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2.4 I réalisation d ’ un mur soubassement

Le vendredi après-midi, Bertrand et moi-même sommes allés sur « un petit chantier » situé dans la campagne environnante de Machecoul concernant un abattoir de volailles. L’opération ici fut le bâti d’un mur de soubassement sur une rangée de parpaings à même le nouveau dallage au sujet d’un local technique. Le parpaing avec un profil en « U », se destinait à recevoir le béton coulé à la main dans son creux, à l’image du remplissage d’une fouille. Tout d’abord, nous avons posé et collé les parpaings au moyen d’un fil à plomb et d’une colle à ciment, celle-ci étant un mélange de réactions chimiques sans les graviers, à la différence d’une colle à béton. Avant le coulage dans ces parpaings, nous avons déposé trois tiges d’acier nervuré au sein de leur « fond de cuvette » afin de solidariser au mieux l’ensemble de l’ouvrage. Cependant, ce « muret d’enceinte » se positionnait au-dessous d’une barre en acier horizontale sur laquelle se fixera le bardage métallique vertical, ce qui compliqua considérablement la tâche par la suite. Ainsi, nous avons « coulé le béton » dans ces parpaings à l’aide d’un seau et d’une truelle, celui-ci étant l’outil de base du maçon. Le béton « s’arrêtait » à juste hauteur de ces parpaings. Cet ouvrage a pour rôle de préserver le dallage de toute humidité extérieure, soit « une ceinture étanche » maçonné à ce nouveau local. Une fois cette tâche accomplie, nous avons opéré de même façon à propos d’un « abri technique », celui-ci ouvert sur l’extérieur. Outre ce « petit chantier », le mardi matin, nous étions également sujets au terrassement d’un bâtiment maraîcher dans les environs de la commune de Saint-Philbert-de-GrandLieu. Un bâtiment divisé en deux parties : « la grande serre » à même la terre et les bureaux ainsi que les réserves sur un futur dallage. Au moyen de la mini-pelle, nous avons remblayé avec du sable et du gravier le terrain de ce dernier secteur pour terrasser celui-ci par la suite. Ainsi, nous étions avec la pelle et le râteau, à l’aide du niveau-laser, afin de respecter et « suivre » au mieux la légère pente nécessaire à l’écoulement de l’eau. Suite à cette opération, nous avons pu assisté à l’inclusion de sol du chantier, à savoir un forage de douze mètres de profondeur dans lequel est projeté du gros béton. Ce sont en quelque sorte des pieux profonds destinés à accueillir « la chaudière » de la grande serre puisque la terre est trop meuble à cet endroit.

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Dallage au-dessus du terrassement. [Photo]

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