Rêve de fleurs et bois en moi, papillon

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Rêve de fleurs et bois en moi, papillon !

Le calme cours d’eau de ma vie si étroitement enser-­‐ rée de pierre et de roches, entrevit la lumière d’une aurore ! Comme ébloui par une fleur portant d’autres boutons floraux à éclore ; ces symbolismes se voient, au présent, entremêlé : l’un comme roches et pierres fleuries ; l’autre comme fleur pétrifiée ! Y a-­‐t-­‐il un sens aux opposés de sangs mêlés ?

Maxime Pirart



L’auteur ? Né à Bruxelles le 26 janvier 1973, Maxime un petit nourrisson hardiment attendu par sa sœur de presque deux ans ; maintenant je dirais qu’elle vou-­‐ lait voir ce petit cœur qui battait dans ce ventre alors très gros ; pour maman le deuxième aura été relati-­‐ vement facile, alors que papa s’impatientait dans le couloir… À ma naissance les infirmières disaient toutes : « il est drôle ce bébé, sourit tout le temps, rigole. » Mais la Vie nous entraina bien vite vers le Zaïre tous les quatre, dont je retiens un tableau sur toile peint par un Zaïrois représentant : un couché de soleil au-­‐dessus d’un lac, un entr’aperçu d’enfer vert avec des lianes et dans la trouée ; des reflets chauds sur l’eau, le soleil en face, lumineux… L’Afrique j’en reviendrais 13 ans plus tard, de ce pays sans constance, de ce pays de chaos végétal ou miné-­‐ ral ; où quelle y fut mon école ? Hormis le silence ? Ainsi qu’un certain recul ? Voire être libre comme le vent !

Autisme ? Bien entendu je ne suis qu’un bien petit poignet par-­‐ mi tous ces gens, mais ma part de créativité n’en est pas moins débordante ; logique à la passion j’ai dé-­‐ couvert saveurs et nuances au cœur des mots ! À la rentrée définitive en Europe, j’avais de gros pro-­‐ blèmes de communication qui n’ont jamais été re-­‐ connus par mes parents, mais choisis-­‐t-­‐on seulement

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ses parents, ses rêves ; choisis-­‐t-­‐on seulement ses chemins, ses sentiers ? Alors j'ai appris, appris et appris tout seul presque exclusivement encore une fois, parmi ce parcours qui suivit la 3e ; songez que j’essayais de survivre envers et contre tout par mes propres moyens ; attisé par mes parents, ce qui semblait insurmontable, et pour-­‐ tant des accords ont été découverts et redécouverts, mais ils ont toujours surenchéri de façon à jouer ? D’un jeu malsain ? À peine !!! Ce n’est si simple pour personne que la Vie ; mais j’ai vécu à 14 ans une sorte de déchirure, de choc des civilisations ; évidemment cela induit lorsque vous êtes une petite coquille de noix : un refoulement des autres, ainsi qu’induit une appréhension envers les autres vus de moi ! De plus la part de jeu de ces pa-­‐ rents qui ont vécu jusqu’à 20 ans en Europe, envers nous qui avons grandit en Afrique, autrement dit : personne nous connaissait, et ils nous connaissaient comme personne ; avec un avantage indéniable pour ma sœur ; où j’ai été en quelque sorte élevé, grignoté et en définitif bouffé par mes parents, au point où s’en est risible, ridicule ! Où j’ai porté mon fardeau durant extrêmement long-­‐ temps, par-­‐delà la raison pour ainsi dire ; lorsque j’ai commencé à parler de temps en temps (…) Je mar-­‐ monnais entre mes dents avant de savoir en gros ce que j’allais dire ; et durant longtemps, longtemps je me suis fait mes propres questions / réponses inté-­‐

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rieures, un peu comme me faire mon théâtre en moi, moi qui avait les pieds sur Terre ! Il y a très peu de temps (j’ai 40 ans) ; j’aurais dû re-­‐ muer ciel et terre à des niveaux stratosphériques fi-­‐ nanciers avant de me retrouver relativement bien dans mes godasses, recueil inclus ; lorsque j’ai le blues, je vomis sur mon inconscience, à d’autres je crois !

Tout cru : Des fois je le dis tout cru : je pense, je parle et j’écris tout comme certains calculent le chiffre Pi avec un nombre phénoménal de décimales après la virgule ; j’y découvre saveurs et nuances aux creux des mots turbulents, travaillant avec les horizons…

Film : L’Odyssée de Pi

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Un îlot aux creux du Vide Je crois cette réalité portant les peuples ; leurs langues ; leurs savoirs ; leurs croyances ; leurs mo-­‐ numents ; être un îlot aux creux du Vide où la Terre est en apparence au Cœur de l’Univers… chaque être humain se situe aussi au cœur du labyrinthe qu’est notre planète Terre, du labyrinthe que sont nos cul-­‐ tures, nos acquis ! Ce vide qui est partout dedans Ce vide qui est partout autour Ce vide dans l’air que nous respirons Sinon il n’y aurait pas de brise, ni de vent Ce vide dans l’eau que nous buvons Sinon il n’y aurait pas d’ondes, ni de vagues Ce vide dans la pierre que nous touchons Sinon il n’y aurait pas d’érosion, ni de monuments Ce vide dans nos cervelles où nous remuons Sinon il n’y aurait pas de songes, ni de réflexions Ce vide dans l’espace que nous découvrirons Sinon il n’y aurait pas d’obstacles, ni d’évolutions Ici la frontière entre l’en soi et l’hors de soi semble bien ténue : les pieds sur Terre et la tête dans les étoiles, cet obstacle de taille de concrétiser nos rêves !

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Les fruits charnus du savoir Causer en cohérence, voit les perspectives indivi-­‐ duelles s’ouvrir de façon pas si simple, où l’Individu n’est pas rien, où la Vie possède un certain mordant ! Il est évident qu’une certaine dualité s’impose, sur cette planète beaucoup de choses fonctionnent par dualité ; où les grandes questions : d’où venons nous ? Où sommes nous ? Où allons nous ? Tout cela est chemins en sentiers d’information : telle une danse des acquis aux pleines couleurs de l’esprit : matérielle, génétique, biologique, voire psycholo-­‐ gique… Les premières brèches ne sont-­‐elles pas un peu comme une naissance ? La Vie voit ses périodes diffi-­‐ ciles aussi tout au long d’une vie humaine, symbole du temps qui passe, encore de sérénité…

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De causes en effets

© Jean-­‐Pierre Luminet

Les esquifs de la logique ? Mes desseins s’étendent sur ces pages blanches aux contours des esquifs de la logique, dépeignant ce ta-­‐ bleau aux lumières bleutées portant ces oiseaux, des comme des voiliers ; poésie incidente en compréhen-­‐ sion, voyant la Terre se frayer un sentier parmi la Voie lactée : (remontons le temps en quelque sorte) : J’ai croisé un petit bout de femme à un arrêt de bus, elle avait un violoncelle presque aussi grand qu’elle ; alors que je regardais l’objet, elle introduisit la con-­‐ versation : -­‐ « c’est lourd à porter » ; peu importe l’évidence, je rétorquais : -­‐ « cela me fait penser à la

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théorie M ; celle des cordes. » -­‐ « Pardon ? » -­‐ « Oui il y a là généralement différents, voire l’on-­‐dit souvent 7 reflets d’une certaine réalité, un peu comme 7 miroirs la reflétant cette violoncelliste dont nous sommes à la recherche ! » Elle m’aura répondu : -­‐ « j’aimerais bien apprendre ça à l’école… » ; -­‐ « ça m’étonnerait que t’apprennes cela à l’école ! » Plus tard dans le bus, je lui dirais en sortant à l’arrêt Chalet : « si tu souhaites avoir un entr’aperçu de ce que je te raconte, tu de-­‐ vrais te renseigner à l’adresse : quels temps font-­‐ils ? Il s’agit d’une histoire du temps qu’il fait, du temps qui passe… »

Imagine !!! Nos petits cœurs, dis ; battants sans réels répits tout au long de nos vies, de chair et d’esprit !!! Vies qui elles étant exclusivement référent Ciel

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Y a-­‐t-­‐il un labyrinthe derrière le labyrinthe ? Alors que je discutais dans le TGV d’Avignon vers Lilles ; je devais engager une conversation avec une femme et son petit qui traçait la sortie d’un laby-­‐ rinthe sur un emballage Mac Do, je lui demandai tout naturellement s’il y avait un labyrinthe derrière le labyrinthe ; alors que ses petits pieds nus étaient po-­‐ sés sur le fauteuil en face de lui sur le fauteuil de maman ! Comme il ne m’apporta aucune réponse, je lui rétorquais : -­‐ « Nous pouvons dévorer un recueil ; et puis lorsque nous refermerons le livre, il y aura là les voies que nous emprunterons, les trottoirs sur lesquels nous marcherons, les portes qui nous seront parfois entr’ouvertes le long ; avec les mains qui nous seront tendues derrière : parfois de feux, d’autres fois d’eaux… » Alors que je regardais ‘Les eaux vives’ de Planète Terre ; il se glissa sous le fauteuil et se mit sur les genoux de maman avec qui nous avions com-­‐ mencé à parler d’Afrique ; nous nous étions accordé sur le fait que le bord de mer était favorable, pour le sel et les protéines de poisson, la source de leurs nourritures ; elle était tout à fait d’accord avec moi, ce qui me suffit largement à savoir qu’elle connaissait l’Afrique ! Alors que nous en arrivions au film à un crocodile de l’Amazone se faisant charrier par les loutres, le petit dit – « de grosses écailles » ; je rétor-­‐ quais : -­‐ « Les petites mamelles devant se défendent bien » ; et maman répondit son poing féminin dans le vent : « l’union fait la force » (…) !

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Parler d’un film ?

DONOMA est un film sur des racines incertaines, cau-­‐ sant de personnages exceptionnels dont l’ensemble s’articule autour d’histoires d’amour très atypiques ; autrement dit c’est un film très fort en goût ! « En Arles, un moment nous discutions entre trois gars à la rue, un ami et deux petites femmes, une entre nous, une de passage qui ouvra la conversation vue de moi : un petit est passé avec sa maman et à

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avancé sa main vers la poche d’un des gars… J’ai dit alors : « Hé, t’as vu ? Le petit t’a piqué ton porte-­‐ feuille. » Le gars a eu un mouvement tâtonnant sa poche, étonné, et j’ai poursuivi : « Non je rigole, il a juste tendu la main, où c’est souvent des mouve-­‐ ments, des courants induits comme cela qui te con-­‐ çoivent une personnalité ! » C’est là que j’ai parlé de ce film, Donoma, en lequel : « Notre Dame du RER entr’aperçut un pickpocket très doué, elle retira ses billets de son portefeuille, y glissa son numéro de téléphone, et se mit en position de proie : en gros elle le voulait, t’as vu ? » Mais malgré tout biaisée, cette femme n’avait d’yeux que pour ce gaillard, voire son bout de chocolat ! »

Joli silence, vu de moi ! Je suis un peu à l’image de cette femme, à l’image d’un silence théâtral, d’un manque d’amour pas si simple !

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Ne trouvez pas cela normal que mes parents appré-­‐ cient un peu la situation, c’est-­‐à-­‐dire que j’ai le nez rond d’un petit clown ? (Si vous voyez le film !) De plus j’ai les bras bandés cause de parents qui me dénient totalement ; il m’aura fallu plus d’une 10aine d’années pour retomber sur Terre, et ce grâce à une passion issue de la lecture, l’écriture, un style résur-­‐ gent principalement ! Et puis encore et encore du temps, beaucoup de temps pour dénouer les nœuds de cette putain de Vie ? Plutôt celle que m’ont conçue mes putains de parents, oui !

Notre dame du RER.

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Un beau-­‐jour ? L’éveil de la matière aux creux du Concert Universel est un miracle d’équilibres, où notre petite planète Terre germait tout naturellement… Où la lumière est un ferment pour les éléments ; où l’eau est un solvant pour la Vie ; allez savoir ce qui s’est passé entre-­‐ temps, ceci dit cela s’appelle la Vie ! La Vie a une tendance foncière à l’élévation, à bifur-­‐ quer, à aller de biais pour englober ses milieux (…) Où un beau-­‐jour la création de la conscience fut loin, voire très loin d’être si simple !

Film documentaire : AO le dernier Neandertal C’est un film en lequel je m’identifie vaguement, en y découvrant des émotions très proches d’histoire mienne…

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L’histoire de cœurs perdus, qui se sont retrouvés sin-­‐ cères, bonne mère ; ces cœurs c’est le mien, c’est le sien ; c’est un petit bout qui ne devait pas croire n’importe quoi aussi : autrement dit devant une bien petite question qui me laissa béat : « Je ne suis pas ton père, Léa, tu as un père et tu le connais, il t’aime et tu l’aimes ! »

Giselle et sa fille Léa…

Vu de moi, vu des uns et des autres, Il est facile de prendre ce que l’on écrit pour le fond des choses…

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C’est très loin d’être le cas : l’âge d’or de la relativité générale induite depuis 1905 : 1955, 1980 à peu près ; où depuis là cette théorie est florissante en perspectives, telle une fleur, se scindant depuis un tronc commun, à l’image du Vivant vers des en-­‐ sembles complexes dissociés ou moins ! L’essentiel est que tout cela est à l’image de l’arbre de l’évolution, où ce qui est certain est le fait, vu de moi, est que l’exclusivité de l’évolution est l’amélioration des substrats en lesquels la Vie s’ébat : (la vie et la mort des plantes (ici notre symbolique)) ! Tout est information où ce que je prenais pour mon amour, mon cœur n’est pas si simple, car sauce pro-­‐ vençale ; l’expression relativement courante ici : dis ; peut être dit à tout vent !

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Mes humeurs ?

Ne ressens-­‐tu pas mes mots battre en silence comme des paupières ? Voire, plus bruyamment comme un cœur ému et ses flux et reflux sanguins ? Ne te souviens-­‐tu pas de mes lèvres préhensiles en-­‐ vers tes lèvres charnues regorgeantes de ces dou-­‐ ceurs dont tu as le secret ? Ne te souviens-­‐tu pas de l’odeur douce et âcre de mes humeurs ?

Paupières, iris et pupille ? Alors que l'aube s'est levée, depuis peu à peu il pleut par ce temps morose, un temps s'écoulant fluide comme le prosaïsme de la course des nuages alors que le ciel illuminé, voire teinté d'un certain spectre s’insinue en mes yeux humides…

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Où ce sont toujours les mêmes larmes qui perlent, gouttent et ondes nuancées : où l’ambiguïté de ces larmes est un peu comme un monde passé ? Un peu comme un monde à retrouver ? « Nous sommes nés poussières, nous retournerons poussières, je ne savais pas qu’elles s’étaient formées aux creusets des étoiles, je ne savais pas qu’elles fai-­‐ saient partie de l’évolution du grand tout : de l’Univers, de la Terre et de la Vie… »

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Ce qui se ressemble s’assemble Découvrir et redécouvrir un équilibre voit parfois la Vie avoir un mordant démesuré envers les petites choses que nous sommes au milieu de l’Histoire avec un grand H, où oui parfois la Vie a ce mordant-­‐là ; où oui pour moi c’était une femme relative, particulière comme Nature, où oui j’ai une voix en moi, la voix des souvenirs…

Bien entendu qu’un caractère n’est pas rien, nous forge une personnalité dont les sens composent la musique différentielle !

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Signatures sur l’eau ! Giselle disait vivre pour l’amour et pour sa fille d’alors deux ans, ces choses que je voulais bien en-­‐ tendre… Cette femme, cette eau douce, vive et forte, voulait apprécier sa force dormante ; elle me disait ne pas reconnaître son calme avec moi ; ne jamais avoir eu autant de plaisir résurgent qu’avec moi ; et je ne pense pas qu’elle ai vu quelqu’un prendre autant at-­‐ tention à sa fille ! Qui n’a jamais vécu un été flamboyant ? Un beau jour elle écrivit sur un marque page : seul la douceur mène à l’extase, nos chemins se sépareront un jour mais profitons de nous ; prends soin de toi… C’est étonnant que la valeur des mots ; c’est étonnant qu’une extraction pas si simple ni n’importe quoi d’un milieu familial pourri jusqu’à la moelle ; où il s’agit d’avoir un certain potentiel à développer ; un potentiel dont bien entendu mes parents ne m’auront laissés aucune opportunité... S’il ne s’agit plus que d’un certain potentiel, il se dé-­‐ couvre qu’enfants géniaux / enfants à problèmes ; là souvent est le fait des parents ! Ces parents qui alors que j’avais vécu cet été flambant, sont restés le cou-­‐ teau planté dans mon cœur, mais vraiment salement verbalement. Alors j’ai réellement su que ce n’était pas leurs caractère, leur inactivité d’effondrés sous leurs montagnes de pognons, mais des salopes comme j’en ai jamais vu ; paradoxal, non ?

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Alors que nous faisions l’amour avant de nous sépa-­‐ rer je devais lui dire ce n’est plus moi et ce n’est pas encore toi, le ressens-­‐tu ? Et dans la journée, l’air de rien je devais lui laisser entendre l’air de rien que le titre original d’« Un homme d’exception » ; était « A beautiful mind » ! Citation d’un poète par Fred Var-­‐ gas : « Quel Dieu, quel moissonneur de l’éternel à né-­‐ gligemment jeté cette faucille d’or au milieu du champs des étoiles ? »

How many time’s muster people exist, before there be lawed to be free ?

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C’est une chose étrange à la fin que le monde Est un livre de Jean d’Ormesson, dont la part que je préfère est telle : (…) « Les Hébreux m’ont élevé et c’était toute une affaire, et les Grecs m’ont mis au monde et c’était toute une histoire » (…) Aux origines, l’Univers devait être emplis de points d’inter-­‐ rogations, à partir où des jeux d’efforts apparurent tout un tas de réponses fut fourni, qui ???

Différèrent en cette complexité d’expression

qui caractérise les êtres que nous sommes chacun au centre de cette chose étrange qu’est notre Monde ; les Hébreux m’ont élevé… c’était toute une af-­‐ faire, et les Grecs m’ont mis au Monde… et c’était tout !

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Allez savoir pourquoi ? Lorsque le livre s’est dénoué, je lirais dans un Science & Vie !!! Mais parmi tant d’autres articles, un sur la curiosité des mésanges ; juste après j’en sauvais une de la noyade en notre point d’eau ! Allez savoir pourquoi ?

Faire de la nécessité avec du hasard, c’est la Vie vous allez dire.

Bien que le genre humain ait 4% de gènes, ou mots génétiques différents depuis l’ancêtre commun avec les singes ; l’ADN est beaucoup plus que ce que l’on croyait ; étant et pour chaque espèce ; toute une gram-­‐ maire de gènes ; plus que des mots de proche en loin identiques ; où chacune l’écrit au cœur d’elle de façon relative. La mésange à tête bleue était sur un bout de bois vermoulu mais sans échappatoire, juste le bout des ailes mouillées, et puis elle s’est réenvolée après un séchage tout naturellement logique vu de moi !

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Les Feux du savoir Le soleil se couchant dans de chaudes lumières crépusculaires, les bras frais de la nuit, embrassent le relief d’ombres déjà bien étendues… La faucille d’or dans Le ciel, cette

plume ;

bordée de

sa couche

sera bientôt d’étoiles,

bordant la Terre des milles luminescences (

du ciel !

)

# Depuis la nuit des temps ; les humains sont fascinés par cette danse, mais depuis combien de temps ils existent ?

# Avant de la voir acquise à réel savoir ?

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La reine de l’expression est réalité !!! L’Arène de l’expression est la Vie !!! La particularité est un défaut relatif… Et la relativité une qualité particulière… Aux origines de conscience de pénétrantes pensées en les bruits humides de la pluie !!! Personne n’oubliera jamais mes liaisons avec cette déesse de l’amour et de la guerre ; je t’ai sur le cœur et tu y resteras toujours ! Ravie par la Vie et ses flux et reflux sanguins ? Elle n’a pas de but ultime ( autre que d’évoluer ) # Si près des nuages et des oiseaux vers les cimes des montagnes du savoir Mmmhhh’oui je t’ravale, foulant l’herbe des pieds !!! # Tempête s’est déjà vue causée par le vol d’un papillon et d’un oiseau !

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Mélancolie, mon amie

Des fois j'ai l'impression que la réalité théorique pa-­‐ tiente sur les marches d'escalier d'un Opéra sur le thème de Léda et le Cygne ; mon cœur à été piétiné, leurré, malmené alors il est scellé sous clef… et j'ai du mal en vrais à le sortir de ce coffret ; du mal même à en tendre la clef... J’ai toujours été une petite coquille de noix mais pas moins ouverte depuis peu ce qui est catastrophique côté environnement proche humain, familial ; car j’ai 40 ans à c’t’heure ! Alors la coquille de noix que je suis louvoie avec peine aux creux de l'Océan des songes... avec ses rêves acquis et ses pênes à en crever, pas moins le souffle de la lune dans mes voiles :

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Pensée du soir, lueur d’espoir ?

The Beatles J’avais, j’ai, et j’aurai une part de créativité dans le sang ; où c’est une façon d’être et de penser qui m’est propre ; j’y découvre et redécouvre en les mots des saveurs et des nuances : la couleur vert d’eau, ce symbolisme de Vie par exemple, aux creux des nuées d’étoiles !

Le cygne, Ondulante créature en l’ondée douce de la rivière, du côté d’un pont de pierre en arche ; moi qui étais un joli petit cygne qui ne pensait qu’aux Cygnes ; devenu grand j’ai vécu quelques parts de rêves, où aux pays des rêves naît l’ambiguïté ! N’est-­‐ce pas un signe, comment dire ? Insigne !

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Mon étoile filante ? Que dire, que méritions-­‐nous ? Que dire ? Mon étoile filante !!! Hormis : Ce que j’aurais aimé verser, mes Larmes de sel et de sang devant Cette femme ayant été mienne ; J’ai un cœur gros comme : Planète Terre ! Hormis : Tu fais partie du passé ma belle Souvenue, en vrai, sans savoir ? Je t’ai sur le cœur, tu y resteras, Longtemps, toujours ; qui sait ? Bonne mère je t’aime, je te hais Je ne sais pas je ne sais plus du Tout quoi faire, hormis !!! Crier ma détresse, Moi aussi.

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Le symbolisme du Cœur ?

Le Cœur rime beaucoup ; mais plus l’on s'en ap-­‐ proche, et plus c'est complexe… avec le Ciel… avec les langues portant leurs paroles… avec les frontières… et les couples au cœur de leurs foyers avec leurs pe-­‐ tits mondes tout autour !

Et oui, tout ça au creux de toutes ces structures socié-­‐ taires sans lesquelles nous ne vivrions pas le nombre que nous sommes sur cette planète, et même si c’est très loin d’être un idéal : Je suis convaincu que des gens qui ont des convictions envers la biodiversité, des gens qui parlent en termes humains, il y en a une grande majorité…

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L’archaïque souffle vital ? Celui d’un temps morose qu’il fait ; un arc-­‐en-­‐ciel après la pluie, celui que nous inspirons, celui avec lequel nous jouions des mélodies au nom de mère Nature et de père Soleil, au nom de l’abondance ! L’arc-­‐en-­‐ciel ? Un symbolisme de fertilité mystique ; mais encore ? Un monde passé, un monde à retrou-­‐ ver ? Plus humainement, ici : la Vénus symbole de fertilité ; avec l’Auroch, symbole de puissance…

© Irène Prost

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Les portes de l’Occident, vu de moi ! Des pressentis d’il y a la nuit des temps, où ils étaient sans fonds autour de certaines plantes actives, à la recherche du sens de la Vie, plongés aux creux de l’environnement articulé autour d’icônes comme les Vénus, les peintures rupestres de lions de chevaux d’auroch d’empreintes jouant avec les ombres en les grottes habitées de leurs modes de vie… Il y existe près d’ici où différents symbolismes se croisent, celui du temps qui passe, celui du temps qu’il fait en l’eau de l’Ardèche ; près de Pont-­‐d’Arc, cette arche de roche enjambant cette rivière ; non loin la grotte Chauvet !

L’Ardèche, Pont-­‐d’Arc ; de nos jours ! Vu de moi il y a là la nuit des temps, une sorte d’Origine du Monde ! La grotte Chauvet ? Un patrimoine mondial de l’histoire de l’Humanité !

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Les abstractions ?

La conque est un très beau coquillage dans lequel l’on peut entendre le bruit de la mer !

La liberté de mouvement des plis du tissu de la robe permet ici : l’illusion d’une belle fleur !

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Les Enfants du Temps ?

Nous sommes tous autant que nous sommes les En-­‐ fants du Temps, à l’image musicale des jeux d’efforts et de tensions du Quark aux flux de molécules du Ja-­‐ guar, combien de temps s’est écoulé ? Ici nous devrions resonger à ce que sont les flux et les reflux, depuis la matière jusqu'à un niveau de com-­‐ plexité telle que les mammifères au sommet de l'évo-­‐ lution biologique se voient être toute une circulation d’informations en une architecture telle qu'elle fait songer à des objets de chairs et de structures, en-­‐ sembles complexes fractaloïdes, mais encore ? À des objets ‘en physique’, fragiles et extrêmement complexes ! Où l'être humain et ses capacités d'abs-­‐ tractions sont réellement énormes, vous ne croyez pas ? Où la Terre n’est-­‐elle pas une constellation de pensées s'élevant en une fleur s’appelant modernité ? Grâce à l’information de masse, grâce aux moyens techniques actuels, envers tout un chacun ; voire à la pointe… Choses dont on peut s’intéresser !

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En se demandant ?

Le Temps est la seule dimension possédant une flèche, il suffit de regarder à droite et à gauche avant de foncer tête baissée droit devant pour s’en rendre compte, le temps avance inexorablement, ce qui for-­‐ cément est tout un problème :

Mon Diou où te caches-­‐tu ? La pièce que l’on est, qu’elle soit ; pion, tour, cavalier, fou, roi, reine ; débouche bien sur une réponse : l’imagination est le moteur de ce monde ; une phrase inspirée il y a bien longtemps est : « je suis avide de quelque chose qui n’existe pas, mais que j’imagine très bien » ; n’est-­‐ce pas le propre des pensées ? Peu importe les pièces tombées au jeu, peu importe les mares de sang sur l’échiquier, un beau-­‐jour, un bien petit roi l’instinct, culbutât une reine le temps d’un été flamboyant ; en découle ce recueil : « Rêve de fleurs et bois en moi, papillon ! »

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Symbolismes structurels ? J’imagine ici que le Vide ne voit pas le Temps ; mais probablement l’induit-­‐il vu de nous ? Par sa forme, sa structure récurrente avec la méca-­‐ nique céleste tournoyante depuis des Temps cosmo-­‐ logiques, où : Chaque danse son échelle, chaque échelle sa danse ; où en chaque danse des constantes, en chaque danse des variables… Au juste milieu vu de Nous, le but d’ascendance de-­‐ puis la matière, son éveil en la Vie, s’élevant en es-­‐ prits, toujours en songes, encore en réflexions cons-­‐ cientielles, ne croyez-­‐vous pas ?

Prisme et réfraction / diffraction de lumière !

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J’ai essayé sans vraiment savoir De chercher des métaphores aux creux des mots, du moins en ai-­‐je créé d’énormes, presque mystiques, surtout en ce qu’elles laissent à se représenter : J’ai abouti sur rien n’est si simple tout simplement ! Que dire de plus gentil ? J’ai abouti à des phénomènes d’émergences particu-­‐ lièrement surprenants en ce qu’avons-­‐nous réelle-­‐ ment le choix des mots ? Que dire de plus pertinent ? J’ai abouti à la valeur des mots, ce que l’on peut ré-­‐ sumer à : les vies sont des histoires qui se croisent et se recroisent, où il y a là des priorités, là est l’essentiel : les histoires cellulaires dans l’histoire biologique qui cause de l’Histoire, c’est sans fonds en-­‐ deçà, voire sans limites au-­‐delà… J’y ai découvert le bleuté du Ciel et le vert d’eau de la Vie ! J’y ai toujours et encore découvert le mot conscientiel à l’inspiration, mot très proche de référentiel ; où il manque une petite case à tout un chacun je crois, une petite case qui se demande, une petite case qui tient bel et bien, une petite case que je nommerais cons-­‐ cientielle… Autrement dit la conscience est une sorte de mu-­‐ sique, d’accords…

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À partir du moment où elle vous touche (je ne vois pas trop comment décrire la chose), disons que si ce n’est plus de la musique pour vous, cela vous blesse psychologiquement ! La pire des choses c’est que vous n’êtes pas forcé-­‐ ment le problème, mais ensevelis, où il y a des choses que « on » ne veut pas savoir, et des petites per-­‐ sonnes sont détruites au nom du silence !

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L’emprise des âmes L’attraction sentimentale est parfois bien mal expri-­‐ mée, où être adroit ou gauche en l’expressivité n’est pas l’exclusive influence… elle est aussi le tissus du fluide subtile de la pensée consensuelle ; cette chose pas si simple ! L’inspiration dont l’espèce humaine n’a de pouvoir que d’enrober de mots pour d’entrelacs en entrelacs, comment dire ? Foutre le feu au lac par exemple, cer-­‐ tains l’ont fait métaphoriquement : « Des nuages noirs de tempête foncent droit sur nous au dessus du lac devenu incendiaire et qui crache des déferlantes de trois mètres. Ici il peut faire -­‐10° sous le vent l’hiver ; +40° l’été, pas pour les locaux ; les moustiques bourdonnant partout, piquant au travers du cuir des chaussures… j’échappe à toute logique, presque sorcier (…) » Début d’une autobiographie de Bob Dylan dont je me souviens de mémoire, écoutée sur France Culture il y a belle lurette ; je m’en souviendrais toute ma vie ! Une orchidée posée sur la table au milieu de l’espace entre nous, nous pourrions causer de l’en soi et l’hors de soi, ce qui n’est pas si simple, entre couleurs de la fleur, et parfums s’échappant dans l’atmosphère ; toutes ces choses se sont conçues entre hasards, utile et nécessaire ! Dans la nature, tout se conçoit vers une harmonie naturelle de donner et de reprendre en certaines formes d’équilibres ; une harmonie emplie de mes-­‐

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sages biochimiques qui fusent, s’échangent et se transmettent… À partir de là une métaphore telle : « rêve de fleurs et bois en moi, papillon » ; cause beaucoup monde des papillons, reproduction des plantes à fleurs vraies grâce au nectar ! Le nectar n’est pas utile directement à la plante, pas moins nécessaire à nourrir les repro-­‐ ducteurs (abeilles, bourdons, papillons… kyrielle de sortes de colibris… voire de mammifères tels la chau-­‐ vesouris et autres) ; ces nectarifères repus, transpor-­‐ tent le pollen de fleurs en fleurs… À c’t’heure il est temps de songer à notre avenir… Les paroles commencent à fuser, et certains milieux sont transportés par la vague bio, mais est-­‐ce suffi-­‐ sant ? J’adhère aux commerces de proximités… j’adhère au commerce équitable… encore ? Aux mar-­‐ chés tout simplement, particulièrement lorsque le ciel est à découvert… Pour ensuite refaire le monde autour d’une bonne tablée… Alors je ne demande qu’à m’envoler ; je ne demande qu’à : « ouvrir les bras tels une paire d’ailes et m’élever parmi les hirondelles ; dure sera ma chute, rêve brisé qui tel Icare (…) » Poème en islandais de Björk, dont je me souviendrai toute ma vie, aussi.

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Les oiseaux de nuit Alors que les oiseaux de nuit Voyaient poindre la fin De leurs parades matinales de printemps, Une matinée morose s’est empourprée, Suivie de bleutés profonds, Et puis les fines larmes de brumes aidant Les couleurs se sont réchauffées progressivement… Une fine lueur d’espoir d’une journée radieuse ? Souvenirs de ce temps qui me vas si bien, Où le goût d’une de tes larmes sur tes lèvres… M’ont fait songer à un plat salé sucré, celui de la Vie !

Elsa Chevrier

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Mon Diou, où te caches-­‐tu ? À l’évidence dans le bleuté du Ciel ! Au cours des Temps cosmologiques, la matière, la Vie, la conscience, tout cela suivent leurs propres chemins en sentiers, qui souvent sont lobés, biaisés, dans le but de parvenir à leurs fins ; où notre conception de la réalité, n’a de cesse d’évoluer…

Comment raconter ? Au crépuscule, cette zone de pénombre précédente ou suivante à la nuit, vu de créatures d’il y a la nuit des temps : comme les limules, les iguanes en bord d’Océan… Les nuages pourraient se teinter de feu, une trainée d’apocalypse s’en suivre, fusant dans le ciel… Sauf que n’est là qu’un référentiel qui diffère en un pas de plus vers l’espace, vu d’une plage de Kourou en Guyane française…

Film de Jacques Perrin

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Causer ? Causer en cohérence, vois les perspectives indivi-­‐ duelles s’ouvrir de façon pas si simple, où l’Individu n’est pas rien, où la Vie possède un certain mordant ! Il est évident qu’une certaine dualité s’impose, sur cette planète beaucoup de choses fonctionnent par dualité ; où les grandes questions : D’où venons-­‐ nous ? Où sommes-­‐nous ? Où allons-­‐nous ? Tout cela est chemins en sentiers d’information : telle une danse des acquis aux pleines couleurs de l’esprit : Matérielle… génétique… biologique : les symétries par exemple ; avec l’amour ; cet amour dont il existe tant de formes !

© Jean-­‐Pierre Luminet Ne croyez-­‐vous pas ? Ne doutez-­‐vous pas ?

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J’aime la Terre, S’enlaçant et se délaçant de ces ombres, j’aime la nuit embrassant le jour et le jour embrassant la nuit, qui de révolutions terrestres (toutes naturelles), en évo-­‐ lution (toute naturelle) : où le crépuscule, cette zone de pénombre antécédente ou précédente à une jour-­‐ née radieuse ! Le crépuscule symboliquement est un peu plus : « une fin » qu’un « commencement », autrement dit le sens de la Vie, le sens de l’évolution… Où si toute fois quelque chose nous a menés tous au-­‐ tant que nous sommes jusqu’ici, au cours du festin gargantuesque du vivant, il s’agirait plutôt d’un cuis-­‐ tot et de la courtisane de XVIIe siècle, un peu théâ-­‐ trale ; qui s’évanouissait au mot cuisse !

La rosée résultante de cette nuit semble avoir trait les étoiles ; vidés de leurs scintillance ces regards du Ciel servant la Vie d’une coupe brisée

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La métaphysique des tubes Voici : "La métaphysique des tubes" ; livre dont j'ai développé avoir lu longtemps avant de l'entendre, tel le symbolisme des carpes koïs la bouche grande ou-­‐ verte... le fait de parler à la femme de ménage avant même de parler à ses parents... des choses comme cela : ma sœur à pris tout le recul qu'elle pouvait sur ce livre que je décrivais très loin d'être métaphysique alors lisant le début : -­‐ « comme si on était des tubes, c'est indécent » pfff moi y vois que le système digestif tout simplement ; donc j'ai compris ces symbolismes très tard, ce qui n'est pas rien ni tout... mais un cer-­‐ tain feeling ! Cette couverture est celle qui existait alors :

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Thème sur la finesse

© Loisel S’inspirant au loin, de Lucrèce et de Spinoza, c’est Diderot qui vas le plus loin : il engage son Encyclopé-­‐ die sur les rails d’un matérialisme en route vers le transformisme. Quarante ans avant Lamarck, soixante ans avant Darwin, il annonce déjà, dans la langue du XVIIIe siècle, l’évolution des espèces : « Tout les êtres circulent les uns dans les autres. Tout est en un flux perpétuel. Tout animal est plus ou moins plante ; tout minéral est plus ou moins plante, toute plante est plus ou moins animal. Il n’y a qu’un seul individu : c’est le tout. Naître, vivre et passer, c’est changer de forme. » -­‐ Jean d’Ormesson : ‘Un jour je m’en irai sans en avoir tout dit’ !

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La Vie ? Le Temps n’est pas une rivière, le Temps est dans la réalité cependant il s’écoule, réalité en laquelle la conscience est quoi ? Suffisamment étendue, vivace et réactive pour y développer de multiples modes d’expressions et d’abstractions parlantes, utiles ou esthétiques ; où l’essentiel est de participer à cette course entre le bien et le mal, c’est une course sou-­‐ vent serrée, où rien n’est joué d’avance, où la Vie est un plat salé sucré que l’on apprécie continuellement, perpétuellement… Et ce jusqu’au mot fin.

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Silence ? Des fois nous exprimons la musique n’être rien sans silence, une sorte de non-­‐sens ; un peu comme la ni-­‐ cotine m’inspire, et me regarde aussi, au vu de la cir-­‐ culation et de l’industrie, etc. ce qui regarde tout le monde, je crois ! J’aime les gens qui reconnaissent leur part de respon-­‐ sabilité dans les influences de l’homme sur la bios-­‐ phère ; là est la force de Yann Arthus Bertrand, se servir de gens responsables malgré leurs industries, dans le but d’apporter une parole envers l’impact de l’humanité sur notre planète avec un film : HOME diffusé ouvertement sur la toile en toutes sortes de langues en 2009, film qui fut toujours distribué aux écoles, et est encore d’actualité : www.home.fr

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Une rivière fleurit en nous ? En un instant furent induits des mots universels (…) En un moment furent induits des mots de Vie Ter-­‐ restre Un beau-­‐jour furent écrits des mots d’amour ; Encore furent écrits des mots pour une belle : Une belle aux feulements féline, Une belle aux mouvements fauves, Cette vie faisait partie des mammifères… Ensuite furent écrits des mots de nos mains : Des mots qui furent écrits la veille, Des mots que l’on projette vers l’avenir à venir… Et parmi tout s’écrit, un recueil voit le jour !

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Il faut se dire une chose Ce que nous savons des autres est très superficiel, nous en apprenons, nous en savons, mais nous n’en faisons pas moins notre propre cinéma à base de les apprécier ou déprécier ; où il est vrai que l’ensemble est plus que la somme de ses parties : nous sommes tous à la recherche de notre reflet en tant que mam-­‐ mifère social au sommet d’une certaine évolution cérébrale aux creux des sociétés civilisées dont nous dépendons, avec nos capacités d’abstractions et de projections dans l’avenir à venir qui sont énormes…

Fleurs sublimes, perspectives féminines à cueillir !

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Les jeux de tensions et d’efforts socioculturels ? Vu de moi, de ce prosaïsme impliqué architecturé autour de prouesses linguistiques, des choses qui ne demandent qu’à percer mais les petits grains d’orges comme moi qui créent ces pièces littéraires ont beau-­‐ coup de mal à supporter les jeux de tensions et d’efforts socioculturels que cela implique ! Il y a pas mal de temps maintenant, je ne savais pas qu’il y avait d’autres attraits que d’être sincère ; et puis j’ai appris très récemment, que l’abstraction, le détachement voire envers ce que l’on souhaite, ce que l’on aime, enfin tout cela s’appelle biaiser…

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Les choses que je pense ? Aux contraires : -­‐ La réalité est limpide, le monde est une chose étrange composé de quelques fleurs, celles que l’on se fait… Un peu comme une femme (la réalité) portant une sphère limpide (le monde), entourée de quelques fleurs… Ceci est un point de vue de la réalité extraite de tout contexte, avec nous au milieu ! -­‐ Préexistant il y a ; l’éveil de la matière eu lieu un beau jour ! Encore un autre beau jour ? La création de la conscience… Un peu comme un bloc de matière, à partir de laquelle une femme (la réalité) : fait un pas, deux pas, marche et puis danse parmi (le monde)… Ceci est un point de vue matérialiste de ce qu’est la réalité, avec nous au milieu !

Les zones frontalières : L’écriture compose quelques fleurs certains regards fuyants en quelque sorte vers l’élaboration d’autres feuilles, d’autres rameaux, l’ensemble se dissipant dans la ramure de l’écriture… Où de brèches en brèches nous cherchons tous des opportunités : l’esprit se créé de la sorte ; les orga-­‐ nismes ; les sociétés quelles qu’elles soient encore !

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Quoi qu’il en soit, ces phrases ne sont qu’entre esprit et matérialité : Il est évident que les zones frontalières sont constructives ; où peut-­‐être bien que nous sommes les histoires cellulaires, dans l’histoire orga-­‐ nique, causant de l’Histoire avec un grand H ; peut-­‐ être bien que tout cela est à chaque fois un juste mi-­‐ lieu entre rien et tout !

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Référent Ciel ?

The lovely bones Sans structures pas de Vies, sans Vies pas d’oiseaux, sans oiseaux pas de rêves, sans rêves pas d’Amour, sans Amour pas de Vies ; la boucle est bouclée ! Au-­‐ tour de cet arbre s’architecture tout le scénario ; en-­‐ core ? J’aime ce symbole fort de tant de temps pas-­‐ sionnels brisé contre le coin d’une table… où nous sommes tous un peu des bouteilles, nous sommes tous un peu des voiliers, des comme dans le vent de la littérature…

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La traversée

Surprenant concerto de vies se liant et se déliant au-­‐ tour de brèves histoires du Temps, il y a là une at-­‐ mosphère qui de très jolie à élaborée vire vite, très vite au malsain, au stress : un couple voit la dispari-­‐ tion de son enfant, la liaison se brise, car le mari se noie dans l’alcool alors que la mère continue ses con-­‐ certo ! Ensuite toute l’énigme s’architecture autour du fait que quelques années ensuite, l’enfant est retrouvée à l’endroit exact de sa disparition ? Scénario malsain car toutes les possibilités sont envisageables, l’enfant est devenue muette : extraterrestres, viol, etc. Alors le père qui était déjà chochotte, tourne bourrique litté-­‐ ralement…

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Apollo 18

Le film Apollo 18 est une fiction, c’est une mission qui n’a jamais eu lieue : Lors de la mission Apollo XI le comandant, Neil Arm-­‐ strong fit un petit pas pour l’homme, un pas de géant pour l’humanité ! Les missions se sont arrêtées à Apollo XVII pour rai-­‐ sons financières… Dans la fiction, les 3 hommes qui ont une famille, des convictions pour leur pays sont envoyés sur la lune pour récolter des échantillons de roches ; mais dans le fait ce n’est qu’une couverture envers une mission sans beaucoup d’espoir… L’intrigue est prenante, où il y a là une essence de fond, une moralité très actuelle !

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Mission Apollo XI Le 20 juillet 1969 ; Apollo est le nom latin d’Apollon.

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La nature dans la réalité ? La réalité au présent est relative, particulière ; alors que la nature elle, bien souvent est belle et réfléchie, où la particularité est un défaut relatif !

Les bassins d’apollon, Versailles !

Léda & le Cygne…

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Le côté génial de la conscience ? Génial ? Depuis la création de la conscience, il y en a pire que des bêtes ; bien entendu ? Dans la Vie le rêve des uns détruit le rêve des autres ; malgré tout, parfois des équilibres se découvrent et se redécouvrent dans le but de trouver un sens à des vies détruites ; des vies que l’on peut dire remonter le courant depuis ‘toujours’ ; dans le but de frayer tel la vie des truites : Voyez ici l’évidence, est que l’essentiel est de trouver des accords, où l’amour est beaucoup, il est le tissu du Vide… Pour moi ce fut un été flamboyant avec un réel amour, un réel cœur dont je ne démordrais pas du fait qu’elle ait été entortillée depuis si jeune qu’autant en emporte le vent… On n’a que quelques réelles opportunités en nos brèves vies ; ce qui en causant de ce recueil, est une façon de coucher mon père ! Il n’y a pas de lois, juste des exemples ; ce qui en par-­‐ lant de ma vie amochée, détruite, est une seconde façon de coucher mon père !

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L’enfant du silence Maintenant cela fait une dizaine d'année : je trouvais cela d'autant plus beau que ce coup de pouce ; comme un petit film qui n’a pas fait un tabac mais dont je me souviens : une voyante tombée amoureuse d'un aveugle qui lui demande ce que sont les couleurs : -­‐ elle lui mit de la mousse dans la main : c'est le blanc floconneux des nuages... elle lui mit de l'eau chaude dans la main : c'est les couleurs chaudes d'un couchée soleil : -­‐ elle lui mit de l'eau froide dans la main : c'est le bleuté du ciel et de la mer :

Causer en cohérence, voit les perspectives indivi-­‐ duelles s’ouvrir de façon pas si simple, où l’Individu n’est pas rien, où la Vie possède un certain mordant ! Quand on parle d’individu l’essentiel des gens y si-­‐ tuent leurs égo, moi j’y discerne (l’indivisible) ! C’est une façon d’être et de penser comme une autre…

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Lueur d’espoir sur l’utilité de la Vie Je suis relativement solitaire et conscientiel, où la soli-­‐ tude ouvre l’esprit, où au vu du cerveau social des êtres humains : des pressentis existent sur notre éva-­‐ luation du monde et sur ce que l’on s’en conçoit ; en ce fait : ici des sculptures de mots et de grammaire dont le côté conceptuel, fluidité du prosaïsme, laisse à rê-­‐ ver au vu de l’étymologie des mots se concevant au gré des langues vivantes, et ce depuis la nuit des temps ! L’on devrait littéralement causer d’un certain fluide subtil de la pensée consensuelle : (Où ‘objectivement’ un consensus se décide à plusieurs) ! Où je ne me fais pas d’illusions, les convictions des uns et des autres ; ce qui plait, ce qui déplait ; le bien, le mal ; l’Amour, la haine ; tout cela se confronte ici : En une lueur d’espoir sur l’utilité de nos vies, de la Vie ; autrement dit : pressentiments, sentiments et ressentiments… voyez-­‐là une certaine intimité, ce qui se nomme l’amour tout simplement !

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Il se situe de façon Universelle, Matérielle, un but d'ascendance et d'équilibre... Il se situe encore depuis l'éveil de la matière en la Vie ce but d'ascendance et d'équilibre bien plus vivace ; une tendance à dominer aussi en englobant différents mi-­‐ lieux ! Mais encore de façon conscientielle (mot qui m'est propre) un beau-­‐jour la Vie à vu la création de la conscience, depuis nous nous entredéchirons en-­‐ core une fois de façon plus vivace ! Bien entendu que les temps sont dur, que la crise est globale, mais la réalité est reine où le perçu que l'on en a est voilé ; bien entendu que la Terre est petite réelle et belle ; ne soyons nous autres êtres Vivants aux creux, pas trop saignant parmi l’Arène en laquelle nous nous débattons !

Arènes nîmoises Je ne suis pas comme tout ces gens à se renvoyer la balle dans tout les sens du terme, mais plutôt au dé-­‐ but à regarder de façon totalement introspective…

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Et puis en relativisant au cœur de moi parmi les dé-­‐ ferlantes de l’Océan des songes, comment me douter ? Alors, je me disait en mon fort intérieur il y a là un jeu malsain ; sans me savoir pris entre quatre feux ! Des années, des années après de torture psycholo-­‐ gique par mes parents ces fous à lier, voire psycho-­‐ pathes mais qui risqueraient pas un poil de cul ; j'ai trébuché ! Et je ne connais pas les desseins de cette putain de Vie ; mais « on » me dit que c'est la fin du monde que d’être sincère ; où ce recueil : « Rêve de fleurs et bois en moi, papillon » : est aussi un In Mémoriam au World Trade Center :

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Je sais, j’ai été brut envers nous autres Loin de moi l’idée de me descendre en dépassant toute limite ; mais simplement d’aborder grâce à des médiats des problèmes graves de sociétés… Où entre nous ? Tout mordant s’étend, fuse et s’élève ! Là est le but d’un peu tout je crois : le but en priorité des pensées : « Votre cer-­‐ veau n’a pas fini de vous étonner » ; éditions Albin Michel (6 auteurs) ! Passons le point primordial au pré-­‐ sent, le côté anthropomorphique, c’est-­‐à-­‐dire le côté humain et son histoire jusqu’à nos sociétés archi-­‐ tecturées autour de la recherche ! Le but de l’Univers est l’évolution de sa connaissance au creux d’une coquille de noix bleutée, notre pe-­‐ tite planète Terre : « Le Monde s’est-­‐il créé tout seul » ; éditions Grasset (6 auteurs) ! Le point primordial entre ses deux extrêmes ? Est les calligrammes, ces figures où chaque écriture ces attraits ; autrement dit : ces avan-­‐ tages et inconvénients ; le latin est très contenant en sens ; la calligraphie est pas mal dans les courbes et les nuances ; et il existe nombre de langues (…)

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Peut-­‐être là est le fait que nous parlons d’infinis, ces choses qui furent si dures à aborder, beaucoup de personnes incomprises (que ce soit une origine et / ou : un résultat) pour leur côté recherche d’une part de vérité défiant un peu la raison, que ce soit grâce à une certaine assise, ou purement créatif : en ont per-­‐ dus la raison, le pire : en se savant dans le vrai : (simplement histoire de ce qui est acquis par les masses ou pas) ; le cerveau est social, le bien être ou le mal être dépends des « on » dits depuis la nuit des temps (la propre notre). Peut-­‐être est-­‐ce une histoire de modernité que de parler, ainsi que de démocratie ; où chacun sa chance et ce quoi qu’il soit ! Avant, comme presque un inconnu : Giordano Bruno, l’homme de feux ; un point clef autour du fait que la Terre ne soit pas le centre du monde, et l’église ; vous imaginez là une fin atroce par l’inquisition ! Vous voyez parfois j’ai peu d’estime pour quelques Dieux que ce soit, je les voit de causes en effet être simplement le fruit de l’instinct, un instinct affublé de capacités d’abstractions conceptuelles qui ne de-­‐ vraient après toute une histoire et toute une affaire que débrider notre intelligence, d’ailleurs là est son origine… Ou ensuite, comme Esher : un dessinateur qui se ser-­‐ vit de tout un tas de perspectives impossibles, il ne fut pas connu de son vivant, ces dessins sont assez sou-­‐ vent utilisés aujourd’hui ; un peu comme des curiosi-­‐ tés, un peu comme des schèmes !

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Opposées de sangs mêlées ?

Rêve de fleurs et bois en moi, papillon ! Regardez au-­‐delà de notre étoile ; regardez en-­‐deçà de nos fleurs ; regardez seulement… Les maîtres mots sont : relativité & corpuscules, pour causer de la Vie dans la maternelle matière ! La nuit, les étoiles nous parlent de l’au-­‐delà ; d’un passé rejoignant le fossile d’une certaine Origine ex-­‐ trêmement lointaine : son opacité, sa forme… Les belles de printemps nous parlent de l’en-­‐deçà ; de flux et reflux de molécules rejoignant à une échelle extrêmement profonde : des énergies Originelles… Sans que personne n’ait le fin mot de l’Histoire !

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Vu de moi, Les mots créent des fleurs élaborées, se formant et se reformant, l’ensemble se dissipant dans la ramure noueuse et tortueuse de l’écriture où les mots parfois deviennent étonnants référentiels, là se situe une lueur d’espoir de l’autre côté d’un horizon de com-­‐ plexité, où les mots se voient êtres inducteurs de Vie !

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J’aime mes songes ! La Musique est du Mou, une Ondine dans l’air du Temps qui passe, du temps qu’il fait… La musique plus l’on y porte attention plus elle fait partie de nous… Bien entendu les Atmosphères sont essentielles aux mécaniques des sphères : fractaloïdes Universelles symbolismes d’un certain grand Tout, où le Vide n’est pas rien entre : -­‐ Une réalité se dérobant continuellement, à nos pieds sous nos avances ; voyez ? C’est joliment dit, c’est sans fonds, n’est-­‐ce pas ? C’est l’ambiguïté même d’une certaine danse des acquis aux pleines couleurs de l’esprit ! -­‐ Et l’espace prend la forme de nos regards, cause en-­‐ vironnement proche, appréciations de la réalité ; mais cause encore en grandeur cosmologique de façon en-­‐ tendable, non ? Toujours qu’est-­‐ce qui n’est pas Onde ? Un relief laminaire plissé ? L’Océan et sa surface ? La Vie dans la matière ? La lumière ? À vrais dire tout, absolument tout est Ondes et cor-­‐ puscules, c’est là une évidence ; autrement dit symbo-­‐ liquement une sorte de concerto Universel ! Ne croyez-­‐vous pas ? Ne doutez-­‐vous pas ?

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Une danse des acquis aux pleines couleurs de l’esprit ? Au Cœur du Vivant, l’ADN est en quelque sorte une composition grammaticale génétique structurant ses mots grâce à un alphabet de 4 lettres : ACGT ! Où chaque individus son histoire, chaque espèce sa grammaire, voyant la diversité des genres avoir en leurs cœurs, en leurs racines, l’ADN être l’essentiel aux ensembles complexes du règne vivant ; de leurs évolutions arborescentes, aussi !

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Ce n’est pas si facile à trouver

Des Quarks ; à l'atome et ses échanges quantifiés ; jusqu'à la décohérence de kyrielle d'atomes, où les flux et reflux de molécules du vivant voient un couple (sculptures laminaires) se former de façon pas si simple (entre les transparences aériennes de l'esprit, et la maternelle matière (de même étymologie) !

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La valeur des mots

L’avaleur des mots est bel et bien le Temps qui passe, le temps qu’il fait intérieurement, autrement-­‐dit : en nous autres… Si le poète est un peu l’ombre des mots, les mots sont aussi un peu l’ombre du poète… Un style résurgent ne s’acquière pas si simplement ; la pulsion créative nous l’avons dans le sang ou pas : où essentiellement elle s’articule un beau jour autour : d’amour vrais ; mais encore ? Je vais me servir ici d’expression mienne : « rattraper les pots cassés » envers les uns et les autres, où la Vie n’est pas si saine.

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L'eau féminine

S’écoule fluide sur ton air enjoué, cet air nostalgique qui fait songer au de-­‐ venir de la Terre nourricière... L'homme est déjà un éco-­‐survivant parmi tant de confort que s'en parait inconcevable... Doux dauphin, ne t'échoue pas désorienté par les ra-­‐ dars et la pollution... Enrobe ce soleil si chaleureux qu'il te drape sous l'eau de ses ondines, des fois je maudit les feux du savoir mais sans eux je serait mort innocent et pourtant adulte ! Alors que je découvre que j'avais été un éternel opti-­‐ miste envers ses sociétés... Je m'aperçois trop tard moi aussi... D'un lynchage psy-­‐ chologique, un peu comme la Terre est lynchée, foulée de nos gros sabots d'humains... De la beauté des fois, de temps en temps s'écoule quelques larmes d'encre...

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Le réel et la Vie La réalité est reine, le Vivant est une Arène... N'est-­‐ce pas causer en termes humains...

L’Espace est réel, il fait partie intégrante de nous, de la Terre et de l’Univers… Autrement dit nous sommes en quelque-­‐sorte en im-­‐ mersion parmi cet Espace-­‐Temps ; les pieds sur Terre et la tête dans les nuages…

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Symbolismes structurels ? J’imagine ici que le Vide ne voit pas le Temps ; mais probablement l’induit-­‐il vu de nous ? Par sa forme, sa structure récurrente avec la mécanique céleste tour-­‐ noyante depuis des Temps cosmologiques, où : Chaque danse son échelle, chaque échelle sa danse ; où en chaque danse des constantes, en chaque danse des variables… Au juste milieu vu de Nous, le but d’ascendance de-­‐ puis la matière, son éveil en la Vie, s’élevant en es-­‐ prits, toujours en songes, encore en réflexions cons-­‐ cientielles, ne croyez-­‐vous pas ?

Prisme et réfraction / diffraction de lumière !

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Un brin d’amour ! Donnez un brin d’amour à un enfant malmené par la Vie, et il en fera des merveilles, c’est un concept qui me parle beaucoup de Boris Cyrulnik : le concept de résilience, soit le fait de la malléabilité du cerveau d’acquérir une certaine conscience de soi : pas moins douloureuse, mais une douleur, comment dire ? Conscientielle, autrement dit une douleur construc-­‐ tive ; ne croyez-­‐vous pas ? Ne doutez-­‐vous pas ?

Le satyre et les nymphes

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Voyez ? La danse continue envers et contre tout, de décou-­‐ vertes en redécouvertes ; je les aimes trop paraît-­‐il…

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Curieuse ? Vue de moi, l’aube d’une page blanche est une pro-­‐ messe de lumière ou mon choix pour le prosaïsme creusant les mots vagues ; qui parfois se déchaînent, alors que d’autres fois sont d’huile ; voient en ce pré-­‐ sent des ouvertures, des anfractuosités où le fluide subtil de l’inspiration s’insère s’insinue avec la vi-­‐ tesse grisante (plaisante, excitante) de la modernité !

© Yslaire ; bande dessinée : Sambre ! Très sombre et mélancolique, Sambre nous raconte l'histoire d'une famille bourgeoise rurale du XIXe siècle et plus particulièrement celle de Bernard Sambre, épris de Julie, une jeune vagabonde aux yeux rouges que sa famille exècre au point de les porter au rang de supers-­‐ tition. Les destins, les esprits et les corps s'expriment, se croisent et se blessent. Nul ne peut échapper à son des-­‐ tin ... Sambre est parfois décrite histoire d’yeux maudits !


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