Thomas Pesquet Un astronaute avec les yeux d’un artiste
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l puise dans les sources de la science, alors il ouvre la voie de la recherche avec enthousiasme et passion qui l’ont conduit aux sommets des connaissances, jusqu’à ce qu’il se retrouve astronaute sur son vaisseau spatial. Il a ensuite voyagé à bord dans l’espace pendant des mois, et des tâches exceptionnelles lui ont été confiées après de longues formations malgré les risques. Thomas Pesquet, ce jeune français, s’apprête à partir pour un nouveau voyage dans l’espace début 2021. L’astronaute de 42 ans et le dixième français à voyager dans l’espace, depuis son premier vol en 2016-2017 à bord de la Station spatiale internationale (ISS). Astronaute européen à bord d’un véhicule spatial américain. Thomas Pesquet partira pour une deuxième mission à bord de la même station au second semestre 2021. Il deviendra alors, le premier astronaute européen à voyager à bord d’une capsule américaine Crew Dragon de SpaceX. Thomas a confirmé qu’il commencera déjà une formation intensive à la fin du mois de mars, au Centre spatial Johnson de Houston, aux États-Unis, comme cela s’est produit lors des préparatifs de son premier voyage en septembre 2016. À son arrivée au centre de formation, cet aventurier devra passer par les premières étapes de l’examen pour « évaluer sa connaissance des systèmes et des processus, ce qui permettra aux formateurs de s’adapter au programme de formation en fonction 26
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des exigences de cet ancien pilote français, qui a d’abord approché le monde extérieur lorsqu’il a été sélectionné par l’agence spatiale ». En 2009, l’Union européenne (ESA), et parmi les six candidats, l’ayant formé pour devenir l’astronaute le plus jeune au monde. Thomas ne laisse rien au hasard. Lors de son premier séjour à bord de la Station spatiale internationale, Thomas Pesquet a réparé les toilettes cassées le deuxième jour. En outre, Thomas Pesquet tentera de porter sa combinaison spatiale, avant de la faire tester à l’assemblage du Laboratoire de flottabilité (NBL) de la NASA, qui est utilisé pour l’entraînement aux sorties extravéhiculaires. Cette formation dure environ six heures et permet d’anticiper tout risque potentiel d’erreur technique lorsque vous devez marcher dans l’espace et permet à la pratique de contrôler les niveaux d’adrénaline et de stress. Thomas Pesquet, après sa première expérience dans le domaine des voyages spatiaux dans le cadre d’une mission appelée Proxima, avait mené une douzaine d’expériences, dont la moitié ont été développées par l’Agence spatiale européenne (ESA) ou le Centre national d’études spatiales de français, et l’autre moitié par la National Aeronautics and Space Administration (NASA). Un deuxième voyage dans l’espace avec des souvenirs du premier vol.
En juillet 2020, il a été choisi pour entreprendre une deuxième mission à bord de la capsule Crew Dragon, construite par la société privée américaine SpaceX, pour devenir le premier Européen à voyager dans l’espace à bord d’un vaisseau spatial américain dans le but d’effectuer une mission très attendue appelée Alpha. De retour de son premier vol, l’astronaute a passé 196 jours dans l’espace à bord de la Station spatiale internationale. Ce qui fait de lui, le deuxième français sur la liste des français ayant voyagé dans l’espace après Jean-Pierre Haigneré qui a accumulé 209 jours dans l’espace au cours de deux voyages, mais les chances de Thomas d’être en avance sur ses citoyens en termes de séjour dans l’espace ont fait qu’il obtienne une deuxième résidence là-bas l’année prochaine accompagné de l’astronaute russe Oleg Novitskiy le commandant d’un vaisseau spatial de 2,2 mètres de longueur et 2,1 mètres de diamètres. Le français est entré dans l’espace à une vitesse de 28 000 kilomètres à l’heure en novembre 2016, revenant après 6 mois dans l’espace, et atterrissant dans les plaines kazakhstan, pour mettre fin à sa mission. Que se passe-t-il quand il est dans l’espace ? Aujourd’hui, Thomas connaît très bien les détails quand on est dans l’espace, comme il l’a déclaré après son premier vol. Ce qui lui a manqué le plus, en plus de son désir d’être en famille, le sentiment de liberté, sortir pour la randonnée. © Photography by
Fareed Kotb
