L'Afrique du Nord illustrée. 02/10/1920

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L'AFRlol'E DU NORDILLUSTREE Plein Air. LES SPECTACLES x Nomlireuxsontles('•!udiauts. les poètes, s peintres qui travaillent en plein air et NOUVEAU-THÉÂTRE Les Lunaisons et les Périodes La pe.ui deveuanl lies rare, c'e-l ' él'èreni un coin de vert et om'" jardin liaiip'eb-'Uieiii le moment que la haute météorologiques . bra , , agé à la solitude gris..'de leur chambre Eue visile que nous avons fail à ce coulure choisit pour l'emnlover à de L La croyance populaire, depuis oes ( i de leur studio. i élablisseinenl nous l'ail augurer coque! nombreux usage.-. -ie< ries, attribue à la lune le pouvoir do x. a-l-on .Mais vu un musiciend'ori une lionne jamais saison. on en fait des gilels de l'ormemascii- ,-|i,-| anger h' temps aux époques de- syzy- : (.|u lesi.re s'exercer seul sur quelque MM. proProsper el C"'n'ont reculé devant lille bordes de fourrure, de- casaquilis oje:•s. c'fs|-à-dîre des nouvelles lunes et n]euade , ou une aucun publique, sacrifice pour procurer à leur dactylographe ajUsI.'- et boulonnes jusqu'au llli'llliill pie•me.-lunes. ,.m sur les louches de son ^ clavier, enper | lidele clientèle tOUIle coilforl désirable. -s,ois leont ires tailleurs, sélecte 1 âpre.- des éludes approloiidies de ,|inurée de l'habituel D qui. d'enfants I Lesfauteuilsd'orchesl re soin rembourrés, groupe allure. M.lMe-uard.directeur-adjoint ô\iMuséum ,iu' l'attire toute manifestationlaborieuse'.' | les décors i-'i les peintures changés : en Deslobes de duveiyne. veloursde laine, de Rouen, il résulterait que la cause jus( C'eslce dernier nous fui i un moi. le spectacle qu'il NouveauTiiéàu-eesl entièredeauveliineouaulres !issllsmoeileux -oui qp'"iciignorée de- lempéles el de la pluie (|()| mné de voir, en un des meni mis à jardin neuf. plus ravées de rubans de cuir ion sur ion. solrail, très souveiii. |es i reml.ileineiilsde j- •. \'\\i.' jeune personne, dont La direction s'est également assuré le dent fefl'et est assez heureux. terrre. cyclones, éruptions volc.-iniqiies p.,équentés.était indéniable. « tapaîl - concoursd'artistes < grâce de tout premier ordre. li se Les grands cols à la bretonne el les qui i-encoiureraieiit fréquemment au r(,ri uille après feuille avec une rapidité (luire cela, les speclaleurs recevront, hauts parements de souple basane rehro- moîiiieiildes périodes de nouvelleet pleine I()|nie prol'essionneHe.Elle semblaii, du ien preiiciil leur billet d'entrée ôe< Ocdée fontfloresei l'on voit mêmequelques lun ne. Cessecousses è branieraieut l'atinos- ste. p.arfailemeinignorante de la curio- tets iiiiniériiles leur assurera l'accès icre par \ oie de répercussion, proba- ^:,, grands manteaux de oaim gris ou d'anti- plu té- qu'excitaieiil sa. hos<.gue el l'agilité dans les Irions (pii à la sortie. eleetriipu's lope pain brûlé ". Les formes de ces bleemeui éieetro-inagnélique ju-qu'aux (p. si-- doigts mignons. buts derniers vêlements sont, bien entendu, poi les plus .Variés du globe. 1 de ia lune el du soleil..aux très classiques : cinpièeemonlcarré'morL'infilllélice Nous publions aujourd'hui le portrait, iris de Bordeaux Lestapis et Cîe de lie dam devant el dans le dos sur un tablier épi loques syzygies. ne serai! pas piaille V1 (| la toute charmante divetto Marguerite de plis creux que resserre à la taille une loini en n'éiant qu'accidentelle: b-s maLacroix, première chanteuse des preLe Buste. étroiie ceinture à boucle. niffesiatiou- pluvieuses ne sauraient donc n mières. Avecun polit chapeau assorti, de l'orme prt•ési'iueraucun caractère de régularité. 1 ceiilenaire d'Emile Augier n'a. pas Le Issue de Toute une liguée d'artistes, nette et sobre, cela forme un ensemble e11 é oublié à l'Académie. y M"'" Margueriie Lacroix se devait de r original et seyant, sinon... pratique. : L'illustre a le culte de ses . u maintenir la iradition familialee; nul ne Compagnie Mercier et C° Roger Je préfère, pour les premiers froids, la Cognac oires. elle a aussi le resdouillette ,. trois ipiarts - en très gros peci de ses aillés, el i! se Les Poissons du Tchad. ]nOlive que le fauteuil du drap feutre, bleu abjne. brun ou In-i-gic. A une époque reialivenieni proche, le gr; rebrodé de laine de nuances mortes ou. :-aiiildramaturge est présence qui esi encore mieux, ton sur uni- roi 'gii'iiehydrographique ée> régionsavoi- icimeiil occupé par son vénéré A flans les grandes maisons, on va beau- sirhaut le lac Tchadéiait dillëreiil de ce do)\en d'âge, M.de Freycinei. AA coup employer pour ce! usage ia laine quu'il est aujourd'hui. Celanon- e-t révélé' Non. l'Académiene pouvait fi^^k .ne/.)/.; — que je ne recommande pas à pa;ir l'examen ifosseineiits >ubfos~iles«le p,j lisser passer la date du l^^^Ê modespissons la mi-sionTilhoet mes lectrices.... car elle coûte po rapportés par !c,'iitiirede la uaissaucid'I-imile /^^^H lemetil :\'">francs le kiiog. prix de gros . eliludiés par le docteur Pelh-griu. Seuls. \, sansquelque hommage /j^^^^fl La laine japonaise, plus pratique, l'ait ''''e très grands lac- pomaieiit abriter des ;, dernier. /^^^^H de ravis-anies broderie- bien en relief et f"oissou- comme les iules dont la taille i^Ê^^^M de |,,: taii éc\\\ meire"i même plus. ausside 1res jolies franges. Cesdernières ,jj ourleroui cet hiver nombre de manteaux 11 dans b- li;is. au col et aux parements. Cloches et Bourdons. ]<•' Elles -eronl alourdies de petits triangles 'foulés les clochesont -onné le glas du de.bois de couleur —une amusanie non- (..( Palais-Ma/.arin lardinal Amélie, lors de -es funérailles. ' ^^^^^^H veaulé destinée à remplacer les ptu-lesde '" A ce propos, rappelons que nous bois à présent trop banales. nl'avons pas. eu France, le record des ( ' Le succès de la pèlerine courte, genre .,,, rosses cloches, car le bourdonde Nulrecolle! d'abbé, semble devoir s'aHirnier. ]", " de Saint-Maio. lame, ne pesé une HLiiiiokilog-. l^H^^^H Elle s,, porle avec la jupe assorlle el de C'esl la lillssie qui l'emporle de loin, W^^^^^P couslilue un gentil complel qui lien! lieu j.a. grosse cloche ôa couvent de Troy.ko'i. In t'Inistiniiisme. \Ë^^^^r de cn-1unie tailleur. 'Ipl'a été plan'' le buste, un \^H^ .,,p-esde Moscou, jii'-i- ;:;.oookilog-s. i Unde nos grand- faiseurs a lancé'lout ' beau buste. 1res vivanl. !Maiscela n'est rien à côté de celle qui res \ÊK dernièrement un modèle curieux encore |-ul commandéeen Il'A'.', Augier. V^^. 4 par Linipératrice l'Emile vu. Sou ,'iuirc voisin es| Franjamais plli-aiiéiM Celte cloche monumentale, vBftfe-' C'est un tailleur, à Ires court paletot ,-e br'p-apendant la fusion, el qu'on a i '-;ois Arago el. en l'ace du \C9 Û pli assez ample devaulet qui est pourvu der- .,m tout de même placer sur un -ocle. m- grand -avanl cl de- deux vR,? riei-ed'une deuii-pèlerine dunl les bord- .esc moins ,le -ii,.uiiii kilogramme-. 1:grands leltn''-. sourit l'i-nigie ^^| pailli doux poète François Cnps'ad.-qilaut aux manches ne font qu'un Ns| avec e]|es. N liée. !' LE MANDARIN Celle idée pourra, inspirer nombre de nos lectrices pour moderniser un co-- , p'-ci'èrc aux Aincv.iet aux H;!:ÏVJ Porto Spliinx. liimr de l'année précédenle — voire même un manteau qui prendra alors Le Goût de la Danse. Le Latin en Echo. l'allure mac-farlaue 1res goûtée cet auNouvc;au-'l'lu'.'urc. — M"" Marguerite Lacroix. Voltaire connaissait bien secompaEn ollicier qui revient de tomne. triotes n'ouï qui changé. pa|l'.erlindéclare que les innomUne aul re iiouveaulé l'on pi-aliqne et Dansse- Melainjes.parlantdes croisade-, |brables alliehes dont la capitale alle- s f'ionua chezelle de voir la forlune souraviracelles veilleni etre qui élégantes il qui .. p a écril ceci : Les chrélieus français , mande est actuellement ' adornée : » Ha- rire aux premières armes de la débuil peu de Irais, esl le chapeau à calolle- donneri'iil. en arrivant, le bal aux dames bitants, j livrez vos armes ... lui on! vive- tante. interchangeables, s'adaplanl au fondel infidèles. • j , inenl remémoré ses premières années relenues par l'épingle à ehaneau. (l'est à Saint-Elienne. en P.iCi, que la l'on- de Ouelqpe leinps âpre.qu'eu! paru , lalin. En vérité, ne sisouvient qui ai'tiste aborde les feux de la rampe Cescalottes, qui peioenl être Ires dit- \ de Vollaire. un hisiorien. Velly. d'avoir, , au collège, prélendu que lors- petite le vif et succès qu'elle recueille i\i'> ses l'érenles les unes des autres, seront la vrage ,' écriv;iil une Histoire u'e Vennee.Avanl ,que .Iules César ;i Home de enjoignil source de nombreuses inspiralionsel l'on d'insérer premières représenialious font déjà pré, Ianecdote danssou livre. Velly ,déposer ses armes, il intima l'ordre en mi brillant avenir. du sager avec de 1 goût, pourra, ingénios'ué, demanda , a Voltaire ou lui-même Lavai! question , sous la forme suivante : Cet admirable début lui vaut d'être apcomposer plusieurs ravi-sanls chapeaux .prise. - Te te. ro ro. ma ma. nu nu. da da. pelée à Liège en IPIi. mais une circonsqui ne se ressèinbleronl nullemenl qnoi- — Nulle pan. répondit le philosophe. ie | te. la la, te le. lance imprévue, la que aya ni le même bord. s'oppose de t mais les Françaisélanl 1res j'ai pense'' q ue Il est vrai que ces mêmes syllabes se loiiie sa force brutaleguerre, à l'exécution de ce Un jour, le fond sera loin en fleurs. ,g-.-ilanls,il n'avail pu en élre aul renient. peuvent disposer d'au!re façon : brillant conlrat. d'autres fois en plumes ou aigret les. en .i Te lei-ii.Honni, m anu dide lehl. niidii.. Nous ne retrouvons M""' Marguerite lulle. en mousseline,en coques de ruban lalele. )) Cmuplabililé—-K.eperlises i: Lacroixque deux ans plus lard, en ll'IH, ou bien encore, ce qui est l'on chic, l'ail Filles signilieiil.alors : Liqlliltiltillll au Trianon lyrique, où la critique est d'un draperassorti à la robe lorsque celleHome,je le délruis de ma main unanimeà reconnaître son incontestable ci esl.(l'un tissu flou. J. JONQUÈRES, expert-comptable ' 'foi talent el. la sûreté de son jeu. One.nos toilettes soient légères ou so- ' près la Cour el, les Tribunaux, gS, boule- nue. livre les armes. • : Puis, [\n deuil, la mort glorieuse d'un lide.s, fanl'relnchéesou pratiques, toutes vard Cai'iiof.Téléphone 20.7,2. de ses frères tué à l'ennemi, l'éloigné le le col moulant fermé ont, pour jour, j momeiilanéiiient de la scène. Elle ne une de boulons sa i A ou, ce par rangée qui S-AUGUSTIN Un Homme mangé par un serpent. ses l'ail,beaucoup dans les robes de lainage, j reprend représenialious qu'en l'.HUà Maison SPECIALE de La revue brésilienne ti Mnllio.du H); Marseille, Toulouse, Angers, où Lyon. par de très petits brandebourgs de sou- avril dernier, comienl. le récit, tragique son passage suscite toujours les éloges laclie. i de l'allaque d'un cavalier p;ir un serliaileurs d'un public parfois 1res sévère. SOIERIES En peu dure et. sans,jeunesse, cette. ; el de la mon de fophidien -. Pendant la saison d'été, elle crée, à [ '.»,Hue d'Isly, ALCEH— Téléphone 27.74 mode, qui s'étend même .<nos blouses. peut le bord du llio Vac.earia,i 1loyal. Lu Marraim: de l'KscOiia.de,CIPour celles-ci, les cols sont séparés, unPassanl sur rencontra un cheval sans I voyageur l'auteur de la délicieuse opérette, préSalle d'Arnaes Laize. tels des colsde chemise d'homme tce qui ; non et, loinde là, un énorme maître, ser; dans la salle, ne peut, s'empêcher, permet d'en avoir plusieurs pour chaque 1 peni enroulé, au l'epos,digérant. L'hommei M.Laize a repris ses cours aux Lycées sent, devaul la magistrale interprétation qu'en blouse el. facilite le blanchissage). Ces son fusil, lit feu et tua le reptile qui ! d'Alger, Mustapha, l'.en-Aknoun,et à sa donne la séduisante artiste, de venir la. cols sont cravatés de linon ou mousseline, prit de la rue -Iules-Ferry, depuis le féliciter i''tail. exceptionnelle. Voulant \ Salle i '-'' octobre. chaleureusement. deux ou trois fois entourés autour du cou i le d'une faille,la 1 rareté du le chasI 1 Nousavons mainl.enaiill'heureuse fordépecer pour l'ait, j à moins que. l'on ne. préfère la sobre cra- i seur ne fut Pour renseignements, s'y adresser. !1! pas peu surpris de trouver i tune de posséder pour quelque temps vale de faille ou tafl'elasnoir. dans le tube digestif du monstre un ; . cette remarquable chanteuse. Espérons Ai.ici:DELIMKHKS. cadavred'hommehabilléel chaussé, dont j CARNET MONDAIN (pie.le succès, qui lui est. habituel, vien| il put. d'ailleurs établir l'idenfiié en troudra couronner ses débuts parminous. ses poches son revolver, ii,0U0: Nousapprenons avec plaisirque M et | vaut (\,[U>. dollars d'argent el. des papiers. M.Lucien Cojossosont, depuis quelques Cefait extraordinaire est, parait-il, cer- jours, les heureux parents d'un gros gartifié véritable par M. Antonio Malhias, çon q.ui a reçu les prénoms de .leauarrivé récemment, à Lima et venant du Edouard, el nous les prions d'agréer nos j Mas.soCrosse. plus cordiaux compliine.nl.s. LE

MONDE

ET

LA MODE

ÉCHOS


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