to midnight
Rodrigol en était un dirigé à trois, par André Racette, Claudine Vachon et moi-même. Cela apporte des dynamiques de travail très différentes de la production d’oeuvres en solo. Comment avez-vous croisé Louis Rastelli ? Et comment avez-vous été mis en contact avec le monde de l’édition ici à Montréal ? Je l’ai rencontré lors de la foire où l’on était la première fois. Et par le fait même découvert tout un pan de la culture underground que je connaissais que très peu. J’ai été rapidement très enthousiaste de pouvoir rencontrer les acteurs de cette scène. Après notre deuxième année à titre d’exposant, nous avons approché Louis afin de donner un coup de main autant au point de vue de la correction du français, de la logistique de l’événement, mais surtout en la recherche de d’autres créateurs de livres et zines francophones. Quand vous êtes allé à Expozine pour la première fois, trouviez-vous qu’il y avait assez de représentation de la production francophone? C’est clair que non, mais, en fait, je ne m’attendais pas non plus à grand-chose. C’est justement cette découverte d’un monde parallèle 25