignon au Théâtre des Halles, puis en tournée la saison prochaine.
› À l’invitation de Dominique Bluzet, Serge Kribus est auteur associé au Théâtre des Bernardines, à Marseille.
L’AUTEUR
Auteur, metteur en scène et comédien, Serge Kribus a écrit trente textes de théâtre, créés et représentés en France, en Belgique, en Europe, en Amérique Latine et publiés aux éditions Actes Sud-Papiers et à L’avant-scène théâtre. Parmi elles, Arloc, Le Grand Retour de Boris S. ou encore Thélonius et Lola, un texte jeune public publié dans la collection “Heyoka jeunesse” d’Actes Sud-Papiers. Serge Kribus a reçu de nombreuses distinctions littéraires dont le prix de la Critique, le prix de la Société des auteurs et plusieurs nominations aux Molières. Il vit entre Paris et Bruxelles.



LE THÉÂTRE PALESTINIEN ET FRANÇOIS ABOU SALEM
Najla Nakhlé-Cerruti
Né “d’une mère française et d’un père palestinien”, François Abou Salem (1951-2011) a grandi et vécu la majeure partie de sa vie en territoire palestinien. Il est le père fondateur du courant théâtral qui émerge au début des années 1970 en Palestine et qui deviendra, en 1977, la première troupe professionnelle palestinienne, nommée El-Hakawati.
Assumant le rôle de directeur de troupe, de metteur en scène et d’auteur, François Abou Salem conçoit le théâtre comme un moyen d’affirmer la singularité de la culture palestinienne, notamment à travers la défense d’une langue arabe dialectale, populaire et poétique, qui s’adapte aux enjeux sociopolitiques des territoires palestiniens. Ses spectacles sont aussi les premiers à être exportés à l’international : il devient alors l’une des voix de la défense des droits humains des Palestiniens et, derrière son geste artistique, l’ombre d’un combat politique guette toujours. Son exigence esthétique autant que son engagement en faveur de la conservation d’une mémoire du peuple palestinien inspirent les jeunes générations de metteurs en scène contemporains, tel que Bashar Murkus et le collectif Khashabi.
Ce portrait de François Abou Salem atteste à la fois l’existence d’un théâtre palestinien, les empêchements qui étouffent son développement et sa quête de vitalité.
Agrégée d’arabe et docteure en langues, littératures et sociétés du monde de l’Institut national des langues et des civilisations orientales, Najla Nakhlé-Cerruti a été enseignante au département des études arabes de l’Inalco et chercheuse au cnrs. Elle est actuellement chercheuse meae à l’ifpo, pour l’antenne en Jordanie dont elle est responsable. En 2022, elle a publié La Palestine sur scène. Une expérience théâtrale palestinienne (20062016), aux Presses universitaires de Rennes.

Repères
Points forts
• Le Festival d’Avignon 2025 mettra à l’honneur le théâtre de langue arabe.
• Premier essai grand public dédié à la naissance et à l’histoire du théâtre palestinien.
• Najla Nakhlé-Cerruti est la première chercheuse à avoir eu accès aux archives de François Abou Salem, dont elle fait état dans cet ouvrage.
• Le livre contiendra une bibliographie pour les lecteurs curieux d’approfondir le sujet.
Actualité
• En juillet 2025, aura lieu une rencontre-dédicace à la Maison Jean-Vilar, à Avignon, ainsi qu’un débat dans le cadre du Café des idées du Festival d’Avignon.
• En novembre 2025, une journée hommage sera consacrée à François Abou Salem lors de la Biennale des Arts de la scène en Méditerranée, au Théâtre des 13 vents (cdn), à Montpellier.
Quelques chiffres
• 55e titre de la collection “Apprendre”, qui contient des volumes synthétiques, conçus comme des boîtes à outils pour appréhender des pratiques de mise en scène et comprendre ou découvrir les grands enjeux du théâtre contemporain.