Book Août Septembre 2025 - BD

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Diffusion ACTES SUD

Août Septembre 2025

Bandes dessinées

TOUS LES VISUELS PRESENTÉS DANS CE DOCUMENT SONT PROVISOIRES & PEUVENT NE

PAS REFLÉTER LA FINALITÉ DES PROJETS ÉDITORIAUX

Les visuels qui n’apparaissent pas sont toujours en cours de développement

couv provisoire

256 pages - n&b - broché

Couverture bichromie avec rabat

17x23 cm

ISBN : 978-2-330-21003-8

Parution : fin août 2025

Paola GUZZO - Cécile ROUSSET

NOUS SOMMES LA VOIX DE CELLES QUI N’EN ONT PLUS

Histoire d’un collectif à l’origine des collages contre les féminicides d’après une enquête de Paola Guzzo et Romane Pellen

Fin août 2019, une militante propose sur instagram à des inconnues de se réunir pour un premier collage collectif contre les féminicides, sur les murs de Paris. En quelques semaines, le mouvement s’étend comme une traînée de poudre.

La journaliste Paola Guzzo fait partie du mouvement depuis les premières heures. Elle a tenu un journal, enquêté et rapporté les témoignages des “colleureuses”. Elle rencontre Cécile Rousset, qui a remporté plusieurs prix pour ses documentaires animés, et ensemble elles racontent cet évènement qui marque, comme d’autres, notre époque en pleine transformation.

A l’origine de ce récit : le procès, reporté à plusieurs reprises depuis cinq ans, de quatre femmes accusées de s’être rebellées contre les forces de l’ordre lors d’un contrôle alors qu’elles collaient, sur les murs de Nantes, un 14 juillet, les mots “LIBERTÉ, ÉGALITÉ, IMPUNITÉ”.

Dans des dizaines de villes en France, et partout dans le monde, les mêmes lettres noires inondent les murs, affichant aux yeux de tous les prénoms de femmes mortes. Le moyen d’action est simple et accessible : seules ou en groupe, des femmes prennent possession de la ville, la nuit, et nous confrontent le jour à cette glaçante vérité.

Le collectif s’organise, autour notamment de Tal et Camille, très impliqué.e.s sur le terrain et sur les réseaux. Les actions deviennent nationales. La nature des messages évolue, s’étend à un féminisme plus large, mais pose aussi de nouvelles questions, qui mettent les militant.e.s à l’épreuve : le mouvement se déchire sur la place des trans en son sein, et se scinde en deux camps qui collent l’un contre l’autre! Le positionnement de Marguerite Stern, créatrice du mouvement, devient rapidement perturbant, et sa trajectoire clairement problématique pour le collectif.

Tal, Camille et beaucoup d’autres votent son exclusion du groupe. Très sollicitée.e.s par des victimes de violence, les militant.e.s tentent de les accompagner et de leur venir en aide, se substituant à l’ État. Les plus

investi.e.s se noient dans des missions qui les épuisent et les dépassent.

Enfin, le collectif se confronte à l’antiféminisme virulent qu’il a réveillé, sur les réseaux comme dans la rue. En 2023, quatre “colleureuses”, dont Marianne, attendent encore leur procès. Des policiers les accusent devant la justice de s’être rebellées pendant un contrôle en 2020. Début 2024, elles sont relaxées. (L’appel est toujours en attente de délibéré). Le combat contre les violences est loin d’être gagné.

Ainsi avancent les luttes fémistes : un grand bond en avant suivi souvent d’un petit pas en arrière. Malgré le ressac, la grande vague féministe continue de progresser, et une seconde génération de colleureuses prend le relais.

En posant un regard extérieur sur cette histoire, ce livre va essayer de comprendre ce qui fait la force de ce mouvement, au carrefour de l’Art et du militantisme, et les raisons pour lesquelles une première génération de colleuses s’y est jetée, puis épuisée, corps et âme.

La journaliste (Radio France, France bleu, Nova…) Paola Guzzo était du collectif dès la première heure. Elle a suivi le mouvement, tenu un journal, enquêté et rapporté une histoire de ce collectif féministe.

Cécilé Rousset est une dessinatrice et réalisatrice de films d’animation documentaires (Le COD et le coquelicot). ou la série sur Arte Elle vit à Paris

LA MEUTE

Couverture provisoire

Traduit de l’allemand par Elisabeth Willenz

Couverture et intérieur couleur

240 pages / 170 x 224 mm

24 euros ttc

ISBN 978-2-38669-035-8

Nous sommes à la fin du dix-neuvième siècle et la communauté scientifique est peut-être sur le point de faire une découverte majeure. En effet, l’Institut des sciences contemporaines d’une petite ville française détient pour la première fois entre ses murs un loup-garou vivant. Une chance pour Margot, une jeune étudiante qui vient d’y commencer son semestre de stage. Mais Margot se rend rapidement compte que ses collègues masculins entendent bien la laisser à l’écart. Elle décide alors de se débrouiller seule et découvre bientôt que ce loup-garou n’est pas ce que la science veut voir en lui : il n’est ni un monstre, ni vraiment un animal, ni complètement un humain. D’ailleurs, ce loup-garou est une femelle – ou une femme selon le point de vue que l’on adopte – et elle s’appelle Versailles. Et parce que Margot est une femme justement, personne ne se donne la peine d’écouter ce qu’elle pourrait dire. Ensemble, avec Versailles, elles vont essayer de faire comprendre aux autres qui sont vraiment les loups-garous, et pourquoi ils se cachent. Peut-être qu’en les connaissant mieux, le village saura les accueillir, ne les contraignant plus à se cacher dans la forêt...

Page après page, la frontière qui séparait les deux mondes créés par Noëlle Kröger – une petite ville française d’une

part, et une communauté de loupsgarous d’autre part – s’érode, à l’image des idées reçues de Margot, jusqu’aux couleurs des illustrations qui en viennent à se mélanger. Une bande dessinée à la fois accessible et profonde, qui peut se lire comme une réflexion passionnante sur nos représentations parfois binaires sur le genre, mais aussi sur les relations interespèces.

L’AUTRICE

Née en 1997, Noëlle Kröger est dessinateurice de bande dessinée et vit aujourd’hui à Hambourg. Après un bachelor et un master obtenus à l’université des arts appliqués de Hambourg (HAW Hamburg), Noëlle fait paraître en 2022 chez Mamiverlag Was bedeutet mir der Werwolf? (Que signifie pour moi le loupgarou ?). Iel a également publié plusieurs bandes dessinées autoéditées, comme Das Unbehagen des guten Menschen (Le syndrome de la bonne personne), qui a reçu le prix GINCO en 2021 et a été traduit en anglais chez Fieldmouse Press.

La Meute est son tout premier livre traduit en français.

• Une bande dessinée aussi profonde que divertissante, qui interroge avec subtilité les normes qui régissent notre société.

• Une relecture audacieuse du mythe du loup-garou : un être frontière, que l’on questionne le rapport interespèces ou les représentations de genre.

• La toute première publication en France d’un.e jeune illustrateurice allemand.e talentueux.se.

Bande dessinée / 20 août 2025

Noëlle Kröger

Bande dessinée / 20 août 2025

Noëlle Kröger

Bande dessinée / 20 août 2025

Noëlle Kröger

UNE ISSUE

(titre provisoire)

Traduit du néerlandais par Noëlle Michel

Couverture et intérieur couleur

232 pages / 170 x 224 mm 24 euros ttc

ISBN 978-2-38669-036-5

Une jeune enseignante, Magda, mène une vie paisible à Varsovie. Un jour, elle tombe enceinte sans l’avoir désiré et sa vie bascule, car l’avortement est encore illégal en Pologne. Et comme il fait l’objet de vives controverses dans le pays, parler à ses proches de sa situation est particulièrement difficile pour elle. Surtout que Magda doit aussi faire face à ses propres doutes, sans parler des sueurs froides que lui provoquent ses lectures sur internet, quand elle cherche à tout prix une solution pour réussir à se faire avorter.

Heureusement, la sœur de Magda sera pour elle un soutien indéfectible, nous rappelant que les réseaux de solidarité entre femmes ont longtemps suppléé aux États défaillants en matière de santé des femmes. B. Carrot nous raconte ainsi avec beaucoup de sensibilité et de justesse la solitude de Magda, les affres qu’elle traverse, tout en soulignant avec force à quel point l’intime est, encore et toujours, politique.

L’AUTRICE

Originaire de Jérusalem et désormais installée à Nijmegen, aux Pays-Bas, B. Carrot est une autrice de bande dessinée. Formée à l’école Sint Lukas à Bruxelles, son œuvre s’intéresse aux expériences humaines, aux liens que nous entretenons avec notre environnement et à la complexité qui en découle. Elle explore des thèmes politiques comme l’immigration, le féminisme, la lutte des Palestinien·nes et l’industrie agroalimentaire.

• Une histoire qui ne manquera pas de faire écho à l’actualité française et internationale, qui nous rappelle que l’avortement est un droit fondamental encore menacé.

• Un livre accessible et sensible, qui invitera chacune et chacun à mobiliser sa propre capacité à l’empathie.

• Une bande dessinée profondément féministe, qui illustre à quel point l’intime est politique.

Couverture provisoire

B. Carrot UNE ISSUE

(titre provisoire) Bande dessinée / 20 août 2025

B. Carrot UNE ISSUE

(titre provisoire) Bande dessinée / 20 août 2025

B. Carrot UNE ISSUE

(titre provisoire) Bande dessinée / 20 août 2025

Bande Dessinée / 20 août 2025

Jérémie Dres NOUS N’IRONS PAS VOIR AUSCHWITZ

Préfacé par Jean-Yves Potel

Couverture quadri / Interieur noir

192 pages / 170 x 240 cm 19 euros TTC

ISBN : 978-2-91658-976-3

Nous n’irons pas voir Auschwitz est le premier roman graphique de Jérémie Dres. À la recherche de leurs origines, l’auteur et son frère partent en Pologne sur les traces de leur grand-mère décédée. Cette quête familiale leur permettra de rencontrer la communauté juive polonaise d’aujourd’hui et de mesurer son renouveau. À travers une multitude de rencontres, avec la jeune génération d’artistes polonais à Varsovie, avec un rabbin progressiste américain ou encore avec l’historien Jean-Yves Potel, c’est une image moderne et contrastée de la nouvelle communauté juive de Pologne qui émerge de ce récit intimiste.

Au-delà d’un simple travail de mémoire, ce que les deux frères vont découvrir va profondément enrichir leur identité, faire la lumière sur les relations judéo-polonaises et interroger les préjugés, notamment d’antisémitisme, qui ont pu leur être transmis durant leur enfance.

De Paris à Varsovie, entre recherche identitaire et enquête documentaire, Jérémie Dres dresse avec un ton plein de justesse et de drôlerie un portrait de la communauté juive de Pologne. Par son aspect documentaire, ce roman graphique original aborde avec une perspective inédite, toute en finesse, des problématiques peu traitées par la bande dessinée contemporaine : le rapport à l’avenir de la communauté juive de Pologne, à travers ses aspirations et ses contradictions.

L’AUTEUR

Jérémie Dres vit et travaille à Paris. Diplômé des Arts Décoratifs de Strasbourg, il est l’auteur de nombreux romans graphiques : Nous n’irons pas voir Auschwitz (Cambourakis, 2011), Dispersés dans Babylone (Gallimard BD, 2014) et Si je t’oublie Alexandrie (Steinkis 2018), Le jour où j’ai rencontré Ben Laden 1 De Vénissieux à Tora Bora (Delcourt, 2021), Le jour où j’ai rencontré Ben Laden 2. Détenus 161 et 325 à Guantánamo (Delcourt, 2022). Parallèlement, il réalise des reportages BD courts pour la presse dans des revues comme XXI, Neon, Phosphore ou Muze.

• Remise en vente de ce titre à l’occasion de la publication d’un roman graphique conçu comme une suite à ce volume, à paraître chez Bayard en août 2025 comme titre-phare de leur rentrée

• Le premier roman graphique de Jérémie Dres, au croisement entre autobiographie et enquête documentaire.

Jérémie Dres NOUS N’IRONS PAS VOIR AUSCHWITZ

Jérémie Dres NOUS N’IRONS PAS VOIR AUSCHWITZ

ROSALIE STROESSER VINCENT FARASSE Des vies multiples

Carnets d’une jeune actrice

Quand la bande dessinée rencontre et raconte le théâtre.

L’histoire se déroule avant la scène, avant le lever du rideau. C’est le temps qui précède l’illusion théâtrale.

PAR LA DESSINATRICE DE SHIKI

POINTS FORTS

u Shiki, tout premier livre de Rosalie Stroesser (Virages graphiques, 2023) : près de 9 000 ex. vendus.

u Thématique inédite en bande dessinée.

u Succès de la série Ceux qui rougissent sur Arte (2024).

u Récit d’apprentissage.

u Cadeau facile pour tous les jeunes qui veulent faire / font du théâtre.

u u En 2023, 12,2 millions de Français·es déclarent être allés au théâtre. 62% de la population dit vouloir s’y rendre davantage. Plus d’un tiers des spectateurs a moins de 34 ans. (Médiamétrie)

14% des Français·es pratiquent en amateurs le théâtre au cours de leur vie. (Insee)

SEPTEMBRE 2025

16 × 21 CM

240 PAGES

21 € ENV.

978-2-330-21160-8

-:HSMDNA=WVV[U]:

Jeanne, jeune femme introvertie qui charrie sa vie dans un grand sac qui ne la quitte jamais, souhaite intégrer une école de théâtre prisée et devenir comédienne. Des auditions aux premiers cours, de quiproquos en apartés, des petits mensonges au “faire semblant”, son parcours sur des planches pas encore éclairées revêt l’authenticité d’un délicat apprentissage. Être soi avant d’endosser le costume d’un autre.

u Au lycée en 2024, environ 6 000 élèves (première et terminale générales) en spécialité théâtre.

LES AUTEURS

Il y a beaucoup de gens pour dire que le théâtre ne s’apprend pas. Les uns, qui méprisent tout apprentissage, rejoignent ici les autres, qui ne croient qu’au génie. Culte de la spontanéité, culte de l’ineffable –finalement, c’est la même chose. Ce que cette même chose nie, implicitement ou non, c’est le travail, précisément le travail du jeu. Et qui pourrait dire qu’un jeu ne s’apprend pas ?

Vincent Farasse est auteur, metteur en scène, comédien, scénariste et réalisateur. Son théâtre est publié aux éditions Actes Sud-Papiers. Depuis 2015, il intervient régulièrement dans différentes écoles en tant que pédagogue sur le jeu d’acteur.

Après Les Représentants, Au cours de théâtre est sa deuxième bande dessinée.

Rosalie Stroesser est autrice de bande dessinée et illustratrice pour la presse ( New York Times, Le 1 hebdo, etc.). Après Shiki, Au cours de théâtre est sa deuxième bande dessinée

Visuel provisoire

23 x 32 cm

140 pages relié noir et blanc

ISBN : 978-2-330-21004-5

avec le soutien du département de l’Ariège Pyrénées

Parution : septembre 2025

ACTES SUD BD

DÉMONTAGNER

Dans les montagnes, le pastoralisme existe encore. Mais ce n’est pas un refuge idéal, isolé du monde d’en bas.

Ce n’est pas une longue sieste au bord des torrents frais, sous un grand soleil tiède, à l’ombre d’un troupeau docile, avec une petite flûte en os qu’on sert dans son gros poing rugueux et, quand on se réveille, on la met à sa bouche pour faire danser son chien.

Ce n’est pas ça, non... et pourtant Maxim Cain continue de garder des troupeaux de brebis dans les Pyrénées ariégeoises depuis dix ans.

Même si le récit débute comme une autobiographie ou un reportage, il est construit comme une fiction. Ce n’est pas un récit intime strictement authentique mais plutôt une tentative de dire la vérité sensible du pastoralisme. C’est un témoignage lié à une culture et à une pratique locale du métier, souvent à rebours de l’image pastorale telle qu’elle est fantasmée.

Cependant, en dépassant le réel, en utilisant la fiction, l’auteur veux sortir du strict témoignage documentaire pour mieux dire le décalage et le trouble ressenti et vécu en travaillant en montagne : la fuite dans la solitude, la peur face à l’austérité, à la violence des paysages et des événements, le trouble de la perception du temps et des sens, le contraste entre l’amplitude de l’espace et la réclusion sociale, le décalage entre la vie d’en-bas et celle de l’estive.

Le terme démontagner désigne la transhumance d’automne et signifie “quitter la montagne”. C’est aussi le choix que fait le berger d’abandonner la montagne du Mont Rouch.

Malgré l’isolement, la vie en montagne est aussi animé de rencontres : éleveurs, chasseurs, agents de l’ONCFS, randonneurs, bergers voisins et interlocuteurs invisibles au bout du téléphone ou dans des dialogues imaginaires.

La prédation de l’ours sera un thème récurant, elle était centrale dans le quotidien du travail là-haut. L’auteur aborde cette question hors des discours polémiques et revendicatifs, simplement par le témoignage des faits, des émotions et des impressions.

Maxim Cain est auteur de bande dessinée et berger d’estive dans les Pyrénées ariégeoises. Il a été édité dans la revue Bento (prix de la bande dessinée alternative, Angoulême 2022) et publie avec Léo Duquesne, dans le bimensuel La Disparition, les strip doux-amers La mer est calme comme un lac.

DIMITRI TSEKENIS La Timidité des arbres

Dans une grande ville, les éléments d’une nature souveraine envahissent, puis consolent, le paysage intérieur d’un jeune adulte.

Il est des branches, au sommet de forêts denses, qui jamais ne s’entremêlent. Il suffit de lever très haut les yeux, un jour ensoleillé de promenade, pour apercevoir certains arbres tracer des sillons, comme des fentes dans le ciel. En botanique, on appelle ce phénomène comportemental “la timidité des arbres”.

César a emménagé il y a quelques mois dans une grande ville pour y poursuivre ses études. Mais, en proie à des insomnies et à un mal-être qui ne dit pas son nom, il déserte les bancs de l’université et s’isole de ses camarades. Ses rares sorties le conduisent à l’épicerie, où il constate que la flore envahit peu à peu les rues, détruisant le mobilier urbain, redessinant la carte. Dans son petit appartement aussi, les racines percent et soulèvent bientôt le sol ; les feuillages bigarrent murs et plafond.

UNE BD POUR PARLER DE SANTÉ MENTALE

POINTS FORTS

u Une nouvelle découverte de la collection Virages graphiques.

u Une bande dessinée ultra contemporaine, qui parle subtilement de santé mentale.

u En 2022, près de 70% des étudiants se disaient en situation de mal-être quant à leur santé mentale (CSA pour la LMDE).

u Environ 59% des jeunes âgés de 16 à 25 ans dans diverses régions géographiques rapportent souffrir d’éco-anxiété (SFMC, 2024).

u Une histoire qui traite avec optimisme de sujets graves. Aussi une belle histoire d’amitié.

SEPTEMBRE 2025

20 × 28,5 CM

144 PAGES

22 € ENV.

978-2-330-21161-5 -:HSMDNA=WVV[VZ:

Ce décor dans lequel les tiges sont autant de caresses que d’épines sert de théâtre à une introspection sensible pour César et deux de ses amies, qui s’enfoncent au gré de leurs déambulations dans un bien-nommé jardin d’acclimatation. S’y trouvent-ils comme au cœur d’une jungle étrange et étouffante ou bien précisément dans le ventre du monde, là où ils pourront, chacun à sa façon, reprendre souffle ?

La Timidité des arbres confronte la candeur des visages de quelques personnages à l’épaisseur d’une végétation indomptable. Tandis que beaucoup luttent pour un territoire, eux semblent se défendre pour le partage d’un chemin.

L’AUTEUR

Dimitri Tsekenis est né en 1995 à Paris et vit maintenant à Angoulême. Il a fait des études de bande dessinée mais aussi de gravure, dont il a tiré son dessin tramé semblable à l’eau-forte. La Timidité des arbres est sa première bande dessinée.

Visuel provisoire

Zerocalcare SCHELETRI

Couverture provisoire

Traduit de l’italien par Brune Seban

Couverture couleur

Intérieur N&B

290 pages / 170 x 240 mm

24 euros ttc

ISBN 978-2-38669-034-1

Zerocalcare a 18 ans et ne parvient pas à trouver la motivation pour aller à l’université. Mais il n’a pas non plus le courage d’avouer à sa mère qu’il ne fait rien de ses journées. Il se lève donc chaque matin et passe cinq heures assis dans le métro, d’un terminus à l’autre de sa ligne. C’est ainsi qu’il fait la connaissance d’Arloc, un jeune homme de 16 ans qui sèche le lycée pour faire des graffitis dans le métro. Ils se lient progressivement d’amitié, Zerocalcare le présente à ses amis, jusqu’à ce que le père d’Arloc tue sa femme et son amant. Arloc se retrouvant à la rue, il est recueilli par Zerocalcare et sa mère, qui découvre que son fils ne va plus en cours depuis un moment. Arloc lui propose de l’aider à trouver un travail. Mais au fur et à mesure que leur relation s’intensifie, la proximité d’Arloc avec le milieu de la drogue dans la banlieue romaine et toute la violence qui y est liée apparaissent. Suite à une altercation mêlant de manière mystérieuse jalousie amoureuse, tensions entre trafiquants et vengeance, Arloc finit par disparaître. Lorsque, des années plus tard, il vient rendre visite à Zerocalcare pour lui présenter sa fille, c’est tout ce passé qui ressurgit, et la lumière qui est enfin faite sur cet épisode dont il n’avait qu’une version partielle. L’occasion de réviser son jugement et de surmonter incompréhensions et rancœurs de l’époque.

L’AUTEUR

Né en 1983 en Italie, Zerocalcare est aujourd’hui l’auteur de bande dessinée le plus populaire en Italie. Initialement connu dans les milieux alternatifs des fanzines et de la petite édition, Zerocalcare s’est fait connaître par les dessins qu’il a publiés sur son blog (www.zerocalcare.it). Depuis, ses bandes dessinées n’ont cessé de connaître un succès grandissant et inédit dans l’histoire de la BD italienne, dépassant la barre du million d’exemplaires vendus. Il collabore avec de nombreux magazines, et est également l’auteur de deux séries animées diffusées avec succès sur Netflix: À découper suivant les pointillés et Ce monde ne m’aura pas.

• Une nouvelle BD inédite par l’auteur de Kobane Calling (plus de 50 000 exemplaires vendus)

• Une BD dans la veine plus personnelle de l’auteur, qui revient sur sa difficulté à suivre des cours à la fac à 18 ans et ainsi à trouver sa place dans la société.

• Une BD générationnelle, qui pointe le mal-être des jeunes gens au moment des études et des possibilités de travail qui leur sont offertes.

• Mêlant pour la première fois fiction et réalité, Zerocalcare introduit une dimension policière sur fond de trafic de drogue, qui ajoute suspense et tension à sa narration toujours porteuse de réflexions sociales et sociétales.

Bande dessinée / 3 septembre 2025

À propos de Kobane Calling : Zerocalcare SCHELETRI

« Une œuvre salutaire et passionnante, grâce au ton de ce Guy Delisle italien, qui réussit avec brio à mêler autodérision, humour décapant et profonde authenticité. »

L’Obs

« Pas la peine de prendre des gants ou de faire dans la dentelle : Kobane Calling, de Zerocalcare est, sans nul doute, le coup de poing de la rentrée. Ou le coup de pied au cul, plutôt. »

« Zerocalcare dézingue les discours simplistes dans cette BD-reportage détonnante,où la poésie et le non-sens l’emportent sur les bombes de la bêtise humaine. »

Le Soir

« Énorme coup de cœur [...] Il y a tout le temps de l’humour et il y a tout le temps de l’info, c’est fantastique ! »

La Première (RTBF)

« Pour tenir entre les mains la BD la plus humoristique de l’année, la plus captivante et la plus instructive, il faut généralement lire trois ouvrages. Avec Kobane Calling, Zerocalcare cumule. [...] Pour ce regard décalé, et pour tout le reste, Kobane Calling est assurément la BD de la rentrée. »

Ouest-France

« Un témoignage graphique sensible et drôle, plein d’autodérision. S’il séduit dès le début par son humour, Zerocalcare convainc grâce à sa sensibilité et sa sincérité. Celle d’un homme qui a laissé un peu de son coeur à Kobané. »

« L’auteur de Kobane Calling est passé maître dans l’art d’utiliser la culture pop pour aborder des sujets d’actualité. »

Le Monde

« Kobane Calling est une œuvre sensible qui éclaire la situation du Kurdistan et le rôle essentiel de ses combattants de l’ombre. »

Les Inrocks

« En matière de BD reportages, on pensait avoir expérimenté toutes les démarches. C’était compter sans Zerocalcare, pseudonyme d’un jeune romain, ancien punk devenu auteur de bande dessinée concerné par la marche du monde. [...] Dans ces pages composées comme des notes de blogs, on chante pourtant, et on danse. Zerocalcare réussit le tour de force d’être drôle, aussi. Ammazza…Vraiment drôle ! »

France Info

Bande dessinée / 3 septembre 2025

Zerocalcare SCHELETRI

Bande dessinée / 3 septembre 2025

Zerocalcare SCHELETRI

Bande dessinée / 3 septembre 2025

Zerocalcare SCHELETRI

Zerocalcare À TA MORT, CE SERA À MOI

Traduit de l’italien par Brune Seban

Couverture couleur

Intérieur N&B

208 pages / 170 x 240 mm 24,50 euros ttc

ISBN 978-2-36624-926-2

Dans cette nouvelle BD, Zerocalcare revient à une veine plus autobiographique pour se pencher sur un membre de sa famille jusqu’ici peu représenté, bien que central : son père. Entreprenant un road-trip à ses côtés, en direction d’un village des Alpes dont est originaire sa famille paternelle, Zerocalcare se livre à une enquête dans le passé de cet homme, toujours resté très discret.

Un voyage qui fait donc resurgir souvenirs, émotions, silences et conflits anciens, au fil duquel Zerocalcare cherche à comprendre qui était son père et le rôle qu’il a joué auprès de lui. Et qui va déclencher des découvertes qui vont changer sa vie...

Empli d’humour, d’ironie, de sensibilité et de profondeur, ce récit invite à réfléchir aux liens familiaux, à l’amour, à la difficulté des hommes d’une même famille à se parler et au fait d’avoir ou non des enfants. Un livre qui confirme le talent et la polyvalence de Zerocalcare, capable de passer d’histoires d’actualité et d’engagement social à des récits de vie intimes et personnels, sans perdre son style incomparable et sa capacité à impliquer et à émouvoir.

L’AUTEUR

Né en 1983 en Italie, Zerocalcare est aujourd’hui l’auteur de bande dessinée le plus populaire en Italie. Initialement connu dans les milieux alternatifs des fanzines et de la petite édition, Zerocalcare s’est fait connaître par les dessins qu’il a publiés sur son blog (www.zerocalcare.it). Depuis, ses bandes dessinées n’ont cessé de connaître un succès grandissant et inédit dans l’histoire de la BD italienne, dépassant la barre du million d’exemplaires vendus. Il collabore avec de nombreux magazines, et est également l’auteur de deux séries animées diffusées avec succès sur Netflix: À découper suivant les pointillés et Ce monde ne m’aura pas.

• Une nouvelle BD inédite par l’auteur de Kobane Calling (plus de 50 000 exemplaires vendus), sur un sujet intime mais universel : les relations père-fils.

• Un road-trip italien en forme d’enquête familiale, qui confirme le talent de Zerocalcare pour traiter de sujets intimes ou d’actualité avec la même acuité et le même humour.

“Affrontant les non-dits pesant sur plusieurs générations, Zerocalcare sonde, dans

le

même temps, le passé

familial et celui du pays, remontant jusqu’à la Première Guerre mondiale... Un album qui porte un regard tendre et drôle sur un père et un fils qui ne parviennent pas à se comprendre.”

• Réflexion sur les liens familiaux, sur la difficulté à se parler au sein d’une même famille mais aussi sur le choix ou non d’avoir des enfants font de cet ouvrage toujours caustique une lecture profondément émouvante.

Zerocalcare À TA MORT, CE SERA À MOI

À propos de Kobane Calling :

« Une œuvre salutaire et passionnante, grâce au ton de ce Guy Delisle italien, qui réussit avec brio à mêler autodérision, humour décapant et profonde authenticité. »

L’Obs

« Pas la peine de prendre des gants ou de faire dans la dentelle : Kobane Calling, de Zerocalcare est, sans nul doute, le coup de poing de la rentrée. Ou le coup de pied au cul, plutôt. »

« Zerocalcare dézingue les discours simplistes dans cette BD-reportage détonnante,où la poésie et le non-sens l’emportent sur les bombes de la bêtise humaine. »

Le Soir

« Énorme coup de cœur [...] Il y a tout le temps de l’humour et il y a tout le temps de l’info, c’est fantastique ! »

La Première (RTBF)

« Pour tenir entre les mains la BD la plus humoristique de l’année, la plus captivante et la plus instructive, il faut généralement lire trois ouvrages. Avec Kobane Calling, Zerocalcare cumule. [...] Pour ce regard décalé, et pour tout le reste, Kobane Calling est assurément la BD de la rentrée. »

Ouest-France

« Un témoignage graphique sensible et drôle, plein d’autodérision. S’il séduit dès le début par son humour, Zerocalcare convainc grâce à sa sensibilité et sa sincérité. Celle d’un homme qui a laissé un peu de son coeur à Kobané. »

« L’auteur de Kobane Calling est passé maître dans l’art d’utiliser la culture pop pour aborder des sujets d’actualité. »

Le Monde

« Kobane Calling est une œuvre sensible qui éclaire la situation du Kurdistan et le rôle essentiel de ses combattants de l’ombre. »

Les Inrocks

« En matière de BD reportages, on pensait avoir expérimenté toutes les démarches. C’était compter sans Zerocalcare, pseudonyme d’un jeune romain, ancien punk devenu auteur de bande dessinée concerné par la marche du monde. [...] Dans ces pages composées comme des notes de blogs, on chante pourtant, et on danse. Zerocalcare réussit le tour de force d’être drôle, aussi. Ammazza…Vraiment drôle ! »

France Info

Bande dessinée / 3 septembre 2025

Zerocalcare À TA MORT, CE SERA À MOI

Zerocalcare À TA MORT, CE SERA À MOI

dessinée / 3 septembre 2025

Zerocalcare À TA MORT, CE SERA À MOI

Zerocalcare KOBANE CALLING version augmentée

Traduit de l’italien par Brune Seban

Couverture couleur

Intérieur N&B

272 pages / 170 x 240 mm

24 euros ttc

ISBN 978-2-36624-440-3

Prix Libr’à Nous 2017

Prix Région Centre-Val de Loire (bd BOUM)

Sélections : Festival d’Angoulême 2017, Prix ACBD

Prix de la BD FNAC

Prix Wolinski de la BD du Point 2016

Prix France Info de la bande dessinée d’actualité et de reportage.

Envoyé par l’Internationale (le Courrier International italien), Zerocalcare part aux confins de la Turquie, de l’Irak et du Kurdistan syrien pour rejoindre la ville de Kobané, à la rencontre de l’armée des femmes kurdes, en lutte contre l’avancée de l’État islamique. À partir de ce voyage, Zerocalcare livre un reportage d’une sincérité poignante, un témoignage indispensable et bouleversant qui s’efforce de retranscrire la complexité et les contradictions d’une guerre si souvent simplifiée par les médias internationaux et le discours politique. Le tout avec l’inimitable ton, extrêmement drôle et touchant, le langage et l’univers d’un auteur qui sait interpréter comme personne, le quotidien, les craintes et les aspirations de sa génération.

Cette nouvelle édition de Kobane Calling est enrichie des pages d’Imbroglio (Cambourakis, 2017, précédemment publié dans La Repubblica, principal quotidien italien) et de planches inédites. Zerocalcare y raconte et explique les évolutions récentes de la situation au Rojava.

Cette version augmentée remplace l’édition précédente de ce titre.

L’AUTEUR

Né en 1983 en Italie, Zerocalcare est aujourd’hui l’auteur de bande dessinée le plus populaire en Italie. Initialement connu dans les milieux alternatifs des fanzines et de la petite édition, Zerocalcare s’est fait connaître par les dessins qu’il a publiés sur son blog (www.zerocalcare.it). Depuis, ses bandes dessinées n’ont cessé de connaître un succès grandissant et inédit dans l’histoire de la BD italienne, dépassant la barre du million d’exemplaires vendus. Il collabore avec de nombreux magazines, et s’illustre désormais sur Netflix avec sa série animée autobiographique À découper suivant les pointillés, qui connaît elle aussi un très beau succès auprès d’une nouvelle communauté de fans. Une deuxième saison est déjà annoncée.

• Nouvelle édition enrichie qui inclut Imbroglio et des planches inédites sur la situation kurde actuelle.

• Un véritable phénomène éditorial inédit dans l’histoire de la bande dessinée italienne.

• Son travail et son parcours sont régulièrement comparés à ceux de Boulet, que Zerocalcare cite comme l’une de ses principales influences.

Près de 50 000 exemplaires vendus, Prix Libr’à Nous 2017 et Prix Région Centre-Val de Loire bd BOUM.

• Avec ce titre, il aborde un sujet fort, de poignante actualité, mais toujours de manière très personnelle, avec un recul et un humour constant.

Zerocalcare

KOBANE CALLING version augmentée remise en vente

« Une œuvre salutaire et passionnante, grâce au ton de ce Guy Delisle italien, qui réussit avec brio à mêler autodérision, humour décapant et profonde authenticité. »

L’Obs

« Pas la peine de prendre des gants ou de faire dans la dentelle : Kobane Calling, de Zerocalcare est, sans nul doute, le coup de poing de la rentrée. Ou le coup de pied au cul, plutôt. »

Actualitté

« Zerocalcare dézingue les discours simplistes dans cette BD-reportage détonnante,où la poésie et le non-sens l’emportent sur les bombes de la bêtise humaine. »

Le Soir

« Énorme coup de cœur [...] Il y a tout le temps de l’humour et il y a tout le temps de l’info, c’est fantastique ! »

La Première (RTBF)

« Pour tenir entre les mains la BD la plus humoristique de l’année, la plus captivante et la plus instructive, il faut généralement lire trois ouvrages. Avec Kobane Calling, Zerocalcare cumule. [...] Pour ce regard décalé, et pour tout le reste, Kobane Calling est assurément la BD de la rentrée. »

Ouest-France

« Un témoignage graphique sensible et drôle, plein d’autodérision. S’il séduit dès le début par son humour, Zerocalcare convainc grâce à sa sensibilité et sa sincérité. Celle d’un homme qui a laissé un peu de son coeur à Kobané. »

Marianne

« L’auteur de Kobane Calling est passé maître dans l’art d’utiliser la culture pop pour aborder des sujets d’actualité. »

Le Monde

« Kobane Calling est une œuvre sensible qui éclaire la situation du Kurdistan et le rôle essentiel de ses combattants de l’ombre. »

Les Inrocks

« En matière de BD reportages, on pensait avoir expérimenté toutes les démarches. C’était compter sans Zerocalcare, pseudonyme d’un jeune romain, ancien punk devenu auteur de bande dessinée concerné par la marche du monde. [...] Dans ces pages composées comme des notes de blogs, on chante pourtant, et on danse. Zerocalcare réussit le tour de force d’être drôle, aussi. Ammazza…Vraiment drôle ! »

France Info

Zerocalcare

CALLING version augmentée remise en vente

Dessinée / 3 septembre 2025

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Dessinée / 3 septembre 2025

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