CHANT
II.
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Tout-à-coup j’aperçus la charmante Thémire ; Je ne regardai qu’elle , et j’expirais, je croi, Si ses regards flatteurs n’étaient tombés sur moi. Je courus à Vénus : Ecoute ma prière , Lui dis-je, et puisqu’ici tu dois me rendre heureux , Ordonne que ce soit avec cette bergère ! Seule, elle peut remplir ta promesse et mes vœux.
FIN
DU
SECOND
CHANT.