La typologie pavillonnaire et la situation enclavée de l’hôpital Raymond Poincaré laissent imaginer l’implantation d’une nouvelle cité universitaire santé/social capable d’accueillir à la fois des logements étudiants (premier lieu), des facultés (deuxième lieu) mais également, dans l’ancienne chaufferie des années 1930, une bibliothèque universitaire (troisième lieu).
L’ adaptation de ce principe de « troisième lieu » à la construction d’une bibliothèque s’inscrit dans une démarche d’échange ; les étudiants et les patients seniors auront la possibilité de se rencontrer dans un autre cadre que celui du soin à la personne, apporté lors des différents stages et formations.
La bibliothèque, la cour et les bâtiments environnants devront donc modifier leur relation, créer une rencontre autour du savoir, de l’échange de savoirs et non plus de la maladie.