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CHARADES

Mon premier comporte généralement 365 jours

Mon deuxième est l’inverse de « pas assez » .

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Mon troisième est un prénom masculin.

Mon quatrième est liquide mais peut aussi se changer en solide ou en gaz Mon cinquième se disait d'une personne pauvre au Moyen Âge.

Mon tout est un scientifique qui étudie l’homme dans sa globalité.

Ii

Mon premier est le contraire d Mon deuxième est une monna Mon troisième est un article dé Mon tout est une structure de bas

Iii

Mon 1er est un animal mythologique.

Mon 2e est un liquide inodore, incolore et transparent quand il est pur.

Mon 3e est une ville du nord de l’Italie bien connue.

Mon tout est l’élément chimique le plus abondant de l'univers.

Mon 1er occupe la sixième place dans la gamme de musique.

Mon 2e est le contraire de « laid » .

Mon 3e est un rongeur un peu plus gros qu’une souris.

Mon 4e est un autre mot pour « couverture » d’une maison

Mon dernier est la deuxième note de la gamme, mais sans l’accent.

Mon tout est l’endroit où tout est analysé V

Mon premier permet aux humains de s 'exprimer

Mon deuxième est un mot du langage commun pour dire cheveux

Mon troisième est une voyelle qui ressemble au chiffre 1.

Nous voyons mon quatrième lorsqu'on regarde en l'air.

Mon tout est un contraire de naturel.

Rubrique mode : mode et hygiène - quatre modes bien dangereuses pour la santé

L’hygiène est la branche de la médecine qui traite de tout ce qu’il convient de faire pour préserver et pour améliorer la santé. L’Homme a parfois mis du temps à s’y intéresser en matière de mode alors voici le TOP des modes douloureuses et dangereuses que l’être humain s’est infligées pour le style.

La plus dégoûtante : pas de shampooing au XVIIIe siècle.

Quoi de mieux qu’un bon petit shampooing ? Ce n’était pas ce qu’on se disait au XVIIIe siècle, période plutôt négligente en termes d’hygiène. Eh oui, les cheveux n’étaient pas lavés mais seulement brossés. Plusieurs ouvrages contemporains évoquent le fait que le non-lavage des cheveux engendre des douleurs dentaires, des migraines ou encore des maux d’oreilles.

Allez, je vous offre l’anecdote la plus répugnante, vous allez

A.D.O.R.E.R. : c’est celle que rapporte M. Des Essartz en 1760 dans son Traité de l’éducation corporelle des enfants en bas âge, à propos de sa bonne vieille tata qui ne se lavait pas souvent les cheveux.

Comme ça se faisait à l’époque, elle avait fait élaborer une coiffure composée de fausses mèches et de laine grasse, le tout recouvert de pommade et de poudre grise et elle l’avait laissé comme cela pendant NEUF semaines. Ainsi, lorsque le coiffeur vint pour s’occuper de ses cheveux et qu’il ouvrit la coiffure, des effluves pestilentielles s’en échappèrent ainsi que des insectes ! M Des Essartz demanda alors au coiffeur si il n’y avait pas de risque que ces animaux s’attaquent aux vêtements où à l’intérieur de la demeure de sa tante : il lui répondit que non puisque la pommade emprisonnait complètement les bêtes dans les cheveux ! HA OUF… Vous n’aurez plus jamais la flemme de vous “shampooiner” après cette anecdote, ne me remerciez pas.

La plus toxique : la teinture à l’arsenic au XIXe siècle. Haaaa le vert ! Couleur de la chance, de la nature ou encore de la jeunesse, elle était grave à la mode dans la première moitié du XIXe siècle, elle était « méga » à la mode, surtout le vert clair ! Pour l’obtenir, les industriels utilisaient un super composant : l’arsenic ! Ça a l’air stupide comme idée vu comme ça mais à l’époque il n’existait pas d’autres moyens d’obtenir une teinture verte qui tienne bien et qui soit aussi jolie. Au début, ça n’a pas été immédiatement préjudiciable car les robes étaient doublées et la peau des dames séparée du textile teinté par des bas. Mais plusieurs accidents ont finalement tiré la sonnette d’alarme : lorsque les femmes dansaient dans les bals, les particules toxiques d’arsenic se répandaient dans l’air et leur causaient de graves maux de gorge ou de poitrine. Celles qui eurent leur santé la plus détruite par cette teinture furent les ouvrières, évidemment : elles plongeaient leurs mains toute la journée dans des bains d’arsenic ayant pour effet de gravement les ulcérer.

La plus immobilisante : les petits souliers à talons. Vous avez déjà eu l’occasion de marcher avec des chaussures trop petites pour vos pieds et vous en gardez un souvenir dont la douleur équivaut à une armée de 20 000 hommes qui vous massacreraient les pieds à coups de sabre, n’est-ce pas ? Eh bien vous n’auriez pas aimé les chaussures des XVIIe et XVIIIe siècles et ce, chez les hommes comme chez les femmes.

Le but dans l’aristocratie était de montrer le plus possible sa richesse et son oisiveté donc porter des chaussures qui rendaient la marche douloureuse, c’était hyper stylé ! Sauf que comme vous vous en doutez ça a entraîné quelques désagréments comme :

> Une atrophie des muscles des jambes : les hommes se mirent alors à porter des bas rembourrés pour faire croire qu’ils avaient des jambes galbées alors qu’ils ne marchaient quasiment pas...

> Au XVIIe puis au XVIIIe siècle, les chaussures étaient parées de larges boucles qui recouvraient le coup de pied en un parfait arc de cercle. Seul bémol : à force de marcher avec, ces boucles percutaient le pied et le mouvement de répétition créait de larges plaies, obligeant les hommes à marcher les jambes écartées “comme des canards” !

> Certaines femmes se ligaturaient les pieds afin qu’ils rentrent dans leurs toutes petites chaussures. Plusieurs caricatures du XVIIIe siècle montrent des femmes énormes essayant de rentrer leurs pieds dans des chaussures minuscules. Aujourd’hui, c’est quand même plus sympa, c’est à la mode de porter des chaussures à sa taille et qui sont quand même vachement confortables, même les talons ! Alors profitez-en, puisque comme on dit “la mode c’est un éternel recommencement”. (Personnellement, j’ai commencé à stocker des chaussures taille 32 chez moi pour spéculer dessus quand elles redeviendront trendy…).

La plus moderne / La plus stérilisante : les pantalons trop serrés pour les parties génitales des hommes. De nos jours, le jean slim et autres pantalons très près du corps connaissent leur heure de gloire dans la garde-robe masculine. Mais cet élément du vestiaire s’avère particulièrement dangereux pour la santé génitale masculine. Le docteur Allan Pacey, spécialiste du domaine, a mené une étude sur 2500 jeunes hommes et a démontré que le plus gros risque pour la fertilité masculine était le port de pantalons ou sous-vêtements trop moulants. En effet, dans ce type de vêtement, les testicules sont compressées et collées au corps ce qui a pour conséquence de faire monter la température de celles-ci au-delà de 37 degrés. Les spermatozoïdes deviennent alors moins performants, voire meurent avant d’avoir pu faire “la course de la vie”. De plus, la compression provoque une réduction du flux sanguin rendant la mobilité de ces gamètes mâles plus difficile. Au-delà des dangers pour la santé comme le risque accru de torsion testiculaire ou de varicocèle (des varices du scrotum), le port de jean serrés entraîne des douleurs physiques selon les positions et d’autant plus lorsqu’une érection survient. Ainsi, 15% des hommes qui utilisent ce type de pantalon chaque jour ont des problèmes liés à leurs organes génitaux. Il est donc important d’informer sur les risques pour la santé que représentent encore plusieurs modes actuelles !

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