valĂŠrie marmette portfolio ‘12
PORTFOLIO ‘12 CURRICULUM VITÆ
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OBJETS Au fil de l’eau 392 écrous
6 7
ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES Par(cours) Unités reliées
8 12
STATION DE TRAMWAY Zone encerclée
14
THÉÂTRE Unité théâtrale
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PAVILLON Maison poétique La boîte noire exposée
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LOGEMENTS Réseaux sociaux Décalage urbain Cellule allongée Habitation Pajol
20 24 26 28
DESIGN URBAIN Identité consolidée
30 VALÉRIE MARMETTE (res.) 418.628.1811 | (cell.) 418.262.1098 7328 avenue des Picas, Québec, G1G 4R4 valeriemarmette@gmail.com
[CURRICULUM VITÆ] Valérie MARMETTE (res.) 418.628.1811 | (cell.) 418.262.1098 7328 avenue des Picas, Québec, G1G 4R4 valeriemarmette@gmail.com
[Expériences Professionnelles] Stagiaire en architecture - Luc Desloges Architecte, Québec Prise en charge et conception de projet; Préparation de documents de présentation; Relevé et mise en plan. Réceptionniste et assistante de bureau - Ministère du Revenu du Québec, Québec Accomplir des tâches au bureau de la sous-ministre; Mettre à jour et classer des documents; Répondre aux appels pour les employés du bureau du ministre. Assistante-chercheuse - Ministère des Ressources Naturelles du Canada, Québec Assister la chercheuse dans son travail en laboratoire; Travailler sur le terrain. Monitrice – PVE, Arrondissement de Charlesbourg, Ville de Québec
[2011 - 2012]
[été 2009]
[été 2008] [2003 - 2007]
[Formation Académique] Maitrise en Architecture [2010 - 2012] Université Laval, Québec Concentrations : Design urbain, Ambiances physiques, Programmation Profil international [2009 - 2010] École nationale et supérieure d’architecture et de paysage de Lille en France Baccalauréat en Architecture [2007 - 2010] Université Laval, Québec DEC en Sciences de la Nature [2005 - 2007] CEGEP Limoilou, Campus de Charlesbourg, Québec [Bourses et Distinctions] MENTION - Ajout Manifeste «Par(cours)» [hiver 2011] Concours Cecobois, Prix d’excellence en conception de charpente d’acier BOURSE D’ÉTUDE - Bureau international de l’Université Laval [2009 - 2010] BOURSE D’EXCELLENCE - Université Laval [2007 - 2008]
[Publications et Diffusion] MARMETTE V, JEAN-BERGERON A, LAFERRIÈRE J, PERRON P-L (2011). «Jonctions : Revitalisation d’une collectivité ferroviaire», Poster, Colloque étudiant du Centre de recherche en aménagement et développement (CRAD) Université Laval, 25 mars. MARMETTE V, JEAN-BERGERON A, LAFERRIÈRE J, PERRON P-L (2011). «Jonctions : Revitalisation d’une collectivité ferroviaire», in Vachon, G, Rivard, E et coll., Revue québécoise d’urbanisme, vol. 32, no. 2, mars 2012. MARMETTE V, JEAN-BERGERON A (2011). «Jonction», in Vachon, G, Rivard, E et coll., Repenser les paysages et les milieux de vie à la tête des ponts de Lévis. Recueil de projets de design urbain, École d’architecture, Université Laval, Québec. [Implication Académique] Journée Carrière Architecte - Polyvalente de Charlesbourg [hiver 2012] Membre du Comité de l’événement l’Objet 2012 [2011-2012] Trésorie, gestion, organisation 16e Colloque étudiant pluridisciplinaire du CRAD [hiver 2011] Participation au volet Projet de création «Jonctions: réaménagement de Charny, collectivité ferroviaire» Colloque, La relève en architecture : Ouss qu’on s’en va? [hiver 2011] Concours international de design urbain, ArtUrbain.fr [hiver 2011] «La nouvelle identité d’une banlieue consolidée» Concours Hamster organisé par la firme Régis Côté [hiver 2011] «La boite noire exposée» Concours du 50e : Ajout manifeste [hiver 2011] «Par(cours)» L’Objet 2011 - Encan de design [hiver 2011] «392 écrous» exposé au Musée des Civilisations et dans les magasins Simons. [Connaissances Informatiques] Adobe CS5 Photoshop – Illustrator – InDesign | Auto Desk AutoCad 2011 - Ecotect Analysis 2011 Google SketchUp Pro 8 - Plugin V-ray – Plugin SU Podium V2 |Microsoft Word - Excel - Outlook
AU FIL DE L’EAU [gratte-pieds] Exploration sur l’ondulation
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392 ÉCROUS [avec] Émilie Leclerc [boite à lumière] La boite à lumière est un objet générant diverses ambiances lumineuses, exposant la lumière sous différentes formes. Celle-ci peut être à la fois continue, obstruée, filtrée ou diffuse. Le constraste entre ces différents traitements permet d’enrichir l’objet. Dans le cas de 392 écrous, le filtre créé par les écrous, en contraste avec le bois comme matière opaque, permet de les mettre en valeur. La réflexion s’est basée sur la modularité potentielle du matériau, grâce à sa forme hexagonale, ainsi que sur sa forme perforée. Ainsi, la répétition de ces formes génère une surface intéressante, qui permet de réfléchir et de filtrer la lumière. De plus, les potentiels de l’écrou vont au-delà de ses qualités formelles, matérielles ou esthétiques. Ils permettent de former une matière faisant partie intégrante du système structural de l’objet. Les deux éléments de bois sont présents afin de faire opposition au côté plus industriel et rigide du métal. Ces surfaces opaques permettent de mettre en valeur les parois perforées. Il agit comme élément unificateur du projet.
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FAÇADE RUE PORT DAUPHIN ENTRÉE CÔTÉ STATIONNEMENT
PAR(COURS)
[mention concours Cécobois 2011] [Ajout Manifeste] Concours du 50e de l’école d’architecture de l’Université Laval [lieu] Petit séminaire de Québec [avec] Alejandra de la Cruz Émilie Leclerc Jonathan Roy L’ajout manifeste doit laisser transparaître l’importance des processus d’échange et de réciprocité dans la formation et la pratique de l’architecture. Le défi premier de l’ajout est celui de proposer un espace de rencontre et d’interactions, autant entre les étudiants eux-mêmes qu’entre professeurs et étudiants, mais aussi entre l’École et le public en général. Cet ajout constitue un nouveau noyau de rassemblement pour l’école ainsi qu’une vitrine architecturale dans la ville.
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cour intérieure
cloitre
jardin
cour expérimentale
préau terrasse
cour intérieure
cloître
jardin REZ-DE-CHAUSSÉ SOUS-SOL
cour expérimentale
RU E
PO
RT
DA UP
HI
N
terrasse
préau
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LE RUBAN Ces intentions se concrétisent par l’implantation d’un parcours générateur d’interactions; l’entrée publique est relocalisée dans la cour intérieure créant un nouvel espace tampon entre la ville et l’école. Dès l’entrée, un ruban qui se déplie nous guide au travers du parcours et nous fait traverser l’école en passant d’une cour à une autre. Chaque cour possède son caractère propre, mais elles remplissent toutes la même fonction; ce sont des espaces filtre, des lieux de rencontre qui permettent de reprendre contact avec l’environnement, qui amènent de la lumière et qui créent des liens visuels entre toutes les parties du projet.
ENTRÉE CÔTÉ STATIONNEMENT
Le ruban, en structure mixte d’acier et lamellé-croisé, constitue un nouveau repère: au travers des cours et du lien tissé par le ruban, on crée une nouvelle lisibilité et une forte perméabilité au sein de l’école. Une multitude d’interactions sont désormais possibles, créant de nouveaux liens et contacts, favorisant la création, l’échange et le partage d’idées. FOYER DONNANT SUR LA TERRASSE
TERRASSE
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HALL
COUR EXPÉRIMENTALE
CLOITRE
COUPE
ORGANISATION DU RUBAN
VUE ÉCLATÉE DU RUBAN ET DE LA STRUCTURE
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ENTRÉE PRINCIPALE
UNITÉS RELIÉES [lieu] Vieux-Limoilou, Québec
chemin de fer
in de la Ca na iè rd re
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em
VUE DE L’ESCALIER
Boulevard des Capucins
Ch
[école d’ébénisterie] Le projet se présente comme une succession de volumes opaques reliés par les circulations en quinconce. Ces dernières sont conçues pour créer des zones tampons entre les différentes fonctions du bâtiment. Ces circulations permettent de créer une relation entre le rez-de-chaussée et l’étage. Elles offrent aussi des vues différentes sur le parcours de chaque étage.
VUE DE LA CAFÉTÉRIA
bureau
classe
classe
classe
atelier
classe
atelier
classe
atelier
classe
atelier
atelier
classe
bibliothèque
NIVEAU 2
administration entrée
local info
cafétéria
entrepôt
salle d'exposition bureau
NIVEAU 1
ÉLÉVATION PRINCIPALE
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ZONE ENCERCLÉE [avec] Alejandra de la Cruz [lieu] Station Esso, Ste-Foy
BOULEVARD LAURIER
ROUTE DE L'
[Station de tramway] Un seul geste architectural a été nécessaire pour la réhabilitation de la station. Une courbe vient englober l’ensemble du bâtiment existant. Étant situé à la porte de la ville, il devient donc un repère par sa forme simplifiée.
salle d’attente
ÉGLISE
La courbe faite de lattes de bois vient créer la salle d’attente de la station. Le toit des pompes est récupéré et regroupe maintenant l’entrée principale et info-touristique. Pour la création d’un café, l’emplacement de l’ancien garage est la place idéale. Elle permet de conserver les portes de garage qui s’ouvrent sur une terrasse et un jardin.
accueil de la station café
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SALLE D’ATTENTE
EXISTANT
ACCUEIL DE LA STATION
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FAÇADE SALABERRY
UNITÉ THÉÂTRALE [lieu] Saint-Jean-Baptiste, Québec [Théâtre Périscope] Le projet est en continuité avec le concept existant de l’agrandissement de l’architecte Jacques Plante, soit l’ouverture sur la ville et les Laurentides. Ce déploiement est accentué par les foyers qui s’étendent davantage, par la coursive placée sur le toit qui donne une vue panoramique sur les alentours et par des baies vitrées plus abondantes. Le lounge se matérialise par un bloc de verre qui vient s’emboiter avec le volume du foyer existant. La circulation y est mise en évidence pour que les individus se sentent projetés vers la cime des arbres du parc à proximité. EXISTANT ENTRÉE CRÉMAZIE
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salle de répétition
logement
cage de scène salle de spéctacle
foyer salle de répétition
lounge
NIVEAU 3
régie
NIVEAU 2
administration wc salle de spéctacle
foyer salle de répétition
salle bleu
cuisine
wc
foyer
atelier
NIVEAU 1
bureaux
NIVEAU 0 MODIFICATION DANS L’EXISTANT ENTRÉE SALABERRY
COUPE LOUNGE
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MAISON POÉTIQUE [pavillon] Créer une maison poétique à partir d’un souvenir ou d’un espace marquant. Le processus de création consiste à réaliser des croquis et des maquettes d’un souvenir pour ensuite définir l’univers de la maison poétique. Matérialisation du souvenir d’une chute qui fait appel à la verticalité et à la monumentalité. Située dans une immense forêt dense, elle crée un événement dans le paysage. La maison s’y rattachant est une grande tour d’observation dont la toiture est une immense terrasse qui s’ouvre sur l’horizon. Le pavillon, perché sur une falaise, se présente comme un point dans le paysage. En y pénétrant, la lumière est filtrée par les minces ouvertures. L’atmosphère est celle de la forêt dense couverte par de larges feuillages. Tout en bas, les panneaux font appel à la force et à la hauteur de la chute.
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LA BOÎTE NOIRE EXPOSÉE [charrette d’idée] [avec] Émilie Leclerc [lieu] Débarcadère à la traverse de Lévis
Rue S ain
t-Laur ent
Le bâtiment se voit comme une boîte noire qui s’ouvre afin d’exposer les oeuvres et processus de création des trois différents designers. Il devient signal en lui-même, devenant le support d’événements multiples et même de mise en oeuvre de créations multimédias. La boîte permet au bâtiment de s’ouvrir au-delà des limites du site par des aménagements en gradins au sol et par son ouverture visuelle vers la ville de Québec, d’où il obtient une grande visibilité lors d’événements spéciaux.
Traverse de Lévis
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RÉSEAUX SOCIAUX
CEGEP Limoilou
[logements étudiants] [lieu] Vieux-Limoilou, Québec café ière
accueil/entrepôts
cin
la Ca in de Chem
pu Ca s
SOCIAUX
es
+
dd var ule
RÉSEAUX
Bo
lavoir
nard
salle polyvalente
COUR INTÉRIEURE AVEC VUE SUR LA SALLE POLYVALENTE
20
COUPE A
Bo dd var ule
B
es pu Ca cin
A
s
e
8
nu ave e rue
FAÇADE 8e AVENUE - LAVOIR - MULTI 6 - MULTI 4
Oli
er
FAÇADE DES CAPUCINS - ENTRÉE SALLE POLYVALENTE
COUPE B
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COMPLEX MULTI 6
COMPLEX MULTI 4
COMPLEX CAPUCINS
ESCALIER MULTI 6
MULTI 6
ENTRテ右 MULTI 6
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MULTI 4
COIN 8e AVENUE ET OLIER
CUISINE MULTI 4
MULTI 5
ESPACE DE VIE MULTI 5
STUDIO
MULTI 3
COMPLEXE DES CAPUCINS
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DÉCALAGE URBAIN [esquisse] [lieu] Berlin, Allemagne [logements collectifs] Unité de logements de cinq étages comportant cinq T4, trois T3, trois T2, un hall, un local à poubelles et un local à vélo. Dans le bâtiment, les circulations verticales sont la colonne vertébrale du projet. Les logements se présentent comme des couches superposées qui sont décalées pour venir créer des espaces extérieurs de part et d’autre de la circulation. Ces lieux sont parfois des terrasses privées, des espaces communs ou un hall.
ESPACES TRANSITOIRES ET BALCONS
Charlottenstrasse
Dans les logements, les pièces sont hiérarchisées, ainsi chaque fonction a sa place. Les services sont réunis au centre pour desservir les pièces de vie et les pièces privées. Ils deviennent donc un tampon entre elles. Besselstrasse
LOGEMENTS
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CIRCULATION
CHAMBRE
WC CHAMBRE
SALON
SALLE A MANGER
WC
SALON
CHAMBRE
CUISINE
SALON CHAMBRE
WC
SALLE A MANGER
PLAN TYPE T2
CHAMBRE
CUISINE
SALLE A MANGER
PLAN TYPE T3
CHAMBRE
PLAN TYPE T4
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CIRCULATION EN QUICONCE
OUVERTURE SUR LE SALON
CELLULE ALLONGÉE [cellule] La cellule se présente comme un prisme où sont extrudées les deux chambres à coucher de l’étage. Cette volumétrie crée deux zones abritées qui permettent d’extérioriser la salle à manger et le salon vers un lieu plus privé.
Habiter dans ce logement, c’est déambuler dans un espace ouvert malgré son étroitesse. Les circulations sont décalées pour permettre une ouverture sur l’autre étage. Les actions dans la cellule sont alors en constante interaction les unes avec les autres.
NIVEAU 2
26
NIVEAU 1
MU LH O US E BO UL EV AR D DE
[ensemble d’unité de logements] Projection d’une unité de logements à partir de la cellule allongée.
Logements Commerces
Stationnements
AVENUE DE VERDUN
[lieu] Roubaix, France
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LOGEMENTS COLLECTIFS
LOGEMENTS INTERMÉDIAIRES
HABITATION PAJOL UVE
LLE
RUE
PAJ O
L
NO
RUE
DE GIRARD
[logements collectifs] Aménagement d’un coeur d’ilot et développement architectural d’un des lots. Un ensemble de logements collectifs et intermédiaires est implanté de sorte à créer des petites cours protégées.
PE RUE PHILIP
[lieu] Paris 18e, France
ÉLÉVATION PARCOURS INTÉRIEUR
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NIVEAU 4
LOGEMENTS COLLECTIFS
NIVEAU 3
LOGEMENTS INTERMÉDIAIRES NIVEAU 2
NIVEAU 1
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UTE
20
E DES
RO AUTO
U AVEN
IDENTITÉ CONSOLIDÉE
ÉGLIS
[design urbain] Charny connaît aujourd’hui un grand déclin commercial et social. Caractérisée par un tissu de banlieue générique - espace et bâti dispersés, dominance de stationnements et de voitures, zone délaissée, etc. Charny souffre d’une discontinuité des espaces publics qui amputent le quotidien des résidants. L’école secondaire l’ESLE représente un élément attracteur et générateur d’activité et d’intensité pour la ville de Charny. Celle-ci et son quartier environnant ne parviennent pas à bien s’intégrer au tissu de Charny. Le projet revitalise la rue principale et reconnecte les espaces publics, crée un cadre de vie diversifié et soutenable, et révèle un potentiel paysager autrement menacé par un étalement excessif. De ces constats, trois objectifs de design émergent et permettent d’identifier plus précisément trois moyens d’action. D’abord, (1) la restructuration des friches et espaces délaissés, puis (2) l’intégration et la reconnexion de l’école secondaire aux quartiers avoisinants, puis (3) la création d’une place publique comme générateur d’une vie collective et de quartier de qualité.
30
ES
[avec] Alexandre Jean-Bergeron [lieu] Charny, Lévis
3
RUE
D
EN UC
TRE
SP HO
2 1
SITUATION ACTUELLE PLACE PUBLIQUE GÉNÉRATRICE D’UNE VILLE COLLECTIVE
ITAL
IÉ
2
1
[1] ÉCOLE SECONDAIRE L’ESLE [2] AQUARÉNA [3] PLACE CHARNY
(1) Restructuration des friches et espaces délaissés
(2) Intégration et reconnexion de l’école secondaire à son quartier
(3) Création d’une place publique: génératrice d’une vie collective
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ENTRÉE DE QUARTIER
ALLÉE VERS L’ECOLE SECONDAIRE
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COUPE AVENUE DES ÉGLISES
COUPE PLACE PUBLIQUE
PLACE PUBLIQUE SORTIE DE QUARTIER VERS LE NORD
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VALÉRIE MARMETTE (res.) 418.628.1811 | (cell.) 418.262.1098 7328 avenue des Picas, Québec, G1G 4R4 valeriemarmette@gmail.com