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la rédaction… 3

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A adopté Bibine sur le site adopteundechet.com. Cette petite bouteille a été abandonnée sur la plage virtuelle du site Internet mis en ligne par Dop. Pour chaque kilo de déchets adopté, la marque du groupe L’Oréal s’est engagée à financer le ramassage d’un kilo de déchets dans la réalité sur les plages oléronaises. L’aide financière (5 euros par kilo) sera reversée à la communauté de communes de l’Ile d’Oléron (Charente-Maritime).

doute de prendre 28 minutes et 18 secondes pour déguster le dernier pot de crème glacée Häagen-Dazs, même avec la cuillère « Ice Twist » créée par le designer CédricRagot. Parce que c’est le temps moyen de dégustation d’un pot. Baptisé justement 28’ 18” Moment, il sera lancé en juin pour le 50e anniversaire de la marque. Et cela risque d’être tout aussi difficile de jouer avec son écrin isotherme, le curling, dans lequel le pot est glissé, car l’objet ne sera produit qu’à 250 exemplaires.

constate que le message est le même :

Pleure

Beverage Can Makers Europe (BCME) collecte les canettes en France dans le cadre de l’opération « Chaque canette compte » ; au Brésil, Valter dos Santos, trieur de déchets, le dit à sa façon : « 99, ce n’est pas 100 ». Valter dos Santos apparaît dans le documentaire Waste Land de Lucy Walker consacré au travail de l’artiste brésilien Vik Muniz à Jardim Gramacho, la plus grande décharge du monde.

la disparition de Mr Malabar. Elle ne s’était déjà pas remise de celle de Groquik. C’est au tour du beau blond baraqué d’être « mis à la retraite ». Il était apparu sur les emballages des chewing-gums en 1969. La célèbre mascotte est remplacée par le chat Mabulle, censé mieux séduire les enfants. Du coup, la rédaction a l’impression d’avoir pris un « coup de vieux ». Toutefois, elle doute de la capacité pulmonaire du matou à faire de belles bulles.

S’étonne

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de la taille des blisters des nouveaux mascaras « Volum’Express Cil à Cil » de Gemey-Maybelline (L’Oréal). Pour montrer la brosse brevetée Attrap’cil, la marque a choisi de la présenter à côté de la flaconnette qui se retrouve coiffée d’un bouchon. Conclusion : un blister 1,5 fois plus large que celui du mascara « Volum’Express L’effet faux-cils », plus de matériaux utilisés pour ce conditionnement secondaire mais aussi pour le bouchon de présentation de la flaconnette. Un choix marketing qui semble à l’opposé de la politique de développement durable prônée par L’Oréal.

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édito 7

Henri Saporta Directeur de la rédaction

Source de confusions

mballages Magazine rend compte ressource végétale remplace donc l’un des régulièrement des développe- composants du PET fossile mais sa comments des biomatériaux et des position chimique finale est exactement la plastiques d’origine végétale même. Voilà pour les faits. dans l’emballage. Une piste de progrès Mais quand Volvic entreprend de commuimportante. Après la PlantBottle de Coca- niquer cette réelle innovation auprès du Cola en Amérique du nord, Volvic, marque grand public dans le cadre d’une camd’eau minérale de Danone Eaux France pagne de publicité importante ainsi que (Danone), commercialise des bouteilles sur ses conditionnements, les choses aux bouchons verts se compliquent. Le de 50 centilitres et message ? « Volvic, de 1,5 litre fabripremière bouteille la notion quées partiellement d’origine végétale ». Si la notion de « preavec du polyéthylène de « première » téréphtalate (PET) mière » est déjà très est déjà obtenu à partir de floue, Coca-Cola mais résidus de canne aussi Vegetal & Minetrès floue. à sucre (BioPET). ral Water et d’autres C’est la « première avec l’acide polylacbouteille d’origine tique (PLA) sont déjà végétale en France », passés par là, la suite annonçait Véronique Penchienati, direc- peut vraiment prêter à confusion puisque trice générale de Danone Eaux France, lors Volvic précise que la bouteille est « 20% du lancement en septembre dernier. Si la d’origine végétale » et « 100% recyclable ». bouteille comprend 25% de PET recyclé Question ? 20% suffisent-ils à qualifier (RPET), c’est dans le PET utilisé pour les l’origine végétale puisque le polyéthylène 75% restants que la matière végétale est téréphtalate (PET) – vierge ou recyclé – intégrée. Aux 70% d’acide téréphtalique d’origine fossile constitue encore 80% de (PTA), d’origine fossile, sont ajoutés 30% la bouteille. Le message ne coule pas de de monoéthylène glycol (MEG) produit à source. D’autant que la nouvelle bouteille partir de mélasse de canne à sucre. D’où Actimel est issue, pour le coup, à 95% de son nom de BioMEG. La résine issue de la ressources végétales...

des pictogrammes pour IDENTIFIER les marchés

Alimentaire

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Hygiène-Beauté

Pharmacie

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sommaire 9

P.36

photo pascal guittet

photos dr

P.29

10 en images

32 machine

12 sur le site

34 experts

125 bougies et une bouteille Contour L’Esepac dans ses murs

20 rendez-vous

20 Salon Le CFIA a fait le plein 21 Salon Priorité au concret sur le CFIA 22 Salon Machines : la souplesse à l’honneur au CFIA 24 congrès L’INDP imagine les packagings de demain

26 reportage

P.47

Alpha Mos met ses sens au service de l’emballage 29 le brief Envie de nature 35 sémiotique Des codes très bio 36 asie Kits de survie au Japon 37 en rayon Les désodorisants d’intérieur 38 analyse Cuiseur pour pâtes au micro-ondes 39 rÉglementation L’autorité européenne de sécurité des aliments

étiquettes

l’information à la carte Des applications industrielles aux rayons des grandes surfaces, les étiquettes sont présentes sur l’ensemble des marchés de consommation. Du papier aux polymères en passant par les structures les plus sophistiquées, tous les matériaux sont employés.

40 carnet

B&R Automation accroît ses capacités

Evelyne Mauret, la fibre de la physique

28 consommation

42 baromètre

65 visiter

44 agenda

93 acheter

28 Alimentation Ballotin 29 hygiène-beauté Fruité

Indices de production Prix des matières premières Packinnove Europe 2011

30 Design

Les packs dans la ligne de mire de « Votre Beauté »

106 zoom

Quand la caisse devient présentoir

65 interpack 87 pack & gift 93 machines Encaissage 101 emballages Le prêt-à-vendre (PAV)

Ce numéro comporte deux encarts jetés : Packinnove et Sappi www.emballagesmagazine.com

magazine

Antony Parc II - 10, place du Général de Gaulle - 92160 Antony • Tél. : 01 77 92 92 92 • Site Internet : www.emballagesmagazine.com • Groupe Industrie Services Info : Président : Christophe Czajka • Directeur général adjoint pôle magazines spécialisés et salons professionnels : Gilles de Guillebon, 01 77 92 94 04 (gdeguillebon@etai.fr) • RÉDACTION fax : 01 77 92 98 24• Directeur de la rédaction / Rédacteur en chef : Henri Saporta, 01 77 92 95 88 (hsaporta@emballagesmagazine.com) • Rédacteurs en chef adjoints : Arnaud Jadoul, 01 77 92 95 90 (ajadoul@emballagesmagazine.com) et Tiziano Polito, 01 77 92 95 89 (tpolito@emballagesmagazine.com) • Rédactrice : Mirabelle Belloir, 01 77 92 95 91 (mbelloir@emballagesmagazine.com) • RÉALISATION Maquette : Laura Mignot, 01 77 92 93 40 • Secrétaire de rédaction : Nicole Lachkar, 01 77 92 95 92 (nlachkar@emballagesmagazine.com) • PUBLICITÉ Fax : 01 77 92 98 26 • Directrice de pôle: Patricia Raphel, 01 77 92 96 58 (praphel@etai.fr) • Chef de publicité : Laurent Anastay, 01 77 92 96 57 (lanastay@etai.fr) • Sud-Est : Eric Bechetoille, 04 72 00 04 14 (become@wanadoo.fr) • Responsable commerciale Allemagne, Suisse, Autriche : Axelle Chrismann, 01 77 92 92 59 • ÉVÈNEMENTS (Conférences/Formations/Sur mesure)• Directeur : Manon Rossetti • Chef de marché : Anne-Carole Barbarin, 01 77 92 92 90 (acbarbarin@gisi.fr) • Service clients : 01 77 92 99 06 • ADMINISTRATION-FABRICATION-GESTION Directeur administratif et financier : Stéphane Deplus, 01 77 92 94 02 • Responsable de la fabrication : Thierry Michel, 01 77 92 96 30 • Responsable juridique : Mireille Monnier, 01 77 92 97 44 • Directeur des ressources humaines : Frédéric Sibille, 01 77 92 94 44 • ANNONCES CLASSÉES - emploi pro Fax : 01 43 80 46 30 • Directeur commercial : Pierre-Georges Lenthieul, 01 77 92 93 92 • Chef de publicité : Michel Stein, 01 77 92 93 91 • Assistante : Catherine Benezit, 01 77 92 94 12 • DIFFUSION-ABONNEMENTS-éDITIONS • Directrice de la diffusion et de la promotion : Jean-Baptiste Alline, 01 77 92 97 81 • Directrice des abonnements : Patricia Rosso, 01 77 92 97 88 • Directrice des éditions : Annie Zarati, 01 77 92 97 74 • Directrice de la promotion : Marie-Sophie Leprince, 01 77 92 98 08 • Responsable de la promotion : Christine Guitari, 01 77 92 98 10 • Service clients : 01 77 92 97 94 ou 01 77 92 97 91. Tarifs abonnements France (TVA 2,1 % incluse) 1 an : 9 numéros du magazine mensuel + 220 E-newsletters quotidiennes + 4 suppléments + accès web : 149 € TTC • Abonnement 1 an + « Guide de l’Emballage » : 217 € TTC • Etudiants : 59 € TTC sur justificatif • Demandeurs d’emploi : 89 € TTC sur justificatif • Etranger : nous consulter • Règlement à l’ordre d’Emballages Magazine • Pour la CEE préciser le numéro de TVA intracommunautaire • Librairie (ventes des numéros déjà parus et des Annuaires) : 01 77 92 97 75 • Annuaires (TVA 5,5 % incluse) • « Le Guide de l’Emballage » : 142 € TTC. Dépôt légal : à parution Commission paritaire : N° 0313 T 80468 ISSN 00136573 • Imprimé en France par : Centre Impression -11, rue Marthe Dutheil - 87220 Feytiat • Emballages Magazine est édité par GISI Communications (Principal actionnaire : Aprovia gun), SA au capital de 47 111 184 euros • Siège social : Antony Parc II - 10, place du Général de Gaulle - 92160 Antony • 309.395.820 RCS Paris • Directeur de la publication : Christophe Czajka. Produits nouveaux : sauf stipulations contraires, tout document, reproduction, cliché ou photo, confié au Groupe Industrie Services Info, devra être libre de toute contrainte (y compris financière, redevance, droits…) pour lui permettre l’édition sur tout support y compris électronique.

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Anniversaire

125 bougies

Pour fêter ses 125 ans, Coca-Cola reprend les formes mythiques de sa bouteille en grand format et multiplie les animations.

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et une bouteille Contour Le 8 mai, Coca-Cola a soufflé ses 125 bougies. Pour l’occasion, la filiale française du géant américain des boissons a lancé dans l’Hexagone la bouteille Contour légendaire dans les formats de 1,5 et 2 litres. 13 ans tout de même après leur introduction aux Etats-Unis. Ce design – une marque tridimensionnelle déposée en 1960 – fait partie de l’histoire de Coca-Cola. Les dirigeants de la firme voulaient, en 1915, « une bouteille que chacun reconnaîtra, même au toucher dans le noir ». Alexandre Samuelson, de la Root Glass Company, dessina une « bouteille à contours », dite aussi « la dame au fourreau », dont la main peut serrer le flanc et apprécier le marquage bombé-creusé si caractéristique.

Investissement industriel Le lancement de la bouteille Contour 1,5 et 2 litres – des formats qui représentent 70% des volumes de la marque – conclut la généralisation de l’empreinte visuelle de Coca-Cola : exit le magnum droit et lisse, place aux rondeurs reconnaissables entre toutes ! Avec un petit plus environnemental : l’intégration de 25% de polyéthylène téréphtalate (PET) recyclé et une réduction de 1% du poids total. L’opération a cependant réclamé un lourd investissement industriel : 14 millions d’euros ont été consacrés à l’adaptation de huit lignes de production dans les cinq sites d’embouteillage de Coca-Cola Entreprise en France, à la

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La bouteille au format 1,5 litre adopte le design Contour et intègre 25% de PET recyclé.

conception de nouveaux jeux de moules et au remplacement de la ligne PET de l’usine des Pennes-Mirabeau (Bouchesdu-Rhône) par une plus flexible, dégageant 30% de capacité supplémentaire. L’événement s’accompagne d’un dis-

positif de communication d’envergure, alliant une nouvelle campagne publicitaire, un affichage massif, l’ouverture d’un lieu éphémère – l’Espace 125 CocaCola –, abritant notamment une exposition et une boutique, jusqu’en juin

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repères Coca-Cola en France Présent en France depuis 1919, CocaCola détient aujourd’hui 48% du marché des sodas et 19% de celui des boissons rafraîchissantes sans alcool, en valeur, dans la grande distribution. Soit un chiffre d’affaires de 1,15 milliard d’euros. Coca-Cola Entreprise, la société de production et de distribution, a écoulé près de 1,3 milliard de litres (Coca-Cola classique, light et zéro) en 2010. La bouteille de verre, matière attitrée de la marque, ne représente plus que 5% de cette production ; les conditionnements en PET comptent pour 50% et le reste – 45% – revient aux canettes.

1 La célébration des 125 ans est l’occasion de nombreuses animations : une voiture en taille réelle sous forme de présentoir pour la publicité sur le lieu de vente (PLV) et des animatrices offriront aux clients des cadeaux « vintage ».

dans le quartier des Champs-Elysées à Paris, et des animations rétro, avec voitures de collection, pin-up et grooms. Des opérations promotionnelles, avec des présentoirs spécifiques et des collectors, mettent aussi en scène l’arrivée

de la nouvelle bouteille dans les grandes surfaces, afin d’offrir à cette silhouette, très en forme malgré son grand âge, la plus large visibilité possible auprès des consommateurs. Arnaud Jadoul

Faisant revivre la légende des publicités des années 50, une bouteille aluminium de 25 cl, illustrée d’une pin-up au sourire charmeur, a été créée en édition limitée pour Carrefour.

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2 La bouteille en verre s’est métamorphosée au cours des années, le modèle Contour étant décliné depuis 1915.

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et aussi… Emballages Magazine vous propose une synthèse de l’actualité des dernières semaines en ligne sur emballagesmagazine.com A&R CARTON SE RENFORCE AU ROYAUME-UNI Le cartonnier suédois a acquis un deuxième tiers du capital de SP Containers. REXAM INVESTIT AU BRÉSIL Le groupe britannique va construire une nouvelle usine de canettes près de Belem. UN COUVERCLE DE GOBELET EN PS RECYCLÉ L’américain Éco-Products lance l’EcoLid 25. ROMACO VENDU À UN AUTRE FONDS Robbins & Myers a cédé le constructeur allemand de machines d’emballages à DBAG pour 61 millions d’euros.

13 avril 2011

SILGAN REPREND GRAHAM L’opération donnera naissance à un groupe de 6,2 milliards de dollars de chiffre d’affaires, dont près de 75% dans l’alimentaire et les boissons. Le groupe américain d’emballages rigides de produits de grande consommation et de bouchage Silgan a conclu un accord avec le fonds d’investissement Blackstone pour lui reprendre son compatriote Graham Packaging. Blackstone détient 61% du capital du spécialiste des emballages rigides en plastique, qu’il avait racheté en 1998. L’opération, financée en actions et en numéraire, valorisera Graham à 4,1 milliards de dollars, dette incluse. Les actionnaires de Graham recevront 0,402 action Silgan et 4,75 dollars pour chaque titre détenu, ce qui correspond à 19,56 dollars par action Graham et à un bonus de 17% par rapport au cours du 12 avril dernier. (…) 13 avril 2011

De l’huile en caisse-outre

MPO RACHÈTE BDMO L’entreprise spécialisée dans le pressage des CD étoffe son offre intégrée de services. BOBST RENOUE AVEC LES BÉNÉFICES Le constructeur de machines pour la transformation du carton a réalisé en 2010 un résultat net de 37,6 millions d’euros, après une perte historique en 2009.

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Avec Graham, Silgan élargit son offre dans l’emballage en plastique.

6 avril 2011

CETEC ADOPTE LE PRINCIPE DE L’ARCHITECTURE EN « BALCON » Le constructeur d’ensacheuses lance le concept de Clean Bagging.

CCL LABEL RENFORCE SA PRÉSENCE AUX ÉTATS-UNIS La société canadienne acquiert Thunder Press. WINPAK INVESTIT MASSIVEMENT Dans le cadre d’un programme sur cinq ans, le fabricant canadien injecte 60 millions de dollars dans une nouvelle usine et des extensions de capacités.

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12 avril 2011

Millers Oils a développé un conditionnement de 15 litres avec Rapak.

ETHNI’COOK CHOISIT LE CRYOVAC BDF SOFT Pour ses produits de snacking halal, le fabricant a privilégié l’ouverture facile.

7 avril 2011

QUALIPAC RACHÈTE LISI COSMETICS Le groupe Pochet vient de confirmer l’acquisition de la société par sa filiale. 4 avril 2011

APPE GONFLE SES CAPACITÉS

6 avril 2011

TETRA PAK SE RAPPROCHE DES 10 milliards D’EUROS Le groupe suédois a enregistré une hausse de ses ventes de 5,2% en 2010, à 9,98 milliards d’euros.

Le recycleur a investi 10 millions d’euros sur son site de Beaune.

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26 avril 2011

L’Esepac dans ses murs L’école s’est installée à Saint-Germain Laprade.

N°1 sur le marché du Carton Ondulé avec 44 implantations en France, près de 4000 personnes et une part de marché de plus de 25 %.

Un nouveau bâtiment pour l’École supérieure européenne de packaging (Esepac) ! L’événement méritait d’être fêté. Le 8 avril, Laurent Wauquiez, ministre chargé des Affaires européennes, René Souchon, Président de la Région Auvergne, Nadine Lavignotte, Présidente de l’Université Blaise Pascal Clermont-Ferrand II, et Gérard Roche, Président du Conseil Général de Haute-Loire, et quelque 200 invités ont inauguré le nouveau site de l’école situé à Saint-Germain Laprade (Haute-Loire). L’Esepac a été créée en 1991 à l’initiative de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) du Puyen-Velay et d’Yssingeaux, en collaboration avec l’Université Blaise Pascal Clermont II. C’est même la première formation Bac +5 à avoir vu le jour en Haute-Loire. Plus de 500 étudiants ont été depuis formés. Dirigée par Louis Teyssier, Président, et Serge German, Directeur, l’Esepac propose deux formations Bac +5 et Bac +3 reconnues au niveau européen : le Master Ingénierie Packaging (niveau I) prépare au poste d’Ingénieur Packaging ou de Chef de Projet Emballage ; la Licence professionnelle Technologie Emballage (niveau II) forme aux postes techniques

liés à l’emballage. L’Esepac a construit son développement sur une relation étroite entre le monde de la formation et celui de l’entreprise. C’est pourquoi l’école partage ses murs avec la Maison de la jeune entreprise (MJE) qui accueille des start-up. La formation en alternance permet enfin aux salariés des fabricants d’emballage, des distributeurs et des utilisateurs d’emballages de tous les secteurs de compléter leur formation. Henri Saporta

En chiffres

101

C’est l’effectif en étudiants de l’Esepac à la rentrée 2010/2011.

75 %

L’offre Smurfit Kappa, c’est l’expertise packaging au service de votre savoir faire.

C’est la part du budget issue de la taxe d’apprentissage.

10 000 euros

C’est le coût de la formation annuelle d’un étudiant.

6 mois

C’est le délai maximum observé pour que 91 % des étudiants trouvent un emploi.

150 000 euros

C’est le budget annuel consacré aux investissements pédagogiques et de recherche.

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5 avril 2011

ROLL N BLOW SUR INTERPACK Serac expose la technologie de «thermoformage tubulaire vertical» de bouteilles développée par Agami. Appliquer à la fabrication des bouteilles le principe de la feuille laitière extrudée utilisée pour les pots de yaourt : c’est l’idée de Stylianos Eleftheriou, fondateur de la société Agami, implantée à Vitré (Ille-et-Vilaine), et inventeur de la machine Roll N Blow. En tant qu’ancien de Tetra Pak et d’Arcil avec, au total, 15 ans d’expérience, Stylianos Eleftheriou, ingénieur diplômé de l’École nationale supérieure d’agronomie et des industries alimentaires (Ensaia) de Nancy (Meurthe-et-Moselle), s’est livré à une synthèse de plusieurs technologies pour parvenir à une solution innovante. Le principe ? À partir d’une feuille en polystyrène (PS), en polyvinyle de chlorure (PVC), en polypropylène (PP), en polyéthylène téréphtalate (PET) amorphe, mais aussi multicouche pour les barrières, voire en acide polylactique (PLA), un tube est formé. Il est ensuite soufflé dans un moule. C’est le «thermoformage tubulaire vertical». Le procédé comporte cinq grandes étapes : le déroulage du film, le découpage de la bande, la formation du tube autour d’une canne de soufflage, la soudure longitudinale par ultrason et enfin la phase de soufflage du film chauffé. Dans la mesure où le coefficient d’étirage du matériau est très faible, soit un facteur 2 contre un facteur 5 dans le yaourt ou 20 dans les solutions de thermoformage standard, un film d’une épaisseur de 0,6 millimètre suffit. D’une contenance de 100 à 500 ml, les bouteilles sont donc très légères mais suffisamment rigides.

FFS Les avantages du procédé sont nombreux. À commencer par la logistique : pour un camion de bobines Agami, il faut 5 à 6 camions de préformes ou 25 à 30 camions de bouteilles préformées. Sur le plan des outillages, plus besoin de moules pour les préformes tandis que la machine est très simple d’emploi. Côté matériaux, les épaisseurs sont réduites au maximum. Au

À partir d’une feuille en plastique découpée en bandes qui sont ensuite formées en tube, la machine Roll N Blow imaginée par Stylianos Eleftheriou, fondateur de la société Agami, permet de fabriquer des bouteilles par «thermoformage tubulaire vertical». La machine, exposée sur Interpack sur le stand de Serac, atteint la cadence de 7 000 pièces par heure sur quatre pistes.

plan énergétique, le soufflage se fait à basse pression – moins de 6 bars – et à une température inférieure à 150 degrés. Très économique ! Sur le plan du conditionnement, la fabrication du contenant et son remplissage peuvent se combiner selon le principe du «form, fill and seal» (FFS). La fermeture est assurée par un bouchon à vis et/ou un opercule. Roll N Blow autorise, au final, des économies de 30 à 50 % pour des bouteilles de 100 ml.

Produits laitiers La cadence de production s’étage de 7 000 – sur 4 pistes – à 20 000 bouteilles par heure. Les projets à court

terme portent sur l’utilisation de bandes préimprimées pour produire des bouteilles décorées. Protégé par plusieurs brevets, Roll N Blow est issu d’une longue phase de maturation officiellement entamée en 2007. Fondé en 2009, Agami a bénéficié du soutien d’Oseo à hauteur de 195 000 euros en tant que création d’entreprise innovante. En 2010, l’entreprise a effectué une levée de fonds de 500 000 euros auprès de Bretagne Jeunes Entreprises (BJE) et de la Société Financière Lorient Développement (SFLD). L’accompagnement technique est assuré par la société d’ingénierie Diatec implantée à Vitré. Serac, qui détient 10 % du capital d’Agami, exposera la machine lors de la prochaine édition d’Interpack du 12 au 18 mai 2011 à Düsseldorf, en Allemagne. Les marchés visés sont ceux des produits laitiers à boire ou encore des jus de fruits. Des contacts sont en cours… Henri Saporta

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SAPPI LANCE FUSION Ce papier de couverture est un white top liner apte au contact alimentaire. Avec son nouveau white top liner apte au contact alimentaire baptisé Fusion, Sappi Fine Paper Europe (SFPE), division du papetier sudafricain Sappi établie à Bruxelles, en Belgique, lance un papier de couverture de nouvelle génération pour l’emballage en carton ondulé et la transformation. Un marché sur lequel il n’est pas présent en Europe. Issu de fibres vierges, ce papier très blanc, couché et calandré, offre un état de surface qui permet de garantir une haute qualité d’impression et un large rendu chromatique. D’autant plus que la flexographie, procédé d’impression largement utilisé dans ce domaine, est rapidement montée en qualité ces dernières années… Conçu pour s’adapter aux différents besoins des transformateurs, ce papier est disponible en bobines ou en feuilles en épaisseurs de 130, 140, 160 et 180 grammes par mètre carré adaptées aux profils de cannelure G, F, E et B. À noter que Sappi ne fait pas de distinctions tarifaires entre les grammages afin que le choix du papier se fasse réellement en fonction du besoin. Les devis s’en trouventsimplifiés. Responsable marketing « New Business » de Sappi, Kerstin Dietze souligne les avantages de Fusion : « son éclat et sa blancheur permettent une excellente reproduction des couleurs, alors que son comportement exceptionnel sur les lignes de transformation assure une production rapide tout en souplesse ». Le papetier garantit des délais de livraison de dix jours à partir du stock de bobines. Pour fabriquer Fusion, qui bénéficie des certifications de gestion durable des forêts Forest Stewardship Council (FSC) et/ou du Programme for the Endorse-

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Spécialiste du prêt-à-vendre (PAV) et des présentoirs en carton ondulé, le néerlandais Holbox a été l’une des premières entreprises à adopter le papier Fusion. Holbox pourrait basculer tout son top liner en Fusion en raison de l’excellente qualité d’impression qui séduit les marques.

ment of Forest Certification (PEFC), Sappi utilise la pâte fabriquée dans son usine allemande d’Alfeld, qui est certifiée ISO 14001 et conforme aux critères de la certification Eco-Management and Audit Scheme (Emas).

Propriétés mécaniques Plus cher à l’achat qu’un papier de couverture standard, Fusion doit faire la preuve de son avantage économique sur l’analyse du coût total.

Sappi met donc en avant les excellentes propriétés mécaniques de son papier. Sa machinabilité réduit notamment les casses avec, à la clé, une baisse des arrêts de machine et des phases de nettoyage. L’imprimeur allemand Heidenreich Print dit ainsi avoir vu sa productivité augmenter grâce à la diminution des séquences de dépoussiérage. Hendrik Heidenreich, le directeur général de l’entreprise, explique : « lorsque nous utilisions une couverture GD, un lavage s’imposait toutes les 2 000 à 4 000 feuilles. Avec Fusion, nous ne nettoyons plus que toutes les 10 000 voire 20 000 feuilles, selon l’encrage. Nous pouvons travailler plus longtemps, d’où de sérieuses économies. » Avec Fusion, Sappi s’adresse naturellement aux marchés sur lesquels l’impact en rayon e t l e m a r ke t i n g jouent un rôle déterminant. Comme c’est le cas pour la mise en rayon, la publicité sur le lieu de vente (PLV) ou encore le prêtà-vendre (PAV)… Sappi s’appuie ainsi sur une étude récente du Britannique Pira intitulée « The Future of RetailReady Packaging to 2016 » qui montre que les volumes de PAV pourraient passer de 19 millions de tonnes en 2010 à plus de 24 millions d’ici 2016. Parmi les premiers utilisateurs de Fusion, Holbox, fabricant néerlandais de PAV, pourrait basculer tout son top liner vers cette nouvelle référence. Henri Saporta

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communiqué

PaPcart innovation, qualité, réactivité

ociété indépendante créée en 1947 et implantée en Loire-Atlantique, PaPcart s’est imposé comme le spécialiste de la transformation et de la personnalisation du carton. L’entreprise sert divers secteurs d’activité, tels que l’agroalimentaire, les vins & spiritueux - un secteur majeur pour Papcart qui est aujourd’hui leader français des conditionnements Bag-in-box de petites contenances (3 litres) - et la fourniture pour papeterie.

Savoir faire

Fortes de leurs expertises en termes de conception d’emballages, les équipes de Papcart maîtrisent toutes les matières carton et leurs applications : la micro - cannelure, le carton compact ou encore les matériaux complexés (carton / papier, film). Cette particularité leur permet d’élargir l’éventail de produits en y intégrant les contraintes techniques spécifiques à chaque secteur. Cette compétence multi-activités s’accompagne d’un parc machines complet et à la pointe de la technologie, fruit d’investissements majeurs (20 millions d’euros entre 2006 et 2010). L’usine principale de 51 000m2, implantée à Clisson (44), est divisée en trois unités de production autonomes. Papcart dispose notamment d’une hélio Bobst Champlain unique en France, dédiée au complexage, à l’impression, l’embossage, la coupe au repère et au bobinage. Le site abrite par ailleurs un centre logistique de 10 000m2 qui permet de gérer les commandes en temps réel par codes barres. Une autre usine, située à Jarnac (16), est dédiée au façonnage du carton - contre-collage, gaufrage, découpe, pose d’accessoires – et à la logistique.

au Service deS clientS

Dans le cadre de son activité Vins & Spiritueux, Papcart a conclu une alliance commerciale avec Chesapeake. Ce partenariat permettra de créer des synergies afin d’élargir les gammes de produits ainsi que les offres de services des deux sociétés. Le lancement de cette alliance a été marqué par la tenue d’un stand commun lors du dernier salon Pack & Gift, Porte de Versailles.

Pour accompagner le développement de ses clients, Papcart mise sur la réactivité, la qualité, la flexibilité. L’entreprise propose des prestations complètes, de la conception à la logistique. L’intégration d’un bureau d’études ainsi que d’un service Photogravure permet de réaliser des prototypes, d’élaborer des outils de découpe et d’assurer au client un suivi personnalisé avec un interlocuteur unique. L’équipement permet également de proposer des finitions (dorure, gaufrage) en grand format. Afin d’assurer une production d’emballages respectueuse de l’environnement, l’entreprise a obtenu en 2009 les certifications PEFC (Programme de reconnaissance des certifications forestières) et FSC (Forest Stewardship Council) qui privilégient une gestion durable des forêts. En se montrant soucieux de l’origine de ses matières premières, Papcart confirme ainsi son engagement pour l’approvisionnement de ses cartons.

PAPCART l Zone industrielle le Fief du Parc l B.P. 39217 l 44192 CLISSON CEDEX l Tél : 02 40 54 03 62 - Fax : 02 40 03 99 34 l www.papcart.fr

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Pesage Aseptique

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Des calages en mousse de champignon Ecovative Design propose un matériau en phase avec l’environnement.

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Biodégradables, compostables, d’origine végétale, fabriqués avec de l’amidon de maïs ou de pomme de terre, en pop-corn, en fibre de bois, ou réalisés à partir de vieux papiers : les articles de calage ont toujours représenté un laboratoire d’idées pour les fournisseurs en quête de matériaux « durables », ou – en tout cas – censés être plus en phase avec l’environnement que les plastiques traditionnels. Ecovative Design, une entreprise américaine, située près de New York, à Green Island, propose d’utiliser des sous-produits agricoles mélangés à de la mousse de champignon. Baptisé EcoCradle, son matériau est susceptible de protéger les produits des chocs et des abrasions comme le ferait une cale d’angle en polystyrène expansé (PSE) ou une plaque en mousse de polyuréthane (PU). Il est obtenu en insérant des déchets agricoles variés tels que de la paille de riz, des cosses de sarrasin, des tiges de coton, à l’intérieur d’un moule que l’on remplit ensuite avec du mycélium, la partie végétative du champignon composée d’un ensemble de filaments ramifiés. Une fois le moule fermé, ce réseau vivant de filaments va recouvrir

EcoCradle peut servir à caler le toner d’une imprimante.

et envelopper progressivement les déchets végétaux pour former, en absence totale de lumière et d’eau, un produit compact, de consistance mousseuse. Le procédé, complètement naturel, dure une petite semaine. Un bref traitement thermique permettra ensuite de stopper le développement des ramifications du mycélium et la production de spores, de manière à stabiliser le produit. Fait intéressant, à l’exception de ce traitement thermique, le procédé ne nécessite pas d’énergie ni d’adjuvants chimiques. D’après Ecovative Design, chaque cm3 d’EcoCradle contient environ 5 km de matériaux fibreux. Le fabricant d’ordinateurs Dell, qui s’est récemment converti à l’emballage en bambou, a déjà déclaré son intérêt pour ce matériau. Un matériau qui, faut-il encore le rappeler, est destiné à terminer son cycle de vie dans un composteur. Quant à Ecovative Design il cherche maintenant à diversifier les applications : cales d’angle, plaques de protection, coques pour bouteilles de vin… Tiziano Polito

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Salon

Le CFIA a fait le plein Emballages Magazine vous propose une synthèse des tendances du dernier Carrefour des fournisseurs de l’industrie agroalimentaire. Pour sa quinzième édition qui se tenait du 15 au 17 mars 2011, le Carrefour des fournisseurs de l’industrie agroalimentaire (CFIA) de Rennes (Ille-et-Vilaine) a tenu toutes ses promesses. Un marché en reprise, des exposants satisfaits, des visiteurs au rendez-vous et des Trophées de l’Innovation très suivis : tous les indicateurs étaient au vert. Les pages qui suivent donnent un aperçu des tendances. Pourtant, en raison des hausses combinées des matières premières agricoles et des matériaux pour l’emballage et le conditionnement, cette édition se tenait dans un contexte très particulier pour la filière agroalimentaire. Les négociations commerciales entre la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution (FCD) et l’Association nationale des industries alimentaires (Ania) ont, en effet, été particulièrement tendues ; elles ont abouti à

une hausse moyenne des prix de l’ordre de 2%, un chiffre qui cache des disparités importantes. Parmi les sources d’économies évoquées pour atténuer ces hausses, l’emballage est souvent cité.

Emploi Alors dans quelles mesures les fournisseurs peuvent-ils répercuter les augmentations : la question est très sensible et les réponses sont variées. Pour certains exposants, passer les hausses pour tout ou partie est tout simplement une question de survie, les acheteurs comprennent le message… La substitution de matériau est également une piste : l’arbitrage entre du polyvinyle de chlorure (PVC) aujourd’hui deux fois moins cher que du polyéthylène téréphtalate (PET) semble se poser. La maîtrise technique et l’économie de matériaux sont aussi souvent mises en avant… Pour

d’autres, la question se pose autrement : tant sur les plans technique que marketing, l’emballage est un composant indispensable qui détermine le positionnement du produit auprès du consommateur. Le prix s’intègre alors dans cette démarche de valeur ajoutée. Reste que des entreprises font vraiment face à des difficultés de trésorerie, c’est une réalité préoccupante. Un second point revient sur le salon de façon récurrente : l’emploi. En raison de conditions de travail parfois difficiles, les entreprises agroalimentaires ont toujours beaucoup de mal à recruter. C’est pourquoi l’automatisation et la recherche de solutions ergonomiques sont au cœur des développements des fournisseurs de machines et d’équipements : de nombreux dossiers des Trophées de l’Innovationen témoignent. Henri Saporta

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83 dossiers aux Trophées de l’innovation

Marel Stork Food Systems France a obtenu un Trophée de l’Innovation dans la catégorie «emballages et conditionnements».

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Un très bon cru ! 83 dossiers, dont 16 dans la catégorie emballages et conditionnements, concouraient, en effet, aux Trophées de l’innovation du Carrefour des fournisseurs de l’industrie agroalimentaire (CFIA) 2011

à Rennes (Ille-et-Vilaine). Les prix ont été remis lors de la soirée du 15 mars qui a été l’occasion de marquer les 15 ans du salon. Dans la section « emballages et conditionnements », Marel Stork Food Systems France est récompensé pour son système de mise en barquettes automatique de saucisses en boyau naturel, végétal ou collagène, très compact et peu consommateur d’eau. Gault et Frémont est nommé pour son moule de cuisson Bio Food Pack en papier sulfurisé, ainsi que Mondi Coating pour le sachet Zip & Valve adapté à la cuisson vapeur au microondes de produits secs, déshydratés ou précuits. Dans la catégorie « ingrédients et PAI », a été primé Mane, pour Sense Capture Unami, une alternative naturelle aux exhausteurs de goût, tandis qu’ont été nommés Roquette Frères, pour la boisson végétale Vegboost, et Limagrain. Dans la section « qualité, hygiène, services », Panelco Plasteurop obtient un trophée pour ses panneaux de rénovation Renoplast. Sont nommés Realco et Still, pour le transpalette électrique Citi by Still. Enfin, dans les « équipements et procédés », le lauréat est Sairem pour ses Labotrons, des systèmes micro-ondes permettant l’extraction d’additifs alimentaires d’origine naturelle. Sont nommés Guelt, pour sa poutre de manutention PMG 2000 pour hachoir, Berthold et Buscher Vaslin.

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Priorité au Concret sur le CFIA Dans un contexte de flambée des matières premières, les fabricants d’emballages se montrent très pragmatiques. Ils jouent sur les fonctionnalités, les coûts et l’éco-conception.

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Quatre mois après Emballage, à Paris, et deux mois avant I n t e r p a c k , à D ü s s e l d o r f (Allemagne), personne ne s’attendait à découvrir sur le Carrefour des fournisseurs de l’industrie agroalimentaire des innovations marquantes, sauf chez les exposants qui ne seront pas présents en mai outre-Rhin. De surcroît, les fabricants d’emballages affichent un certain attentisme tant ils s’interrogent face à la flambée des prix des matières premières, difficiles à répercuter auprès des clients et de la grande distribution et qui pourraient compromettre l’activité de certains d’entre eux. Le pragmatisme inspire donc les développements : il s’agit d’apporter des réponses intelligentes ou astucieuses à des questions concrètes, sur le plan tant des fonctionnalités que des coûts et/ou de l’environnement. Dans les emballages souples, c’est le cas de Cryovac avec le film d’operculage New Gen Lid antibuée et haute barrière pour barquettes sous atmosphère modifiée, de 25 microns d’épaisseur. De 20 à 50% plus léger et plus fin que les laminés classiques, il permet de proposer des métrages plus importants, générant ainsi moins d’arrêts machine pour les changements de bobine. La société américaine a éga-

Le film d’operculage New Gen Lid de Cryovac pour barquettes sous atmosphère modifiée, de 25 microns d’épaisseur, est de 20 à 50% plus léger et plus fin que les laminés classiques. Avec des métrages plus importants, il génère moins de changements de bobines.

quette Torus Pak, dotée d’un fond amovible, se vide par le bas afin de conserver dans l’assiette la présentation initiale des plats cuisinés. CGL Pack a imaginé Clipseal, une barquette refermable sans couvercle : l’opercule se repositionne facilement grâce à un système thermoformé qui maintient le film bien tendu. Picard Thermoformage et son agence de design MDP déclinent une solution élaborée pour SVA Jean Rozé. Il s’agit d’une barquette micro-ondable en polypropylène (PP), imitation d’une marmite en fonte, au format familial d’un kilo. Et Superfos allège les pots de crème fraîche avec le SuperLight en PP injecté, aux parois de 0,35 mm et 30% plus léger qu’un pot standard.

Les box, toujours lement mis au point le sac rétractable BN3050 qui améliore la présentation de la volaille notamment, tout en permettant une totale automatisation du conditionnement et en réduisant les déchets d’emballage. Sirane remplace le scellage à chaud par une fermeture adhésive sur les sacs Sira-Seal-and-Cook de cuisson à haute température, à étanchéité garantie, associant polyéthylène téréphtalate (PET) amorphe et cellophane. Viandes ou poissons sont prêts à être servis à la sortie du micro-ondes ou du four traditionnel. De son côté, Mondi a intégré des valves dans le zip à pression du sachet à maintien vertical Zip&Valve, destiné au réchauffage au micro-ondes du riz, des soupes ou des sauces. La taille et le nombre de valves peuvent varier pour ajuster la pression au produit. Dans les emballages en plastique rigides, l’approche est identique. Développée par Innovative Design of Scandinavia, la bar-

Le sachet souple tenant debout Zip&Valve de Mondi Consumer Bags & Films, à valves intégrées dans le zip, a été conçu pour la cuisson au micro-ondes de produits secs, déshydratés ou précuits.

Les cartonniers ne sont pas en reste. Nouveau venu sur le CFIA, Rapak met en avant le système à double membrane Intasept de transfert aseptique de liquides en caisse-outre, ainsi que le caractère écologique du Bag-in-Box avec le logo « BIB vert ». Pour la poudre d’amidon, Emin Leydier substitue le mini-container Elytra aux fûts cylindriques multimatériaux. Avec son fond automatique, il se monte rapidement. Il est équipé d’une cale en « U » de renfort pour compenser la pression de la poudre une fois conditionnée, et d’un système d’inviolabilité. Pour La Toque Angevine, Smurfit Kappa Siemco a doté un emballage de burger d’un pan droit qui permet de le positionner debout en rayon. Enfin, le marché des box stimule toujours les fabricants. Le groupe Lacroix, avec Lacroix Emballages, pour l’étui, et Plasti-Lax, pour le pot, y entre à l’occasion du lancement d’un petit format de la PastaBox de Sodebo. A&R Carton a réalisé un étui plus qualitatif, fermé par une étiquette et une languette, celle-ci permettant d’en arracher le sommet. Une illustration supplémentaire de la créativité des fabricants, quel que soit le contexte. Arnaud Jadoul

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Machines : la souplesse à l’honneur au CFIA Les constructeurs améliorent les changements de format en recourant à des systèmes de changement d’outillage automatiques, en intégrant les robots et en facilitant le nettoyage de leurs équipements.

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une solution qui s’adresse au marché des collectivités, à l’industrie agroalimentaire voire à la grande distribution, où l’on a toujours plus tendance à remplacer les barquettes filmées avec l’operculage », commente Pierre-Yves Berthe, directeur général de la société. La robotique était très présente à Rennes. Le robot remplace l’homme dans des tâches aliénantes et répétitives, comme dans des opérations de pick and place – fréquentes dans le conditionnement de produits alimentaires – et le soulage des tâches pénibles, et dangereuses, de soulèvement de charges, comme dans l’encaissage ou la palettisation. Le robot augmente aussi la souplesse des machines parce qu’il répond rapidement à de nouvelles configurations de production. L’homme et le robot peuvent maintenant mieux travailler

ensemble : « Nous nous dirigeons vers la co-robotique. L’intelligence de l’homme est mise à contribution au plus près du robot ; l’opérateur lui montre exactement ce qu’il doit faire », indique JeanFrançois Germain, directeur des ventes chez Kuka. Le roboticien allemand exposait sa nouvelle armoire de commande KR C4, qui intègre la fonction sécurité en standard. Que ce soit au niveau de la mécanique, grâce à un double système de mesure, ou au niveau du contrôle grâce à un processeur multi-cœur, toutes les fonctions de sécurité ont été doublées. Ce degré de redondance permet à l’opérateur de s’approcher du bras robotisé pour observer le fonctionnement d’un outil de préhension ou pour vérifier une trajectoire. Les roboticiens semblent aussi mieux répondre aux exigences de leurs clients de l’ali-

Mecapack et Mettler Toledo partenaires Une ligne d’operculage équipée d’une station de pesage-étiquetage : Mecapack et Mettler Toledo s’associent à l’occasion du salon CFIA en présentant une solution de conditionnement complète qui pourrait trouver preneur aussi bien chez l’industriel de l’agroalimentaire que dans l’arrière-boutique d’un supermarché pour le conditionnement des préemballés. Mecapack a apporté son savoir-faire dans l’operculage, en mettant à disposition la S 3500 Flex, une machine capable de produire jusqu’à 1390 barquettes par heure en mode « vide et gaz » équipée d’un système de changement d’outil automatique. Mettler Toledo, quant à lui, a placé, en aval de cette machine le module ET4420 capable de peser, puis d’imprimer les étiquettes poidsprix qui sont ensuite collées sur la barquette.

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Pas d’innovations de rupture, peu de gros lancements mais beaucoup d’améliorations du côté des machines d’emballage et de conditionnement sur le CFIA. Il est vrai que quatre mois après Emballage 2010, qui a eu lieu à Paris en novembre dernier, et deux mois avant la grand-messe d’Interpack, qui se tiendra à Düsseldorf, en Allemagne, à la mi-mai, les constructeurs ont du mal à maintenir la cadence. Pourtant, comme d’habitude, ils étaient très nombreux à exposer à Rennes, dans le cadre d’un salon à taille humaine qui répond à leurs attentes car « bien ciblé sur son marché » et parce qu’ils y rencontrent des contacts « porteurs de vrais projets ». L’occasion de leur montrer que les changements de format sont toujours plus aisés sur les machines d’emballage. Pour faciliter cette opération, Guelt, a équipé son operculeuse automatique Premium 2000 d’un magasin « en barillet » dans lequel sont rangés les outillages supérieurs – quatre en tout. Il suffit d’appuyer sur la commande de changement de format, sur le pupitre, pour que l’une de ces plaques en métal de plusieurs kilos se mette en place automatiquement, en à peine 7 secondes. L’opérateur n’aura plus qu’à placer la lunette inférieure, située à portée de main dans un rack. « Les outillages sont tout de suite opérationnels parce qu’ils sont déjà préchauffés par la machine à l’intérieur de laquelle ils se trouvent », précise Eric Le Normand, responsable technico-commercial de l’entreprise bretonne. Mecapack proposait, lui aussi, avec la S 3500 Flex, un modèle d’operculeuse incorporant un dispositif automatique de permutation d’outillage supérieur. Le constructeur vendéen promet un changement de format complet en deux minutes contre quinze sur une machine standard. « C’est

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mentaire. C’est par exemple le cas de Fanuc qui exposait le M-710iC, un robot polyarticulé à six axes, pour le transport de charges lourdes (50 à 70 kg), en version « Primary Food » utilisant un lubrifiant alimentaire, doté de joints tournants et visserie en inox, et traité anticorrosion. Schunk, pour sa part, a développé un outil de préhension qui pourrait prendre place sur un robot de plus petite taille, par exemple un robot delta. Particularité ? Il est fabriqué en polyamide PA 12, un matériau compatible au contact alimentaire, par frittage laser, une technologie offrant des délais de fabrication courts et permettant la réalisation de formes complexes, pour mieux manier des produits fragiles.

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Machines et équipements s’adaptent aux exigences de l’industrie alimentaire

L’operculeuse Premium 2000 de Guelt possède un barillet dans lequel sont rangés quatre outillages à changement automatique.

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Tiziano Polito

L’armoire KR C4 de Kuka comporte des fonctions de sécurité redondantes permettant à l’opérateur de s’approcher au plus près du robot pour vérifier son fonctionnement.

Le préhenseur de Schunk est fabriqué en quelques heures par frittage laser en polyamide PA 12, un matériau compatible avec les produits alimentaires.

La trieuse pondérale CWP Neptune de Bizerba a été conçue selon des principes de conception hygiénique afin de faciliter le nettoyage.

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La conception hygiénique d’une machine, le fait que celle-ci puisse être nettoyée rapidement entre deux campagnes de production, participe à la demande de souplesse des clients de l’industrie alimentaire. Les équipements qui ne présentent pas un indice de protection IP 65 ou 67, qui ne sont pas construits en Inox, ou qui présentent des surfaces peintes se font d’ailleurs toujours plus rares. Il s’agit aussi de proposer des machines facilement démontables, plus accessibles. La dernière trieuse pondérale CWP Neptune de Bizerba se veut exemplaire en matière d’hygiène. Conçue selon les recommandations de l’European Hygienic Engineering Design Group (EHEDG), cette machine, qui sert à peser les produits en mouvement sur un convoyeur, est fabriquée avec un minimum de pièces apparentes en vue de réduire les rétentions de produit, pouvant ensuite entraîner la formation de bactéries. Toutes les surfaces sont lisses et inclinées ; le lavage s’effectue au jet d’eau, même à haute pression. Notons enfin chez Multipond le développement d’un revêtement profil fraisé pour limiter la surface en contact avec les produits sur la peseuse associative. Le constructeur allemand a cherché lui aussi à faciliter le démontage des nombreuses pièces qui composent la machine (bennes, canaux vibrants, cône de distribution) afin de faciliter le nettoyage et permettre au conditionneur d’enchaîner, rapidement, sur une nouvelle campagne de production.

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congrès

L’INDP imagine les packagings de demain E-commerce et développement durable étaient les fils conducteurs du congrès annuel de l’association.

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Le congrès Pack Design avait lieu cette année à Poitiers (Vienne).

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Le 31 mars 2011, l’Institut national du design packaging (INDP) tenait son congrès annuel à Poitiers (Vienne). Pour cette huitième rencontre intitulée « packaging et cultures de consommation », l’e-commerce et le développement durable étaient les thèmes principaux de la journée. Après une conférence d’introduction de Fabrice Peltier, président de l’INDP, une table-ronde mettait en avant la croissance fulgurante de l’e-commerce et les besoins de ce marché. « En Europe, l’e-commerce représente 118 milliards d’euros en 2010, explique Didier Cosset, La Poste. Les 300 premiers sites d’ecommerce en Europe ont vu leurs ventes augmenter de 17 % en 2010. » L’e-commerce nécessite une nouvelle approche du packaging. « Pack, produit et marques sont beaucoup moins liés que dans le circuit traditionnel. La lecture du pack est différente. Le consommateur ne peut pas manipuler l’emballage comme dans un rayon, constate Guy Etcheto, dirigeant de Preuves de marques. Par exemple, tous les produits sont souvent présenter sur les sites sur des photos de même tailles. » Pour Jean-Paul Cornillou, responsable de la filière branding et packaging au Strate Collège Designers, « l’e-packaging n’existe pas. Il n’y a pas à ce jour de retranscription packaging sur le web. Les sites marchands présentent peu de dynamisme et peu de mise en situation. » Florence Durand-Baudrit de l’agence Beezart Communication, croit au potentiel de la réalité augmentée : « la réalité augmentée va beaucoup plus loin que ce que l’on en fait actuellement avec le packaging. » L’e-packaging pourrait avoir deux vies commerciales : « une à la vente, sur le site, et une à la réception du colis, poursuit Guy Etcheto. L’expérience au déballage pourrait être beaucoup plus forte. La création d’un e-packaging renforce les fondamentaux du design packaging : hiérarchisation, différenciation… » Et un design différenciant aide à faire

connaître une marque, c’est le cas d’Oorain Brands Victoria qui développe des produits autour du sirop d’érable. « Parti d’un produit en 2005, nous en commercialisons désormais une quinzaine dans les épiceries haut de gamme », explique Olivier Orain, fondateur de la marque.

Différenciation Parmi les tendances sociétales exposées par Dominique Weizman, DW Consulting, citons la personnalisation des objets, le « customer made » mais aussi le « story telling », le besoin d’être séduit par l’histoire que va raconter l’objet, le besoin d’optimisme et bien sûr, la demande de produits plus respectueux de l’environnement. « La prise de conscience écologique est forte. Selon une étude Ipsos, 54 % des Français pensent que les entreprises n’en font pas assez. L’éco-conception est un sujet très complexe qui soulève beaucoup de questions techniques. La simplification

est souvent difficile. Il faut arriver à être pédagogique pour mieux expliquer aux consommateurs les démarches réalisées », constate Brigitte Kahane, fondatrice de l’Observatoire de l’eco-design. Même les PME peuvent développer des produits écoconçus, c’est le cas de Léa Nature, groupe familial qui propose des produits bio. « Sur notre marque LéaNature So’bio Etic, nous conditionnons un gel douche dans un flacon en plastique recyclé, explique Gilles Maray, responsable dévoloppement emballages cosmétiques de Léa Nature. Nous avons aussi un mascara dont le capot est réalisé en BioMax de DuPont. » Sandra Martin de FuturaMat a présenté les bioplastiques développés par la société et ses applications comme le Polywood de CGL Pack. L’intervention de Jean-Christophe Boulard, délégué général de l’INDP, a clôturé cette journée. Le prochain congrès aura lieu à Saint-Etienne (Loire) en 2012. Mirabelle Belloir

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Mésopotamie 0328520059 - Crédit photos : Fotolia - Identité de marque NIKITA

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dans le cadre de la stratégie régionale d’innovation, (l’une des priorités du schéma régional de développement economique), J’innove en Nord-Pas de calais est cofinancé par l’etat, la région, le département du Nord, oséo, l’union européenne. J’innove en Nord-Pas de calais fédère l’ensemble des organismes qui soutiennent l’innovation et la valorisation de la recherche sur l’ensemble du territoire régional.

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mécanisation

B&R Automation accroît ses capacités photo dr

L’autrichien s’est donné les moyens de produire trois fois ce qu’il produit actuellement, avec l’objectif de réaliser 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2018.

Curieuse histoire que celle de B&R Automation. Alors que la crise sévissait, en 2009, et que la plupart des entreprises industrielles un peu partout dans le monde, sauf peutêtre en Chine, en étaient à se demander comment adapter leur outil de produc tion pour faire face à une demande qui ne cessait de fléchir, le fabricant d’automa tismes entamait un ambitieux programme d’expansion de son usine de Eggelsberg, en Autriche. « À l’époque nous étions le

Repères Chiffre d’affaires 2010 : 360 millions d’euros (+47% sur 2009) 2 300 salariés Production ANNUELLE : 130 000 contrôleurs 100 000 panels PC 120 000 entraînements soit 120 000 machines équipées Export : 35% du chiffre d’affaires est réalisé hors UE 22 filiales à l’export 168 bureaux à l’étranger R&D : 15% du chiffre d’affaires 300 nouveaux produits développés en 2010 300 ingénieurs en R&D

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seul site industriel en construction dans toute la région », se souvient, avec un sou rire à peine voilé, Peter Gucher, directeur général de l’entreprise. Au total, six nou veaux bâtiments, dont deux centres de production supplémentaires, un magasin avec des rayonnages de grande hauteur, ainsi qu’un édifice appelé « automation academy » pour la formation des colla borateurs et des clients ont été érigés au milieu des vertes vallées de cette région située à quelques kilomètres de Salzburg. L’automaticien dispose maintenant de trois ateliers de production d’une surface totale de 46 000 m2 et d’un entrepôt de 7 000 m 2 complètement automatisé pouvant accueillir pas moins de 22 000 palettes en racks. « En 2010, nous avons réalisé un chiffre d’affaires de 360 millions d’euros. Grâce aux investissements effec tués, nous pouvons théoriquement réaliser trois fois ce chiffre car nous disposons de toute la place nécessaire pour accueillir de nouvelles lignes de production », indique Peter Gucher. Plus de 50 millions d’euros ont été dépensés dans ce programme qui s’est étalé sur deux ans, de 2009 à 2010. Et B&R ne cache pas ses ambitions : réaliser un milliard d’euros de chiffre d’affaires à l’échéance 2018. Le secteur des machines d’emballage et condition nement, qui représente entre 15 et 20% de ses débouchés, constitue un axe de développement fort, au même titre que l’industrie de l’impression, les machines à bois, la plasturgie.

Le site de Eggelsberg, en Autriche, a été complè tement rénové entre 2009 et 2010. Il intègre maintenant un atelier de 46 000 m2 et un entrepôt automatisé pouvant accueillir 22 000 palettes en rack.

Pour atteindre ses objectifs de croissance l’entreprise autrichienne ne possède pas de recette miracle. Elle envisage tout sim plement de poursuivre la stratégie qu’elle s’est fixée il y a quelques années, à savoir continuer de proposer à sa clientèle une offre intégrée, accroître son internationa lisation, investir dans la Recherche et le Développement (R&D). Les opérations de croissance externe ne semblent pas, pour l’heure, représenter une priorité.

Force de proposition L’offre intégrée, à savoir le fait que B&R soit une force de proposition sur l’ensemble des automatismes qui équipent une machine de production, des panels aux moteurs en passant par les systèmes de contrôle-commande, la sécurité, l’intelli gence entrées/sorties (E/S) et les logiciels qui régissent ces systèmes, constitue la clé de voûte de sa stratégie. « Nous sommes le seul fournisseur à proposer un logi ciel unique, capable d’intervenir à la fois sur les fonctions de contrôle, d’interface homme-machine, de mouvement, de pro grammation en réseau et de diagnostic » note Peter Gucher. Et d’ajouter : « Grâce à notre concept d’architecture intégrée, les fonctions de mouvement de la machine, de la coordination des axes, au contrôle numérique en passant par la robotique

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photos dr

Production Tous les produits de B&R sont fabriqués à Eggelsberg. 1 soudage des composants 2 assemblage 3 contrôle 4 marquage des pièces

peuvent être gérées à partir d’un unique processeur ». Fait intéressant, si l’offre de B&R est intégrée, sa production l’est tout autant. En effet, tous les produits dévelop pés par l’entreprise, soit 10 000 références en tout entre cartes d’axes, variateurs et autres panels de contrôle, sont intégra lement conçus et fabriqués à Eggelsberg. Près de 400 000 cartes électroniques sont produites chaque mois dans ses ateliers sur 8 lignes CMS (Composants Montés en Surface) ultra-automatisées, à partir de 60 millions de composants (puces, condensateurs, connecteurs). Chaque produit est ensuite contrôlé, assemblé, incorporé à son boîtier, marqué, emballé puis stocké. « Depuis le début de l’année, les ateliers fonctionnent à plein régime. La demande est tellement forte que nous tournons en 4x8 », se félicite Thierry Corneux, responsable du marché français. Très tourné sur le marché européen, qui représente 65% de ses ventes, B&R Automation devrait logiquement pou voir grappiller des points de croissance au grand export, en Chine et en Inde notamment et en Amérique du Sud, des régions où la demande, déjà forte, devrait

rester soutenue au cours des prochaines années. L’international demeure, en tout cas, au cœur de la stratégie de l’automati cien qui peut déjà compter sur un réseau de 22 filiales et de 168 bureaux à l’étran ger. « Nous aimerions ouvrir une nou velle filiale à l’étranger chaque année », observe Peter Gucher. Et de citer le cas des pays vastes qui comme les ÉtatsUnis ou la Chine, nécessitent la création de plusieurs antennes locales (24 et 9 respectivement), pour « être au plus près des clients ». Dans un but, justement, de qualité de service, B&R a mis sur pied deux hubs internationaux, à Atlanta (États-Unis) et à Shanghaï (Chine), où il peut stocker ses produits, de manière à raccourcir ses délais de livraison. Enfin, en ce qui concerne la R&D, B&R qui déclare affecter chaque année 15 % de son chiffre d’affaires à ce poste, et emploie 300 ingénieurs qui se consacrent exclusivement à ces tâches (sur un effectif de 2 300 salariés), ne relâchera pas ses efforts en la matière. L’entreprise veut accroître le rythme déjà soutenu des innovations – 300 nouveaux produits en 2010 – et réduire le « time to market », à savoir le temps de mise sur le marché de ses produits, ce qui implique, un raccourcisse

ment des délais de conception. Il lui faut actuellement quatre mois en moyenne pour développer un composant et douze pour un logiciel. Reste maintenant à garder le cap, et à atteindre les objectifs annoncés. Le chemin est loin d’être facile car 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires à l’horizon 2018, c’est 15 % de croissance en moyenne par an au cours des huit prochains exercices. Tiziano Polito

Offre intégrée B&R développe l’ensemble des automatismes qui peuvent être utilisés sur une machine d’emballage : panels, moteurs, variateurs, systèmes de contrôlecommande, sécurité, entrées/sorties (E/S).

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alimentation 2

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photo émulsion

Ballotin

Des œufs pochés prêts à l’emploi : c’est ce que propose PEP (groupe Cecab) sous les marques Domaine des Genêts et Le Clos Saint Jacques. Ils sont conditionnés sous vide, dans des alvéoles individuelles, dans lesquelles ils se réchauffent en une minute au micro-ondes. Pour décorer la face avant du fourreau en carton, en forme de ballotin, l’agence vannetaise Les arbres fruitiers a choisi une photo en gros plan traitée comme si le produit apparaissait derrière une fenêtre, pour une présentation plus attrayante… et sans plastique.

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Cups fraîches

Leader des salades traiteur, Bonduelle renforce son offre avec la gamme Cup. Mais le légumier a privilégié les recettes – féculents, légumes et protéines – et la praticité. La fourchette, aux couleurs de la marque, jaune ou vert, est placée sous le fourreau, dont le décor est l’œuvre de Team Créatif. D’une contenance de 280 grammes, le pot en polypropylène – un standard d’Europlastiques – est transparent pour signifier la fraîcheur et l’appétence du produit, et induire une consommation froide. Les Cups sont produites sur une nouvelle ligne dans l’usine de SaintBenoist-sur-Vanne (Aube).

2 Poches à cocktail

La rupture dans les liqueurs modernes : pour relancer le segment, auprès des plus de 25 ans notamment, Ricard propose des cocktails Malibu prêts-à-servir dans une poche souple, sous vide. Composés d’un film multicouche métallisé barrière à l’oxygène, ces emballages souples de 1,5 litre, baptisés Mix Bags, sont fournis par le sud-africain Astropouch. L’agence The Brand Union a signé la création graphique.

Kraft local

Avec les Cocottes, St Michel met avant l’origine française, « made in local », de – presque – tous les ingrédients, ainsi que la naturalité, jusque dans l’emballage : le film, un complexe papier/ plastique, est constitué de kraft non blanchi, fabriqué en France à partir de sous-produits de la forêt des Landes. Un traité qui, selon l’agence de design Pulp, « rappelle le biscuit artisanal repensé dans la contemporanéité et de manière minimaliste ».

Identité

Heineken renouvelle son habillage graphique. Avec l’agence DBOD, le brasseur néerlandais a modifié bouteilles et boîtes. Plus léger de 10 grammes, le flacon de 25 cl est embossé, avec l’apparition d’une ellipse dans le col et d’un logo en relief au dos. À la prise en main, améliorée, la sensation est inattendue. De même sur la canette, produite par Ball Packaging Europe : l’effet est généré par un vernis « tactile », appliqué sur les encres, l’ensemble permettant de créer un nouveau grip et accentuant l’impression de fraîcheur.

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hygiène-beauté 4

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Fruité

Vitaminé

Pour lutter contre les premières rides, les LaboratoiresLierac ont élaboré la ligne Initiatic. Parmi les produits de cette gamme, le fluide Initiatic est une parfaite base de maquillage et assure un fini mat tout au long de la journée, selon la marque. Il est conditionné dans un flacon en verre d’une contenance de 40 ml. Celui-ci est laqué rose avec un effet métallique. Tout comme le flacon, la pompe et le capot noirs sont des standards développés et produit par l’Italien Lumson.

Givré

Polaar a mis au point un soin ultra-frais qui défatigue et redonne de l’éclat au contour de l’œil. Doté de 3 billes en acier inoxydable, le roll-on triple ainsi l’effet massage qui va favoriser le drainage de la zone et éliminer les poches sous les yeux. Le corps et le capot du roll-on sont en polyéthylène haute densité (PEhd). L’obturateur en Santoprene. Le roll-on est sérigraphié en deux couleurs et le capot est en plus métallisé. Ce packaging est fourni par Albéa.

Acidulé

Women’Secret propose une collection de maquillage printemps/été aux couleurs acidulées. Celle-ci a été conçue et réalisée par Maesa. Parmi les nouveautés estivales, trois baumes à lèvres sont conditionnés dans des boîtiers en ferblanc qui ont subi un traitement de surface pour les rendre compatible avec la composition des baumes. Le décor est réalisé en offset. La plaque est imprimée puis mise en forme par emboutissage. Au même moment, un embossage est réalisé sur le capot.

Envoûté

Emprise, la nouvelle fragrance d’Eau Jeune, s’inspire des charmes de l’Orient. Le capot reprend les formes de lanternes traditionnelles. Le design graphique du flacon en verre rappelle une queue de dragon. Ce décor est imprimé sur une étiquette fabriquée par JPL. L’étui en polypropylène (PP) est fourni par Cosfibel.

Une Olive en Provence propose une crème enrichie en huile d’olive vierge extra qui renforce la fonction protectrice de la peau. La marque a choisi un pot en forme d’olive pour rappeler l’ingrédient phare de ce soin. Le couvercle et le corps extérieur sont injectés en NAS acrylique, teinté vert « polyglass » (ultra-brillant) dans la masse. La cuvette et le couvercle intérieurs sont injectés en polypropylène (PP) translucide et laqués argent brillant sur l’extérieur. Un opercule en PP protège la crème. Sur le couvercle, la tige et la feuille sont injectées en PP teinté couleur argent dans la masse et laquées argent satiné. Les nervures de la feuille sont reproduites par une gravure dans le moule sur la face avant. Le logo de la marque est, lui, gravé en relief sur la face arrière. Dapy a conçu et produit ce pot.

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Ergonomie

Les packs dans la ligne de mire de « Votre Beauté »

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Frustration Les hommes aussi rencontrent parfois des soucis avec leur vaporisateur de parfum : « Il fait tomber son vaporisateur d’un jus de grande classe. Comme c’est du beau, du solide, du lourd, rien de cassé mais le piston est hors d’état. Il le tripote, le tortille, le tire. Rien. Pince crocodile en main, il tente de l’assassiner et brise le haut du flacon tout en lui faisant faire un vol plané. […] Dans sa frustration, une vaste perplexité : « Comment faites-vous, vous les femmes ? » Nous ? On se fait avoir année après année, génération après génération, on le sait, et on doit adorer ça ! », conclut la journaliste. Pas sûr que la consommatrice adore ça. Si un conditionnement n’est pas fonctionnel, elle n’aura pas envie de racheter le produit. Cet article rappelle que les packagings sont encore trop souvent source de frustrations. À l’heure où l’éco-conception est reine, il serait bon de ne pas oublier l’ergo-conception.

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La cosmétique pourrait s’en inspirer… si un mode d’emploi est réellement nécessaire pour expliquer l’application d’une crème anti-âge. Enfin, Loly Clerc fustige les pompes munies d’un système de verrouillage qu’elle nomme « pistons » dans son article. Nous excuserons cette erreur de vocabulaire d’une néophyte. « Toute nue sous le jet, je tourne le bec pour permettre l’action du piston. Gauche ? Droite ? Est ? Ouest ? Je m’escrime, je m’énerve. Le moment où il se débloque, c’est bien sûr dans ma trousse de toilette, ma valise, dans l’avion pour les vacances ».

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Une fois n’est pas coutume, un magazine féminin s’adresse aux équipes packagings. Partant de l’idée préconçue que les ingénieurs packaging, population encore trop fortement masculine, ne lisent pas la presse féminine ou tout du moins ne l’avoueront jamais, Emballages Magazine a décidé de relayer le « coup de gueule » de la rédaction du magazine Votre Beauté. Une « cosmétique colère » motivée par les conditionnements beauté peu pratiques. Pots, tubes, airless… aucun pack n’échappe à la critique du magazine féminin édité par le groupe Marie Claire. « J’ai deux mots à vous dire, flaconneurs, potiers, pipetiers, faiseurs de pistons et autres emballeurs ! », s’exclame la journaliste Loly Clerc. Son article résume toutes les frustrations des consommatrices face à des packs peu ergonomiques. Première cible : Les packagings sont en couverture du magazine Votre Beauté une huile de gommage condidu mois de mai 2011. tionnée dans un pack airless. « Il s’agit d’une huile de gommage. Elle contient donc de minuscules particules qui, groupées à la sortie, font obstruction puis sautent la solution basique : ouvrir et verser dans le sous la pression. Inventeur de cette for- creux de la main au mépris de toutes les mule, avez-vous pensé que l’orifice est précautions d’hygiène voulues par le fabritrop petit pour le contenu ? » Il ne sert cant. » L’article évoque aussi les pots en effectivement à rien d’avoir un packa- verre démesurément larges et lourds pour ging sophistiqué s’il n’est pas adapté le contenu. Puis la notice d’une crème antiau contenu. Une évidence, hélas sou- âge : « Aïe ! Vous avez remarqué la taille des vent oubliée. La journaliste cite un autre lettres sur le mode d’emploi ? Non ? Bonne exemple de conditionnement inadapté : chance, s’il ne vous faut pas une loupe ou un flacon à pipette. « Il offre un petit côté des lunettes à double foyer pour décrypter médical rassurant. Hélas ! tout n’entre le texte, c’est que vous n’avez pas besoin pas aisément dans une pipette. Par d’anti-âge. Équipes de packaging, penexemple, certains sérums denses. Pres- sez-y ! » En pharmacie, les caractères de sons, pressons… mais rien ne monte. Elle typographie utilisés sur les notices des émet des « blub » d’impuissance. Retour à médicaments devraient grossir d’ici peu.

Crédit photo : Studio Azambre - Conception et réalisation:

Aucun conditionnement n’échappe au coup de gueule du magazine féminin.

Mirabelle Belloir

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Contrôle

Alpha Mos MET ses sens AU SERVICE DE L’EMBALLAGE Le spécialiste des nez et langues électroniques lance de nouvelles applications de contrôle des matériaux de conditionnement. Et propose un outil d’analyse d’aspect. Gemini, du latin « jumeau », détermine la conformité olfactive du produit en comparant les odeurs qu’il dégage avec celles d’un produit référence, son « jumeau ». Les résultats sont disponibles en quelques minutes.

Les plus • la sensibilité, de l’ordre de parties par billion (ppb) • la mesure instrumentale, automatisée • le logiciel, pour ses outils d’analyse graphique.

L’INCONVÉNIENT photo dr

• le contrôle effectué hors-ligne, par échantillonnage L’idée est simple. Il s’agit d’imiter le fonctionnement du cerveau lorsqu’il analyse les perceptions recueillies au niveau de l’odorat, du goût et de la vue. Des perceptions qui, comparées à celles enregistrées dans notre mémoire, nous permettent de reconnaître un risotto aux truffes, l’arôme d’un bon café, le visage d’un ami. Alpha Mos s’est fait connaître pour ses nez électroniques. À l’instar des cellules sensitives situées à l’intérieur des cavités nasales, ils détectent les odeurs et les transmettent à un instrument qui procède par comparaison. Les relevés sont effectués en combinant plusieurs technologies : capteurs à oxydes métalliques, spectrométrie de masse par empreinte, chromatographie en phase gazeuse liquide. Le signal est ensuite traité par des algorithmes qui fonctionnent en logique « floue », puis comparé avec un référentiel sensoriel et chimique. « L’industriel peut se contenter d’évaluer un produit pour voir s’il est conforme ou bien procé-

der à une analyse plus poussée, consistant, par exemple, à quantifier chimiquement les néoformés », explique Jean-Christophe Mifsud, président de l’entreprise. C’est avec ces nez électroniques, mieux connus sous leurs dénominations commerciales Fox et Gemini, qu’Alpha Mos a commencé à sévir dans le secteur de l’emballage. L’entreprise a mis en service une cinquantaine de « renifleurs » dans ce domaine d’activité. Elle intervient chez des fabricants de résines comme Total et Borealis, des bouchonniers comme Closure Systems ou, en aval, chez des minéraliers comme SPA et Evian. « La qualité des plastiques peut engendrer des mauvaises odeurs et réduire, du coup, l’acceptabilité du bouchon pour le consommateur. Nos outils permettent de veiller à cet aspect », indique Jean-Christophe Mifsud. Il y a dix-huit mois, Alpha Mos a commencé à diversifier sa clientèle avec l’intention, aussi, de proposer des solutions visant à améliorer la sécurité des matériaux : analyse des conditionnements en papier-

Iris analyse l’aspect du produit. L’appareil combine une caméra CCD haute définition avec des logiciels de traitement d’image et d’analyse sensorielle.

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Un œil électronique

carton, afin de vérifier, par exemple, la présence de solvants ou d’huiles minérales ; contrôle du niveau de réticulation des vernis à l’intérieur des boîtes de conserve ; présence de toxiques. Une machine pour analyser les migrations de bisphénol A (BPA) est en préparation. Les langues électroniques Astrée fonctionnent selon le même principe. Elles permettent de déterminer si un matériau d’emballage a un impact sur le goût du produit. Dai-Ichi Packaging et Toppan, deux fabricants d’emballages japonais se sont équipés. La dernière nouveauté d’Alpha Mos se nomme Iris, alias l’œil électronique. Elle a été lancée il y a neuf mois. Initialement dédiée à l’analyse de l’aspect des produits (couleur, formes), en vue de déterminer la présence de certains ingrédients et de fournir des données sensorielles comme le côté appétissant, épicé, frais ou croustillant, la solution pourrait maintenant intéresser le secteur de l’emballage. C’est en tout cas ce qu’espère Jean-Christophe Mifsud : « Avec Iris nous essayons d’objectiver le côté socio-psychologique des perceptions pour mesurer l’attractivité visuelle d’un produit ». Et de conclure : « nous pouvons le faire avec un biscuit, nous ne devrions pas avoir trop de mal à le faire aussi avec un emballage ». Tiziano Polito

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Vivant à plus de 50% en ville, les habitants de cette planète aspirent à plus de nature et à s’entourer davantage de végétaux. Pour le packaging, l’analogie à la nature crédibilise et apporte une forte valeur ajoutée.

nemen le regard x transforme les environ lement r e ir t t A 4 végétau émotionnel résence de trayants et La seule p ellement at ngtemps.

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Envie de nature Monique Large Consultante en innovation et design. Auteur d’études de tendances avec un regard transversal sur une évolution sociétale, pour nourrir toute réflexion packaging.

s lo à la fois visu à rester plu de en espaces également te les affiches ci in cé i la u p q m ce re s a le ) fre if ab lle ti ch agré r son is (Bas d’augmente acie à Par is m er p t a i Ma pharm u ce q wa, un effe des plantes, aoto Fukasa N ar p it promo par u fr peau du 20%. qui imite la d’affaire de de boisson g in g ka ac s. yon Concept p dans les ra eur efficace différenciat e»

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sémiotique

Le bio ne cesse de se développer. Les codes, aussi nombreux et variés soient-ils, se doivent d’être innovants pour se démarquer. Plusieurs stratégies packaging émergent pour se distinguer du lot : en voici trois intéressantes.

Signification

Certains ne jurent que par le bio. Vivre, penser, acheter bio devient un réflexe, voire un mode de vie. Certaines marques fondent leur identité sur une sémantique dédiée à ce type de consommateurs. Tel est le cas de « Bio par cœur »... Visibilité

Tout dépend de l’expression choisie pour traduire la fidélité au bio. S’il s’agit d’une expression connue et courante comme « par cœur », la reconnaissance du mot sera rapide et la visibilité n’en sera que meilleure. Utilisation

Une stratégie de marque « état d’esprit » est utile pour une marque qui a vocation à s’étendre sur beaucoup de catégories de produit.

le décodage de marina cavassilas Marina Cavassilas, directrice de la société Semiopolis, dévoile un extrait de sa veille e-signs des codes et stratégies packagings. Les sens véhiculés par les packagings sont analysés avec la méthode Semio-pack et leur visibilité avec la méthode Ad’ttractive. www.semiopolis.fr

Me-too d’un code-marque non-bio à forte notoriété Signification

Le « mee-too » imite ou s’inspire fortement d’un code très spécifique issu du marché non bio mais totalement appropriable au bio. Il s’agit de la référence au code affectif de la « grand-mère » (cf. Bonne maman, Mamie Nova, Grand’Mère…). On a avec ce code une sorte de « Bonne Maman Bio ». Visibilité

Bonne car c’est un code connu et apprécié pour son pouvoir émotionnel et affectif. Utilisation

Permet d’associer sa marque et son produit à une marque connue et de jouir de sa notoriété.

Les saveurs en ligne de mirE Signification

Le mot « saveur » est au cœur du positionnement pour contrebalancer l’image gustative peu performante traditionnellement associée aux produits bio. Pour pallier ce manque, certaines marques ont donc intégré la promesse de saveurs en l’insérant dans le logo. Visibilité

Les promesses gustatives peuvent attirer l’attention dans le domaine du bio car le consommateur n’est pas habitué à ce discours. Utilisation

Fondamentale si votre produit se distingue nettement sur le plan gustatif.

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Pour les adeptes du BIO

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des codes très bio

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asie

Kits de survie au japon Avec le grand séisme qui a touché l’est du Japon, l’industrie de la sécurité et de la survie refait surface. lampes de poche à conserver près de son lit également ! En temps normal, ce sont surtout les kits de stabilisation du mobilier que l’on achète « Jishin Taisaku Goods » composés de petits accessoires qui permettent de fixer les meubles et renforcer les fenêtres. Mais aujourd’hui, il faut avoir toujours prêts, chez soi et au bureau, différents kits. Comme un kit de survie de type matériel de camping afin de pouvoir tenir au moins trois jours en total isolement. Celui de Tokyu Hands est en rupture de stocks. Particulièrement complet, son prix est de 17 500 yens (148 euros). Il comprend seau, lampe de poche, radio portable autoalimentée, pile AA, briquet, drap d’aluminium, poncho, tarp, canif, bougie, lingettes, masque, bandage, sparadrap, gant d’ouvrier, 5 mètres de corde, 5 mètres d’étoffe de coton blanchi, sac en plastique, sac d’urgence hydrofuge, poche à eau et toilettes portables. Un autre kit de survie alimentaire est également en rupture de stock : celui de la société spécialisée TSSP offre, pour 295 euros, trois jours de repas pour trois personnes. Soit 30 assiettes, 30 paires de baguettes, des plats sous vides prêts à servir et de l’eau. Limite de consommation : 5 ans après la date de production.

Information et Inspiration, créée en 2003 par Florence Bernardin, est une agence spécialisée dans la veille marketing en Asie et plus particulièrement au Japon et en Corée, des pays très créatifs. Cette découverte de packagings, concepts, textures, modes de distribution et communication, enrichit la réflexion. www.info-inspiration.com

Une carte de survie à Tokyo permet enfin de localiser abris, fontaines, toilettes, écoles et autres hôpitaux établie à partir d’une estimation des dégâts potentiels en cas de tremblements de terre d’indice 6 sur l’échelle de Mercalli. Enfin, face à l’inquiétude de la contamination radioactive d’eau et/ou de sa pénurie, la paille Mizu-Q fabriquée par le japonais Meiko a le vent en poupe ! Purificatrice d’eau grâce à son filtre au charbon actif, sable de corail et charbon actif imprégné d’argent associé à la poudre d’argent anti-bactérienne, elle permet de rendre potable tout type d’eau douce en filtrant jusqu’à 250 litres d’eau.

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11 mars 2011 à 14 h 46 heure locale : le Japon est touché par un terrible séisme, d’une magnitude de 8,9 sur l’échelle de Richter. L’épicentre est situé à 375 kilomètres de Tokyo, au large des côtes orientales du Japon et à une profondeur de 25 km. La durée de la secousse est très longue : plus de 2 minutes. Ses conséquences dramatiques sont inscrites dans la mémoire collective à jamais : Tsunami de plus de 10 mètres, mort et disparition de plus de 28 000 personnes, population en déshérence et centrales nucléaires sujettes à explosions et fuites radioactives. Plus d’un mois après le séisme, les nombreuses répliques secouant l’archipel angoissent les rescapés et empêchent le retour à une vie normale. Plus de 400 répliques de magnitude 5 et plus ont été enregistrées depuis. Les plus importantes comme celles du jeudi 7 avril (magnitude 7,4) a ravivé toutes les inquiétudes et relancé la peur du lendemain, créant une logique de stockage d’eau et vivres « long life ». Alors que Tokyo apprend à vivre avec 25% d’électricité en moins, les kits de survie que tout Japonais doit posséder chez soi pour faire face à ce type de situation sont en rupture de stock ! Sifflets et

Dans la valise DE FLORENCE BERNARDIN

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en rayon

LES DéSODORISANTS D’INTéRIEUR

dans le panier de l’indp

Depuis une dizaine d’années, les désodorisants ont investi notre intérieur. Ils sont de plus en plus design et tendance autant par leurs formes que par leurs senteurs.

Chaque mois, l’INDP analyse les packagings d’un rayon de la grande distribution en fonction des attentes du consommateur en matière de coût, de fonctionnalité, de différenciation et d’écodesign. L’Institut national du design packaging fédère les designers, les responsables marketing ou packaging, les distributeurs et les fabricants d’emballages. www.indp.net

LIQUIDES

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Les vaporisateurs représentent un tiers des produits du rayon. L’impression recto-verso du premier produit procure un effet visuel par transparence grâce à une étiquette en polypropylène. La prise en main est réellement étudiée du fait des différents pistolets et ils s’imposent aussi par leurs tailles et leurs couleurs vives, en l’occurrence le rose intense du second pack. Enfin, le troisième mise quant à lui sur le « blanc » et le « bleu » pour un effet de fraîcheur.

BOUGIE

éCOLOGIQUE

MèCHE

éLECTRIQUE

« Un design unique en forme de galet » : une allégation intéressante pour ce type de produit. Grâce à un blister transparent et un étui cartonné, l’emballage primaire, contenant du produit, est directement visible. Très épuré en termes d’informations, « C’est le désodorisant qui ne ressemble pas à un désodorisant ».

Sous le couvercle en plastique de cette boîte en aluminium entièrement décorée, vous trouverez une bougie parfumée. L’esprit « rétro » du design graphique intrigue et le concept « collector » des boîtes est une agréable façon de conserver et réutiliser le pack.

Les actifs naturels à base d’huiles essentielles de plantes caractérisent ce produit. Le packaging évoque plutôt un produit d’entretien pour le jardin, mais avec une prise en main confortable. Nous remarquerons tout de même un manque de certification concernant son positionnement écologique.

Une mèche imbibée de liquide parfumé : une autre façon de désodoriser notre intérieur. Petit et original par sa forme pyramidale, il ne présente cependant, que très peu d’innovation technologique. Le pack, mi-plastique, mi-verre est très sobre et l’étiquette qui l’accompagne nous informe sur l’ambiance du parfum.

Le pack nous permet de sentir les trois parfums grâce à une étiquette olfactive permettant de vivre en magasin une expérience. Le partenariat avec « National Geographic » surfe sur la naturalité, en justifiant les trois senteurs du Japon. La sobriété du noir et le volume du blister permettent de mettre en valeur le produit.

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DéCORATIF

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analyse

CUISEUR POUR PÂTES AU MICRO-ONDES

L’emballage fonctionnel de Marie Callender’s simplifie au maximum la préparation de son contenu. Il pose néanmoins question sur la quantité de matériau qu’il utilise pour rendre service… 1. CHEZ L’INDUSTRIEL

3. CHEZ L’UTILISATEUR Comme tout emballage service bien pensé, on ne peut que souligner sa facilité d’utilisation. Les pâtes se préparent réellement en une poignée de minutes, comme le montrent les dessins du mode d’emploi. Et en prime, la vaisselle est plus vite nettoyée !

photos : P’RÉFÉRENCE

Le commentaire de Fabrice Peltier Un emballage d’une praticité absolue.

Le commentaire de Fabrice Peltier Un emballage hygiénique et pratique mais pas du tout économe en matériaux.

Président de P’Référence, Fabrice Peltier, analyse un produit qui apporte par la bonne combinaison du travail des designers, du marketing et des industriels, des réponses efficaces sur l’ensemble du cycle de vie : chez l’industriel, de la création à la production ; chez le distributeur, du carton au linéaire ; chez le consommateur ; enfin, lorsqu’il devient déchet. www.p-reference.fr

La marque Américaine Marie Calender’s propose un emballage service extrêmement sophistiqué qui permet de préparer très facilement et en toute sécurité, un plat de pâtes en sauce au four à micro-ondes. Ce conditionnement est composé d e p l u s i e u r s p a r t i e s. Un premier récipient, muni d’un couvercle passoire qui contient les pâtes et qui per met de les faire cuire, puis de les égoutter. Un second récipient qui contient la sauce à réchauffer, puis à verser sur les pâtes avant de les consommer. Cet emballage bien pensé et parfaitement réalisé, offre tout ce que le consommateur le plus exigeant attend : une parfaite conservation de la recette, une inviolabilité garantie, une facilité d’utilisation en toute sécurité. Cependant, pour en arriver là, la marque est bien loin d’économiser les matériaux. Ce ne sont pas moins de 10 composants (2 contenants, 1 couvercle passoire, 1 film d’inviolabilité, 2 opercules, 4 étiquettes) qui sont nécessaires pour réaliser un packaging pour un plat de pâtes en sauce…

Vers un emballage harmonieux…

Indéniablement, les emballages Marie Callenders présentent bien sur les rayons. L’opercule du couvercle passoire et les étiquettes sur les côtés du récipient permettent de communiquer de façon efficace : de façon émotionnelle, en nous faisant saliver avec une photo de recette gustative et de façon rationnelle, avec trois dessins qui illustrent parfaitement la praticité de l’emballage. t

Le commentaire de Fabrice Peltier Un emballage dont les aspects attractifs et informatifs sont parfaitement maîtrisés.

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Aïe, aïe, aïe ! Que de déchets d’emballages et en plus pas tous recyclables, pour pouvoir manger quelques pâtes en se simplifiant la vie ! Le commentaire de Fabrice Peltier Un emballage qui interroge sur les limites que doivent se fixer les marques.

2. CHEZ LE DISTRIBUTEUR

4. À LA POUBELLE

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réglementation

L’AESA est compétente en matière de sécurité des emballages au contact alimentaire. L’autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) – ou European Food Safety Authority (EFSA) – est un organisme de l’Union européenne créé par le règlement 178/2002 du 28 janvier 2002, le texte de référence pour la sécurité alimentaire. Sa responsabilité principale est de délivrer des avis scientifiques indépendants et de fournir une assistance scientifique et technique à la Commission européenne dans tous les domaines ayant un impact direct ou indirect sur la sécurité des denrées alimentaires ou des aliments pour animaux. D’où

Définitions du règlement 178/2002 • Analyse des risques : processus comportant trois volets : l’évaluation des risques, la gestion des risques et la communication sur les risques. • Évaluation des risques : processus reposant sur des bases scientifiques et comprenant quatre étapes : l’identification des dangers, leur caractérisation, l’évaluation de l’exposition et la caractérisation des risques. L’évaluation des risques est fondée sur les preuves scientifiques disponibles et elle est menée de manière indépendante, objective et transparente. • Gestion des risques : mettre en balance les différentes politiques possibles, en consultation avec les parties intéressées, prendre en compte l’évaluation des risques et les autres facteurs légitimes, et, au besoin, choisir les mesures de prévention et de contrôle appropriées. • Communication sur les risques : échange d’informations et d’avis sur les dangers et les risques, sur les facteurs liés aux risques et sur les perceptions des risques entre les responsables de l’évaluation des risques, ceux de la gestion des risques, les consommateurs et les entreprises.

sa compétence aussi pour les emballages et matériaux au contact des aliments…

photo pascal guittet

L’autorité européenne de sécurité des aliments le point de Stella Sava

chargée de veille au Cabinet de Me Martin, Avocat à la Cour avocat@sylvain-martin.com

Le traitement des risques L’AESA joue un rôle important dans l’analyse des risques alimentaires qui comporte trois aspects : l’évaluation des risques (rôle de l’AESA) ; la gestion des risques (rôle des institutions de l’Union européenne et des États membres) ; la communication sur les risques (rôle de l’AESA). Les évaluations réalisées par l’AESA touchent la vie quotidienne des citoyens de l’Union européenne. C’est pourquoi le règlement 178/2002 organise les relations entre cette Autorité, les États membres et la Commission européenne.

Rôle des États membres Les États membres sont les gestionnaires principaux des risques. Ils sont chargés de mettre en œuvre les politiques européennes et de prendre les mesures nécessaires afin de gérer les risques dans la chaîne alimentaire. Ils sont indirectement représentés dans le conseil d’administration de l’Autorité dans la mesure où ils désignent ses 14 membres via le Conseil européen (composé d’un ministre par État membre) en consultation avec le Parlement européen. Le règlement 178/2002 prévoit expressément que, si on doit bien sûr tenir compte de la compétence des administrateurs, on doit aussi assurer la répartition géographique la plus large.

Rôle des agences nationales Un forum consultatif constitue l’un des organes de l’Autorité. Il est composé de personnes qui représentent les agences nationales responsables de l’évaluation du risque alimentaire dans les États membres, en Islande et en Norvège (la Suisse et la Commission européenne sont présents à titre d’observateur). Pour la France, il s’agit de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation,

de l’environnement et du travail (Anses), née de la fusion de l’Afssa et l’Afsset ; au Royaume Uni, il s’agit de Food Standards Agency (FSA). Ces agences utilisent ce forum pour échanger avec l’AESA sur des questions scientifiques.

Rôle de la Commission Elle détient le rôle de gestionnaire central des risques. À ce titre, elle est le principal destinataire des travaux de l’AESA qu’elle peut saisir de toute question relevant de sa mission. L’AESA peut aussi commander des études scientifiques nécessaires à l’accomplissement de ses missions en autosaisine notamment dans le domaine des risques émergents. Elle est représentée au sein du Conseil d’administration de l’AESA.

Groupes scientifiques Les groupes scientifiques sont composés d’experts indépendants. Ils sont responsables des travaux d’évaluation des risques de l’AESA avec l’émission d’avis scientifiques. En pratique, ce sont donc eux qui fournissent les avis de l’AESA. Ils sont au nombre de dix, chacun des groupes étant responsable d’un secteur particulier de la chaîne alimentaire, par exemple : le groupe ANS sur les additifs alimentaires et sources de nutriments ajoutés aux aliments, le groupe CEF sur les enzymes, arômes, auxiliaires technologiques et matériaux en contact avec les aliments. Leurs travaux sont coordonnés par un Comité scientifique. L’AESA élabore les règles nécessaires pour que les risques présentés par les substances soumises à analyse (arômes, additifs, matériaux en contacts avec les aliments tels que les plastiques, etc.) soient évalués sur une base harmonisée et cohérente.

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APPE

LGP2

Billy Jansen est nommé directeur QSE et développement durable de l’ex-Artenius PET Packaging Europe (groupe La Seda de Barcelona). Il possède plus de 30 ans d’expérience du marché de l’emballage en PET.

La nouvelle directrice du LaboratoireGénie des procédés papetiers (LGP2), unité de recherche qui associe le CNRS et Grenoble INP, connaît la physique du papier. Titulaire d’un DEA de l’INSA de Toulouse en génie des procédés appliqué au traitement des eaux, Évelyne Mauret a soutenu en 1995 un doctorat de Grenoble INP sur les écoulements au travers de matelas fibreux. Recrutéela même année par l’école comme ingénieur de recherche, elle est nommée maître de conférences de Grenoble INP en 1997 puis professeur en 2003. Elle enseigne la physico-chimie appliquée aux suspensions fibreuses, la physique du papier ainsi que le génie des procédés aux élèves ingénieurs. « Dans l’équipe « physique des structures fibreuses » du LGP2, elle poursuit ses travaux de recherche sur la physico-chimie des sus-

Tony Allen devient directeur corporate groupe de l’agence de design à l’occasion de la reprise de sa société Fortune Street. Il avait créé celle-ci en 2004 après avoir travaillé pour Interbrand, Newell et Sorrel à Londres, Amsterdam et New York.

MWV

John Sanfacon rejoint le groupe américain comme président de l’activité restauration hors foyer. Il était directeur du marketing et de l’innovation de Jiffy Lube International(entretien automobile) après être passé, entre autres, chez McDonald’s, Pizza Hut et General Mills Restaurants. Diane Teer présidera, elle, la branche emballage alimentaire. Elle était présidente de World Kitchen (ustensiles de cuisine).

pensions fibreuses et l’optimisation des propriétés d’usage des papiers et des cartons », souligne-t-elle. Responsable pédagogique de la section Papeterie de 2002 à 2006, Évelyne Mauret prend en charge, dès 2007, le pilotage des activités de recherche dans le cadre de la démarche qualité de l’école. Elle y acquiert ainsi une meilleure connaissance de l’organisation du laboratoire LGP2. Désormais, dans ses nouvelles fonctions – en particulier, assurer le développement des nouvelles thématiques de recherche dans un secteur en profonde mutation –, elle aura un objectif constant : l’amélioration du lien, essentiel dans une école d’ingénieurs, entre la recherche et la formation. Son prédécesseur, directeur pendant huit ans, Naceur Belgacem, retrouve ses activités d’enseignant et de chercheur. Arnaud Jadoul

Marel

Anna Thrap-Olsen change de dimension

Patrick Choël a été nommé président du conseil d’administration du leader du flaconnage verre. Après une longue carrière chez Unilever, aux États-Unis notamment, il a été directeur général des Parfums Christian Dior puis président des parfums et cosmétiques du groupe LVMH.

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SGD

Siel

Michel Blanchet succède à Jacques Brossillon à la présidence du syndicat de l’emballage léger en bois. Pdg de Blanchet (emballages en bois pour les produits de la mer notamment), il est membre du conseil d’administration du Siel depuis 15 ans.

Ben Blydenstein prend la direction du marketing et de l’environnement de la Fédération européenne des fabricants de carton ondulé. Depuis huit ans chez SCA Packaging, il était directeur du marché européen, après avoir dirigé le marketing de la filiale britannique.

Après plus de quatre ans chez Tetra Pak France comme directrice du développement et membre du comité de direction, Anna Thrap-Olsen avait besoin d’un nouveau défi. Elle est partie en Bretagne – à Baud (Morbihan) – prendre la direction générale de la filiale française de Marel. Le groupe islandais est spécialisé dans les équipements, systèmes intégrés et services aux industries agroalimentaires. À 43 ans, Anna Thrap-Olsen, diplômée d’une école de commerce et titulaire d’un Executive MBA de l’Essec, change donc quelque peu d’orientation. Elle a commencé dans le fromage, chez Bongrain, pour bifurquer vers les industries graphiques et le BtoB, chez Kodak puis Kodak Polychrome Graphics, dans des fonctions commerciales de développement, puis le management opérationnel et la direction de la « business unit » Solutions Couleurs. Chez Marel France, elle arrive sous de bons auspices : l’entreprise a reçu un trophée de l’innovation au CFIA 2011.

Landor

Luc Speisser connaît la stratégie photo dr

Fefco

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photo dr

Évelyne Mauret, la fibre de la physique

Dragon Rouge

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Depuis six ans directeur de la stratégie de Landor, Luc Speisser accède à la présidence de Landor Paris. Ce diplômé du Celsa (sciences de l’information et de la communication), où il enseigne aujourd’hui les fondamentaux de la marque, est en terrain connu : il avait pour mission de recruter et former une équipe parisienne de planning stratégique et de développer les pratiques, l’offre et les références de Landor Paris dans ce domaine. Il a ainsi été à l’origine des « Landor Families », un observatoire en temps réel des familles et de leurs rituels de consommation. Auparavant, Luc Speisser avait travaillé à la prévention contre le sida puis dans la publicité, chez Australie, Lowe Paris et BETC Euro RSCG. Aujourd’hui, il doit asseoir la réputation de l’agence parisienne dans le design de marque en Europe continentale.

S P

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Go Green

Europe & International

Uncoated Fine Paper

Corrugated

Bags & Coatings

Go Green! Soyez écologiques avec la gamme « Green Range » de Mondi. Solutions à poids réduit L’un des objectifs principaux des centres R&D de Mondi est de développer des solutions à poids réduit et respectueuses de l’environnement. Notre nouveau complexe pour les emballages de snacks est jusqu’à 20 % plus léger que les matériaux traditionnels tout en présentant d’excellentes propriétés barrières durables à l’eau, l’oxygène et la lumière. Avec jusqu’à 20 % en moins de grammage, notre sac industriel à un pli pour remplissage à haute vitesse des produits en poudre permet de réduire les déchets et de réaliser des économies tangibles.

Conservation prolongée

La gamme de produits écologiques « Green Range » de Mondi a été développée en vue d’aider nos clients à adopter une politique écologique et de promouvoir les achats écologiquement préférables. Elle se compose de solutions de papier et d’emballage : • optimisées pour ménager les ressources naturelles et réduire les déchets, • certifiées pour leur durabilité par des organismes reconnus à l’échelle internationale.

Biodégradabilité Les produits déclarés biodégradables de Mondi répondent à toutes les exigences relatives aux emballages revalorisables par compostage et biodégradation conformément à la norme EN 13432. Ils incluent Terra Bag, le premier sac industriel au monde intégralement biodégradable avec barrière contre l’humidité, et Sustainex®, disponible sous forme de matériels d’emballage enduits par extrusion ou laminés par extrusion, ainsi que de nouveaux films soufflés pour les applications FFS (FormFill-Seal) et des emballages transformés pour les biens de consommation.

Mondi propose des solutions avec des propriétés novatrices, notamment des sacs refermables et des barrières antimicrobiennes, qui permettent de prolonger la durée de conservation des produits alimentaires et, par conséquent, de réduire les déchets. Protégeant les produits en inhibant la prolifération des bactéries et la formation de moisissures, la solution d’emballage antimicrobien enduit par extrusion Sanocoat® de Mondi garantit une plus longue conservation des aliments frais, de la nourriture pour bébés et des snacks. Pour de plus amples informations sur la gamme « Green Range », veuillez vous adresser à green.range@mondigroup.com ou consulter le site Internet www.mondigroup.com/gogreen également disponible en français. La gamme de produits « Green Range » de Mondi inclut des papiers bureautiques et d‘impression, des papiers kraft et spéciaux, du papier pour carton ondulé à partir de fibres vierges et recyclées, des emballages en carton ondulé, des sacs industriels, des emballages pour les biens de consommation et des solutions enduites par extrusion. Bon nombre de nos solutions portent le label FSC™ et PEFC™ avec mention de l‘empreinte CO2.

Mondi présentera la gamme de produits « Green Range » au salon Interpack. Plus d’informations à ce propos sur www.mondigroup.com/interpack.

SOLUTIONS. POUR VOTRE REUSSITE. www.mondigroup.com

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indices de production Retour de bâton En février, la production d’emballages a baissé de 6,3% alors que la tendance était à la hausse, depuis le début de l’année. L’indice a en effet chuté de 95 à 89 points. Les résultats par filière sont contrastés. Le verre enregistre la baisse la plus la significative, de l’ordre de -15%, pénalisé par la mauvaise performance des bouteilles. Le bois et le papiercarton, régressent eux aussi, mais de façon mois marquée, avec un indice en recul de 7% : le bois a souffert à cause des tonneaux (-25%), tandis que le papier-carton a pâti de la baisse de la production de caisses en carton ondulé (-9%). L’activité est restée plutôt stable du côté des plastiques. Sur base annuelle, l’indice général augmente de 5,9%.

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DERNIER MOIS

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-7,1%

SUR 1 AN

-6,3%

+5,9%

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2011

2010

SUR 1 AN

DERNIER MOIS

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+2,2%

-1,7%

110

SUR 1 AN

+8,4% 104 105

105 100

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papier-carton

. . 110 2011 2010 105 100 Les caisses reculent 95 production d’emballages en papier-carton a baissé de La 90 7,1% avec un indice qui plonge à 91 points. La chute est 85 nette du côté des caisses en carton (-9%) alors que les sacs 80 en papier sont restés stables. Sur un an, l’indice progresse de 2,2%. 75 70

DERNIER MOIS

110

-15,3%

105

110 2011 2010 105 100 Les sacs et sachets à la traîne 95 L’indice de production des emballages en matière plas90 tique est passé de 104 à 103 points. Les mauvais résul85 tats des sacs, sachets et pochettes (-13%) ont plombé 80 les bonnes performances enregistrées ailleurs. Sur un an, 75 l’indice croît de 8,4%. 70 65

SUR 1 AN

DERNIER MOIS

110

+13,2%

-7,6%

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SUR 1 AN

+9,1%

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88 84

80 70 65

2010

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2010

2011

Les bouteilles régressent

Les tonneaux en chute

Après une série de bons résultats, la filière verre fait face à une chute du niveau de production : l’indice dégringole de 91 à 77 points. La production de bouteilles, en baisse de 20%, s’accompagne d’un recul de l’activité partout ailleurs. Sur un an, l’indice se relève de 13,2%.

La production d’emballages en bois affiche une baisse de 7,6%. L’indice est tombé à 84 points. La filière a été plombée par le mauvais score de la tonnellerie (-25%) ; les palettes reculent de 3%. Sur un an, l’indice augmente de 16,8%.

bois

verre

DERNIER MOIS

plastiques

filière

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Cette page a été réalisée en collaboration avec l’INSEE Emballages magazine

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Données brutes

Tendances

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prix des matières premières

matières plastiques

papiers et cartons récupérés

Les vieux papiers toujours plus chers

VALEURS MOYENNES MENSUELLES, EN EUROS PAR TONNE

Emballages Magazine publie le relevé 140 des prix des papiers et cartons récupérés (PCR) constatés sur le marché 120 français pour les sortes basses. Des prix représentés par des moyennes sur le graphique. En réalité, en mars 100 dernier, le cours de la sorte 1.02, qui représente les papiers et cartons mêlés 80 d’origine triés, a évolué entre 116,04 et 117,76 euros la tonne, celui de la sorte 1.04 (emballages commerciaux) entre 60 128,41 et 128,60 euros la tonne alors que le prix de la sorte 1.05 (ondulés 40 récupérés) a fluctué entre 137,46 et 144,52 euros la tonne. Les PCR ont encore augmenté de 10 euros la tonne, 20 en moyenne, toutes variétés confondues. C’était déjà le cas en février. À 0 ce rythme là les prix vont atteindre des sommets en cours d’année. Surtout qu’aucun signal ne laisse, pour l’heure, présager une inversion de tendance.

1.02 (papiers et cartons mêlés)

1.04 (emballages commerciaux)

1.05 (ondulés récupérés)

140,99 1.05 128,5 1.04 116,9

2009

2010

1.02

2011 SOURCE : REVIPAP

Les polyoléfines flambent

Polystyrène Cristal (PS)

Polypropylène (PP) copolymère injection

Difficile de prévoir une accalmie alors que le prix du baril de pétrole ne cesse d’augmenter. Comme on pouvait s’y attendre, les prix des résines plastique sont encore orientés à la hausse. En mars dernier, le polyéthylène téréphtalate (PET) a augmenté de 10 centimes. Il s’échange à 2,15 euros le kilo, soit son cours le plus élevé depuis au moins une dizaine d’années. Du côté des polyoléfines, les hausses s’échelonnent de 7 à 9 centimes d’euro par kilo. Il faudra compter 8 centimes de plus pour les polyéthylènes haute densité (PEhd), 7 centimes pour le polyéthylène basse densité (PEbd) et 7 et 8 centimes respectivement pour le polypropylène (PP) Homo Injection et Copolymère. Le prix du polystyrène cristal (PS) n’a que légèrement augmenté (+ 4 centimes d’euro) tout comme celui du polychlorure de vinyle (PVC), qui enregistre une progression de 3 centimes seulement. À l’heure actuelle, le PVC est la résine la moins chère sur le marché, son cours ne dépassant pas 1,15 euro le kilo. De quoi susciter des convoitises, alors que cette matière avait été progressivement délaissée à partir de la fin des années 1990, pour des raisons environnementales.

Polypropylène (PP) homopolymère injection

Polyéthylène téréphtalate (PET)

Polychlorure de vinyle (PVC)

2,146

PET

1,5

1,805 1,591 1,538

1,2

1,149

PVC

2,1 1,8

1 PP cop. PP homo.

0,9

0,6

2009 Polyéthylène basse densité (PEbd) Polyéthylène haute densité (PEhd) film

2010

2011

SOURCE : ELIPSO

Polyéthylène haute densité (PEhd) soufflage Polyéthylène haute densité (PEhd) injection

1,7

1,612 1,458 1,446 1,365

1,4

PEbd PEhd inj. PEhd souf. PEhd film

1,1 0,8 0,5

2009

2010

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SOURCE : ELIPSO

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French-

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Convention

Packinnove Europe 2011 15-16 juin 2011 Quelque 600 professionnels de l’emballage et du conditionnement sont attendus à Packinnove Europe 2011, les 15 et 16 juin, à l’Espace Argence de Troyes (Aube). Organisé par Advanced Business Events (ABE) pour le compte de Packaging Valley, Packinnove Europe est une convention d’affaires qui se pose en complément des principaux salons du secteur. Packinnove Europe est une occasion de rencontrer les acteurs du secteur durant deux journées, dans des conditions privilégiées, grâce à une formule clé en main et sur mesure selon le principe des rendez-vous programmés. En effet, pour optimiser le temps, Packinnove se déroule exclusivement sous forme de rendez-vous pré-organisés selon les choix et les disponibilités des participants. Chacun peut consulter en ligne, et trois semaines avant la manifestation, le catalogue des participants qui comprend la présentation des compétences des exposants et le détail des besoins et projets des donneurs d’ordres. Un cycle de conférences et d’interventions permet également de s’informer tandis que le Forum de l’Innovation permet de distinguer les nouveaux développements dans les deux catégories que sont l’Innovation technologique et l’Innovation applicative. www.abe-packaging.com/packinnove-europe

MAI 10-14 MAI ESSEN (ALLEMAGNE) METPACK Salon international pour l’empaquetage en métal. Rens. : Messe Essen GmbH Norbertstrasse D-45131 Essen Tél : 00-49-201-7244-0 Fax : 00-49-201-7244-248 Email : info@messe-essen.de www.metpack.de

10-12 MAI TORONTO (CANADA) PACKEX Toronto

Salon de l’emballage, du process alimentaire, de la manutention et de la logistique du Canada. Rens. : Comexposium Immeuble Le Wilson 70 avenue du Général de Gaulle 92058 Paris-la Défense Tél : 01-76-77-11-11 Fax : 01-76-77-12-12 Email : infos@exposium.fr

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12-18 MAI DÜSSELDORF (ALLEMAGNE) INTERPACK 2011 Salon international des machines à emballer et matériaux d’emballage. Rens. : Promessa 3, rue de la Louvière 78120 Rambouillet Tél : 01-34-57-11-44 Fax : 01-34-57-11-40 Email : promessa@ promessa.com www.interpack.com

18-19 MAI NEW YORK (ÉTATS UNIS) LUXE PACK NEW-YORK Salon américain de l’emballage de luxe.

Rens. Groupe ETAI - Salons Email : info-salons@etai.fr Rens. : Idice (Oyonnax) Tél : 04-74-73-42-33 Email : info@idice.fr www.luxepack.com

24-27 MAI LYON (FRANCE) FIP SOLUTION PLASTIQUE Salon de la filière plastique. Rens. Groupe ETAI Salons Email : info-salons@etai.fr Rens. : Idice (Oyonnax) Tél : 04-74-73-42-33 Email : info@idice.fr www.f-i-p.com

JUIN 8-9 JUIN PARIS (FRANCE) PACK & GIFT Salon de l’emballage et du cadeau promotionnel.

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Troyes

À côté des rendez-vous, un cycle de conférences et d’interventions permet de se former sur différents sujets.

Rens. : Groupe ETAI Salons Email : info-salons@etai.fr Rens. : Idice -Groupe ETAI - Oyonnax Tél : 04-74-73-42-33 Email : info@idice.fr www.packandgift.com

15-16 JUIN TROYES (FRANCE) PACKINNOVE EUROPE Convention d’affaires de l’emballage et du conditionnement. Rens. : ABE (Advanced Business Events) 35/37, rue des Abondances 92513 - Boulogne Tél : 01-41-86-49-18 Email : info@advbe.com www.advbe.com

27-29 JUIN NEW YORK (USA) BioPlastek 2011 Un forum interactif sur les bioplastics aujourd’hui et demain Waldorf-Astoria Rens. : Schotland Business

Research, Inc. Tél : +1 (609) 466-9191 http://www.bioplastek.com

SEPTEMBRE 12-14 SEPTEMBRE PARIS (FRANCE) BEYOND BEAUTY Grand rendez-vous européen du monde de la beauté et du bien-être. Rens. : ITEC France Tél : 01-44-69-95-69 Email : bbp@itec-france.com www.beyondbeautyparis.com

26-28 SEPTEMBRE LAS VEGAS (USA) PACK EXPO Salon international de l’emballage, des technologies et des équipements. Rens. : PMMI 4350 North Fairfax Drive, Suite 600 Arlington, VA 22203 USA Tél : 703-243-8555 www.pmmi.org

27-29 SEPTEMBRE PARIS (FRANCE) EUROCOAT Salon international dédié aux industries de la peinture, des encres d’imprimerie, vernis, colles et adhésifs. Rens. : Groupe E.T.A.I. Marketing Communication Salon Tél : 01-77-92-96-68 Fax : 01-77-92-98-33 www.eurocoat-expo.com

28-29 SEPTEMBRE VANNES (FRANCE) EMBALL’OUEST Salon de l’emballage du Grand Ouest Innovations & Solutions. Parc des Expositions de Vannes 56000 Rens. : Chorus-Parc des Expositions Nadine Ducloux Tél : 02-97-46-29-62 Email : nadine.ducloux@ lechorus.com www.breizpack.net

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Philippe RICHARD

Président Directeur général TOSHIBA FRANCE

Vice-président Conformité, Fiabilité et Éco-Conception ALCATEL LUCENT

Et les interventions de : ADEME • BIC • BOURGEOIS • CGDD • ERNST & YOUNG • FAURECIA • GFK • GIDE LOYRETTE NOUEL • IPSOS MARKETING FRANCE • L’OBSERVATOIRE DE L’ECODESIGN • PSA PEUGEOT CITROËN • PTC • QUANTIS INTERNATIONAL • SCHNEIDER ELECTRIC • SNCF • TECHNICOLOR - DIGITAL DELIVERY GROUP • VINCI CONSTRUCTION FRANCE Formation complémentaire - Mercredi 25 et jeudi 26 mai 2011

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1 592 € HT (1 904,03 € TTC)

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1 is

sommaire

• OT AL

étiquettes

l’information à la carte ■ Des applications industrielles aux rayons des grandes sur-

faces, les étiquettes sont présentes sur l’ensemble des marchés de consommation. Du papier aux polymères en passant par les structures les plus sophistiquées, tous les matériaux sont employés. L’environnement tire de nombreuses innovations. ■ Des développements pointus permettent de combiner de nou-

velles fonctions : l’étiquetage dans le moule (IML) associe, par exemple, décor et barrière.

dex

■ Si le « no label look » est répandu dans l’hygiène et la beauté, la photo pascal guittet

sophistication gagne aussi des secteurs aussi traditionnels que les étiquettes poids-prix.

étiquettes Du sur-mesure pour tous les marchés

p. 48

Conditionnement De la décoration à la conservation

p. 52

Design En toute transparence

p. 54

distribution Le « poids-prix » monte en gamme

p. 56

Industrie Indestructibles et tout terrain p. 58 Logistique Un observatoire sur les défauts des étiquettes

p. 60

technologie Complexe simplicité

p. 62

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étiquettes

Du sur-mesure pour

tous les marchés Les étiquettes se plient à toutes les exigences marketing, techniques et industrielles. Sans oublier l’environnement. Du papier, des polymères trans parents et opaques, des biomaté riaux comme l’acide polylactique (PLA) ainsi que des complexes pour les applications principales ; du métal, des textiles voire du bois pour des applications plus spécifiques ; des procédés d’impres sion sophistiqués associant transfert ther mique, héliogravure, flexographie, offset, sérigraphie et typographie sans oublier l’essor constant du numérique ; des tech niques d’ennoblissement mêlant dorure, gaufrage, vitrophanie, vernis, hologramme et diffraction ; des solutions de découpe pour obtenir les formes les plus inat

Le CTP selon Avery Dennison L’inventeur de l’étiquette adhésive ? Avery Dennison en 1932… L’américain a depuis fait beaucoup de chemin et développe, dans un livre blanc, l’approche du Coût total de possession (CTP) dans le domaine de l’étiquette et de l’étiquetage. Entrent dans le calcul du CTP, l’acquisition initiale puis le coût total des consommables, la qualité du service et la fiabilité du système. Conclusion ? «Ce sont souvent les produits d’impression et d’étiquetage à bas prix qui augmentent le CTP. Ils sont en effet souvent source de défaillances et ne possèdent pas la même fiabilité, la même performance et les mêmes normes de conception dont jouissent les produits de grande marque. Les heures supplémentaires, la maintenance, les réparations, les frais liés au remplacement des pièces et la qualité d’impression moindre génèrent un ensemble de coûts additionnels qui alourdissent le CTP.»

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tendues ; des fonctions techniques pour lutter contre la contrefaçon ou résister longtemps aux pires intempéries comme aux seaux à glace ou aux chambres froides ; des solutions d’étiquetage à base de colles pour les étiquettes sèches, d’éti quettes adhésives ou d’étiquetage dans le moule ou In-Mold Labelling (IML) ; des capteurs et des réactifs donnent naissance à des étiquettes intelligentes en mesure de signaler l’état de fraîcheur d’un produit : fabriquées à partir de la plupart des maté riaux utilisés dans l’emballage et le condi tionnement, les étiquettes – largement tirées par l’adhésif – bénéficient des tech nologies les plus sophistiquées. Sur ce marché très actif, le papetier fin landais M-real Speciality Papers (M-real) a revu en profondeur l’organisation de son unité allemande de Bergisch Gladbach afin d’élargir sa gamme et s’ouvrir à tous les marchés de consommation. Connue pour Chromolux, un papier couché sur chrome haut de gamme destiné essentiellement aux marchés du luxe qui a fêté ses 50 ans en 2008, l’usine Zanders Gohrsmühle produit désormais les gammes Zanlabel et Zanflex pour les boissons et l’agroali mentaire. L’objectif est d’atteindre une production de 160 000 tonnes d’ici deux ans contre 50 000 tonnes de Chromolux actuellement. M-real estime que cette usine est désormais unique en Europe par l’étendue de sa gamme. Les étiquettes n’échappent pas au débat sur la sécurité sanitaire des matériaux d’emballage. Carrefour et U ont entrepris de bannir les tickets de caisses contenant du bisphénol A (BPA). Spécialiste des sys tèmes de pesage et d’étiquetage, Mettler Toledo propose, à son tour, une nouvelle gamme d’étiquettes adhésives sans BPA en papier pour tous les usages tels que les étiquettes poids-prix utilisées dans la

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distribution. « Toutes les études récentes le prouvent : le bisphénol A, très présent dans le corps humain et dans notre envi ronnement, possède une toxicité que l’on commence seulement à mesurer », affirme l’entreprise. Les étiquettes et les cartons de livraison peuvent porter la mention « Sans BPA ». Mettler Toledo explique que le papier utilisé, non seulement répond aux attentes sanitaires, mais qu’il est aussi moins abrasif pour les équipe ments de pesage et d’étiquetage. Les étiquettes rem plissent de nombreux rôles : la fonction d’infor mation du consommateur est naturellement la pre mière. Grâce au principe de l’information dépor tée, l’étiquette permet de personnaliser facilement un emballage standard et d’offrir aux services marketing des solu tions d’identification retardée souples et faciles à mettre en œuvre. L’essor de l’impression numérique

s’inscrit totalement dans ce mouvement : de la personnalisation à la réalisation d’étiquettes uniques et sérialisées grâce à un numéro de série, il n’y a, en effet, qu’un pas. Des segments de marché comme la pharmacie ont besoin de pro poser une grande quantité d’informa tions sur une petite surface : CCL, JPL, Reynders, Bopack (Autajon), Pago, Stratus Packagingou encore Edelmann sont des spécialistes des livrets. Performance Impression propose, pour sa part, une alternative avec Rolls Label, une étiquette qui s’enroule autour du produit.

l’étiquette permet de personnaliser facilement un emballage standard. L’information à l’usage des professionnels est également logistique. Les réflexions autour de la généralisation de l’identifica tion par radiofréquence (RFID) ont pu faire penser qu’il était possible de s’affranchir de l’étiquetage des caisses, colis et autres palettes. Il n’en est rien : pouvoir lire direc tement ce que contient une unité logis tique est un gage d’efficacité de la chaîne de transport. GS1 a d’ailleurs mené une étude sur les problèmes de lecture des éti quettes d’expédition. Et les résultats sont assez alarmants. La sophistication et la montée en gamme des étiquettes gagnent tous les segments de marché avec des applications parfois inattendues. Les étiquettes invisibles – les no label look – sont répandues dans le luxe, la santé et la beauté mais aussi dans les boissons. Cette solution permet de bénéficier de la souplesse de l’étique tage tout en donnant l’impression que l’emballage lui-même est décoré. Dans le domaine du libre-service, les étiquettes

Spécialiste du Chromolux, M-real Speciality Papers a lancé, sur son site allemand de Bergisch Gladbach, la gamme Zanlabel pour couvrir tous les marchés.

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L’ÉTIQUETTE INDIQUE LA FRAÎCHEUR Pour distinguer si un produit frais préemballé, viande ou poisson en particulier, peut être consommé ou non, des chercheurs d’un laboratoire du Fraunhofer Institute à Munich, en Allemagne, ont développé une étiquette à capteur qui peut être intégrée à l’emballage. Réagissant aux amines biogènes, des molécules produites lorsque les aliments s’altèrent et responsables d’un changement d’odeur, elle vire du jaune au bleu. « Lorsqu’une certaine concentration est atteinte, le changement de couleur est bien visible et constitue un signal pour le consommateur », explique Anna Hezinger, de l’Institut pour les technologies à semi-conducteurs modulaires (EMFT). Le projet, soutenu par le ministère allemand de l’Éducation et de la Recherche et présenté comme bien plus sûr que le système des dates limites de consommation (DLC) ou d’utilisation optimale (DLUO), permettra également d’alerter les consommateurs sensibles ou allergiques à ces amines. En outre, Anna Hezinger assure que cet indicateur, produit à grande échelle, sera d’un coût minime. Autre argument avancé : il n’est pas en contact avec les aliments car il repose sur une couche barrière uniquement perméable aux amines gazeuses. AJ

poids-prix doivent désormais donner de la valeur ajoutée et constituer un élément de décor au même titre que l’identité visuelle globale des produits. Le cumul des fonctions constitue une piste de développement majeur. Dans le domaine de l’étiquetage dans le moule, à la fonction décor se combinent désormais les barrières à l’oxygène et à la lumière. Les étiquettes IML permettent au final de reculer la date limite de consommation (DLC) de nombreux produits alimentaires. Enfin, comme le démontre Grai Etiquette, IML et numérique se marient très bien. Les développements en lien avec l’environ nement sont légion. L’américain Daymark Technologies propose, par exemple, des étiquettes totalement solubles et décol

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lables à l’eau. Une « solution pour le net toyage facile des fûts de bière, bouteilles en verre, cagettes…, et tous supports destinés à être réutilisés ». À dispersion très rapide, le papier et l’adhésif de la DAW 100 disparaissant en moins de 30 secondes, le papier super-calandré per mettant d’utiliser n’importe quelle tech nique d’impression standard. La RAW 150, elle, est totalement décollable à l’eau. À base de papier kraft super-calan dré recouvert de silicone, les étiquettes semi-brillantes SmartSolve ont été spé cialement développées pour les bouteilles de vin. L’adhésif présente une forte résis tance aux ultra-violets et est soluble dans une solution alcaline chaude. Quant aux dorsales d’étiquettes adhé sives, elles font l’objet de toutes les atten tions. Innovia Films lance Rayoface NB, une nouvelle gamme de films en polypro pylène bi-orienté (BOPP) pour l’étique tage « linerless », à savoir sans le papier siliconé qui sert de support. Mettler Toledo propose des rouleaux d’étiquettes autoadhésives munies d’un « dorsal » poly propylène plus fin qui permet de posi tionner jusqu’à 20% d’étiquettes en plus par rouleau. L’imprimeur Aset-Bidoit a,

de son côté, opté pour le ProLiner PP30 d’UPM Raflatac, un dorsal de 30 microns en polypropylène (PP) totalement recy clable. Après collecte, le matériau rejoint le circuit de collecte RafCycle qui appro visionne l’usine qui fabrique les lames de terrasse UPM ProFi à partir de complexes adhésifs recyclés. Par ailleurs, Vertaris, une toute jeune société, déclare être la seule entreprise française à pouvoir recycler les papiers siliconés utilisés pour les étiquettes adhésives. UPM Raflatac lance ég a lement RafBio, une gamme d’étiquettes autoadhésives compostables selon la norme européenne EN 13432. Destinée à des applications pour le secteur ali mentaire, les boissons et les produits de soin, RafBio associe, pour le support véhiculant les informations, un film en cellulose et un film en acide polylactique (PLA), ainsi qu’un adhésif biodégra dable, le RP 55. Le substrat en cellulose, compostable, est fabriqué à partir de bois issus de forêts à gestion durable. Enfin, à l’image d’APE Etiquettes, les imprimeurs se tournent largement vers le label Imprim’Vert. Henri Saporta avec la rédaction

L’AUTOADHÉSIf RETROUVE DES COULEURS Après une année 2009 plutôt fade, le marché européen des étiquettes autoadhésives a rebondi en 2010, soutenu par la forte demande en provenance des pays de l’est et du sud du Vieux Continent d’après la Finat, qui représente, au niveau international, les intérêts des producteurs. En 2010, près de 5,7 milliards de mètres carrés d’étiquettes adhésives ont été vendus en Europe, soit 11,4% de plus qu’en 2009. Les ventes ont même été supérieures de 3,5% au niveau record, atteint en 2007, juste un an avant l’explosion de la crise économique et financière. Toutes les familles de produits bénéficient de cette embellie : les supports à base papier (+9,5%) et les films polymères (+15,3%), qui représentent, respectivement, 70 et 22,5% de l’offre. Sur le plan géographique, la Finat met en évidence le dynamisme des marchés des pays de l’est et du sud de l’Europe qui enregistrent des taux de progression de 20,6 et 13%, respectivement. En Turquie, Russie, Roumanie et en Bulgarie la hausse de la demande dépasse les 20% ; la croissance est

plus modeste, quoique comprise entre 4,5 et 8,5%, dans les pays à économie plus mature l’Allemagne enregistrant même une augmentation à deux chiffres. L’avenir reste incertain d’après la Finat, en raison des problèmes de disponibilité et de coût des matières premières. Entre janvier 2010 et janvier 2011, en effet, la plupart des matières premières servant à la fabrication des étiquettes autoadhésives se sont renchéries. À commencer par la pulpe de papier (+20-25%), en passant par les résines plastique telles que le polyéthylène (PE), le polypropylène (PP), le polyéthylène téréphtalate (PET) qui ont subi des hausses comprises entre 25 et 35%, sans oublier les adhésifs, dont certains composants polymères affichent des surcoûts de 75%. D’après Jules Lejeune, directeur général de la Finat, les problèmes de disponibilité de ces matières premières risquent de restreindre l’offre alors que la demande d’étiquettes autoadhésives ne cesse de croître sur le marché. TP

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Conditionnement

De la décoration

à la conservation

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Avec les barrières à l’oxygène et à la lumière, les étiquettes IML permettent d’améliorer la DLC de nombreux produits alimentaires. Puget (groupe Lesieur) a lancé en mars dernier des spécialités à tartiner pour l’apéritif dans des pots en polypropylène SuperLock de Superfos, avec IML barrière et couvercle twist-off.

fiant la fabrication et en réduisant le coût de l’étiquetage. Aujourd’hui, l’intégration de copolymère éthylène alcool vinylique (EVOH) le plus souvent, d’oxyde de sili cium (SiOx) parfois, entre deux couches de polypropylène, permet d’étendre la durée de conservation de soupes, sauces, pâtés, compotes…, de plusieurs semaines ou mois. « Pour diverses raisons, contraintes de sécurité, stockage, bruit sur les lignes de production, craintes par rapport à l’alu minium et au bisphénol A…, beaucoup de clients cherchent une alternative aux boîtes métal et aux bocaux », remarque Laurent Morel. « Certes, l’IML barrière

Avec l’Imprimerie Verstraete, leader européen des étiquettes IML, Herplast, spécialiste des emballages injectés à parois minces et de l’IML, prépare le lancement de pots de 100 et 200 ml, barrières à l’oxygène, pour les produits frais et appertisés.

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ne concurrence pas les emballages de conserves, mais a-t-on besoin de durées de conservation, DLC ou DLUO, de quatre ou cinq ans ? », lance Christian Derousseaux, res ponsable commercial de Herplast. L’exemple de Puget, passé du verre au plastique, est révélateur. La marque cherchait un emballage passant en autoclave et garantis sant une date limite d’au moins un an. « Comme le verre, il est transparent, mais lui ne casse pas. En alliant cette transparence et des couleurs vives, le résultat visuel est superbe et très impactant en rayon », témoigne Marina Testu, responsable marketing foodser vice de Lesieur. photo dr

Sur Emballage 2010, en novembre der nier à Paris, Herplast avait attiré l’at tention avec des prototypes de barquettes intégrant des étiquettes imprimées dans le moule (IML), blanches ou trans parentes, barrières à l’oxygène. Prêt pour les produits frais, le fabricant annonce une validation industrielle sur des applications appertisées dans les prochaines semaines. Récemment, Puget (Lesieur) a lancé des spécialités à tartiner, pasteurisées, dans des pots SuperLock de Superfos. La recette ? L’IML barrière à l’oxygène. « L’ajout d’une telle barrière est la tendance de ce marché », constate Laurent Morel, directeur régional des ventes de Superfos. « Auparavant justifié par la seule décoration, l’IML suscite un intérêt plus grand avec des fonctionna lités liées à la conservation », confirme Nico Van de Walle, responsable de l’in novation du belge Verstraete. De fait, il y a une trentaine d’années, Owens-Illinois a développé l’étiquetage dans le moule pour décorer des flacons de shampoing de Procter & Gamble. Le procédé offrait qualité graphique, résistance à l’usure, toucher « peau d’orange », tout en simpli

Complexité technique Certains industriels doutent pourtant. Veriplast, qui utilise le procédé sur de grands seaux, souligne la difficulté de mise au point, avec le bon film, aux bonnes épaisseurs, une couche barrière régulière. « Sur de petits contenants, obtenir une barrière à 100% est illu soire ! » « C’est pourquoi nous parlons de conservation du produit et d’améliora tion de la DLC », précise Laurent Morel. Les partisans du procédé, d’ailleurs, ne nient pas sa complexité technique. Première exigence : un recouvrement total de l’emballage, sur les côtés et le fond, le dessus étant operculé. « La banderole doit absolument venir sous le buvant et être liée étroitement avec le

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Un marquage indélébile pour le dosage

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Le décor par injection IML (in-mould labelling), répandu dans l’agroalimentaire, est très peu présent dans le domaine de la santé. Pourtant, au-delà de la parfaite conservation du décor dans le temps, le marquage indélébile et inviolable qu’offre l’IML est très intéressant pour ce secteur. Stiplastics propose des systèmes de dosage, gobelets et cuillères, décorés par ce procédé. Selon l’entreprise, la difficulté principale lors de la mise au point a été d’obtenir la précision de dosage exigée par les normes de la pharmacopée. L’étiquette en polypropylène (PP) est imprimée en offset quatre couleurs. Un système d’ailettes à l’intérieur du gobelet en PP lui permet de se clipser facilement sur les bouchons des flacons de sirop par exemple. L’IML empêche les graduations de s’effacer à l’usure. Selon Stiplastics, l’IML ne nécessite pas d’opération supplémentaire et le délai de réalisation n’est pas allongé. MB

fond, détaille Christian Derousseaux. La moindre ouverture est rédhibitoire. C’est pour ne pas risquer de dégrader l’éti quette lors de l’injection que nous pla çons les plots d’empilage à l’intérieur de nos pots. » Chez Superfos, chaque appli cation donne lieu à de nouveaux échan tillons, validés empiriquement avec les clients. Laurent Morel insiste aussi sur la gestion des épaisseurs, en particulier en cas de traitement thermique. D’où une préférence pour les films laminés.

L’emballage doit être entièrement recouvert, sur les côtés et le fond. De leur côté, les fabricants de films et les imprimeurs proposent déjà diffé rents produits « en fonction des perfor mances recherchées et à cause du coût de l’EVOH », signale Nico Van de Walle. Verstraete a développé deux niveaux d’étiquettes, l’un avec une perméabilité

de 2 cm3/m²/jour, à une température de 23°C et avec 65% d’humidité, et l’autre avec une barrière inférieure à 1 cm3/m²/ jour, pouvant être protégé par une laque spéciale, qui supporte la pasteurisation. Le finlandais KWH Plast affiche des per méabilités de 1 à 3 cm3/m²/jour, pour des épaisseurs de 80 et 100 microns. « Cela nous oblige à travailler avec plusieurs fournisseurs, chacun ayant ses particu larités », précise Nico Van de Walle. Qui recommande le contrôle des films mais aussi des emballages injectés pour s’as surer de la qualité de la barrière. Les investissements requis et les matières premières renchérissent évidemment le coût du process. « 30 à 50% plus élevés que celui d’un pot décoré par IML, l’éti quette elle-même valant plus du double d’une IML standard », avance Christian Derousseaux. « Dans un contexte différent, et avec un faible retour d’expérience sur le sujet », rappelle Laurent Morel. L’évolution de l’IML ne s’arrête pas à la barrière à l’oxygène. Quelques indus triels, tels Verstraete ou le néerlandais Moens Mouldings, travaillent sur la bar rière à la lumière. « Un projet dans les produits laitiers sortira prochainement en Scandinavie, avec une opacité supé rieure à 99% », annonce Nico Van de Walle. Qui ne livre aucun autre indice. Comme toujours, l’avance technologique est précieuse. Arnaud Jadoul

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Design

En toute transparence Les étiquettes « no label look » sont appréciées pour leur discrétion. Sur les produits cosmétiques et premium, étiquettes adhé sives et sleeves savent se faire oublier. En adoptant le « no label look », ils donnent l’impression que les condi tionnements sont directement décorés. Pour obtenir cet effet, il faut un matériau très transparent. « La bande porteuse est, en général, en polypropylène (PP) ou en polyéthylène téréphtalate (PET), explique Lionel Mostchwiller, responsable de fabri cation au sein du groupe JPL, spécialiste de l’étiquette adhésive. Le PET est tou tefois plus facilement recyclé que le PP. » L’adhésif aussi se fait discret. « Nous utilisons des colles acryliques ultratransparentes », précise Laurent Pie rard, responsable du site Reynders Etiquettes Cosmétiques à LibremontGel nettoyant   pour les mains La Fédération internationale des fabricants et transformateurs d’adhésifs et thermocollants sur papiers et autres supports (FINAT) a récompensé une étiquette no label look lors de sa compétition annuelle en 2010. Réalisée pour Palmolive, elle est imprimée par Skanem sur son site anglais de Liverpool.

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Chevigny (Belgique). Sur une bande por teuse synthétique, l’adhésif se répartit de façon homgène. « Sur une glassine, la répartition peut être différente, ce qui donne des zones laiteuses, poursuit Lionel Motschwiller. Ce n’est pas le cas sur une bande synthétique. »

Alternative Par rapport à une glassine, soit un papier quasi transparent, les étiquettes en plas tique sont moins épaisses tout en offrant une meilleure résistance à la casse. « Le changement de bobines est moins fré quent. Ceci permet des gains de produc tivité. Ces étiquettes peuvent aussi être posées sans problème à des cadences très élevées. » L’aspect de la matière doit aussi correspondre à celui du conditionne Shampooing Les étiquettes no label look ne sont pas réservées aux contenants transparents. Le Petit Marseillais les utilise sur ses flacons colorés de shampooing.

ment. « Si un flacon est mat et l’étiquette brillante, forcément ce sera visible. À l’in verse, la brillance d’une bouteille disparaî tra sous une étiquette mate. Dans les deux cas, l’effet no label look escompté ne sera pas obtenu. » Côté sleeve, la transparence de la matière est évidemment importante mais aussi sa rétractation. « Il ne faut pas de « T-shirt effect », explique Sofiane Mameri de Sleever International. C’est-àdire qu’il ne doit pas y avoir de pli. » Ensuite, tous les types de décoration existants sont possibles. Sérigraphie, dorure, métallisation, impression en huit couleurs… Les limites sont le budget du client. « L’avantage de l’étiquette est bien sûr le décor en ligne plus facile à gérer qu’un décor direct », rappelle Lionel Motschwiller. En effet, ces produits ultraDéodorant Pago a fabriqué des étiquettes no label look pour des déodorants Nivea conditionnés dans des flacons en verre.

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Ces étiquettes sont utilisées pour des produits où il y a une vraie recherche esthétique. Lionel Mostchwiller, JPL

Biotherm l’a bien compris. Selon Sofiane Mameri, « avant la marque utilisait des pots teintés et sérigraphiés, aujourd’hui nous achetons pour elle des pots en verre blanc, plus facile à recycler, et nous appli quons des Sleeves aux décors différents pour les 17 références de soins. » Au départ, Sleever International fournissait les pots de 15 ml. Les gains logistiques et

photo pascal guittet

Parfum Eau Jeune utilise des étiquettes no label look sur ses parfums. La marque joue avec la transparence pour donner un effet de profondeur aux décors comme ici sur le flacon de L’échappée Belle où le papillon est imprimé sur l’étiquette arrière. Celle-ci est imprimée par JPL sur un substrat Fasson (Avery Dennison).

économiques sont suffisamment impor tants pour que Biotherm confie également à l’entreprise les conditionnements d’une contenance de 50 ml. Une autre marque du groupe L’Oréal, Garnier, a adopté ce système pour ses pots de crèmes. Si en termes de coûts, les étiquettes no label look sont économiquement intéressantes vis-à-vis d’un décor direct, elles sont toute fois plus chères qu’une étiquette classique. « Ce type de produit n’est pas une part minoritaire de notre activité », convient Laurent Pierard. Même son de cloche chez JPL : « Cela reste marginal dans la totalité de notre activité en volume, pré cise Lionel Mostchwiller. Ces étiquettes sont utilisées pour des produits où il y a une vraie recherche esthétique : en cosmé tique, pour des vins haut de gamme… » On trouve aussi des exemples alimen taires : « Nous avons réalisé des no label look pour des bouchées de chocolats Côte d’Or », se souvient Laurent Pierard. Le coût des étiquettes synthétiques et des Sleeves est dépendant de celui des matières pre mières. Les cours actuels des plastiques, en perpétuelle augmentation, sont un frein évident à l’utilisation de ces produits.

Soin Biotherm a délaissé les pots directement décorés pour des pots sleevés fournis par Sleever International. Certaines références jouent avec la transparence et laisse entrevoir le soin contenu.

Mirabelle Belloir

Vernis à ongles Les vernis à ongles sont aussi friands de no label look. Reynders Etiquettes Cosmétiques fabrique des produits pour la marque Essence.

photos dr

transparents sont des alternatives éco nomiques au décor direct. En termes de logistique, la différenciation tardive est aussi plus simple à gérer.

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distribution

Le « poids-prix » monte en gamme Les étiquettes du rayon frais doivent permettre de mieux différencier le pack en linéaire. Une évolution qui passe par le choix de nouveaux formats et matériaux, davantage d’informations et, bien sûr, la sécurité et l’environnement. L’avènement de l’étiquetage poids-prix coïncide avec celui du libre-service, il y a une trentaine d’années. Il fallut, à l’époque, trouver une solution pour éviter aux caissières de peser les barquettes de viandes, poissons, fro mages et autres produits qui, en raison de leur nature ou présentation, ne peuvent être commercialisés sans effectuer cette opération préalable. L’étiquetage poidsprix, comme son nom l’indique, consiste à apposer sur le produit une étiquette mentionnant son poids et son prix, voire, le plus souvent, ces deux informations ainsi que la dénomination commerciale, la date limite de consommation (DLC), le poids au kg, un numéro de lot. Pendant longtemps, industriels et distributeurs se sont contentées de simples étiquettes autocollantes. Ils souhaitent aujourd’hui que les étiquettes poids-prix contribuent,

au même titre que le reste du pack, à la différenciation du produit en linéaire. Quatre grandes tendances émergent pour parvenir à cet objectif. La première consiste à utiliser, dès que la valeur commerciale du produit le permet, des matériaux diffé rents comme le plastique, voire des poly mères biodégradables si l’aliment possède une connotation « environnementale », par exemple s’il est issu de l’agriculture bio logique. Les étiquettes transparentes sont appréciées car elles offrent une vue complète sur le produit, ce qui peut être rédhibitoire dans l’ultra-frais pour valoriser une tranche de viande ou un saumon.

Augmentation des informations La deuxième tendance réside dans l’aug mentation du nombre d’informations que ces étiquettes véhiculent. « Les industriels nous demandent d’imprimer, outre le

poids et le prix, des conseils de cuisson, s’il est préférable par exemple d’utiliser le four plutôt que la poêle et combien de temps faut-il pour cuire le produit », explique Laurent Boudou, responsable éti quetage chez Bizerba France. La démulti plication des étiquettes (étiquettes-livrets, stickers, primes), participe à cette suren chère de l’information, parfois uniquement promotionnelle. En ce domaine, la dernière nouveauté s’appelle code bidimensionnel. Imprimé à côté du poids et du prix, il per mettra au consommateur d’accéder à un contenu additionnel sur le produit, via un téléphone mobile 3G. « Les étiquettes, en raison de leur taille, reportent un nombre limité d’informations. Grâce au QR code, le consommateur peut consulter le site inter net de l’éleveur afin d’en savoir plus sur la tranche de veau qu’il achète », observe Christine Baconnet, responsable commu

Machines : lA modularité s’impose

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Terminal tactile couleur Tapis d’amenée et séparation

Tête d’impression dépose dessus Dépose de sticker

Marquage jet d’encre

Peseuse

Tête d’impression dépose dessous photo dr

L’étiquetage poids-prix cumule deux fonctions de base, le pesage, effectué en mode dynamique sur un convoyeur, et l’étiquetage, prévoyant l’impression de l’étiquette, généra lement par transfert thermique direct, puis son application sur le produit. La tendance est à l’emploi de lignes à architecture modulaire, équipées de plusieurs têtes, pour appliquer une multitude d’étiquettes à données fixes ou variables : une étiquette poids-prix, une à la marque du fabricant ou du distributeur, un sticker, une étiquette livret… Grâce à ce type de configuration, le conditionneur peut passer instantanément d’une production à une autre. Il lui suffit, en effet, de n’activer que quelques têtes à la fois, selon ses besoins. Les lignes modulaires permettent aussi de coupler les fonctions de l’étiqueteuse poids-prix et de la trieuse pondérale. « Si le produit est à l’intérieur de la fourchette, il est envoyé vers la tête à poids fixe, sinon vers la tête poids-prix » explique Jean-Pierre Motz, directeur commercial de Bizerba France. Cette ligne de Bizerba GLMI comporte deux têtes d’impression (dépose dessus et dessous), un poste de dépose de sticker et une tête de marquage jet d’encre.

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étiquettes i approfondir 57 La valeur ajoutée par l’étiquette

photo mettler toledo

L’information : détaillée, pour indiquer un temps et un mode de cuisson (2) ; bidimensionnelle, pour renvoyer vers un contenu internet (3).

photo mettler toledo

photo bizerba

photo espera

La forme : en « C », pour faciliter la mise en rayon (4)… … et la saisie du code-barres par la caissière (5).

4 5

photo mettler toledo

La santé et   l’environnement : avec un dorsal moins épais, pour réduire les déchets (6) ; sans BPA, pour éviter les effets sur la santé (7).

photo upm-raflatac

Tiziano Polito

photo ravenwood

nication chez Mettler Toledo. Le flux des informations est bidirectionnel. Les don nées comme le poids-prix et le numéro de lot remontent aussi vers les systèmes d’in formations des producteurs. « La plupart de nos clients nous demandent à pouvoir rentrer les données qu’ils impriment dans un logiciel de supervision, type Enterprise Resource Planning (ERP), à des fins de tra çabilité », note George Valls, directeur de Espera France. Un autre axe de différenciation consiste à positionner l’étiquette poids-prix diffé remment. Non plus uniquement sur le des sus de la barquette, mais sur les trois côtés – le dessus, le côté et le dessous –, avec les informations de base (le poids, le prix, la dénomination) visibles des trois côtés et un code-barres sur la partie inférieure de l’emballage. Certains parlent de « C » label ling. « Ce type de solution facilite le rayon nage parce la barquette peut être rangée dans n’importe quel sens sur l’étagère ; de plus l’étiquette peut servir de témoin d’effraction », note Pierrik Germond chez Espera France. D’autres configurations, en « L », en « U » ou tout autour de la barquette, sont également appréciées. Enfin, les étiquettes poids-prix ont évolué aussi sur le plan de la sécurité et de l’en vironnement. La polémique au sujet de la présence du bisphénol A (BPA) dans les papiers thermiques des tickets de caisse et dans certaines étiquettes poids-prix du rayon fruits et légumes, a conduit à l’ap parition des premières étiquettes auto collantes « BPA free ». UPM Raflatac vient de lancer un papier garanti 100% exempt de ce composé chimique susceptible de perturber le fonctionnement endocrinien. D’autres fournisseurs, en revanche, se sont attaqués au « dorsal », la bande de papier siliconé qui sert de support à l’étiquette : certains comme Mettler Toledo ont réduit son épaisseur alors que Ravenwood, pro pose tout simplement de la supprimer. « Notre solution est écologique car, elle évite à l’industriel d’avoir à se débarrasser du ‘liner’. De plus, elle lui permet d’utiliser moins d’adhésif, ce dernier étant déposé localement sur la surface de l’étiquette », explique Philippe Desbordes, directeur commercial de Ulma Packaging qui dis tribue en France le matériel Ravenwood. Valorisantes, riches en informations et, maintenant, plus en phase avec l’environ nement : décidément, les étiquettes poidsprix savent évoluer avec leur temps !

Le matériau : transparent, pour mieux voir le produit (1).

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Industrie

indestructibles et tout terrain Les spécialistes des applications techniques développent des étiquettes qui résistent aux pires conditions climatiques ou industrielles. Résister à tout ! Et même au pire… Et aussi à la contrefaçon et au marché gris. Certaines étiquettes sont conçues pour faire face aux pires conditions — en milieu natu rel ou industriel — afin que les infor mations restent lisibles et utilisables sur une longue période. La norme ISO/ TS 10891 : 2009 couvre, par exemple, l’étiquetage des conteneurs pour le transpor t de marchandises et four nit les spécifications et les méthodes d’essai applicables à l’identification par radiofréquence (RFID). Des produits à longue durée de vie comme les moteurs, les pièces méca niques en mouvement ou sujettes aux

Schreiner ProTech propose des étiquettes avec la technologie dite Color Laser Film (CLF) pour l’étiquetage des panneaux solaires.

oto

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vibrations, les compteurs électriques, les extincteurs ou encore les bacs réu tilisables en plastique peuvent aussi nécessiter l’emploi d’une étiquette indécollable et inviolable.

Les étiquettes résistent alors aux hautes températures, aux solvants et autres produits chimiques. Spécialiste des applications techniques pour l’industrie, JMD (Supratec) a triplé les niveaux de sécurité sur sa dernière gamme de produits, avec l’objectif d’empêcher le déplacement ou l’arra chage, qu’il soit volontaire ou acciden tel, voire, si cela se produit, de rendre manifeste la tentative d’enlèvement du support. La solution a été développée pour les applications où la garantie de l’identification et la sécurité sont essen tielles. L’étiquette combine trois fonctions sécuritaires : elle se rétracte lorsqu’on la chauffe pour la décol ler ; sécable, elle empêche un décollage complet grâce aux amorces de découpe qui sont disposées sur son pourtour ; elle possède une fonction Void, laissant une couche imprimée, afin de témoigner d’un décollement volontaire ou accidentel. JMD propose aussi des étiquettes en polyimide, un polymère qui résiste à des tempéra tures de l’ordre de 300°C pour étique ter les cartes électroniques.

Répandue, la fonction Void est éga lement offer te par des imprimeurs comme Azur Adhésifs, qui fête ses dix ans, tandis que Etik Ouest propose des développements sur-mesure pour le secteur automobile. Les étiquettes résistent alors aux hautes tempéra tures, aux solvants et autres produits chimiques mais aussi à l’abrasion et aux frottements.

Codes à barres Reste que la performance – discrète mais efficace – peut aussi être de mise : avec Optiquette, Etik Ouest a déve loppé une petite étiquette de lunettes, impossible à arracher mais facile à positionner sur toutes les montures. Cette étiquette assure la traçabilité par codes à barres ou identification par radiofréquence (RFID) aux profession nels de l’optique. L’allemand Schreiner ProTech (Schreiner) propose, pour sa part, des étiquettes qui résistent pen dant plusieurs années aux intempéries et aux ultra-violets (UV). L’entreprise a développé, par exemple, des étiquettes pour panneaux solaires qui sont réali sées en continu sur le lieu de fabrica tion des modules. L’étiquette supporte également des informations légales relatives aux caractéristiques élec triques : « apposées au dos du panneau solaire, elles indiquent les principales données de performance et le nom du fabricant », explique l’entreprise, qui précise que « ces étiquettes relatives à la sécurité sont générées juste après le compteur flash et doivent répondre aux exigences de la norme EN 50380 ». La lutte contre la contrefaçon est éga lement au programme avec la technolo gie de marquage dite Color Laser Film (CLF) et le recours aux hologrammes. Selon le fabricant, ces solutions vont au-delà de la norme CEI 61215:2005 relative aux modules photovoltaïques. Henri Saporta avec Tiziano Polito

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Logistique

Un observatoire sur

les défauts des étiquettes GS1 a créé une plateforme collaborative pour mieux résoudre les problèmes d’identification des palettes. Absentes, déchirées, rayées, mal imprimées, dotées d’un codebarres illisible ou non conforme : les étiquettes logistiques, qui sont collées sur les palettes et les colis, et servent à l’identification des marchandises, posent parfois problème. Nous sommes loin de l’épiphénomène. Près des deux tiers des informations reportées sur les étiquettes GS1-128, le standard actuel, ne seraient pas fiables, selon un audit réalisé en 2007 par GS1, l’organisme chargé de promou voir les standards sur la chaîne d’approvi sionnement en France. D’où l’idée de créer un observatoire de l’Excellence Logistique pour caractériser ces problèmes et trouver des solutions. « Dans la plupart des cas, les industriels ne se rendent même pas compte des défauts de leurs étiquettes. Ils pensent avoir imprimé le bon code-barres sauf qu’il manque le caractère de fonction, ce qui le rend illisible. Il faudra alors ouvrir le carton, déballer les produits, remonter jusqu’au bon de commande : c’est une perte de temps et d’argent », explique Alain Tardy, responsable grands comptes chez GS1. « Les problèmes ont commencé à émerger lorsque les distributeurs ont automatisé les process de réception des marchandises. Auparavant, les manu tentionnaires procédaient à une recon naissance manuelle des produits, du

coup personne ne s’apercevait de rien », commente Corinne Narbaïts-Jauréguy, chef de projets GS1. L’observatoire GS1 s’appuie sur une pla teforme collaborative, en clair un por tail internet sur lequel les opérateurs concernés (fournisseurs et distributeurs) sont invités à indiquer les problèmes de non conformité des standards liés à la réception des marchandises et qui se résument à des défauts (des « écarts » préfèrent dire les logisticiens) au niveau des avis de réception (DESADV) et des étiquettes logistiques.

Premier verdict Neuf enseignes, parmi lesquelles Auchan, Carrefour, Casino, Cora et Monoprix ainsi que 185 industriels français, présents dans les produits frais, l’épicerie sèche, les surgelés, les boissons, la droguerieparfumerie-hygiène (DPH), ont adhéré à l’initiative. Opérationnel depuis un an, l’ob servatoire a déjà livré son premier verdict. Les principaux écarts relevés au cours du premier trimestre 2011 concernent « l’éti quette palette » (68,70 % des cas). Cette catégorie « fourre-tout » englobe des pro blèmes divers dépendant de l’encodage de l’information, de la qualité d’impression, de la non conformité des codes-barres. Les difficultés de lisibilité de l’étiquette

concernent 15% des cas ; l’absence de l’étiquette 4,1% des cas ; son mauvais positionnement 2,5%. Le reste, soit 7,8% des cas, relèvent de défauts des DESADV. Partant de ce constat, l’observatoire GS1 propose une série de recommandations, listées dans un document, le Cahier des charges de l’excellence logistique (télé chargeable sur internet), qui prévoit, notamment, une généralisation du stan dard GS1-128 mais aussi des conseils de bon sens comme le fait d’apposer l’éti quette sur les deux côtés adjacents de la palette ou de vérifier régulièrement l’impri mante. « L’objectif, à l’échéance 2013, est que 80% des volumes en réception soient fiabilisés », note Corinne Narbaïts-Jauréguy. Une étape clé, consistera, à mieux qualifier les erreurs pour comprendre pourquoi une étiquette n’a pu être déchiffrée. Il s’agira aussi d’augmenter le nombre d’entreprises participantes afin de disposer d’une base statistique plus représentative. Si l’excellence logistique devenait une réa lité, elle pourrait générer une économie de 1 à 2 euros par palette selon GS1. Une économie issue de gains divers tels que la hausse de la productivité en réception, la réduction des litiges, la suppression de frais administratifs et qui pourrait être partagée par l’ensemble des opérateurs. Tiziano Polito

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Étiquettes à problèmes Les problèmes de conformité des étiquettes sont nombreux en logistique : dimensions des barres et contraste défectueux (1), code-barres erroné (2), tête d’impression et symbole coupé (3), présence de traits (4).

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Pesage Aseptique

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L’étiquette des vins Xavier Flouret, vendus à l’export, rend hommage à la première initiale de marque. Fabriquer ce X sans déchirer le papier n’est pas aisé. La découpe est dirigée manuellement. L’échenillage, c’est-à-dire le retrait des parties adhésives inutiles, est plus lent. Cette étiquette est produite par l’ImprimerieCentre Etiquettes (ICE).

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interpack 2011 Rendez-vous à Düsseldorf

■ Premier rendez-vous mondial de la filière de l’emballage et du conditionnement, Interpack 2011 ouvre ses portes du 12 au 18 mai à Düsseldorf en Allemagne. Parmi les événements à retenir : le congrès Save Food. ■ Les pages qui suivent proposent un zoom sur les exposants français qui ont répondu

à notre questionnaire ainsi que la liste des entreprises. ■ Un dernier conseil : les visiteurs doivent prévoir de bonnes chaussures.

Les distances sont – vraiment – très importantes.

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salon

Rendez-vous à Düsseldorf en mai Interpack, le rendez-vous mondial de l’emballage, attend quelque 180 000 visiteurs. moins de temps et qui sont aussi de plus en plus âgés. Les emballages qui permettent une consommation sur le pouce et offrent des fonctionnalités en termes d’ergonomie ont de l’avenir. Le nouvel espace, baptisé InnovationParc Packaging (hall 7a), a d’ailleurs pour thème la qualité de vie.

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Contrefaçon

Difficile de parler du salon allemand Interpack sans employer quelques superlatifs : organisé par Messe Düsseldorf, la prochaine édition du premier rendez-vous mondial de l’emballage se tient du 12 au 18 mai 2011. Une grand-messe qui s’annonce dans la lignée de la précédente, en 2008, avec plus de 2 700 exposants sur 19 halls et 170 000 visiteurs dont 60% d’étrangers. L’édition 2011 fera la part belle à l’emballage métallique et alimentaire. Le Metal Packaging Plaza (hall 11) hébergera les grands spécialistes de l’emballage métallique, souple et rigide. Avec l’espace Save Food (esplanade centrale), organisé en collaboration avec la Food and Agriculture Organisation (FAO), les organisateurs montreront, en revanche, comment l’emballage peut contribuer à diminuer les problèmes d’alimentation dans le monde. L’emballage permet, en effet, de conserver les aliments et d’éviter les pertes de denrées agricoles. Les

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19 halls pour l’emballage Compte-tenu des distances imposantes qui peuvent séparer deux stands, une visite du salon allemand Interpack, qui se tient du 12 au 18 mai 2011 à Düsseldorf, se prépare soigneusement.

biomatériaux vont également disposer d’une belle vitrine. Les organisateurs du salon se livrent régulièrement à des analyses du marché. Ainsi selon une étude de l’américain Pike Research, le chiffre d’affaires mondial des emballages durables devrait pratiquement doubler dans la période 2009 à 2014, en passant de 88 à 170 milliards de dollars. « En raison des discussions qui ont lieu sur le climat, la prise de conscience de l’environnement par les consommateurs a très nettement augmenté », explique Clint Wheelock, chef de Pike Research. Interpack note également que les emballages doivent se mettre au service de consommateurs de plus en plus exigeants. Des consommateurs qui, dans les pays occidentaux, ont de moins en

La lutte contre la contrefaçon constitue également un facteur d’innovation important. Notamment dans le domaine pharmaceutique dans lequel les ventes sur internet explosent. En 2009 et selon les indications de l’Union européenne, la douane allemande a saisi 11,5 millions de médicaments contrefaits. Soit 30% de plus que l’année précédente. D’après une étude de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), jusqu’à 10% de tous les médicaments en circulation dans les régions présumées sûres de l’Europe et des États-Unis seraient des contrefaçons. En Allemagne, comme le précise Ulrike Holzgrabe, membre de la Société pharmaceutique allemande (DphG), la part des contrefaçons atteint quelque 5%. « Et ce n’est là que la partie émergée de l’iceberg », présume l’experte. La vente par correspondance offre aux criminels la plus grande surface d’attaque et elle fleurit, plus spécialement en Allemagne : l’année dernière, le chiffre d’affaires réalisé avec des médicaments délivrés en pharmacie en ligne sans ordonnance a augmenté d’un quart, comme l’annonce ACNielsen, spécialisé dans les analyses de marché. Les métiers du design et de la conception devraient aussi être bien représentés. En 2011, l’allemand iF International Forum Design va remettre sur Interpack ses prix « iF Packaging Award ». Le concours a eu lieu, pour la première fois, à l’occasion d’Interpack 2008 et avait reçu un bon accueil avec 148 participants de 17 pays. Henri Saporta

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ACB-Hydrolock Des stérilisateurs continus flexibles Selon ACB-Hydrolock, le monde de la stérilisation a souvent été confronté aux choix suivants : trouver un équilibre entre un système de stérilisation grosse capacité et un outil flexible de production étant évolutif d’un point de vue process s’adaptant aux différents packagings. ACB-Hydrolock a repensé ses machines pour concilier flexibilité et efficacité énergétique. L’innovation principale est le module de préchauffage : ce nouveau système récemment mis au point est une enceinte permettant de préchauffer les produits au moyen de l’eau de retour de refroidissement. En fonction des produits, 10 à 30% de vapeur sont économisés. Développée au départ pour les boîtes de conserve et les bouteilles, la solution est maintenant déclinée pour tous les emballages tels que bols en plastique, poches et autres pots. L’équipement peut être réglé pour un mode de stérilisation avec ou sans rotation. Dans la plupart des cas, la rotation permet de réduire les temps de cuisson/stérilisation et d’améliorer l’homogénéité pendant cette phase. Hall 6 Stand D10-12

(poubelles, industriels, alimentaires) et des feuilles, présentation possible à l’unité, en rouleaux prédécoupés ou en liasses. La production est destinée à un grand nombre de secteurs d’activités : les industries du bâtiment, de l’agroalimentaire, de l’embouteillage, de l’hygiène, du terreau, le routage, les pressings et blanchisseries, les collectivités… Hall 9 Stand F16-5

Agriplas

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capables de reproduire un maquillage parfait ! C’est pourquoi Albéa présente le concept TIO : un mascara qui se transforme selon l’effet maquillage que l’on souhaite ! Pour atteindre cette alliance parfaite de volume et de définition, les make-up artists ont l’habitude d’utiliser deux outils différents, un pour charger et l’autre pour peigner les cils. Ce temps est révolu ! Avec son double système d’essorage breveté, TIO peut offrir deux résultats maquillage avec une seule brosse. Que cela veut-il dire pour la consommatrice ? Une flaconnette avec un double capot : le capot du bas pour l’étape 1 sert d’outil chargeant ; le capot du haut pour l’étape 2 sert d’outil peignant. Ainsi peut-on choisir son effet maquillage selon le moment de la journée. TIO s’adapte aux besoins de chaque femme avec trois combinaisons différentes : le résultat maquillage parfait ; le maquillage jour/nuit ; le maquillage des cils supérieur/inférieurs. Ce mascara innovant a déjà été choisi par Bourjois pour le lancement européen de son mascara Volumizer. A découvrir aussi Precitube Line, une gamme de tubes airless, et Cream Dispenser, un applicateur de crème. Hall 9 Stand C35

L’entreprise a été reprise, en 2010, par Christophe Berger, salarié de la société depuis 10 ans, suite au départ en retraite de son dirigeant, M. Horellou. Hall 6 Stand D38

Alprod Des films et des sacs en plastique Au fil du temps et, plus particulièrement, depuis 2007, Alprod s’est spécialisée dans la fabrication de sacs en plastique en petites, moyennes et grandes séries avec impression personnalisée. Le site de fabrication, situé à proximité de la région lyonnaise, comprend un atelier d’extrusion, un atelier d’impression en ligne et en reprise jusqu’à six couleurs, un atelier de sacherie avec différents types de soudeuses pour répondre aux différents besoins. Soucieux de son impact environnemental, Alprod utilise des encres à l’eau et travaille sur toutes les innovations existantes : utilisation de matière recyclée, utilisation de matière végétale EN 13432 et utilisation de matière oxodégradable. Hall 9 Stand F16-3

AEP Group

Extrusion de film pour l’emballage. Petite entreprise d’une centaine de personnes établie à Saint-Pal-de-Mons (Haute-Loire), AEP Group, certifié ISO 9001, extrude 20 000 tonnes par an de polyéthylène de différentes densités en monocouche ou en coextrudé. L’entreprise imprime en flexographie jusqu’à huit couleurs, y compris sur polypropylène (PP) et polyéthylène téréphtalate (PET). Le dernier investissement porte sur l’acquisition de deux imprimeuses de dernière génération opérationnelles depuis septembre 2010. La capacité d’impression s’élève à 170 millions de mètres linéaires par an. La gamme de produits comprend aussi bien des films (de protection, fardelage, routage, contre-collage, conditionnement automatique, signalisation), que des gaines (rétractables ou non, standards ou anticollantes, pour pressing…), des housses (palettes, doublures container), des sacs

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Réduction du poids et écoconception Filiale d’un grand groupe industriel breton, Agriplas conçoit, développe et fabrique des emballages en plastique de 30 ml à 220 litres. L’entreprise propose une gamme large et complète, de plus de 200 références, composée de flacons, bidons, pots, barils et fûts. La diversité des marchés - chimie, agroalimentaire, lubrifiant, santé, détergente… - fait d’Agriplas un spécialiste de l’emballage capable de s’adapter habilement aux différentes problématiques de chaque métier. Structure innovante, le bureau d’étude étoffe chaque année la gamme en développant une dizaine de nouveaux produits standards ou sur-mesure. Depuis maintenant plusieurs années, Agriplas a engagé une démarche de respect de l’environnement en mettant en place des actions concrètes telles que la réduction de poids des emballages, le développement de produits éco-conçus, la gestion des déchets via une maximisation du recyclage ainsi que l’accroissement du principe de réutilisation. Hall 9 – Stand G18

Albéa TIO, le Two-in-One Mascara Quand on évoque le mot mascara aujourd’hui, les consommatrices sont de plus en plus exigeantes. Elles demandent un outil rapide et facile mais aussi un outil avec lequel elles puissent être

Apex Automate

ALE De la haute définition avec la Coral 144 Spécialiste du marquage jet d’encre haute définition (360 dpi) de codes 1D et 2D, ALE lance officiellement sa dernière innovation : la Coral 144. Cette imprimante permet l’impression en quadrichromie jusqu’à 144 mm de hauteur jusqu’alors limitée à 72 mm. Elle est d’ores et déjà installée en Norvège dans l’entreprise Viplast qui avait besoin de gagner des points précieux de productivité. A raison de trente mètres par minute sans arrêt de production, Viplast gagne depuis un temps considérable dans la logistique de ses produits qui ne nécessite plus de manutention. ALE est une SARL au capital de 65 000 euros implantée à Vénissieux (Rhône).

Machine de dépose automatique de cônes emboîtés sur bouteilles Apex Automate propose une machine qui permet de déposer en automatique différents types de cônes sur différents formats de bouteilles. Elle est particulièrement adaptée dans l’embouteillage, mais aussi utile pour automatiser la dépose de produits promotionnels coniques ou de forme spécifique dans le domaine

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Contrôle d’étiquettes

iVu, capteur vision avec écran tactile

Lecteur code barre

Visitez-nous à Interpack Hall 13 / D83

Banner Engineering Europe Park Lane, Culliganlaan 2F, 1831 Diegem, Belgium +32 (2) 4560780 • Fax +32 (2) 4560789 mail@bannereurope.com • www.bannereurope.com

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de l’entretien par exemple. La dépose s’effectue à des cadences de 12 000 à 15 000 bouteilles par heure. Le dépileur est composé de quatre arbres planétaires montés sur un arbre tournant, terminés par une tête rotative à ventouse pour préhension sous vide. La ventouse passe devant le magasin, appréhende l’article et en assure une dépose positive. Prise et dépose sont synchronisées par une vanne de distribution de vide. La synchronisation du vide est réglable par une biellette. Tous les arbres sont en acier, montés sur roulement à billes étanches. Son encombrement est de 1 000 x 1 200 x 2 230 mm. Hall 14 Stand D01

Arcil

Deux nouvelles lignes FFS optimisées Arcil présente en démonstration deux nouvelles lignes form fill seal (FFS) à conception optimisée : la IziA4 et la EasyPlus. Ces deux machines sont le résultat d’un re-engineering ayant pour objectif l’optimisation de la conception des FFS Arcil de petite et moyenne capacité en vue d’une plus grande compétitivité. Après le grand succès des FFS Arcil A4, A6, A8, développées et lancées dans les années 90, Arcil utilise l’expérience de plus de 100 clients pour proposer des lignes FFS compactes à Capital Expenditure (Capex) et Total Cost of Ownership (TCO) optimisés. La EasyPlus, peut tourner à une cadence de 23 000 pots par heure pour des pots 125 grammes avec banderole standard. Elle présente un large éventail d’options comme les grandes Arcil et accepte tous les formats de pots et de découpe 2/4/6 ou individuels. Dédiée au format 63x63 mm de pots décorés standard de 125 grammes, l’IziA4 produit 14 400 pots par heure. Ces deux lignes se distinguent par leur faible occupation au sol : longueur 8,50 m pour la EasyPlus et 5,80 m pour la IziA4. D’une esthétique soignée, elles allient ergonomie, fiabilité et performance. À découvrir aussi la cellule Engineering Synerlink et la suremballeuse AP90 dotée du nouveau module d’encaissage ApLoader. Hall 6 Stand D27

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Aucouturier

Enveloppage et pliage en X L’AF400 d’Aucouturier est une enveloppeuse électronique du type horizontal idéale pour les biscuits, les gaufrettes ou le chocolat. Elle est dédiée à des applications moyennes – hautes cadences avec une vitesse du déroulement de film qui peut atteindre 55 mètres par minute. Cette machine d’emballage est également disponible avec une commande électronique permettant d’asservir ses composants à ceux d’autres applications dépendantes tels que robots et stations de chargement… L’AX 70-78 représente, pour sa part, la dernière génération de machines de pliage en X. Résultat de l’évolution de l’enveloppeuse plis en X «biscuits sur chant» traditionnelle, cette machine permet d’atteindre une cadence de 70 paquets par minute. Hall 8b Stand F28

Bericap Des bouchons en plastique pour l’aseptique Fabricant de bouchons en plastique, Bericap met en avant son savoir-faire en matière d’éco-conception et d’allégement. Sont concernés le bouchage des boissons carbonatées et les eaux mais aussi les boissons conditionnées en aseptique (ACF) et à chaud (HF) ainsi que les huiles alimentaires. Les nouveaux bouchons allégés et les bouteilles en polyéthylène téréphtalate (PET) correspondantes à ces cols allégés offrent une contribution importante à la recherche d’économies des marchés, notamment à l’époque où les matières premières sont en fortes hausses, mais aussi à l’utilisation de moins de ressources non-renouvelables et à une réduction des émissions de gaz à effet de serre et de l’empreinte carbone. Bericap présente aussi ses nouveautés en matière de sauces en conditionnements « squeezable » avec un nouveau concept de valve mono-matériau sans silicone. Une offre de bouchons techniques répond enfin à la demande des marchés de spécialités industrielles pour des solutions qui protègent de la contrefaçon et notamment pour les productions des leaders mondiaux de l’industrie chimique. Hall 10 Stand E 67

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CERME

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utilise le premier polyéthylène végétal présentant un impact favorable sur l’effet de serre en prélevant du carbone de l’atmosphère. Fabriqué à partir d’éthanol issu de la canne à sucre, il possède les mêmes caractéristiques que le PE fossile et s’utilise pour les mêmes applications : sacs-poubelle, films étirables ou sachets congélation. Hall 9 Stand D18

Bernhardt

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tion des produits liquides, pulvérulents, granulés et crèmes. Hall 9 Stand F22-2

semi-automatique et la ligne K-LINE en automatique linéaire multi-becs. Hall 12 Stand F51

Cee Schisler

Bolloré

Un nouveau fût de 30 l réutilisable Fabricant depuis 1956 d’emballages souples haute barrière pour poudres, granulés, produits liquides ou pâteux, Bernhardt présente le Bag-in-Keg de 30 litres (BIKe30). L’innovation porte sur un fût en polyéthylène haute densité (PEhd) d’une capacité de 30 litres combiné avec une poche barrière souple apte au contact alimentaire. Le contact entre le produit et le fût est éliminé. L’intérêt principal est l’économie réalisée lors de l’utilisation du fût dans un cycle de consigne. Les marchés principalement concernés sont ceux des boissons tels que la bière ou le vin, et des liquides en général. A terme, l’homologation pour le transport de matières dangereuses permettra de proposer cet emballage aux industriels des secteurs de la pharmacie, chimie et cosmétologie. Hall 9 Stand F22-7

BioSPhere De l’innovation verte et biosourcée BioSPhere (SPhere) continue « sa révolution environnementale » en enrichissant son offre en bioplastiques pour répondre, à la fois, aux attentes en développement durable des consommateurs et à l’augmentation du prix du pétrole. SPhere propose un large choix de résines et de produits finis biosourcés aux usages et caractéristiques complémentaires. BioPlast est une résine 100% biodégradable/compostable à base de fécule de pomme de terre. Vegetal Origin reprend toute une gamme de films en plastiques végétaux, à base de canne à sucre et au bilan carbone neutre. SPhere déploie un deuxième axe majeur d’innovation : le remplacement des ressources fossiles de ses produits non-biodégradables par du polyéthylène (PE) végétal au bilan carbone neutre. Concrètement, SPhere lance en 2011 la gamme «Alfapac Vegetal Origin» et

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CDA

Des films ultrafins Bolloré met en avant Bolphane Thin Technology et lance ses nouvelles références de films thermorétractables ultrafins. Pionnier dans les emballages de très faible épaisseur, Bolloré propose quatre nouveaux films Bolphane BTT. Ces films thermorétractables se caractérisent par leur extrême finesse, une performance rendue possible grâce à une complète maîtrise technologique et à une très forte capacité d’innovation. Bien qu’ultrafins, les Bolphane BTT n’en sont pas moins résistants et adaptés au conditionnement à haute cadence. Ils sont conçus pour se rétracter et souder à basse température. Avec davantage de film sur chaque bobine, les arrêts machine sont moins nombreux. Les films sont aptes au contact alimentaire et aux normes ISO 22000 et BRC/IoP. Hall 9 Stand D20

BSI Grand récipient vrac BSI présente un GRV en Inox de 1 000 litres type Clepi pour le transport et le stockage de produits liquides non dangereux ou dangereux des classes 3, 6 et 8 appartenant au groupe II ou III, avec une tension de vapeur maxi de 1,1b à 50°C ou 1,3b à 55°C. Concepteur et constructeur de conteneurs aluminium et inox, installations process et équipements de lavage depuis plus de 30 ans, BSI est un acteur majeur dans les domaines du transport, du stockage, de la manuten-

Food-to-Go pour aliments chauds Cee Schisler lance Food-to-Go, un modèle unique de boîte alimentaire pour toute nourriture chaude telle que pâtes, kebab ou risotto. Conçue spécifiquement pour la vente à emporter, micro-ondable, elle peut aussi contenir d’autres types d’aliments comme des pâtisseries ou confiseries. Cee Schisler est aussi un spécialiste des gobelets en carton Vending Eco-responsable destinés au secteur de la distribution automatique. De nouveaux gobelets avec carton sont proposés avec un couchage Mater-bi. La Compagnie européenne des emballages Robert Schisler produit et imprime des sacs en papier, des gobelets en carton, des serviettes et des couvercles pour la restauration rapide, la distribution sélective et le commerce de bouche. Hall 9 Stand F22-6

Cermex De l’étiquetage et du remplissage Spécialiste dans la conception et la fabrication de machines à étiqueter adhésives pour le vin, CDA diversifie depuis plusieurs années son activité vers différents secteurs industriels comme l’agroalimentaire, les cosmétiques, les peintures, les détergents ou encore la chimie… En proposant de nouvelles gammes de machines performantes et fonctionnelles, CDA a développé une gamme de machines à étiqueter automatiques linéaires très complètes : les Ninon peuvent intégrer plusieurs têtes d’étiquetage. Ces étiqueteuses linéaires sont configurables selon les besoins tandis que les postes d’étiquetage s’adaptent aux produits. Autre innovation chez CDA : les remplisseuses ! CDA s’ouvre un nouveau marché en se lançant dans la fabrication de remplisseuses de précision pour divers secteurs industriels. Ayant intégré au sein de son équipe de nouveaux éléments qualifiés et dotés d’une expérience de 20 ans dans ce domaine, CDA joue la carte de la sûreté et de la qualité ! En cohérence avec la gamme des machines à étiqueter, la gamme des remplisseuses se décline en deux versions : la ligne K-NET en

VersaFilm : le fardelage sans soudure modulaire Cermex présente sa nouvelle gamme de fardeleuses modulaires sans soudure : VersaFilm. Avec les machines de la famille TS, Cermex disposait jusqu’alors d’une réputation certaine dans le domaine du fardelage par thermoscellage. Mais avec la famille VersaFilm, le saut technologique apporte aux utilisateurs une valeur ajoutée inégalée. La conception de la gamme selon la logique de l’architecture modulaire ajoute aux avancées techniques, des atouts en matière de coûts et de délais. Plus innovantes, plus rapidement disponibles, moins coûteuses à acquérir et à maintenir, les solutions de la nouvelle famille VersaFilm illustrent l’expertise globale de Cermex pour la fin de ligne d’emballage.

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La cinématique épurée et la plus grande lisibilité de la machine, globalement plus aérée, facilitent les interventions de l’opérateur. À découvrir aussi la première machine de fin de ligne d’emballage intégrant le nouveau robot delta 6 axes de Fanuc. Le combiné d’encaissage-palettisation SD/P5 est configuré dans une application sachets stand up totalement inédite, avec à la clef des performances réellement innovantes, en termes de capacités de mouvement. L’intégration du robot delta 6 axes autorise jusqu’à 6 kg de masse embarquée. Hall 13 Stand C47/D48

tigieuse Nestlé Waters, Claranor s’est positionné depuis 2004 avec la lumière pulsée comme fournisseur de solutions efficaces et fiables pour la stérilisation en ligne des emballages dans le secteur des boissons. La stérilisation par lumière pulsée ne consomme pas d’eau, ne met en œuvre aucun produit chimique,

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et s’intègre aisément sur les lignes de conditionnement neuves ou en rétrofit. Ces avantages sont très significatifs en comparaison des technologies chimiques (peroxyde, acide péracétique) couramment utilisées, pour une performance équivalente en termes de niveau de décontamination : entre 3 et 5 log de

réduction sur bactéries et moisissures sur des emballages tels que bouchons et pots. Ces performances permettent de répondre aux exigences industrielles pour le conditionnement des produits réfrigérés, aujourd’hui dans le secteur des produits laitiers, et des jus réfrigérés. Hall 12 Stand E 36

Cetec Deux innovations dans la fermeture de sacs Cetec propose deux innovations dans le domaine de la fermeture et la réouverture des sacs en papier, en plastique et en polypropylène (PP) tissé. Ces innovations viennent concurrencer le système de fermeture des sacs par couture. La première est la création d’un bec verseur. Lors de l’application de la bande latérale, une bande moins large à ouverture rapide est également appliquée mais pré-découpée sur une longueur réglable. Le double pli est également pré-découpé. Une amorce d’ouverture est créée, le sac s’ouvre alors sur cette seule section qui prend la forme d’un bec verseur. Le marché visé est celui des produits qui doivent être vidés partiellement et dosés, et ou le process n’accepte aucune contamination par la chute de lien ou de fils de couture tout en apportant une notion de sécurité alimentaire et de sécurité de l’opérateur, ainsi que le marché de la grande consommation ou industriel. La seconde innovation est une solution de refermeture du sac avec lien solidaire. Cela consiste en l’application de la bande sur le recto du sac mais également sur une partie du verso. Lors de l’arrachage de la bande avec la tire-celle à ouverture rapide, celleci reste maintenue sur le sac. Le sac peut alors être vidé partiellement puis refermé par l’entourage du col du sac par la tirecelle qui sert de lien. Hall 11 Stand E12

Claranor De la lumière pulsée pour le lait Déjà répandues chez les producteurs de boissons, les solutions Claranor de stérilisation des emballages font aujourd’hui leurs preuves dans le secteur laitier. Les premières installations, sur lignes de production de lait frais, yaourt à boire et de desserts lactés, ont été réalisées en 2009 dans de grands groupes laitiers européens. Une dizaine d’autres machines ont été installées en 2010. Avec comme référence pres-

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ASIASI ASI

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A G R O SAUGDR O IN ASD GUU RDO S TI S N RU D IE D U SI N TR DIUES T R

Décomatic

Des manchons aux enveloppes Présent dans le secteur de l’emballage plastique depuis sa naissance en 1956, Décomatic intervient dans les produits d’étiquetage comme les manchons étirables et rétractables. Les produits Jumbo, Pocketsleeve et Booksleeve (brevets décomatic) répondent, pour leur part, aux besoins croissants de sécurité et réglementation sur le marquage produit. Quant à la gamme d’enveloppes et pochettes, bien implantée dans le secteur bancaire et de la sécurité/confidentialité en général, elle s’oriente également vers le domaine de la santé pour le transport de prélèvements biologiques pour analyses. Hall 9 Stand F/22-1

DS Smith Packaging (ex-Otor) Formeuse de caisse en carton FCE Quand il a lancé sa technologie de « formation de caisse autour d’un mandrin », DS Smith Packaging, société dans laquelle est intégrée Otor, a proposé à ses clients de nouvelles possibilités dans le domaine de l’emballage. DS Smith Packaging offre des solutions de mécanisation pour la formation de caisses pour produits alimentaires et non-alimentaires. Les machines forment des emballages en carton ondulé avec ou sans encaissage, en enveloppant les découpes carton autour d’un mandrin. Ce système est conçu pour la mécanisation de formes totalement nouvelles et permet l’utilisation d’emballages beaucoup plus légers. La dernière génération de formeuse de caisses sera exposée sur le stand. Elle est équipée en série de 14 servomoteurs et d’un mandrin réglable entièrement automatisé pour des changements de format rapides et faciles. La gamme FCE offre une précision de mise en volume inégalée à très haute cadence (65 c/mn). Cette machine forme de multiples emballages au design innovant dans une large plage de formats : prêt-à-vendre (PAV) en une ou deux pièces, caisses présentoir, BIB de 2 à 20 litres… Hall 12 Stand D48

Eberlé Des machines pour tubes Eberlé est un constructeur de machines

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présent dans la fabrication de tubes spiralés et de profilés en carton. Pour la production de tubes en carton et de boîtes composite, Eberlé expose la spiraleuse-coupeuse « Iris 230 » qui est une machine de haute productivité avec une vitesse de production jusqu’à 60 mètres de tubes par minute. Pour la production de cornières en carton, le constructeur propose la guillotine « Profiline » qui est un système de coupe automatique en ligne pour la production de cornières en carton jusqu’à 150 x 150 mm. Pour la recoupe de tubes en carton, la recoupeuse «Optima OPT2-330» dispose d’un système d’introduction automatique de tubes avec ou sans magasin. Hall 11 Stand F70

LE SALONLE DES SALON LEDES SALON PROFESSIONNELS DES la PROFESSIONNELS cosmétique, de la santé, du luxe, dePROFESSIONNE DE L'INDUSTRIE DE L'INDUSTRIE DE L'INDUSTRIE la AGROALIMENTAIRE distribution, et des AGROALIMENTAIRE industries… UneAGROALIMENTA

nement multi-formats et est compatible avec les flacons en verre, en polyéthylène téréphtalate (PET), en aluminium et avec les boîtes. Elle est composée de trois postes de mesure : module de mesure de couple : pour mesurer le couple d’ouverture (test non destructif) et/ou le couple de rupture des ponts et/ou le couple de survissage (tests destructifs) ; module de pesée : pour mesurer le poids des flacons (balance agréée en métrologie légale) ; module de contrôle d’étanchéité : pour mesurer la pression faisant éventuellement apparaître une fuite entre le flacon et la capsule. Hall 6 Stand D10-7

Ets André Zalkin

Des emballages en plastique et en papier Issu d’une expérience de 30 ans dans le domaine de la transformation des matières plastiques et en papier, Evenplast est un acteur des emballages en plastique. La gamme d’emballages s’adresse aux secteurs alimentaire, industriel et publicitaire. Les sites de production en France, en Europe et en Asie permettent de proposer une grande variété de produits en petite et grande série. Hall 9 Stand F16-2

Exposium

ZC Line, un module de contrôle qualité en ligne Constructeur de machines à capsuler, Zalkin a récemment conçu un module de contrôle qualité en ligne, le « ZC Line », ce qui lui a permis d’étendre ses activités à un secteur de marché voisin du capsulage : le contrôle qualité. Cette machine de contrôle en inox d’une excellente nettoyabilité est conçue pour un environnement industriel afin d’être intégrée dans les lignes d’embouteillage. Elle est standardisée pour un fonction-

Farbal

Evenplast

Elizabeth-EPMO Des outillages pour blisters EPMO présente, pour la première fois, son équipe technique et commerciale dédiée au marché allemand. Angélique, Wolfgang et Michel présenteront les dernières innovations dans les quatre domaines d’expertise de l’entreprise : outillages de compression, outillages pour blistéreuses, pièces détachées pour presses et progiciels de gestion des outillages. Hall 8A Stand F34

offre complète de la machine au produit fini : matériaux de base ; machines de transformation des matériaux ; machines de conditionnement (primaire et secondaire) ; machines d’impression, marquage, codage, étiquetage ; emballages et accessoires d’emballage. En 2010, le salon a réuni 1 295 exposants et 89 244 visiteurs. Hall 5 Stand A35

Emballage 2012 en novembre Emballage 2012 sera la quarantième édition du salon international de l’emballage de Paris. Il se tient du 19 au 22 novembre 2012. Créé en 1947, le salon de l’emballage s’impose comme le rendez-vous incontournable des industries du secteur sur la zone Europe - Moyen Orient - Afrique (EMEA). Tous les deux ans, Emballage réunit à Paris Nord-Villepinte tous les acteurs de la filière pour plusieurs jours d’échanges, de démonstrations, de présentation issus des secteurs de l’alimentaire, de

Machines d’emballage pour produits de grandes dimensions Depuis plus de 35 ans, Farbal est le spécialiste dans la réalisation de lignes d’emballage sous film de produits de grandes dimensions. Farbal est partenaire des grands secteurs de l’automobile, de la literie, de l’ameublement ou encore du bâtiment. L’entreprise assure la mise en service, la formation des équipes et développe son offre de maintenance des équipements, afin d’assurer la qualité de des emballages de façon continue. Les machines automatiques se caractérisent par des cadences rapides ou lentes, des installations à fardeleuses multiples et adaptations particulières, des soudures par impulsion ou chauffe constante… Hall 5 Stand A 29

GMA Packaging Machinery

Du thermoformage d’assiettes Spécialiste du thermoformage, GMA Packaging Machinery présente sa dernière innovation au sein de sa gamme de thermoformeuses pour une production d’articles en carton à usage unique. La Solara SM15, dédiée à la production d’assiettes jetables en carton, vient désormais compléter la gamme existante, composée des thermoformeuses

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asi_2011_

N TR DIUES T R I E

ONNELS OFESSIONNELS GROALIMENTAIRE ENTAIRE

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Saturne, Solara SB et Solara SM80. La Solara SM15 est une machine compacte à deux stations de formage en parallèle, fonctionnant à partir de formats prédécoupés et permettant de produire jusqu’à 4 200 assiettes par heure. La conception optimisée de la Solara SM15 rend la machine simple et flexible à l’utilisation, et la positionne au niveau de prix le plus accessible actuellement sur le marché. Hall 6 Stand D10-15

profondeur au packaging d’un produit. Complexé avec du carton, le MultiLens permet la réalisation de boîtes et coffrets en donnant à leur extérieur ou intérieur un aspect inédit. Hall 10 Stand A76

Goupe Pigé Le MultiLens au service de la 3D Comment mieux valoriser et différencier un produit par son packaging ? Comment se connecter avec une base de consommateurs qui évolue de plus en plus, dans un espace virtuel où le 3D a le vent en poupe ? Le Groupe Pigé répond à ces questions au travers de deux axes : l’innovation et la création. Il y a trois ans, le Groupe Pigé a développé un nouveau savoir-faire unique en France et en Europe avec le film MultiLens. Cette technologie permet de créer des effets 3D qui seuls ou combinés avec d’autres techniques apportent un effet de

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en proposant la nouvelle remplisseuse pondérale rotative GW Essential. Son concept utilise les nouveaux développements liés à l’électronique de pesage optimisée pour cadences de 60 000 bouteilles par heure. Elle répond aux attentes des utilisateurs en terme d’espace au sol occupé, d’ergonomie, de changement rapide d’outillage, d’économies de solutions de nettoyage et d’eau. La remplisseuse GW peut traiter une large variété de produits comme l’huile de table, les sauces et les produits laitiers liquides. Cette nouvelle gamme de remplisseuses de 6 à 108 têtes est équipée d’un clapet déporté et de la dernière génération de capteurs en poids net avec cartes électroniques de haute performance. Les principaux avantages pour le client sont la flexibilité, la précision de dosage et la traçabilité de la production. Hall 13 Stand D 54

Hema Une nouvelle génération de remplisseuses pondérales Spécialisé dans les systèmes de remplissage, de dosage volumétrique et pondéral, Hema (Sidel) a récemment innové

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Eco-newpack, des solutions d’emballages secondaires de regroupement Développé par Pierre Chevalier, fondateur et dirigeant de la jeune société Inawa basée près de Dijon (France), Eco-newpack est une gamme de solutions d’emballages secondaires de regroupement née à l’origine d’un triple constat toujours plus présent dans l’industrie : un besoin de suremballages en carton toujours plus économiques pour satisfaire les industriels conditionneurs dans un contexte de guerre des prix et de hausses des cours de matières premières ; des besoins fonctionnels toujours plus importants au niveau de l’emballage carton : la fonction communication et marketing – prêt-àvendre (PAV) par exemple – est toujours plus présente aux côtés des fonctions logistiques ; le besoin environnemental : aider à la réduction d’emballages visibles par les consommateurs et souhaitée par la grande distribution et les pouvoirs pu-

blics. A partir de trois pièces aux formes géométriques très simples, qui laissent une entière liberté de style et dimensions, Eco-newpack permet toutes les réponses de suremballages en carton. Hall 9 Stand 22-5 Partenaires Hall 9 Stand A24 Hall 13 Stand C47/D48

Ixapack et Selvex

Du conditionnement sur-mesure Tournés vers la conception et la fabrication de machines de coupe et de conditionnement de fin de ligne, Ixapack et Selvex allient leurs compétences et savoir-faire pour proposer une vaste gamme de solutions innovantes : diviseurs ultrasons à poids fixes, trieuse pondérale, combiné, étiqueteuse simple et impression pose, flowpack, étuyeuse, palettiseur, etc… Une suremballeuse Top Load assure une mise en fourreau de tous types de produits à l’aide d’un ou plusieurs robots de notre conception, offrant convivialité et flexibilité. Une étuyeuse de type Top Load est conçue pour former des emballages en carton à partir de découpes à plat, introduire automatiquement les produits au moyen de robot(s) tripode(s) et fermer l’étui. Les operculeuses MV1 et GV2 permettent de conditionner des barquettes injectées ou thermoformées sous atmosphère contrôlée. Hall 17 Stand A04

Kalan

Des films étirables pour l’alimentaire Spécialiste des films étirables pour emballage alimentaire, Kalan est situé en Bretagne en France. Tous les films fabriqués par Kalan sont entièrement conformes à la législation européenne en vigueur (1935/2004 CE) qui concerne les matériaux d’emballage destinés à entrer en contact avec les aliments. En outre, les références spécifiques destinées au marché européen sont en conformité

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avec la directive 2002/72/EC et ses amendements successifs. Kalan a obtenu la certification hygiène BRC/Iop qui garantit la qualité de sa production. L’entreprise propose une gamme complète de bobines mères pour la transformation en bobineaux ménagers et en rouleaux pour les professionnels de la restauration hors domicile (RHD). L’entreprise propose également une gamme complète de films polyvinyle de chlorure (PVC) monocouche et bicouche pour usage manuel et automatique pour la protection de tous les produits alimentaires. Hall 7.1 Stand A 22

Karlville Development

rents fournisseurs dont Omori, spécialiste japonais de l’ensachage horizontale sur le stand 8B C64. Omori présente plusieurs de ses nouveautés. L’ensacheuse Omori Twin S-5010A TW offre une double piste permettant d’atteindre une cadence élevée sur un espace réduit. L’ensacheuse Omori génération EP 7610 ABX inclut tous les derniers développements pour la pharmacie et la cosmétique avec un design épuré et une conception écologique. L’Omori Super Fresh S-5150 AS BX avec Sealder Cryovac est conçue le marché du BDF. D’autres machines avec des développements spécifiques comme les raccords automatiques, les soudures ultrasons ou les ouvertures faciles seront aussi présentées sur le stand. Hall 8b Stand C64

Laurent

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SleevePro 150, Tornado et une exclusivité Karlville Development présente ses dernières innovations : la sleeveuse SleevePro 150 et le tunnel électrique Tonado. La SleevePro 150 a été conçue essentiellement pour les petits clients d’Europe occidentale qui veulent des solutions fiables et flexibles mais pour qui il est important de trouver un équilibre compétitif entre coûts et efficacité. Cette machine traite jusqu’à 150 récipients par minute et peut être utilisée pour l’emballage souple dans divers secteurs, telles que l’industrie des boissons, la pharmacie et la cosmétique. Le Tornado possède, pour sa part, un système de rétraction électrique intégrée, idéal d’utilisation sur des produits sensibles à une rétraction par vapeur. Karlville doit également dévoiler, en exclusivité, « une innovation ingénieuse et majeure » qui aidera ses clients à développer le marché du manchon thermorétractable. Hall 8B Stand G85

Latinpack

Des orienteurs de couvercles Laurent présente une gamme améliorée de distributeurs et d’orienteurs de couvercles ainsi que des nouvelles capsuleuses rotatives alimentées par un système de glissière à air innovant. Hall 6 Stand A50

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Leygatech Des films pour l’agroalimentaire et l’industrie Leygatech produit une large gamme de films par extrusion gonflage avec une offre très large de matériaux (PE, PS, EVOH, PP, PETG, PA) avec deux sites de production en France et en Pologne. Leygatech détient une triple certification : ISO 9001, ISO 14001 et ISO 22 000. L’entreprise transforme des films pour l’agroalimentaire avec des films barrières et laminés, des sacs industriels et doublure de films. Et pour l’industrie, des films de routage, l’emballage automatique ou la pharmacie. Hall 9 Stand F16-1

Filiale de Sealed Air, Cryovac® est leader mondial des matériaux et systèmes d’emballage alimentaire. Nous concevons des solutions à forte valeur ajoutée. A la clé : réduction des coûts, gain de temps, efficacité accrue et protection de l’environnement. Que vos produits soient frais, surgelés, cuisinés, préparés ou fumés, nous vous proposerons une solution d’emballage innovante et sur mesure.

LCI

Des ensacheuses Omori horizontales Latinpack est représenté par ses diffé-

Biolice, un matériau à base de farine de maïs Limagrain Céréales Ingrédients (LCI) crée des ingrédients céréaliers grâce à une expertise unique qui combine la maîtrise de la génétique des plantes avec la capacité d’adapter les produits aux processus de production. L’entreprise procède donc à la maximisation du

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potentiel des céréales cultivées par les agriculteurs membres de la Coopérative Limagrain, leader européen des semences. Avec Biolice, LCI propose un matériau à base de farine de maïs qui est 100% biodégradable et 100% compostable. Biolice a de nombreuses applications : sacs à provisions, sacs à ordures et déchets, sacs pour le secteur agricole et films industriels… Hall 9 Stand F16-9

vérifie à la fois la présence de l’étiquette, sa position et son orientation, mais aussi les mentions légales (dates de péremption, codes à barres, Datamatrix, poids/ prix…) et détecte le décalage du film supérieur. De son côté, ThermoSecure contrôle, identifie, assure la traçabilité et éjecte les barquettes ayant une soudure contaminée ou un aspect visuel non conforme. Hall 6 Stand D10/D13

Luceo LabelSecure contrôle les étiquettes Spécialiste de l’inspection par caméra, Luceo Inspection Worldwide (Tiama) développe une gamme d’équipements dédiés aux exigences de qualité, de traçabilité et de sécurité sanitaire. La gamme des machines réalise le contrôle du scellage des barquettes, le contrôle de l’étiquetage (présence, relecture OCR, code-barres…), le contrôle d’aspect de la charcuterie tranchée. LabelSecure est la dernière machine de contrôle autonome qui détecte toutes les erreurs d’étiquetage pour tous types de conditionnements : fiabilité et efficacité sont obtenues grâce à la vision ! En effet, elle

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importants sur les sites de production, dans les centrales de distribution ou les plateformes logistiques, le Montepal, qui a fonction d’ascenseur et descendeur de palettes, assure la circulation des palettes entre les différents niveaux de production et de stockage. Que ce soit dans les industries agroalimentaire, pharmaceutique, chimique, automobiles ou dans la grande distribution, cet élévateur de palettes automatique s’adapte aux conditions. Les caractéristiques principales sont les suivantes : le châssis autoporteur permet un ou plusieurs changements d’étages sans travaux de génie civil ; la dépose et la reprise des palettes peuvent se faire au transpalette comme au chariot élévateur ; l’utilisation est en mode autonome ou en intégration dans une ligne de convoyage ; les charges palettisées montent jusqu’à 2 000 kg ; la cadence atteint jusqu’à 150 palettes par heure. Hall 5 Stand G32

Montepal pour les palettes Face à la gestion de flux de plus en plus

De nouvelles gammes d’operculeuses Avec plus de 5 000 machines en fonctionnement dans le monde, Mecapack, fabricant de machines de conditionnement primaire, propose deux gammes complémentaires de lignes de conditionnement : operculage et thermoformage. Mecapack présente sa nouvelle gamme d’operculeuses : plus rapides, avec un nouveau design plus ergonomique. Cette nouvelle gamme sera présentée sous différentes configurations : operculeuse en fonctionnement autonome, operculeuse équipée d’un module de chargement de produits, operculeuse équipée d’un module d’étiquetage poids-prix. Egalement présentée cette année, une

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NaturePlast

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Mecapack

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thermoformeuse FS 950, avec un design plus ergonomique qui s’inscrit dans la continuité et l’optimisation du Pack Ergonomie proposé par Mecapack. Cette thermoformeuse est équipée en sortie d’un module d’encaissage des produits. Ce module, un robot 5 axes, est intégré par Idpack, spécialiste de la fin de ligne de conditionnement. Des formeuses d’emballages en carton sont également présentées. Hall 5 Stands H 19/J22

De la R&D dans les bioplastiques Parce que la planète est en crise, il faut adopter des matériaux innovants. C’est pourquoi NaturePlast propose des bioplastiques d’origine végétale, biodégradables ou biocompostables. L’entreprise se spécialise particulièrement dans deux domaines complémentaires : la distribution (échantillonnage et industrielle) de tous types de matières premières bioplastiques et d’additifs permettant d’en améliorer les propriétés, mais aussi la recherche et développement (R&D) de solutions matériaux sur mesure (formulation, compoundage) avec Biopolynov. Le service proposé est une innovation en lui-même puisqu’aujourd’hui Natureplast est la seule société en France (voir en Europe) à regrouper ces deux activités. Hall 9 Stand H19

Newtec

Un robot polyarticulé pour les sacs Constructeur de systèmes de palettisation fin de ligne charges unitaires et de sacs, Newtec présente sa nouvelle

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application robot polyarticulé pour le sac. Issu du savoir faire de Newtec Bag Palletizing en palettisation de sac et de Newtec Case Palletizing en intégration de robots polyarticulés, ce complément d’offre par rapport à sa gamme déjà complète de palettiseurs conventionnels, permet ainsi à Newtec de répondre de façon optimum à toutes les problématiques de palettisation de sacs de 300 à 4 500 unités par heure. Le palettiseur conventionnel restant l’appareil de palettisation qui apporte la plus grande qualité de palettisation, de stabilité et de dimensionnement de la palette, Newtec cible la solution en robot polyarticulé pour faire face à des besoins de solution basse cadence, en particulier, pour des applications multilignes. Hall 13 Stand B 31

de regroupement pour bouteilles, boîtes, produits laitiers (plastiques, alu, verre), pots de pour l’alimentation infantile, le petfood, les conserves, etc… Selon les besoins, ces machines multipack réalisent les suremballages à des vitesses comprises entre 40 et 450 unités par minute. Elles sont tout inox et intégralement entraînées par des servomoteurs, elles permettent des changements de formats semi-manuels ou entièrement automatiques et intègrent désormais des cellules robotisées. Toutes les opérations de production diagnostics et aide à la maintenance sont accessibles sur un écran tactile grand format. Hall 14 Stand E11

Paker Du multipack pour l’agroalimentaire Paker conçoit et réalise des machines de suremballage multipack en carton, du convoyage et des périphériques de fin de ligne. Ces machines, d’une grande flexibilité d’emploi, répondent aux applications les plus fréquemment utilisées en agroalimentaire : fourreaux pour barquettes de plats cuisinés, packs

PKB Des Synchro pour la cosmétique

Pakea

Du FFS pour le carton La ligne Prismapak de Pakea est un procédé exclusif form fill seal (FFS) de fabrication d’emballages en carton, adapté à de nombreux produits agroalimentaires et autres. Il permet au conditionneur de fabriquer lui-même, au moment du remplissage, des emballages en carton rigides, refermables et étanches. De nombreuses fermetures sont disponibles : fonds carton, membranes pelables, membranes embouties, fonds métalliques, fermetures en plastique… De nombreuses fonctionnalités sont également offertes aux consommateurs : ouverture facile, dosage, saupoudrage, re-fermeture, inviolabilité… La cadence monte jusqu’à 70 boîtes par minute. Quant au Karton Pallet, c’est une palette en carton unique, brevetée et très économique, qui peut être utilisée dans toutes les industries, au même titre qu’une palette en bois. La ligne Pakea produit automatiquement entre deux et quatre palettes par minute. Hall 15 Stand D 56

bouteille permettant donc la suppression des cônes de centrage. Le principe de remplissage assure une alimentation du liquide à remplir par le bas de la tireuse, évitant toute rupture de charge dans la distribution du produit et tous les phénomènes de moussage dégradant les qualités du produit. Le châssis est conçu sans soudure, s’affranchissant ainsi de toute passivation. La gamme s’étend de 3 000 à 60 000 bouteilles par heure ; elle est également disponible en version monobloc avec les rinceuses du constructeur. Hall 6 Stand D10-16

Perrier

Premier fabricant français de machines à conditionner les flacons de parfums et liquides cosmétiques, PKB a également renouvelé sa gamme de machines pour remplir les crèmes cosmétiques. PKB Synchro «Pots» convient parfaitement à différents types et volumes de production, des petites aux grandes séries. Elle assure le remplissage de pots de crèmes cosmétiques à la cadence de 60 coups par minute. Synchro «Mascara» a été pensé, dès l’origine, en double application mascara/lip-gloss, pour lui donner encore plus de versatilité. Sa conception a été étudiée pour offrir une productivité optimale : temps de changements de formats très réduits, utilisation de moteurs brushless, ergonomie renforcée, ensemble de remplissage amovible sur chariot dédié. PKB Eko est une remplisseuse/boucheuse économique pour parfums et produits cosmétiques est proposée en entrée de gamme à un prix 50% moins élevé. Hall 16 Stand E 48

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Une remplisseuse pour les alcools Devenu en quelques années une référence dans les technologies de remplissage de liquides plats, Perrier présente sa remplisseuse « prise au col » pour les vins et spiritueux. Trois aspects essentiels ont permis le succès de cette génération de remplisseuse : la protection et le respect du produit embouteillé lors du remplissage ; la garantie de la sécurité consommateur dans les opérations d’embouteillage ; le respect de l’environnement et l’éco-conception. Conçue pour supprimer tout risque d’ébréchage et de choc entre la bouteille et le robinet de remplissage, cette remplisseuse s’articule autour d’un système de prise garantissant un centrage parfait de la

Débactérisation à la vapeur et/ou torréfaction pour herbes Alors que les exigences relatives à la sécurité alimentaire sont de plus en plus fortes sur les produits secs tels que les herbes, épices et les fruits à coque, les procédés de débactérisation tels que la fumigation chimique ou l’ionisation peuvent heurter les exigences des clients finaux. Le développement de procédés basés sur les méthodes traditionnelles de traitement thermique à la vapeur est donc privilégié. Les unités de stérilisation à vapeur de Revtech sont basées sur le principe d’un tube hélicoïdal vibrant

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et chauffé par effet Joule. Pendant que le produit avance dans le tube à l’aide des vibrations, la première étape est de réchauffer le produit par contact direct avec le tube chaud. Puis la deuxième étape consiste à injecter une faible quantité de vapeur d’eau (environ 5 à 10%) afin de réduire grandement le nombre de micro-organismes subsistants tout en préservant au maximum les propriétés organoleptiques du produit. La troisième et dernière étape consiste enfin à stabiliser le produit en le refroidissant et en le séchant. La technologie Revtech permet ainsi une éradication complète et très homogène des bactéries sensibles telles que les levures et moisissures, les salmonelles et E Coli ainsi qu’une forte réduction des formes sporulées tout en assurant une excellente conservation des propriétés organoleptiques du produit car seule une très faible quantité de vapeur est injectée, le produit étant chauffé par contact avec le tube. Hall 6 Stand D10-10

ballage rétractable. Ce nouveau modèle garantit une rétraction plus rapide grâce à ses 15% de puissance supplémentaire par rapport au modèle précédent. Une attention toute particulière à sa conception a permis de faciliter considérablement sa maintenance. Son ergonomie soignée offre un véritable confort d’utilisation. Hall 5 Stand B28

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ressources, les nouveaux matériaux et la réponse technique. Jusqu’à 35% d’économie sur les consommables, c’est que promet le spécialiste du sleeve. SleeverCombi est un monobloc révolutionnaire, ultra-compact de dépose et rétreint de sleeve. Il répond aux hautes cadences de 30 000 à 60 000 coups par heure grâce à une cinématique optimisée réduite et allégée, commandée par moteurs brushless. Un plan de défilement épuré apporte totale transparence et parfaite visibilité du produit de l’entrée à la sortie de la machine. Enfin l’ergonomie, flexible et simple d’utilisation, est tournée vers l’opérateur. Hall 13 Stand C77/D78 Hall 7a Stand B11/C30

en service d’appareils pilote. Durant le traitement, les récipients sont secoués à une fréquence de 100 à 200 cycles par minute. L’agitation des produits est créée par un système bielle/manivelle qui génère une translation alternative du panier. Cette agitation permet une accélération du transfert thermique. Les durées de cycle de stérilisation sont alors réduites de 5 à 10 fois par rapport aux techniques habituelles de stérilisation, en autoclave conventionnel. Hall 5 Stand J 42

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Des films en plastique techniques Implanté à Sainte-Sigolène (HauteLoire), Ribeyron est une entreprise familiale indépendante présente dans le secteur de la plasturgie depuis 1968. Spécialisée dans la fabrication de sacs, elle s’est orientée très rapidement vers des produits techniques et, plus particulièrement, les films. L’acquisition de matériel trois et cinq couches permet de répondre à des cahiers des charges très pointus avec réduction des épaisseurs et utilisation de nouvelles matières afin d’être en phase avec les préoccupations environnementales. La certification ISO 9001 version 2008 atteste la démarche qualité. L’entreprise produit des films techniques en polyéthylène (PE) pour le complexage ou le contrecollé ainsi que des films traités. Hall 9 Stand F16-4

Ripack Ripack 3000, un pistolet haut de gamme Ripack présente, pour la première fois, son tout nouveau pistolet de rétraction de films et housses, le Ripack 3000. Ce pistolet complète par le haut une gamme de pistolets et d’accessoires pour l’em-

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Des bouteilles très Roll N Blow Serac expose la technologie Roll N Blow de « thermoformage tubulaire vertical » de bouteilles développée par Agami. Protégé par plusieurs brevets, Roll N Blow consiste à appliquer à la fabrication des bouteilles le principe de la feuille laitière extrudée utilisée pour les pots de yaourt. Le procédé comporte cinq grandes étapes : le déroulage du film, le découpage de la bande, la formation du tube autour d’une canne de soufflage, la soudure longitudinale par ultrason et enfin la phase de soufflage du film chauffé. Dans la mesure où le coefficient d’étirage du matériau est très faible, soit un facteur 2 contre un facteur 5 dans le yaourt ou 20 dans les solutions de thermoformage standard, un film d’une épaisseur de 0,6 millimètre suffit. D’une contenance de 100 à 500 ml, les bouteilles sont donc très légères mais suffisamment rigides. Roll N Blow autorise, au final, des économies de 30 à 50 % pour des bouteilles de 100 ml. La cadence de production de la machine exposée s’élève à 7 000 bouteilles par heure sur 4 pistes. Hall 13 Stands C63/D64

Sleever International Le concept SleeverMachines Le nouveau concept SleeverMachines de Sleever International fait partie d’une approche globale, qui consiste à apporter une solution qui intègre la gestion des

Des ultrasons pour l’emballage souple Sonimat a développé un procédé permettant la soudure par ultrasons d’emballages et sachets souples tels que Doypack ou flowpack ainsi que le contrôle en dynamique du scellage. L’entreprise propose deux nouveaux produits : Sonicell C pour la soudure continue et Sonicell CC pour le coup par coup. Ces solutions répondent à trois attentes majeures des industriels, qui ne sont pas résolues par le scellage thermique à ce jour : amélioration des taux de fuités ; réduction des coûts de consommables ; détection des produits défectueux Hall 6 Stand D10-17

Steriflow La technologie Shaka pour l’appertisation Après un développement de plusieurs années, la technologie Shaka va être mise sur le marché. Steriflow, constructeur d’autoclaves pour la stérilisation et la pasteurisation, a, en effet, conclu un accord de licence de fabrication avec l’inventeur Zinetec Ltd et prépare la mise

Un porteblister pour les patients Le porteblister est un concept de piluliers nomades, permettant de recevoir des blisters de médicaments et permettant d’accompagner la commercialisation des médicaments dits Over-the-Counter (OTC). Ce conditionnement permet aux patients de transporter les blisters sans emporter la boîte entière, quel que soit le besoin de mobilité. Le porteblister garantit au patient un médicament inaltéré, gage d’un traitement thérapeutique réussi. Le dispositif se recharge à souhait par l’utilisateur. Enfin, ce nouveau packaging permet de disposer d’un espace de communication important, sur un objet nomade et attractif. À découvrir aussi le gobelet doseur décoré par étiquetage dans le moule (IML). Si le décor par injection IML est répandu dans le domaine agroalimentaire, il est encore très peu présent dans le domaine de la santé. Pour la première fois, Stiplastics utilise ce processus pour des produits de dosage pharmaceutiques et cosmétiques. Cette solution garantit une lisibilité des graduations et une précision de dosage aux normes pharmacopée : le décor ou la mise en place d’un fond blanc supprime l’effet de transparence

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Venez nous rendre visite : Au salon INTERPACK du 12 au 18 Mai 2011, à Düsseldorf, Hall 10 Stand D99 Au salon PACKINNOVE du 15 au 16 Mai 2011 à Troyes

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en arrière-plan, ce qui rend la lecture plus facile et le dosage plus précis. Hall 7a Stand C15

Stoppil

Une remplisseuse pour les sauces Stoppil fabrique des remplisseuses et des visseuses depuis plus de 40 ans. La gamme de remplisseuses va de la doseuse semi-automatique à une tête à la remplisseuse automatique à dix têtes. Pour le dosage de sauces diverses telles que mayonnaise ou ketchup, l’entreprise propose une remplisseuse linéaire avec réglage entièrement automatique, deux circuits d’alimentation avec différentes possibilités de fonctionnement dont mode biphasé, vanne de dosage sans joints et gestion de l’ensemble par moteur brushless. Hall 13 Stand B 04

Tecma Pack Plusieurs fonctions regroupées dans un seul châssis Véritable avancée technique, tant au niveau de la mécanique que de l’automatisme, les solutions « Compact » de Tecma Pack offrent de nombreux avantages. Composées de modules, à la mécanique très simple, regroupés dans un seul châssis, les solutions « Compact » permettent de développer des fins de ligne personnalisées avec un encombrement optimisé. Tecma Pack a ainsi développé un module de suremballage associé au module d’encaissage. Des chariots transportent positivement les pots et cartonnettes de la zone de suremballage vers la zone d’encaissage. Compacité, ergonomie, simplicité mécanique, et efficacité : ce nouveau module s’intègre parfaitement aux solutions « Compact » proposées. Hall 6 Stand E 28

Texti Sonics Des ultrasons pour le PVC « Ultra Press LT 400-35 » de Texti Sonics est particulièrement adapté pour la fermeture par ultrasons de coques en polychlorure de vinyle (PVC). Le poste de travail, compact, est simple à installer et à utiliser. Hall 11 Stand F 57

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bouchon sur une machine carrousel ou avec une cinétique en ligne pour des cadences supérieures. Une version ATEX est également disponible. Hall 6 Stand 10-9

Tiflex

Un jet d’encre à très haute résolution Tiflex lance une nouvelle imprimante à jet d’encre à très haute résolution baptisée HRP 1000 R3. Constructeur français de solutions pour le marquage, l’identification et le codage, Tiflex a développé ce nouveau matériel pour répondre aux besoins en traçabilité logistique des produits industriels. Dernière née de la gamme HRP commercialisée depuis 10 ans, c’est la troisième génération de cette imprimante à succès. Adapté aux industries logistique, agroalimentaire, pharmaceutique ou encore chimique, HRP 1000 R3 imprime jusqu’à 100 mètres par minute sur une hauteur maximale de 200 mm. L’écran tactile et l’unité centrale sont plus ergonomiques pour une intégration facilitée dans tous les environnements. Hall 6 Stand D 10-4

pharmaceutique, Velfor propose le blister rigide « No Touch » autoclavable, pour flacons, seringues, ampoules. Le design du blister innovant permet, par un effet de pliage, de faciliter la préhension du flacon clipsé dans son logement, ce qui limite le nombre de prise de doigt et par conséquent réduit considérablement le risque de contamination. Ce blister très transparent est fabriqué en polycarbonate de grade médical (class VI USP) avec des opercules en Tyvek, traités pour l’autoclavage. Il est fabriqué en salle blanche classe ISO 7 ou 8 et dans le respect des bonnes pratiques de fabrication. Hall 9 Stand F16-6

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Tournaire

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B’Booster pour les BiB Robuste et entièrement automatisée, la remplisseuse B’Booster de Technibag permet de remplir à très haute cadence des poches souples de deux à vingt litres pour le marché des caissesoutres. B’Booster offre une solution de remplissage entièrement automatisée au sein d’une ligne de conditionnement compacte et évolutive : Flexi-Line. Le concept comprend une formeuse de caisses, une encaisseuse et une fermeuse hot-melt. La solution s’adapte à de multiples liquides et emballages, alimentaires ou non. Hall 6 Stand D 10-1

De nouvelles solutions pour les poches Inventeur du sachet Doypack, Thimonnier fabrique en France ses conditionneuses pour les produits liquides et visqueux en sachet « coussin » en polyéthylène (PE). Des conditionneuses verticales pour le lait pasteurisé, ultrapropre et aseptique (UHT) avec une gamme de différents modèles vont d’une capacité de 400 à 12 000 sachets par heure. En 2011, Thimonnier présente une nouvelle version de sa machine aseptique THP à une, deux ou trois lignes de remplissage équipée des dernières technologies d’entraînement. Une meilleure efficience machine ! La détergence occupe également une place prépondérante avec une machine spécialement dédiée aux fabricants et copackers. En partant de poches, elle insert tout type de bouchon. Remplissage par

Des emballages en aluminium et en plastique Tournaire conçoit et fabrique en France sur ses deux sites des emballages en aluminium et en plastique multicouches barrière et leurs systèmes de fermeture. Ces emballages sont utilisés dans de multiples applications industrielles : parfumerie, ingrédients alimentaires, agrochimie ou pharmacie. La division Equipement propose aussi des équipements de distillation et d’extraction. Hall 9 Stand F28-1

Velfor Un blister autoclavable en polycarbonate Transformateur de matières plastiques et acteur majeur sur le marché médical et

En La BF 2500 pour les BiB Spécialiste des caisses-outres, Zevathener propose des poches avec films haute barrière à l’oxygène pour une longue conservation du produit, des caisses en carton et la machine de remplissage. Zevathener fabrique une gamme complète de la ligne manuelle à la ligne complètement automatique BF 3000. L’entreprise lance la BF 2500, une nouvelle machine très compacte, haute cadence destinée au conditionnement de vins, jus de fruits, et autres liquides tels que l’eau, les cocktails, les liqueurs ou les huiles. Hall 6 Stand D10-11

Tél

E-m

N° Emballages magazine

309 Cet

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*M 934 64-85 INTERPACK M3.indd 82

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Jeudi 30 juin 2011 Paris ates ! Réservez vos d 5ème édition

AGROALIMENTAIRE Conférence - Jeudi 30 juin 2011

Matières premières, supply chain, environnement : les défis des IAA Avec la participation exceptionnelle de :

Emmanuel AIMOND Directeur général

Éric DESBONNETS Directeur Industriel

PAINS JACQUET GROUPE LIMAGRAIN

COCA COLA FRANCE

Pierre de GINESTEL Directeur Qualité et Sécurité

AUCHAN

Thomas POCHER Adhérent

LECLERC

Sophie ALLEMAND Directeur Marketing et Développement France

FINDUS

Et les interventions de : AGROPARISTECH • ANIA • AUCHAN • BONDUELLE • CENTRE D’ANALYSE STRATÉGIQUE • CLIMPACT • CLUB DÉMÉTER • COCA COLA FRANCE • DANONE • EASYDIS • FINDUS • GROUPE FLORETTE • LECLERC • O2M CONSEIL • OSEO • PAINS JACQUET • PRIMEALE Formation complémentaire - Vendredi 1er juillet 2011

IAA : comment réduire l'impact environnemental du sourcing à la fabrication Formation animée par Olivier MESSAGER, Co fondateur, O2M CONSEIL et Olivier BARRAULT, Président Directeur général, BARRAULT RECHERCHE Avec le soutien de En partenariat avec

✂

Bulletin d’inscription

Mme Melle M. Nom :

Prénom :

Fonction :

Société :

Je m’inscris* aux journées « AGROALIMENTAIRE» et je choisis :

Adresse : Code postal :

Ville :

Pays :

Tél. :

Fax :

E-mail :

Tarif général

Tarif PME*

Journée de conférence + formation 30 juin et 1er juillet 2011

1 490 € HT (1 782,04 € TTC)

1 150 € HT (1 375,40 € TTC)

La journée de conférence 30 juin 2011

950 € HT (1 136,20 € TTC)

650 € HT (777,40 € TTC)

La formation complémentaire 1er juillet 2011

950 € HT (1 136,20 € TTC)

650 € HT (777,40 € TTC)

Raison sociale de facturation et adresse (si différentes) : Code postal :

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Pays :

*Modalités d'inscription et conditions générales de vente sur www.usinenouvelle.com 934 64-85 INTERPACK M3.indd 83

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84 visiter i interpack 2011

hall / stand

A/B 1 Blow

société

hall / stand

société

Engelvin Bois Moule

7.2 / R 72C29

PKB

Epmo Elizabeth

ACB - Hydrolock

6 / D10-12

Acti Pack S.A.

7.2 / C40

ADMV

6 / D31/E40

AEP Group

9 / F16-5

Agence régionale de développement économique d’Auvergne

9 / F16-9

Agriplas Albéa (ex alcan packaging beauty) ALE Sarl.

9 / G18 9 / C35 6 / D38

Alltub Group

11 / C49

Apex Automate

14 / D01

Aplix

7.2 / A03

Aprium

6 / E06

Arcil

6 / D27

ASPI Technologies S.A.S. AT2E

6 / D10-7

Atlanpack

9 / F22-6

Avamo

4 / R 4B41

BCM Engineering

6 / D10-8

Bernhardt et Cie.

9 / F22-7

Bihr Frères S.A.

7.2 / C15

Biosphere

9 / D18

Biscuit Assistance Sarl AAMC Bolloré

6 / D10-3 9 / D20

BSI

9 / F22-2

Erca-Formseal S.A.

6 / C80

ERMI Agroalimentaire

Esteve S.A.S.

4 / C13

Ets. André Zalkin & Cie.

6 / D10-7

Eurocri Eurotech

11 / F08

Evenplast SAS

9 / F16-2

Exposium - Emballage 2012

5 / A35

Farbal Production SAS

5 / A29 G/H

Geppia

6 / D10-13

GMA Packaging Machinery

6 / D10-15

Gouet Baking Systems

2 / B13

Groupe Pigé

10 / A76

Guérin Systems SAS - Tetra Pak

9 / F22-6

2 / B15

Hanova

10 / E18

HEMA Groupe Sidel

13 / D54

Hertus (Precis’M)

9 / F22-6 I/J/K/L

12 / E36

Kalix SAS

7.1 / A22 6 / D31/E40 8B / G85

Lagarde

Matrelec

CMS S.A.R.L. Csp Technologies Inc Capitol Europe S.A. De la Ballina Industrie

17 / C43 7.1 / C46

Decomatic S.A.

9 / F22-1

Newtec

Dem Clamco

8B / G63

Novembal Tetra Pak

Desjardin S.A.S.

11 / A33

Otor SA

1 / B17 E/F

5 / H19/J22

Mecatherm S.A.

2 / B13

MGJ

Serac

13 / C63/D64

SG2C S.A.S.

5 / J03

Sleever International

13 / C77/D78

Sleever International

7A / B11/C30

Sonimat S.A.S. Europe Technologies group

6 / D10-17

PGI

5 / J42

Stiplastics

7A / C15

Stoppil S.A.

13 / B04

Synerlink

6 / D09

Synerwave

6 / D27

Technibag

6 / D10-1

Tecma Pack

6 / E28

Tecnal Texti Sonics SAS

11 / F57

Thimon

12 / D22

Thimonnier S.A.

6 / D10-9

Tiflex

6 / D10-4

Tisza Textil Packaging SA

7.0 / A21

Tournaire S.A.

9 / F28-1

Transitube S.A.

4 / E17 6 / D10-1\.. D10-9

Ubifrance

12 / D48

7A / R 7AC05/ D14 9 / F16-10\.. F22-3

Ubifrance Ubifrance

15 / D56

Perrier

7A / B04

Steriflow Barriquand SAS

13 / B31

8B / H85

Paker

10 / D71

6 / D10-5

Packshot Creator (Sysnext SARL) 11 / F70

934 64-85 INTERPACK M3.indd 84

17 / A04

9 / F16-1\.. F28-2

6 / D10-2

Eberle S.A.S.

Emballages magazine

6 / A49

Selvex

Ubifrance

P/Q/R

Pakea

10 / E52

8B / F28

Sealed Air S.A.S.

9 / H19

Pack´Réalisations S.A.

12 / A22

Endupack S.A.

7.2 / D23

Natureplast

Easylabel Europa S.A.R.L. Emballage Technologies

8B / R 8BE11

Mecaplastic S.A.

7A / B11/C30

Dumoulin S.A.

5 / G32

Marius Millet

3 / F47

Didier Saco Design

6 / A50

Marceau SAS

Clextral S.A. Groupe Clextral

6 / E61

9 / F16-3

SAS Aucouturier

9 / F16-8

6 / D10-14

Clestra Cleanroom

9 / F22-4

SARL Alprod

6 / D10-6

M.O.M.

Claranor

6 / D10-10

Sagaert et Cie S.A.

Stelmi SA

6 / D10-13

9 / F28-2

S/T/U S.A.S. Revtech

SPC France

7.2 / C40

6 / D31/E40

10 / A76

9 / F16-7

Loire Plastic Industrie Luceo Inspection Worldwide c/o Edixia M/N/O

Citus

5 / B28

Rythm / Deltasacs

Janu’sac Jeune Chambre Economique Plasturgie Kalan - Celtipak

9 / F16-1

CIFRA

Ripack

6 / R 6D58

Leygatech

11 / E12

9 / F16-4

SPC France

Laurent S.A.

9 / F28-2

4 / A35

Ribeyron SAS

Sotralentz Packaging S.A.S

12 / F51

CGP Europe

Proform

7A / B11/C30

17 / A04

8B / G85

Cetec Industrie S.A.

Polypack SARL P’Référence Dynamiseur de Marques

9 / F22-5

CEFMA Technology SAS

13 / C47/D48

9 / R 9F22-5

Ixapack S.A.

CDA Labeling Cermex

16 / E48

Plastisud Sas

Inawa

Karlville Development SAS

C/D C.E.E R. Schisler

8A / F34

hall / stand

14 / E11 6 / D10-16 7.2 / E43

V/w/X/Y/Z V.M.I. Pétrins et Mélangeurs Velfor Group Veriplast Solutions Verrerie Soufflée Mécanique S.A. Zevathener

4 / A49 9 / F16-6 9 / R 9H03 7.2 / IA 72B21 6 / D10-11

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visiter

Pack & Gift 2011 Sous le signe de la fidélisation

■ La quatrième édition du salon Pack & Gift se tient les 8 et 9 juin 2011 à la Porte de

Versailles à Paris. Le prix Pack & Green est, une nouvelle fois, décerné. Le salon de l’emballage promotionnel s’ouvre cette année aux outils de fidélisation. ■ En complément des informations publiées sur son site Internet, Emballages Magazine

vous propose un rapide aperçu de cette nouvelle édition durant laquelle la rédaction a l’occasion d’animer une conférence. ■ Vous trouverez également la liste – provisoire – des exposants.

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88 visiter i PACK & GIFT 2011

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Salon

Pack & Gift 2011, sous le signe de la fidélisation Plus de 200 exposants sont attendus pour cette nouvelle édition. Pour sa quatrième édition, Pack & Gift évolue. Au-delà des gifts et du packaging événementiel et promotionnel, le salon s’étend à tous les outils marketing de fidélisation. Ceci se traduit par la création d’un « village » de la « customer relationship management » (CRM), soit « gestion de la relation client » en français. La CRM regroupe les outils et techniques destinés à capter et analyser les informations relatives aux consommateurs dans le but de les fidéliser en leur offrant un service personnalisé. Dans cet espace, entre autres, des éditeurs de logiciels, progiciels, des agences spécialisées dans les promotions digitales web et mobiles, des spécialistes du couponing, du merchandising, des éditeurs de cartes de fidélité, de systèmes de marquage seront présents. Ils viendront grossir les allées des quelques 200 exposants. Un tiers de ces derniers sont des fournisseurs d’étuis et de coffrets. Les objets promotionnels représentent environ 10% des

événementiels en provenance de tous les continents. Parmi les temps forts du salon, Emballages Magazine, en tant que partenaire du salon, animera une tableronde «Intégrer l’éco-conception dans le lancement de nouveaux produits : une marque de cosmétiques témoigne».

Éco-conception

Un coffret Nescafé commercialisé en Chine.

exposants. Les visiteurs pourront aussi assister gratuitement à des conférences très variées comme « La fidélité, ça se mérite ! » par Philippe Rucheton, directeur de recherche au C.C.A. International ou « Le tour du monde des Pack & Gifts, de 10 façons, en 10 leçons » par Jean-Jacques Evrard, fondateur des Pentawards et Brice Auckenthaler de Tilt Ideas. Cette dernière conférence fera écho à l’exposition « Pack & Gift World Tour » mettant en avant des packagings

Participent à cette conférence Nicolas Cailleux, directeur de la société DinBeauty, Joel Petit, directeur de la société de création packaging et de communication Petitscher Associés, et Christophe Miny, directeur d’AtoutPack. L’objet ? Montrer comme des entrepreneurs peuvent lancer un produit en intégrant l’éco-conception. DinBeauty doit commercialiser une nouvelle gamme de crèmes dans quelques semaines avec un positionnement très spécifique. Cette table-ronde sera suivie de la remise du prix Pack & Green récompensant la meilleure initiative en faveur du développement durable. Les participants au prix seront exposés dans un espace dédié. Idice, la société organisatrice du salon, attend plus de 2 500 visiteurs cette année. Mirabelle Belloir 5

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PACK & GIFT 2011 i visiter 89

Ce que les exposants présentent

Système Breveté / Marque Déposée

1 Neyret Rubans Neyret présente sa dernière collection de rubans baptisée Silver made. En travaillant sur les mélanges de textures, la société a créé une ligne aux aspects argentés allant du pailleté aux effets métalliques et jouant avec la transparence.

Système de ﬁxation simple et rapide pour étager vos PLV et containers carton.

2 Massilly My Box by Massilly s’est associé à Uniflockage pour apposer du flockage sur des coffrets en métal. Afin d’augmenter l’impact visuel, le flock est posé partiellement et vient compléter élégamment l’impression offset 4 couleurs. Les premières applications, des boîtes de champagne, sont présentées à Pack & Gift. 3 Papillon Ribbon & Bow Papillon Ribbon & Bow a réalisé la rose en satin qui habille le flacon de Trésor in Love de Lancôme. La société a mis au point le ruban « soft satin » au toucher soyeux qui est une alternative accessible au ruban de soie.

4 MySleeve Pour des soirées, MySleeve (Sleever International) fournit les sleeves à décorer et loue la machine de pose. Le client écrit son message sur un Sleeve pré-imprimé, enfile le manchon sur la bouteille, et la met dans la machine. Quelques secondes plus tard, une bouteille manchonnée avec le message est prête. 5 Cosfibel Cosfibel a fourni un “charm”pour le flacon du parfum Ma Dame de Jean-Paul Gaultier. Enroulé autour de la pompe, ce sautoir-guitare, réalisé en zamac et décoré d’une sérigraphie blanche, vise également à renforcer l’identité « rock » de la marque et le lien qui l’unit à sa cible. Il peut être retiré et porté au cou par l’utilisatrice du parfum.

Tél. : 03 22 29 40 94 neopac@orange.fr

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6 Dapy Pour la vodka Cîroc, Dapy a réalisé un seau à la fabrication complexe nécessitant sept moules différents afin de respecter le design sphérique originel créé par l’agence QSLD. La base lumineuse comprend 32 LED. 7 MR Cartonnage Numérique Des maquettes à la petite série, MR Cartonnage Numérique offre des solutions aux urgences. Les produits fabriqués sont principalement des étuis et coffrets pour la cosmétique/parfumerie. 8 Verpack Le groupe met en avant ses créations en papier FibreForm de Billerud qui avaient été dévoilées lors de Luxe Pack Monaco 2010. Verpack utilise les propriétés de ce matériau pour créer des gaufrages très profonds et apporter du relief aux décors sur des étuis et des coffrets notamment. 8

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90 visiter i PACK & GIFT 2011

société

A/B Acd Adine Albea (Alcan Packaging Beauty) Altec Industries Amplitude Tin & Leather Boxes Api Foils Applic’etains Arjowiggins Creative Papers Armasan As Conseil Astusystem

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société

Emballages Magazine

Moda Connection

Envases Tendero

Mr Cartonnage Numerique

Etiq’etains

M-Real France

Etna-Pack

Mysleeve

Eurotextile

Neyret Rubans

Extrapack

Norline

Fabrika

Nortier Emballages

Favini

Oriol & Fontanel

Fedrigoni France

P/Q/R

Filigram

Pak 2000 France

Formes de Luxe

Papcart Cartonnages Papeterie Zuber Rieder

Forwarded Industrial

Ats Developpement

G/H/I

Papeteries De Montsegur

Augusta

Gps by Ak Emballages

Bag And Pack

Papillon Ribbon & Bow

Groupe Verpack

Bcf International

Parcome

Gruppo Cordenons

Bdmo - Bruggeman & Desouter

H+M France

Be-Ma

Hip Lik Packaging Products Fty.

Benard

Icaupack Thermoformage

Boutaux Packaging

Idealplast Di Ivano Sironi C/D

Carton Nylon Coton Cartonagem Trindade Industria Cartonajes Salinas Cartonnages Delsaux Cartonnages Guillaume

Passion Coton Pps

Iggesund Paperboard

Rbl Plastiques Relma Riverpack

Incarta Info Pro Communication

Ruban Store S et M S/T/U

Informations Fleuristes

Scatolificio Cristina

Interesting Sourcing

Segede

Isem

Cazelles

Procos

J/K/L

Seram Seufert Transparente Verpackungen

CD Cartondruck

Jean Bal Thermoformage

CD Paper Products

Jlm

Cellocoup International

Jung Design Jung Verpackungen

Cellutec Groupe

Kali Development

Chesapeake

Knoll Prestige Packaging

CLP Packaging

Korsnäs

Cocoricom

Korus Packaging

Coffret Pack

Krekelberg Flock Products / A.C.D.

Complément d’objet direct

Kurz France

Cosfibel Group - Mandaly Design / Grumbe / Roskoplast

La Revue du Jouet

Cristalpack

Le Sanglier Packaging / Edition

Table & Cadeau

CSI

Leana Trading

Tecnoform

Dacor

Les Editions du Chocolat

Thibault Bergeron

Design Duval

Les Etuis Mirault

Toutherm

Dimontonate Floccati

Linea Agence

Tpg Packaging

Sinoxedo Gmbh Siplas Société de Marquage Industriel Sonepro Spinnler Cartonnages Stäger & Co. Stn Tressage Studio Goustard Espace T Paper Bags & Non Woven Items

Le Façonneur

Do International Dapy

Sin Rejac

M/N/O

Uniflockage V/W

Dong Dao China Direct

M & M Luxe

Dorure Bordas

Marc Lonchampt Materials

Victoria Cosmetics Division of Geka

Massilly

Virojanglor

Mc Line De Luxe Packaging

Woerner + Cie

E/F Edelmann Group

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934 92-99 MACHINES M3.indd 92

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machines i ACHETER 93

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conditionnement secondaire et tertiare

Encaissage La famille des équipements d’encaissage comporte des machines qui se contentent de former des caisses d’emballage, d’autres qui se limitent à les remplir et certaines qui cumulent ces deux opérations, voire davantage. L’encaissage convient autant aux emballages primaires qu’aux emballages secondaires. Les encaisseuses conditionnent les produits à l’unité, en lots, en position debout ou couchée en les séparant ou non par des intercalaires souples, rigides ou moulés. Les produits entrent dans les caisses par le dessus ou par le côté. Ils sont alimentés à l’unité, en vrac ou regroupés. Les monoblocs qui assurent le formage, l’encartonnage et la fermeture prennent peu de place pour assurer l’ensemble des opérations. Avec les machines dites « wrap around », le carton d’emballage est formé autour des produits à conditionner à partir de découpes à plats prélevées dans des magasins intégrés ou non dans la machine d’encaissage. Nombreux sont les constructeurs à proposer la manipulation des produits à l’aide d’un ou de plusieurs robots Delta. Ces robots sont capables de prendre les produits avec délicatesse tout en travaillant à haute cadence. Les constructeurs arrivent ainsi à combiner flexibilité d’emploi et rapidité d’exécution. Les robots sont munis d’une ou de plusieurs têtes de préhension qui

photo jyga process

Les machines d’encaissage servent à emballer des produits à l’unité, en vrac ou en lots dans des caisses en carton ou en plastique, préformées ou non, en vue d’emballages primaires ou secondaires.

Souplesse Sur l’encaisseuse Wrap JY-SW-400E-77 de Jyga Process, les changements de format sont instantanés.

maintiennent les produits par pression mécanique ou par aspiration, à l’aide de ventouses. La flexibilité et la modularité des équipements d’encaissage font partie des avantages mis en avant par de nombreux constructeurs de ce type d’équipement. Les machines d’encaissage les plus complètes vont non seule-

ment former la caisse et la remplir, elles vont aussi la fermer à l’aide de colles ou de ruban adhésif. Certaines seront même équipées d’un système de marquage et d’étiquetage. Il arrive que des systèmes de contrôle vérifient le bon remplissage des caisses, leur fermeture ainsi que leur équerrage. Sur les modèles avec robot, les dispositifs de vision servent à la fois à guider les mouvements du bras de préhension et à contrôler la qualité. Geneviève Hermann avec Nicole Lachkar

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Le Guide de l’Emballage

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Salon professionnel en ligne / Guides Filières / Cahiers Produits Magazines

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■ Emballages Magazine a interrogé par mail 40 fabricants et distributeurs de machines d’encaissage répertoriés dans le Guide de l’emballage. ■ 19 ont répondu.

■ Si vous n’avez pas reçu le questionnaire, vous pouvez contacter Nicole Lachkar, nlachkar@gisi.fr - Tél. : 01 77 92 95 92 ■ Si vous n’êtes pas inscrit dans le Guide de l’emballage, vous pouvez le faire gratuitement auprès de Diane Fayolle, dfayolle@etai.fr - Tél. : 01 77 92 93 49 ■ Référence de la profession, le Guide de l’emballage est disponible sur le site www.guidedelemballage.com

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94 acheter i machines

Forme et remplit des caisses Dotée de capteurs de contrôle, l’encaisseuse horizontale GSL10 forme les caisses et les remplit avec des produits. L’opérateur la pilote via un écran tactile. L’ouverture des carters facilite les opérations d’entretien en donnant accès à tous les points de la machine. La sécurité a été étudiée de manière à arrêter le fonctionnement de cette encaisseuse dès qu’elle manque de caisses. Équipé de deux bras dotés de ventouses, le groupe de mise en volume achemine à l’aide d’un chariot les caisses formées vers des guides qui les transportent dans la zone de remplissage. Une fois remplies, elles sont poussées vers la zone

de fermeture. La GSL10 fonctionne avec des caisses dont les dimensions sont comprises entre 150x100x100 mm et 600x400x 400 mm. Selon la version, les caisses sont fermées par colle à chaud ou par un ruban autoadhésif.

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Applications : Secteurs de la phar-

remplisseuses de boîtes, de présentoirs

macie, de la cosmétique et autres.

et de plateaux. Palettiseurs. Machines

Autres matériels : Encaisseuses

à introduire des pistons dans les

verticales et horizontales. Formeuses et

seringues.

Suremballage et encaissage

vers la zone d’encaissage le temps que les découpes soient encollées puis fermées.

Constructeur : MG2 srl Caractéristiques : Cadence jusqu’à 10 caisses par minute. Options : Alimentation des produits en ligne, avec étoile de rotation et bandes latérales. Applicateur d’étiquettes. Éjection des caisses non conformes. Lecteurs de codes à barres ;

La Compact SE-EV comporte deux modules. Le premier réalise les opérations de suremballage pour le regroupement ou l’habillage de flacons et de pots préformés ou thermoformés. Le second sert à l’encaissage. Les produits sont positionnés sur une ou plusieurs files, puis regroupés et placés à l’entrée de la machine. Durant cette mise en place, les emballages primaires sont placés dans des godets de transports et les découpes de suremballage sont formées en U autour des produits. Les godets transportent le tout

Constructeur : Tecma Pack Caractéristiques : Cadence jusqu’à 43 200 pots à l’heure. Options : Module de formation des plateaux ou caisses. Module de fermeture des plateaux ou caisses. Empileur. Elévateur. Palettiseur. Applications : Conditionnement de pots thermoformés, préformés, de flacons et de bouteilles tout particulièrement dans l’industrie laitière. Autres matériels : Solutions compactes regroupant toutes les opérations de fin de ligne.

Avec préparateur de couches Compacte et modulaire, l’encaisseuse CPA I mesure 3 200 x 1 420 mm. Les caisses y sont mises en forme en position couchée et parallèle au poste où sont préparées puis transférées les couches de produits. Après avoir fermé les rabats, la machine vérifie l’équerrage de chaque caisse avant le scellage par hot melt. Le préparateur de couches peut être associé à un système wrap around. La CPA I fonctionne avec des caisses dont les dimensions varient de 160x100x150 à 400x300x300 mm.

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Constructeur : Racupack Distributeur : L’Européenne d’emballages. Caractéristiques : Cadence jusqu’à 25 caisses par minute Options : Plusieurs systèmes de formation de caisses. Bande de retournement pour petites boîtes. Applications : Remplissage latéral de caisses standards ou de présentoirs. Autres matériels : CPA II avec une cadence jusqu’à 25 caisses par minute. Étuyeuse horizontale à fonctionnement intermittent ou en continu. Poseuse de couvercle.

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Encaisseuse de pots thermoformés

Constructeur : Polypack

Construite en acier inoxydable, la machine de Polypack forme des barquettes et y conditionne des pots thermoformés saisis par un robot pick and place en multicouches et multi-formats. Elle se distingue par la simplicité de son fonctionnement.

40 000 pots à l’heure.

Caractéristiques : Cadence jusqu’à Options : Insertion d’intercalaires entre les couches. Module de fermeture de couvercle ou pose de coiffe. Applications : Conditionnement de pots thermoformés. Autres matériels : Encaisseuse Wrap.

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Mise en carton de 6 bouteilles couchées Compacte afin de s’intégrer facilement dans les lignes existantes, l’encaisseuse EC 1800 est une machine automatique qui met en carton des lots de 6 bouteilles en position couchée. Elle les dispose en vrac, avec intercalaires en carton moulé ou non, en 2 couches croisées ou fûts sur fûts. Les intercalaires sont réapprovisionnés en temps masqué. Construite sur un châssis mécano-soudé, cette machine est particulièrement solide.

spécifique pour encaisser des bouteilles en position debout. Applications : Conditionnement de bouteilles avec ou sans intercalaires. Autres matériels : Emboxeuses et déboxeuses pour insertion ou retrait de

Constructeur : Champagel Group

bouteilles en containers de stockage.

Caractéristiques : Cadence jusqu’à

Fin de lignes d’habillage.

1800 bouteilles à l’heure.

Palettiseurs de cartons.

Options : Formeuse de carton. Tête

Cellules robotisées d’emballage.

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Robot avec vision La ligne d’encaissage R4A intègre un robot Fanuc 4 axes, un système de vision et un dispositif de gestion de caisses. Capable de manipuler des charges de 3,5 kg, le robot détecte par vision les produits sur le convoyeur d’entrée. Pendant qu’il les place à la bonne position dans les caisses vides, celles qui sont remplies sont automatiquement évacuées. Il arrive à ranger les produits dans des caisses dont les trottoirs sont déjà rabattus et collés. Le fonctionnement de cette ligne est synchronisé avec celui d’une formeuse d’emballages en carton ondulé installée en amont. Les formats étant pré-réglés par

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Encartonnage en caisse Wrap

l’automate, les changements de campagne se font très rapidement. Constructeur : Idpack Caractéristiques : Cadence jusqu’à 70 cycles par minute. Options : Fermeture des caisses. Empileur. Gerbeur. Elévateur. Convergeur. Divergeur. Marquage. Étiquetage. Applications : Encaissage de produits à l’unité dans les industries agroalimentaires, pharmaceutiques, cosmétiques et autres. Autres matériels : Ligne M200 pour l’encaissage Top Load avec manipulateur. Ligne R2A pour l’encaissage Top Load avec robot 2 axes. Ligne R5A pour encaissage Top Load avec robot 5 axes.

Encartonneuse pour bouteilles debout Sur l’encartonneuse E.400 3 t, les bouteilles sont amenées sur des convoyeurs positionnés de manière parallèle aux cartons. Un répartiteur place les bouteilles sur 3 ou 4 pistes. Une tête de préhension à « tulipes » gonflables saisit les bouteilles par le col puis remplit simultanément plusieurs cartons à raison de 6x6 bouteilles ou de 3x12 bouteilles. Cette solution respecte l’habillage et l’intégrité mécanique des bouteilles.

La cellule robotisée CI 1309 sert à mettre des bouteilles couchées dans des caisses Wrap ou américaine avec des intercalaires souples, des plaques moulées ou des chevalets en carton. Peu encombrante, elle manipule des bouteilles hors habillage et de différents formats. Constructeur : LBM Industries Caractéristiques : Cadence jusqu’à 10 000 bouteilles par heure. Applications : Encaissage de bouteilles en position couchées.

Constructeur : Atecmi Caractéristiques : Cadence jusqu’à 15 000 bouteilles à l’heure. Options : Formeuse de carton. Fermeuse de carton. Système de retournement. Applications : Conditionnement de bouteilles et de BIB en caisses américaines. Autres matériels : Encartonneuse traditionnelle ou robotisée avec des cadences de 6 000 à 30 000 bouteilles à l’heure.

Carton ondulé ou carton plein La KKA11 forme des barquettes, des présentoirs et des caisses empilables à partir de découpes à plat de carton ondulé ou de carton plein qui servent pour le transport, le stockage et la présentation des produits.

Cette machine est équipée d’un magasin horizontal de 2 500 mm de long. Les découpes sont transférées à l’aide de courroies crantées et poussées à travers un puits de formage. Selon le type de carton,

les rabats sont collés, retroussés ou clipsés. Le déchargement a lieu sur un convoyeur à bande ou à rouleaux gravitaires. Cette machine fonctionne en cas de besoin avec un module de remplissage et une fermeuse de caisse FM. Elle se pilote via un écran tactile avec une commande par PC industriel ou par automate programmable et traite des caisses de 250x250x125 à 600x600x 250 mm.

Distributeur : Koch Pac-Système France Caractéristiques : Cadence jusqu’à 30 cycles par minute, soit 1800 cartons à l’heure. Options : Version mono format ou multi format. Version en acier inoxydable et avec châssis de type balcon pour l’industrie alimentaire et pharmaceutique. Poste de remplissage automatique ou manuel. Applications : Emballage de produits destinés à la grande distribution. Autres matériels : KKS, fermeuse de caisse. KKD pour cartons à couvercle. KSP-TL, top loading. KSP-SL, side loading. KSP-FS pour caisses

Constructeur : Koch Pac-Systeme

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américaines. KWP pour wrap around. KWM pour wallet.

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Avec robot Delta 6 axes Très légère, l’encaisseuse verticale SD intègre un robot Delta à 6 axes capable de transporter jusqu’à 6 kg de masse embarquée. L’enveloppe de travail du robot fait 1 350 mm de diamètre et 500 mm de haut. Ce robot sert à transférer les produits dans la caisse en position debout ou couchée. La caisse a été au préalable formée et mise en volume à partir de découpes à plat alimentées par un magasin à chaînes à avance mécanique. Ceci à l’aide de deux bras de

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ventouses à mouvements rotatifs et d’un mouvement de translation. Les lots de produits sont guidés dans la caisse à l’aide d’une trémie d’encaissage à mouvements rotatifs. Constructeur : Cermex Caractéristiques : Temps de cycle allant jusqu’à 0,3 seconde. Options : Système de vision. Applications : Tout secteur d’activité. Autres matériels : Encaisseuse par le fond de type SF. Encaisseuse latérale de

Avec 4 robots Delta

type SW.

L’unité de chargement de Cama est constituée de 4 robots Delta à 4 axes. Regroupés au sein d’une même structure, ces robots travaillent sous le contrôle d’un dispositif de vision qui leur permet de prélever simultanément différents types de produits alimentés en vrac sur un convoyeur. Ces produits sont prélevés par chaque robot selon le groupement désiré. Développée en collaboration exclusive avec Bosch Rexroth, l’unité

Cama se pilote avec une seule carte d’axes. Un choix qui réduit l’encombrement de son armoire électrique. Elle fonctionne de manière synchronisée avec des machines de conditionnement flowpack, des étuyeuses ou des encaisseuses. Constructeur : Cama Caractéristiques : Jusqu’à 18 axes pilotés avec une seule carte. Applications : Conditionnement de produits alimentés en vrac.

Notre groupe (1000 personnes) est n°1 mondial dans la fabrication du « Sleeve » (film mince thermo-rétractable). Notre marché est celui de l’étiquetage et de l’emballage, où nous apportons, notamment aux secteurs de la parfumerie, de la pharmacie et de l’agroalimentaire une stratégie mix packaging très innovante. Pour renforcer notre équipe développement packaging basée en région Parisienne, nous recherchons:

1 Chef de Projet PaCkaging Au sein du service développement packaging, votre principale mission consiste à assister à la conduite de projets développement emballages en interne (vente, studio, production, machine) et en externe (fournisseurs). Vous participez à la réalisation des essais en collaboration avec les techniciens du laboratoire et à la rédaction des comptes-rendus en apportant votre expertise technique. Vous analysez les briefs projets et assurez la mise en place des cahiers des charges techniques. De formation Technicien Packaging, vous êtes organisé, rigoureux et avez démontré vos capacités d’analyse et de synthèse. Communication et goût du travail en équipe seront les garants de votre réussite. Merci d’envoyer CV et prétentions à : SLEEVER INTERNATIONAL - DRH - 15 Avenue Arago - 91420 MORANGIS ou par mail à : dominique.tampe@sleever.com

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Fabriquée sur mesure De type pick & place, l’encaisseuse Top Load forme automatiquement des cartons d’emballage à partir de découpes prélevées dans un magasin horizontal. Fabriquée sur mesure, elle est équipée d’un système d’application de colle Hot Melt pour le maintien des rabats. Un ou deux robots tripodes assurent la prise et dépose unitaire ou groupée des produits provenant d’un convoyeur parallèle. Ces robots déplacent des charges jusqu’à 8 kg. Cette machine réalise une multitude de formats de caisses : des wrap around, des barquettes présentoirs avec ou sans coiffe, des caisses à trottoirs, des barquettes à 4 coins collés. Les produits sont détectés par une cellule ou un système de vision qui peut aussi servir au contrôle qualité.

Encaissage de plateaux et Wrap Around La SFS 374 est une encaisseuse qui travaille avec des plateaux ouverts ou munis de couvercle, avec des cartons wrap around fermés ou avec une combinaison de plusieurs de ces types d’emballage. Elle est adaptée aux besoins des clients et assure si nécessaire le collage ainsi que des mouvements de pliage. Constructeur : Schäfer&Flottmann Distributeur : Intamac CARACTÉRISTIQUES : Cadence de 10 à 50 cartons ou plateaux à la minute

une manipulation délicate des produits

modules d’assemblage, de pick&place

et jusqu’à 60 couches de produits par

et du matériel d’emballage.

et de fermeture.

minute.

Applications : Unité de formage de

Autres matériels : Encaisseuses

Options : Utilisation de robots pour

carton autonome ou intégré avec des

des séries 300 et 400.

de quatre parties distinctes : le bâti et le mécanisme de transfert des produits, la table d’accumulation des bouteilles et des casiers ou carton, la tête d’évacuation des produits puis l’asservissement. Sa tête de préhension fonctionne avec des ventouses. Les bouteilles et les bocaux à mettre en barquette sont introduits sur la table d’accumulation par un système diviseur qui permet à la machine de traiter tous types de forme de bocaux. Remplies, les barquettes sont évacuées et transfé-

rées vers la mise sous film.

Constructeur : Ixapack Caractéristiques : Cadence jusqu’à 20 caisses par minute. Applications : Industries agroalimentaire, pharmaceutique et autres. Autres matériels : Suremballeuse Top Load avec mise en fourreau automatique. Étuyeuse Top Load.

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Mise en barquette de bocaux ou bouteilles Robuste et simple d’utilisation, l’encartonneuse Inca est composée

Constructeur : Fourage-CTI/Serra Impianti Distributeur : Fourage-CTI Caractéristiques : Cadence d’environ 2 000 bocaux à l’heure. Options : Tête de prise en 3 x 4. Tête de prise en 3 x 2. Cadre de centrage. APPLICATIONS : Conditionnement de bocaux et de bouteilles Autres matériels : Monobloc d’encartonnage avec formeuse, encartonneuse et fermeuse.

Encaisseuse Wrap alternative

Options : Poste à escamotage verti-

Autres matériels : Modèle JY-SB

cale. Pose de coiffe.

avec caisses ouvertes. Modèle JY-ST

Destinée à conditionner des produits dans des caisses dont les dimensions sont comprises entre 120 x 100 mm et 400 x 400 mm, la JY-SW-400E-77 change de formats automatiquement. Dotée d’une structure en acier inoxydable, cette encaisseuse wrap around alternative comporte un magasin de stockage des découpes haut de 900 mm. Le chargement s’opère sur le côté ou sur le dessus. L’accessibilité est bilatérale.

Applications : Emballage de plats

avec trottoir .

cuisinés, de conserves, de charcuterie, de fromages, de produits de laboratoires pharmaceutiques, d’articles de cosmétique.

Constructeur : JYGA Process Caractéristiques : Cadence jusqu’à 22 caisses par minute.

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sort alors de la machine. Robuste, l’encaisseuse KIW résiste à la corrosion. Constructeur : Econo-Pak

Pour produits groupés en fardeaux Sur l’encaisseuse KIW, les découpes à plat, non précollées, sont prélevées du magasin, encaissées entre les taquets d’une chaîne puis formées en U. Les rabats latéraux sont pliés et les petites pattes ouvertes. Le rabat longitudinal des découpes wrap around est replié. La découpe ainsi mise en forme reçoit ensuite les produits groupés. Après encollage des rabats de fermeture, les rabats latéraux sont repliés et comprimés. Ainsi fermée, la boîte

Pour pot individuel et par lot Compacte et simple d’utilisation, l’Ariload met en caisses des plaques de pots, des pots individuels, des packs et d’autres produits. Ceux-ci sont manipulés par un ou plusieurs robots Delta Aries et déposés dans des barquettes simples, des barquettes à tiroirs, des caisses à rabats préalablement formées ou des caisses en plastique.

Distributeur : Beaurain Frères Caractéristiques : Cadence jusqu’à 20 fardeaux par minute en fonction du format du carton, de sa qualité et de la marchandise emballée. Options : Allongement de la zone de chargement des barquettes jusqu’à 5 postes d’introduction. Pupitre de commande sur bras pivotant. Tapis de commande sur bras pivotant. Tapis d’alimentation et d’évacuation. Réglage d’axe par manivelle. Plusieurs types de découpes. Porte de protection en métal grillagé. Réglage des chaînes servo-

Machine d’encaissage monobloc Destiné à l’encaissage d’étuis ou de boîtes sur chant, le monobloc MX600 fonctionne avec un regroupeur en entrée qui réalise le basculement et la création de lots. Un robot charge ensuite ces lots dans des caisses. La dimension des caisses est comprise entre 200 x 125 x 150 mm et 600 x 450 x 400 mm. L’avantage de ce monobloc réside dans son faible encombrement et dans son outil de préhension qui combine les mouvements mécaniques et pneumatiques.

Distributeur : PicPacSystems Caractéristiques : Cadence jusqu’à 24 caisses par minute. Options : Changement automatique de format. Regroupeur dynamique. Fermeture par bande adhésive ou hot melt Applications : Encaissage d’étuis et de boîtes. Autres matériels : Version MX1200 pour chargement multicouches.

commandées. Applications : Conditionnement de

Constructeur : Bradman

produits regroupés en fardeaux.

Lake Group

Équerrage parfait

Constructeur : Niverplast

La Combiplast forme les caisses en carton à partir de découpes à plat prélevées dans un magasin par un système d’aspiration par ventouses qui maintient la caisse sur deux côtés. Les plieurs ferment les rabats inférieurs. La caisse est ainsi formée par des mouvements positifs qui lui garantissent un équerrage parfait. Prélevés par un dispositif d’aspiration, les sacs préformés à encaisser sont positionnés aux quatre coins du carton. Compacte, cette machine fonctionne avec des servomoteurs qui rendent les changements de formats très rapides. Le rechargement se fait sans arrêt.

Distributeur : Sermatec Caractéristiques : Cadence de 12 à 14 caisses par minute. Dimension de caisse jusqu’à 650x450x350 mm. Options : Version en acier inoxydable. Changement de format automatique. Fermeture de la caisse par colle. Magasin de carton allongé. Applications : Emballage de produits en vrac ou rangés en caisses en carton ou en plastique. Autres matériels : Machine Easyplast pour l’insertion de sacs en plastiques à ouverture facile dans des boîtes, des caisses ou des seaux. Unité automatique Varioseal pour la fermeture et la soudure de sacs.

Constructeur : Aries Packaging Caractéristiques : 98 % de rendement. Options : Formeuse de barquettes intégrée. Pose de coiffes. Module de fermeture de caisses. Empileur et élévateur de caisse. Applications : Essentiellement pour les industriels de l’agroalimentaire ; les secteurs de l’hygiène et de la cosmétique. Autres matériels : Encaisseuses latérales. Encaisseuses verticales.

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Information IDICE SAS - 33 Cours de Verdun - 01100 Oyonnax - Tél : 04 74 73 42 33 - Fax : 04 74 73 45 22 - info@idice.fr

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conditionnement tertiaire

Le Prêt-à-vendre

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photo Emin Leydier Em ballages

Une étude récente du britannique Pira intitulée « The Future of Retail-Ready Packaging to 2016 » montre que les volumes des emballages prêts-à-vendre (PAV) pourraient passer de 19 millions de tonnes en 2010 à plus de 24 millions d’ici 2016. Depuis les premières initiatives de Tesco qui ont été reprises en 2004 par Carrefour en France, le PAV se développe dans les rayons de la grande distribution. Les gains logistiques, en termes de coûts et de temps, ne sont plus à démontrer. Tesco explique qu’un magasin type au Royaume-Uni vend environ 50 000 références. Si tous ces produits étaient conditionnés en caisses simples de 24 unités, ceci équivaudrait à mettre en rayon individuellement 1,2 million d’articles chaque nuit ! Le PAV simplifie la mise en rayon : les cartonniers ont notamment travaillé les découpes de leurs caisses pour faciliter l’ouverture des colis. Les PAV en carton ondulé doivent bien sûr assurer les fonctions des emballages de transport, comme la résistance aux chocs, mais ils doivent aussi répondre aux exigences marketing des marques. La qualité des impressions de ces emballages s’est rapidement améliorée. Les papetiers proposent des papiers de couverture permettant de bons rendus visuels. Certains emballages peuvent être imprimés en sept couleurs. Le PAV offre en effet une surface intéressante pour la communication, atout que les cartonniers mettent en avant. Sur son site de

Selon Pira, les volumes des emballages prêts-à-vendre (PAV) pourraient passer de 19 millions de tonnes en 2010 à plus de 24 millions d’ici 2016.

Saint-Just-en-Chaussée (Oise), DS Smith Packaging a ainsi rassemblé un nombre considérable de PAV pour les mettre en scène dans son « Impact & Innovation Center ». Collectés dans les grandes surfaces depuis plusieurs mois, ces PAV ont pour objectif de donner instantanément un état de l’art ainsi qu’une mise en scène de la progression des mauvaises pratiques vers les bonnes en matière de mise en rayon, d’impression, d’ergonomie ou encore de systèmes d’ouverture. Autre piste de développement : l’écoconception. Les PAV monomatériaux en

carton ondulé sont 100 % recyclables. Ils sont aussi de plus en plus souvent en carton recyclé. Les cartonniers et les marques ont aussi développé des PAV imprimés uniquement sur la partie mise en rayon, la coiffe étant enlevée, elle n’a pas besoin d’être décorée. Ceci représente une économie d’encres. Les industriels proposent aussi des impressions à l’aide d’encres végétales. Bref, les PAV sont source d’innovations pour les cartonniers et n’ont pas fini de conquérir les rayons des magasins. Mirabelle Belloir avec Nicole Lachkar

Pour réaliser ce guide d’achat L’EXPO PERMANENTE présente :

2011

Le Guide de l’Emballage

■ Emballages Magazine a interrogé par mail 70 fabricants et distributeurs de prêt-à-vendre répertoriés dans le Guide de l’emballage.

Solutions de référencement ﬁlière Emballage & Conditionnement

■ 7 ont répondu. Nos ISBN : 978-2-35474-027-6 / ISSN : 03374386

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Les emballages prêts-à-vendre continuent à se développer dans les rayons de la grande distribution.

L’EXPO PERMANENTE :

Salon professionnel en ligne / Guides Filières / Cahiers Produits Magazines

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Prêt-à-vendre

photo Allard

International Paper

Le PAV All-Tray d’Allard est composé de deux éléments alliant contraintes de transport et nécessité de présentation des produits en linéaire. L’ensemble se présente comme une caisse traditionnelle en carton ondulé pour la mise en volume et pour la fermeture des rabats, ce qui permet sa mécanisation sur toutes les formeuses de caisses actuelles. Les points de colle reliant la barquette et la coiffe sont facilement « désolidarisables » en tirant sur les languettes prévues à cet effet, la barquette pouvant alors rester en rayon avec son contenu. Cet emballage protège les produits durant la phase logistique, permet une mise en rayon rapide et permet de communiquer directement en linéaire via, une impression sur la barquette.

Pour répondre à la problématique particulière d’un client dans l’agroalimentaire qui consistait à mettre 12 boîtes de 150 g avec des saveurs différentes dans un même PAV à destination du hard-discount, la solution manuelle s’imposait : International Paper a conçu un emballage découpé selon un process très simple, offrant une large ouverture permettant l’introduction manuelle des produits et garantissant la protection sécurisée lors du transport des produits. Le facing reste très propre une fois en rayon (pas de prédécoupe, ni détérioration de la marque lors des diverses manipulations). Un emballage toujours monomatériau – carton ondulé – et 100% recyclables.

photo International Paper

Allard

VENTE AUX ENCHERES SUR INTERNET matériels ex-Budelpack suite à la fermeture de Talavera de la Reina (Espagne)

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13 lIGNES dE CONdITIONNEmENT + de 20 mACHINES dE REmPlISSAGE “CO.MA.DI.S”, “RATIONATOR”, “SERAC”, “IPROCOMSA”, “FARMONAC”, “MECANO QUIMICA” et “HISPAMEC” ; + 20 CAPSUlEUSES “RATIONATOR”, “TAHFER” et “ELIDA GIBBS” ; + de 20 ETIqUETEUSES “ELIPACK”, “AVERY”, “NERI”, “PREMIER”, “PRECISION LABELLERS”, “PPM ALBRO”, “OLIVE”, “ETIPACK”, etc... + dE 100 CUVES VERTICAlES INOX CUVES dE mElANGE “LEALL PROCESS”, “ELIDA GIBBS”, “TIMSA” etc... CUVES dE STOCKAGE “BEHALTER KG”, “PROGRESSO”, “PIERRE GUERIN”, “ELIDA GIBBS”, “GEA”, etc.. mATERIElS dE PROdUCTION installations de nettoyage, échangeurs thermiques, débimètres digitaux, pompes de transfert, installation de traitement des eaux ‘‘OIS’’, collecteurs, tableaux de connecteurs, stérilisateurs d’eaux, système de convoyeur aerien ‘‘RAPISTANLANDE’’, chemin de roulement ‘‘FLEXLINK’’, etc... AUTRES mATéRIElS dE lAbORATOIRE chromatographe gaz ‘‘Agilent Technologies’’, incubateurs, etc... UTIlITéS compresseurs, grands récipients pour vrac, chariots, etc...

ENCHèRES UNIqUEmENT SUR INTERNET ClôTURE : jeudi 19 mAI à partir de 15h00 Visites : mercredi 11 mai de 9h00 à 18h00 Photos/Catalogue sur notre site Internet

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emballages i acheter 103 Prêt-à-vendre

photo Sappi

Sappi Sappi Fine Paper Europe (SFPE), division du papetier sud-africain Sappi établie à Bruxelles, en Belgique propose Fusion, un nouveau white top liner apte au contact alimentaire. Il s’agit d’un papier de couverture de nouvelle génération pour l’emballage en carton ondulé et la transformation. Issu de fibres vierges, ce papier très blanc, couché et calandré, offre un état de surface qui permet de garantir une haute qualité d’impression et un large rendu chromatique. Conçu pour s’adapter aux différents besoins des transformateurs, ce papier est disponible en bobines ou en feuilles en épaisseurs de 130, 140, 160 et 180 g par mètre carré, adaptées aux profils de cannelure G, F, E et B. Pour fabriquer Fusion, qui bénéficie des certifications de gestion durable des forêts Forest Stewardship Council (FSC) et/ou du Programme for the Endorsement of Forest Certification (PEFC), Sappi utilise la pâte fabriquée dans son usine allemande d’Alfeld, qui est certifiée ISO 14001 et conforme aux critères de la certification Eco-Management and Audit Scheme (Emas).

Emin Leydier Emballages a commencé à fournir des solutions d’emballages en carton ondulé à Artenay Cereals, il y a 10 ans, et fabrique aujourd’hui environ 30 références d’emballages de regroupement. Parmi ces produits, une gamme dédiée au marché des mueslis sous la marque de distribution Carrefour a été récemment éco-conçue, sur la base d’un « wrap around » ajouré en cannelure B. Outre l’utilisation de papiers 100 % recyclés et 100% recyclables, des optimisations techniques ont permis de réduire la patte de collage de l’emballage mais aussi les déchets (-35 %). Des filets coupants spécifiques pour faciliter l’arrachage ont aussi été développés. Ce conditionnement est aussi modulaire : il est utilisé pour deux références de mueslis : soit 12 paquets de 750 g, ou 14 paquets de 500 g.

photo Emin Leydier Emballages

Emin Leydier Emballages

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104 acheter i emballages Prêt-à-vendre Raja

photo Raja

Le distributeur d’emballages Raja propose une ligne de PAV permettant la mise en avant optimale des produits, grâce à la face avant prédécoupée qui permet un accès libre-service au contenu et se transforme en fronton publicitaire. Ceci permet un gain de temps et de manutention avec des produits prêts pour la vente sans qu’il soit nécessaire de les transférer dans une caisse spéciale PLV. Les caisses sont en carton double cannelure épaisseur 7 mm avec une couverture extérieure blanche.

Smurfit Kappa

CMY

photo Smurfit Kappa

Proposé en épaisseur allant de 550 à 900 grammes par mètre carré, le Printline de Smurfit Kappa Solid Board (Smurfit Kappa) est un carton compact qui apporte une très grande rigidité et une très bonne stabilité dans les atmosphères humides, froides ou réfrigérées. Conçu pour être imprimé en affichage offset et recevoir éventuellement un couchage de polyéthylène, le Printline se pose donc en alternative au carton pour boîte pliante ou à la microcannelure, quand ces matériaux montrent leurs limites. Smurfit Kappa réalise des prêts-à-vendre (PAV) et du matériel pour la publicité sur le lieu de vente (PLV) pour tous les marchés.

DS Smith Packaging, dans lequel est désormais intégré Otor, proposent diverses types de PAV. Parmi celles-ci, le Lin Kay offre une ouverture rapide et une coupe nette et propre de la barquette. Livrées à plat, ces caisses peuvent être mises en forme sur les chaînes de mécanisation des clients. Ces emballages peuvent être imprimés jusqu’à 7 couleurs en flexo postprint.

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photo DS Smith Packaging

DS Smith Packaging

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matériel, machines et services

JUin 2011

Guide d’achat :

BioMatéRiaUX

Machines :

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Mai 2011 i eMBallages Magazine

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Quand la caisse devient présentoir La création du coffret de la prestigieuse cuvée Femme, à l’occasion de la sortie du millésime 2000, en mars dernier, marquait l’achèvement de la refonte totale de la charte graphique et des habillages de la maison de champagne Duval-Leroy. Mais, avec son responsable achats Stéphane Villin, elle a décidé d’aller plus loin et de développer une nouvelle caisse de transport. L’objectif ? « Coller au rajeunissement de la marque et permettre aux cavistes soit d’aménager un coin de présentation esthétique, soit de disposer d’un présentoir original », explique Stéphane Villin. MD Packaging, spécialisé justement dans les caisses de champagne, à Vatry (Marne), a participé à cette création. Le bois, lourd, encombrant après utilisation et à l’aspect très rétro, a été abandonné au profit du carton. Les dimensions sont ajustées pour se rapprocher d’un carré, plus harmonieux, en

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particulier sur le format original de trois bouteilles. Conformément à la nouvelle charte, la couleur est légèrement nacrée et la communication est minimaliste. Extérieur et intérieur sont imprimés en offset. La transformation en présentoir s’effectue grâce à une cale astucieuse, dont le principe est protégé, avec un pli central inversé et un passe-doigt. Elle se forme automatiquement par la pose des bouteilles, tête-bêche, empêchant tout contact entre celles-ci. Dans la caisse de six bouteilles, une cale supplémentaire est simplement ajoutée, « le verre absorbant tous les efforts ». Pour mettre en place le présentoir, il suffit de retirer la bouteille du milieu et de tirer sur le calage. Trois bouteilles peuvent ainsi être exposées, inclinées. L’accueil des restaurateurs et des cavistes a été tel que Duval-Leroy a reproduit l’opération sur le précédent millésime de Femme, la cuvée 1996. Arnaud Jadoul

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