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Étude de la Banque mondiale
61. Pas d’équipements lourds et plateaux techniques d’imagerie réduits dans la plupart des établissements soumis à enquête, importance des personnels vacataires. 62. Avec des moyens très limités et clairement insuffisants. 63. Lucratif et conventionné. 64. Décret n° 2006/655/PRES/PM/MTSS/MFB du 29 décembre 2006 fixant les salaires minima interprofessionnels garantis. Compte tenu de la structure des ménages, ce salaire fait vivre un ménage de 5 à 7 personnes. 65. Ministère de la santé (2005). 66. Achat direct de médicaments en officine ou sur le marché. 67. Abstention, automédication ou médecine traditionnelle. 68. CSI ou CSPS habituellement. 69. Dans 50 % des cas, les patients sont référés par une structure du secteur public. 70. Décret n° 2009/104/PRES/PM/MS. 71. Outre le Directeur (qui est médecin), un administrateur des hôpitaux, deux a achés de santé, une sage-femme et une secrétaire. Le Directeur demande depuis des années, sans parvenir à les obtenir, trois agents supplémentaires : un second médecin, un juriste, et un statisticien/épidémiologiste. 72. Ainsi, le téléphone et l’accès au réseau Internet ne fonctionnent qu’irrégulièrement et la Direction ne dispose pas de moyens de locomotion propres qui lui perme raient de rencontrer les promoteurs et visiter leurs établissements. 73. Alors que les autorisations d’ouverture et d’exploitation sont accordées par la DSP. 74. La santé est actuellement le chef de file des secteurs sociaux au cours de ces rencontres. 75. Notamment l’association des promoteurs de cliniques privées, l’association des établissements confessionnels, les syndicats professionnels ou les différentes instances ordinales (médecins, pharmaciens, sages-femmes, infirmiers, etc.). 76. Ordre des médecins, Ordre des pharmaciens, Ordre des Infirmiers, Ordre des sages-femmes en particulier. 77. Notamment par manque de ressources des districts et des régions sanitaires, du fait des difficultés à obtenir des informations sur l’activité des ESPS et du fait de l’absence d‘autorité et de capacité de contrôle. Toutefois, comme le montre le tableau 9, les prestataires de soins privés entretiennent, pour une majeure partie d’entre eux, des relations suivies avec les équipes cadres de district ou de région. 78. Loi n° 034/98/AN portant Loi hospitalière. 79. Public/privé notamment. 80. L’ENSP a été créée en 1977. Il s’agit d’un établissement public administratif (EPA) placé sous la double tutelle du Ministère de la santé et du Ministère des finances. L’ENSP comprend : a) un Conseil d’administration (organe suprême chargé de la gestion de l’institution) ; b) une Direction générale (chargée de la direction et de la coordination de toutes les activités de l’établissement) ; c) trois Directions centrales (Direction des études et des stages, Direction de l’administration et des finances, Agence comptable) ; d) six Directions régionales (Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Koudougou, Ouahigouya, Fada N’gourma et Tenkodogo) ; et e) le Centre de formation en développement socio-sanitaire (CFDS). L’ENSP dispose :a) d’un personnel enseignant permanent ; b) d’un personnel enseignant vacataire (provenant de l’université, du Ministère de la santé et d’autres ministères) ; c) de personnel administratif et financier ; et d) de personnel de soutien. L’ENSP gère à l’heure actuelle 24 programmes de formation (de base et de post-base) qui s aboutissent à un diplôme (Diplômes d’État) ou à une capacité. 81. Elle a débuté il y a moins de cinq ans. 82. C’est notamment le cas des formations de sages-femmes et d’IDE à l’école Sainte Edwige ou de la formation des ingénieurs biomédicaux à l’IST. 83. Les dossiers de demande d’ouverture sont en cours d’examen par les autorités compétentes. 84. Agents chargés du gardiennage et de l’entretien. 85. Une proportion de 75 % en moyenne mais jusqu’à 87 % dans le Centre Ozona de formation et 86 % dans l’École de santé Sainte Edwige. 86. La formation des visiteurs médicaux, des vendeurs en pharmacie et des techniciens/ingénieurs biomédicaux repose également sur la contribution d’enseignants provenant du secteur pharmaceutique privé et de l’industrie. 87. En 2010, ces subventions ont représenté 250 millions FCFA pour les établissements privés délivrant des formations aboutissant à des diplômes (ce qui, divisé par le nombre d’établissements,