197 ouvert de tous les côtés sert d'asyle à quelques uns et les met à couvert de la p l u i e , mais les laisse e x posés au souffle des vents.
C e p e n d a n t la plupart
se construisent des espèces de nids au milieu des a r bres les plus touffus,
sur lesquels ils se n i c h e n t
comme des oiseaux de p r o i e . » Voici l'espèce de nourriture à laquelle les P a r i a s sont obligés d'avoir r e c o u r s p o u r ne pas mourir d e faim. « C e qui révolte le plus contre eux les autres Indiens , c'est la qualité repoussante des aliments dont ils font leur principale nourriture : attirés par la puanteur d'une c h a r o g n e , ils courent en t r o u p e en disputer les débris aux c h a k a l s , aux chiens et aux c o r b e a u x , et aux autres animaux carnassiers. Ils s'en partagent la chair à demi pourrie et vont la d é vorer dans leur cabane , souvent sans riz ni aucun assaisonnement qui l'accompagne. P e u leur i m p o r t e la maladie dont l'animal est m o r t , puisqu'ils e m poisonnent secrètement les vaches et les buffles, pour ensuite se repaître de leurs infectes et morbifiques dépouilles. L e s corps des animaux qui m e u r e n t dans un village
appartiennent
de droit au
Tolly