GAZETTE du 4ème TRIMESTRE 2014 Octobre, novembre, décembre Président, Louis Charbonnier 06 84 80 90 94 louis.charbonnier2@orange.fr Vice président, Michel Avon 06 26 83 33 56 michel.avon13@gmail.com Vice-Président, Pierre Baron 06 80 98 52 75 pierre.baron1@sfr.fr Président d’honneur, Michel Rumeau-Maillot michel.rumeau-maillot@orange.fr Secrétaire, Paul-André Gilibert Trésorier, Jean-Robert Richard 06 70 51 92 36 jrrichard@orange.fr
Editorial Il faut bien se dire une chose, tout à une fin, les bons moments, le farniente, le soleil (hum) et les moments de solitude, pour certains. L’Amicale reprend du service, c’est heureux. Cette rentrée est un peu particulière, elle se déroule dans une atmosphère tendue aussi bien sur le plan national qu’international. Espérons que les hommes deviendront raisonnables. On parle beaucoup de la rentrée scolaire, on oublie la rentrée de l’Amicale, c’est très important. C’est aussi le moment de se demander d’établir une balance entre ce que nous apportons et ce dont nous bénéficions. Si un déséquilibre est constaté, c’est le moment de faire quelque chose ! Par exemple collaborer dans un bureau, faire part de ses idées, participer régulièrement aux réunions, aux activités. Si nous voulons que l’Amicale vive chacun doit apporter sa pierre.
Souhaitons-nous une belle année qui s’ouvre devant nous Louis CHARBONNIER
ARLB
Hier la Lyonnaise de Banque ….
Amicale de DIJON
Place du Bareuzai … …..
SORTIE DU 15 MAI 2014
aujourd’hui le C.I.C.
BEAUNE Les Hospices
spectacles qui contribuent restauration de l’édifice…
à
la
Nous étions plus d’une trentaine pour le voyage annuel de l’Amicale qui cette année a porté son attention sur les châteaux de Saint Fargeau et Guedélon situés au cœur de la Puisaye, dans l’Yonne, à 50 km au Sud-Ouest d’Auxerre. Saint Fargeau Ce château est une ancienne propriété de la famille de Jean d’Ormesson notre célèbre écrivain et académicien. Il y passait ses vacances d’été et s’inspira du château pour son roman Au plaisir de Dieu. L’origine de ce château remonte au demifrère de Hugues Capet évêque du lieu qui a fait construire une première bâtisse à cet endroit. Puis, après être passé dans de nombreuses mains, le château fût racheté en 1979 par les frères Guyot qui le restaurèrent.
Nous eûmes le plaisir de visiter les nombreuses salles, la bibliothèque et surtout la charpente : impressionnant vaisseau renversé de poutres de chênes imbriquées les unes dans les autres. Dans le magnifique parc bordé d’un étang, où les oies s’amusent tranquillement, sont organisés tous les ans de nombreux
Ce sont 600 acteurs en costume d’époque, 60 cavaliers, un équipage de chasse à courre, une fanfare qui retracent plus de 1000 ans de l’histoire de France depuis les Capétiens en passant par Jeanne d’Arc, Louis XIV et la révolution de 1789. Suite à la visite d’une mission archéologique, un rapport fût remis aux frères Guyot et l’un des rédacteurs suggéra, dans une phrase manuscrite, l’idée d’élever une réplique d’un château du moyen-âge. Guédelon C’est cette mention manuscrite qui décida les frères Guyot, au début de l’année 1997, à se lancer dans cette aventure complètement folle de reconstruire le château de Guédelon. Aventure si folle que notre brave administration octroya le permis de construire en deux mois seulement avec l’arrière pensée que cette folie ne verrait jamais le jour et que le permis pouvait donc être accordé sans risque. C’était sans compter sur la pugnacité, la compétence, l’opiniâtreté des frères Guyot que tout le monde au début de leur aventure qualifia de fous. Dans une forêt, ils décident donc de construire une réplique d’un château du Moyen-âge selon les méthodes du moyen
âge. Tout sera fait à la main avec des outils d’époque. Le cheval sera presque l’unique moyen de transport.
Les pierres sont taillées à la main et trouvées sur place. Le ciment, semblable à une boue, est fabriqué avec des pelles et transporté dans un tombereau tiré par un cheval (A noter que cette boue met des siècles à sécher). Les pierres sont montées avec un « ascenseur » mu à l’aide d’une roue…
Soixante dix ouvriers travaillent sur ce chantier et lorsque qu’il sera terminé il aura fallu 20 ans pour le construire en ne partant de rien et en devant tout imaginer et fabriquer les outils…
A l’intérieur de cette roue marche un homme ou une femme. Nous avons eu la surprise de voir une dame faire monter, sans effort apparent, une pierre de plus de cent kilos.
Au Moyen-âge, il fallait dix ans. Voilà donc une famille qui par ses initiatives rénove un château en construit un autre et emploie un centaine de personnes sans subvention ! Il faut vraiment avoir la foi pour rénover un château tombé en ruines et en construire un autre. Quelle foi ont-ils donc ? La jeune guide, humble et modeste, ne nous l’a pas dit mais l’a sousentendu.
La forge est, elle aussi, une réplique d’une forge du Moyen-âge.
Que vont-ils construire l’année prochaine ?... La chapelle !
Aujourd’hui, le corps principal du château est terminé ainsi qu’une tour…
Danielle HELIOT
Section Drôme-Ardèche Valence SORTIE D'ETE - PETIT TRAIN DE L'ARDECHE En cette belle matinée du 12 juin, nous avons rendez vous à la gare… non pas TGV de Valence, mais celle du petit train du Vivarais en gare de Tournon -St Jean de Muzols. 21 personnes ont répondu présentes et pour le déjeuner plus tard nous serons 26 à nous retrouver autour d'un bon verre d'apéro et la suite…
Voici quelques photos de cette merveilleuse journée, enchanteresse à travers la végétation Ardéchoise et les gorges du Doux, suivi vers 12h 30 d'un repas non moins enchanteur dans une des tables de la chaîne Chabran, située à Tain l'Hermitage en bord du Rhône. C'est là que les papilles se régalèrent et que nous tinrent une AG modificative, nommant de nouveaux membres.
D'un commun accord, nous prîmes l'engagement de renouveler une sortie de cet acabit le plus tôt possible, c'est à dire vers mioctobre 2014. Michel RIVOIRE
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Section de Marseille délimité par le massif de Corbières vers le Rove et l’anse de Saumaty vers Marseille, le petit port de l’Estaque reste un des quartiers les plus pittoresques. L’essor de ce quartier au XIXème siècle était connu pour l’artisanat de fabrication de tuiles, briques, carreaux et tommettes en terre cuite; activité vieille de plusieurs siècles. Les usines y étaient implantées certainement en raison de la qualité de l’argile et de la facilité à l’extraire. Très actives jusque vers les années 1930 puis disparaissant après 1960.
Marseille et ses quartiers L’Estaque
Cette colline d’argile était la campagne d’une famille bourgeoise marseillaise Foresta. Autrefois se trouvait le château des tours. Selon les souvenirs, celui-ci était magnifique et imposant avec ses deux tours massives face à la mer. S’est implanté sur cette colline à l’emplacement des carrières de terre utilisées par les tuileries et briqueteries qui se trouvaient à l’Estaque, le plus grand centre commercial de la région Paca, « le Grand littoral » On retrouve un peu cette ambiance de quartier ouvrier dans le film de Guédiguian, Marius et Jeannette. Les usines de tuileries de St Henri, St André qui jouxtent l’estaque ont servi à Marcel Pagnol dans son film Naîs avec Fernandel en 1945.
Petite escapade à la découverte de l’Estaque en empruntant la navette maritime qui nous permet de découvrir, en quittant le port de Marseille, l’église St Laurent, le Mucem, la Joliette et ses grands paquebots et la vue sur le port de l’Estaque.
Mais ce qui nous attire aussi c’est de nous promener à travers le dédale des ruelles étroites en accédant au quartier des Riaux qui a particulièrement inspiré les peintres. Ces peintres qui ont posé leur chevalet devant tant de beauté de lumière de couleurs dont l’inspiration a donné naissance a de nombreuses toiles et fait la renommée de l’Estaque. Blotti au pied de la chaîne de la Nerthe, à une dizaine de kilomètres au nord de Marseille
Nous partons sur les traces de Cézanne en empruntant les escaliers pour rejoindre la place
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l’estaque » considérée comme l’un des points de départ du cubisme. Au pied du viaduc des Riaux se trouvent les trois plages de Corbières située entre l’Estaque et le Rove, plages très fréquentées par de nombreuses familles. On aperçoit également l’entrée du tunnel du Rove , tunnel maritime percé sous la chaîne de l’estaque qui devait relier la mer méditerranée à l Etang de Berre. Actuellement obstrué par un éboulement il est hors service.
Malleterre devant la petite église où nous retrouvons la maison où il séjourna. Zola aimait beaucoup cette place. Il y vint quelques jours en 1870 et y resta cinq mois en 1877. Des années 1860 à 1920 ; sous l’impulsion de Cézanne, de nombreux peintres impressionnistes cubistes ou fauves ont fréquenté ces lieux. Paul Cézanne fut le pionnier et le plus fidèle à l’estaque. Pierre-Auguste Renoir vint y peindre aux côtés de Cézanne en 1882. Georges Braque y séjourna quatre fois. André Derain y passe. Quant à Raoul Dufy, en 1908 il tombe sous le charme. N’oublions pas Adolphe Monticelli vrai peintre marseillais et ami de Cézanne. La fondation Monticelli - Fortin de Corbières, ancien fortin militaire au XIXe, rend hommage au peintre marseillais Nous poursuivons le chemin des peintres par la rue Jumelles, la traverse Mistral, le chemin de la Nerthe et le boulevard de la falaise qui permet d’accéder aux Riaux. Sur les hauteurs entre les maisons et les petits jardins, nombreux points de vue sur la rade marseillaise et le viaduc des Riaux qui a tant inspiré Braque. En 1907, il réalisera son œuvre « Le viaduc de
Retour en découvrant des petites maisons de pêcheurs accrochées au versant de la colline. A côté des petites maisons se cachent derrière des jardins luxuriants de somptueuses bâtisses : château Fallet, villa Palestine…. L’Estaque a conservé ses traditions gourmandes que nous avons goutées : Le chichi Freggi (beignet saupoudré de sucre) délicieux et les Panisses (pâte à base de farine de pois chiche que l’on fait frire). La fête de l’Estaque est célèbre pour ses joutes nautiques, sardinades, aïoli géant et bal musette.
MJ L’Honen et Michel Avon, souvenirs d’un vrai marseillais
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Section de Nîmes
à un petit documentaire retraçant les gestes et l'art du « confisage », suivi d'une dégustation des produits bien appréciés par l'ensemble du groupe et qui ne laissera personne indifférent...
Une journée dans le Luberon C'est le jeudi 23 mai que, dès 8h du matin, le bus embarquait la bonne trentaine de participants à cette journée de découverte.
La suite de la journée sera consacrée à la visite des célèbres ocres de Roussillon où nous arpenterons les sentiers arborés de ces anciennes carrières aux couleurs éclatantes et façonnées par l'œuvre du temps.
La route nous conduira tout d'abord jusqu'au sympathique village de Lourmarin où nous ferons une pause que nous agrémenterons par la visite du marché local. Nous emprunterons ensuite la vallée de la Combe de Lourmarin pour arriver, sur le coup des midi, au restaurant après avoir traversé le village de Bonnieux d'où nous aurons une superbe vue latérale sur le Mont Ventoux…
A l'issue de cette belle visite, il sera alors temps de rentrer au bercail où nous arriverons peu avant 20 h. Une belle et intéressante journée sous un soleil qui commençait déjà à chauffer... L'après midi nous conduira vers Apt où nous visiterons les locaux du plus grand confiseur français. Au cours de la visite, nous assisterons
Thierry ALLEN
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groupe reviendra enchanté de ce trop court voyage, mais prêt à repartir.
Une journée aux SaintesMaries-de-la-Mer C'est le jeudi 26 juin que se sont retrouvés, dans ce typique village camarguais, une trentaine de membres pour s'offrir une escapade gourmande. Le repas de midi eut lieu au restaurant l'Abrivado, face aux arènes locales, dirigé par un ancien collaborateur du C.I.C. en la personne d'André Louis Morgat qui, après un long séjour à la Banque, sut se faire apprécier ce jour-là d'un avis unanime, pour les qualités culinaires de son établissement.
Reprise des réunions Après l'intermède estival, nos réunions reprendrons comme chaque année, le second jeudi d'octobre. Il sera alors temps de penser aux prochaines agapes, depuis le Beaujolais nouveau en novembre, jusqu’au traditionnel repas de fin d'année. Rendez vous est donc donné à nos membres, le 12 octobre prochain, en son lieu habituel.
Croisière sur le Danube Quelques jours après, c'est une dizaine de couples de la section qui prenait la direction de Munich pour y effectuer, histoire de quelques jours, une sympathique croisière sur le fleuve Danube. Ce sera l'occasion de visiter et d'apprécier les belles villes de Vienne, Budapest, Bratislava et Dunetz, ainsi que l'abbaye baroque de Melk. Là aussi, convivialité et bonne humeur seront de la partie tout au long du séjour et le
Thierry ALLEN
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Section de St Etienne Jeudi 26 Juin 2014, les adhérents de la Section de Saint-Etienne sont partis en car pour une journée dans le but de visiter une grande chocolaterie. Une chocolaterie d’exception « Valrhona » à Tain l’Hermitage son expertise, son exigence et sa passion au service des professionnels de la gastronomie
Nous avons fait un premier arrêt à l’auberge du Grand Bois pour quelques parties de pétanque mais aussi pour déjeuner…
pour faire de chaque dégustation un moment d’exception. Choisie par les meilleurs maîtres pâtissiers et chocolatiers à travers le monde pour sa grande palette aromatique constamment enrichie d’innovations. Valrhona a pour ambition de promouvoir l’épanouissement gastronomique des hommes. Dans un souci de dialogue et d’éthique, Valrhona s’appuie sur des relations de codéveloppement de longue durée avec les planteurs et les grands Chefs.
Bien rassasiés, nous avons repris le car pour notre destination tant désirée, la chocolaterie. Il s’ensuivit visites et dégustations. De grands moments.
Valrhona aujourd'hui : DE L’EXPERTISE A L’EXPERIENCE Expertise sensorielle
Un peu d’historique : VALRHONA HIER ET AUJOURD'HUI
L’expertise sensorielle est une science nouvelle, un outil qui utilise les cinq sens (vue, texture, ouïe, odeur et goût) pour décrire, caractériser et maîtriser toutes les propriétés organoleptiques des produits. C'est pourquoi, Valrhona a décidé de faire de cette science une valeur d'entreprise fondamentale, partagée et pratiquée par tous pour une maîtrise du goût de chaque instant.
Plus de 90 ans au service de la gastronomie, Valrhona est une chocolaterie française qui fournit, depuis 1922, un chocolat d’exception.
Innovation et création
Créée à Tain-l'Hermitage en région RhôneAlpes, entre Drôme et Ardèche, par un pâtissier pour les pâtissiers. Valrhona met toute
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Recherche et innovation sont les maître-mots de Valrhona depuis de nombreuses années. Précurseurs sur de nombreux produits pour les professionnels, Valrhona, à travers ses créations, a fait découvrir des arômes subtils et typés.
Valrhona parcourt le monde pour trouver les meilleures matières premières et sélectionne les plus grandes variétés de fèves issues d’une douzaine de pays avec un très bon potentiel aromatique pour vous offrir un Grand Chocolat.
Créativité pâtissière Quelques photos des participants…
L’expertise internationalement reconnue de Valrhona est indissociable de l’École du Grand Chocolat, créée en 1989 par Frédéric Bau. Depuis plus de 20 ans, l’École du Grand Chocolat invente, répertorie et conserve tous les savoirs des métiers du chocolat (pâtisserie, chocolaterie, confiserie et cuisine).
Choisi par les plus grands professionnels de la gastronomie (chocolatiers, glaciers, pâtissiers, boulangers et chefs restaurateurs) Valrhona les accompagne au quotidien à travers des produits et des services spécialement conçus pour leur permettre d’affirmer leur talent et leur différence.
Aux sources de nos cacaos
Ce fut à nouveau une agréable journée bien orchestrée par Nicole GRAIL, notre présidente. Guy POYET
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ILS NOUS ONT QUITTES Nés le
Retraités de
Décédés le
SARLAT André
15/02/1947
Provence
20/05/2014
MIALANE Rolande
28/05/1928
Vallée du Rhône
04/06/2014
ALLANET Odette
21/07/1922
Rhône
27/06/2014
SCANNAPIECO Janine
24/04/1925
Var
06/07/2014
MARTIN Eliane
03/07/1933
Vallée du Rhône
29/07/2014
SANCHEZ Norbert
28/07/1938
Var
31/07/2014
VOUILLON Maurice
22/07/1928
Rhône
31/07/2014
LO PRESTI Gérard
22/02/1929
Var
03/08/2014
CAPELLE Jean-Jacques
25/08/1948
Lyon
14/09/2014
Nom/Prénom
Nos pensées vont vers eux et leurs familles à qui nous transmettons nos condoléances les plus sincères !
_____________________________________________________________ BULLETIN D'ADHÉSION ARLB A retourner complété et signé
_________ Je soussigné(e), Né(e) le : Adresse complète : Tél. Fixe : Courriel :
Tél. Portable :
Souhaite adhérer à l’Amicale des Retraités de la Lyonnaise de Banque section de ____________ ____________________________________________ Cotisation annuelle : 23 Euros prélevés chaque année en janvier. Pour cette première adhésion joindre un chèque » Pour l’avenir je vous autorise à prélever le montant de celle-ci sur mon compte : N° _____________________________________ agence de ___________________ Ci-joint : - R I B A__________________ le______________ Signature
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AMICALE DES RETRAITES LYONNAISE DE BANQUE
LA GAZETTE DE LA SECTION DE LYON 4
ème
trimestre 2014 / octobre, novembre, décembre
Bureau de Lyon : Louis Charbonnier - Jean Claude Christophe - Nicole Cugnet Laurence Danna - Jean-Claude Garel Lucette Grumel – Alain Guastini - Mireille Jannon - Danielle Pillot - Gérard Platon
EDITORIAL
De retour de notre petit séjour à Londres, qui nous a permis d’apprécier la gentillesse de nos amis britanniques envers les étrangers quelquefois un peu perdus, nous voici prêts à attaquer le dernier trimestre 2014, ainsi que janvier 2015. Vous allez retrouver toutes les activités auxquelles vous êtes maintenant habitués (pétanques, belotes, théâtre sur la scène de l’ALCR, loto, repas de fin d’année…), avec quelques nouveautés : pour la première fois, nous visiterons une exposition de peinture au musée Dini à Villefranche. une conférence sur les murs peints et les tags, dans les locaux de nos rencontres amicales. Nos rencontres amicales sont un lieu où chacun peut s’exprimer. Aussi, n’hésitez pas à nous faire part de vos remarques, propositions, mais également critiques. Ces dernières peuvent être positives en nous aidant à ne pas refaire éventuellement une erreur de choix d’activité ou autre. En attendant de vous voir nombreux à nos rencontres amicales du premier vendredi de chaque mois…
Bonne rentrée et beaucoup de bonnes choses ensemble ! Laurence DANNA
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LA VIE DE L’AMICALE Adresses – Amicale des Retraités de la Lyonnaise de Banque, section de Lyon (Chez CIC–LB), 8 rue de la République, 69001 Lyon. Internet : http://christjcc.magix.net/public/ Rencontres amicales et manifestations : 8, rue HENON, 69004 LYON Les membres du bureau et comment les joindre Laurence Danna, présidente, tél. 0472368272 / 0617854725, danna.laurence@neuf.fr Louis Charbonnier, vice-président, Trésorier-adjoint, voyages longs, tél. 0478446854 / 0684809094 louis.charbonnier2@orange.fr Jean Claude Christophe, secrétaire, tél. 0960061012 / 0633570589, christjcc@orange.fr Nicole Cugnet, trésorière, tél. 0478345129 / 0614659576, nicolecugnet@sfr.fr Jean-Claude Garel, animations / relations ALCR. tél. 0472271728 / 0606829230, jeanclaude.garel@dbmail.com Lucette Grumel, tél. 0478854304, 0622537945 visites/culture/spectacles, lucette.grumel@numericable.fr Alain Guastini, tél 0478254438 / 0608020782, randonnées, alain.guastini@dartybox.com Mireille Jannon, tél. 0478594636 / 0686997605, r.jannon@orange.fr Danielle Pillot, tél. 0478752575, danielle.pillot@neuf.fr Gérard Platon, secr. adjoint / randonnées, tél. 0478256760 / 0684057621, gerard.platon0629@orange.fr
Une journée champêtre bien réussie…
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COUP D’ŒIL DANS LE RETROVISEUR Il y a quelque années… au CA-TASSIN, en 1981
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STADE DE GERLAND
Afin de recevoir la coupe du monde de football en 1998 le stade subit de nombreux changements, les deux virages (le nord et le sud) sont démolis à l’exception du mur d’enceinte composé d’arcades et reconstruits. Désormais couverts, ils sont plus proches du terrain que les anciens. Les tribunes latérales voient leurs sièges entièrement changés; les anciens bancs sont remplacés par des places individuelles. La capacité du stade n’est plus que de 43.051 places, deux tribunes se font face (Jean Jaurès et Jean Bouin). En Janvier 2007, et pour la première fois depuis la construction, la pelouse est entièrement changée par une nouvelle en provenance du Portugal.
le 17 Juin Le stade de Gerland a été mis en chantier en 1913. Le projet d’édifier un stade dans la ville de Lyon a vu le jour grâce à la volonté du maire d’alors Edouard Herriot, qui a mandaté l’architecte Tony Garnier afin de créer un espace sportif dans la perspective de l’exposition internationale de 1914. C’est un stade typiquement antique qui s’inspire des stades romains avec cette grande galerie circulaire posée sur un talus végétal. Les quatre portes immenses établies par Tony Garnier ont été classées monuments historiques en 1967.
En 2007, Jean Michel Aulas a lancé le projet OL-Land destiné à remplacer le stade de Gerland par un nouveau stade de 61.556 places qui devrait être opérationnel en 2015, associé à un complexe commercial à Décines.
L’Olympique lyonnais en est le club résident depuis 1950. Ne disposant pas de tribunes couvertes à son inauguration, le stade connait des vagues d’aménagements successives, la piste cyclable est ainsi sacrifiée dès la fin des années 1960 afin d’augmenter la capacité d’accueil dépassant alors la barre des 50.000 places, soit 51.860 places en 1984 pour accueillir des matchs du championnat d’Europe de football. Les sept couloirs d’athlétisme mis en place en 1970 sont également détruits et remplacés par des fosses.
L’avenir du stade de Gerland passe par le rugby à XV et le LOU qui devrait y élire domicile s’il rejoint durablement l’élite du Top 14. Une réduction de la configuration d’accueil des spectateurs (capacité ramenée à 25.000 places) est à l’étude.
Lucette GRUMEL
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JOURNEE CHAMPETRE Le 19 Juin C’est par une belle journée pas trop chaude que comme de coutume notre 3ème journée champêtre a eu lieu dans la bonne humeur au stade de Jonage et qui chaque année voit de plus en plus de participants…
L’apéritif, les entrées copieuses fournis par le traiteur, le sanglier offert par Jacques Chirac, converti par Jean-Michel Ruby en délicieux pâtés, ont contribué à cette chaude ambiance, et que dire des côtes de porc cuites à point par Louis secondé par Laurence (je vous engage à visionner les photos sur le site)… La pétanque, les parties de cartes ou les promenades ont permis de digérer tout cela. Nous espérons que chacun et chacune ont apprécié cette journée pour laquelle les organisateurs ont eu des sueurs froides en voyant le temps de la veille. Nous remercions Jean Pierre qui chaque année sollicite le maire de Jonage qui nous a fait le plaisir de nous rendre visite, et sans qui cette journée ne pourrait pas avoir lieu. Nous espérons pouvoir renouveler cette rencontre conviviale l’année prochaine.
Lucette GRUMEL
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Il se trouve presque en face du pont de la Guillotière qui est resté longtemps la route de l’Italie. Cet ensemble a été un modèle pour d’autres bâtiments en Europe. Exemple, l’hôpital de Moscou construit sur le même modèle. Au fil des années, l’édifice a subi de nombreuses transformations, l’éloignant chaque fois un peu plus de sa version initiale. Les salles avec des grandes hauteurs de plafond ont été divisées en deux pour créer des niveaux supplémentaires, « cassant » littéralement la géométrie des pièces, la logique de base des fenêtres, quand ce n’était pas des fenêtres qui étaient même obstruées ou restructurées…
Visite de l’Hôtel Dieu le samedi 21 juin Ce samedi matin, 9H30, les trente visiteurs de l’ARLB avaient rendez-vous à l’entrée de l’Hôtel Dieu, quai Jules Courmont. Nous étions dans un groupe de 110 personnes !
Nous avons eu la chance d’être guidés par Didier REPELLIN (de qui proviennent toutes les données chiffrées), architecte en chef des monuments historiques (expert et fou amoureux de cet édifice, conteur hors pair du Passé et de l'Avenir de cet Hôtel-Dieu). C’est grâce à lui, qu’avant le début des travaux ont été organisées des visites pour permettre de découvrir cet ensemble imposant avant restauration. Désaffecté depuis la fin 2010, les bâtiments font l’objet d'un projet de longue haleine qui vise à lui redonner ses lettres de splendeur à l'horizon 2017. Cela représente environ 60000m2 à réhabiliter ! Un coût de l’ordre de 150 à 170 millions d’euros. Avec ses 2,3ha de surface, 2000 pièces, 5,8ha de façade et 1,9ha de toiture, sa façade majestueuse de 400m de long donnant sur le Rhône dominée par le « Grand Dôme », l'Hôtel-Dieu est l'un des édifices incontournables de l’agglomération lyonnaise. Il fut construit sur les plans de Jacques-Germain Soufflot (1713 – 1780) au XVIIIe siècle. Soufflot n’a que 27 ans en 1740 lorsque débute la construction. Les débuts réels de l’HôtelDieu datent du XIIe siècle, et fut d’abord administré par les frères pontifes, puis passa ensuite aux moines d’Hautecombe, puis à ceux de la Chassagne-en-Bresse, qui le vendirent en 1478 à la ville de Lyon.
La restauration future prévoit de supprimer tous ces niveaux créés pour redonner aux pièces leur aspect initial. Les plans des bâtiments étaient très élaborés pour assurer le confort des occupants, prévoyant aussi une bonne aération pour lutter contre la prolifération des miasmes (émanation à laquelle on attribuait les maladies infectieuses et les épidémies avant les découvertes de Pasteur). C’était d’ailleurs une des vocations du grand dôme d’assurer cette ventilation ; il est situé au-dessus de l’entrée principale et sa réalisation débuta en 1755. Lors de sa construction, les plans de Soufflot n’ont pas été scrupuleusement suivis par l’architecte en charge (Soufflot n’ayant pas lui-même supervisé sa réalisation). En 1944, durant la seconde guerre mondiale, ce dôme a été ravagé par un incendie qui a duré 8 jours du fait de sa charpente en bois (différentes théories s’affrontent sur la
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raison réelle de cet incendie). Il est resté en l’état de 1944 à 1948. Lors de de sa reconstruction (de 1946 à 1978), les véritables plans de Soufflot ont été respectés ! Sa hauteur est d’environ 60 mètres…
des cours intérieures, un petit dôme, un musée, un jardin des senteurs et une herboristerie qui compte plus de 6000 pots en terre cuite qui contenaient des épices (pour une bonne partie venue de Perse). L’opération de restauration prévoit entre autre d’installer un hôtel de luxe (qui « donnera » sur le Rhône, en permettant de laisser un libre accès aux visiteurs, l’ancien réfectoire des sœurs sera transformé en salle de restaurant (sous l’enseigne d’un certain Paul Bocuse) et pourra accueillir près de 300 couverts ; élément remarquable, le sol est d’origine !
Une salle de conférence sera également réalisée (quatre cinquième des congrès à Lyon sont de type médical) Après la visite terminée vers 12H45, une quinzaine de participants ont déjeuné ensemble. Une visite très intéressante et instructive, appréciée de tous, qui a permis de découvrir un des fleurons des bâtiments de notre agglomération lyonnaise.
Dans ce grand ensemble de l’hôtel-Dieu se trouvent aussi une chapelle avec 2 campaniles,
Jacques CHAMPETIER
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REGARD
SUR
DEMAIN, en synthèse
Dernier TRIMESTRE 2014
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REGARD
SUR
DEMAIN
Attention : Au 2ème car plein (120 personnes) nous ne prenons plus d'inscription. Qu'on se le dise !
Repas de fin damné... au cœur de la Dombes Vous avez été si nombreux à plébisciter les grenouilles de Philippe Damians que nous avons décidé de vous y emmener à nouveau, pour notre repas de fin d'année.
Jean-Claude GAREL
Le vendredi 16 Janvier 2015
A 45 € tout compris vous ne risquez pas grand chose d'autant que, dans son infinie bonté, l'Amicale prend à sa charge, le transport en car et l'animation.
Dans l'attente du mardi 16 Décembre 2014 et pour sensibiliser vos délicates
Les murs ont été, depuis la préhistoire, un support que l’homme a utilisé pour différentes raisons, religieuses, politiques, représentation de la vie, publicitaire, décoratif, parfois en marge de la société, pornographique, réactionnaire…
papilles… voici le menu :
Kir et petits feuilletés chauds Terrine du chasseur, bouquet de salade Grenouilles fraîches à la persillade ( 300 g. servis en 2 fois ) Gratin comme en Dombes Les délices de la ferme La belle assiette gourmande du chef Café Chardonnay et côtes du Rhône à volonté
Toulouse, capitale du graffiti, c’est là que j’ai trouvé la plupart de mes images et où j’ai pu rencontrer des grapheurs…
Animation assurée par HENRI'S et son compère. Nous vous rappelons la devise du chef : '' Qui ne saute pas n'est plus grenouille, chez Damians ''
Mais le graph sauvage n’est pas toujours de qualité surtout dans notre région. On préfère les tags, signatures qui souvent ne sont pas très artistiques et abiment les murs et sont très difficile à enlever.
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Visite des Gratte-Ciel à Villeurbanne
Venez voir l’histoire du graffiti de la préhistoire à nos jours, le 16 janvier, à 14h, en salle ALCR rue Hénon.
Jeudi 12 février 2015 1934/2014 : 80 ans des Gratte ciel. Le 17 juin 1934 Villeurbanne inaugurait son nouveau centre urbain.
André Chavanne LOTO vendredi 23 Janvier 2015 En l’an 2015, nous renouvelons l’aventure « Loto ». Les quines, cartons pleins seront de retour accompagnés de fous-rires ou de gestes de dépit lorsque les numéros ne correspondront pas aux cartons étalés devant vous. Mais qu’importe, l’essentiel est de passer un bon après-midi en toute convivialité.
Je vous propose de découvrir l’histoire cette « utopie réalisée » imaginée concrétisée entre 1930 et 1934 par maire socialiste Lazare Goujon l’architecte Morice Leroux…
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Du Palais du travail aux tours des Gratteciels, en passant par l’appartement témoin, vous vous laisserez guider à travers le quartier, à la découverte d’un projet architectural et urbain unique. Reconnu dans le monde entier, il revêt des qualités urbaines et architecturales demeurées jusqu’ici exemplaires. Les Gratte-ciel font partie du réseau des « Utopies réalisées » avec quatre autres sites dont le couvent de la Tourette de Le Corbusier à Eveux, où la cité Tony-Garnier à Lyon.
Nous ferons une petite pause arrosée de jus de fruits et certains repartiront avec un modeste lot en se disant : « nous reviendrons l’année prochaine ». Nous vous attendons donc à partir de 13h30 et le tarif reste le même, 5€ la participation, le carton 2€ et 5€ les trois.
Pierrette RICHARD
Lucette GRUMEL
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GRANDS VOYAGES 2015 « Portugal, lorsque l’Atlantique rencontre l’Europe » Situé sur la péninsule ibérique, le Portugal, pays au riche passé maritime et aux explorateurs célèbres, est une porte ouverte sur l’océan atlantique. Au cours des trois derniers millénaires, le Portugal a connu des mouvements de flux et de reflux constants de civilisations. Les cultures phénicienne, grecque, celtique, carthaginoise, romaine et arabe y ont toutes laissé leur empreinte. Au XVe siècle, la découverte de nouveaux territoires par les intrépides marins et explorateurs portugais, menés par Vasco de Gama, aboutit à la constitution d’un empire d’outre-mer. Au Portugal, l’université de Coimbra, fondée en 1290, est l’une des plus anciennes d’Europe. Ainsi se présente ce pays du Sud, confluent des éléments terrestres et maritimes aux apparences trompeusement méditerranéennes, alors qu’il ne possède aucune ouverture vers la Mare Nostrum. Ce petit pays (un sixième de la France) est aussi l’un des plus vieux d’Europe et, de par son destin solitaire, il fut relativement préservé des turbulences politiques qui ont secoué notre continent. Le Portugal étonne généralement par sa diversité et par la richesse des découvertes que l’on y fait. Nous visiterons : Guimaraès, Braga, Coimbra, Fatima, Nazare, Lisbonne, Faro, ensuite passage en Espagne, l’Andalousie s’offre à nous, Séville, Ronda, Cordoue, Grenade, les Alpujarras, Malaga. Parlons du prix, déterminé en fonction du nombre de participants, il sera de l’ordre de 2000€ maxi. La période : nous insistons pour que ce voyage se déroule avant la mi-mai compte tenu des ponts et de vacances scolaires. Les vols n’étant pas ouverts nous sommes dans l’attente. Un acompte de 300 € nous permettra de bloquer les vols dès que possible. Pour vous inscrire ou confirmer, une seule adresse : louis.charbonnier2@orange.fr
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__________________________________________ Guatemala Le Guatemala est un pays qui a tant à proposer : paysages somptueux, volcans en activité, lacs, jungles, villages séculaires perdus sur les hauts plateaux, côtes atlantique et pacifique, sites archéologiques... Autrefois visité en tant qu'extension d'un séjour au Mexique, le Guatemala est devenu, à juste raison, une destination à part entière. Ce n'est pas parce qu'il est petit qu’il y a moins de choses à voir. Bien au contraire. La grande majorité des habitants du Guatemala descend directement des Mayas. Les Indiens, largement majoritaires dans la population, ont su conserver leurs langues, leurs coutumes, leur folklore et leurs costumes particulièrement riches en couleurs. À la différence du Mexique, beaucoup plus métissé, le Guatemala nous plonge en pleine culture amérindienne, au cœur du monde maya. La plus grande partie du pays est sauvage, intacte, authentique. Il abrite un site archéologique extraordinaire, Tikal, et l'un des plus beaux lacs du monde, Atitlán, entouré de ses volcans aux cônes parfaits.
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Quelques étapes du voyage : Copan, site archéologique. Traversée en bateau pour rejoindre Livingston. Croisière sur le Rio Dulce Visite du site de Tikal Excursion dans la réserve naturelle de Ixpanpjajul (avec traversée sur ponts suspendus). Excursion sur le lac Atitlan. Visite d’Antigua (patrimoine mondial de l’humanité)
Attention certaines précautions sont à prendre, notamment ne pas s’éloigner du groupe. Se renseigner sur le site du ministère des Affaires étrangères.
Période la plus favorable, hors saison chaude et pluies, est octobre/novembre. Prix, selon le nombre de participants Environ 2000/2100€ pour 12 jours. Plus de renseignements et plaquette Syltours : louis.charbonnier2@orange.fr danna.laurence@neuf.fr
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13 novembre Musée Paul Dini ° RV, 10h, sur place, à Villefranche (Resto possible)
13 novembre Musée P. Dini Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél. Prix : 7,50 €
7 au 10 décembre Marchés de Noël en Alsace ° RV statue St Exup. Bellecour, 7h
7 au 10 décembre Marché de Noël Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél. Prix : 505 €
12 décembre Belote ° Début du concours, à 13h30, salle ALCR
12 décembre Belote Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél. CHQ : 7€
16 décembre Repas fin d’année
16 janvier Conférence tags et murs peints
° RV à 11h statue St Exup. Bellecour
° RV, 14h30 à
16 décembre Repas fin d’année
16 janvier Tags et murs peints Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél.
Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél. Prix : 45 €
l’ALCR
Prix : 5 €
23 janvier Loto ° RV 14h salle ALCR
23 janvier Loto Bulletin d’inscription Nom : Prénom : Tél. Prix : 5 € + cartons
Petite histoire lyonnaise… et d’ailleurs AU PAYS DES LUMIERE La ville de Lyon, berceau du 7ème art, présente un institut pour faire découvrir à ses visiteurs les fabuleuses inventions des Frères Lumière. Une histoire de famille. Antoine le père est né en 1840 en Haute-Saône. Peintre, photographe, artiste non conformiste à la personnalité forte, il installe un atelier à Besançon ville où naissent deux enfants, Auguste en 1862 et Louis en 1864. La guerre Francoprussienne de 1870-1871 éclate. Le père s’exile et installe dans le Centre de Lyon un studio où rapidement la qualité de ses clichés attire une clientèle aisée. Antoine se passionne pour les images animées alors en vogue. Il veille aussi à la qualité de l’instruction de ses fils qui fréquentent La Martinière. Pour mémoire, un établissement scolaire technique de premier ordre créé grâce à une donation attribuée au décès de Claude Martin. Ce dernier, né à Lyon en 1735, fils de tisserands, s’engage à 14 ans comme soldat à la Compagnie Française des Indes Orientales pour Pondichéry. Lors de la perte de ce comptoir par la France, il poursuit sa carrière dans l’armée anglaise. En 1795 il est nommé au grade de Major Général. A son décès en 1800 il lègue une part de sa fortune pour la création à Lyon d’une école de garçons (1826) et de filles (1879). Les enseignants innovent par l’usage de l’ardoise. Diplôme en poches, les fils Lumière s’investissent dans l’affaire familiale. Ils mettent au point et commercialisent en 1881 une plaque photographique de verre sèche dite plaque étiquette bleue qui détrône les plaques humides à l’albumine et au collodion alors en usage. La prise de vue désormais peut être instantanée. C’est la fin des poses figées de 7 à 8 secondes et des bébés légèrement drogués pour le cliché de famille. De cette époque l’institut expose une photo très nette d’une personne qui saute par-dessus une chaise. En 1884, George Eastman utilise le support celluloïd en photographie. En 1894 les frères Lumière examinent le Kinétoscope du génial inventeur américain Thomas Edison. Le procédé ne permet qu’une vision individuelle d’images en boucle au travers d’une fente. Ils envisagent la projection des images animées. Louis Lumière met au point la griffe pour l’avance intermittente des images en voyant sa mère coudre à la machine. Il construit une première caméra, brevetée en février 1895, le CINEMATOGRAPHE. Tout s’enchaîne. Le 28 décembre 1895, au sous-sol du Grand Café à Paris, 33 spectateurs payants s’installent au Salon Indien. Ils assistent stupéfaits à la première séance publique de projection. Ils suivent sur un écran 10 épreuves de photos animées de 40 secondes chacune. Nous connaissons le programme : *La Sortie de l’Usine Lumière à Lyon. Le premier film tourné le 19 Mars 1895 Rue St Victor aujourd’hui Rue du 1er Film. *La Voltige un bidasse s’entraine à sauter sur un cheval. *La pêche aux poissons rouges, un bambin sous l’œil de son père plonge la main dans un bocal. *Le débarquement du congrès de la photographie à Lyon. *Les Forgerons ? *Le jardinier (l’arroseur arrosé). *Le Repas de Bébé. *Le saut à la couverture, distraction de bidasses. *La Place des Cordeliers à Lyon, scène de rue devant la Halles. * La Mer, Baignade en bord de mer. NB : L’entrée en gare d’un train ne figurera que plus tard
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Aux USA, les démonstrations publiques d’images animées reçoivent un accueil mitigé. A Paris, c’est l’euphorie. Rapidement, un service d’ordre doit contenir les centaines de spectateurs qui se bousculent à l’entrée. En janvier 1896 les Lyonnais peuvent visionner les scènes avant les Londoniens et les Newyorkais… En 1970 pour les 75 ans du cinéma j’ai assisté à une séance de films avec un matériel d’époque. Le projecteur comportait une lampe électrique à arc. Un condensateur de lumière sorte de carafe remplie d’eau refroidissait le faisceau à l’arrière de la caméra traversait la bobine d’images et l’objectif en direction de l’écran. La caméra servait à la prise de vue et à la projection grâce à une manivelle pour animer le mécanisme. Des affairistes demandent l’achat du cinématographe. Les Frères Lumière gardent la mainmise sur l’exploitation. Dès 1896 ils mettent en place un réseau, souvent des revendeurs de plaques photos de la marque. Ils obtiennent l’exclusivité des projections dans les villes françaises ou étrangères. Les prises de vues sont faites par des opérateurs de cinéma formés à Monplaisir. Les caméras sont chargées de 15m de pellicule soit 1 minute de prise de vues au rythme de 15 images par seconde. De 1895 à 1901 plus de 1400 prises de vues sont faites et les négatifs conservés jusqu’à nos jours. Ainsi des vues d’Europe, Amérique, Asie, Afrique, Australie de cette époque existent. La simplicité du système permet aux opérateurs de développer les négatifs à l’hôtel et tirer les positifs à projeter. Le 30 mai 1904 les frères Lumière proposent à l’Académie des Sciences de Paris une nouvelle plaque photographique Autochrome à base de fécule de pomme de terre sur trois couches. Une couche teinte en bleu, une en vert et l’autre en rouge qui restituent les couleurs. Produit à partir de 1907 ce système restera jusqu’en 1935 le principal support de la photo en couleur. Toute cette industrie de plaques et de films a nécessité un vaste emplacement à Lyon Montplaisir pour les ateliers, hangars et logements. Le rapport financier est confortable et les ouvrier(e)s bénéficient d’avantages sociaux novateurs en crèches et mutuelles dénoncés par certains comme du paternalisme. Antoine Lumière décède en 1911 après avoir toujours incité ses fils à la modernité par des recherches constructives. Louis meurt en 1948 à Bandol et Auguste en 1954 à Lyon. Les deux inventeurs formant le tandem des frères Lumière avec 170 brevets déposés dans des domaines variés. Le quartier du 8ème arrondissement de Lyon est marqué par l’implantation sur place de l’Institut Lumière créé en 1982, présidé par Bertrand Tavernier, la villa Lumière, le hangar immortalisé le 19 mars 1895 s’ouvrant sur la rue St Victor rebaptisée Rue du Premier Film. PS - Les nostalgiques des cinémas de quartier peuvent consulter sur internet Les Cinémas de Lyon 1895 à 1995. J’y ai retrouvé la mention du Cinéma Dulaar (la PERLE), 8 Place de la Croix Rousse ouvert en 1912. Ma mère née en 1908 m’en parlait. Elle me rapportait, les bancs de bois et le père Dulaar distribuant quelques taloches à des garnements indisciplinés (une autre époque). JUILLET 2014 Jean-Yves LARGE
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BRÉVES et INDISCRÉTIONS… retour sur l’actualité On peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui... mais vous, vous n'êtes pas n'importe qui ! Donc, avec vous, on peut rire de tout ! -------------------------
--- On a les moyens de faire parler les appartements "témoins" sur un immobilier qui agonise ! --- Tour de France : A quoi bon s'appeler Arnaud Démarre, si c'est pour ne jamais sortir du peloton! --- Et que dire de l'étape des Vosges : les coureurs qui avaient de la bouteille se sont crus obligés de souffler ... dans le… ballon… d'Alsace ! --- Décès de Robin Williams : il était fier de ses filles. L'une d'elles, Séréna Williams, était devenue comme lui, une enfant de la balle ! --- Une artiste de cinéma ruinée… En effet, au casino, Isabelle… " Huppert" tout le temps ! --- A l'O.L Yoann Gourcuff mis à l'index, ses coups de pied de "coingt" tournaient à la déconfiture ! --- En son temps, Mitterand avait craqué pour une journaliste suédoise ! Il eut un fils avec celle qu'on prénommait : " Le sein drôle de Stockholm " ! --- Nos ados inventent un nouveau jeu à la con : "A l'eau ou au resto " ! Avant eux, les anciens avaient créés plus intéressant : " Au resto mais pas à l'eau " ! --- Mondial de foot. : le joueur brésilien et ancien lyonnais, Fred, est toujours autant contestataire. Aussi, les arbitres ont-ils invité Fred à se taire ! --- Une ex-candidate du F.N condamnée à de la prison pour avoir comparé Ch. Taubira à un singe ! Et on se demande pourquoi, à l'énoncé du verdict, Ch. Taubira a pris la… banane ! --- Mickael Shumacher va mieux… il ne parle pas encore… il conduit seulement ! --- A Gaza, le Hamas crie victoire et soutient que la Palestine a battu Israël, 2100 morts à 70 ! Mais les Palestiniens étaient avantagés, ils jouaient à… "deux missiles" ! --- Une étude sur les fumeurs démontre un déficit de vie de 8 ans. Dés lors, des accrocs au tabac, par dépit, ont choisi à leur décès, l'incinération, décidant ainsi, qu'après leur mort ils fumeraient encore ! --- Cet été, les requins ont refait leur apparition sur quelques plages… sur certaines on peut même les caresser… mais ça coûte un bras ! --- Irak - ça bouge beaucoup là-bas… Israël reste vigilant et veille à ce que les djihadistes ne mettent pas la… charia avant l'Hébreu ! --- Nouveau remaniement ministériel… nouvelle martingale : Une chance au… chômage… Une chance au… Gattaz !
Jean-Claude GAREL
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