Model : Alizée Bidou
Bonjour Mine MUA, ravie de te retrouver pour ce 2ème numéro spécial Guest de BackStage Mag, j'ai eu l'occasion de découvrir ton travail sur Facebook et je suis très heureuse de mettre ton travail en lumière aujourd’hui…De quelle région es-tu ? De la région Bordelaise. Comment devient-on maquilleuse ? Techniquement, il faut réaliser une formation en école de maquillage, cependant ce diplôme n’est pas reconnu par l’Etat. De mon point de vue, je pense que cette formation est indispensable pour se spécialiser vraiment dans un style de maquillage, par exemple les effets spéciaux (maquillage cinéma…). Pour ma part, je suis diplômée d’un CAP et un BAC PRO esthétique (je précise que l’on reçoit déjà à la base une formation
de maquillage), et je pense que pour ce que je fais c’est largement suffisant. On nous donne à chacune des bases, après c’est à nous d’être dans une perpétuelle recherche de perfectionnement en se tenant au courant des tendances en matière de maquillage. C’est un apprentissage personnel qu’il faut sans cesse enrichir. As-tu des conseils pour ceux et celles qui veulent le devenir ? Il faut persévérer pour se faire remarquer, perfectionner son art et toujours rester dans l’optique que c’est un métier « plaisir ». Cependant, je conseille d’allier le maquillage à un emploi à côté. Après, chacun son point de vu, ses envies, cela ne reste qu’un conseil.
C'est une passion ou un métier, voire les deux ? Avant tout, il faut que cela reste une passion, car en vivre est très compliqué. La réalité est qu’actuellement et à l’avenir nous sommes en grand nombre sur le « marché », c’est pour cela qu’il faut vraiment se démarquer. Evidemment que c’est un métier qui fait rêver et que l’on aimerait pratiquer tous les jours, moi la première.
Modèle : Marine Modele
BACKSTAGE MAG - DANS LES COULISSES DE LA PHOTO ET DE LA VIDEO