britanniques de l’Amérique septentrionale, reçoit la plupart de ces épaves. Quoi qu’il en soit, cette île, dont le climat est tempéré, dont le sol et les sites sont si favorables à la colonisation, demeure aujourd’hui encore déserte, inculte, à peine habitée par deux ou trois garde-phares. Cependant, elle devrait et doit, dans un avenir prochain, s’animer, se défricher, se peupler au souffle fécondant de la civilisation moderne.
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