Olivier Jouan, dirigeant d’Agraph Publicité
lectivités... Bref, tout ceux qui ont besoin de communiquer via des supports. Nous travaillons aussi beaucoup avec les prescripteurs que sont les cabinets d’ingénierie, les maitres d’œuvres, les agenceurs, les agences de communications et marketing. travaillez-vous sur toute la bretagne ? Oui mais aussi sur la France entière. Nous accompagnons nos clients et lorsqu’il s’agit d’une franchise, nous pouvons réaliser le déploiement au niveau national. Maîtrisez-vous tout votre process ? Nous maitrisons la fabrication et la pose en interne mais nous avons aussi notre propre réseau de poseurs afin d’assurer à nos clients le meilleur prix et la maitrise des coûts. Comment se porte votre activité ? Comme vous l’avez compris, nous avons des typologies de clients très variés, ce qui nous permet de ne pas avoir de périodes creuses ou de saisonnalité. Nous travaillons bien toute l’année. Quels sont vos projets ? Ils sont multiples. Je veux tout d’abord intégrer de nouveaux collaborateurs
pour faire face à la demande. Puis, je tiens à investir dans de nouveaux outils de production, à diversifier nos produits et à proposer de plus en plus de décoration intérieure dans les bureaux et les magasins. regardez-vous la pub sur la toile ? Nos supports sont physiques mais nous proposons aujourd’hui des supports numériques comme les écrans dynamiques mais aussi les supports digitalisés. Nous collaborons avec un éditeur de logiciels qui permet à nos clients de communiquer auprès de leurs propres clients de façon ciblée et raisonnée. Nous créons du contenu pour faire vivre les bases clients. Avec cette offre numérique, êtes-vous loin de votre métier ? Au contraire, nous collons à ce que nous savons faire ! C’est à dire aider nos clients à faire venir des clients et à les faire revenir. Loin du Big Data qui nous
pollue tous, nous sommes grâce à notre offre digitale dans la communication locale ciblée, la donnée intelligente. Avec une ambition aussi forte et autant de projets, n’est-ce pas dur à suivre ? Comme je vous le disais, nous laissons beaucoup d’autonomie aux équipes ; ce qui nous permet d’être agile et d’être en perpétuel mouvement. Par conséquent, nous avançons tous ensemble. C’est un fonctionnement qui ne va pas à tout le monde mais lorsque le salarié l’a intégré, il est heureux de sentir la confiance qu’on lui donne. un dernier mot ? 30... 30 ans ! Nous fêtons nos trente ans cette année, c’est génial non ? C’est d’ailleurs la moyenne d’âge des salariés… que je « plombe » avec mes 44 ans. Mais la quarantaine, n’est-ce pas l’âge de la maturité pour avoir de nombreux projets et l’énergie qui va avec pour les réaliser. ■ ❙ Édition 2019 129