LES FAUX AMIS chroniques de l’intestin (MICI) comme la maladie de Crohn, la rectocolite hémorragique… On pense aussi à l’hypertension, les troubles du rythme cardiaque, les infarctus… Le stress et l’anxiété peuvent également être tenus pour responsables de certaines formes de dépressions et de dépendances à l’alcool ou à la drogue. Autant de difficultés qui sont elles-mêmes génératrices de stress. Ce qui renforce le cercle vicieux, le stress appelle le stress et l’ anxiété se nourrit d’elle-même. Ainsi, avant que la maladie s’installe, sautez sur toutes les occasions qui vous sont offertes pour réduire votre niveau de stress et d’anxiété.
Le sport et les articulations Pour éviter d’en arriver au pire, mieux vaut prévenir. Première étape : être honnête. Inutile de nier la réalité quand on vit un stress au quotidien. L’assumer et en parler est déjà une excellente étape vers l’amélioration. Seconde étape : mettre toutes les chances de son côté. Les maîtres mots sont : organisation, planification, alimentation. En effet, la réduction de l’anxiété et du stress passe par l’anticipation de situations désagréables et l’organisation préalable de stratégie visant à ne pas avoir à les vivre. Mais aussi par une forme physique et mentale de haut vol. Pour y parvenir l’alimentation est la clé de voute ainsi que l’activité physique (lire encadrés page suivante). Avec une solide constitution, on se sent moins vite dépassé et plus confiant en ses capacités à surmonter les épreuves. Enfin, dernière étape : prendre le taureau par les cornes et engager une thérapie auprès d’un psychologue quand le mal est présent et avant qu’il ne s’installe vraiment. Ce sera l’occasion de voir le monde autrement et de prendre un recul bénéfique.
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