IRRESISTIBLE AUTO MAI ANGERS

ICH BIN NICHT EIN KLEIN KROKODIL Plus long, plus bas, le Cayman tient désormais davantage du crocodile adulte que de Schnappi das klein krokodil. Pour le reste, on retrouve tout ce qui fait d’une Porsche… une Porsche : lignes tendues, ailes légèrement bombées, long capot, beau petit cul, grandes jantes et pneus pas plus épais qu’une pizza. Le volume intérieur propose deux places et de l’espace à revendre pour un coupé sport. Les sièges sont bas (ou alors je vieillis), la colonne de direction se règle dans tous le sens et peut avancer très près du corps, la console centrale reprend le dessin initié par la Panamera et la 991 ; elle se couvre de boutons pour régler les équipements d’agrément et donne l’impression aux occupants du véhicule d’être dans le cockpit d’un avion de chasse. Face au « pilote », le compte-tours trône fièrement au milieu du tableau de bord, à sa gauche le tachymètre, à sa droite l’ordinateur de bord et ses nombreux modes d’affichage : informations du véhicule, informations sur le trajet, mode chrono (pour la piste) et GPS. Un volant à trois branches, à la jante épaisse attire le regard et cache les palettes de l’excellente boite robotisée à double embrayage PDK (maintenant que je la connais je m’en veux tellement de l’avoir critiquée à sa sortie). Comme d’habitude chez Porsche depuis les dernières générations, la finition est impeccable et les matériaux utilisés sont de premier choix.

Pour finir, n’oublions pas qu’une voiture deux places se vie en amoureux et faisons le tour des aspects pratiques du modèle : 150l à l’avant et 130 à l’arrière, c’est largement suffisant pour multiplier les weekends et emmener brosses à dents et tenues de rechange.

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