s'alliant aux néo-conservateurs, à des rabbins talmudiques
et
à
des
théologiens
de
l’université El-Azhar et des partisans de Fethullah Gülen, parce que, disaient-ils, le projet laissait supposer que la mort n’est pas le destin final de l’homme et que ni l’enfer, ni le paradis, ni Dieu même n’existent ; que la reproduction –« croissez et multipliez »- n’est peut-être pas nécessaire, autrement qu’il suffirait de vivre pour toujours, de jouir de la vie et de la sexualité en dehors de toute procréation…
Ils
affirmèrent
que
le
prolongement de vie des générations aurait un coût insupportable pour la sécurité sociale, pour les nouvelles générations, que leur survivance entraînerait une suroccupation de la terre qui ne permettrait plus de nourrir l’ensemble des vivants. Certaines grandes firmes pharmaceutiques, en retard dans ces
23