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Henry Ford : Le juif international

Qu’il est surprenant de constater que, quelle que soit la direction où l’on se tourne pour retrouver la source des courants d’influence nuisibles qui s’écoulent dans la société, l’on rencontre toujours un groupe de Juifs ! Corruption dans le monde du base-ball ? Un groupe de Juifs ! Finance exploiteuse ? Un groupe de Juifs ! Dégénérescence du théâtre ? Un groupe de Juifs ! Propagande pour la consommation d’alcool ? Un groupe de Juifs ! Contrôle national de la politique de guerre? Un groupe de Juifs! Contrôle de la presse au moyen de pressions commerciales et financières? Un groupe de Juifs ! Profiteurs de guerres à 80% ? Des Juifs ! Actifs opposants aux lois et coutumes chrétiennes ? Encore et toujours, les Juifs ! Derrière ces miasmes de prétendue musique populaire, où la faiblesse d’esprit rivalise avec la débauche ou sa suggestion, de nouveau les Juifs ! L’influence juive sur la musique américaine est sans doute considérée comme sérieuse par les connaisseurs ; il n’y a du reste une protestation croissante contre la judaïsation de nos quelques grands orchestres, car force est de constater que les Juifs remplissent la scène des concerts et des plateaux populaires de leurs propres congénères à l’exclusion de tous les autres. S’ils s’avéraient des artistes hors pair, il n’y aurait rien à dire ; mais s’ils sont mieux connus que les autres, ce n’est que parce qu’ils sont racialement favorisés par les cercles musicaux juifs. « Qu’on me laisse composer les chants de la nation et peu importera qui fait les lois ! » disait-on déjà. Mais dans ce pays, les Juifs ont ratissé large : ils ont fait et l’un et l’autre. Le but de ce chapitre est de faire connaître la vérité en ce qui concerne la musique dégénérée habituellement fredonnée, chantée ou criée, nuit et jour, pour le plus grand profit des propagandistes juifs et de montrer la matraque du Juif, jusqu’alors invisible, mais agitée et menaçante pour la tête des récalcitrants. Au moment précis où la scène et le cinéma américains passaient sous contrôles financier et artistique juifs, ô mercantilisme avide et destructeur, les « chansons populaires » devinrent une juteuse industrie yiddish ; en effet, les premiers à exploiter ce filon furent, pour la plupart, des Juifs nés en Russie, dont certains avaient un passé aussi peu recommandable que celui de nombreuses figures juives du théâtre et du cinéma mentionnées auparavant. Au début des années 1920, Irving Berlin, Leo Feist et d’autres personnages importants de sept corporations new-yorkaises d’éditions musicales, furent accusés, lors d’un procès intenté par le gouvernement des Etats-Unis, d’avoir violé la loi Sherman antitrust. Les accusés, prétendait-on, contrôlaient 80% des chansons sous droits d’auteurs utilisées par les manufactures de phonographes, de rouleaux enregistreurs et d’autres instruments de reproduction musicale, et fixaient les prix de vente de ces instruments au public. Les sociétés impliquées dans la cause, toutes de New York, étaient les suivantes : 〈 〈 〈 〈 〈

Consolidated Music Corporation Irving Berlin, Inc. Francis, Day & Hunter, Inc. Shapiro, Bernstein & Cie. Watterson, Berlin & Snyder, Inc. M. Vitmark & Sons, Inc.

Le monopole que le gouvernement des Etats-Unis cherchait à dénoncer était censé prévoir que les accusés n’établiraient de contrat qu’avec la Consolidated Music Corporation qu’ils avaient eux-mêmes mise sur pied. Les autres 20% ressortissant au commerce de la chanson étaient contrôlés par d’autres entreprises juives de musique non incluses dans ce monopole. Comment le Trust juif de la chanson vous fait chanter ! Les Juifs n’ont pas créé la chanson populaire, mais ils l’ont avilie. Le moment où les Juifs se sont saisis du contrôle de la chanson populaire coïncide avec le déclin de la moralité de celle-ci. La chanson populaire, avant de devenir une industrie juive, était réellement populaire. Le peuple s’y adonnait et n’avait pas de raison de le cacher. Aujourd’hui cet art est d’une composition si discutable que les exécutants, pourvus d’un minimum de décence, doivent apprécier les dispositions de leur auditoire avant de chanter. Les citoyens d’âge

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