Recherches sur les fièvres, selon qu'elles dépendent des variations des saisons. 2-2

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TABLE

DES

MATIÈRES.

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Les signes du rétablissement, 313. Avantage de la rhubarbe à ce période. Opiats utiles s’ils sont indiqués. Exception pour ces deux médicamens : tel est le plan général de la cure , par lequel l’auteur fournit l’idée de la maladie, 314. Premiers phénomènes de cette maladie, telle qu’elle serait en juillet et août, en Angleterre ; suite des symptômes, 315. Observation de la dernière importance sur les sueurs. Dans cette maladie, elles ne sont que symptomatiques ; les intestins, au contraire, sont la voie seule par où la nature peut chasser convenablement la cause morbifique : exception. Une maladie ne doit être censée bien guérie, que quand elle est domtée d’une manière aisée et convenable à sa nature, 316. Quand les selles, produites par la nature seule , ne font pas tomber la fièvre, c’est que la nature est dans un trop grand trouble. Pratique dans ce cas. Il faut que les lavemens soient chauds, et les boissons froides, ibid. Avantage de ce traitement. Les sueurs ne doivent pas être forcées au lit. Le malade ne doit même y rester que quand la violence de la maladie est tombée. Désavantage des amers. Utilité des eaux martiales, 317. Exemple d’une colique bilieuse avec un ténesme continuel. Etat de la malade. Traitement. Abus connus dans cette cure. Eruption d’aphthes salutaires dans l’ordre d’une fièvre quarte. Mauvais effet du quinquina. Longue guérison, ibid. , 319. L’auteur critique lui-même sa conduite, et examine les sympibid. tômes et les révolutions de cette maladie, Exemple d’une fièvre aphtheuse. Etat de l’enfant malade. Traitement de Boërhaave avantageux dans ce cas-ci, 320. On ne doit pas s’opposer aux aphthes quand ils modèrent les symptômes de la fièvre. Ils sont critiques. Danger du quinquina et des astringens dans ce cas-là. Les aphthes sont plus fréquens dans les fièvres qui affectent les intestins ; leur utilité. Celle des petites selles , de la baye. Précautions sur la 321, 322. saignée, Le froid au commencement du paroxysme est un bon signe. Avis sur l’opium et les astringens. Avantage d’une diète bien réglée. Il faut laisser un libre cours aux aphthes, ibid. C’est par la fièvre qu’il faut juger des aphthes, et non vice versâ. ibid. Il faut les soutenir, les pousser , s’ils soulagent, Bouche sèche , mauvais signe dans ces fièvres : autres mauvais signes. On les fait disparaître en poussant les aphthes de la ibid., 323. gorge, etc. , Boissons convenables quand il faut solliciter les aphthes et


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