à l'immense majorité des ancêtres morts la race qui grandit et les races à naître. J'ai le devoir de saluer l'ardent catholicisme qui soutient le courage de la plupart des jeunes chejs qui mènent au combat une armée de jeunes héros. Comme leurs pères, ils ont fortement combiné à la foi religieuse le service du roi. Dissociés longtemps, les anciens sentiments se reforment de toute part.
Ni
l'amitié ni
l'
admiration ne m'égarent; je dis ce que
Nous marchons, comme
« au milieu le poète, des jardins de la Vieille Espérance ». C'est bien la vieille espérance qui se couronne. C'est notre ancienne attente conseillée par la réflexion, que V événement satisfait.
je
vois...
Ch. M.