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AU QUOTIDIEN
MIGROS MAGAZINE | No 5, 28 JANVIER 2013 |
À VOTRE SERVICE | 63
Lena Vuilleumier, secteur «Coiffure»
On s’y met! Avez-vous un teint de printemps? d’été? d’automne ou d’hiver? Retrouvez les explications détaillées sur www.migrosmagazine.ch
Chaque semaine, un(e) apprenti(e) ou encadrant(e) du Centre d’orientation et de formation professionnelles (COFOP) nous présente une facette de son métier, au travers d’une démonstration pratique. Et nous parle de sa formation, de son quotidien et de ses projets.
Les couleurs s’accordent avec une peau de printemps.
Après avoir passé sa matu et fréquenté l’uni quelques mois, Lena Vuilleumier s’est orientée vers la coiffure. Son prénom: Lena Son nom: Vuilleumier Son âge: 24 ans Son cursus: après avoir terminé sa VSB, elle a suivi le gymnase en section langues avec option sport. Elle a passé sa matu, puis suivi quelques mois d’université. Peu convaincue, elle a arrêté et frappé aux portes de trois salons de coiffure pour trouver un stage. Elle a alors effectué ses trois ans de formation dans l’un d’eux et obtenu son CFC, avant d’être engagée au COFOP/CHARTEM comme encadrante pour les préapprentis.
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«J’ai essayé par hasard la coiffure et j’ai tout de suite adoré»
Sa formation actuelle: elle est encadrante au COFOP/CHARTEM – sous la responsabilité de Marc Speggiorin, chef de l’Unité services – depuis août 2012. Elle suit en parallèle des cours pédagogiques un après-midi par semaine avec des formateurs du Département général de l’enseignement postobligatoire. Pourquoi ce métier? «J’ai toujours aimé ce qui est créatif et
manuel. J’aime le contact, et j’ai essayé par hasard la coiffure. J’ai tout de suite adoré, et j’ai été surprise de toutes les possibilités qu’il y a ainsi que de la responsabilité qu’on a en tant que coiffeur pour créer une couleur et une coupe qui correspondent le mieux possible à l’attente des clients…» Est-elle contente de son choix? «Oui, c’est un métier magnifique! Par ailleurs, j’adore l’enseignement et cela a été une vraie chance pour moi d’être engagée au poste d’encadrante.» Ses projets professionnels: «Je ne me vois pas retourner dans la profession standard et rester dans un salon. J’aime cette autre dimension qu’on trouve au COFOP, et j’aimerais beaucoup suivre ensuite une formation qui me permette de continuer à travailler avec les jeunes et favorise la transmission de connaissances.» Son rêve: «Faire un tour du monde, et expérimenter une vie totalement différente.»