Ce mémoire constitue une réflexion sur la perception du génie du lieu et plus particulièrement des villages berbères. Ces derniers ne doivent plus être vécus comme des scènes figées à contempler ou des tableaux du passé évidés de sens, mais au contraire comme un berceau de vie de nos ancêtres toujours dynamique comme un intermédiaire paysager qui véhicule un joyau sémiotique. Le village de Takrouna est notre modèle de réflexion.
À ce propos, il est nécessaire d’étudier le génie du lieu comme une notion chrono topique qui mute au fil du temps et ce que peut générer cette mutation comme fission sémantique et un affaiblissement de l’intersémioticité humaine. Nous visons par cette réflexion la pérennisation du village de Takrouna.