Horecajournal .
N° 90 - octobre 2017 10 numéros par an TIRAGE: 31.300 E.R. Filip vanheusden Horeca Marketing BLVD. Anspach 111, 1000 bruXELLES www.horecabruxelles.be www.horecawallonie.be bureau d’émission: Malines
n°90 - octobre 2017
Accord sectoriel 2017-2018 : c’est dans la boîte !
Au début de l’été, les partenaires sociaux de l’horeca concluaient un accord sectoriel pour l’année 2017-2018. Cet accord garantit la paix sociale durant cette période, mais réussit également l’exercice périlleux de concilier les intérêts des employeurs et des employés tout en tenant compte de la crise que connaît actuellement notre secteur. Nous vous résumons le contenu de cet accord sectoriel en quelques lignes :
• SALAIRE Les employés de l’horeca verront leur salaire brut grimper de 0,5 % à partir du 1er octobre prochain. Cette mesure s’appliquera aux salaires réels ainsi qu’aux barèmes sectoriels. Bien que l’accord national prévoie une augmentation maximale d’1,1 %, le contexte économique particulièrement difficile auquel est confronté l’horeca l’oblige à limiter cette croissance à 0,5 %.
• SYNDICATS Le nombre de jours dédiés aux formations syndicales passera de 8 à 9 jours par an pour les représentants syndicaux, les membres d’un conseil d’administration ou d’un comité. L’accord souligne toutefois que le Fonds Social doit assurer un remboursement plus rapide de ces formations. En outre, les représentants syndicaux disposeront désormais d’une heure supplémentaire par mois (soit 3 heures au total) pour se consacrer à leurs activités de défense des travailleurs. La prime syndicale passera quant à elle de 135 à 145 € en raison de l’adaptation de l’ONSS.
• DURÉE DU TRAVAIL Les «petits contrats» vont connaître une petite révolution. Tout employeur engageant un travailleur à temps partiel doit l’employer au moins 3 heures par jour et 12 h 40 par semaine. Notre secteur applique des horaires de base moins élevés. Dans l’horeca, un employé à temps partiel doit travailler au moins 2 heures par jour et 10 heures par semaine. Ces seuils seront toujours applicables, mais tout employeur souhaitant recourir à ces «petits contrats» devra s’en justifier auprès de la Commission Paritaire. Les cas d’abus pourront être communiqués au Groupe d’avis Dérogations. La dérogation octroyée à l’employeur pourra lui être retirée dès lors que les partenaires sociaux constatent unanimement qu’il y a fraude. L’ensemble de la procédure doit encore être défini.
• CONCERTATION SOCIALE Les partenaires sociaux se réuniront au sein d’un groupe de travail social afin de poursuivre leurs concertations pour la création d’un
climat de travail résolument tourné vers l’avenir dans le secteur. Les CCT existantes (concernant notamment le SCE, les crédits-temps, les groupes à risque, etc.) sont prolongées et l’on observe l’apparition de deux possibilités (par le biais d’une CCT CNT) : la prolongation motivée du crédit-temps à 51 mois (CCT103) et la création d’emplois de fin de carrière pour les travailleurs de 55 ans et plus assortie de l’octroi d’une prime ONEM. La paix sociale est garantie. Les partenaires sociaux sont libres de négocier les éléments n’apparaissant pas dans cet accord au sein de l’entreprise et dans le respect des normes salariales. Il sera impossible aux organisations syndicales de poser des revendications salariales supplémentaires en raison de l’augmentation salariale déjà prévue dans cet accord. Cet accord sera traduit en CCT dans les semaines à venir. Rendez-vous sur www.horecabruxelles.be ou www. horecawallonie.be pour découvrir l’accord dans son intégralité.
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• CONDITIONS DE TRAVAIL Le remboursement dans les frais de transports en commun (train, tram, bus) déboursés dans le cadre du déplacement domicile-lieu de travail sera appliqué dans le respect du tableau repris dans la CCT 19octies du Conseil national du travail. Les tarifs exprimés dans ce tableau seront toutefois adaptés à partir du 1er février 2018 en réponse à la hausse des prix appliqués par la SNCB. L’intervention dans les frais de tram et de bus grimpera pour atteindre 80 %. Une journée d’absence justifiée supplémentaire sera accordée en cas de décès d’un enfant, d’un conjoint ou de son enfant. Ce type de congé de circonstance pourra également être pris jusqu’à 1 mois après le décès.
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Dans cet
Horecajournal
Où en est le SCE Module Data Blackbox ?
Développer et moderniser les infrastructures.
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Yvan Roque Président Horeca Bruxelles
Editorial
Chers amis, Nous voici déjà dans la seconde moitié de l’année et le temps est venu de tirer les premiers bilans. Le problème de la Black Box a été la préoccupation principale pour beaucoup d’entre nous. Pour cette raison, et bien d’autres qu’il est inutile de citer mais que chacun pourra identifier facilement, notre secteur bruxellois a beaucoup souffert. Nous parlons principalement du centre-ville, bien entendu. Notre monde change très vite, des reprises et des ouvertures ont vu le jour, mais nous devons déplorer également de nombreuses fermetures. L’année prochaine sera le début d’une décennie incroyable et extraordinaire. • L’intelligence artificielle va se développer à une vitesse vertigineuse et influencer notre mode de vie au quotidien. • Les voitures sans pilote vont envahir nos rues et pourraient faire oublier l’usage de sa voiture personnelle favorisant l’accès aux centres-villes, qui ont tendance à être délaissés de plus en plus. • L’informatique et internet devront faire partie intégrante de la gestion et de la communication de nos entreprises. • De nombreux métiers vont subir les effets de ces changements dans les dix prochaines années. Si les pharmaciens et les libraires ont déjà dû se remettre en question, les médecins et les avocats devront faire de même. Les commerces seront remplacés par l’E-commerce. La société Amazone est déjà en train de nous en faire la démonstration. • Les banques sont dans une phase de restructuration très néfaste pour le capital humain et fonctionnent dorénavant énormément avec le « Net ». • Les classes moyennes et le commerce vont être très fortement menacés. Même les grandes surfaces vont devoir revoir leur façon de penser, leur façon de travailler. L’Horeca a toutes les chances, à condition de bien appréhender les changements à venir et avec de légères adaptations, de passer ce cap difficile. Si les « liseuses » ont remplacé pour quelques-uns le livre papier, si les « journaux électroniques » et le « net » ont touché le secteur de la Presse, rien ne pourra remplacer le plaisir de se retrouver entre amis ou en famille dans un lieu convivial et d’être servi par un personnel avenant dans un de nos nombreux établissements, dans un de nos bars, cafés ou restaurants. Chez nous, tout le monde peut trouver son bonheur dans les conditions financières de son choix. Du restaurant étoilé en passant par les belles et grandes brasseries ou par les petits bistrots chauds en couleur et en ambiance, nos compatriotes et nos amis étrangers, en voyage de découverte, peuvent vivre des moments inoubliables. Nos touristes se souviennent toujours des restaurants où ils ont passé de bons moments et, peut-être, moins de nos avenues et de nos piétonniers. Le monde politique aussi doit se remettre en question ! Est-il conscient de ces changements et de la nécessité absolue de donner à nos secteurs l’opportunité de continuer à « être » ? Est-il conscient que le monde actuel et celui d’un futur proche ne peuvent et ne pourront pas vivre sans nos hôtels pour accueillir le tourisme d’affaires et de loisir, sans nos restaurants qui offrent à chacun de fêter les instants importants de la vie quotidienne ou les grands moments de la vie sociale ? Le SCE peut être un moyen de perfectionner la gestion de certaines de nos entreprises, il ne doit pas être seulement un moyen de répression. Dans nos petites entreprises, nous devons nous entourer de nombreux collaborateurs. Il est impossible, à l’heure actuelle, de faire face aux charges énormes que cela engendre. Toute la politique sociale et les coûts liés à l’embauche doivent être revus. L’Horeca peut répondre au problème du chômage, à condition de lui en donner les moyens. Nous possédons des centres de formation efficaces que nous désirons gérer par nous-mêmes. Nous devons recevoir les budgets nécessaires à leur développement et à leur exploitation. L’Horeca représente le monde du futur s’il est considéré par nos dirigeants comme un monde de partenaires et non comme un monde de fraudeurs.
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HORECAcafes
BXL Beer Festival 2017 à la découverte de l’univers des bières « Vers une meilleure connaissance des bières belges comme étrangères, en Belgique ». La Fédération Horeca Bruxelles était évidemment présente en la personne de son Président de la section Café - Monsieur Jean – Marie Dewandeleer qui nous rapporte ses impressions.
Pour sa première édition, « Le BXL Beer Fest » nous a proposé 50 brasseries authentiques et artisanales choisies par leurs soins de 10 pays différents.
L
es quatre organisateurs Jean Moeder, Vincent Callut, Olivier Desmet et Kevin Desmet ont privilégié la qualité des brasseurs et le bon service de la bière dans des verres propres.
L’accent a été mis sur la qualité des participants. Durant le week-end du 26 au 27 aout, une centaine de bénévoles ont veillé au bon déroulement du festival et dans un souci de développement durable ont appelé les visiteurs à jeter leurs déchets dans les poubelles sélectives prévues à cet effet. Une sélection de bières artisanales, précommandée sur internet, pouvait aussi être enlevée à la boutique du festival.
Un « pop-up », restaurant gastronomique, représenté par Dirk des Brigittines, grand amoureux du « Beer Pairing », a assuré la qualité des mets servis durant le festival. D’autres ténors de la Gastronomie Christophe Hardiquest (Le Bonbon 2 étoiles), Damien Bouchery (Bouchery – 16/20 Gault Millau), Uga Federico (Racines – 13/20 Gault Millau) ont apporté leurs talents en proposant des ateliers autour de la cuisine à la Bière. Le dimanche les visiteurs ont assisté à plusieurs séminaires autour des associations bières et fromages – présentés par Véronique Socié (La Fruitière) et Christophe Gillard (Mi-Orge MiHoublon), bières et chocolats avec Laurent Gerbaud (Chocolatier) et Christophe Gillard (Mi-Orge MiHoublon).
Les festivaliers ont aussi eu accès à des Foodtrucks. Pour Jean – Marie Dewandeleer, le Président de la section Café de la Fédération Horeca Bruxelles : « ce genre de festival est très important pour une meilleure connaissance des bières belges comme étrangères, en Belgique ». Après cette première édition, couronnée de succès, les amateurs de bière et de gastronomie attendent avec impatience l’édition 2018. CT Pour Horeca Bruxelles
Portes ouvertes Mabru.
Les free shopping bus.
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Un verre avec René Magritte.
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HORECAactualite
Laure Genonceaux est la nouvelle Chaudfontaine Lady Chef of the Year Le public et un jury de journalistes culinaires ont sélectionné Laure Genonceaux du restaurant Brinz’L pour le titre de Chaudfontaine Lady Chef of the Year 2017. Elle succède ainsi à Julie Baekelandt de C-Jules à Zottegem. Le prix Lady Chef of the Year en est à sa 27e édition cette année.
C
Le client part sans payer : comment faire face ? Selon les statistiques de la Police Fédérale : depuis 2011, « la grivèlerie » ou le fait de partir sans payer a bondi de 15 %. Ce problème touche principalement les cafés et débits de boissons.
donnent lieu à l’arrêt du resquilleur par l’exploitant et seulement 26 % des plaintes aboutissent. 2) Installer des caméras à l’intérieur de son établissement et devant sa porte.
L’installation de caméra peut jouer en la faveur de l’établissement Horeca et permettre la mise en place d’un listing (photo) des resquilleurs notoires, en plus d’aider à la sécurité générale de l’établissement. Dans cette optique la Fédération Horeca Bruxelles continue depuis de longues années, à informer le secteur Horeca sur les possibles installations de caméras.
3) Faire un constat de police.
Pour les exploitants Horeca, la cause de ce phénomène serait de deux types : - la crise qui diminuant le pouvoir d’achat, augmente le nombre de personnes tentées par ce genre de pratique, - l’interdiction de fumer, qui contraignant les fumeurs à sortir de l’établissement, permet de s’éclipser en douce, particulièrement à une heure de grande affluence ou par beau temps, les terrasses étant alors bondées. Concrètement, pour 2 % des cas interrogés, le « départ en douce sans payer » est un fait quotidien, dans 6 % des cas, une situation se produisant plusieurs fois par semaine et dans 12 % des établissements du secteur Horeca, une exception survenant une fois par mois.
3 solutions possibles : 1) Surveiller sa clientèle ou exiger un paiement immédiat.
Six établissements sur dix disent limiter ce problème en surveillant leur client ou en exigeant un paiement immédiat de la consommation après commande. Le paiement après commande peut aussi se limiter à la partieterrasse, diminuant le risque de départ sans payer.
Dans cette optique, la demande de la carte d’identité en cas de départ ou le fait de laisser sa veste ou un sac, sont des solutions qui peuvent aider.
Néanmoins, le souci reste de prendre le resquilleur sur le fait. En effet, seuls 54 % des cas
Seuls 14 % des faits de « grivèlerie » aboutissent à un constat de police. Toutefois, le resquilleur sera alors fiché et donc connu de la police. Le tout pourra donner lieu à des poursuites éventuelles.
Conclusion : un combat sur la durée ! Dans les faits, la prudence et la concentration sont de misent, particulièrement pour le personnel servant en terrasse. La surveillance et l’exigence de paiement après commande, complétée par la mise en place d’installations de caméras et d’un listing (photo) de resquilleurs connus, pourront progressivement diminuer le nombre de cas de ce genre. CT Pour Horeca Bruxelles
e titre Chaudfontaine Lady Chef of the Year est décerné chaque année à un chef féminin qui personnifie la qualité, la créativité et la finesse dans la cuisine. Tout comme les années précédentes, le choix s’est arrêté cette année sur une jeune lauréate très prometteuse. Laure (34 ans) a accumulé de l’expérience dans différents restaurants de renom tels le Gril aux Herbes et Bon-Bon avant d’ouvrir sa propre maison en 2015. Dans sa cuisine se mêlent des influences venues de très loin et des environs immédiats : ses racines à la fois mauriciennes et belges contribuent à d’excellents mariages d’ingrédients et de saveurs.
« L’élection de Chaudfontaine Lady Chef of the Year représente une récompense énorme, c’est réellement la reconnaissance ultime, » rayonne Laure. « Je bataille dur dans mon restaurant, jour après jour, pour que mes clients connaissent une expérience culinaire inoubliable. Deux choses sont indispensables dans ce métier : la passion et l’ambition. C’est un métier à part, mais c’est la passion qui fait que le choix pour cette vie apparaisse comme une évidence. » Christophe Hardiquest, chef du Bon-Bon, est également très enthousiaste : « Laure est une personne franche, déterminée et qui n’a pas peur de s’imposer parmi les hommes. Elle est persévérante et n’a jamais rien lâché même pendant les moments plus difficiles et ce toujours en gardant le sourire. Je suis ravi qu’elle ait gagné ce titre car il est amplement mérité. » u www.ladychef.be
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Horecajournal
HORECAtourisme
« Développer et moderniser les infrastructures » Une analyse et des propositions d’Eric Catry, Vice – Président de la Section Hébergement touristique de la Fédération Horeca Bruxelles. Pour développer et moderniser les infrastructures et ainsi soutenir le tourisme bruxellois, il faut : - Améliorer l'accessibilité des aéroports par la possibilité d'une voie rapide pour les autobus et les taxis comme cela existe entre Louvain la Neuve et Bruxelles. - Limiter certains droits de trafic (fédéral) - Rationaliser les droits de péréquation des aéroports régionaux (régions flamande) Cfr. La décision flamande pour la gestion de leurs aéroports régionaux avec la Société Egis. Pourquoi pas aussi en Wallonie afin d'éviter toute concurrence. - Lien entre le centre de Bruxelles et l'aéroport en 20 minutes (RER automatisé ?) (Fédéral) La question de la liaison RER doit sérieusement être posée et non postposée. - Favoriser la fluidification des opérations de détaxe aux aéroports, - Lien avec les aéroports wallons (Diabolo avec Anvers) (Fédéral)
- Mettre en place des signes communs dans les gares, les aéroports, les stations de métro (sortie, toilettes, taxis, métro, …) pour permettre aux touristes de s’orienter facilement en les informant dans leurs langues (multilinguisme des informations pratiques)
donné, concierge virtuel ...). C’est toute la problématique de l’Open Data. - Assurer l'accès partout dans la ville d’un WiFi de qualité gratuit dans les gares, les stations de métro et les aéroports (accords régionaux) - Obligation du wifi dans les hôtels
- Mettre en place des visas électroniques "Esta"
- Faciliter les procédures
- Augmenter le prix des visas pour financer les campagnes de promotion et les répartir ces fonds avec les Régions. - Régionaliser certaines taxes communales et les injecter en termes de promotion Touristique. « Payer plus pour gagner plus ». Les hôteliers seraient heureux de payer plus si ces fonds étaient engagés en pure promotion et qu’ils puissent en mesurer le retour sur investissement. - Création d'un passeport «talent» avec un permis de séjour de maximum quatre ans pour les chercheurs, les entrepreneurs, ...) - Permettre le contrôle des passeports de manière automatique pour les EU (parafe, Iris,) - Investir dans le renouvellement de l'hébergement - Fournir les outils nécessaires aux administrations pour encourager la réhabilitation des hébergements touristiques - Simplifier les normes (techniques, incendie et relatif aux Handicap)
Eric Catry
- Créer un cadre budgétaire pour les investissements lourds - Poussez la rénovation du patrimoine de Tourisme social par un fonds d’investissement relatif au tourisme social avec les syndicats. - Créer des partenariats public-privé dans le but de faciliter la rénovation de l'environnement et de l'infrastructure publique dans une structure transparente et sans ambiguité.. - Aider au développement de ces services de géolocalisation numérique sur les smartphones des touristes en ce y compris les guides multilingues numériques - Mettre en place des concours de création d'applications innovantes (la traduction automatique, service d'urgence, informations sur les installations et services disponibles pour les enfants dans un lieu
- Symboliquement, en s’appuyant sur l’effet immédiat que cela avait produit auprès de certains visiteurs, le Gouvernement devrait engager comme concrète une délivrance des visas en 48h chrono pour les ressortissants de dix pays fortement émetteurs provenant des pays du BRIC mais aussi la Thaïlande, les Philippines, le Cambodge, le Laos et la Birmanie, l’Indonésie et l’Inde. Gagner en termes de temps et d’efficacité. - En collaboration avec nos aéroports nationaux, faire en sorte que le franchissement des frontières se fasse en moins de 30 mn pour les titulaires d’un passeport Schengen et en moins de 45 mn pour tous les autres ressortissants (en ce inclus le contrôle de sécurité). - Pour améliorer la première impression que peuvent avoir les visiteurs en parcourant les autoroutes reliant les aéroports à nos villes mais aussi dès le franchissement de nos frontières, il faudrait lancer un appel d’offre auprès d’un prestataire puissant qui s’engage à entretenir, embellir et nettoyer toutes les voies, en contrepartie de la gestion de panneaux publicitaires disposés intelligemment sur ces itinéraires. CT Pour Horeca Bruxelles
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HORECArestaurants
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Où en est le SCE Module Data Blackbox ? Le service juridique spécialisé Horeca de la Fédération Horeca Bruxelles vous répond.
Il est incontestable aujourd’hui qu’il y a bien un arrêté royal qui oblige les entrepreneurs de l’Horeca qui ont plus de 25.000 euros de chiffre d’affaires à avoir un système de caisse enregistreuse SCE Module Data Blackbox. Il est aussi clair et indiscutable que la sécurité juridique n’est pas donnée. Pourquoi ?
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arce que d’une part, il y a trois recours en annulation contre cet arrêté royal et que d’autre part, il y a plus de 25 textes réglementaires qui tournent autour de ce système de caisse enregistreuse et qui sont loin d’être clairs. Enfin on est toujours dans l’attente d’une circulaire qui va notamment expliquer le cas des traiteurs et des soustraitants. Et aussi il y a eu 4 annulations par le Conseil d’État de ces mesures réglementaires. Et pourtant le nombre des contrôles ne fait qu’augmenter. Le nombre d’amendes ne fait qu’augmenter. Le nombre des faillites ne fait qu’augmenter.
Que faire ? Que faire si vous avez une amende ? Contester ! Attention, il y a un délai de trois mois à dater de sa réception et vous pouvez l’introduire devant le fiscal team, le SPF local ou il y a également un recours devant le tribunal. Alors est-ce que c’est tout ? Est-ce c’est cela le risque de l’Horeca si on n’a pas de caisse ? 1500 euros d’amende ?
NON ! Pas du tout. En réalité, le vrai risque : il est après ! Pourquoi ? Parce que la deuxième amende, la deuxième infraction est plus importantes et ainsi de suite jusqu’à 10.000 euros par infraction. Mais surtout, et c’est l’essentiel, c’est le risque de contrôle ! Contrôle TVA année 2014 – 2015, avec une possible rectification. Il y a par la suite un contrôle ISOC qui va suivre immédiatement ce contrôle TVA en adaptant par rapport au chiffre d’affaires qui aura été, le cas échéant, revu par l’administration fiscale. Et enfin il existe le risque que la comparaison du chiffre d’affaires – avant le système de caisse et après le système de caisse. Même si le SPF Finance s’est engagé à ne pas le faire. Il le fait quand même aujourd’hui !
L’Horeca doit se repenser aujourd’hui ! On ne peut se contenter de se plaindre et de se dire que c’est une fatalité ! Il y a des mesures sociales, d’accompagnement, pour rendre l’Horeca viable, ou presque. C’est-à-dire : les flexi-job, les heures supplémentaires, les premiers engagements… Et pourtant ces mesures sont très peu utilisées.
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Horecajournal
HORECAbistrot de terroir®
Voyez du pays avec nos Bistrot de Terroir ! ®
Dans le cadre de la thématique touristique 2017 « La Wallonie gourmande », Horeca Journal vous présente, chaque mois, un établissement labellisé Bistrot de Terroir® et un de ses producteurs, en Wallonie. L’occasion pour la Fédération HoReCa Wallonie de valoriser ces cafés typiques ainsi que les savoir-faire wallons.
La Brasserie St Georges, Geo
un établissement conscient de son patrimoine gourmand mine d’or : l’Église-Saint-Georges, l’Arvo (anciennement la Justice de Paix), les nombreux châteaux, la Fontaine de la Vierge et bien d’autres encore sont autant de perles pour les passionnés d’architecture ancestrale. « J’appelle ce tourisme, du tourisme d’intéressés. Il ne s’agit pas d’un tourisme de masse. Les gens viennent parce qu’ils sont curieux de l’histoire et du vécu du village. Ils prennent la peine de visiter les ruelles aux alentours … C’est un tourisme très sympathique ! ».
À la découverte du Terroir © Fédération HoReCa Wallonie
Capitale de l’ancien Duché de Limbourg, site architectural inscrit sur la liste du patrimoine immobilier exceptionnel, forteresse réputée imprenable, … C’est dans le village de Limbourg, ce hameau historique aux nombreux surnoms, que Pierre Cerfontaine a décidé d’ouvrir sa propre brasserie, pour le plus grand bonheur des amateurs du local. Une envie, une opportunité, une réussite ! « Je suis de la région et j’ai vraiment vu cet endroit comme une opportunité… que j’ai saisie ! » nous raconte Pierre Cerfontaine, gérant de l’établissement labellisé Bistrot de Terroir® La Brasserie St Georges. À l’époque, le lieu était dépourvu de commerce et avait grand besoin d’être redynamisé. Au vu de l’importante présence
© Fédération HoReCa Wallonie
des touristes au moment estival, un établissement horeca paraissait comme une évidence pour le tenancier. « Je n’ai pas hésité deux fois » continue Pierre. « Cela fait six ans maintenant que je suis ici et j’ai une équipe de six personnes. L’entente se passe vraiment bien. J’ai beaucoup de chance d’avoir une équipe comme celle-ci. Et puis, la place Saint-Georges est un lieu très agréable et paisible ! ». Il est vrai que la place entièrement dallée apporte un certain cachet et plonge les limbourgeois dans une période quelque peu moyenâgeuse. Activité en constante évolution, Pierre n’en est pas resté là et a décidé de persévérer dans sa quête vers la réussite : « J’ai développé un projet consistant en la création d’un bar sur base d’une vieille deux chevaux pickup. Il a vu le jour au mois de juin 2017, après deux années de préparation. Grâce à ce projet, j’organise parfois des petits évènements, que ce soit ici pour des apéros ou à l’extérieur. Pour moi, la bière, c’est une passion et j’essaie de la promouvoir un maximum. Nous aspirons à créer notre propre bière, à en faire une petite production. Nous aimerions la brasser ici, dans les murs de la brasserie, à la vue de tout le monde. Pour moi, cela resterait dans la logique du concept de la brasserie ».
Un environnement unique et chaleureux En plus d’être un patron comblé, Pierre Cerfontaine accueille et rencontre une clientèle très diversifiée : « Ici, c’est vraiment éclectique ! Ça varie entre 20 et 75 ans. Le tourisme est assez présent depuis que le village fait partie des « Plus beaux villages de Wallonie ». Cela a vraiment été un plus pour nous. Et nous avons beaucoup de clients fidèles. Ce qui leur plait
« Travailler uniquement le terroir, les circuits courts serait l’idéal, mais c’est compliqué ... Cependant, rien que le fait d’avoir l’envie et de travailler un maximum les produits locaux, c’est déjà la meilleure des démarches ! » chez nous, c’est le cadre, le côté chaleureux. Nous ne cherchons pas la modernité et nous mettons l’accent sur la convivialité. Les gens ne viennent pas ici pour se prendre la tête. Nous non plus d’ailleurs ! Et ceux qui le font, comprennent vite que ce n’est pas l’endroit » (Rires). « Ici, les gens viennent pour se retrouver dans un endroit sympa, pour de la cuisine simple mais composée des produits les plus qualitatifs possibles ». Situé juste aux portes des Fagnes, le village du Limbourg est une réelle
Pour Pierre, travailler local a été une ligne de conduite, dès le départ : « Au tout début de mon activité, j’ai été contacté par la Fédération HoReCa Wallonie et j’ai directement effectué toutes les démarches pour être
propose une sélection de fromages et qui sait très bien que je ne veux que des fromages régionaux. Nous sommes également en pour-parler avec une toute nouvelle chèvrerie, située à Baelen. Au niveau de la viande, nous travaillons avec le boucher du coin, situé à 200 mètres de la brasserie. Même au niveau des boissons, nous travaillons avec un producteur de jus bio, qui nous élabore certains cocktails. Quant aux bières locales, nous collaborons avec une très bonne brasserie, à Stembert, appelée Brasserie de Blérot – Père & Fils. Toutes les bières sont classées, dans un volet « terroir », un volet « découverte », etc. Et généralement, les touristes qui viennent ici, prennent une bière de la région ».
© Fédération HoReCa Wallonie
labellisé Bistrot de Terroir®. Nous avons reçu l’obtention rapidement et cela m’a paru logique de poursuivre dans cette optique-là. Le label Bistrot de Terroir® est une belle valeur. C’est un plus pour nous. Chaque fois que nous avons la possibilité de travailler avec des producteurs locaux, nous le faisons. Travailler uniquement le terroir, les circuits courts serait l’idéal mais c’est compliqué car il faut tout de même garder une base afin de contenter tout le monde. Cependant, rien que le fait d’avoir l’envie et de travailler un maximum les produits locaux, c’est déjà la meilleure des démarches ! » « Chaque fois que nous découvrons un nouveau produit de la région, nous essayons de le faire découvrir aux clients. Nous travaillons pas mal les fromages avec, notamment, la Fromagerie du Vieux Moulin. Nous avons un affineur à Verviers, la Fromagerie Seraing, qui nous
Le label Bistrot de Terroir® ? « Cela reste un gage de qualité, c’est la reconnaissance d’un travail. J’ai trouvé l’idée de ce label très bonne et à partir du moment où il est en notre possession, pour moi, cela ne peut être que du positif. Et puis, c’est aussi faire partie d’un réseau, faire la connaissance de confrères ayant la même aspiration ». La Brasserie St Georges, un Bistrot de Terroir® chaleureux et aussi naturel que les produits qu’il propose. Un établissement respectueux du terroir et de ses saveurs mais aussi conscient du patrimoine que lui apporte le magnifique Plateau de Herve. La Brasserie St Georges Place St-Georges, 31 – 4831 Limbourg Tél : 087/70.74.46 u http://www.brasserie-st-georges.be/ P.B.
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La Fromagerie ie du Vieux Moulin, une authenticité sans égal Nous voici toujours dans le Pays de Herve, où La Fromagerie du Vieux Moulin, vivement recommandée par Pierre Cerfontaine, patron du Bistrot de Terroir® La Brasserie St Georges, est notamment réputée pour la fabrication et la distribution du fromage de Herve au lait cru. Façonnant ses fromages comme autrefois mais avec les techniques d’aujourd’hui, Madeleine Hansen, gérante de l’entreprise familiale depuis 30 belles années, nous emmène dans son atelier fromager. © Fédération HoReCa Wallonie
attrapé la couleur souhaitée, nous les mettons en caisse pendant une semaine et les conditionnons dans des petites boites. Ils sont alors envoyés en magasins et fin prêts à être consommés ». En plus de travailler dans sa fromagerie du lundi au vendredi, Madeleine est présente sur les marchés publics de la région et participe à des évènements, tant en Belgique qu’à l’étranger : « Tous les week-ends de septembre, je suis présente dans des salons : une fois en Flandre, une fois en Wallonie, une fois à la capitale et tous les deux ans, je vais en Italie, au Bra Cheese Festival. J’y rencontre un paquet de monde ! Le principal, c’est qu’ils soient satisfaits de mes produits et c’est le cas, donc je suis très contente ». Il est également possible de visiter la fromagerie et d’y découvrir les ateliers de production, à laquelle s’en suit une dégustation des produits artisanaux.
Une volonté de proximité © Fromagerie du Vieux Moulin
C
’est en 1987 que Madeleine a décidé de reprendre, avec son mari, l’activité de ses parents, véritable héritage familial : « Au départ, c’était la fromagerie de mes parents. Quand j’ai eu 25 ans, j’étais comme tous les jeunes de cet âge-là, je ne savais pas du tout ce que je voulais faire. Et je me suis dit, pourquoi ne pas me lancer dans le fromage ? J’en ai fait toute ma vie et cela ne m’a jamais pesé. Et donc, je me suis naturellement orientée vers la fromagerie de mes parents. À l’époque, c’était un travail assez lourd. Beaucoup d’efforts pour peu de résultat. Donc, nous avons repensé le métier… et nous l’avons rendu plus agréable. C’était la condition sine qua non. Quelques années après avoir repris la société, mon mari m’a rejointe et nous avons continué d’avancer. Tout est allé crescendo. Cela fait 30 ans que je travaille dans la fromagerie ».
Soucieuse du bien-être au travail, Madeleine est une patronne qui considère son personnel d’égal à égal : « En fait, nous sommes trois vieux qui tirons trois jeunes. Et je me mets dans les vieux ! » (Rires). « Cela fonctionne bien et j’aime bien
ce système. Tout le monde apporte sa petite pierre à l’édifice. Et nous sommes tous égaux, même au niveau des salaires. Tout le monde a le même travail à faire, point. Ainsi, l’entreprise sait investir, notamment dans un confort de travail ou dans l’agrandissement des ateliers ».
Une passion à plein temps De la récolte du lait à la fabrication du fromage, il existe de nombreuses étapes à respecter, toutes aussi importantes les unes que les autres : « Nous avons une première pièce, endroit où le fromage passe de l’état liquide à l’état solide. Nous sommes dans une structure où nous travaillons le lait cru. Qui dit lait cru, dit lait frais. D’abord, nous allons chercher du lait chez notre fournisseur. Ensuite, nous le faisons mûrir dans une grosse cuve pour après être transvasé dans des petites bassines. Puis, nous remplissons des blocs-moules du lait maturé. Une fois les blocs-moules remplis, nous les transférons dans la pièce d’à côté. Les fromages restent dans cette pièce climatisée jusqu’au lendemain, pour être ensuite salés manuellement. Enfin, les fromages entrent en cave d’affinage. Au départ, les fromages sont blancs et prennent une couleur orangée après une dizaine de jours. Quand ils ont
La Fromagerie du Vieux Moulin propose, certes, du Herve mais pas uniquement : « Chaque année, nous développons des produits différents à base de lait. Nous faisons des Bries, des Goudas, des fromages frottés à la bière, des Maquées, du beurre, etc. C’est un bon moyen de faire avancer notre économie locale ». Mais quel est le fromage qui rencontre le plus de succès ? « Le Herve doux sans hésiter ! C’est par ce fromage-là que je suis la plus connue et aussi parce que les
« Chaque année, nous développons des produits différents à base de lait… C’est un bon moyen de faire avancer notre économie locale. » autres fromages sont disponibles uniquement dans mon magasin, destinés à la vente directe. Tout simplement parce que je veux que cela se fasse par les circuits courts ».
Le label Bistrot de Terroir® ? « C’est un très bon moyen de mettre les petits artisans, les petites structures comme la mienne, en avant. C’est aussi un bon moyen de travailler les circuits courts, la vente aux particuliers. Les gens sont de plus en plus conscients qu’acheter
local, c’est acheter et manger de vrais produits, des produits qui ont du goût. Puis, cela redevient tendance et cela fonctionne ! » Artisan fromager depuis des décennies, La Fromagerie du Vieux Moulin s’est voulue une défenseuse des produits laitiers artisanaux et de qualité, tout en conservant les saveurs authentiques d’antan. Défi relevé avec brio ! La Fromagerie du Vieux Moulin u http://fromagerie-du-vieuxmoulin.be FROMAGERIE : Sur la Commune, 14 - 4651 Battice Tél : 087/67.42.86 MAGASIN : Rue de Herve, 169 - 4651 Battice Tél : 087/66.00.39 P.B
© Fromagerie du Vieux Moulin
Pour obtenir de plus amples informations au sujet du label Bistrot de Terroir® en Wallonie, complétez et renvoyez vos coordonnées par fax au 081/72.18.89, par courriel à info@bistrotdeterroir.be ou par courrier à la Fédération HoReCa Wallonie Asbl - Av. Gouverneur Bovesse 35 bte 1 - 5100 JAMBES. Nom : ................................................................................
Prénom : ..................................................................
Enseigne : ........................................................................
□ Café
□ Brasserie
N° d’entreprise : ...............................................................
□ Petite restauration
□ Restauration
Adresse : ....................................................................................................................................................................... ........................................................................................................................................................................................ Tél. : .................................................................................
Fax : ........................................................................
E-mail : .......................................................................................................................................................................... Site web : ...................................................................................................................................................................... Jour(s) de fermeture : ...................................................................................................................................................
www.bistrotdeterroir.be
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nr 90 - octobre 2017
Horecajournal
HORECAFormation HORECAformation
Les formations Horeca d’octobre 2017 Chaque mois, le Centre Horeca Formation - Rue de l’Agrafe 68 à 1070 Anderlecht (station métro Aumale) propose un vaste éventail de formations destinées aux travailleurs comme aux gérants d’établissement Horeca. Le programme propose des formations adaptées à chaque fonction et pour tout type d’établissement.
L
es formateurs sont des professionnels spécialisés dans leur matière. Les formations se basent sur le vécu professionnel des participants pour proposer des solutions, des outils, des recettes adaptées pour que, dès le lendemain, ils puissent être utilisés sur le terrain.
Intéressé ? Pour toutes inscriptions ou commentaires : Rue de l’Agrafe 70 - 1070 Anderlecht - T: 02 550 00 10 - F: 02 512 66 34 E-mail : centreformation@horeca.be u www.horecaformation.be
Quelques formations sous la loupe : GÉRER LE RUSH
CONSEILLEZ VOS CLIENTS SUR LE TOURISME BRUXELLOIS
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n ne peut pas travailler dans l’Horeca sans être confronté à des situations de stress intense ! Cela a généralement lieu pendant le « coup de feu » ou lorsqu’on se sent dépassé par une succession de tâches. Dans cette formation, vous découvrirez comment anticiper ces situations de rush pour éviter qu’il vous submerge et comment l’affronter lorsqu’il survient. Vous parviendrez ainsi à mieux maîtriser votre inconfort et resterez efficace en toute circonstance. • Écoute active et empathie • Outils de délégation et gestion du temps • Outils de gestion du stress Jour : Mardi Date : 24 octobre Heure : 9h-16h30 Lieu : Anderlecht Formateur : B&D
L
’expérience de vos clients, leur désir de revenir et de recommander Bruxelles dépend aussi de vous. Pour répondre à leurs attentes, apprenez à mieux connaître notre belle ville et à vivre l’expérience client par vousmême.
NOUVEAU - POUR RESPONSABLES - COMMENT MOTIVER ET DÉVELOPPER MON ÉQUIPE ?
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• Attentes et satisfaction des visiteurs • Où et comment chercher l’information requise (sites, guides,…) ? • Vivre l’expérience client: promenade dans la ville avec un « greeter »
e coaching vous permettra d’affirmer votre leadership tout en restant en cohérence avec votre équipe et vousmême. Vous pourrez comprendre les facteurs d’automotivation qui favoriseront la motivation, la collaboration et l’enthousiasme au sein de votre équipe !
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Rôle et identité du manager Développer l’esprit d’équipe Ajuster équipe et manager Accompagnement personnalisé
Jour : Mercredi Date : 4 octobre Heure : 9h-16h30 Lieu : Anderlecht Formateur : Top of mind – AnouchkaMoulart
Jour : Mercredi Date : 11 octobre Heure : 10h-16h30 Lieu : Bruxelles Formateur : Visit Brussels
Jour : Mardi Date : 17 octobre, 7 et 21 novembre Heure : 9h-12h30 Lieu : Anderlecht Formateur : Top of mind – AnouchkaMoulart
Les formations d’octobre 2017 : pour les travailleurs et les responsables : Formation
Localisation Date
Heure
Formation
Localisation Date
Heure
Libérez votre potentiel
Anderlecht
Lu 23
9h-16h30
Espagnol débutant
Anderlecht
Me 4, 11, 18, 25
9-12h
La force du langage non-verbal
Anderlecht
Je 26
9h-16h30
Néerlandais intermédiaire
Anderlecht
Je 5, 12, 19, 26
14h30-17h30
Gérer le rush
Anderlecht
Ma 24
9h-16h30
Anglais intermédiaire
Anderlecht
Ma 3, 10, 17, 24
9h-12h
Conseillez vos clients sur le tourisme bruxellois
Anderlecht
Me 11
10h-16h30
Français intermédiaire
Anderlecht
Lu 2, 9, 16, 23
9h-12h
De la plainte à la solution
Anderlecht
Lu 23
9h-16h30
Néerlandais avancé
Anderlecht
Je 5, 12, 19, 26
12h30-14h
Mieux se connaître et découvrir sa personnalité grâce à l'ennéagramme Clés pour une communication réussie - comprendre et s’adapter selon son profil couleur « insight » Évoluer dans un monde qui change
Anderlecht
Me 4 et 11
9h-16h30
Anglais avancé
Anderlecht
Ma 3, 10, 17, 24
12h30-14h
Anderlecht
Ma 17 et 24
9h-16h30
CUISINE - Initiation aux découpes de légumes
Anderlecht
Lu 23 et 30
15h-18h
Anderlecht
Ve 6 et 13
La cuisine végétarienne, une alternative innovatrice et saine
Anderlecht
Me 4,11, 18 et 25
15h-18h
Être serein au travail, cela mène à la performance
Anderlecht
Ma 3 et 17
Les salades de saison - saison automne/hiver
Anderlecht
Ma 17 octobre
15h-18h
Comment motiver et développer mon équipe ? (pour responsables) Être un chef d’équipe efficace et optimiser son leadership. (Pour les responsables d’équipe). Créer de la cohésion dans mon équipe (pour les responsables d’équipes)
Anderlecht
Me 4 et 17
9h-16h30 9h-16h30 + 13 à 16h30 9h-16h30 + 9h-12h30
Une table d’antipasti
Anderlecht
Lu 16 et 23
15h-18h30
Anderlecht
Lu 9 et 16
9h-16h30
Soupes et potages d’Asie
Anderlecht
Je 19 et 26
15h-18h
Anderlecht
Je 12 et 19
9h-16h30
Les entrées et mises en bouche asiatiques
Anderlecht
Je 5 et 12 octobre
15h à 18h
Devenir le manager de ses collègues
Anderlecht
Ve 13 et 20
9h-16h30
La cuisson sous -vide
Anderlecht
Je 12, 19 et 26
10h-13h
Les feedbacks au quotidien
Anderlecht
Lu 23
9h-16h30
Anderlecht
Lu 16 octobre
14h30-18h30
Prise de parole en public - contenu remanié
Anderlecht
Ma 17 et 24
9h-16h30
Anderlecht
Ma 24 octobre
14h30-18h30
Tutorat - accueillir un stagiaire ou un nouveau collaborateur
Anderlecht
Lu 23 et 30
9h-16h30
Cuisiner des plats à emporter Utilisation des outils de cuisson dans la cuisine contemporaine : Thermomix, Roner, four vapeur Établir une fiche technique pour une recette de cuisine
Anderlecht
Lu 9 octobre
9h-16h30
Législation sociale
Anderlecht
Lu 2 et 9
9h-16h30
La folie « macarons »
Anderlecht
Lu et Ma 9 et 10
15h-18h
Une carte de restaurant à succès - comment fixer ses prix et calculer ses coûts
Anderlecht
Ve 20 et 27
9h-16h30
Clés d’un service de qualité - mise en place et savoir-faire
Anderlecht
Me 18 et 25 octobre
15h-18h
Construire son budget
Anderlecht
Lu 23
9h-16h30
Initiation à l’œnologie
Anderlecht
Ma 3 et 10 octobre
15h à 18h
Professionnaliser vos e-mails: structure et technique
Anderlecht
Ma 17
9h-16h30
Les Vins de Bourgogne - contenu remanié
Anderlecht
Lu 16 et 23 octobre
15h à 18h
Marketing pour PME Découverte des réseaux sociaux comme moyen de communication pour votre entreprise Débuter en informatique : mes premiers pas avec Word et Excel
Anderlecht
Ve 13 et 20
9h-16h30
Les Vins d’Italie
Anderlecht
Je 5,12, 19 et 26
15h à 18h
Anderlecht
Me 4 et 11
9h-16h30
Les Vins du Portugal - initiation
Anderlecht
Me 11 et 18 octobre
15h à 18h
Anderlecht
Lu 2, 9 et 16
9h-16h30
La polychromie du vin - les vins de toutes les couleurs
Anderlecht
Me 25 octobre
14h30-18h30
Word essentiel (niveau 1)
Anderlecht
Je 19 et 26
9h-16h30
Le service de la bière
Anderlecht
Ma 24 octobre
9h-13h
Excel essentiel (niveau 1)
Anderlecht
Me 18 et 25
9h-16h30
Barista - devenez artisan du café (niveau 1)
Anderlecht
Lu 16 et 30 octobre
15h à 18h
Excel-fonctions et formules (niveau 2)
Anderlecht
Ve 27
9h-16h30
Techniques de nettoyage et utilisation des produits
Anderlecht
Lu 9 et 16 octobre
9h-16h30
Excel-analyse et statistiques (niveau 3)
Anderlecht
Me 18 et 25
9h-16h30
Secourisme avec examen pour l’obtention du brevet
Anderlecht
Lu 9, 16 et 23 + Me 11, 18 et 25
9h-16h30 +9h-13h
Néerlandais débutant
Anderlecht
Je 5, 12, 19, 26 et Lu 2, 9, 16, 23
9-12h
Recyclage pour secouristes brevetés
Anderlecht
Ve 13 octobre
9h-13h
Anglais débutant
Anderlecht
Ma 3, 10, 17, 24
14h30-17h30
Comportement à adopter en cas d’incendie - sensibilisation
Anderlecht
Me 18 octobre
14h-17h
Français débutant
Anderlecht
Lu 2, 9, 16, 23
13h-16h
Incendie - équipier de première intervention et techniques d’évacuation
Anderlecht
Je 19 et 26 octobre
9h-16h30
Module 1 : bonnes pratiques d’hygiène en cuisine
Anderlecht
Me 11 et 25 octobre
9h-16h30
Horecajournal
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nr 90 - octobre 2017
HORECAactualite
TERRAS CREATIE • CREATION dE TERRASSE ALBERT 1 LAAN 141 bus 3 • 3582 KOERSEL T: 0 1 1 / 7 5 5 . 0 0 2 • F : 0 1 1 / 7 5 5 . 0 2 2 I N F O @ E X I M I U S . B E • W W W. E X I M I U S . B E
Portes ouvertes Mabru : la Fédération Horeca Bruxelles à l’écoute du secteur Horeca !
P
lus de 6000 visiteurs pour la nocturne du Mabru : le Marché Matinal qui fait vivre Bruxelles !
Animations, dégustations de produits, tente d’accueil, studio photo, concours ont ainsi été au programme de cette nuit exceptionnelle. Une nouvelle occasion festive de (re) découvrir les coulisses du ventre de Bruxelles, où plus de 100 producteurs et grossistes ont dévoilé leurs produits et leur savoir-faire.
Le Marché Matinal a ouvert exceptionnellement ses portes durant la nuit du vendredi 15 au samedi 16 septembre, de minuit à 7h du matin. Cette troisième édition a été dédiée au Portugal, pays mis à l’honneur avec la présence de près de 40 producteurs portugais, grâce à la collaboration de l’Agence pour l’Investissement et le Commerce Extérieur du Portugal (AICEP), Portugal Foods et Alif. Les visiteurs ont pu ainsi goûter aux saveurs de la gastronomie portugaise: une cuisine riche et variée réputée pour ses bons vins, ses fromages et saucissons, ses savoureux poissons dont la célèbre morue (bacalhau), sa viande, en terminant par ses pâtisseries fines. L’ASBL Mabru bénéficie une fois de plus du soutien financier du cabinet de l’Échevine des Affaires économiques de la Ville de Bruxelles, Marion Lemesre,
S T O R E D E T E R R A S S E en alu ou en bois
ainsi que d’autres partenaires tels que les sociétés Suez, Motor Village, Securitas, Clabots, Van Praet, Debotech et la Fédération Horeca Bruxelles. Etaient présents des personnalités politiques comme la Ministre du Budget, Sophie Wilmès, le Bourgmestre de la Ville de Bruxelles, Philippe Close, l’Echevin de l’Urbanisme de la Ville de Bruxelles, Geoffroy Coomans de Brachène, le Députe et Vice – Président du Parlement Bruxelles, Emin Ozkara, le Bourgmestre de Forest, Marc-Jean Ghyssels ou encore des personnalités du monde de l’Horeca comme Pierre Marcolini, le chef d’atelier – Johan Forton et les professeurs de l’Institut Emile Gryzon.
V N - P L U parasols suspendus
Mabru : une opportunité à saisir ! Lors de ces portes ouvertes, le Président de la Fédération Horeca Bruxelles - Yvan Roque et le Président de la section restauration - Philippe Trine - n’ont évidemment pas manqué de rappeler l’actualité du secteur Horeca et toute l’importance du Marché Matinal. Le Mabru, c’est en effet une superficie de 40 000 m2 de surfaces de vente, 5 halls couverts et plus de 150 producteurs et grossistes qui y proposent une vaste gamme de produits de première fraîcheur et de qualité. Le tout à des prix économiques.
C A F E A U L Ä pare-vents télescopiques
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A gauche - le Président de la section restauration - Philippe Trine et à droite de l'image - le Président de la Fédération Horeca Bruxelles - Yvan Roque.
CHAUFFAGE DE TERRASSE BROMIC au gaz ou électrique
10 Fêtez avec nous le 10 octobre 2017
nr 90 - octobre 2017
Horecajournal
HORECAactualite
VOTRE COMMERCE DANS LE SPOTLIGHT ! En savoir plus ?
e -independants.b ts n ca er m om -c journee-des
La Ville de Bruxelles lance les Free Shopping Bus Un nouvel outil pour redorer l’image de Bruxelles et de son centre !
Les navettes gratuites qui permettent de découvrir autrement les quartiers commerçants. A partir d’aujourd’hui, vendredi premier septembre, trois navettes électriques relieront gratuitement plusieurs quartiers du centreville, tous les vendredis, samedis et premiers dimanches du mois. Cette initiative de l’échevine des Affaires économiques Marion Lemesre, en partenariat avec ING Belgique, a pour objectif d’inciter un maximum de personnes à (re)découvrir la diversité des pôles commerciaux bruxellois. Les navettes électriques, accessibles aux personnes à mobilité réduites (PMR), seront conduites par les chauffeurs de la société Open Tours, habitués aux excursions à travers Bruxelles avec leurs célèbres bus touristiques à deux étages Hop on Hop off. En plus, et pour répondre aux besoins des consommateurs dans un monde de plus en plus digitalisé, dans chaque bus le wifi sera mis à disposition de tous les utilisateurs.
A partir du 1er septembre, les Free Shopping Bus entreront en service : trois navettes 100 % électriques connecteront le haut et le bas de la Ville. « Cette initiative s’inscrit dans une volonté de promouvoir les quartiers commerçants de Bruxelles », explique Marion Lemesre : « Le bus traversera, en surface, des quartiers aux identités et ambiances très variées. Les passagers pourront descendre et monter au gré de leurs découvertes et envies shopping. »
L
es véhicules, d’une capacité de 22 personnes, circuleront les vendredis et samedis, de 11h à 18h, ainsi que les premiers dimanches de chaque mois, de 12h à 18h. Le parcours dispose de sept arrêts temporaires qui seront desservis toutes les 15 minutes en moyenne : Dansaert, Saint-Jacques, Rue Neuve, GrandPlace, Place Royale, Louise, Sablon. Chaque arrêt, qui sera amené à évoluer, sera repérable grâce à un marquage au sol « Free Shopping Bus » et à un poteau surmonté d’un sac à main. L’idée de ce projet est née lors du lancement des soldes d’été 2016. A l’initiative de l’échevine des Affaires économiques, la Ville de Bruxelles avait mis en place des minibus pour
inciter les habitants et entre le haut et le bas de la Ville. « Devant l’afflux des passagers, j’ai voulu pérenniser l’expérience et intégrer d’autres quartiers dans le parcours. Les trajets seront cette fois-ci assurés par des véhicules électriques. Autrement dit, les Free Shopping Bus ne génèreront, à l’utilisation, ni gaz à effet de serre ni pollution sonore, ce qui est idéal pour maintenir la qualité de vie à Bruxelles », précise l’édile libérale. Cet ambitieux projet des Free Shopping Bus a vu le jour grâce au soutien de la banque ING, qui a répondu conjointement avec le prestataire de service Open Tours, au marché public de service. « Ce partenariat renforce le rôle qu’ING Belgique joue auprès de la société en matière de soutien économique durable et particulièrement à Bruxelles. Nous démontrons que nous sommes un acteur responsable qui soutient le développement économique des commerçants, qui facilite la vie des particuliers ainsi que la réalisation des projets d’institutions tels que ceux de la ville de Bruxelles. En plus, ce projet est parfaitement en ligne avec notre support tant financier qu’au niveau visibilité à l’asbl Sprout to be Brussels qui aide à restaurer l’image de Bruxelles », explique Philippe Wallez, managing director d’ING Belgique.
Lors des trajets, les passagers seront invités à télécharger l’application mobile gratuite Divercities1 . Ce guide culturel alternatif, développé par la société 1DLAB, permet de découvrir les quartiers traversés grâce à des informations sous forme de capsules vidéos, des recommandations d’activités et de lieux à visiter, des suggestions de playlist musicales. Les utilisateurs des Free Shopping Bus auront ainsi un avant-goût du projet qui sera mis en place en 2018. « Au printemps 2018, la Région, grâce à 7 nouveaux city bus électriques de la STIB, va créer une nouvelle ligne de bus reliant le haut au bas de la ville. Après les attaques que Bruxelles a subies et en attendant le début des travaux du piétonnier, il est indispensable de promouvoir le centre de la ville. C’est pour cela que j’ai autorisé, exceptionnellement et pour 9 mois, le lancement de ces navettes électriques. Cette initiative prépare en effet les voyageurs à l’arrivée d’une ligne de la STIB. A l’issue de cette période, de nouvelles concertations auront lieu avec la Ville, de manière à faire éventuellement évoluer le projet », déclare Pascal Smet, Ministre bruxellois de la Mobilité et des Travaux publics. CT Pour Horeca Bruxelles
MAKING THE DIFFERENCE SINCE 1989
IN THE PICTURE INSPIRATION. IMAGINATION. INNOVATION. Innovation Platform, hall 3
CONCOURS PRESTIGIEUX Specialty Coffee Association of Belgium: Coffee & Sweets, hall 2
SALON PROFESSIONNEL POUR L’HORECA & LES COLLECTIVITÉS
19-23 NOV.
FLANDERS EXPO GAND
HORECAEXPO.BE
12
nr 90 - octobre 2017
Horecajournal
HORECAauto
Quelle SUV pour le professionnel du secteur Horeca ? Jaguar Pace – Quand sport et luxe ne font qu’un La double gagnante aux world car awards 2017 dans la catégorie 'world car of the year’ et ‘world car design of the year' lors des world car awards 2017 à New York ne laisse personne indifférent. En quelques mots, il s’agit là d’un genre de SUV puissant, luxueux et dont le design attira les regards. au rapport supérieur plus tôt en mode Eco afin d’optimiser l’efficacité. Le mode Pluie/ Verglas/Neige permet une progression en douceur en conditions de faible adhérence.
Puissance et performance :
Design et confort
La PACE dispose d’une gamme de moteurs hautement efficaces en aluminium allant du moteur réactif 2.0 litres essence 4 cylindres à turbocompresseur de 250 ch, jusqu’au moteur V6 3.0 litres essence Supercharged de 380 ch aux performances exceptionnelles. Elle
Au niveau design, par ses lignes puissantes et son tempérament sportif, la F-PACE imprime sa marque de crossover à hautes performances dotée de l’ADN d’une voiture de sport. En ce qui concerne l’espace et du confort : la capacité de chargement de ce SUV peut aller
En ce qui concerne le confort, là aussi sans fausse note, avec un intérieur de luxe, mélangeant design, sophistication et sportivité, qui laisse la part belle aux matériaux nobles et aux cuirs souples. L’ensemble personnalisable selon les demandes qui peuvent aller jusqu’à un éclairage intérieur configurable. Le tout complété par une technologie embarquée innovante avec la clé d'activité et l'affichage tête haute en option, ainsi que des systèmes d'aide à la conduite qui facilitent vos déplacements ou le système multimédia InControl, facilitant le divertissement et la connexion avec le monde extérieur.
Pour finir, la garantie sérénité jaguar offre à tous acheteur d’une PACE, une garantie de 3 ans, qui inclus l’entretien avec kilométrage illimité et permets à la PACE d’atteindre un coût global le plus bas de sa catégorie. En conclusion, avec son énorme espace, ses performances, son confort et ses finitions raffinées, la F-Pace peut naturellement convenir à tous les professionnels du secteur Horeca, à condition d’y mettre le prix.
propose également une gamme complète de moteurs diesel, pour une consommation pouvant atteindre 4, 8 l/100 km et des émissions de CO2 pouvant descendre jusqu'à 126 g/km. De plus, la conduite est complètement axée sur le conducteur avec le système « JaguarDrive Control » qui permet d’utiliser les performances dynamiques ou bien de minimiser sa consommation de carburant. Ce système facilite ainsi le changement plus rapide des vitesses, le rétrogradage forcé plus sportif en mode Dynamique et un passage
jusque 650 litres, parfaitement aménageable afin de combiner vie professionnelle et vie privée. À l'arrière, l’impression d’espace offerte aux voyageurs est encore accentuée par un toit panoramique en verre. Le plancher de l'espace de chargement de la F-PACE peut être changé en un instant et passer d'une moquette luxueuse à une surface en caoutchouc facile à nettoyer.
Diverses formules à découvrir F-PACE PURE L'essence de la F-PACE. Performances vives, maniabilité et praticité. Prix à partir de € 44.310 F-PACE PRESTIGE Pour un luxe à son paroxysme, avec un intérieur magnifiquement réalisé comprenant un habillage en cuir. Prix à partir de € 47.860 F-PACE PORTFOLIO Le summum du luxe de la F-PACE – élégante, sophistiquée et truffée de technologies de pointe. Prix à partir de € 51.910
F-PACE R-SPORT Un style sportif affirmé avec une finition extérieure sport et des sièges sport spéciaux. Prix à partir de € 50.560 F-PACE S Pour vous ouvrir grand les portes de la performance pure, vous avez le choix entre le diesel 3.0 litres V6 de 300 ch à double turbocompresseur ou le moteur essence 3.0 litres V6 de 380 ch suralimenté. Prix à partir de € 73.360
Horecakrant
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nr 90 - octobre 2017
Horecajournal
HORECAactualite
La Bonne Frite,
une friterie « à l’ancienne ». Située à Châtelineau, sur un axe fréquenté et non loin de la sortie d’autoroute, se trouve la friterie La Bonne Frite. Cet établissement, qui œuvre jour après jour à l’instauration d’une ambiance familiale, est un lieu authentique, sympathique et artisanal où le « fait maison » tient une place prépondérante.
S
’afférent au nettoyage et à la mise en place de son comptoir, le patron, Ricardo Di Troia n’est pas avare de détails concernant l’historique du lieu qu’il exploite et qu’il affectionne tout particulièrement. En effet, l’authenticité est ici de mise. La Bonne Frite se voit avant tout comme une friterie « à l’ancienne ». L’établissement est composé de quatre caravanes de chantier, alignées et assemblées entre elles, formant une superficie de 100 m². La particularité du lieu tient donc dans le fait de la construction artisanale, non pas en briques ou en pierres mais en caravanes de chantier. « Chez moi, c’est à l’ancienne avec tout le confort moderne » (Rires). « Avant, à cet endroit, il y avait trois ou quatre maisons. Ensuite, le TEC a voulu y construire un entrepôt mais ça ne s’est jamais fait. J’ai donc décidé de leur proposer d’exploiter cet emplacement. L’accord m’a été donné… et j’y suis depuis 25 ans ».
Le choix de l’horeca « A l’école, j’ai appris la soudure et j’étais assez bon. En parallèle, j’ai toujours travaillé dans les cafés. J’ai fait pas mal de petits boulots dans l’horeca ». Pour cet entrepreneur plein d’entrain, la passion du contact ne s’arrête pas là puisqu’il a également travaillé sur les marchés, où il vendait des fleurs. Après un passage à l’usine, la vraie vocation de Ricardo lui est apparue. « Quand on travaille dans l’horeca, le contact avec la clientèle est quotidien, au contraire du travail en usine… Ce sont deux choses radicalement opposées. Je
me suis aperçu que j’étais beaucoup plus attiré par le monde de l’horeca que par le monde de l’usine ». « Quand j’étais jeune, je fréquentais un café situé à Jumet, dont la plupart des clients étaient indépendants. Un beau jour, j’ai appris que l’un d’eux vendait son affaire. Je lui ai proposé de reprendre et tout est parti de là ». Ricardo Di Troia a alors 22 ans… Voyant sa motivation, ses parents décident de lui faire confiance et de l’épauler dans sa démarche.
Une entreprise horeca familiale avant tout… « J’ai engagé du personnel en son temps et j’ai pu me rendre compte de la gestion et des contraintes liées au statut d’employeur… J’ai eu la chance que mon frère a accepté de travailler avec moi… Mon fils fait également partie de l’équipe, bien qu’il souhaite essayer d’autres pistes professionnelles, ce que je comprends parfaitement (Rires). Mes neveux ont également mis la main à la pâte lorsqu’ils étaient étudiants… On est un groupe soudé. Contrairement à ce qui se passe dans le secteur, les travailleurs ne me quittent pas ». Il faut dire que Ricardo met un point d’honneur à ce que tout se passe bien dans son établissement, le mot d’ordre étant de traiter les gens comme on souhaite être traité soimême. « Je suis un petit patron de rien du tout. J’essaye d’être juste envers chacun et de ne pas faire de différence ».
Adepte du fait maison « Toutes mes salades sont faites « maison ». Les carottes, les crudités, les oignons sont frais… Je fais mes sauces moi-même : sauce
tomate, sauce champignons, sauce au poivre ainsi que la sauce à l’ail pour les pittas qui sont également faites « maison » tout comme les boulettes. Les brochettes sont préparées par le boucher. » Vous l’aurez compris, l’ambiance est au « fait maison ». Quant à l’attrait principal de ce lieu, les frites, elles sont bien sûr fraîches. Ce serait un sacrilège s’il en était autrement. Ricardo Di Troia est avant tout Frituriste. « Je suis étonné de voir des friteries qui vendent des frites précuites et qui se retrouvent dans le top 10 des meilleures friteries de la région… Je ne suis pas contre mais je considère que, pour ma part, vendre des frites précuites, cela ne fait pas partie de mon métier ». Cet amoureux de la frite est attaché à une certaine image de la friterie, peut-être démodée pour certains… Pour lui, rien n’a d’égal qu’une frite fraîche dégustée dans une caravane… ou en tout cas, dans un endroit pittoresque et non pas dans un lieu fait de briques… « Je n’ai jamais quitté ce domaine, cette ambiance là… J’aurais pu acheter une maison et faire comme tout le monde, m’y installer mais pour moi, cela n’a pas le même charme. Une cahute comme la mienne est artisanale, ça cliquotte… et je n’échangerais cette ambiance, cette chaleur humaine pour rien au monde ».
Fidélisation de la clientèle « Je suis patron d’une friterie, non pas d’un restaurant ni d’un café. Je travaille donc dans cet esprit et je pratique des prix en conséquence. Chez moi, les clients débarrassent. On peut bien sûr boire un
verre mais si vous avez trop bu et que vous me demandez une bière, vous ne serez pas servi. Il est primordial que la clientèle sache exactement dans quel genre d’établissement elle se trouve. En bref, la clientèle n’est certainement pas flouée… L’atmosphère, le contact humain, l’accueil familial, le retour au « fait maison » ainsi que les frites toujours fraiches sont bel et bien l’âme du lieu. « C’est clair, les gens se déplacent pour une bonne frite et quand ils reviennent chez vous, vous êtes fier car ce n’est jamais un hasard. Cela fait plaisir. La façon de tenir son commerce, la manière de parler aux clients et à ses travailleurs, tout cela participe à attirer la clientèle que l’on souhaite voir fréquenter son établissement. Je suis discret, pas intrusif. Je suis là pour rendre service aux gens et ils sont là car cela leur plaît ». « La friterie a beaucoup évolué : au départ, c’était un endroit où l’on pouvait manger des frites. Puis, au fil du temps, on s’est adapté à la demande de la clientèle. Garder une âme « à l’ancienne », sans toutefois bannir l’industriel. La demande est là… Il faut la respecter et s’y adapter. Au final, la recette de Ricardo est simple et fonctionne visiblement très bien. La Bonne Frite Rue de Gilly 642 6200 CHATELINEAU Tél : 071/40.20.46 Jours d’ouverture : entre 11h30 et 22h00 tous les jours ouvrables Fermé les 24, 25, 31 décembre et 1er janvier
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Un verre avec René
Le 15 août dernier, cela faisait exactement 50 ans que René Magritte (1898 - 1967) nous quittait dans sa résidence de Schaerbeek. Les célébrissimes images de l’homme au chapeau melon ont bâti la réputation internationale du surréaliste belge, aujourd’hui connu de Tokyo à New York. Ce que l’on connaît moins, c’est la source d’inspiration de Magritte, que le peintre allait souvent chercher dans les cafés de Bruxelles. Suivons ses traces le temps d’une journée : allons prendre un verre avec René ! Différentes organisations touristiques et culturelles vous emmènent pour une balade surréaliste sur les traces de René Magritte dans les rues de Bruxelles. Nous optons pour l’une d’entre elles, plébiscitée par Visit Brussels, l’agence officielle du tourisme de la Région de Bruxelles-Capitale. La brochure et le menu de l’établissement en question sont joliment conçus, publiés en néerlandais, en français, en anglais et en allemand, mais pas (encore) en japonais ou en russe. Étrange, non ?
On ne sait pas qui a introduit René Magritte à «La Fleur en Papier Doré», mais une chose est sûre : Geert van Bruaene savait s’entourer d’artistes, d’écrivains, de poètes et d’acteurs de théâtre. De Jacques Brel à Hergé, d’Alechinsky à Dotremont, de Louis-Paul Boon à Hugo Claus, qui y a même célébré son mariage avec l’actrice néerlandaise Elly Overzier. Si les murs de l’estaminet pouvaient parler... «il vaudrait mieux qu’ils gardent le silence», plaisante Mich De Rouck, l’un des gérants qui a sauvé le café du naufrage il y a près de dix ans.
© Michael De Lausnay
N
otre balade nous mène de la rue Esseghem à Jette, où René et Georgette Magritte ont vécu près de 25 ans (leur maison fait office de musée depuis 1999) au cimetière de Schaerbeek, étrangement situé à Evere et où repose le célèbre peintre. Ce parcours (vous pourrez également prendre le tram 93 comme le faisait Magritte) vous invite à faire escale dans trois cafés où Magritte puisait son inspiration.
«La Fleur en Papier Doré» Premier arrêt obligatoire et au nom tout à fait surréaliste de votre balade : «La Fleur en Papier Doré» (en néerlandais : «Het Goudblommeke in Papier»). L’établissement a ouvert ses portes en 1944 sous l’impulsion de Geert Van Bruaene, anarchiste, poète, marchand d’art et conteur, mais avant tout aubergiste de talent dont le repère attirait les artistes de Bruxelles et de bien au-delà. Aujourd’hui, l’estaminet de la rue des Alexiens est devenu un café-musée où vous pourrez admirer près de 500 objets et œuvres d’art durant des heures. Mais n’en oubliez pas de déguster une petite mousse bruxelloise telle qu’une Zinnebir au fût ou une Kriek Girardin, accompagnée d’un plat authentique de notre capitale comme la légendaire soupe à l’oignon ou l’incontournable stoemp au bloempanch.
Cirio
Pour les surréalistes de l’époque, «La Fleur en Papier Doré» était un terreau fertile fait de pensées anarchistes où l’inspiration des artistes pouvait prendre racine. Louis Scutenaire, Marcel Mariën, E.L.T. Mesens, Irène Hamoir et d’autres noms moins célèbres y rencontraient René Magritte pour discuter d’art. «Quelle vanité que la peinture…» Les dizaines de phrases peintes sur les murs témoignent encore de ces années. La devise de Geert Bruaene résume bien l’esprit de l’époque : «Tout homme a droit à vingt-quatre heures de liberté par jour.» À méditer! L’opération de sauvetage de ce bâtiment où les Sœurs de la Charité ont accueilli malades, personnes âgées et marginaux jusqu’à la fin du 19e siècle est au moins aussi surréaliste. Ou comme l’explique Mich De Rouck : «Il fallait bien quelques fous pour sauver ce café !» Derrière ce projet, on retrouve Peter Lombaert, présentateur de «Vlaanderen Vakantieland» et animateur de TV Brussel, mais également fondateur d’un grand nombre d’associations telles que «les Fous de la Senne». Peter Lombaert tombe sous le charme de ce café en ruine et décide de le racheter pour une association en cours de création. Mich De Rouck explique : «On a rapidement trouvé quelques
enthousiastes prêts à soutenir le projet. Mais on a dû surmonter des ennuis titanesques. Le bâtiment avait été déclaré inhabitable. En bref, bon pour la démolition. Or, cette option n’était même pas envisageable, car la façade et les trois salles de restauration étaient classées. La rénovation du bâtiment coûterait une petite fortune. Heureusement, nous sommes tombés sur un expertcomptable prêt à embarquer dans notre aventure juste à temps!» Cet expert-comptable, c’est Paul Merckx, neveu du célèbre coureur cycliste du même nom et professionnel doté d’une expérience longue de plusieurs années dans secteur culturel. P. Merck raconte : «Nous avons fondé une société coopérative qui, contrairement à une ASBL, est une entreprise commerciale. Bien entendu, il fallait aussi diriger l’établissement. Les 5 autres associés et moi-même avons investi un capital de départ de 10.000 euros chacun. Nous sommes ensuite partis à la recherche de sympathisants du café prêts à devenir membres de notre coopérative. Au total, près de 120 personnes ont accepté de verser chacune un montant d’au moins 1000 euros. Nous avons ainsi pu injecter 600.000 euros dans la rénovation et la remise aux normes de sécurité incendie du bâtiment. Je ne vous cache pas que nous sommes toujours dans le rouge, mais nous fêterons notre 10e anniversaire au mois d’octobre.» Pour la petite histoire : étant donné que l’aménagement des salles de restauration était lui aussi classé, il a fallu enlever tous les cadres suspendus aux murs pour nettoyer le papier peint recouvert de nicotine à l’aide de tampons d’ouate avant de replacer tous les cadres, aussi mal placés qu’ils pouvaient l’être, dans leur position initiale exacte à l’aide de photos et sous le regard sévère de la Commission royale des Monuments et des Sites.
© Michael De Lausnay
Greenwich
La «Fleur en Papier Doré» a aujourd’hui retrouvé tout son lustre d’antan, «même si les attentats et les problèmes de circulation n’ont pas aidé» © Michael De Lausnay
Aujourd’hui, «La Fleur en Papier Doré» a retrouvé tout son lustre d’antan sous la houlette experte de Stef Van den Bergh et de Lou Junior Mariette, «même si les attentats et les problèmes de circulation n’ont pas aidé». Les artistes de tous bords, les touristes, les Marolliens et le ToutBruxelles viennent y boire un verre et y chercher l’inspiration, tout comme le faisait René Magritte dans les années d’après-guerre.
Greenwich et Cirio C’est avec un pincement au cœur que l’on quitte «La Fleur en Papier Doré» en promettant d’y revenir très vite. Qui sait, peut-être nous y reverronsnous en octobre, quand le café célèbrera les dix ans de son sauvetage «comme il se doit». Prochaine halte : la taverne «Greenwich» de la rue des Chartreux, véritable monument de la vie nocturne bruxelloise, surtout pour les amateurs d’échecs. René Magritte était l’un d’entre eux. L’échiquier est d’ailleurs un motif récurrent dans ses œuvres. On dit que si Magritte peignait comme il jouait aux échecs, il n’aurait jamais eu le succès qu’on lui connaît aujourd’hui. Heureusement, une bonne gueuze fait vite oublier les défaites essuyées sur l’échiquier. Bon à savoir : Dans les années d’après-guerre, Magritte était encore relativement peu connu et ses toiles n’intéressaient que peu d’amateurs. Il essayait donc de vendre ses œuvres au café Greenwich. Pour les artistes de l’époque, fréquenter les cafés revenait donc à gérer ses relations publiques.
Goudblommeke
Aujourd’hui, les échiquiers ont disparu du café Greenwich, rénové il y a environ dix ans pour un montant de 3 millions d’euros. L’intérieur art nouveau du bâtiment rayonne toujours de cette ambiance de brasserie bruxelloise où les artistes cherchaient clientèle et divertissements. C’est également le cas du troisième arrêt de notre itinéraire. Implanté à deux pas de la Bourse, «Le Cirio» doit son nom au Turinois Francesco Cirio, qui y a ouvert une boutique spécialisée dans les produits de charcuterie italiens de qualité supérieure à la fin du 19e siècle. Le bâtiment art nouveau était devenu le lieu de rencontre de la bourgeoisie bruxelloise qui s’y rassemblait pour déguster le célèbre Half & Half, mi-prosecco, mi-vin blanc italien. Cet établissement élégant était le repère des artistes surréalistes E.L.T. Messens et Marcel Lecompte, mais aussi le lieu de rendez-vous préféré de René Magritte pour y rencontrer des clients intéressés et peut-être même fortunés. Aujourd’hui, René et Georgette Magritte reposent au cimetière de Schaerbeek. Sur leur tombe, on peut lire «Il n’y a aucun mérite à être quoi que ce soit.» Nous clôturons notre parcours sur cette humble pensée.
u www.goudblommekeinpapier.be u www.greenwich-cafe.be
Henk Van Nieuwenhove