4 minute read

La.e. ‘Mer’tre

BOROUGHMUIR HIGH SCHOOL MATHILDA CHAPMAN, GEORGIA LEDINGHAM, AMY BARNES & ELEANOR BAKER LA.E. ‘MER’TRE

Advertisement

Article written in collaboration with Milosz Owczarek

Le meurtre de nos océans et les conséquences dévastatrices pour la France et le monde.

La situation de notre climat se dégrade et il ne peut y avoir aucun doute dans les années passées, ce problème a était un sujet de discussion, pas seulement entre la société mais aussi il y avait beaucoup plus des débattes politiques sur la crise du climat. Le 22 avril, le jour du monde, 2016, l’accord de Paris a été ouvert pour la signature et puis, le 4 novembre, le changement a commencé. Tous ces buts sont arrivés après environ de 50 pays ont réalisés le problème, qui est le changement climatique et ils ont discuté nos options et les mesures qui sont nécessaires à prendre comme un monde. A la suite de cette discussion, ensemble, ils ont fait 12 buts. Le problème, le plus importante était le but à réduire la température du monde à assurer qu’il y a moins des dégâts. Cependant depuis cet accord, les gens savent qu’on a besoin de faire plus et c’est pour cette raison qu’en septembre 2019, le monde, mené par les jeunes, ont protesté, appris et marché pour le futur de notre planète.

Au sujet des océans, les changements climatiques sont dévastateurs. Les températures en hausse, ont causé les calottes polaires à commencer de fondre et ce phénomène a deux effets principaux. Le premier est les niveaux montant de la mer, ce qui a provoqué l’inondation en masse, dans certaines régions, et la destruction des villes côtières. La seconde est la diminution de la salinité du mer (son contenu de sel). L’eau de mer qui est moins saline, signifie les changements dans les comportements des courants des océans et par conséquence, les températures aquatiques de beaucoup de régions, et les types de migration des poissons. De plus, en raison des émissions d’énergies non-renouvelables, il y a trop de charbon dans notre atmosphère. Le plus de charbon dans l’atmosphère, le plus que s’amasse dans les nuages et entre dans l’océan en forme de pluie acide - ça mène à l’acidification océanique. Pour les animaux, comme les invertébrés, qui vivent dans la mer, l’acidification mènera à leur extinction, si ça continue - leurs coquilles alcalines sera érodées, ils n’auront aucun moyen de se protéger des prédateurs, et leur peau deviendra endommagée. Nombreux d’éponges et de coraux souffrent aussi, de ‘blanchiment’ à cause de l’acidification : leurs couleurs sont dépouillées et ils meurent. En outre, le plus de CO2 et le moins d’oxygène dans la mer, le plus il est difficile de respirer.

Le secteur de la pêche en France pourrait être gravement touché par les impacts du réchauffement climatique. Les hausses soudaines

de température et l’acidification peuvent entraîner la destruction des habitats et l’extinction des espèces marines. Le déplacement des courants océaniques et le réchauffement des eaux modifient la répartition des stocks de poissons et altèrent la structure des écosystèmes. Dans le dernier rapport de fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche en 2013, le secteur de la pêche a créé un revenu de 1,14 milliard d’euros pour la France. Mais avec le changement climatique, ce revenu et les milliers d’emplois sont en danger. En plus, l’élévation du niveau de la mer constitue un risque pour de nombreuses villes françaises. Bordeaux, Saint-Malo, Calais et Dunkerque sont parmi les villes les plus menacées par les inondations. De nombreuses régions agricoles pourraient également être rendues inutilisables en raison des inondations.

Depuis quatre ans, la France est loin d’atteindre les objectifs climatiques auto-fixés. En premier lieu, le budget carbone de 2015 à 2018 n’était pas atteint. Pendant cette époque, les émissions annuelles ont s’amoindri par seulement 1,1 %, qui était beaucoup moins de ce qui était prévu. Afin d’avoir besoin de rattraper avec ses objectifs le taux de réduction doit tripler d’ici à 2025. La France utilise encore 75 % d’électricité d’énergie nucléaire et le gouvernement s’est engagé à réduire l’énergie nucléaire à 50 % en 2035. Selon les experts, la France doit augmenter leurs sources d’énergie renouvelable. Il conviendrait de prioriser des alternatives de transport routiers et s’orienter vers une stratégie durable en ce qui concerne le secteur agriculture et alimentaire. Plusieurs arguments viennent renforcer que des panneaux solaires devraient être obligatoires pour les supermarchés et les entrepôts. Sur une note plus positive, la France est le quatrième meilleur pays en Europe à propos de à la climat, l’énergie et a préconisé pour les aboutissements plus ambitieux des négociations de 2030 dans l’UE. Le pays avance dans la bonne direction et vise à une empreinte carbone nette zéro en 2050.