Paris, 1850. Reclus dans son appartement, Balzac vient de mourir. Les policiers arrivent sur les lieux pour constater le décès et s’assurer que l’écrivain est mort comme un grand homme. Pro-blème : ses derniers mots n’ont aucun intérêt. Ils font alors appel au seul homme pouvant les aider : l’Ultimaverbiste.
Ultimaverbiste, c’est le métier d’un Allemand installé depuis plusieurs années en France, Humboldt Dittenmayerbach ; il est rémunéré par l’État pour trouver les derniers mots (ultima verba) des hommes illustres.
Mais Victor Hugo, un des meilleurs amis de Balzac, s’oppose farouchement à cette mystification et décide de dire toute la vérité…
Projet long que j’actualiserai au fil des semaines.