Didier Anthor 3

Didier Anthor Didier Anthor est né le 10 août 1946 à Rouen. Après avoir décroché des diplômes de maîtrise en philosophie et un diplôme d’études supérieures spécialisées en psychopathologie clinique, il ne s’oriente pas encore dans des domaines relatifs à son cursus universitaire. Il travaille, en effet, pour la première fois, en tant que responsable d’un orchestre de variété. Il demeure trois ans à la tête de cette formation avant de songer à s’orienter dans l’entrepreneuriat et le leadership.

Pour lui, il ne s’agit pas néanmoins d’une véritable rupture puisque c’est son premier travail qui lui inspire l’envie de faire partie de ce monde. Le métier de chef d’orchestre a mis en évidence l’importance d’un travail d’équipe dans l’atteinte d’un objectif. De plus, durant ses trois ans d’expérience, il apprend aussi à mieux se connaître. Il prend, entre autres, conscience du fait qu’il apprécie le devant de la scène et l’intérêt que le public lui témoigne.

Après son premier pas dans le monde professionnel, Didier Anthor exerce le métier de formateur professionnel d’adultes. A l’époque, il approche de la quarantaine et pense que cette profession est plus pertinente par rapport à son expérience et son âge. Grâce à cette activité professionnelle, il parvient à mettre en place un centre de bilan et de développement des ressources humaines. Une première structure qui l’aide à poser les premières fondations de son ambition.

En 1998, Didier Anthor devient le principal animateur d’un club de réflexion disciplinaire sur le phénomène de la violence sur les lieux de travail. Dans le même cadre, il devient aussi le fondateur d’associations oeuvrant contre ce phénomène : « Contre le harcèlement », le « Centre de Prévention de la Violence Morale », …

Mais Didier Anthor ne se cantonne pas à ce rôle et fonde, en 2008, un cabinet conseil : ABSILIA. La principale activité de cette structure consiste à prodiguer des conseils aux organismes de travail afin qu’ils puissent mener à terme les objectifs de changements. Au fil du temps, grâce au sérieux et à la rigueur de Didier Anthor, la réputation de son cabinet croît. Ce qui lui permet d’être affilié à la Fédération des Intervenants en Risques Psychosociaux.

En privé comme dans le monde professionnel, la discipline se pose comme le maître-mot de Didier Anthor. C’est ainsi qu’il s’impose quotidiennement une séance de footing matinal depuis qu’il a trente ans. Ce ne sont pas les seules activités sportives qu’il pratique puisqu’il s’adonne aussi à la natation et au tennis. La cohérence cardiaque et la méditation pleine conscience viennent compléter ces activités déjà très prenantes.

Didier Anthor est aussi un grand adepte de la photographie. Il possède d’ailleurs une batterie de matériels Nikon. Pour assouvir sa soif de peaufiner son art, il procède régulièrement à la visite de musées.

Didier Anthor se présente comme un homme chez qui la photographie rime avec la musique. Lorsque son emploi du temps le lui permet, il joue de la percussion et du piano, instrument qu’il joue depuis maintenant une dizaine années. Autre passion qui l’anime : la lecture d’ouvrages sur la sociologie, la psychologie et les neurosciences.