Argument
ACT III Giulietta, based loosely on “Die Abenteuer der Silvester-Nacht” (A New Year's Eve Adventure): late at night, the Hoochie Koochie Tent To set the scene, the act begins with the famous barcarolle, Belle nuit, ô nuit d’amour. Hoffmann has now given up all hope of love (“Amis, l'amour tendre et rêveur”). However, Giulietta is working hard to seduce Hoffmann under the orders of the conman Dapertutto, in exchange for a diamond. Dapertutto coaxes her to steal Hoffmann's reflection from a mirror (“Scintille, diamant”), in effect substituting for Giulietta his eternal soul's reflection for the transiently attractive glint of the diamond. Hoffmann cannot resist Giulietta (“O Dieu! De quelle ivresse”) and gives her his reflection. Schlemil, who has already been victimized by Dapertutto's ruse when he gave Giulietta his shadow, challenges Hoffmann to a duel over the affections of the dancer. Hoffmann kills him in a knife fight. As per her agreement with Dapertutto, Giulietta abandons Hoffmann immediately to the sinister delight of Dapertutto. The act ends with Giulietta leaving with Dapertutto as Hoffmann crumples in further despair and once again grabs for the alcohol bottle.
traduit par René Ladsous PROLOGUE Un cirque ambulant au début des années 1900; entre les chapiteaux Le rideau se lève et révèle Hoffmann en état d'ébriété. Il boit tandis qu’en arrière-plan les fantômes du vin et de la bière continuent à le tenter. La prima dona, Stella, une chanteuse d’opéra qui se produit dans le cirque, lui a envoyé une lettre et une clé. Mais le conseiller Lindorf intercepte le courrier dans l'espoir d'avoir Stella pour lui-même. Lindorf devient la première de plusieurs incarnations du mal qui bloqueront toutes les tentatives amoureuses d’Hoffmann durant l’opéra. Des hommes à tout faire arrivent, prêts à manger, et incitent Hoffmann à leur chanter une chanson joyeuse. Il les amuse avec la légende de Kleinzach le nain (« Il était une fois à la cour d’Eisenach »), un portrait plus ou moins auto dérisoire. Lorsqu’à mi-chemin dans sa chanson Hoffmann se laisse emporter par une vision de l’amour parfait, Lindorf le ridiculise et les deux hommes s’insultent. Lindorf persuade Hoffmann de mettre en chanson les trois grands amours de sa vie. Hoffmann loue son idéal de la femme, Stella, puis chante ses contes.
EPILOGUE Stella: Between the circus tents once again Hoffmann is now more drunk than before and renounces love. He understands that Olympia, Antonia and Giulietta are, in fact, three facets of Stella representing different facets of the singer. Nicklausse reveals that she is Hoffmann's inspiration and encourages him to love her as his Muse. Hoffmann sings “O Dieu! De quelle ivresse” once again, this time affirming that it is the Muse/alcohol whom he loves, and not the previous women he has known. Stella enters, impatient at Hoffmann who seems to have stood her up, and, finding him drunk yet again, leaves with Councillor Lindorf. Hoffmann is left with nothing but new-found inspiration.
ACTE I Olympia, inspiré en partie de « Der Sandmann » (le marchand de sable) : La tente des phénomènes Spalanzani, un inventeur et homme de spectacle, a construit une poupée mécanique grandeur nature appelé Olympia. Il espère en faire une grande attraction qui lui permettra de récupérer l'argent qu'il a perdu quand sa banque a fait faillite. Il remet à Coppélius un chèque sans fonds de 500 ducats, en paiement des yeux d'Olympia et le renvoie. Plus jeunes, Hoffman et Nicklausse, son meilleur ami, arrivent prêts à se mettre au travail. Hoffmann croit qu’Olympia est la fille de Spalanzani et tombe immédiatement amoureux d’elle (« Allons! Courage et confiance… Ah! Vivre deux! »). Nicklausse s’efforce de le mettre en garde en chantant l’histoire d’une poupée grandeur nature mais Hoffmann est trop envouté par Olympia pour prêter attention à ses conseils (« Une poupée aux yeux d’émail »). Coppélius, le vilain dans cet acte, vend des lunettes magiques à Hoffmann que celui-ci porte et Olympia semble être une femme
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