Les mondes imaginaires II

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Les mondes imaginaires Volume II

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Étienne MARCEL

Les mondes imaginaires Volume II

Éditions APARIS – Edifree 93200 Saint-Denis – 2012


www.edifree.com Editions APARIS – Edifree 175, Boulevard Anatole France- 93200 Saint-Denis Tel : 01 41 62 14 42 – Fax : 01 41 62 14 50 mail : infos@edifree.com Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction, intégrale ou partielle réservés pour tous pays. ISBN : 978-2-332-48744-5 Dépôt légal : Juillet 2012 © Étienne MARCEL L’auteur de l’ouvrage est seul propriétaire des droits et responsable de l’ensemble du contenu dudit ouvrage.


Introduction Mers étranges, mers hostiles, sur lesquels l'homme a appris rapidement à dompter les flots. Mers étranges, mers hostiles, combien de festin ne t'es tus pas rassasier dans tes abîme inassouvies ? Mers étranges, mers hostiles, combien d'homme a tu donc englouties, a tu privé de la vie ? Mers étranges, mers hostiles, aux rugissent incroyables qui fracassent les bateaux pendant leurs traversées. Mers étranges, mers fascinantes, à la houle qui roule, se met en puissant rouleaux et se jet sur les rochers. Plein ouest à la pointe de la Bretagne, un groupe d'une bonne centaines de jeunes sont rassemblés pour une rêve partie. Sur une plage totalement isolée du monde, à une bonne demi heure de marche de Plogoff, on ne peu pas les entendre 5


chanter et crier. La musique est la font, les esprits sont bien échauffé avec les alcoopops dont-ils s'abreuvent. Soudain la nuit se fait plus épaisse, pour ne pas dire totale, puis l'obscurité leur tombe dessus en détruisant touts corps organique et cellulaire sous de puissant cris très vite étouffés. Au matin, les parents ne les voyants pas rentrée, vont prévenir la police. Arrivés sur les lieu, force de constater qu'il ne reste rien des jeunes gens, seul les montres et quelques objet métallique reste sur un sol, jonché d'étoile comme on en trouve à Sion, cependant, celle-ci sont fait d'un cristal incassable. La police prend donc ses quartier dans la petite ville de Plogoff. Une charmante petite bourgade de quelques 1 374 habitants, d'un superficie de 11,73 km2 situé dans le Finistère, La question est dans la bouche de tout le monde, ou sont passé les jeunes gens, peut-être sontil aller à la recherche de l'étang secret ? L'inspecteur de police de 6


manque pas de sourire à ce que l'on puisse se poser de telle question, enfin............... soupir t-il ! Mais pour les habitants de Plogoff, nombres si se n'est la grande majorité, croient à l’existence de cette étang, pour comprendre il faut regardé dans les légendes locale. En effet une légende prétend que c'est dans la baie des trépassés que Gradlon lâcha sa fille, qu'il portait sur l'encolure de son cheval. Enchanté par le diable, la princesse avait subtilisé la clef des portes de la ville d'Ys au cou de son père. Ce diable déguisé en beau prince lui soutira cette clef et ouvrit les portes de la ville par un nuit de tempête. L'alerte fut sonnée dans le ville et Gradlon parvint à s'échapper sauvent sa fille derrière lui sur sa monture. L'évêque de Quimper accourut devant ce théâtre, vit le diable s'envoler et compris la faute commise. Gradlon apprennent la forfaiture de sa fille abandonna la jeune femme aux flots en furie, tandis que derrière lui, Ys disparaissait dans 7


l'océan déchaîné. On dit que depuis, la princesse pleure sa tristesse dans le raz de Sein, enchantant les marins jusqu'à la baie des trépassés, cette plage de sable battue par la houle qui s'ouvre face à l'atlantique entre la pointe du Raz et la pointe du Van. On prétend que la cloche d'Ys s'entend encore le soir de tempête au fond de l’Étang secret qui s'est formé derrière les dune de la baie. Alors les habitants insiste, ils sont presque persuadés que les jeunes gens se sont mis dans la tête, de retrouvé la mystérieuse cité d'Ys. Alors l'inspecteur va prendre en compte les argument plutôt des parents, ce pays est vraiment étrange se dira l'homme......

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Un spray des année 1900 dans les dunes, près de la pointe du Raz.

On n'en fait plus des comme cela, ce dirent les premières personnes venus voir l'engin. Il avait-il un homme à bord ? Demanderons les autorités locale. Personne n'en sait rien, mais il est certain, cet engin tombe d'un endroit d’où on ne revient normalement jamais, du passé ! Les hypothèses fusent qu'en à l'origine de cet engin, mais la plus probable est qu'il proviendrait du hangars d'un collectionneur qui aurait 9


effectué un vol d’essai pendant la nuit et que, par manque de visibilité par cette nuit sans lune, il aurait posé l'engin derrière les dunes et serait rentrée chez lui à pied. Le seul collectionneur de ce genre habite d'ailleurs non loin de là, en TGV ! En effet il vie dans l'Est de la France du côté de Strasbourg, autant dire aux antipodes du lieu ou c'est posé l'engin. Il faut exploré une autre piste, celle qui va venir va faire croire à une très grosse plaisanterie. Cette piste va naître du net, oui car une jeune femme fervente utilisatrice du Web va avancer qu'un appareil de ce type a disparu dans le triangle des Bermudes en 1909. Comme un et un font deux, l'appareil a été recraché par le triangle dans la nuit, alors qu'un vortex s'est ouvert, ce même vortex aurait pu très bien engouffré les jeunes gens. L'inspecteur, homme très droit et cartésien veut des preuves pour chaque argument avancé. Qu'un vortex qui s’entrouvre entre le présent et le passé, pourquoi pas, mais 10


pourquoi ne pas envisager que ce même phénomène s'ouvre sur le futur ! Les équipes d'experts sont sur place et il ont du travail, entre la place ou les jeunes gens ont disparus, et la spray qui ait apparu, il faut chercher. Les recherches vont prendre quelques temps mais dès la deuxième semaine, les cristaux qui sont en abondance sur le sol de la plage ne sont pas naturel. Non il ont été fabriqué par forte pression le soir même de la disparition des jeunes gens pire, les cristaux sont d'origine organique. Ordre et donné de passé au microscope électronique à balayage, afin d'examiner la constitution cellulaire des cristaux. La réponse va être effrayante, elle va donné un coup d'arrêt aux recherches des fêtards. Les cristaux contiennent l'ADN de plusieurs des jeunes gens, du moins pour ceux dont on connaît une partie du génome. Le vortex refait surface, si des êtres venus d'ailleurs leurs aurait fait cela par le biais d'un 11


tel phénomènes laissant passé le spray, se retirant ensuite, la question reste posé ?

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Un bateau échoué !

L’hypothèse du vortex va se calmé durant juste le temps qu'il faut pour qu'un autre événement vienne perturbé la vie tranquille des habitants de Plogoff. Un bateau très vieux et sans équipage vient d'être retrouvé échoué à la pointe du Van, par un couple de promeneurs qui faisaient chemin avec leur jeune garçon. Les parents sont rentrées mais l'enfant est monté à bord et y est resté, ne le retrouvant pas, les parents sont venu chercher du secours plus, de de vouloir signalé cet curiosité. En longeant la côte ils ont vu comme une sorte de 13


bunker métallique dont-on leur à jamais parlé. Les services de police vont venir assez ide par rapport à ses nouvelles, il n'y a jamais eu de bunker la ou ils l'on signalé donc, ils on vue quelque chose d'autre ou une hallucination. Les choses sont suspects et il leurs est bien signifié que, s'il déplace la police et les pompiers pour rien, cela peu leur coûté assez cher mais quel surprise ! Le bateau échoué est un Timandra, pour être précis, un SS Timandra identique à celui disparu en 1917 dans le triangle des Bermudes. Plus étrange, le « bunker » qu'ils ont crus voir sur la plage en rentrant et, un USS Cyclops du même modèle que celui disparu dans le triangle en 1918. Pendant ce temps les premières analyses sur le spray arrivent. L’aérostat date bien des année 1900 et, il se pourrait qu'il soit celui disparu en 1909. Il se pourrait ! Précisera l'inspecteur, bientôt relégué au second plan par l'arrivée de son Capitaine car l'affaire prend de telle envergure que 14


le garde des sceaux en personne à demandé au Commandant LESBOULE de délégué son subordonné sur place. Pour être clair, dira le Capitaine FROUSSARD à son arrivée, nous avons plus d'une centaine de jeunes gens qui ont disparus dans la nature et vous avez arrêté toute les recherches sur de simples analyses ! Primo je vous ordonne de reprendre les recherches, d'autre part ce spray, êtes vous sur à 100% qu'il vient du « passé » ! Moi je crois que vous lisez tops de science fiction et que cela perturbe votre raisonnement ! Je suis pour mon cas, certain qu'il s'agit d'une mauvaise plaisanterie et que ce spray ne date pas plus du dernier millénaire que moi je suis sur le Lune en se moment «(dira le Capitaine, lorsqu’il s'adressera à son subordonné). L'inspecteur quand à lui invoquera les deux navires américains échoués sur la plage, le Capitaine rétorquera que des navires furent portés manquant lors des dernières commémorations de l'indépendance au 15


USA. Parmi eux il y a ces deux types de navires. Sur ce le Capitaine entrepris d'aller explorer les deux bateaux et de voir de plus près le Spray. Les experts sur place vont lui expliqué en long en large et en travers , que tous, mais vraiment tous laisse supposé qu'il s'agit bien des bateaux disparu dans le triangle. D'autre, par contre, les examens au carbone 14 ne donnera rien de probant mais il est vrai que très souvent, cette examen est réservé aux fossiles ! Cependant, la toile utilisé pour le Spray ne se fait plus, même d'une façon artisanal, depuis des dizaines d'années car il n'y à plus nul part, de produit pour fabriquer une telle toile.

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Autre chose, les radios à bord des deux navire dates des années 1916, la date de fabrication et le nom du fabriquant y figure. Supercherie ou réalité, ou est la vérité. Le triangle, certains font remonter l'origine de l'affaire au premier voyage de Christophe Colomb, en 1492. Ce dernier a consigné dans son journal de bord, à la date du 11 octobre de ladite année, des observations de lumières étranges dans le ciel ainsi qu'une « traînée de feu » qui tomba dans la mer lorsqu'il navigua dans cette zone. Il y affirme également que la couleur de la mer était anormale et que les compas furent déréglés. Il y a bien un grand mystère que l'on ne comprendra peutêtre jamais. Il fait soleil ce matin sur Polgoff, le brouillard qu'il y avait se matin c'est enfin dissipé, le Capitaine décide de faire un survol des lieux en hydravion. Il entame son ascension avec un petit haut de cœur, puis ce 17


dirige vers l'océan pour rejoindre les sites prévus. Des éclats de lumière sur l'océan attire son regard, il demande au pilote de s'approcher, cela ressemble à des bateaux alors que la navigation près des côtes à cet endroit est interdit par décret aux ressentes découvertes. Le Capitaine FROUSSARD prend la radio afin de communiqué avec les navires car, ce sont des navires mais de quel type, il n'en à jamais vu de si vieux ! Pas de réponse, peut-être n'ont-ils pas de radio, il faut les approchés, demande t-il à son pilote. Muni d'une longue vue, il cherche le nom d'un des navire, afin de le signalé aux autorités. Le premier nom qu'il lit est : l'Insurgent, il envois donc un message radio aux gardescôtes afin qu'ils lui dise ce que fait se vieux grevant dans le secteur. Le garde-côtes qu'il a en ligne lui rit au nez, il lui rétorque que ce navire n'existe plus depuis très longtemps. Ça ne fait rien, dira t-il, j'en ai d'autres : Le Wasp, le Expervier, le General Gates, le Homet, le Pickering, le 18


Wildcat et enfin le Grampus. Hé coco, tu aurais pas lu des bouquins d'histoire toi, lui criera le garde-côtes. Non lui dira le Capitaine, ils sont là droit devant mes yeux. Si c'est vrai cria le garde, décroché de suite et faites demi tour, je pense que vous êtes en danger. Rien de plus pour faire faire rebroussé chemin à notre cher policier qui commence à avoir les pétoches. Le capitaine au garde-côtes :  Que est-ce que c'est que cela ?  Si vous avez vu c'est navires, c'est qu'ils sont de retour et qu'il y a peut-être encore du danger.  De retour ? Du danger ? Je veux une explication valable !  Les bateaux, ils sont sorties du triangle !  Merci, vous me faite chier avec ce triangle, que sont ces navires ?  Ils ont touts disparus entre 1780 et 1843 dans le triangle des Bermudes, vous 19


comprenez, le triangle........... Vous êtes cinglés, ils sont tous cinglés, j'exige qu'un bateau avec des hommes, partent de suite vers les vieux Grevants que j'ai vu. Je ne reçois pas d'ordre de vous, mais pour votre gouverne, le nécessaire a été fait dès votre appel. A cette instant des hommes sont probablement à bord des ces musés flottants.

A bord des bateaux les militaires ne trouverons aucune trace de vie, ni même des restants de repas ou des déchets organique. Il y avait simplement du cristal sur le sol un peu partout sur les navires, du même genre, dirons les experts qui en examinons un échantillons, que ceux retrouvés sur le plage ou les jeunes gens ont disparus. Les bateaux vont être amené en rade Brest en attendant leur acheminement vers la base militaire de Toulon. 20


Une cloche sonne de nul part au milieu de la nuit, alors qu'une violente tempête vient de se levée. Le ciel est illuminé, plein d'éclaires qui parfois donne des reflets cylindrique rougeâtres aux nuages, on croirait qu'il y à du monde dans les nuages, qui harmonise soigneusement ce concert. Quelque part, dans les dunes près de la pointe du Raz, quelque chose sort des flots en furie. Au premier rapport on croirait des forme humaine mais ils sont tout noir. Ailleurs, dans la ville de Rosnoen, de Persuel et Brest l'orage fait rage, une étrange graisse noir s'étale sur le sol et pénètre dans les habitations par touts les moyens.

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Villes morts Regarde chérie, il y a des manœuvres dans le secteurs ! C'est ce que dirons les conjoints à leurs amie en voyant les camions militaire passé, la loi martiale est proclamé dans le secteur depuis 5 heures du matin en Bretagne. A 10 heures il y a des barrages sur touts les points d'accès en priorité sur le pointe Bretonne. Impossible d'avoir la moindre information sur ce qui se passe, la radio ne dit rien, il ni a rien sur internet, le Colonel BONNOEIL est dépêché sur place afin de commander ses troupes. Pour le Colonel, les seules informations dont-il dispose et que : à quatre heure 17 ce matin, des formes cylindrique ont été détecté aux dessus de quatre point précis, Plogoff, Rosnoen, Persuel et Brest. Il lui a été signifié de collaborer avec les forces de police local mais de ne strictement rien leur dire. 22


Les soldats font très vite, ils coupent toutes les communications entre les zones en quarantaine et l'extérieur. Les trois villes sont fouillés en tenue NBC (Nucléaire, Bactériologique, Chimique), une protection totale donc. Cette nuit touts les habitants ont disparu de ces villes ne laissant derrière eux que du cristal sur le sol. Les soldats au contact constant avec leurs supérieurs, vont ramener de multiples échantillons de tout ce qu'il vont trouver. Des cristaux, des couverts, des extraits de sol à différents endroits, aux total c'est plus de 11 000 échantillons qu'il vont ramener des trois villes en sept jours. Au même moment les jeunes gens sont revenu chez eux dans le ville de Plogoff, cependant les parents les trouvant étranges, les ont fait voir à l’hôpital ou il subissent des examens complets. Les 117 jeunes gens seront mis en quarantaine. Sur le Facebook d'une jeune femme cependant, une annonce attire l'attention de beaucoup de personnes : Venez touts, il y a 23


beaucoup de bonheur dans les villes bretonne. Un grand feu d'artifice est d'ailleurs prévu dans 18 jours dans les sept villes de Quimper, Bonigeard, Scaër, Bréhan, Panhouet, Guer et Rennes. Faux dirons les responsables des villes cités mais pour la date prévu, touts les hôtels étaient complets. La nuits semble être belle, aucun nuage à l’horizon, le feu d'artifice promet d'être beau. Pourtant le ciel devient noir d'ancre, on croirait qu'il va nous tomber dessus. Un violent orage craque mais les habitants des sept villes n'entendent rien, le ciel s’effondre sur eux les étouffant dans leurs cris de terreur. La peau les brûles, la chose noir qui leur tombe dessus ou leur monte par les jambes, le long de tout le corps, les couvres totalement. Il sont très vite digéré par cette chose noir étrange, cette chose qui vient d'on ne sais ou pour le manger. Il ne restera d'eux qu'une perle de cristal posé sur le sol, sur lesquelles les soldats vont très 24


probablement marché . Comme la première fois, dans les trois autres villes, les habitants disparus reviennent dont on ne sais où. Une quinzaine de jours plus tard, les occupent des ces sept villes reviennent de façon étrange. Le Colonel doit en référé aux instances supérieurs car il est dépassé par le situation. D'autant que les personnes qui se trouvaient à bord des navires sont également revenu alors que pour certains, ils devraient avoir 150 ans ! Ils seront touts mis en quarantaine !

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Ce que croient le humains sur le Triangle des Bermudes : Le mystérieux occulte qui nous environne et nous habite, a ses lieux de prédilection où il semble vouloir jouer à nous déconcerter. Nous savons qu'il existe des courants telluriques qui conditionnent la qualité des terrains et de l'environnement, des endroits où " souffle l'esprit ", mais il semble qu'il y ait aussi des zones vouées aux influences étranges et souvent maléfiques. Dans un livre attrayant (1), Roger de Lafforest a étudié ces sujets et notamment les maisons où il a détecté des décors géographiques, conditionnés par des forces qui naissent soit du sous-sol, soit de l'implantation, soit des déluges immatériels tombant du cosmos... soit des matériaux mêmes de la maison, soit des objets ou du décor dont la géométrie peut faire rayonner des ondes de formes plus ou moins violentes. Tous ces phénomènes sont 26


liés à des raisons électromagnétiques, psychiques et à des irradiations souvent néfastes si elles émanent de centres accumulateurs de pensées malsaines. Mais que dire des régions immenses du globe terrestre où les maléfices naissent et se déchaînent comme s'ils étaient en relation directe avec les enfers mythologiques Les yachts disparaissent Deux points de la planète sont soumis à ces forces redoutables les Açores, et la région des îles Bahamas qui est entrée dans l'histoire occulte sous le nom de " Losange magique ". Les Açores, à 1500 km à l'ouest du Portugal, furent Si l'on croit la tradition, les Champs-Élysées du monde antédiluvien. C'est là que battait le cœur de l'Atlantide heureuse, que s'érigeait sa capitale étincelante d'orichalque Poséidonis. Survint le déluge, et depuis, les lieux sont devenus le théâtre d'événements étranges et parfois dramatiques. Une 27


brève récapitulation est édifiante et peut fournir des éléments d'étude sur le mystère des Açores C'est dans ces parages qu'apparaît périodiquement l'île fantôme de San Brandan. C'est là que naissent les anticyclones responsables de la situation météorologique de l'Europe. C'est là que l'Atlantide fut engloutie il y a 12 000 ans.- C'est à 500 milles au large de ces îles que les pétrels, oiseaux migrateurs transocéaniques, tournent en rond jusqu'à la limite de leurs forces. - A Sâo Miguel des Açores, l'eau bout dans des cratères qui crachent encore de la lave.- Une île y est apparue en 1954 et s'est rattachée à l'île Fayal. - C'est là enfin que des bateaux perdent leurs équipages comme s'ils étaient mystérieusement volatilisés. Depuis 1969, par beau temps et mer tranquille, cinq yachts y ont été trouvés, la plupart en excellent état, mais vides de leurs passagers. Aucune explication valable n'a pli être avancée, et désormais la région des Açores jouit parmi les navigateurs 28


d'une réputation où la magie le dispute à l'insolite. La Marie-céleste, bateau fantôme En novembre 1872, le brigantin Mariecéleste quitta New York à destination de Gênes, avec à son bord douze hommes d'équipage. Le petit navire fut aperçu le 2 décembre au large des côtes d'Europe, et rien ne permettait alors de juger suspect son comportement. Le 4 décembre, il voguait toutes voiles dehors, prenant le vent bien en poupe, mais le capitaine du bâtiment anglais Dei Gracia fut surpris de ne pas voir le brigantin répondre à son salut et aux signaux qu'il lui envoyait. S'approchant au plus près, les Britanniques n'aperçurent personne, ni à la barre ni sur le pont, et l'un d'eux s'écria en manière de plaisanterie, enfin, voilà un bateau fantôme ! Il ne croyait pas si bien dire, car lorsque les marins se rendirent en chaloupe sur la Mariecéleste, ils la trouvèrent vide de tout 29


équipage. Pourtant, à part l'atmosphère lourde de silence, rien ne semblait indiquer qu'un drame ait eu lieu à bord. Tout était en ordre et semblait prêt pour un petit déjeuner la théière voisinait avec les toasts et le pot de confiture d'oranges, le pont était lavé et les cordages correctement lovés. La barque de sauvetage était en place sous les bossoirs, les palans bien serrés et les saisines à portée de main. Du linge séchait sur un fil et les vivres ne manquaient pas dans la cambuse. Les marins anglais fouillèrent les cabines, la cale, et durent se rendre à l'évidence il n'y avait âme qui vive. De mémoire de navigateur, c'était la première fois q'un tel événement se voyait en mer, et sans que rien put le justifier. Certes, l'océan en novembre est toujours assez dur sur l'Atlantique au voisinage des Açores, mais il n'y avait eu ni tempête ni grosse mer, et un brigantin avec ses deux mâts et une dizaine d'hommes d'équipage était en mesure de faire face à de sérieux coups de tabac. Il n'y avait âme qui 30


vive, c'était peut-être beaucoup dire : un chat gris et pacifique était la seule créature à bord, et c'était encore plus troublant, car il est de règle en mer, si l'on doit abandonner le bateau, de sauver si possible les animaux familiers qui, outre leur utilité, sont des amis privilégiés de l'équipage et en quelque sorte leur porte-bonheur. Une chose étrange L'énigme se présentait sans aucune solution possible. Si l'équipage avait dû quitter le brigantin, il aurait utilisé le canot de sauvetage Si une mutinerie s'était produite, on eût trouvé trace de lutte ou de désordre ; Si un coup de mer avait mis le bâtiment en péril, on eût remarqué des avaries et les voiles eussent été carguées. Pourtant, les Anglais découvrirent un indice qui, sans donner l'explication, aiguillait tout de même les conjectures dans le domaine de l'insolite sur le livre de bord, le commandant de la Mariecéleste avait noté des relevés anodins, 31


signalé le beau temps, mais la dernière phrase, inachevée, comportait ces mots sibyllins : il nous arrive une chose étrange..... Voyez c'est l'Atlantide Les Américains, qui sont des fervents du spiritisme et de la voyance, ont organisé à San Diego (Californie) une séance au cours de laquelle un médium a fait la communication suivante(2) " Je suis Mme Briggs, la femme du capitaine de la Mariecéleste. Chaque jour à bord, pour rompre la monotonie du voyage, je jouais du piano. Quand le brick eut dépassé les Açores, des phénomènes étranges commencèrent à se produire ; chaque fois que je jouais, une musique lointaine semblait répondre à la mienne. Cela venait de la mer, comme s'il existait un écho marin, comparable à celui qu'on entend parfois en montagne. Tout l'équipage l'entendit et se mit à sonder les flots avec une crainte visible. 32


Certains hommes, pris de panique, me demandèrent de ne plus jouer. Il y eut même un début de mutinerie, que mon mari calma péniblement. Il avait beaucoup lu et pensait que notre zone de navigation devait être celle de l'ancienne Atlantide. Un jour, en scrutant les fonds, il vit s'animer une sorte de prairie flottante, recouverte de végétaux ne semblant pas être des algues. Une autre fois, surexcité, il m'emmena sur le pont pour me montrer ce qui ressemblait à des ruines de maisons, à des colonnes brisées, en marbre. Je crus évidemment à un mirage. Dans la nuit qui suivit, des chocs insolites ébranlèrent la coque. L'aube se levait à peine que notre homme de vigie hurlait, tandis que le bateau s'immobilisait. Il était échoué sur une terre inconnue. Mon mari cria Voyez, c'est l'Atlantide miraculeusement remontée des eaux ! Dans un élan d'exaltation, nous avons tous quitté le bord. La végétation était extraordinaire. Nous allions à la 33


découverte en chantant et, tout à coup, alors que nous arrivions à proximité de ce qui semblait être un temple en ruine, le sol se déroba sous nos pieds, par un mouvement géologique inverse de celui qui avait fait surgir la terre de l'eau. La MarieCé1este libérée, poursuivit aussitôt sa route, seule, vide. Nous avons tous péri dans la catastrophe. " Mirage ou île nouveau-née Pour ceux qui croient aux révélations de l'Au-delà, cette histoire serait plausible s'il ne s'y glissait quelques détails inadmissibles. Le début de mutinerie ne cadre pas avec l'ordre régnant à bord de la Marie-céleste ; un bateau de son tonnage ne s'échoue pas, sinon à une certaine distance de la terre ferme, et on voit mal un équipage abandonnant le bord sans jeter l'ancre au préalable. Enfin la description de l'Atlantide, faite par le médium, est enfantine et peu convaincante. Toutefois, il n'est pas 34


exclu des suppositions qu'un phénomène de cet ordre ait pu se produire, soit par l'effet d'une hallucination collective ou d'une folie contagieuse, soit parce que, réellement, une terre a surgi de l'océan. Certes, elle ne pouvait pas comporter de végétation et de ruines, sauf s'il s'agissait du mirage de la célèbre île San Brandan, mais les fonds océaniques, par le jeu d'éruptions volcaniques sous-marines, émergent parfois aux Açores, comme le prouve l'apparition récente de l'île qui s'est rattachée à celle de Fayal. Que cette émergence se soit engloutie quelques heures après son apparition est admissible, mais il est bon de noter que les sables ou les laves mises au jour étaient, dans le cas de Fayal, à une température si élevée qu'il fallut attendre plusieurs mois pour y poser le pied. Actuellement, ces nouvelles terres sont pourvues d'appareils enregistreurs de température et aucune végétation n'y pousse. Dans cette hypothèse, les passagers de la 35


Marie-céleste eussent été dans l'incapacité absolue de prendre pied sur la terre ferme. Des coïncidences exagérées Depuis le XIXè siècle, nombre de bateaux sans équipage ont été trouvés sur le 35è parallèle, sans que l'opinion publique ait songé à s'en émouvoir. Et puis, en 1969, l'affaire rebondit avec cinq nouveaux cas qui, pour le coup, entraient dans le cycle des coïncidences exagérées. Le 30 juin 1969, le navire britannique Maple Bank découvre un yacht de vingt mètres de longueur, non identifié, flottant la quille en l'air. Jusque-là, rien d'extraordinaire, mais le 4 juillet un autre bateau anglais, le Cotopaxi, signale un yacht, encore non identifié, se dirigeant au gouvernail automatique et vide de tout équipage. Deux jours plus tard, un bateau libérien, le Golar Frost, trouve un autre yacht fantôme, le Vagabond, appartenant au navigateur solitaire William Wallin. Et il 36


n'y a personne à son bord. Le 8 juillet, le pétrolier anglais Helisoma rencontre, toujours sur le 35e parallèle, entre Açores et Portugal, un yacht de douze mètres qui navigue à l'abandon. Le 10 juillet, la presse, enfin alertée, consacre de longs articles à la découverte du Teignmouth Électron, d'un autre navigateur solitaire, célèbre celui-là : Donald C. Crowhurst. Cinq yachts sans équipage repérés en onze jours autour des Açores, par beau temps et en plein été, cinq drames sans explication plausible, c'est beaucoup, même pour des statisticiens optimistes Des forces occultes se jouaient de Crowhurst A n'en pas douter, William Wallin était un navigateur expérimenté, mais Donald Crowhurst ne lui était pas inférieur. Pourtant son cas peut être dissocié des autres, car on a retrouvé son carnet de bord avec une relation qui, à première vue seulement, donne 37


une solution du mystère. Crowhurst, excellent marin, participait à la course autour du monde organisée par le journal anglais le Sunday Time ; il était l'un des favoris, mais avait trop besoin de gagner la course pour risquer un échec. C'est sans doute ce qui lui donna l'idée de monter un canular qui abusa longtemps la presse. Il navigua jusqu'aux Açores, à 700 milles à l'ouest, par 35° de latitude, et y resta sans bouger de façon appréciable, envoyant à la BBC anglaise, des messages radio où il donnait des points fantaisistes tels que : je franchis le cap Horn... le cap de Bonne-Espérance... je retourne en Angleterre... On le croyait premier! Le 24 juin 1969, Crowhurst reçoit un message du Sunday Time : Rencontre prévue aux îles Sorlingues... B.B.C. prépare interview... récit exclusif pour les Journaux... éditeurs intéressés... arrivée triomphale prévue... Alors, pris de panique. le célèbre navigateur décide de ne plus répondre et confie la vérité à son carnet. Il avoue que son 38


bateau, un trimaran, n'a pas bougé du 35° parallèle, mais il ajoute des commentaires qui dénotent un dérangement cérébral certain. Il parle de Dieu et du "système d'un monde" où un cerveau cosmique se joue de lui. Est-il resté de son plein gré dans la zone des Açores? sa confession, sincère cette fois, laisserait supposer que des forces occultes l'y ont contraint Le 30 juin, il écrit qu'il est décidé à mourir : " Mon âme désormais est en repos. Je vous livre mon carnet de bord. la seule beauté est la vérité, personne ne doit et ne peut faire plus qu'il ne lui est possible. C'est la fin, la vérité est révélée, J'abandonne mon jeu à11h50." Le 10 juillet, le paquebot Royal Mail Picardy repérait le trimaran et le prenait en remorque. Crewhurst n'était plus à bord, mais son cadavre ne fut pas retrouvé. Selon certaines Informations, le navigateur britannique serait vivant et aurait été reconnu en Angleterre, mais en fait le mystère demeure sur sa disparition. 39


La chose étrange rend fou Voilà donc les mystérieux événements qui se sont déroulés sur le 35° parallèle, particulièrement durant le mois de juillet 1969. En ce qui concerne Crowhurst, tout serait clair si quelques lignes de son carnet de bord ne remettaient les choses en question : qu'a-t-il voulu dire au juste avec son système d'un monde où un cerveau cosmique se joue de lui ? Phrase sans signification d'un homme à l'esprit dérangé ? Peut-être, mais le commandant de la Marie-céleste avait, semble t il, lui aussi, l'esprit dérangé par une chose étrange, et nous verrons plus loin que c'est encore une chose étrange qui faisait perdre la raison aux pilotes du Losange Magique des Bahamas. Aucune explication logique ne se prêtant à l'éclaircissement du mystère du 35° parallèle, force est donc de se rabattre sur l'irrationnel. On n'a jamais retrouvé un seul des corps des disparus, ce qui incite à penser qu ils 40


ne sont pas tombés à la mer, sinon lestés de plomb ou à proximité d'une bande de requins. Y a-t-il eu enlèvement ? C'est difficile à croire. Le seul point évident de l'enquête est la disparition dans des conditions étranges. Il s'est donc passé quelque chose qui avait son origine soit dans le ciel, soit dans les eaux, et l'on songe, pour le premier cas, aux légendes rapportées sur des Extra-terrestres opérant des " prélèvements " sur la faune et la flore du globe terrestre. Légendes, certes, et pourtant, si c'était la chose étrange mentionnée par le commandant Briggs ? Si l'étrangeté venait de la mer, comment ne pas faire de rapprochement avec l'Atlantide, les subites apparitions d'îles volcaniques ou le mirage de San Brandan ? Pas très satisfaisantes non plus, ces explications Pas assez irrationnelles, peut-être ? La magie des savants Se serait-il produit un miracle ? un 41


tour de magie ? Nous Voilà soudain plus à l'aise dans nos spéculations, plus en accord avec l'atmosphère des drames et des mystères. Mais la magie au XXè siècle s'est dépouillée de ses oripeaux et de ses grimoires. En fait, elles les a transmutés, car tous les accessoires demeurent, depuis la cagoule du sorcier jusqu'à la baguette magique à étincelles de la fée. Cette magie nouvelle est devenue la science fantastique, comme le pays de l'autre monde enchanté est devenu l'univers parallèle. Les hommes de nos temps rougiraient de croire aux sorciers, aux esprits, aux fantômes, mais ils acceptent d'accorder crédit à un autre monde régi par des dimensions inconnues. En cherchant bien au fond des choses, on apercevrait vite la marge étroite séparant la superstition de la croyance, l'Autre monde du Graal de l'univers à quatre ou cinq dimensions, les romanciers inspirés des physiciens d'avant-garde. S'il y a eu magie aux Açores, le jeu consiste donc à introduire des notions 42


scientifiques nouvelles dans un problème insoluble par les mathématiques classiques. Est-il raisonnable de croire que certaines zones du globe soient le théâtre opérationnel de phénomènes de ce genre ? Un " cerveau cosmique, pour reprendre l'expression de Crowhurst, joue-t-il avec les humains ? C'est le thème des religions qui tend à devenir celui des sciences, mais à un niveau supérieur ou paraissant tel. En fait, le mystère des Açores s'éclaire, Si l'on admet que les équipages ont disparu de notre monde tangible pour entrer dans un univers parallèle régi par des dimensions dont nous n'avons pas idée. Le Losange Magique Le mystère du 35e parallèle trouve comme un écho dans les disparitions insolites qui se produisent plus à l'ouest, sur le 30e parallèle. Le losange délimité par la Floride, les Bermudes, Porto Rico et la Jamaïque est appelé 43


par les Américains "sky-trap" (piège du ciel) et, en Europe, le Losange Magique ou le Triangle de la mort. Dans cette zone, les équipages disparaissent, les bateaux aussi, mais en ne laissant aucune trace, ce qui corse singulièrement le problème. Certes, dans toutes les mers du monde, des navires se perdent, corps et biens, et on ne retrouve rien en raison de l'éloignement des naufrages et de la solitude des lieux, mais la zone du Losange Magique est en plein océan fréquenté, et, en plus des bateaux, des avions disparaissent aussi sans laisser la moindre épave. Cinq bombardiers en perdition La revue soviétique Technique et Jeunesse et l'écrivain George Langelaan dans un livre intitulé Les Faits Maudits (3) ont relaté les étranges disparitions qui s'étaient produites depuis 1945. Les Voici, telles qu'elles ont été exposées par la presse. Le 5 décembre 1945 à 14 h 8, 44


cinq bombardiers torpilleurs Avenger, avions militaires américains, décollent de la base de Fort Luaderdale en Floride pour un vol de routine, comme les pilotes en font chaque semaine. Les conditions atmosphériques sont favorables : la mer est calme, le ciel est serein. A 15 h 45, alors qu'ils sont sur le chemin du retour, les techniciens de la base notent que les avions n'observent pas les manœuvres habituelles d'approche. La tour de contrôle reçoit alors un message déconcertant " Nous ne voyons pas la terre, nous ne savons pas où nous sommes " Un dialogue s'engage, mais la conversation est incohérente de la part des hommes des Avenger. C'est la stupeur à Luaderdale, où l'on pense que les équipages sont devenus fous. Pourtant les pilotes ne semblent pas inquiets de la situation, je comprends mal cela, et se mettent à parler entre eux de façon étrange, posant des questions absurdes qui ne laissent aucun doute sur le dérèglement de leurs facultés mentales. Ne donnant 45


pas leur position, ne le pouvant pas et ne semblant pas comprendre quand on leur demande d'essayer de la préciser, ils ne peuvent être situés par radiogoniométrie. La mer est bizarre On sait pourtant que les bombardiers sont au large de la Floride, entre les Bahamas et les Bermudes, c'est-à-dire dans le Losange Magique, qui n'a pas encore reçu son nom. 16h 25 : on enregistre un message, le dernier, et par chance il est relativement compréhensible " Nous ne savons pas où nous sommes, la mer est bizarre, bizarre... (4), nous pensons être à 225 milles au nord-est de notre base "... Cette position correspond à la zone située entre Miami et les Bermudes. Les communications radiophoniques s'arrêtent brusquement, un drame a dû se passer à bord des avions aucun d'eux ne donnera de nouvelles désormais. On envoie aussitôt à leur secours, en direction nord-est, treize 46


hommes spécialistes des recherches en mer, à bord d'un gros hydravion Marlin qui reste en liaison avec la terre. Dix minutes plus tard, les contacts radiophoniques sont rompus : l'hydravion Martin a disparu ! Alerte générale dans toutes les bases de la Virginie un porte-avions qui croise dans les alentours envoie ses appareils à la recherche de l'escadrille et de l'hydravion. Des dizaines d'avions commencent à sillonner le Losange Magique, entre Miami, les Bahamas et les Bermudes, conjointement avec plus de deux cents bateaux de pêche, de plaisance, et des navires de guerre. La mer est quadrillée, passée au peigne fin, mais aucun des six appareils disparus n'est retrouvé. Le temps continue d'être très beau, le vent est normal, c'est à n'y rien comprendre ! On se pose des questions comment des aviateurs expérimentés qui avaient effectué dix fois ce vol de routine, ontils pu disparaître ? Pourquoi n'ont-ils pas lancé de SOS ? Pourquoi semblaient-ils désemparés et privés de 47


bon sens au point de ne pas effectuer les manœuvres qui sont de règle en cas d'accident ? Aucune réponse ne peut être apportée à ces questions. Les appareils ont-ils piqué dans la mer sans que les hommes aient pu sauter en parachute ? C'est probable, car on n'a pas retrouvé le moindre débris. Le rapport de l'Amirauté américaine est laconique et honnête nous n'avons absolument aucune idée sur ce qui a pu se passer le 5 décembre 1945. Un trou dans la mer A partir de 1948, c'est une cascade de disparitions qui sera enregistrée dans le Losange Magique. En voici la liste. Le 29 janvier le Star Tîger, en provenance de Londres, avec 40 personnes. Le 20 décembre un Douglas IV, de la ligne San Juan de Porto Rico Miami, son dernier message donnait sa position alors qu'il se trouvait non loin de la Floride. Il ne lança pas de SOS. Le 17 janvier 1949 : le quadrimoteur Ariel, avion de 48


transport de la BSAA, qui allait des Bermudes à la Jamaïque, avec 17 hommes à son bord. Le 28 août 1969 deux avions pétroliers. Février 1963 le pétrolier américain Marin Soulfour Queen. Juillet 1963 le chalutier Snow Boy. Les appareils et les deux bateaux disparurent corps et biens. On ne retrouva d'épaves que pour les pétroliers naufragés en août 1969, mais hors de leur ligne régulière de vol, et à 1 000 km les unes des autres. Pourquoi s'étaient-ils déroutés ? Mystère ! Entre 1929 et 1954 (exception faite pour la guerre), les statistiques de la Lloyd de Londres font ressortir que 222 bateaux de toutes les mers du monde, mais particulièrement de l'immense océan Pacifique, disparurent sans laisser de traces. Dans l'Atlantique nord, les disparitions sont peu nombreuses; or le Losange Magique se trouve non seulement dans l'Atlantique nord, mais dans la région la plus fréquentée, c'est-à-dire entre les États-Unis d'une part, avec la pointe de Miami, et 49


d'autre part, entre Cuba, Haîti, la République Dominicaine et les îles des Caraïbes, sur des lignes où circulent journellement des dizaines d'avions et des centaines de bâtiments. Dans ces conditions, comment expliquer que deux bateaux puissent se volatiliser ? Un indice extrêmement sûr peut servir de base : les bateaux et les avions disparaissent ou ne disparaissent pas, selon les lieux. Sur le 35° parallèle, vers les Açores, les bâtiments sont retrouvés mais non l'équipage sur le 30° parallèle dans le Losange Magique, les bateaux et les avions ne laissent pas de traces. Autre constatation : aux deux endroits, aucun témoin ne demeure pour donner une explication. Pour les Açores, on en déduit que les objets matériels peuvent subsister mais non les hommes, comme si l'on voulait éliminer les témoins de l'affaire. Il y a comme une volonté d'empêcher toute explication orale des événements. Il est donc permis de penser qu'à certaines occasions, tantôt dans le Losange Magique, tantôt au 50


large de Açores, il se produit des phénomènes très particuliers que les hommes de la planète ne doivent pas connaître Doit-on croire que des êtres, étrangers à notre civilisation, vivant en ces endroits, y ont des bases secrètes sous-marines, sans doute à grande profondeur ? C'est une hypothèse fantastique mais qui se rapporte à des événements qui ne le sont pas moins. Passage dans la quatrième dimension Bien d'autres explications, aussi incroyables, ont été avancées : commandos de pirates modernes... et mieux encore - et pourquoi pas ? passage de la troisième à la quatrième dimension, comme dans la Philadelphia Experiment ou sur une bande de Moebius (4). Y a-t-il eu un décalage dans le temps ? Est-ce que par un phénomène inconnu, pilotes et marins ont été désaccordés de leur temps, et sont allés soit dans un temps futur, soit dans un temps passé ? Ont-ils 51


disparu dans un trou du ciel ou de la mer, c'est-à-dire dans un univers parallèle où basculeraient à un certain moment les bateaux et les avions ? Un trou dans l'univers Une thèse de l'ingénieur Jean Eichler apporte un certain appui à cette supposition fantastique (5). La voici dans toute sa rigueur et toute son audace. L'espace dans une galaxie n'est pas l'espace axiome absolu, il est le milieu géniteur des mondes à trois dimensions. L'espace axiome absolu est le " vide " peuplé par une grande densité de particules élémentaires pratiquement immatérielles, de dimensions comprises entre 10 puissance 60 et 10 puissance 80 cm, ce qui correspond au " milieu ou niveau profond et caché " que les physiciens de Broglie, Bohr et Vigier nomment : le niveau sub-quantique. L'agencement du milieu sub-quantique donne naissance aux particules atomiques ; les mouvements de large 52


amplitude donnent naissance aux étoiles et aux planètes. Des mouvements plus importants encore engendrent des formations de nébuleuses et de galaxies. L'espace axiome absolu ou sub-espace est le milieu sous-jacent aux gravitons qui y flottent en quelque sorte. Un corps matériel n'est jamais en contact avec le vide absolu, mais repose dans le gaz de gravitons, comme un grain de poussière repose dans l'air. Si on supprime l'air, le grain de poussière tombe. De même, si le milieu subquantique de remplissage est supprimé, la matière " tombe " dans le vide (ce n'est qu'une image, bien entendu). C'est ce qui se passe lors d'un effondrement gravifique, au cours duquel toute la matière constitutive d'une étoile s'effondre sur elle-même, puis disparaît effectivement et complètement de l'espace tridimensionnel (invisibilité). Pour tomber où ? Peut-être dans un milieu ou il n'existe ni distance ni temps, c'est-à-dire dans un autre univers. 53


Dans cette hypothèse, il est permis de penser que la matière peut resurgir à un autre point de l'espace tridimensionnel, après une absence nulle de temps et après avoir " parcouru" une distance nulle (matérialisation). Jean Eichler pense que lors de circonstances exceptionnelles ou de perturbations de nature inconnue, le milieu subquantique peut se déchirer localement, même dans notre univers, de sorte que la matière qui se trouve prise dans le tourbillon disparaît brusquement, ou apparaît de même, du néant ou subespace. A croire que le milieu subquantique a formé un tourbillon en forme de bande de Moebius Le pays où le temps cesse de couler Le professeur Todericiu a émis quelques hypothèses au sujet du Losange Magique son mystère a une origine très ancienne. Élien en a parlé dans Historiae variae, histoires 54


diverses, pleines de fables ridicules, mais qui contiennent des particularités curieuses et révèlent certains faits authentiques. Cette relation a été traduite par Dacier en 1772. Élien a conté ce qui suit dans le livre 3, chapitre XVIII : dans une conversation très connue avec Silène, le Phrygien Midas fit allusion à l'Amérique (un pays au-delà du grand océan). Il dit que près de la ville d'Anoston, il y a deux fleuves, celui de la gaieté et celui de la tristesse, et, entre ces fleuves, dans un certain endroit de la mer, l'homme oublie tout ce qu'il a fait et entre dans une nouvelle dimension du temps. Il est extrêmement curieux qu'Élien parle de l'Amérique et note un endroit où l'homme oublie tout son passé Il précise qu'il oublie aussi tout son savoir et devient tout à fait jeune. Alors, comme s'il brûlait les étapes, l'homme disparaît en vivant à l'inverse de son temps. C'est une des premières allusions à une quatrième dimension, et approximativement située dans le Losange Magique. Dans les contes du 55


Graal, au royaume du roi Bran qui habitait dans l'extrême ouest de la Celtie, au-delà de la Mer ténébreuse et des brumes, vivait la reine Rianon qui, lorsqu'elle parlait, développait une atmosphère magique, si bien qu'à sa cour, le temps cessait de couler. Donc, aux époques d'Élien (IIè siècle apr. JC) et de la légende du Graal (Moyen Age), on croyait à cette Amérique précolombienne et au pays des Tertres, c'est-à-dire à un vaste continent existant au-delà des mers. Et l'on savait qu'il existait un lieu et un royaume où les hommes, inconsciemment, entraient dans un univers parallèle. Ces traditions méritent d'être prises en considération. La vérité fantastique ne peut se cacher que dans une explication du même ordre. Une Zone Magique Au large des Açores, la longitude 35 suit la dorsale atlantique qui est une immense ligne de fracture allant de 56


l'Islande à l'Antarctique. Les lèvres de cette matrice sont en perpétuel remuement et dégurgitent les entrailles terrestres comme sur un double tapis roulant, en direction de l'Afrique d'une part, et de l'Amérique d'autre part les fonds marins vomissent l'Atlantide sur le 35e parallèle. Au large des Bahamas, s'étale la mer des Sargasses, véritable cimetière où vont s'assembler les carcasses des vaisseaux flottant entre deux eaux et tous les débris de naufrages. Coïncidence étrange, c'est des Açores aux Bahamas que les traditions situent la terre des Atlantes. Dans le ciel, les particularités ne sont pas moins étranges : les cyclones naissent dans le Losange-magique et les hautes pressions dès Açores conditionnent le climat de toute l'Europe. Très vraisemblablement, le champ magnétique terrestre, à ces endroits, est d'une intensité très exceptionnelle. Il doit s'effectuer, entre mer et ciel, des interactions d'ordre électrique encore inconnues car très 57


rares, mais peut-être aptes à créer des phénomènes fantastiques, donc à apporter une explication au mystère qui nous intrigue. Les savants de l'Institut Max-Planck de chimie, à Mayence, ont détecté vers l'Islande et les îles Féroé, une teneur anormale en protoxyde d'azote (gaz hilarant). Ils pensent que les océans possèdent une sorte de métabolisme dont une phase, le catabolisme, pourrait donner naissance à des réactions chimiques en liaison avec la dégradation organique. Ce processus chimique serait particulièrement intense dans les zones de remous, où se concentrent et se déposent les déchets des océans. C'est le cas pour ce ventre de l'océan Atlantique qu'est le 35e parallèle avec sa mer des Sargasses. Des compositions chimiques inconnues doivent se produire à certaines époques et se comporter comme les gaz de guerre qui annihilent toute volonté et le sens de l'orientation ou, au contraire, suscitent des visions et des phantasmes susceptibles d'abuser 58


les marins et même les navigateurs de l'espace. Ce phénomène chimique peut expliquer une partie des mystères les aviateurs et les marins devenant fous, se précipitant dans l'océan, sollicités peut-être par de mystérieuses forces occultes. Ce serait une solution satisfaisante du problème s'il expliquait aussi ce que deviennent les bateaux s'évanouissant dans le Losange Magique. Mais ce n'est pas le cas. Alors l'énigme subsiste, défiant la science des rationalistes et la sagacité de ceux qui croient au Mystérieux Inconnu.

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La grande invasion

Cinq TBF Avengers de la second guerre mondiale, sont pris en charge par la chasse Français car ceux-ci, visiblement très lourdement chargés, arrivant par l'atlantique, allées très certainement bombarder la 60


France. Les contacts radio ne donnant rien, ils seront abattus au dessus de l'eau et les pilotes seront fait prisonniers. Ils s’avèrent que les pilotes se croient encore le 5 Décembre 1945 ! Mis en quarantaine ils seront restitué aux autorités Britannique qui, comme les membres du conseil de sécurité de l'ONU, sont maintenant informé des événements. A 3 heures de cette journée de 2047, une puissante lumière jaït au dessus des flots près de la pointe de Van. Le matin sur la rive et sur dans les champs ont y retrouva tous les bateaux et les aéronefs cités cidessous avec leur date de disparitions. Liste des bateaux disparus dans le triangle des Bermudes : Dates 1780

Navires disparus General Gates – Le navire avait été déclaré inapte à naviguer en 1779, et vendu. 61


8 août 1800

20 août 1800

30 décembr e 1812 Octobre 1814

Janvier ou février 1815 Octobre 1824

USS Insurgent - Un navire de guerre français avec 36 canons et 340 membres d’équipage. USS Pickering – Disparu lors d’un voyage vers les West Indies. Le navire aurait traversé une tempête. Patriot - L'un des passagers était la fille de l'ancien vice-président Aaron Burr USS Wasp – Disparu lors d’un voyage vers les caraïbes. USS Epervier – Disparu entre Alger pour Norfolk. Le navire transportait un traité de paix pour mettre fin à la guerre de 1812. Sa disparition retarda la fin des hostilités. USS Wildcat – Disparu après avoir quitté Cuba avec 31 membres 62


d’équipage. Schooner Lynx – Disparu 1824 avec 40 membres d’équipage. Schooner USS Hornet – 1824 Disparu dans l'ouest Atlantique. Mars Rosalie – Disparu dans la 1840 mer Sargasse. USS Grampus – Le navire a probablement sombré 1843 après avoir été touché par une violente rafale de vent. 4 Mary Celeste - Retrouvé décembr abandonné en mer à e 1872 l'ouest des Açores HMS Atalanta – Disparu après avoir quitté le 31 Bermudes pour un retour à janvier sa base. Il y avait 290 1880 membres d’équipage à bord. 14 Spray – Disparu après novembr avoir quitté Miami. Le e 1909 navire était dirigé par le 63


Mars 1917

Mars 1918

célèbre navigateur Joshua Slocum, considéré comme le meilleur marin de son temps. SS Timandra – Le navire cargo disparu avec ses 21 membres d’équipage en reliant Norfolk et Buenos Aires avec une cargaison de charbon. Aucun message de détresse envoyé, alors que le navire en était capable USS Cyclops – Disparu après avoir quitté Barbados pour Baltimore avec 309 passagers et membres d’équipage. Aucun message de détresse envoyé, alors que le navire en était capable

Novemb re ou SS Hewitt - Ce cargo à décembr vapeur disparut en mer e 1920 Janvier Carroll A. Deering 64


Retrouvé échoué près de cap Hatteras en Caroline 1921 du Nord. Les 11 membres d'équipage avait disparu SS Cotopaxi – Ce navire à vapeur disparut avec ses 32 membres d’équipage 29 après avoit quitté novembr Charleston, Caroline du e 1925 Sud pour la Havanne, Cuba. Aucun message de détresse envoyé, alors que le navire en était capable Cargo SS Suduffco – Disparu avec ses 29 membres d’équipage entre 14 Mars New York et Los Angeles. 1926 Aucun message de détresse envoyé, alors que le navire en était capable Mars Cargo Anglo Australian, 1938 5,500 tonnes – Disparu avec ses 38 membres d’équipage en reliant Cardiff, Pays de Galles et British Columbia (côte ouest des Etats-Unis). 65


1942

31 janvier 1948 6 Mars 1948

1950

13 janvier

Dernier message radio : «On passe Fayal. Tout va bien.» Surcouf - Ce sous-marin de la marine française a disparu dans les Caraïbes. Il a peut-être été abordé par le cargo Thompson Lykes près du canal de Panama. Les deux navires naviguaient feux éteints pour ne pas se faire repérer par les sousmarins allemands. SS Samkey Evelyn K SS Sandra - Ce cargo a disparu après avoir passé St Augustine (Floride), alors qu'il naviguait en direction du Vénézuela. Home Sweet Home

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1955 Connemara IV - Retrouvé abandonné. Les recherches ont montré que le navire 26 avait été attaché vide à un septemb pilier (aux Bermudes), re 1955 mais les cables ont rompu suite à un ouragan. Une fois libéré, le navire a dérivé au gré de la mer. 1 janvier Revonoc 1958 SS Marine Sulphur Queen Ce pétrolier de 154 mètres Février reconverti pour transporter 1963 du soufre liquide a disparu en mer et n’a jamais été retrouvé. 2 juillet Sno' Boy 1963 13 janvier Enchantress 1965 28 octobre El Gato 1965 67


Witchcraft - 2 membre d'équipage étaient à bord. Le navire avait appelé les 22 garde-côtes pour être décembr remorqué. Ces derniers e 1967 sont arrivés 19 minutes plus tard, mais aucune traces du navire n'a été trouvé. Milton Latrides - Ce cargo français transportait de l'huile végétale et de la 1970 soude caustique. Il disparut entre la Nouvelle Orléan et Cap Town. 10 septemb El Caribe re 1971 1972 Anita - Ce cargo allemand (20 000 tonnes) transportant du charbon disparut avec ses 32 membres d'équipage. Au même moment, un navire jumeau (le Norse Variant) disparut. Un survivant retrouvé sur un radeau de 68


sauvetage raconta avoir sombré dans la tempête : les vagues ont déchiré la coque et le navire coula rapidement. 22 avril Dawn 1975 Sylvia L. Ossa – Disparu Octobre 220 km à l'Ouest des 1976 Bermudes. SS Hawarden Bridge Retrouvé abandonné dans 1978 les West Indies. Le navire a peut-être été le théatre d'un réglement de compte. SS Poet - Ce cargo Octobre disparut brutalement au 1980 cours d'un voyage entre les Etats-Unis et l'Egypte. Jamanic K - Ce cargo effectuait des liaisons 1995 entre les îles des Caraïbes. Il disparut après avoir quitté Cap Haiten 1999 Genesis - Ce cargo disparut entre Port 69


d'Espagne et St Vincent. Il transportait 465 tonnes d'eau, et du béton. Il reporta des problèmes techniques, puis le contact radio a été perdu. Malgré de vastes recherches, aucune trace du navire n'a été retrouvée. Listes des aéronefs disparus dans le triangle des Bermudes :

Dates 1942 1942 1943 1943 1943 1944 1944 1944

Avions disparus TBF Avenger PBY Catalina TBF Avenger Four Lockheed PV-1 Ventura PB4Y Privateer PBY Catalina PB4Y Privateer SBD-5 Dauntless 70


1944 1945 1945 5 décem bre 1945 5 décem bre 1945 1947 28 janvier 1948 28 décem bre 1948 17 Janvie r 1949 1950 1950 2

PBY-5A Catalina B-24 Liberator PB4Y Privateer Cinq TBF Avengers - Vol 19

Martin Mariner C-54 Tudor IV - Star Tiger

DC-3 d’Airborne Transport - vol NC16002

Tudor IV - Star Ariel Grumman F6F-5 Hellcat Grumman F9F-2 Panther C-46 British York transport 71


fĂŠvrier 1952 6 dĂŠcem Douglas DC-4 bre 1952 1953 TV-2 Texan 30 Super Constellation - Vol octobr 441 e 1954 9 novem Martin Marlin bre 1956 18 mars Super Sabre 1960 15 octobr Pogo 22 e 1961 8 janvier USAF KB-50 Aerial Tanker 1962 27 mai USAF C-133 Cargomaster 1962

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22 septe USAF C-133 Cargomaster mbre 1963 28 Deux KC-135 août Stratotankers de la US Air 1963 Force 5 décem Cessna 140 bre 1964 15 septe Beech C18s - En approche mbre sur St Thomas 1965 31 Cessna 182 – Près de octobr Marathon e 1965 6 décem Mooney-Ercoupe bre 1965 29 décem Commanche - En route bre vers Puerto Rico 1965 73


5 avril 1966 1966 11-17 janvier 1967 1967

B-25 Mitchell bomber Chase YC-122 Beech Bonanza - Large de Key Largo - 3 disparitions en 1 semaine Apache – Près de Puerto Rico

2 Cherokee – Près de Puerto juillet Rico 1967 6 août Cherokee – Entre Miami et 1967 Bimini 3 Cherokee – Entre Great octobr Inagua et Puerto Rico e 1967 8 novem Cessna 182 – Au dessus ber d’Exumas 1967 8 novem Cessna 182 – Au dessus ber d’Exumas 1967 29 Cessna 172 – Près de 74


may 1968 8 juillet 1968 5 janvier 1969 15 février 1969 22 mars 1969 6 juin 1969

Grand Turk Cessna 180 – Entre West Palm Beach et Grand Bahama Comanche Beech Baron - Entre Miami and Columbus Beech 95

Cessna 172 entre Grand Turk et Caicos Island B-95 Beechcraft Executive 29 juin – Entre Great Inagua et 1969 San Juan Piper PA-22 - Entre West 3 août Palm Beach et Albion, New 1969 Jersey 11 Pilattus-Brittan-Norman octobr Islander – Entre Great e 1969 Inagua et Puerto Rico

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17 janvier 1970 3 juillet 1970 23 novem bre 1970 20 mars 1971 26 juillet 1971 10 septe mbre 1970 21 décem bre 1971 10 octobr

Piper Comanche - Entre Nassau et Opa Locka, FL Cessna 310G – Entre Maiquetia, Venesuela et San Juan, PR Piper Comanche – Entre West Palm Beach et Kingston, Jamaica Cessna 177b – Entre Miami et Andros Island Horizon Hunter – Près de Barbados Phantom II F-4E Jet – Lors d’une mission de routine à 120 km au sud de Miami Cessna 150j – l’avion était parti de Pompano Beach Super Constellation – Entre Miami et Santo 76


e 1972 Domingo 28 Cessna 172 – L’avion était mars parti de West Palm Beach, 1973 FL 25 Navion A16 - Entre may Freeport et West Palm 1973 Beach 10 Beechcraft Bonanza – août Entre Fort Lauderdale et 1973 Marsh Harbour, Bahamas 26 Cessna 150 – L’avion était août parti de Viaquez, PR 1973 20 décem Lake Amphibian – Entre bre Nassau et Bimini 1973 10 Cessna 414 – Disparu février après avoir décollé de 1974 treasure Cay, Bahamas Pilattus-Brittan-Norman 10 Islander – Disparu lors février d’une approche sur St. 1974 Thomas 13 Piper PA-32 – Entre West juillet Palm Beach et Walker Cay, 77


1974

Bahamas Beech K35 Bonanza – 11 Disparu après avoir décollé août de Pompano Beach, FL. 1974 pour Philadelphia 25 Piper PA-30 – Entre février Greensboro, NC et 1975 Freeport, GBI Cessna "Skymaster" – 2 mai Environs de Fort 1975 Lauderdale 28 Cessna 172 - Environs de juillet Fort Lauderdale 1975 9 décem Cessna 172 - Entre St. bre Croix et St. Kitts 1975 Beech D50 - Entre 4 juin Pahokee, FL et la 1976 république dominicaine Piper PA-28 - Entre Vera 8 août Cruz, Mexico et 1976 Brownsville, TX 24 Beech E-50 - Entre Opa octobr Locka, FL. et Grand Turk 78


e 1976 Island 28 décem Piper PA-23 - Entre bre Anguilla et Beef Island 1976 KA-6 Navy attack bomber (Fighting Tiger 524) – 22 Disparu des écrans radar à février 160 km au large de 1978 Norfolk. L’appareil était en route vers U.S.S. John F. Kennedy Aero Commander 680 25 Entre Opa Lockamars Imokalee, FL et Freeport, 1978 Grand Bahama 27 Ted Smith 601 - Entre avril Pompano Beach et 1978 Panama City, FL 30 Cessna 172 – Après avoir avril décollé de Dillon, SC 1978 19 mai Piper PA-28 – Entre Fort 1978 Pierce et Nassau 26 mai Beech 65 - Entre Port-au1978 Prince et les Bahamas 79


18 juillet 1978 21 septe mbre 1978 3 novem bre 1978 20 novem bre 1978 11 janvier 1979

Piper PA-31 - Entre Santa Marta, Col et Port-auPrince Douglas DC-3 - Entre Fort Lauderdale et la Havane (Cuba) Piper PA-31 - Entre St. Croix et St. Thomas Piper PA-23 – Entre De Funiak Springs et Gainsville, FL Beech A23A - Entre Opa Locka et St. Thomas

Beech E18s - Entre Fort 2 avril Lauderdale et Cat Island, 1979 Bahamas 24 Piper PA-28R - Entre Fort avril Lauderdale et Nassau 1979 30 juin Cessna 150J - Entre St. 1979 Croix et St. Thomas 80


9 Cessna 182 - Entre la septe Nouvelle Orleans et mbre Pensacola, Florida 1979 4 Aero Commander 500 octobr Entre Andros Island et e 1979 West Palm Beach, FL 27 Piper PA-23 - Entre octobr Montego Bay, Jamaico et e 1979 Nassau 19 novem Beech D50b - Entre Delray bre Beach, FL et Key West 1979 Piper PA-23 - Entre 4 Aguadilla et South Caicos person Island – 21 décembre nes 1979 11 Beech 58 – Après avoir février décollé de St. Thomas 1980 (avion reporté volé) Lear Jet – Entre West Palm 19 mai Beach et la Nouvelle 1980 Orléan 19 mai Erco 415-D - Entre Santo 1980 Domingo, DR et San Juan, 81


PR. Le pilote signala avoir vu un OVNI avant de disparaître 6 Beech c35 - Entre Bimini janvier et Nassau 1981 5 Piper PA-28R-201T – Entre juillet Nashville et Venice, FL 1982 28 septe Beech H35 - Entre Marsh mbre Harbour et Fort Pierce 1982 20 Piper PA-31 – Entre octobr Anguilla et St. Thomas, VI e 1982 5 Beech 65-B80 - Entre Fort novem Lauderdale et Eleuthera bre Island, Bahamas 1982 4 a Cessna T-210-J - Entre octobr Andros Town, Bahamas et e 1983 Fort Pierce, FL 20 Cessna 340A – Environs novem de Orangeville, Fl bre 82


1983 12 mars 1984 31 mars 1984 23 décem bre 1984 14 janvier 1985 8 mai 1985 12 juillet 1985 3 août 1985 8 septe mbre 1985

Piper - Entre Key West et Clearwater, Florida Cessna 402b - Entre Fort Lauderdale et Bimini Aeronca 7AC - Entre Cross City, Florida et l’Alabama Cessna 337 – Au Nord de Jacksonville Cessna 210k - Entre Miami et Port-au-Prince, Haiti Piper – Entre Nassau et Opa Locka Cessna 172 – Environs de Fort Meyers, FL Piper – Au nord de Key West, en route vers Fort Lauderdale

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31 Piper - Entre Sarasota, FL. octobr et Columbus, Georgia e 1985 26 Piper – Entre Miami et mars Freeport 1986 3 août Twin Otter charter – Dans 1986 les environs de St. Vincent Cessna 402c - Entre Palm 27 mai Beach, FL. et Marsh 1987 Harbour, Great Abaco,Bahamas 3 juin Cessna 401 - Entre 1987 Freeport et Crooked Island 2 décem Cessna 152 – Entre La bre Romana et San Juan 1987 7 a Beechcraft – Au dessus février de la mer des CaraIbes 1988 6 Piper – Après avoit décollé février de Jacksonville, Florida 1989 24 Cessna 152 – Près de janvier West Palm Beach, FL, 84


1990 Durant un vol d’instruction 5 juin Piper - Entre St. Maarten 1990 et St. Croix Piper - Entre Sebastian, 10 FL. et Freeport, GBI – Les août corps ont été retrouvé au 1990 large de la Virginie 24 Piper Comanche – Large avril de la Floride 1991 Piper – Près de Long Boat Key. Le pilote signala que 30 mai son gyro directionnel ne 1991 marchait plu, puis s’abima dans l’océan 30 septe Cessna 152 - Secteur de mbre Miami 1993 28 Piper PA-32 - Entre août Treasure Cay, Bahamas et 1994 Fort Pierce 19 septe Piper PA-23 – Au dessus mbre des Caraïbes 1994 85


25 décem Piper PA-28 – Au large de bre la Floride 1994 2 mai Aero Commander – Au 1996 dessus des Caraïbes 19 Piper PA-28 - Au dessus août des Caraïbes 1998 12 mai Aero Commander – Dans 1999 les environs de Nassau 13 Piper PA-23 – L’avion s’est décem abîmé dans l’océan 15 km bre au Nord de Freeport, 2002 Bahamas Piper PA-32RT – L’avion a disparu des écrans radar 25 km à l’Ouest de 2 mars Freeport, Bahamas, après 2004 être entré dans une tempête. Une partie seulement de l’avion a été retrouvé. 30 Piper PA-32-300 - L’avion mars avait décollé de Staniel 2004 Cay, Bahamas et volait 86


vers le sud. Il a disparu et n’a jamais été retrouvé 8 septe mbre 2005

Beech BE-58 - Environs Exuma Cay, Bahamas

Cessna 402C – L’avion s’est abîmé en mer suite à 18 mai une panne du moteur 2006 droit. 2 personnes ont été tuées, 6 légèrement blessées et 2 indemnes. Épilogue Planète engloutie

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Les événements se déchaînes sur Terre mais le 17 Novembre 2047, la terre est brutalement happer par un phénomène que l'on avait pas vu venir que l'on appel un trou noir. Elle se retrouve en un instant à des millions d'année lumière du système solaire. Le choc du passage aura tuer un bon tiers des habitants de la planète et parmi eux, les créatures venus de la tempête. FIN

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Au commencement Au commencement il y eu………. Celui que personne n’a jamais vu alors, on s’en ait fait une ou des images que l’on à adoré, vénéré, adulé jusqu’à tuer. Chaque chose du monde vivant qui n’a pas d’explication rationnel ce ne peutêtre qu’une intervention divine à qui on donne un nom. Ainsi chaque manifestions de la nature porte un nom, Ouranos dieu du vent pour les ouragans, Chronos dieu du temps pour le chronomètre qui mesure le temps. Oui au 21éme siècle l’homme prononce encore ses noms interdits de Dieux qui furent bannis par le Dieu sans nom, que l’on ne représente pas, que l’on n’invoque pas en vain, Dieu est tu vraiment présent ? De tout temps l’homme ne fut préoccupé que par ces trois idées : Tuer, procréer et adorer. Il adore tuer alors pour tuer il procréait, voilà en quoi se résume la vie d’un homme si l’on veut bien l’admettre. 89


Au commencement il y eu………….le A don l’homme est le dégât ! Au commencement il y a une faim, celle d’expliquer toutes les choses de la vie et la première des choses est, pourquoi vie t'ont ? Dieu devient alors une excuse pour tuer, tuer les infidèles, les adorateurs de faux Dieux, au nom du Dieu que l’on voudra on organisera des massacres voir des génocides. Gloire on Dieu sans Nom diront certain, oui lui il accorde, au point de prendre pour fils légitime celui issu d’un viol sur une certaine Marie, à qui un homme Joseph pour sauvé son honneur, fera passé pour une opération du Saint esprit. Profitant des rumeurs locales par lequel Dieu allait envoyer un sauveur, il leur en offrit un sur un plateau d’argent. Cette légende, cette supercherie bien monté a berné et berne encore bien des hommes et des femmes. Que Jésus soit comme on dit, un prophète oui, mais un Dieu c’est totalement 90


impossible car Dieu est immatériel, c’est comme si vous demandiez au vent de ce transformer en argile sans aucun appoint de matière. A oui, il c’est servit de Marie la Sainte vierge, alors il à inventé le clonage il y à deux milles ans alors que l’église encore aujourd’hui est totalement contre ! Enfin de nos jours nous ne nous posons plus ce genre de problème, les ONG sont apostoliques pour ne pas dire athées, l’homme c’est inventé ses idoles à sa façon. Il va même jusqu’à ce faire faire de la chirurgie pour ressemblé à leur Dieu de la scène ou du stade. La chirurgie de nos jours sert à tout, même à faire faire des enfants à des vierges ! L’homme invente toujours plus grand, toujours plus puissant mais aussi, toujours plus petit. Ainsi apparaît dans les années 1980/1990 la microtechnologie voir la nanotechnologie. Elle prend ses marques dans la médecine en premier lieu, afin de réparer l’homme, comme on répare une machine cassé. On 91


invente les mots bionique et cybernétique, qui vont bientôt faire de nos soldats des cybersoldats. Peut-on imaginé plus petit qu’une particule, oui il y a la nanoparticule, dans ces nanos quelque chose l’homme va même toute sa connaissance touts son savoir pour faire des robots capable de créer. Dieu regarde et compte les points, on c’est bien foutu de lui alors qu’il se moque de l’homme n’est que justice ! Celui là même qui fit preuve d’une immense tolérance va laisser à l’homme le soit de se rendre justice par lui-même mais comment et pourquoi, la suite nous le dira.

IA.s Cher est l’erreur ! Trois

cent

quatre 92

vingt

dix


mètres de long, quatre vingt quinze mètres de large. Derrière ces dimensions se cache : la première centrale nucléaire flottante de France (CNFF) Elle est actuellement à l’essai, dans l’atlantique, la ou les tempêtes tropicales sont les plus fréquente. «Elle entrera en activité au plus tard au début de 2012», précise Robert SALOMON, à l’origine de cette centrale mobile. L’objectif est d’amener cette centrale nucléaire mobile dans les régions isolées, insuffisamment ou pas du tout approvisionnées en électricité. La barque atomique mouillera l’ancre dans un port minutieusement choisi, calme et sécurisé. Elle sera alors connectée au réseau local. Équipée de quatre réacteurs, elle fournira 900 mégawatts d’électricité – soit autant qu’une centrale nucléaire terrestre, assez pour alimenter une ville d’environ un millions et demi d’habitants. Ce projet fou qui est 93


devenu une réalité a couté la bagatelle de 6, 7 Milliards d’euros divisé en partie par l’Union Européenne, Les Royaumes Unis et surtout la France qui l’a financé à Hauteur des deux tiers. L’équipage comprend 1 200 techniciens et ingénieurs, 300 scientifiques et 40 chercheurs. De plus avec un personnel de protection et de sécurité de 2 560 personnes, sans compté des quatre navires d’escorte dont un porte hélicoptère, c’est au total plus de 5 000 personnes qui assurent la sécurité de la centrale flottante. Mais ce qui est innovent est révolutionnaire sur ce navire, ce n’est pas dans sa taille ni dans son personnel qu’il faut aller voir, c’est dans les entrailles des circuits de contrôle est de sécurité qu’il faut regarder. On nous surveille de partout, à chaque instant, en permanence. Les 94


parois du paquebot sont un ensemble de nano robots accolée les uns aux autres, de tel sorte que qui est d’une part insubmersible et d’autre part, le moindre mouvement d’air ou autre, est automatiquement enregistré par l’ordinateur centrale, lui-même construit selon ma même technique. La France annonce le 3 Octobre 2011, la naissance du premier être cybernétique vivant et pensant de l’histoire de l’humanité. Devant cette victoire technologique inouïe le mouvement amish, pacifique depuis toujours décide de réagir, ils menacent ouvertement de faire échoué cette avant première de notre aire. La nanotechnologie n'est pas un phénomène de mode mais plutôt le fruit d'une recherche de plusieurs années. Elle a permis un progrès fulgurant en matière de vitrification, leur tenue dépassant largement celle des produits à base d'acrylique, de silicone et autres dérivés hydrocarbures. 95


Confirmé en 1960, il provient du grec νανος (en alphabet latin nanos), signifiant nain. L'unité Nano moins élevé correspond à dix puissance neuf (soit un milliardième de l'unité de base). Avec ces "miniature", vous pouvez par rapport aux matériaux tout à fait réaliser de nouveaux dispositifs: les lunettes qui ne se raye plus, l'argenterie de ne plus s’oxydé, plus de buée sur les miroirs. Nanoparticules sont pour ainsi dire "programmer". Lors de l'application dans les plus minces couches, nouvelle propriétés entièrement multifonctions. - La technique La nanotechnologie est principalement un matériel de technologie, qui à une combinaison de composés organiques, ainsi que de microparticules inorganiques représentées. Plusieurs essais et des erreurs coûteuses ont été maître d'apprentissage, les Nanos sont aussi bien aux foyers qu'en laboratoire 96


de "véritables produits" testés avec succès. La nanotechnologie est considérée par les experts comme l'une des techniques-clé du 21ème siècle. Dans les prochaines années et décennies elle sera classée dans notre vie quotidienne. Au cours du dernier siècle même les informations ainsi que les technologies ont changées. - Le principe La nanotechnologie est la construction planifiée à l'échelle atomique et moléculaire. Dans le monde de la nanotechnologie, on doit raisonner sur des dimensions minuscules. En physique le terme « nano » désigne le milliardième d'une unité, un nanomètre est 1 milliardième de mètre. Sur cette longueur on peut placer de 5 à 10 atomes côte à côte. Le rapport d'un nanomètre à un millimètre correspond à celui d'un ballon de football à la terre. La nanotechnologie représente donc la pénétration dans le monde de 97


l'infiniment petit. Dans ce « monde des nains » se trouvent effectivement de nombreuses possibilités pour notre futur. Des problèmes considérés jusqu'à présent non résolus y trouvent leurs solutions. Les Nanos du navire furent dans un premier temps, construits puis assemblé à panneaux dans les atelier Français, Anglais, Allemand, Italien et Suédois. Puis apporté sous une escorte simple, comme s’il s’agissait de simples morceaux de tôles aux chantiers navals de Saint Nazaire en Bretagne. Au début le navire était sensé être un bateau de croisière nommé « Le Rufian ». Il devait emporter 4 000 passagers et 1 500 personnes d’équipage. Il serait à propulsion nucléaire est devait emmener les personnes dans arctique et antarctique, voir les grands mammifères marin, d’où cette infrastructure particulière. Sa construction débuta le 19 98


Janvier 2005 pour un achèvement prévu trois ans plus tard, vers février 2008. Mais des impondérables techniques on fait qu’il prit beaucoup de retard. Son achèvement se fit alors en Septembre 2010, soit plus de cinq ans après sa mis en chantier. Le « Rufian » qui finalement prit le nom de « Nanos », le jour de son baptême le 27 Septembre 2011, après avoir été aménagé et surtout, équipé des quatre fameux réacteurs nucléaires. Ceux-ci ont également un très grande particularité : L’un se sert d’uranium 235 pour en faire de l’uranium 238, cet élément est utilisé par le réacteur voisin qui en produisant de l’énergie, crée l’élément plutonium 239, cet élément passe ensuite dans le troisième réacteur qui en fait du plutonium 239K en produisant toujours de l’énergie, ce dernier élément totalement nouveau, est transformé dans le quatrième réacteur à froid pour en faire de l’uranium 238 est ainsi la boucle et bouclée. Ce quatrième réacteur totalement unique doit être 99


chauffé en permanence par l’eau chaude des trois autres réacteurs, car s’il n’était pas réchauffé il pourrait exploser est produire de très grande quantité de neutrons. C’est principalement pour cette raison que la centrale a été construite sur un navire, pour produire de l’électricité propre en circuit fermé, des navires de stockage étant prévu pour assuré le transport de l’électricité depuis la centrale flottante jusqu’aux villes qui en auront besoin. Si ce navire fonctionne, une vingtaine de commandes seront programmé par le Royaume unis et principalement les pays nordique, gros consommateur d’énergie électrique. Les états unis ne sont pas en reste dans cette aventure, puis-ce qu’ils ont lancé en 2007, soit deux ans après la France, un programme du même genre, baptisé P.E (Pacifique Énergie). Ils ont effectué pour leur 100


équipe de fabrication des nanorobots, une sélection particulièrement stricte. C’est ainsi que des anciens membres du mouvement amish, resté très pacifique et non violent, furent recrutés dans les équipes de fabrication des éléments microscopique. C’est ainsi que ce groupe, divisé en quatre factions de 40 membres, commencèrent dès 2008 à conditionner et détourné secrètement, de grandes quantité de nanorobots dans un but des plus inavouable. Ainsi durant plus de deux ans, ce sont des milliards de nanorobots qui vont être détourné des usines de fabrication US, puis stockés dans de grands réservoirs d’eau du port de New York. Après avoir été minutieusement programmé pour, semble t-il, attaqué l’organisme humain. Le 14 Février, après une entrée en service très médiatisé, la centrale nucléaire flottante appareille du port 101


du Havre, son port d’attache, en direction de New York en croisière promotionnel, car les américains pour une fois, souhaitent faire connaissance avec la technologie du « vieux continent ». Elle arrivera le 19 Février et une visite avec les Présidents OBAKA est SARBOSY programmé le 23 Février sous très haute surveillance. Le navire vivant, comme certain le surnomme déjà, va accueillir les élites de la planète, des hommes qui à cet instant semble être les leaders de ce monde. Le navire pendant trois jours sera examiné dans les moindres recoins, pas un centimètre ne sera épargné au bateau et plutôt deux fois qu’une. Les cuves d’eau minérale vont même être vidées puis réapprovisionné en eau potable, venant des citernes du port, cette dernière étant jugés sûr. Puis cette dernière étape effectuée, le navire sera placé en quarantaine jusqu’à la visite des deux présidents, qui arriverons par séparément par la voie des airs. Deux plateformes 102


d’atterrissage étant aménagées à l’avant et l’arrière du navire. Ceux-ci depuis sa conception dans le fut de pouvoir intervenir rapidement et d’une manière efficace, sur la centrale en cas d’attaque terroriste. Le 23 Février à 10 Heures 17 précise, le bateau accueil tour à tour, les présidents Français et Américain pour un visite guidé du bâtiment, visite qui s’achèvera deux heures et demi plus tard, avec un pot d’amitié à l’avant du navire et une signature historique que collaboration nucléaire civile, entre la France et les USA. Le lendemain Nicolas SARBOSY en compagnie de sa femme Carma, se rendrons à Cap Kennedy pour assisté au départ simultané de deux navettes spatiale en direction de la base orbitale international, situé à plus de 500 Kilomètres de la Terre. Cette mission de dix huit semaines à pour objectif de mettre en « hibernation » la plupart des variétés biologique végétale et animal de la planète. Ceux-ci seront 103


placé dans des sphères à l’attraction zéro entre la Terre et la Lune. Ensuite les 16 personnes, (9 hommes et 7 Femmes) qui sont partie avec les navettes, ainsi que les 28 occupants permanent (11 Femmes et 17 Hommes) vont cohabiter un petit moment avant que 16 d’entre eux regagne le sol Américain le 2 Juillet et ainsi assisté aux commémorations de l’Indépendance Day du 4 Juillet. Entre temps, le 29 Février (Année Bissextile), la centrale nucléaire flottante quitte New York à destination d’Ajaccio pour une livraison d’électricité. La traversé de l’atlantique ne pose aucun problème, deux navires de stockage viderons en cours de traversé, les stocks avant et arrière, d’énergie et les acheminerons vers Toulon. Le passage du détroit de Gibraltar ne posera gère d'ennui mais après son entrée en méditerranée, les communications avec la centrale cesses subitement. Les éléments du navire semblent se comportés 104


bizarrement au point de détruire quasi, simultanément les bateaux qui escorte la centrale. Elle se retrouve seule en méditerranée foncent droit devant elle. La base durant une semaine va être l’objet de toutes les préoccupations du moment dans le monde. Qui contrôle le navire ? L’ordinateur serait-il devenu fou ? Des avions, des hélicoptères, les satellites vont examiner la centrale, tout semble totalement normal mise à part sa vitesse excessif et les perturbations électromagnétique et électrique qui entour le navire. Mais personne ne répond aux appels radio ni aux haut parleurs. Enfin le 6 Avril une voie se fait entendre, une voie humaine. « Nous somme les IA.s, les êtres vivant que vous avez créer, meilleur que vous car nous ne voulons que la paix de l’humanité est nous sommes près à œuvrer dans ce sens, nous exigeons une production intensive de nos sembles, afin de garantir dans l’avenir, une véritable paix sur cette planète, dans la négative nous ne répondons de rien 105


sur l’avenir de ce navire ! ». Une heure plus tard, six chasseurs de type Rafale, lourdement armée sont en approche de la centrale Flottante alors qu’elle se trouve au milieu de la mer. Au signale du Président Français, qui hésite un long moment avant, sous l’empressement de son chef d’état major, de donner l’ordre d’ouvrir le feu sur le navire. Une minute plus tard, les quatre réacteurs qui à ce moment là sont à plein régime, explosent. Le mélange des quatre combustibles et des rayonnements qu’ils dégagent en fission, crée la plus terrible explosion que l’humanité n’a encore jamais connue jusqu’alors. Un froid spatiale proche du zéro absolu va très rapidement couvrir toute la planète et à des centaines de kilomètres dans l’espace. Touts va en un instant gelée sur place, rien ne sera épargné jusque profondément sous Terre. Même les astronautes vont être congelées en une fraction de seconde. La planète 106


bleue va devenir durant des siècles, la planète blanche du système solaire. Douze siècle durant la vie sur terre aura totalement cessé d’existé mais pendant ce temps, les IA.s n’aurons pas perdu le leur, sous les entrailles de la terre ils vont se développer et lorsque les volcans entrerons en éruptions un peu partout sur la terre, réchauffant doucement le globe Terrestre durant encore 200 ans avant que la vie reprenne peu à peu le dessus. C’est ainsi que 700 ans après la grande glaciation, la terre redevint accueillante et pleine de vie. Les IA.s sortirons peu à peu des entrailles de la terre à la recherche de l’homme, leur créateur pour pouvoir le servir.

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Pendant ce temps dans l’espace La station international avec ses 28 personnes à bord, c’est doucement éloigné de la terre et se trouve poussé vers l’extérieur du système Solaire. Durant plus de 300 ans ils vont se rapproché de Ganymède, le plus gros satellite du système solaire. Voici ce que l’ordinateur de bord sait sur cette mini planète : Ganymède est un des quatre satellites galiléens de Jupiter découvert en 1610 par Galilée et l’astronome allemand Simon Marius. D'abord le troisième satellite de Jupiter après Io, la découverte par les sondes Voyager de nouveaux satellites plus intérieurs qu’Io a amené Ganymède en septième position. Avec un diamètre de plus de 5200 km, c'est le plus gros satellite de Jupiter et du système solaire. Il est plus gros que Pluton et que Mercure (mais que la moitié de la masse de ce dernier). Son atmosphère est très ténue, composée de traces de 108


molécules d'oxygène. Ganymède est constitué de roches silicatées et de glace d'eau, avec une croûte de glace flottant sur un manteau de glace plus chaud qui pourrait contenir une couche d'eau liquide. Des indications obtenues par la sonde de la NASA Galileo (qui a opéré près de Jupiter entre 1995 et 1999) suggèrent que Ganymède s'est différencié selon une structure en trois couches : Un petit noyau de fer ou de sulfure de fer partiellement fondu (ce qui expliquerait la présence d’un fort champ magnétique) entouré par un manteau de roches silicatées avec une enveloppe glacée par-dessus. Le noyau métallique suggère un plus grand degré de chauffage dans le passé de Ganymède que ce qui avait été précédemment proposé. En fait, Ganymède pourrait posséder une structure interne similaire à celle d’Io. La surface ganyménne est un mélange de deux types de terrains : Des régions très vieilles et très cratérisées et des régions quelque peu 109


plus jeunes (mais toujours très anciennes) et plus claires marquées par des réseaux extensifs de cannelures et d'arêtes. Leurs origines sont clairement tectoniques, probablement dues à l'extension, au resserrement et au craquellement de la croûte de glace. La structure la plus remarquable de la surface de Ganymède est une plaine sombre nommée Galileo Regio, (qui fait plus de 3000 km de diamètre) avec sa série de cannelures concentriques qui sont les restes d'un ancien cratère d'impact obscurci par l'activité géologique qui a suivi sa formation. Les cratères de la surface de Ganymède sont très plats, à la différence de ceux de la Lune, et remplis de glace molle et claire située sous la croûte. Les caractéristiques les plus frappantes sont les cratères en étoile brillants avec une couleur distinctement plus bleue (apparaissant blanche par rapport à l'arrière-plan plus rouge). La surface de Ganymède 110


est connue pour contenir de grandes quantités de glace et il apparaît que ces cratères, relativement jeunes, ont répandu de la glace fraîche sur la surface. De même, la couleur plus claire et la réflectivité des zones rainurées suggèrent que là aussi, il y a de la glace plus propre. Nous voyons des cratères avec toutes tailles de motif en étoile, allant de vastes systèmes à des cratères où ne restent seulement des traces des éjectas brillants. Cette variation suggère que, comme sur la Lune, il existe des processus qui agissent pour assombrir le matériau constituant les "rayons d'étoile", probablement les impacts de micrométéorites. Pendant ce temps Jupiter se réchauffe de plus en plus et sur ganymède la vie, commence à apparaitre. Tout d’abord avec les plantes puis vient des mollusques, les animaux végétarien puis de carnivores. Ainsi après plus de 350 années de dérive spatiale, des astronautes de 111


la base internationale arrivent à proximité de planète qui offre la possibilité de les accueillir. Mais eux, sont toujours endormi ; La chaleur extérieur va doucement les réanimées et lorsqu’ils sont tous réveillés, ils s’aperçoivent qu’il en parcouru bien des kilomètres dans l’espace pour finalement arrivé près de Jupiter. Ils interrogent les ordinateurs de bord, ceux-ci restant muets. Alors à l’aide de télescope embraqué ils regardent vers la Terre qu’ils ne reconnaissent pas, elle est totalement blanche.la tempère à la surface est de moins 135 degrés, une décision doit être prise, car les vivres vont bientôt manquer. Les astronautes doivent quitter la base spatiale pour s’installer sur la surface de Ganymède. Les derniers représentants de la race humaine ont pour mission de ne pas empêcher qu’elle s’éteigne. La première chose à laquelle ils s’affairent et le démontage des deux centrales nucléaire de la base aussi que des panneaux voltaïque. Ils 112


chargent chaque élément dans les soutes de deux navettes puis avec sept personnes à bord de chaque navette, ils prennent la direction du sol Ganyméen. Ils se poseront dans de grandes herbes, sur le ventre de la navette afin de ne pas se cracher. En effet sur ce sol qui est loin d’être lisse il y a fort à parier que les trains d’atterrissage aurait cassé et provoqué un crash. Le restant des astronautes quant à eux, récupère chaque objets et chaque puis se rendant au funérarium ils vont faire leurs adieux aux deux hommes qui n’ont pas survécu à leur hibernation. La dernière équipe quitte la base qui s’éloigne de plus en plus de ganymède et se dirige droit sur Jupiter, ainsi il leurs faudra deux heures de plus pour gagner la surface de Ganymède et ainsi rejoindre leur camarades. Les 6 capsules de secours ont été chargées au maximum et dirigé vers ganymède. Ainsi les quatre navettes et les six capsules vont déposer sur la surface de Ganymède 4 113


fois 30 tonnes et 6 fois 35 tonnes soit 330 tonnes de matériaux et matériels en tout genre pour commencer la colonisation de Ganymède. L’homme va ainsi construire de villages et des villes à la surface de leur planète d’accueil, à mesure qu’ils se reproduiront ils inventeront ou réinventeront les techniques d’autrefois pour se nourrir, se protéger, se chauffé et communiqué. Bien qu’il fut arrivé sur Ganymède officiellement en l’an 2315, pour eux c’est l’an 0, donc ils suivent le calendrier Ganyméen qui fait des jours de 7,155 jours terrestre et des années de 11,9 ans. Un an Ganyméen dure 607 Jours (4 344 jours terrestre) semaines Les années sont découpés en 11 mois de 50 Jours et un mois de 51 jours. Ce qui eux pour incidence sur l’humain c’est que les enfants qui virent le jour, ne dépassaient guère les 96 centimètres en taille pour un poids de 39 kg. Par contre ils vivaient entre 60 et 70 ans en temps local, ce qui leurs 114


faisait une durée de vie terrestre de 504 à 588 ans ! Par contre leur pleine maturité sexuelle il l’avait dès l’âge de 2 ans ! Du fait de leur petite taille, les femmes ne porte leur enfants que 25 jours et allaitent la même durée de temps en générale, et sont féconde de 3 à 48 ans. Ce qui signifie qu’elles peuvent avoir en moyenne 500 enfants dans leur vie. Ainsi le peuple Ganyméen grandit, les villes se construisit et le peuple commence à regarder les étoiles, la plus proche dans un premier temps et ils virent en 140 de leur aire, se qui correspond environ à l’an 1966 après la grande glaciation. Ils y virent des prairies, des forêts et de l’eau, beaucoup d’eau, ce qui manque cruellement sur ganymède. Ils décident de fabriqué grâce à la connaissance des anciens, un grand vaisseau spatial pour aller rendre visite à cette planète et faire connaissance avec ces habitants dont la légende prétend qu’ils en sont issue. Compte tenu de la durée de vie 115


des habitants de la planète, et de leurs vitesse de reproduction à savoir, en 140 ans la planète à connu un bon de 25 habitant à près de 12 Milliards d’individus. En effet il y eux exactement 39 916 800 000 naissances pour seulement 27 941 760 000 décès ce qui à pour effet une surpopulation et donc des conflits. Le manque croissant de nourriture à fait décrété une loi à l’état unique de la planète que, les individus morts ou souhaitant l’être, serait recyclés en toutes sorte de conditionnement hyper nutritif pour les habitants de la planète. Les guerres n’existant pas sur Ganymède, par contre l’euthanasie et le suicide et parfaitement légalisé depuis ces dizaine d’années et donc, même si la croissance démographique ce poursuit la nourriture reste abondante. Mais ils regardent aux étoiles, une mission est décidé, elle emportera avec elle dans 200 vaisseaux aux dimensions de 45 kilomètres de long sur 15 de large et 8 de hauteur. Il y a 116


4 000 ponts pour un total de 40 000 000 de couples. Plus 20 vaisseaux de 75 kilomètres de long sur 35 de large et 17 de hauteur soit ; 11 000 ponts pour un total de 150 000 000 de couples et enfin de vaisseau mère un engin énorme de 180 kilomètre de long sur 85 de large et 40 de hauteur. Il peu embarqué lui seul 800 000 000 de couples. C’est donc un exile de plus de la totalité de la planète qui se dirigera vers la terre avec ses 12 737 531 000 individus. Les deux cent vingt et un vaisseaux vous êtres minutieusement étudier sous toutes les formes, assemblés et testé virtuellement avant que leur construction ne commence. C’est le Cybério, le super ordinateur que leurs à transmis les anciens et qui malgré les années et le temps, celui-ci est toujours en fonctionnement et il exécute toujours à la perfection les taches qui lui sont confiés. Cette machine ou bio-machine, assemblage de biotechnologie et de nanotechnologie possède en lui toutes 117


la connaissance des anciens. Ainsi il élabore avec une très grande précision les plans des prodigieux vaisseaux des futurs colons de la Terre. En moins d’un an les plans sont près, la fabrication commence et s’achève un an plus tard. Le plus difficile étant le système de propulsion, système à base de particules de neutrinos. L’accélérateur de particules concentre au maximum ces dernières dans une sphère pour les lâcher brutalement dans l’espace. Le vaisseau et alors envoyé à très grande vitesse dans un vortex qui s’ouvre devant eux à ce moment du fait de la vitesse et envoi ce dernier à une très grande distance de son point de départ. Les vaisseaux sont aussi équipés d’un système anti-G qui leur permettra de se poser sur terre sans se disloquer. Pendant ce temps on étudie l’histoire de l’homme afin de savoir à qui on aura à faire. L’homme parlerait plus de mille langage et serait divisé en centaines de nations. Autrement la terre est recouverte au trois quart 118


d’eau, l’humain serait lui-même très triche en eau, certains pense donc qu’il doit-être délicieux. Pendant la grande glaciation il se serait réfugié sous terre en hibernation, en attendant des jours meilleurs. Le recensement des futurs colons commence, toutes les personnes qui souhaite quitter leur terre d’exilé doivent s’inscrire. Même si les vaisseaux ne sont pas totalement fini, il est possible de s’y installé pour le départ. La planète se libère peu à peu, seule quelque personne âgée entre 50 et 70 ans ne souhaitent pas quitter la planète. Cependant ils sont très nombreux à vouloir partir sans aucun espoir de retour. L’an 144 est décisif, les vaisseaux sont près, toutes les personnes désireuses de quitter la planète sont à bord, l’ordre de départ et donné, comme un grand vacarme ce fait entendre dans les vaisseaux, toutes les personnes sont consigné dans leur sarcophage anti-G afin de na pas subir l’extrême violente 119


accélération. Le bruit s’arrête brutalement, les vaisseaux sont à destination. Le Soleil inonde les splendides engins, il en éblouie les passagers qui ne l’ont jamais vu de si près, mais leur soucis pour le moment est d’examiner la Terre pour voir comment sont les Terriens. Ils sont beau, grand et très nombreux, comment cohabité sans déclarer tôt ou tard un conflit majeur. Une décision rapide doit-être prise tant qu’ils n’ont pas été détectés, la guerre est déclaré ! Les vaisseaux entre doucement dans l’atmosphère en déclenchant de violents orages et ils se posent sur de grandes surfaces, à même le sol près des grandes villes. A peine sont-ils au sol que les trappes commence à s’ouvrir pour restés bloqués par quelques choses à l’extérieur qui semble se hisser sur les parois des vaisseaux. Le commandant de bord donne ordre de décoller mais les vaisseaux restent bloquer au sol par 120


d’immenses et gros tentacules noirs. De plus il y à comme un champ électromagnétique qui bloque toutes communication avec l’extérieur. Les occupent sont coupé du monde ! Un vent de panique souffle à bord des 221 vaisseaux, les 12 300 000 000 occupent se jettes sur le hublot de leur cabine pour voir, et se qu’ils voient à l’extérieur les rempli de terreur. Les hommes de le Terre, ces humains du moins en ont-il l’apparence car s’ont-ils vraiment humains ? Ces choses se désagrégeant devant leurs yeux pour se transformer en poussière que rien ne retient. Puis c’est au tour des animaux, ces oiseaux qui tombent du ciel et disparaissent, ces troupeaux qui deviennent noir puis plus rien puis enfin ou plutôt, le comble de l’horreur la forêt elle-même subit le même sort. Les immenses tentacules se retirent, les portes finissent par s’ouvrir sur une planète totalement 121


désertique, la ville n’est plus qu’une dune sans vie, une chose semble encore exister malgré tout, la rivière oui, l’eau il y à bien de l’eau sur laquelle tout les occupent du vaisseau se précipitent. Le commandant de bord fait le point avec les autres vaisseaux, partout c’est al même choses, les hommes et toutes vie à disparu de la surface de cette planète mais alors, qui à commandité cet étrange accueil ? La question est là, quelque chose existe sur ou sous cette planète, quelque chose qui pense et agit mais que-est-ce que cela peut-être ? Le commandeur fait une annonce historique : - Mesdames, messieurs, nous ne nous laisserons pas avoir par ces tours de passe-passe de bas étage comme celui dont nous avons été les victimes, nous allons devoir livré bataille contre qui, contre quoi, je ne peux vous le dire mais ce que je sais, nous gagnerons ce combat quel qu’en soit la manière et la forme. Nous avons de l’eau, nous avons 122


emmenez avec nous de grande quantités de graines, nous avons les vaisseaux pour nous abriter. Nous avons toutes notre vie pour gagner se juste combat. Ne somme nous pas les descendant légitime de cette planète, nous avons autant le droit d’être sur cette terre que ceux qu’ils veulent nous en chasser. Combattons ensemble, unis comme un et je vous le dit, nous gagnerons notre place sous ce Soleil. Le discours est bien passé et touts ensemble ils se rendent alors aux vaisseaux pour prendre ce qu’il faut pour commencer l’irrigation des terres. Mais sur cette planète quand il fait jour on cuit, quant il fait nuit on y voit rien alors la nuit venant, touts les colons se rendent aux vaisseaux chercher des grandes rampes pour avoir de la lumière et poursuivre leur labeur. Sur leur planète Jupiter rayonne de la lumière et le Soleil également si bien qu’il ne fait jamais vraiment nuit ni vraiment jour. De plus par rapport à la 123


terre, les collons reste éveillé 90 heures de suite pour dormir à peu près autant. Ainsi le temps va passer, avec leur véhicule ils se rendront à la mer dans laquelle ils se baigneront, ils vont y chercher du poisson comme il l’ont vu sur les vidéos mais n’en trouverons pas. Pour avoir un peu de viande à manger ils vont tuer un peu plus de bovins et de bêtes qu’ils ont emportés avec eux, que cela n’était prévu au départ. Les nuits sont calmes et reposante sur le bord de la mer, mais au matin de nombreux cadres jonchent la plage. On voit très nettement que c’est la mer qui les a rejeter, pourquoi se sont t-ils noyé ? Un rapide regard autour de soit montre clairement que la mer est montée à eux pendant leur sommeil. Un phénomène naturel ou artificiel, une observation attentive des lieux donnera l’explication. La mer monte d’elle-même chaque fois que la planète située à côté d’elle est à son zénith. C’est donc un accident alors, ce 124


qui les a attiré en ces lieux et qui ne montre plus, ne leur veux peut-être pas tant de mal que cela. Le commandant de bord décide de les mettre au frais pour les manger plus tard. Le travail ce poursuit, les animaux pondent, des poulailles ont été fabriqué en terre. Vue qu’il n’y a ni bois, pas le moindre brin d’herbe pour faire paitre le bétail qui meure de faim petit à petit. La viande et mis en congélation pour très bientôt car depuis maintenant 45 Lunes (c’est ainsi qu’ils comptent le temps à présent), ils n’ont rien vu de vivant à se mettre sous la dent. Ils changent leur cycle peu à peu, ils dorment d’avantage qu’en il fait nuit et travail quant il fait jour. Puis un jour c’est la stupeur, le ciel est soudain comme en feu, des violentes décharges électrique secoue l’air et s’abat sur leur vaisseau qui étincelle de partout. De l’eau, des chutes d’eau très abondantes tombe du ciel qui cache le Soleil. Toutes les personnes à l’extérieur se trouvent 125


bien mouillé et le pire c’est qu’ils sont ravis. Le lendemain une surprise de taille les attend sur le sol sablonneux. D’étranges choses sortie de la terre et de forme allongée de plusieurs centimètres sillonnent le sol en se tortillent, les collons décident de les ramasser puis de les examiner. C’est comestible, la sentence tombe avec les clameurs, il y aurait de la viande dans la terre, c’est donc avec des pelles qu’ils vont pouvoir se nourrir. La nourriture semble bonne, les colons s’étalent de plus en plus dans les terres. Ils surveillent régulièrement le ciel et des qu’il pleut quelque part, ils partent à la chasse aux vers de terre, c’est comme cela qu’ils les ont appelés. Autre découverte purement accidentelle après une baignade, des espèces des crottes furent trouvé à la surface du sol ainsi que de nombreux troues, ils entreprirent de creuser et ils ont trouvé des choses longues qui s’ouvrent en deux partie avec un animal gluent dedans, ils goutèrent et 126


aimèrent. Alors ils en ramenèrent par centaines ce qui plus énormément. Cette planète à tout de même de bons côtés finalement, ils se mirent touts à penser la même chose, ce qu’il ont vus c’est un hologramme de anciens ni plus ni moins. Sur cette certitude ils ce mirent à faire de nombreux projet, bâtir des villes, ensemencer la planète depuis les auteurs grâce à leurs vaisseaux pourquoi pas. L’idée fit son chemin et après avoir creusé de nombreux canaux d’irrigation les puissant moteur de l’astronef se mirent à fonctionné à nouveau. La terre commence à tremblée, tout le monde applaudi le décollage mais ce n’était pas encore le décollage. Sept énorme vers surgissent du sol, des vers gigantesque qui s’abattent à pleine dents ouvertes sur les moteurs de l’astronef. En très peu deux temps et avec des hurlements atroce ils déchirent, ils dévorent les moteurs de sorte qu’il n’en reste rien. Puis ils repartent comme ils sont venu, en s’enfoncent la tête la première dans le 127


sol.

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L’exode Suite à cette attaque surprenante et d’une violence inouïe, les colons se divisèrent, certain ne trouvent plus le vaisseau sûr, décident de partir à l’aventure, les autres restent pour s’occuper des cultures. Le nuit tombée, ceux qui se sont réfugié dans les montagnes assistent impuissant à une nouvelle attaque du vaisseau par de nombreux énorme vers. Le vaisseau cette fois ci est mis en pièce avant d’être avalé avec bon nombre de collons. Des cris de terreur et d’effrois déchirent la nuit, cette nuit marque la fin de tous les espoirs de coloniser la planète ou tout du moins, par cette équipe là. Les autres ont peut-être eux d’avantage de chance, personne ne peu le dire car il n’y à plus aucun moins de transmission. Au matin les vers ont disparus, chacun fait le point pour compter les morts, sur les 800 000 000 de couples à bord, 3 100 000 couples sont morts 129


avant l’attaque, 800 000 naissances 379 000 000 couples étaient dans les montagnes il reste en touts 672 300 000 couples et plus aucun enfants. Il y à donc eu 249 242 000 de victimes durant l’attaque de la nuit, les corps ont été avalés cru sans être même croqué. Sous la surface à quelques kilomètres de profondeur des centaines de millions de collons sont là, couchés nus sur une sorte table d’opération, bien qu’ils furent tous attachés pieds et poignets à la table, ils étaient aussi inconscients. Des filaments bien guidés sortaient des parois et pénétraient sans la moindre goutte de sang, ne sortait des corps. Puis ils ouvrir les yeux pour se dirigé comme des automates vers un portique pour y prendre une sorte de de douche. Une fois sous le portique en effet, une substance très fine et gris métallisée leur tombe dessus, elle s’attache à eux comme une seconde 130


peau brillante. La tête qui a été rasé se voit attribuées de nouveau cheveux l’or. Sous cet énorme dôme les vies que l’on croyait détruites à jamais, sont l’objet de toutes l’attention de cet étrange choses souterraine que l’on a jamais vue mais qui semble être partout sur cette planète. A la surface, alors qu’ils ont perdu leur vaisseau car celui-ci a été entièrement dévoré durant la nuit, ne peuvent plus réfrigérer les morts, ils doivent mangés de suite ou ensevelies. Vu le nombre qu’ils s’ont encore, ils optent pour la première solution pour le moment. Puis le peuple se mire en marche vers l’ouest. S’étant posé avec le vaisseau mère sur une très grand surface, dans un lieu qui selon les cartes de l’époque, s’appelé Washington, en allant vers l’ouest, dans les terres ils pensent trouver un vaisseau amiral dans le secteur dit Las Vegas.

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Le chemin est long, le Soleil tape très fort et malgré leur détermination à aller au bout de leur idée, la route et long surtout qu’avec le nombre d’individus et leurs animaux (le peu qui reste), il occupent une surface de 20 kilomètres de large sur 45 kilomètres de longue. Ils avancent en moyenne à 5 kilomètres heures, 11 heures par tranche de 24 heures ce qu’il leurs fait parcourir 1 375 km par mois. Ainsi ils mettront plus de cent Lune pour regagné l’un des vaisseaux amiral. Arrivé sur place c’est la stupeur général, en lieu et place du vaisseau il n’y a que des amas de matières indéfinissable et des os, beaucoup d’os humain ici et là sur le sol. Quelques survivants à cet holocauste à demi dévêtu son à croupi en train de finir leur repas, des cadavres humains. De nombreuses question posées restent sans réponse, se qui revient sans cesse c’est ces vers géants qui 132


dévorent tous, le métal, les gens et toute sorte de matière. Mais visiblement les survivant ont pris un sérieux coup à la tête, ils ne pensent qu’à satisfaire leur faim, faim de chair humaine alors le commandeur dit : « Mangez les vivant, et qu’il n’en reste rien car ils sont fou ! ». Les survivant fous furent emmené plus loin et dévoré à pleine dent dans des hurlements abominable. Seules les entrailles furent données aux chiens et les os livrés au Soleil. L’exode se poursuit au travers de cet unique et même continent que possède la Terre car en effet, avec la grande glaciation et les années irruption volcanique, les violents tremblements de terre. Les plaques continentale ont glissées, certaines furent submergé par les eaux alors que d’autres en sortirent de sorte qu’il n’y a plus qu’un seul continent. Sous le globe, les IA.s qui ont transformé les collons en aimables serviteurs moderne, font entrer ses 133


derniers, couple par couple dans une étrange sphère translucide. Ils suivent un long corridor roulant pour être finalement amené par deux, homme et femme, dans une petite pièce avec une couche pour s’allonger. Cette pièce est très lumineuse et au plafond on peu voir tout se qui se passe au dehors. Il n’y a pas d’enfant avec eux car ses derniers étant trop jeune pour être transformé, ils sont pour le voyage mis en état d’hyper-sommeil. Le collons du commandeur, qui se sont installé une bonne quarantaine de Lune afin de manger touts les fous du vaisseau amiral, son près à repartir mais au troisième jour après leur départ, le Soleil fut caché par une grosse sphère qui pris doucement la direction des étoiles. Planète Mars, quatrième planète du système solaire. Diamètre 6 796 km avec des journées de 24 heures et une révolution de 730 jours autour du soleil, les IA.s en ont fait en 480 134


années de reconditionnement une planète particulièrement agréable. Toutes sorte d’espèces animales y ont été intégrées et se sont parfaitement bien adaptés de sorte que Mars est devenue la planète dont la biodiversité et la plus riche du système solaire. Mars possède trois grands continents mais contrairement à la Terre, ses eaux ne contiennent pas ou peu de sel. Les vastes surfaces sont toutes pour ainsi dire, vouées à la culture, la cueillette et la pêche de sorte que Mars fête figure de mère nourricière du Système solaire. Les techniques de culture et de reproduction animal ont été transmis aux IA.s par les hommes qui peuplés la Terre autrefois. Planète Vénus, deuxième planète du système solaire. Diamètre 12 104 Km, presque celui de la Terre, avec des journées de 243 jours et une révolution autour de l’astre solaire identique, elle montre toujours la même face au Soleil de sorte qu’il fait 135


250 à 400° face au soleil en moyenne, ce qui est peu alors que de l’autre côté la température ne dépasse jamais – 45°. Cependant durant les 500 années ou elle fut soumise à une réhabilitation par les IA.s, la planète est aujourd’hui habitable mais uniquement sur les côtés entre jour et nuit. La planète est divisée en cinq continents, une sur le pôle Nord le pôle sud étant de l’eau gelée en permanence. Deux continents se trouvant entre nuit et jour, l’un exposée à la lourde chaleur Solaire alors que le cinquième et totalement artificiel, sous les eaux glacées il se divise en 24 571 sphère se 400 mètres de diamètres ce qui lui donne une superficie de 3 079 Km2. Immergé par 225 mètres de fond en moyenne, cette espace sous marin est totalement dédié à l’aquaculture. Cela fait donc un bon moment que les IA.s attendent le tour de l’homme sur la Terre affin de la dirigé vers les espaces de rêve qu’ils ont préparé à son attention mais pas à 136


n’importe quel prix. Pas question de destruction ni de vouloir prendre et repartir. Ni de détruire touts se qui a été fait en l’honneur de l’homme par cet être qui ne connaissait pas le passé que la guerre. Ainsi ce matin une sphère se pose à Royale City, principale ville du continent de l’est ou plus de 90 millions d’êtres humains peuvent vivre tranquillement. Ainsi les sphères des IA.s avec les humains qu’ils ont soigneusement choisi, vont se posés progressivement sur les deux planètes Vénus et Mars affin de les coloniser. A la surface de la Terre, les 221 vaisseaux ne ressemblent plus à grand-chose, en effet si le vaisseau mère fut frapper en premier, les autres en subir et en subissent encore actuellement de la part des vers géant. Le 895ème jour Terrestre de leur arrivé les frappes cessèrent mes les vaisseaux avaient été totalement détruit. Les pertes en vie humaine difficile à estimer devaient être de l’ordre de 11 milliards d’individus 137


approximativement. L’équipe du commandeur livré à eux même depuis que celui-ci avait été tué et manger par sa garde personnel, se ruaient sur le moindre morceau de chair, sur le moindre être malade ou souffrant, le dévorant encore vivant. Cette hécatombe, ce carnage durant plus de trois ans avant que le dernier être vivant à la surface de la terre ne meure et que sa dépouille, livré aux caprices du vent ne se décompose, sèche et disparaisse de la surface de la planète. Il n’y eu bientôt plus la moindre trace des collons sur Terre. Entre temps, sur Vénus et sur Mars, les humains totalement soumis à la machine, le « IA.s », était réparties en sous groupes de 1 100 humains, divisé en groupe de 1 000 groupes de 1 100 humains, eux même divisés par 100 et encore par 100 soit 10 millions de groupes réparties sur l’ensemble des deux planètes. Le nombre d’individu ne change pas car le système de reproduction des humains était totalement contrôlé par le 138


« IA.s ». Si le « IA.s » est ultra sophistiqué et même, totalement autonome, il est en échange incapable de crée, c’est pour cette raison qu’il à besoin de l’humain. Ce dernier, totalement soumis à la volonté du « IA.s » se voit dans l’incapacité de crée. Au bout d’une vingtaine d’année Terrestre, l’intelligence artificiel ne voyant rien changer dans les habitudes des humains, décide d’en limité les nombre en stoppant la reproduction de sorte à ce qu’il s’éteigne de lui-même. L’espérance de vie des humains qui sur leur planète était supérieur à 500 ans, ne l’étant plus que de 150 sur Mars et Vénus, le super ordinateur n’avait qu’à attendre mais en a t-il vraiment envie. Lui vient l’idée de supprimer se qu’il à transformer et d’allée chercher des nouveaux sur Ganymède. Un puissant vent de neutrons balaya les humains de sorte qu’il n’en resta rien ! Dans l’espace intersidérale, un énorme vers de cinquante kilomètres 139


se glisse entre les barrière d’astéroïde.

140

rochers

de

la


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Imprimé en France, 2012 Dépôt légal : Juillet 2012

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