ANGLOISES. 349 replie en rond, la tête au milieu, & s’élance contre son ennemi. Les sauvages mangent sa chair, qu’ils trouvent bonne. J’ai même ouï dire à des Anglois qui en avoient goûté, qu’elle n’est pas désagréable : il est certain du moins, qu’elle ne fait pas de mal. Je suis, &c. A Boston, ce 20 Mai 1749.