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LIVRE III. CHAP.
II.
de Mackau, capitaine de vaisseau au service de S. M. T. G., gentilhomme de la chambre du roi, l'ordonnance royale qui a été entérinée ce jour pal le sénat, et dont la teneur suit « En foi de quoi, le présent, signé de notre main et revêtu de notre sceau , a été remis à M. le baron de Mackau, pour lui servir ce que de raison. « Donné au palais national du Port-au-Prince, le e
11 juillet 1825, an 22 de l'indépendance. « Signé : Boyer. — Par le président d'Haïti, le. secrétaire général : B. Inginac.—Par le président, le secrétaire d'État : J. G. Imbert. » Enfin, le 16 juillet, M. le baron de Mackau r e cevait la communication suivante en réponse à une note qu'il avait remise après l'acte de l'indépen dance accompli, et que nous reproduisons encore textuellement : «
RÉPUBLIQUE
D'HAÏTI.
« B. Inginac, général de brigade, secrétaire gé néral près Son Excellence le président d'Haïti, « A M. le baron de Mackau, capitaine de vais seau de la marine royale de France, commissaire de S. M. T. G. au Port-àu-Prinee,