(153) qu'ils parvinrent par degrés jus qu'au haut de la montagne , et repoussèrent les ennemis jusqu'au bas de la côte opposée. L à c o m mença un terrible carnage : dès que les Crêtois furent maîtres de tout , ils mirent le feu
à
leur
camp ; ils perdirent deux dragons et le brave Bovier, officier grand
mérite
généralement
; ce
militaire
d'un fut
Ils c o n t i
regretté.
nuèrent leurs préparatifs pour leur; retraite. Elle devenait d'autant plus n é cessaire , que les ennemis , ét-onnés de
ce dernier effort de v a
leur de nos
braves ,
commen
çaient à changer d e plan d'atta que ; ils coupèrent les c o m m u n i cations a\ec les autres quartiers, et affamer
par - là nos braves , G
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