Amcomet in the media

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AMCOMET IN THE MEDIA

OCTOBER 2013-NOVEMBER 2013








Africa Review


Africa Young Voices (AYV)


Business Ghana


/œ$IULTXH VH GRQQH UHQGH]-vous à Arusha pour une confÊrence sur le climat APA- Arusha, (Tanzanie) Dirigeants et chercheurs africains vont se rÊunir de mardi à vendredi à Arusha, dans le nord de la Tanzanie, pour une confÊrence sur le climat. Le rendez-vous est organisÊ par la ConfÊrence ministÊrielle africaine sur la mÊtÊorologie $0&20(7 XQH LQLWLDWLYH FRQMRLQWH GH Oœ2UJDQLVDWLRQ PpWpRURORJLTXH PRQGLDOH HW GH Oœ8QLRQ DIULFDLQH 6HORQ XQ FRPPXQLTXp GH Oœ$0&20(7 OœREMHFWLI HVW QRWDPPHQW GH Š rÊduire le fossÊ de communication existant actuellement entre les dÊcideurs africains et les climatologues, en vue GœDPpOLRUHU OHV UpSRQVHV HW OœDGDSWDWLRQ SUpFRFHV DX[ SUREOqPHV FOLPDWLTXHV HQ $IULTXH . Parmi les intervenants attendus, figure le secrÊtaLUH JpQpUDO DGMRLQW GH Oœ2UJDQLVDWLRQ mÊtÊorologique mondiale, Jerry Lengoasa. Il prÊsentera le thème intitulÊ  DÊfinir un programme de recherche climatique commun pour Oœ$IULTXH : traiter les dÊficits de recherche prioritaires pour fournir des services climatiques pertinents aux utilisateurs finaux en Afrique . La confÊrence devrait faire une proposition de programme de recherche climatologique à OœpFKHOOH GX FRQWLQHQW /œ$IULTXH Š est particulièrement vulnÊrable aux variations et au changement climatiques, la SDXYUHWp HW OD GpJUDGDWLRQ GH OœHQYLURQQHPHQW FRQVWLWXDQW GHV IDFWHXUV DJJUDYDQWV , souligne Oœ$0&20(7 Sur le continent les services mÊtÊorologiques travaillent sous la direction de diffÊrents services ministÊriels : transports, Êquipement, agriculture, environnement etc.  Il est donc important de renforcer le cadre institutionnel pour les prÊvisions mÊtÊorologiques et les services mÊtÊorologiques et climatologiques sur le continent afin de rÊpondre aux nombreux problèmes auxquels il est confrontÊ ª VRXOLJQH Oœ$0&20(7


La capitale tanzanienne accueille la première conférence climatique africaine Abidjan, 10 oct. (AIP)- La capitale tanzanienne, Arusha, accueille du 15 au 18 octobre prochain la première conférence climatique africaine à l'initiative de la Conférence ministérielle africaine sur la météorologie (AMCOMET), en vue de renforcer la relation entre les communautés scientifiques Abidjan, 10 oct. (AIP)- La capitale tanzanienne, Arusha, accueille du 15 au 18 octobre prochain la première conférence climatique africaine à l'initiative de la Conférence ministérielle africaine sur la météorologie(AMCOMET), en vue de renforcer la relation entre les communautés scientifiques et politiques. Ouverte par le président tanzanien, Jakaya Mrisho Kikwete, cette conférence sera marquée par une intervention du secrétaire général adjoint de l'Organisation météorologique mondiale, Jerry Lengoasa, sur le thème "Définir un programme de recherche climatique commun pour l'Afrique : traiter les déficits de recherche prioritaires pour fournir des services climatiques pertinents aux utilisateurs finaux en Afrique". Cette rencontre internationale devrait déboucher sur une série de propositions concrètes de recherche visant à combler les lacunes de compréhension du système climatique africain et à renforcer les fondements scientifiques des décisions à prendre pour le continent d'ici la fin du XXIe siècle, indique-t-on. Les résultats de la Conférence d'Arusha alimenteront la troisième Conférence sur le changement climatique et le développement en Afrique (CCDA±III) à Addis-Abeba, en Ethiopie, du 21 au 23 octobre. La Conférence ministérielle africaine sur la météorologie (AMCOMET) a été créée en 2010 en réponse aux défis majeurs liés à la prestation de services météorologiques et climatologiques en Afrique. C'est un forum permanent où se retrouvent, tous les deux ans, les ministres africains en charge de la météorologie, pour fournir un leadership politique, une orientation et une argumentation communes sur les questions relatives au développement de la météorologie et de ses applications, ainsi qu'à sa contribution au développement socioéconomique en Afrique.


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Troisième conférence sur les changements climatiques lundi à Addis-Abeba La troisième conférence sur les changements climatiques (CCDA-III) démarre lundi à Addis± Abeba sous le thème 'L'Afrique en croissance: les opportunités du changement climatique peuvent-elles conduire le continent vers un développement transformatif?'. La conférence est organisée sous les auspices du programme Climat pour le développement en Afrique (ClimDev-Afrique), une initiative conjointe de la Commission de l'Union africaine (CUA), de la Banque africaine de développement (BAD) et de la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique (CEA). Elle réunit des participants issus des domaines de la recherche, des acteurs et décideurs politiques, ainsi que la communauté des praticiens pour débattre de cinq sous-thèmes. La valeur des services climatologiques, le rôle des politiques en matière de climat dans la résilience aux impacts du changement climatique en Afrique, les options de financement du climat en Afrique, la question de l'économie verte dans le contexte africain et la place de l'Afrique dans les négociations internationales sur les changements climatiques, sont entre autres sous-thèmes qui seront débattus au cours de cette rencontre. La Conférence offrira une plate-forme pour les experts, les décideurs politiques, les praticiens, le secteur privé, les médias et la Société civile pour collectivement réfléchir sur le programme de développement de l'Afrique dans le contexte du changement climatique, basé sur la recherche, les résultats analytiques et toute une gamme d'expériences. Elle permettrD G¶DQDO\VHU GH PDQLqUH SOXV HIIHFWLYH GHV DOWHUQDWLYHV SRXYDQW DFFpOpUHU OH développement de l'Afrique et relever les défis liés au changement climatique. En prélude à cette rencontre qui prend fin mercredi, une cinquantaine de journalistes de plusieurs SD\V G¶$IULTXH RQW SDUWLFLSp FH GLPDQFKH j XQ DWHOLHU VXU /HV 0pGLDV HW FKDQJHPHQW FOLPDWLTXH /D GHX[LqPH pGLWLRQ GH FHWWH FRQIpUHQFH V¶HVW WHQXH HQ RFWREUH sous le thème: 'L'avancement des connaissances, politiques et pratiques en matière de changement climatique et le développement'.


En 2012, 75,3 % des personnes affectÊes par les catastrophes climatiques dans le monde Êtaient africains /œ$IULTXH a totalisÊ à lui seul 75,3% des personnes qui ont ÊtÊ frappÊes par des catastrophes liÊes au climat en 2012 dans le monde, selon des chiffres de Oœ2UJDQLVDWLRQ mÊtÊorologique mondiale (OMM) rendus publics mardi à Arusha, en Tanzanie, lors GœXQH confÊrence sur le climat en Afrique.  75,3 % des personnes ayant ÊtÊ frappÊes (en 2012) par des catastrophes liÊes au climat  ont ÊtÊ recensÊes sur le continent africain, contre 1,2 % pour Oœ(XURSH 5 % pour les AmÊriques, 0,4 % Oœ2FpDQLH et 18 Oœ$VLH selon ce rapport. Au cours de la même annÊe, ce sont 37,3 millions de personnes du continent africain qui ont ÊtÊ touchÊes par ces catastrophes liÊes au climat, à OœHDX et aux conditions mÊtÊorologues, poursuit Oœ2UJDQLVDWLRQ selon laquelle ces catastrophes ont causÊ des dÊgâts ÊvaluÊs à 930 millions de dollars amÊricains sur le continent. A OœRXYHUWXUH de cette confÊrence de quatre jours, le secrÊtaire gÊnÊral adjoint de Oœ200 Jerry Lengoasa a rappelÊ que  Oœ$IULTXH est le continent le plus vulnÊrable  aux variations naturelles du climat, au changement climatique consÊcutif aux activitÊs de Oœ+RPPH et aux phÊnomènes extrêmes qui en dÊcoulent, comme les sÊcheresses et les inondations. Il a estimÊ  urgent  de renforcer la maÎtrise scientifique du climat actuel et futur et de VœDVVXUHU que ces connaissances soient disponibles et pertinentes pour les dÊcideurs.  Nous devons nous assurer que ces informations sont accessibles aux personnes qui en ont le plus besoin , a-t-il poursuivi faisant notamment allusion aux personnes non-instruites des milieux ruraux en Afrique. Abondant dans le même sens, le vice-prÊsident tanzanien Gharib Bilal, qui a ouvert les travaux de la confÊrence, a dÊplorÊ le fossÊ existant entre les climatologues et les instances de prise de dÊcision. Ce rendez-vous regroupant 300 participants est organisÊ par la ConfÊrence ministÊrielle africaine sur la mÊtÊorologie (AMCOMET), une initiative lancÊe il y a deux ans par Oœ200 et de Oœ8QLRQ africaine (UA). Il devrait dÊboucher sur une sÊrie de propositions concrètes de recherche visant à combler les lacunes importantes dans la comprÊhension du système climatique africain et à renforcer les fondements scientifiques des dÊcisions à prendre pour le continent GœLFL la fin du XXIe siècle. Les rÊsultats de la ConfÊrence Gœ$UXVKD alimenteront la troisième confÊrence sur le changement climatique et le dÊveloppement en Afrique (CCDA-III) qui se tiendra à Addis-Abeba, en Ethiopie du 21 au 23 octobre.











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